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Histoires du sport automobile

Des anciens rallymen à votre écoute


J.L.C
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Invité §pas670fN

 

 

trop loin :cry::cry: , le cahier des charges est tres draconien quand au kilometrage ;) et avalisé par Speedy et le Mek :) , mais ne t'en fait pas car outre le matin avec ses visites dans les villages des pierres dorées et l'ascension ( et surtout la descente) du Mont Brouilly , morceaux de choix l'après midi avec , juste après le repas Marchamps / Le Parasoir , puis Tarare / Col des Cassettes et Ranchal / Mont Pinay .Trois spéciales des Lyon Charbonnieres , celle de Marchamps ou se déroule une épreuve du Championnat de France de la Montagne , est aussi une classique du Tour Auto

 

 

c'est la promenade de mes voitures :D:D:D:D ne fait comme moi, il y a 5/8 ans, je suis rentré dans l'auberge au départ de ranchal, je regarde une charmante dame, et je lui demande où son les tables pour manger, et là, je demande 2 kir et la carte :??::??::??: j'étais dans son salon, "ce n'est plus une auberge depuis 5 ans mon brave monsieur"... j'ai eu un moment de solitude :(:(

 

Pascal

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Deux inédites de notre participation plus ou moins éphémère au Tour Auto 81 à j2h et à moi même.

 

 

Bonjour à tous

 

Tour Auto 1981 aux pieds du mont Eguille si mes souvenirs sont bons

 

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A+ Christian

 

 

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Invité §pea357xU

Il nous a fallu 15 jours pour faire les 100pages.....

 

A comparer avec :

 

Page 1 : 6 - 09 - 2006

Page 100 : 25 - 11 - 2006...

 

Soit deux mois et 19 jours !

 

Mais il est vrai que les sujets traités étaient plus spécialisés en ce temps-là ! :D

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Invité §pea357xU

Deux inédites de notre participation plus ou moins éphémères au Tour Auto 81 à j2h et à moi même.

 

Y a d'la caisse d'Ascona dans l'air

Le casque tout de travers

J'te suis pas dans cette galère

Ta sortie tu peux t'la faire

Tu cherches des morceaux d'hier pépère

Dans les traces de Jean-Luc Clair

L'Ascona c'est qu'un tas de fer

Ta sortie tu peux pas la r'faire...

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Je parlais bien entendu du studio de designers et non du Maître en personne, mais je suppose qu'il avait droit de regard sur les oeuvres de ses collaborateurs ! ;)

 

 

Certes, on pourra donc peut-être dire que Pinin n'était pas assez inspiré et Paolo Martin l'était peut-être un tantinet de trop ;)

 

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Y a d'la caisse d'Ascona dans l'air

Le casque tout de travers

J'te suis pas dans cette galère

Ta sortie tu peux t'la faire

Tu cherches des morceaux d'hier pépère

Dans les traces de Jean-Luc Clair

L'Ascona c'est qu'un tas de fer

Ta sortie tu peux pas la r'faire...

 

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Et puisqu'il est question de Jean Luc Clair voici pour répondre aux interrogations de fleuraise un premier extrait de l'oeuvre que son biographe le talentueux Charles-Edouard Rayat lui a consacré.

Mont Blanc

 

Jean-Luc Clair ne décolérait pas…

Il tournait et retournait dans son lit sans trouver le sommeil, repassant sans cesse dans sa tête les images de cette journée…

Un jour plus tôt, il avait achevé les reconnaissances du Rallye du Mont Blanc, avait dîné de façon frugale, puis il était allé se coucher rapidement comme de coutume à la veille d’une épreuve. Seulement, ce soir-là, s’il avait des difficultés à s’endormir, ce n’était pas seulement à cause de ce stress habituel des veillées d’armes. Jean-Luc, perfectionniste dans l’âme, collectionnait les victoires comme d’autres les timbres-poste, mais toutes les nuits précédant un rallye, la même obsession le taraudait : s’il connaissait la panne mécanique, les affres de la sortie de route, ou pire, si un pilote inconnu se dressait pour battre en brèche sa suprématie ? Oui, malgré son habitude de la course à haut niveau, notre homme éprouvait le même trac que tout comédien au lever de rideau d’une première devant le tout-Paris…

Mais voilà, à cette veille de Rallye du Mont Blanc, une autre image hantait ses pensées. Son aura de pilote exceptionnel, mais aussi un charme indéfinissable lié à cette apparence réservée, mystérieuse de personnage peu disert au physique de jeune premier faisait chavirer le cœur des charmantes jeunes femmes qui hantent les arcanes du sport automobile, et notre homme était loin d’y être insensible.

Lors des vérifications techniques, où l’on contrôle la conformité des véhicules, l’une d’elles s’était approchée, à la fois timide et enjôleuse : « Mon mari dispute aussi le rallye, et je serai libre durant ces deux jours de course. Si d’aventure vous n’alliez pas au bout de l’épreuve, sachez que je serais charmée de vous revoir. »

Le sang de Jean-Luc ne fit qu’un tour : d’un œil connaisseur, il avait vite jaugé cette créature. Le corsage rebondi, la moue d’une bouche pulpeuse, la démarche féline laissaient entrevoir des paradis inavoués… Il prit bonne note de l’offrande et toujours énigmatique, acquiesça d’un signe de tête mi-respectueux, mi-complice…

Et puis, ce fut le matin, comme tous les matins de course…

Le cérémonial de l’habillement, rappelant celui d’un maestro de l’arène. La combinaison ignifugée, les bottines de conduite, le casque et les gants sous le bras. Notre homme était encore plus resplendissant que d’habitude dans son habit de lumière frappé aux couleurs d’une grande compagnie pétrolière.

Un coup de brosse dans les cheveux, un dernier regard dans le miroir de la salle de bains…

Jean-Luc donnait toujours une image irréprochable : il n’hésitait pas, alors que les ingénieurs traquent le moindre gramme, à emporter avec lui une brosse à cheveux dans l’auto de course pour toujours offrir une image parfaite à ses nombreuses admiratrices…

Petit-déjeuner en compagnie de son copilote au restaurant de l’hôtel, sortie sur le perron, et la première bouffée d’une de ces Gitanes qu’il grillait les unes après les autres. La journée s’annonçait bien, il faisait un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si Jean-Luc était irrésistible dans des conditions normales, lorsque pluie et brouillard se mettaient de la partie, il atomisait littéralement la concurrence et affolait les adversaires dotés de voitures infiniment plus puissantes que la sienne…

Ensuite, le rituel habituel : arrivée au parc fermé, quelques autographes signés distraitement, d’un air absent. Le pilote impressionnait la foule des aficionados par son air distant, parfois glacial, qui pouvait le faire passer pour hautain. Ce n’était en fait pas le cas, mais dès que la course commençait, il entrait dans une autre dimension où le commun des mortels n’avait plus sa place…

Dès les premières spéciales, ces épreuves de vitesse disputées sur route fermée, entre rochers et ravins, à une vitesse hallucinante dans un brouillard épais, sa petite Opel Kadett se mit à virevolter de virage en virage, de bosse en bosse. Et à chaque mètre, l’écart se creusait entre Jean-Luc et ses poursuivants médusés et impuissants à suivre le rythme.

La journée se passa comme dans un rêve.

Mais le meilleur était à venir. La nuit tombait, accrochant des écharpes de brouillard de plus en plus denses aux sapins qui prenaient des allures fantomatiques dans le halo des puissants projecteurs. Cette nuit, c’était son alliée : il savait qu’elle lui permettrait d’aller chercher la Porsche et la Lancia Stratos, ces monstres taillés pour la course qui, seuls, parvenaient à devancer encore –mais pour combien de temps ?- sa modeste Opel de série.

Et puis, tout bascula…

A la sortie d’une épingle, un grand bruit se fit entendre et la transmission céda, interrompant inéluctablement la démonstration.

Sur l’élan, Jean-Luc rangea la voiture meurtrie sur le bas-côté pour ne pas gêner les concurrents suivants, et ce fut soudain la familière sensation de petite mort qui suit tous les abandons : cette débauche d’énergie, cette prise de risque insensée réduites à néant par la faute d’une pièce qui casse. Dure loi du sport automobile…

Pendant que le fidèle coéquipier rangeait ses notes, il sortit de l’auto, frissonna, enfila son blouson aux couleurs du sponsor, chercha fiévreusement dans la poche le paquet de Gitanes et le briquet. La première bouffée eut un goût amer.

Des spectateurs transis et compatissants proposèrent à l’équipage de le ramener vers l’assistance par des chemins de traverse.

Ballotté dans la voiture, Jean-Luc n’était pas encore revenu dans le monde du commun des mortels : il revoyait ce freinage sur une coulée d’eau, les roues privées de toute adhérence qui se bloquaient, entraînant inexorablement la Kadett vers un ravin que l’on devinait insondable dans le rideau de brouillard, le coup de frein à main dosé avec maestria qui avait transformé la trajectoire de perdition en une arabesque gracieuse…

Et puis, soudain, il sortit de ces souvenirs obsessionnels : les images hallucinées disparurent pour laisser place à celle de la petite fleur à la bouche pulpeuse…

Allons, pour une fois, l’abandon n’avait pas que du mauvais. Le numéro d’équilibriste était interrompu, mais un corps à corps fiévreux l’attendait.

Les généreux accompagnateurs, tout émoustillés d’avoir transporté Jean-Luc Clair en personne, le déposèrent à l’assistance après lui avoir demandé un autographe. Il abandonna son casque dans le fourgon, salua les mécaniciens, et se fit prêter une voiture. Rentrer, rentrer le plus vite possible à l’hôtel, et oublier les affres de l’abandon dans des étreintes riches de promesses.

Le trajet depuis le parc d’assistance se fit au rythme d’une épreuve spéciale. Le cœur battant, il pénétra dans le parking de l’hôtel…

Une voiture de course y était garée…

Un autre concurrent malheureux qui avait quitté l’épreuve prématurément…

Bon sang, mais ces couleurs, ce numéro de course barré d’une large croix d’adhésif noir…

Le mari de la petite fleur l’avait précédé dans l’abandon… et dans les bras de sa femme…

Jean-Luc, hébété, alluma une nouvelle Gitane, rêva un instant sur le perron, prit la clé de sa chambre et monta.

La nuit allait être difficile…

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Je participe avec Bruno alias Silhouette.

Comme nous ne sommes pas loin de Lyon, on ne couche pas avec vous ! :lol::lol::lol:

N'empêche que l'on aurait bien aimé sauté du côté du col des Enceints.

 

 

on est pas encore arrivé pour avoir le col des enceintes... :ange:a3quattros-line.gif.7ffd6c8fe71ce371da7cf7c262b824a7.gif

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Invité §pea357xU

 

On va s'en occuper !

Au fait tu viens en avion ?

 

L'avion, c'est cher et c'est pour les actifs !

Les retraités qui ont tout leur temps viennent généralement en pédalo ! :lol::lol:

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Je participe avec Bruno alias Silhouette.

Comme nous ne sommes pas loin de Lyon, on ne couche pas avec vous ! :lol::lol::lol:

N'empêche que l'on aurait bien aimé sauté du côté du col des Enceints.

 

 

 

Col des Enceints

 

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Quand on voit les traces de carter marquées sur le bitume, je me demande si c'est bien raisonnable de sauter aussi haut.

Je fais ça avec une Ritmo, je suis sûr que le pare-brise ne résiste pas à cette plaisanterie.

Vers chez moi, j'ai une bosse dans une courbe. La réception ne se fait pas en ligne et à chaque fois mon hayon s'ouvre.

 

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Invité §jps752hg

Bonne chance. :ange:

 

 

Gillou

c'est bien pour ça que je t'ai donné les coordonnées, des resiliations Bouygue dans 48 heures tu en auras

besoin.

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Invité §jps752hg

 

voilà la liste actuelle des participants ;) :

 

( en gras les reservations de logements déja effectuées )

 

 

A FOND LA PASSION….2

TRIUMPH ONLY……………………..2 tu fais payer pour son doudou???

AIME ………………………………….…2

SPEEDY……………………….2

NANO 184……………………1

NITRAM…………………….…2

GILOU………………………….2

ROSSO RACING ……………………….2 Je dors pas avec Rosso

PST…………………………….1

Wetzala ...................2

GT FIAT ……………………..3

BULL Z…………………….…..2

M3 DRIVER………………………………2

ANDREAS .................2

ERIC/HELENE…………………………...2

KAKO…………………………...2

J2H + Mam…………………..2

1 MEK …………………………..2

PATRICE 75……………………………...2

BRUNO BOUSCARY………….2

ASADO …...................2

HENRI TRAUTMANN ………………...1

RALLYDREAM .........................12

 

:lol::sol::sol:

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Je suis allé au bordel Breton l'autre soir.

Je suis tombé sur une fille géniale au tarif attrayant. Facile: 20 - 30 - 90€.

 

Haaa, c'était bien. Pour 20€, elle m'a enroulé la zigounette autour d'une crèpe bretonne. WouaAA! QUelle sensation de douceur, de moelleux.

 

Puis pour 30€, elle a nappé mon zob de Nutella. Sensation bizarre mais sympa.

 

Ensuite?

 

Ben ensuite, plus rien. J'ai demandé la surprise à 90€ mais j'ai pris mes trois jambes à mon cou quand je l'ai sortir le Calva et les allumettes! momo1928.gif.fdad9754f9d816c03bc8edf10a99d5e2.gif:lol:

 

 

 

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Invité §pas670fN

 

 

Quand on voit les traces de carter marquées sur le bitume, je me demande si c'est bien raisonnable de sauter aussi haut.

Je fais ça avec une Ritmo, je suis sûr que le pare-brise ne résiste pas à cette plaisanterie.

Vers chez moi, j'ai une bosse dans une courbe. La réception ne se fait pas en ligne et à chaque fois mon hayon s'ouvre.

 

 

De mémoire les ritmo surtout les 125 étaient des boites à sardines :D:D:D, on parle de Christion Oddos, il avait un navigateur qui était pilote aussi sur 125 abarth, Guy Fournand, (comme le Bob, il avait les 2 casquettes), la ritmo se découpait au pied de pare brise .... un sacré personnage...

 

Pascal

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Invité §le 686ZY

 

De mémoire les ritmo surtout les 125 étaient des boites à sardines :D:D:D, on parle de Christion Oddos, il avait un navigateur qui était pilote aussi sur 125 abarth, Guy Fournand, (comme le Bob, il avait les 2 casquettes), la ritmo se découpait au pied de pare brise .... un sacré personnage... Pascal

 

 

 

:lol::lol::lol: Mais bon cuistot ;)

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Invité §pea357xU

C'est qui, l'anguille qui reçoit son trophée ? :ange:

 

http://i47.servimg.com/u/f47/11/57/44/20/willia12.jpg

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De mémoire les ritmo surtout les 125 étaient des boites à sardines :D:D:D, on parle de Christion Oddos, il avait un navigateur qui était pilote aussi sur 125 abarth, Guy Fournand, (comme le Bob, il avait les 2 casquettes), la ritmo se découpait au pied de pare brise .... un sacré personnage...

 

Pascal

 

Tu veux dire que toutes mes Ritmo sont découpées au niveau du pare-brise ?

 

Bon alors je brade à regret mes Ritmo qui se découpent au niveau du pare-brise. J'écris ça en rigolant car effectivement les Ritmo n'ont pas les montants de pare-brise hyper costauds.

 

http://img825.imageshack.us/img825/580/im000022.jpg

 

http://img820.imageshack.us/img820/1420/im000026.jpg

 

 

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c'est marrant tous les verres sont jaunes, c'est bien la même famille :lol:

 

Ce doit être un défaut du capteur de l'APN :ange:

A propos…

Bientôt l'heure de l'apéro !

Gros téléchargement en cours, débit très moyen, le Mac dit : 1 heure 48 minutes restant.

 

Je sens que mon client va avoir une occasion de m'inviter à boire un coup, à moins que ce soit l'inverse ;)

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