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Histoires du sport automobile

course de cote 1970


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Bonsoir

 

 

1964..................COUPE DES ALPES

 

 

 

LANCIA FLAVIA  ZAGATO009.jpg

 

LANCIA Flavia ZAGATO..........Messieurs BOULY et HAZARD

 

 

Salut

Thaïs

 

M. Bouly qui fut l'associé de J.M Massoneri dans la concession BMW à Quetigny les Dijon. La société ne vendait d'ailleurs pas que des BMW (Rolls Royce, Lancia notamment)

 

 

garage bouly masoneri.jpg

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superbe....mais en regul avec cette auto :??:

cette année il y avait aussi cela...pointage Paul RICARD

 

 

sans oublier celle-ci

 

 

Bonjour . Effectivement en régularité cette magnifique 275 GTB des époux Ingram Hill ....il y avait d' autre trésors: 250 GT Berlinetta, Tour de France ,275 GTB4...

La régularité est très encadrée , excluant toute aide ( trip master, GPS etc) seul l' usage de chrono(s) est admis, les pénalités départagent les concurrents. Le choix de la vitesse ( haute, moyenne ou basse) choisit , détermine le classement et , s' il est relativement aisé sur circuit de tourner comme un métronome, tout dépassement , accélération, sanctionnent sévèrement les plus fougueux ou timorés . En spéciales c' est un art extrêmement plus complexe qu' il ni parait. Finalement c' est exactement l' essence même des rallyes ou les spéciales n' étaient là que pour départager les concurrents qui n'en prenaient pas un wagon sur le routier où il était quasi impossible de passer à zéro. ( Voir l' excellente place il y a quelques quelques jours de Messieurs Bugnot/Martin avec leur 1093.

D' autre part c' est nettement plus valorisant pour le co- équipier qui participe totalement et en permanence. En compétition le navigateur regarde son pilote sur le bord des circuits ....

Troisièmement il y a moins de risques pour l' auto ..... où en compétition les " contacts et autres " sont incroyables, les pilotes faisant totalement abstraction d' avoir des trésors entre leurs mains.

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Bonjour

 

 

1968.....................Rallye de FRANCHE COMTE

 

 

 

FC 68.jpg

 

Equipage Jean BAINIER Jacques COLIN avec leur PANHARD DB

 

A gauche R 8 GORDINI 1300 groupe 2 équipage L'HERITIER GATEZ

 

A droite PEUGEOT 204 groupe 1 équipage MAGANS SALLIERES

 

 

Salut

Thaïs

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77630742_o[1].jpg

 

 

Bonjour !

 

S'agissant des Ferrari 250 et 275 LM, voici la 250 de M. David Piper à l'issue d'une involontaire séance de labourage, au G.P. d'Angola 1964 .....

 

La Ferrari N°7, victorieuse à Reims en 1964 avec Graham Hill et Jo Bonnier, était bien une 250 LM. Rouge à décoration bleue, elle était engagée par la structure britannique "Maranello's Concessionnaires", bras armé de Ferrari en Angleterre. Une autre 250 LM, N°8, représentait l'usine avec Surtees et Bandini.

 

La 250 LM victorieuse au Mans en 1965 avec Jochen Rindt et Masten Gregory était bien une 275 LM, alignée par le "NORTH AMERICAN RACING TEAM" de Luigi Chinetti Jr. La 275 LM classée seconde aux mains de Pierre Dumay et Gaston Gosselin arborait une robe toute jaune, signe de son appartenance à l'équipe Nationale Belge. Victime d'un déchappage du pneu arrière droit, elle a terminé la course avec l'aile arrière un tantinet "découpée" !

 

A noter qu'il est difficile de s'y retrouver dans la "jungle" des 250/275 LM, tel châssis né 250 ayant pu recevoir le V12-3,3 litres, pour revenir ensuite au 3 litres, etc ....

 

Je vous adresse (virtuellement) un brin de muguet, en ce 1er mai qui a des allures de Toussaint !

 

René

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Bonjour

 

 

1965.....................Course de côte de MARCHAIRUZ en HELVETIE

 

 

 

MARCHAIROZ 15.jpg

 

 

MARCHAIROZ 10.jpg

 

 

MARCHAIROZ 14.jpg

 

Celle ci a eu une vie compliquée.......Pilote monsieur Heini WALTER.

 

 

Salut

Thaïs

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Bonjour !

 

S'agissant des Ferrari 250 et 275 LM, voici la 250 de M. David Piper à l'issue d'une involontaire séance de labourage, au G.P. d'Angola 1964 .....

 

La Ferrari N°7, victorieuse à Reims en 1964 avec Graham Hill et Jo Bonnier, était bien une 250 LM. Rouge à décoration bleue, elle était engagée par la structure britannique "Maranello's Concessionnaires", bras armé de Ferrari en Angleterre. Une autre 250 LM, N°8, représentait l'usine avec Surtees et Bandini.

 

La 250 LM victorieuse au Mans en 1965 avec Jochen Rindt et Masten Gregory était bien une 275 LM, alignée par le "NORTH AMERICAN RACING TEAM" de Luigi Chinetti Jr. La 275 LM classée seconde aux mains de Pierre Dumay et Gaston Gosselin arborait une robe toute jaune, signe de son appartenance à l'équipe Nationale Belge. Victime d'un déchappage du pneu arrière droit, elle a terminé la course avec l'aile arrière un tantinet "découpée" !

 

A noter qu'il est difficile de s'y retrouver dans la "jungle" des 250/275 LM, tel châssis né 250 ayant pu recevoir le V12-3,3 litres, pour revenir ensuite au 3 litres, etc ....

 

Je vous adresse (virtuellement) un brin de muguet, en ce 1er mai qui a des allures de Toussaint !

 

René

 

 

 

Bonjour René,

Ci-dessous un brin de muguet fraîchement cueilli ce matin dans un lieu mythique du sport automobile, la Ligne Droite des Hunaudières sur le Circuit des 24 Heures du Mans où il y a un soleil splendide.....

Amica Le Mans JM HESSE

 

MUGUET HUNAUDIERES 2016.jpg

 

 

PANNEAU HUNAUDIERES.jpg

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77630742_o[1].jpg

 

 

Bonjour !

 

S'agissant des Ferrari 250 et 275 LM, voici la 250 de M. David Piper à l'issue d'une involontaire séance de labourage, au G.P. d'Angola 1964 .....

 

La Ferrari N°7, victorieuse à Reims en 1964 avec Graham Hill et Jo Bonnier, était bien une 250 LM. Rouge à décoration bleue, elle était engagée par la structure britannique "Maranello's Concessionnaires", bras armé de Ferrari en Angleterre. Une autre 250 LM, N°8, représentait l'usine avec Surtees et Bandini.

 

La 250 LM victorieuse au Mans en 1965 avec Jochen Rindt et Masten Gregory était bien une 275 LM, alignée par le "NORTH AMERICAN RACING TEAM" de Luigi Chinetti Jr. La 275 LM classée seconde aux mains de Pierre Dumay et Gaston Gosselin arborait une robe toute jaune, signe de son appartenance à l'équipe Nationale Belge. Victime d'un déchappage du pneu arrière droit, elle a terminé la course avec l'aile arrière un tantinet "découpée" !

 

A noter qu'il est difficile de s'y retrouver dans la "jungle" des 250/275 LM, tel châssis né 250 ayant pu recevoir le V12-3,3 litres, pour revenir ensuite au 3 litres, etc ....

 

Je vous adresse (virtuellement) un brin de muguet, en ce 1er mai qui a des allures de Toussaint !

 

René

Taratata... Monsieur René, permettez-moi de vous dire que vous racontez de drôles de salades, à défaut de brins de muguet.

 

"Jungle des 250/275 LM" ? Je ne vois pas bien pourquoi employer cette expression. L'histoire est plutôt simple et peut-être résumée comme suit :

 

L'objectif initial de Ferrari était de faire homologuer ce modèle en GT, en le faisant "simplement" passer pour une évolution à moteur central de la 250 GT/GTO. Moteur 3 litres donc.

 

Devant le refus de la FIA de prendre des vessies pour des lanternes et d'homologuer en GT une voiture qui n'avait plus rien d'autre à voir avec la 250 GT/GTO que son moteur, et ainsi condamné à la voir concourir en catégorie sport, Ferrari a donc pris la décision de produire le modèle en série avec le moteur 3,3 litres. C'était sa seule chance d'être compétitif en catégorie sport.

 

Ainsi donc, au-delà de la présentation de l'exemplaire tête de série, toutes les 250 LM ont été livrées à leurs clients avec le moteur 3,3 litres et auraient dû logiquement être baptisées 275 LM. Pour autant, c'est bien la désignation initiale 250 LM qui a été conservée officiellement, malgré l'augmentation de la cylindrée. L'appellation 275 LM n'a jamais été qu'une extrapolation (certes cohérente sur le papier) de journalistes !

 

Il n'y a jamais eu de châssis vendu en 3 litres, reconditionné en 3,3 litres, puis repassé en 3 litres comme vous le laissez entendre... Tous les châssis ont été commercialisés en 3,3 litres et le sont restés pendant leur carrière sportive "moderne" et internationale qui s'est étalée de 1964 à 1970.

 

Dernière précision : en 1965, ce n'était pas l'Equipe Nationale Belge qui alignait la jaune de Pierre Dumay et Gustave (pas Gaston) Gosselin, seconds au Mans, mais plutôt l'Ecurie Francorchamps de Jacques Swaters. Du kif kif bourricot allez-vous me dire... Pas tout à fait quand même, car les mots ont un sens et la provenance du financement aussi. D'autant que pour être rigoureusement précis, et bien que ce fût l'Ecurie Francorchamps qui supervisât l'engagement cette année-là, celui-ci avait été officiellement souscrit au nom de Pierre Dumay, tandis que la voiture portait en toutes lettres sur ses ailes avant la raison sociale du Team Georges Marquet ! (Georges Marquet étant un autre mécène et Ferrariste belge de l'époque.)

 

Espérant que mes explications vous soient utiles, je reste à votre disposition pour en discuter, étant précisé que je ne suis pas spécialement un aficionado de la marque Ferrari. Juste un archiviste consciencieux et épris de précision.

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Ah ben dites donc ! Philippe R. ne laisse rien passer ! J'avoue que j'interviens souvent de mémoire, et n'étant pas, moi non plus, un afficionado de la marque Ferrari, à l'exception de la saga des GTO que je connaît mieux, va savoir pourquoi (j'aime ce modèle), j'ai avancé un truc que PR a redressé. Donc, toutes les 250 LM étaient des 275, mais on a continué à les nommer 250 ou 275, au gré des feuilles d'engagement et/ou des élucubrations des journalistes, les vilains !

 

Le tour de passe-passe consistant, pour un constructeur, à faire prendre des vessies (voire des V6 !) pour des lanternes à la CSI puis la FIA a souvent bien fonctionné, non ? Pas cette fois, semble-t-il ....

 

L'origine du surnom de Maurice Trintignant, de mémoire: lorsqu'il a débuté sa carrière, en 1938 au G.P. de Pau, avec la Bugatti Type 35/51 avec laquelle son frère Lucien s'était tué quelques années plus tôt, la voiture avait passé un long temps dans un garage. Où elle avait, évidemment, subi du temps des outrages heureusement réparables. Lorsque Maurice décida de l'utiliser, la Bugatti fut dûment dépoussiérée, nettoyée, lavée, enfin tout .... Ou presque, puisque des crottes de rats (ou de souris) s'étaient logées dans les cuves des carburateurs, et que ces corps étrangers perturbèrent sérieusement le fonctionnement du "huit en ligne", lors des essais de la première compétition à laquelle participait le futur "Pétoulet". Lequel chercha la cause de ses désagréments et la trouva, clamant alors le résultat de ses investigations à un aéropage de collègues hilares, en précisant que la voiture marchait mal à cause, peuchère, des "pétoules" qui encombraient le dispositif d'alimentation. Une "pétoule", en provençal, désigne une crotte de rat ou de souris. Tout le monde ne désigna plus alors le jeune pilote gardois que sous le sobriquet de "pétoulet", ce dont il s'accomoda si bien qu'il en fit une marque de fabrique pour son vin.

 

René

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Bravo ! :jap:

 

Ginette disait de Maurice qu'il avait un joli petit pétoulet...

 

[...]

L'origine du surnom de Maurice Trintignant, de mémoire: lorsqu'il a débuté sa carrière, en 1938 au G.P. de Pau, avec la Bugatti Type 35/51 avec laquelle son frère Lucien s'était tué quelques années plus tôt, la voiture avait passé un long temps dans un garage. Où elle avait, évidemment, subi du temps des outrages heureusement réparables. Lorsque Maurice décida de l'utiliser, la Bugatti fut dûment dépoussiérée, nettoyée, lavée, enfin tout .... Ou presque, puisque des crottes de rats (ou de souris) s'étaient logées dans les cuves des carburateurs, et que ces corps étrangers perturbèrent sérieusement le fonctionnement du "huit en ligne", lors des essais de la première compétition à laquelle participait le futur "Pétoulet". Lequel chercha la cause de ses désagréments et la trouva, clamant alors le résultat de ses investigations à un aéropage de collègues hilares, en précisant que la voiture marchait mal à cause, peuchère, des "pétoules" qui encombraient le dispositif d'alimentation. Une "pétoule", en provençal, désigne une crotte de rat ou de souris. Tout le monde ne désigna plus alors le jeune pilote gardois que sous le sobriquet de "pétoulet", ce dont il s'accomoda si bien qu'il en fit une marque de fabrique pour son vin.

 

René

M-Trintignant.jpg

 

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S'agissant du surnom de Petoulet pour Maurice Trintignant, je confirme ce qu'écrit, de mémoire, M'sieur René. J'avais déjà lu, il y a bien longtemps, exactement la même chose lefatalpicard.gif.26d01eeeae79004e9debfd48b09136bc.gif .

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Taratata... Monsieur René, permettez-moi de vous dire que vous racontez de drôles de salades, à défaut de brins de muguet.

 

"Jungle des 250/275 LM" ? Je ne vois pas bien pourquoi employer cette expression. L'histoire est plutôt simple et peut-être résumée comme suit :

 

L'objectif initial de Ferrari était de faire homologuer ce modèle en GT, en le faisant "simplement" passer pour une évolution à moteur central de la 250 GT/GTO. Moteur 3 litres donc.

 

Devant le refus de la FIA de prendre des vessies pour des lanternes et d'homologuer en GT une voiture qui n'avait plus rien d'autre à voir avec la 250 GT/GTO que son moteur, et ainsi condamné à la voir concourir en catégorie sport, Ferrari a donc pris la décision de produire le modèle en série avec le moteur 3,3 litres. C'était sa seule chance d'être compétitif en catégorie sport.

 

Ainsi donc, au-delà de la présentation de l'exemplaire tête de série, toutes les 250 LM ont été livrées à leurs clients avec le moteur 3,3 litres et auraient dû logiquement être baptisées 275 LM. Pour autant, c'est bien la désignation initiale 250 LM qui a été conservée officiellement, malgré l'augmentation de la cylindrée. L'appellation 275 LM n'a jamais été qu'une extrapolation (certes cohérente sur le papier) de journalistes !

 

Il n'y a jamais eu de châssis vendu en 3 litres, reconditionné en 3,3 litres, puis repassé en 3 litres comme vous le laissez entendre... Tous les châssis ont été commercialisés en 3,3 litres et le sont restés pendant leur carrière sportive "moderne" et internationale qui s'est étalée de 1964 à 1970.

 

Dernière précision : en 1965, ce n'était pas l'Equipe Nationale Belge qui alignait la jaune de Pierre Dumay et Gustave (pas Gaston) Gosselin, seconds au Mans, mais plutôt l'Ecurie Francorchamps de Jacques Swaters. Du kif kif bourricot allez-vous me dire... Pas tout à fait quand même, car les mots ont un sens et la provenance du financement aussi. D'autant que pour être rigoureusement précis, et bien que ce fût l'Ecurie Francorchamps qui supervisât l'engagement cette année-là, celui-ci avait été officiellement souscrit au nom de Pierre Dumay, tandis que la voiture portait en toutes lettres sur ses ailes avant la raison sociale du Team Georges Marquet ! (Georges Marquet étant un autre mécène et Ferrariste belge de l'époque.)

 

Espérant que mes explications vous soient utiles, je reste à votre disposition pour en discuter, étant précisé que je ne suis pas spécialement un aficionado de la marque Ferrari. Juste un archiviste consciencieux et épris de précision.

 

 

 

Tout à fait. Rien a ajouter.

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Bonjour

 

 

1979....................Course de côte de COLOMBIER FONTAINE

 

 

 

COLOMBIER 7919.jpg

 

Je me demande qui c'est ce type.....Qui fait de la course auto.....Et qui freine dans les virages....?

 

 

Salut

Thaïs

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Invité §pea455RK

 

L'origine du surnom de Maurice Trintignant, de mémoire: lorsqu'il a débuté sa carrière, en 1938 au G.P. de Pau, avec la Bugatti Type 35/51 avec laquelle son frère Lucien s'était tué quelques années plus tôt, la voiture avait passé un long temps dans un garage. Où elle avait, évidemment, subi du temps des outrages heureusement réparables. Lorsque Maurice décida de l'utiliser, la Bugatti fut dûment dépoussiérée, nettoyée, lavée, enfin tout .... Ou presque, puisque des crottes de rats (ou de souris) s'étaient logées dans les cuves des carburateurs...

 

 

J'ai la même explication, mais les dates diffèrent…

Le surnom de Pétoulet n'a été donné à Maurice Trintignant qu'après la guerre, car il se trouve que ladite Bugatti avait été murée dans une dépendance du domaine de Vergèze durant l'occupation pour lui éviter d'être réquisitionnée par nos amis frisés… :D

Et c'est lorsqu'elle a été ramenée au jour après l'armistice que les souris avaient fait… leur œuvre. :ange:

J'avais lu ça il y a très longtemps dans une biographie du pilote, et je ne l'indique que pour mémoire, ça vaut ce que ça vaut...

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Bonjour

 

 

1979........................Course de côte des HAUTES VOSGES

 

 

 

HAUTES VOSGES 7619.jpg

 

Bon......Le gars.....Il attaque fort.......(Normal c'est Fred....)

 

 

 

HAUTES VOSGES 7628.jpg

 

Ou.....Là il est très limite......(Oui c'est Fred.....)

 

 

 

vk30.jpg

 

Oui......Très très limite...........

 

 

 

vk29.jpg

 

"Fred" .......Il s'est passé quelquechose ?

 

Salut monsieur ROLAND.

Thaïs

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Bonjour

 

 

1979........................Course de côte des HAUTES VOSGES

 

 

 

HAUTES VOSGES 7619.jpg

 

Bon......Le gars.....Il attaque fort.......(Normal c'est Fred....)

 

 

 

HAUTES VOSGES 7628.jpg

 

Ou.....Là il est très limite......(Oui c'est Fred.....)

 

 

 

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Oui......Très très limite...........

 

 

 

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"Fred" .......Il s'est passé quelquechose ?

 

Salut monsieur ROLAND.

Thaïs

Salut

 

A refaire Freddy a loupé l'arbre :)

 

Quant au pilote de la RS 2000 c'est un jeune minet qui n'a rien compris à la propulsion superferrari79.gif.c7dbf7bc91501cd455d1708698d58c9f.gif

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hpqscan0002.jpg

 

 

 

 

 

 

hpqscan0003.jpg

 

Afin de peaufiner ce qui a été dit précédemment , voici des scans du livre écrit par Maurice Trintignant lui-même et édité dans les livres de la bibliothèque verte en 1957.( j'avais 10 ans seulement , et je dévorais déjà les livres de cette bibliothèque !!)

Il est précisé deux pages avant que cette découverte a été faite lors de sa première course après guerre , quelques mois après la libération.

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Afin de peaufiner ce qui a été dit précédemment , voici des scans du livre écrit par Maurice Trintignant lui-même et édité dans les livres de la bibliothèque verte en 1957.( j'avais 10 ans seulement , et je dévorais déjà les livres de cette bibliothèque !!)

Il est précisé deux pages avant que cette découverte a été faite lors de sa première course après guerre , quelques mois après la libération.

 

 

Bonjour

 

Excellent bouquin avec une belle couverture couleur

 

 

MT001.jpg

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Bon, l'essentiel à retenir est que le surnom de Petoulet provient des crottes (pétoules) de rats ou de souris qui trainaient dans le circuit d'alimentation d'essence, entre le réservoir et le carburateur.

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Il y a quelques pages je demandais si Monsieur Guy CORLET n'avais pas une photo du camion de dépannage de son Papa

Il m'a envoyé celle là Hier

 

Voilà donc le "Fameux" STUDEBAKER du Garage CORLET

 

 

depanneuse Studebaker gge CORLET.jpg

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