[Présentation] Moteur J7R R21 Nevada GTX, une horloge. Le million de kms atteint

[Bernardo21]

La dernière image est meilleure.. A bientôt, quel souvenirs..

Je suis à 3150 mètres, c'est l'assaut final, , sur une aurtre planète!

[Bernardo21]

Pour ceux qui se demandent ce que font là ces images; je dirai simplement que les prochaines me montrent quand je suis sauvé, à demi asphyxié par les gaz du volcan où j'ai failli disparaître, lecture à faire dans les pages du 26/03/2012 et suivantes. Si je n'avais pas eu une "baraka" inouïe, je ne serais pas là à vous écrire, et je sais que ceux qui me connaissent, retrouveront, ou trouveront ces images avec émotion.

[etoile68]

impressionnant nous sommes peu de chose par rapport aux éléments

[Bernardo21]

Merci! tiens, il manque la photo de l'Etna "en approche", je la rajoute. Amitiés à tous.

[etoile68]

Amitiés a vous Bernardo21

[erwan254]

Salut bernardo

 

SYmpa les tofs

[Bernardo21]

Merci aux nouveaux: AR49 étoile 68, et à erwan254 pour les post sympa. Brave Nevada a dépassé 938 500. Bientôt diverses nouvelles, amitiés à tous.

[DawiDCI]

je viendrai un oeil et même in bras pour une Nevada RTI meme si le 2.0 12s est un peu moins fiable que le 8s.

[DawiDCI]

et surtout je me racheterai bien un pouce pour pouvoir écrire comme il faut :-) sans appuyer sur 3 touches en même temps.

[Invité §sal613IO]

Bernado je vous trouve épatant toi et ta Nevada. Un régal de te lire. Je suis tombé sur ces pages alors que je recherchais des infos sur la Nevada, réceptionnant dans quelques jours une 2 litres GTX bichonnée par son 1er et unique propriétaire jusque là. Certes son kilométrage est ridicule par rapport au tiens (à peine 120000km), mais j'espère qu'elle me conduira fidèlement en voyage, autant que la tienne peut le faire encore et toujours.

 

BRAVO!

[Bernardo21]

Bienvenue et merci, Dawi DCI et salade?verte. Une 2 litres GTX bichonnée, voilà qui présage de longs, paisibles et confortables kilomètres. Bravo d'avoir déniché cette pépite! Oui, le 12 soupapes est moins fiable que le 8 s. D'ailleurs, quel moteur est pus fiable que le J7r ? Amitiés à tous. :love:

[Bernardo21]

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] es/sol.gif Bon, les photos sont inversées par rapport à la chronologie des évènements..

Au jour J, nous stationnons le Master en plein soleil, dans une clairière, où pins et eucalyptus embaument l'air brûlant. Nous avons conscience des risques de vol, vandalisation.. même s'il est muni d'une alarme volumique. nous lui disons au-revoir, comme à un ami. https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/love.gif

Nos sacs à dos ne sont pas surchargés, mais nous avons quand même chacun 6 litres d'eau. Nous disons au revoir au Master. Nous nous y attachons déjà: il est agréable, ce fourgon, et je suis fou amoureux de sa "bouille". Dans la clairière, il y a quelques véhicule de paisibles randonneurs garés à l'ombre.

Nous traversons toujours des plantations de citronniers, orangers, amandiers, oliviers (une autre de mes passions, je suis"fou" de ces arbres). Ici, je rencontre les plus grands que j'ai jamais vus! Nous passons sur, et sous, diverses routes, prenons des chemins, des sentiers, marchons en bordure de champs de tomates, et cultures maraîchères. Soudain, la végétation change, la pente s'élève, nous sommes sur le volcan. Nous nous sommes habitués à entendre ses grondements, ce n'est pas fini! Nous devons maintenant approcher 1000 m. d'altitude. La mer, turquoise s' est éloignée. Déjà, l'eau de nos bouteilles se vide...parfois, minuscule, nous avons entrevu le Master dans sa clairière. Avec ma caméra Super-8, et son énorme zoom, pour l'époque, (il n' y avait pas + gros, Bolex-Paillard) je filme un peu. Ce film existe, même si, vous verrez + loin pourquoi, la fin est de qualité moins bonne. Les assidus du topic ne seront pas déçus, le jour où je mettrai quelques extraits.

Petit hommage à mon papa qui est en photo quelques pages + haut: J'ai beaucoup fait de camping avec lui. Dès notre tendre enfance, il nous avait donné une règle, que j'ai toujours observée, mes frères aussi: " comme l'Indien sur le sentier de la guerre, vous ne devez jamais rien laisser sur votre passage!". JAMAIS cette règle familiale et comme sacrée, n'a été enfreinte. J' ai failli y laisser la vie: un jour, je devais avoir 16 ans, à l'île de Ré, j'ai, par réflexe, traversé la route principale, courant après un papier sans importance: une voiture m' a évité de justesse, j'en frémis encore!

Et nous continons à monter à une allure régulière. Peu à peu, la végétation devient rare. La pente s'accentue, la clarté diminue, la température aussi: nous devons être vers 2000 m.. Il est temps de bivouaquer, mais où? Il n'y a personne. Dans le lointain la mer se pare de couleurs étranges. L'ombre de l'Etna va vite l'assombrir. Le temps presse.

La chance est avec nous: nous trouvons, au pied d'une paroi rocheuse, une faille horizontale. Elle fait environ 1,6 m; de profondeur et de long, se trouve à 1 m. du sol, et ne fait guère plus de 70 cm de haut, pleine d'aspérités. Nous prenons de maigres herbes, de la terre, pour les placer sous nos minces sacs de couchage et un peu égaliser le sol. Puis, avec des blocs de lave brune, volumineux, pas trop denses, nous réduisons l'entrée côté sud, pour mieux nous abriter, et ne pas tomber pendant le sommeil, faisant un peu comme un igloo. J'ai une photo, prise par mon cousin de notre "installation". Je j'ai déplacée il y a environ 1 an, je devrais la retrouver, j'aimerais la mettre sur le topic, même si, le lendemain, l'appareil s' étant ouvert en tombant, a un peu pris le jour: https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/ange.gif c'est un VRAI document d'époque. Et dire que maintenant avec le numérique, on fait de milliers de photos pour quasiment rein!

 

Sur le Net, en faisant ETNA volcan, vous allez trouver des tas de photos (qui ne sont pas les miennes), mais décrivent bien les paysages dont je vais parler)

 

Après nous être restaurés, dodo. Il fait nuit. Pas facile de nous tasser dans notre "igloo", mais nous y arrivons. Nous sommes assez vite endormis. Je dis assez, car c'est peu confortable, étroit, inégal de sol. Le froid nous réveille vers 4 h du matin. Nos sentons le volcan trembler sous nous. Même si, normalement, nous ne sommes pas dans la zone de chute des bombes volcaniques, notre toît épais nous sécurise. Nous sommeillons un peu, puis nous nous levons avec le soleil qui pointe: le spectacle est sublime de couleur. Merci à notre "camping-gaz", qui nous réchauffe un café délicieux. nous faisons un peu de marche sur la portion horizontale pour nous dégourdir, car les choses deviennent sérieuses. Tiens, avoir revécu ça en l'écrivant m'a autant épuisé que l'ascension. Amitiés à tous, ,à suivre.https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/love.gif

 

;) Les images promises, mais il en manque, sont publiées le 22/09/2015.

[Bernardo21]

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] es/sol.gif Bon, les photos sont inversées par rapport à la chronologie des évènements..

Au jour J, nous stationnons le Master en plein soleil, dans une clairière, où pins et eucalyptus embaument l'air brûlant. Nous avons conscience des risques de vol, vandalisation.. même s'il est muni d'une alarme volumique. nous lui disons au-revoir, comme à un ami. https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/love.gif

Nos sacs à dos ne sont pas surchargés, mais nous avons quand même chacun 6 litres d'eau. Nous disons au revoir au Master. Nous nous y attachons déjà: il est agréable, ce fourgon, et je suis fou amoureux de sa "bouille". Dans la clairière, il y a quelques véhicule de paisibles randonneurs garés à l'ombre.

Nous traversons toujours des plantations de citronniers, orangers, amandiers, oliviers (une autre de mes passions, je suis"fou" de ces arbres). Ici, je rencontre les plus grands que j'ai jamais vus! Nous passons sur, et sous, diverses routes, prenons des chemins, des sentiers, marchons en bordure de champs de tomates, et cultures maraîchères. Soudain, la végétation change, la pente s'élève, nous sommes sur le volcan. Nous nous sommes habitués à entendre ses grondements, ce n'est pas fini! Nous devons maintenant approcher 1000 m. d'altitude. La mer, turquoise s' est éloignée. Déjà, l'eau de nos bouteilles se vide...parfois, minuscule, nous avons entrevu le Master dans sa clairière. Avec ma caméra Super-8, et son énorme zoom, pour l'époque, (il n' y avait pas + gros, Bolex-Paillard) je filme un peu. Ce film existe, même si, vous verrez + loin pourquoi, la fin est de qualité moins bonne. Les assidus du topic ne seront pas déçus, le jour où je mettrai quelques extraits.

Petit hommage à mon papa qui est en photo quelques pages + haut: J'ai beaucoup fait de camping avec lui. Dès notre tendre enfance, il nous avait donné une règle, que j'ai toujours observée, mes frères aussi: " comme l'Indien sur le sentier de la guerre, vous ne devez jamais rien laisser sur votre passage!". JAMAIS cette règle familiale et comme sacrée, n'a été enfreinte. J' ai failli y laisser la vie: un jour, je devais avoir 16 ans, à l'île de Ré, j'ai, par réflexe, traversé la route principale, courant après un papier sans importance: une voiture m' a évité de justesse, j'en frémis encore!

Et nous continons à monter à une allure régulière. Peu à peu, la végétation devient rare. La pente s'accentue, la clarté diminue, la température aussi: nous devons être vers 2000 m.. Il est temps de bivouaquer, mais où? Il n'y a personne. Dans le lointain la mer se pare de couleurs étranges. L'ombre de l'Etna va vite l'assombrir. Le temps presse.

La chance est avec nous: nous trouvons, au pied d'une paroi rocheuse, une faille horizontale. Elle fait environ 1,6 m; de profondeur et de long, se trouve à 1 m. du sol, et ne fait guère plus de 70 cm de haut, pleine d'aspérités. Nous prenons de maigres herbes, de la terre, pour les placer sous nos minces sacs de couchage et un peu égaliser le sol. Puis, avec des blocs de lave brune, volumineux, pas trop denses, nous réduisons l'entrée côté sud, pour mieux nous abriter, et ne pas tomber pendant le sommeil, faisant un peu comme un igloo. J'ai une photo, prise par mon cousin de notre "installation". Je j'ai déplacée il y a environ 1 an, je devrais la retrouver, j'aimerais la mettre sur le topic, même si, le lendemain, l'appareil s' étant ouvert en tombant, a un peu pris le jour: https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/ange.gif c'est un VRAI document d'époque. Et dire que maintenant avec le numérique, on fait de milliers de photos pour quasiment rein!

 

Sur le Net, en faisant ETNA volcan, vous allez trouver des tas de photos (qui ne sont pas les miennes), mais décrivent bien les paysages dont je vais parler)

 

Après nous être restaurés, dodo. Il fait nuit. Pas facile de nous tasser dans notre "igloo", mais nous y arrivons. Nous sommes assez vite endormis. Je dis assez, car c'est peu confortable, étroit, inégal de sol. Le froid nous réveille vers 4 h du matin. Nos sentons le volcan trembler sous nous. Même si, normalement, nous ne sommes pas dans la zone de chute des bombes volcaniques, notre toît épais nous sécurise. Nous sommeillons un peu, puis nous nous levons avec le soleil qui pointe: le spectacle est sublime de couleur. Merci à notre "camping-gaz", qui nous réchauffe un café délicieux. nous faisons un peu de marche sur la portion horizontale pour nous dégourdir, car les choses deviennent sérieuses. Tiens, avoir revécu ça en l'écrivant m'a autant épuisé que l'ascension. Amitiés à tous, ,à suivre.https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/love.gif

;) Les photos promises, mais il y en aura d(autres, sont publiées le 22/09/2015.

[Bernardo21]

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] es/sol.gif Bon, les photos sont inversées par rapport à la chronologie des évènements..

Au jour J, nous stationnons le Master en plein soleil, dans une clairière, où pins et eucalyptus embaument l'air brûlant. Nous avons conscience des risques de vol, vandalisation.. même s'il est muni d'une alarme volumique. nous lui disons au-revoir, comme à un ami. https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/love.gif

Nos sacs à dos ne sont pas surchargés, mais nous avons quand même chacun 6 litres d'eau. Nous disons au revoir au Master. Nous nous y attachons déjà: il est agréable, ce fourgon, et je suis fou amoureux de sa "bouille". Dans la clairière, il y a quelques véhicule de paisibles randonneurs garés à l'ombre.

Nous traversons toujours des plantations de citronniers, orangers, amandiers, oliviers (une autre de mes passions, je suis"fou" de ces arbres). Ici, je rencontre les plus grands que j'ai jamais vus! Nous passons sur, et sous, diverses routes, prenons des chemins, des sentiers, marchons en bordure de champs de tomates, et cultures maraîchères. Soudain, la végétation change, la pente s'élève, nous sommes sur le volcan. Nous nous sommes habitués à entendre ses grondements, ce n'est pas fini! Nous devons maintenant approcher 1000 m. d'altitude. La mer, turquoise s' est éloignée. Déjà, l'eau de nos bouteilles se vide...parfois, minuscule, nous avons entrevu le Master dans sa clairière. Avec ma caméra Super-8, et son énorme zoom, pour l'époque, (il n' y avait pas + gros, Bolex-Paillard) je filme un peu. Ce film existe, même si, vous verrez + loin pourquoi, la fin est de qualité moins bonne. Les assidus du topic ne seront pas déçus, le jour où je mettrai quelques extraits.

Petit hommage à mon papa qui est en photo quelques pages + haut: J'ai beaucoup fait de camping avec lui. Dès notre tendre enfance, il nous avait donné une règle, que j'ai toujours observée, mes frères aussi: " comme l'Indien sur le sentier de la guerre, vous ne devez jamais rien laisser sur votre passage!". JAMAIS cette règle familiale et comme sacrée, n'a été enfreinte. J' ai failli y laisser la vie: un jour, je devais avoir 16 ans, à l'île de Ré, j'ai, par réflexe, traversé la route principale, courant après un papier sans importance: une voiture m' a évité de justesse, j'en frémis encore!

Et nous continons à monter à une allure régulière. Peu à peu, la végétation devient rare. La pente s'accentue, la clarté diminue, la température aussi: nous devons être vers 2000 m.. Il est temps de bivouaquer, mais où? Il n'y a personne. Dans le lointain la mer se pare de couleurs étranges. L'ombre de l'Etna va vite l'assombrir. Le temps presse.

La chance est avec nous: nous trouvons, au pied d'une paroi rocheuse, une faille horizontale. Elle fait environ 1,6 m; de profondeur et de long, se trouve à 1 m. du sol, et ne fait guère plus de 70 cm de haut, pleine d'aspérités. Nous prenons de maigres herbes, de la terre, pour les placer sous nos minces sacs de couchage et un peu égaliser le sol. Puis, avec des blocs de lave brune, volumineux, pas trop denses, nous réduisons l'entrée côté sud, pour mieux nous abriter, et ne pas tomber pendant le sommeil, faisant un peu comme un igloo. J'ai une photo, prise par mon cousin de notre "installation". Je j'ai déplacée il y a environ 1 an, je devrais la retrouver, j'aimerais la mettre sur le topic, même si, le lendemain, l'appareil s' étant ouvert en tombant, a un peu pris le jour: https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/ange.gif c'est un VRAI document d'époque. Et dire que maintenant avec le numérique, on fait de milliers de photos pour quasiment rein!

 

Sur le Net, en faisant ETNA volcan, vous allez trouver des tas de photos (qui ne sont pas les miennes), mais décrivent bien les paysages dont je vais parler)

 

Après nous être restaurés, dodo. Il fait nuit. Pas facile de nous tasser dans notre "igloo", mais nous y arrivons. Nous sommes assez vite endormis. Je dis assez, car c'est peu confortable, étroit, inégal de sol. Le froid nous réveille vers 4 h du matin. Nos sentons le volcan trembler sous nous. Même si, normalement, nous ne sommes pas dans la zone de chute des bombes volcaniques, notre toît épais nous sécurise. Nous sommeillons un peu, puis nous nous levons avec le soleil qui pointe: le spectacle est sublime de couleur. Merci à notre "camping-gaz", qui nous réchauffe un café délicieux. nous faisons un peu de marche sur la portion horizontale pour nous dégourdir, car les choses deviennent sérieuses. Tiens, avoir revécu ça en l'écrivant m'a autant épuisé que l'ascension. Amitiés à tous, ,à suivre.https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/i [...] s/love.gif

;) ;) Quelques images

:love: promises, voir à la date du22/09/2015..

[Invité §fre248bO]

j'adore tes récits

[Bernardo21]

Merci, fidèle fredo 53, sauf qu'en voulant trop bien faire, on retrouve 3 fois la même page, ayant bêtement cliqué 3 fois !

 

;) J'ouvrais mon ordi, car j'ai un scoop: Je viens de retrouver le film double-huit dont je parle dans l'épisode: "Il faut sauver la R-12 et se sauver", publiée les 03 et 04/01/2012. Il me faudra quelques jours pour le poster, en espérant que la lampe du projecteur ne claquera pas, ce qui est fréquent après une longue période sans avoir servi. A bientôt donc: normalement, en+ des images, il y aura un film sur Dailymotion. A bientôt, amitiés à tous .

[314116]

Salut tout le monde!

Un bail que je n'étais pas passé ici, je redécouvre encore un tas d'histoires intéressantes, merci

 

Pour ma part je roule toujours avec le coupé, bientôt 160 000 kilomètres, acheté à 125 000, toujours pas pépins. Pourvu que ça dure! Je passe mon temps à pester sur les ralentisseurs et autres chicanes qui poussent un peu partout (je trouve que ça s'est vraiment accéléré). Maintenant chez moi le moindre petit bled en est pourvu, c'est insupportable. Je me rapelle avec nostalgie quand en rentrant à 3h du matin je traversais les bleds à 50 en 4ème (voir 5ème selon la voiture), c'était fluide, silencieux et peu polluant. Maintenant je dois rentrer ma 2ème plusieurs fois, quasi m'arrêter en raison de ma garde au sol faiblarde. C'est nul.

Du coup quand mon moteur est chaud, certains habitants des bleds ont du s'habituer à entendre le V6 français grogner étant donné que j'en ressors toujours le plus vite possible.

 

C'est bien simple, j'en arrive à préférer rouler avec ma Visa qui accuse nettement moins ces ralentisseurs

Mais bon, que faire quand on voit le comportement de certains conducteurs? J'ai vu des BMW ou A3 traverser ces bleds à plus de 100 km/h la nuit. Il y'a quand même des habitations autour, pour moi c'est inconscient.

 

D'ailleurs si je peux me permettre une petite anecdote sympathique sur ces aménagements. Au début de cet été j'ai "convoyé" une clio 1, rouge, 1.4 carburateur. Je rentre le trajet sur internet, 350 kms. La journée est belle, c'est le début de mes vacances. Les autoroutes sont chargées et j'ai tout mon temps, je décide de la monter par les départementales. D'autant plus que la voiture était très agréable à conduire sur les petites routes.

Ça roulait très bien. A un moment je traverse une ville moyenne. La route est a double sens mais comporte 5 ou 6 chicanes qui empêche les gens de se croiser. Elles ne sont pas toujours du même côté. Ma file s'arrête net. Je jette un coup d'oeil dans mon rétro, la 2ème voiture derrière moi est bloquée en sens inverse au milieu de la chicane.

Rapidement, une voiture arrive en sens inverse, elle est bloquée par la voiture bloquée au milieu de la chicane qui ne peut pas reculer car bloquée par toute une file.

Puis bien évidemment ça devait arriver, un bouche se forme dans l'autre sens et la file d'en face se retrouve bloquée dans sa chicane à elle

15 minutes pour faire 500m, bravo mr les élus Et comme ça ça pollue pas en plus tous ces moteurs qui tournent au ralenti.

[DawiDCI]

toutes la serie des moteurs Douvrin "type J" que ce soit le J7, J6 ou le J8 ... c'est du très bien conçu. si Renault avait gardé cette base pour les Dci je reste persuadé qu il y aurait eu moins de soucis qu'avec les "F"

[314116]

toutes la serie des moteurs Douvrin "type J" que ce soit le J7, J6 ou le J8 ... c'est du très bien conçu. si Renault avait gardé cette base pour les Dci je reste persuadé qu il y aurait eu moins de soucis qu'avec les "F"

 

 

Honnêtement je n'en suis pas si sur, c'est surtout le turbo qui posait des soucis sur les DCI 120, il s'emballait et cassait tout

A part le 3.0 dci 180 qui souffre d'une conception hasardeuse, un soucis dans le matériau utilisé pour les chemises des piston je crois, un membre d'ici pourra en dire plus.

 

On parle souvent de Renault mais on oublie que le début des turbo diesels "modernes", ça quand même connu des soucis. Les BMW 320d en 150ch, les turbos pétaient comme des petits pains. Chez VW, les tdi 115 avaient de gros soucis d'injecteurs et débitmètre, puis le tdi 140 à eu de gros soucis de culasse.

Au final Peugeot semble être le constructeur qui a le mieux effectué la transition, même si j'ai déjà vu des 406 hdi s'emballer. Dommage qu'ils grévés toute leur fiabilité quand ils rajouté le FAP sur le 2.2 hdi

Les premiers tdi sans injecteurs pompes (tdi 90 et 110) sont fiables en revanche, et ils font nettement moins agricoles que les suivant niveau bruit.

 

A noter aussi que mon père a acheté une Rover 75 neuve à l'époque en diesel, avec un moteur de BMW 320d dégonflé, turbo différent nottament. Elle a aujourd'hui 330 000, et toujours aucun problème survenu au niveau du moteur. Preuve qu'un même bloc peut être solide (rover) comme fragile (sur la BM) en fonction de comment on l'implante et ses accessoires périphériques.

En revanche pour avoir conduit les 2, la Rover est très paisible dans ses relances, alors que la BMW est franchement vive et pousse fort pour 150ch, on dirait qu'elle en a plus de disponible. Il faut savoir qu'elle approche on veut.

 

Un peu comme une BMW 525tds, c'est sans histoires. Le même moteur dans le Range Rover, c'est tout le temps en panne

[DawiDCI]

Remarque c'est vrai que sa c'est amélioré avec le temps, mon 1er scenic II dci 120 du 04/2003 en etait a son 3ème turbo et bouffait plus d'huile que de carburant et la mon second du 03/2006 tout est d'origine même le turbo et il bouffe pas un pet d'huile donc oui c'est bien un soucis de conception a la base.

 

Apres il faut dire que les moteur de serie J ne sont pas des moteurs made in renault mais fabriqué par la Francaise de mécanique pour le compte de Renault et Peugeot qui eux les ont montés en 2l carbu seulement.

[DawiDCI]

 

Honnêtement je n'en suis pas si sur, c'est surtout le turbo qui posait des soucis sur les DCI 120, il s'emballait et cassait tout

A part le 3.0 dci 180 qui souffre d'une conception hasardeuse, un soucis dans le matériau utilisé pour les chemises des piston je crois, un membre d'ici pourra en dire plus.

 

 

Le soucis du 1.9 dci 120 ne venait pas du turbo en lui même mais c est que les premiers f9q800, le turbo etait installé trop haut, il supportait mal les vibrations moteur et de plus le couple moteur arrivant trop bas dans les tours sa n'aidait pas ils ont revu la copie sur les f9q812 surtout sur les dernières version fin 2005.

[pierregdlj]

 

Le soucis du 1.9 dci 120 ne venait pas du turbo en lui même mais c est que les premiers f9q800, le turbo etait installé trop haut, il supportait mal les vibrations moteur et de plus le couple moteur arrivant trop bas dans les tours sa n'aidait pas ils ont revu la copie sur les f9q812 surtout sur les dernières version fin 2005.

 

Sans compter les coussinets de bielles, les injecteurs, les vannes EGR, les pompes HP, etc...

"Heureusement" à cette époque il n'y avait pas de FAP.

[etoile68]

:lol: :lol: :lol:

[DawiDCI]

sa malheureusement les vannes et pompe HP c'est la maladie commune a tous les diesels de cette periode et pour l'EGR c'est une histoire sans fin

[DawiDCI]

et avant qu'un diesel moderne arrive atteindre le kilométrage de Bernardo...

[etoile68]

c'est claire il y a de l'eau qui va passer sous les ponts

[DawiDCI]

quant je pense a l'epoque ou j'avait que des R21 je me suis fait bannir du forum renault21.fr pour mes prise de position pour l'essence (un peu extrémistes sur les bords) et la j'achète un mazout et paf c'est la galère pour les dieseleux.... les mecs c'est de ma faute je crois....... aïe pas sur la tête..... aïe pas sur la tête

[pierregdlj]

sa malheureusement les vannes et pompe HP c'est la maladie commune a tous les diesels de cette periode et pour l'EGR c'est une histoire sans fin

Pour l'EGR, ce n'est pas si terrible en fait.

Sur ma Logan 1.5dci, je la démonte tous les 40000 environ, voir même moins, et je la nettoie à l'essence.

Démontage : 10 minutes

Nettoyage : 10 minutes

Remontage : 10 minutes

Elle est d'origine, propre et parfaitement fonctionnelle à 175000km.

 

et avant qu'un diesel moderne arrive atteindre le kilométrage de Bernardo...

En fait, il pourrait, mais ça coûterait cher en pièces, et horriblement cher en main-d'oeuvre, puisque les moteurs modernes sont conçus pour devenir économiquement irréparables au premier gros souci. Ils sont d'ailleurs "sans entretien", ou presque.

Quand BMW dit à ses clients que la boite de vitesse automatique est lubrifiée à vie, et que les boites pètent les unes après les autres avant 200000, tout le monde trouve ça normal...

Et plutôt que de vidanger les boites ou au pire les réparer, ils les changent complètement, ça ne coûte "que" quelques milliers d'€...

Chez Renault c'est pareil, sauf qu'à 200000 les voitures cotent moins cher que le prix de la BVA, donc poubelle.

 

EDIT : Lisez ce topic : Autopsie bas moteur 1.5 DCI 105 Clio III / Megane / Sénic

Et regardez bien la photo comparative entre un chapeau de bielle de 1.5 dci 105 et celui d'un moteur TU 1.4 essence de ZX...

Sachant qu'il y a plus du double de couple sur le dci que sur le 1.4 essence !!!

[etoile68]

pierregdlj pour les nettoyages de la vanne erg moi je la nettoie au DW40

[pierregdlj]

pierregdlj pour les nettoyages de la vanne erg moi je la nettoie au DW40

 

Vu le prix du WD40, prends plutôt de l'essence ou du white spirit, ça nettoie aussi bien et pour bien moins cher...

[etoile68]

:jap:

[Bernardo21]

Merci des vos excellents post, les amis: entre autres, je suis allé sur le topic préconisé par pierregdlj concernant le moteur 1,5 DGI: merci ne nous l'avoir fait connaître, c'est aussi édifiant que consternant !

Je trouve curieux que le même pierregdlj se soit fait bannir d'un topic pour ses positions sur l'essence! A mon tour, cela pourrait m'arriver, je reste donc humble avec brave Nevada qui aura 940 000 sans quelques kilomètres. C'est aussi vrai et regrettable que les moteurs "modernes" soient conçus pour être "économiquement irréparables" !

Je vais reparler de l'épisode posté les 3 et 4/01/2012: 'Il faut sauver la R-12 et se sauver". Posts suivants.

[Bernardo21]

"ANECDOTE: IL FAUT SAUVER LA R-12, PUIS ESSAYER DE NOUS SAUVER" :D

Comme je l'écrivais un peu plus haut, il y a eu des années où, en + du boulot, ZERO jour d'arrêt de travail,ce qui peut déranger, en les priant de m'excuser, ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir la santé que j'ai eue, au moins jusqu'à récemment.

Avec 3 amis, Christian, son frère Philippe et Michel, nous "faussons compagnie" à nos familles et autres personnes, pour presque toute la durée des congés de Noël 79. Nous partons à AUTRANS, Isère, que nous connaissons bien. La R-12 est bien chargée et plie sous le poids, mais reste tonique et stable, la vaillante "bête".: 4 paires de ski de fond, 1 de descente, 2 vélos de compétition, car nous faisions aussi quelques courses, +nous 4 + bagages..La galerie nous aidait bien. et 480 KM à faire, à l'époque, peu d'autoroutes.

A l'approche des montagnes, toujours une pluie tenace. Puis, peu à peu, le vent tourne au Nord, et nous arrivons à Autrans en pleine tempête de neige. Au réveil, c'est magique: grand soleil, il est tombé environ 80 cm de neige fraîche! Un froid vif s'installe, il ne neigera plus du séjour.. enfin..presque!!

Nous partageons, quel hasard, pendant 1 semaine, le sympathique petit hôtel restaurant que nous connaissons bien, avec l'équipe féminine de France de ski de descente. Il y a là Perrine PELEN, Caroline ATTIA (voir palmarès sur le NET), et les autres, avec leurs entraîneurs. Là je pars en HS complet, ayant écrit,(pas sur le NET) beaucoup sur le sujet ski de fond et ce séjour. Pour ne citer qu'une anecdote, elle sera liée à la R-12.

Malgré un froid vif, -15 à -20° la nuit, chère R-12, (pas d'injection à l'époque), partait toujours au quart de tour: quelques coups de "champignon", stater demi-tiré, contact... VROOM! A côté, on entendait les "ouac!ouac, ouaaac, toc", des démarreurs rétifs et autres batteries HS. Un jour, un de 4x4 (rares à l'époque, mais l'équipe de France avait les moyens), aucun véhicule ne démarre. Je me propose de faire le"taxi", et en quelque allers-retours, je conduis ce beau monde au pied des pistes de fond (2km) que nous avions déjà fréquentées ensemble, mais là, c'est une autre histoire.: forcément, des liens s'étaient créés. Il faut savoir que les skieuses de descente, faisaient ce séjour de fond, pour améliorer leur endurance, et "souder le groupe", dans lequel, à certains moments, elles nous avaient demandé de nous joindre.

Notre séjour fut génial: entre nous, jamais de contrariétés: notre pratique sportive commune longue et assidue nous avais soudés. Parfois, je faisais du vélo avec Philippe,(montée de Grenoble à Villard de Lans) du ski de descente, que ne pratiquaient pas encore mes amis.

La veille de notre départ, l'après-midi, nous nous rendons vers les pistes dites "du tunnel du Mortier", que nous aimons bien. Le soleil est parti, il fait gris, mais encore très froid. En dessous, les nuages qui recouvrent la vallée de Grenoble, montent peu à peu. Tout est gris..sale, sans doute la pollution qui remonte! Chemin faisant; il se met à tomber du verglas. Jamais, même les Anciens du pays n'avaient vu ça! Nous croyons halluciner!

Chaque goutte d'eau qui tombe, se tranforme instantanément en glace, surtout côté Nord. Très vite, une couche de glace de 1, 3, 3,4 cm, couvre les murs, fait plier les arbres, frênes, sapins, aulnes bouleaux.. Certains cassent, la route devient "critique", et il faut gagner un parking pour tenter de nous mettre en meilleure posture. Nous parlons doucement, progressons quand-même, mais chère R-12 n'a pas de pneus spéciaux..j'ai"un oeuf sous le pied, silence à bord..

Les rares personnes que nous croisons sont plutôt à quatre pattes. Personne ne roule. Enfin nous arrivons au parking dit "du bas"..complet. En légère courbe sur la gauche; la route s'élargit, et donne accès à un autre parking, environ 150 m. plus haut.

En fait, il n'y a pas de route/parking: c'est une étendue de neige dure et gelée, que recouvre ce verglas infernal qui vitrifie tout. Nous allons tenter de gagner le parking du haut.. sur notre élan.. relatif. A notre droite, ce n'est pas un vrai ravin, certes, mais rien ne sépare la "route"; d'un pli de terrain, assez pentu, accidenté, dépourvu de toute végétation ou rocher. Il se prolonge par une étendue glacée, où circule un ruisseau gelé bordé d'aulnes. Si la voiture glisse, rien ne nous arrêtera, et nous irons nous fracasser contre les aulnes!

A peine entamés les premiers mêtres de montée, je dis calmement:

"Les gars, il faut sauver la R-12 et nous sauver. Dès que je ne pourrai plus tenir la voiture qui va patiner, Philippe, tu prend la corde qui est sous ton coude droit (entre siège et nervure bas de caisse), et l'Opinel qui est dessous pour piquer la glace. Tu l'accroches au pare-chocs, et tu rampes pour l'attacher aux hêtres à gauche, puis Christian et Michel, éjectez-vous, en tentant de bloquer les roues arrière sous vos pieds, et de vous caler avec vos bâtons de ski. Chaque seconde compte..

Pas question de finir au parking du dessus qui est plat, il manquera 50 mètres. Les roues commencent à patiner, en 2ème, délicatement, je parviens à maintenir la R-12 presque immobile, glissant légèrement vers le "ravin". Philippe a toutes les peines du monde à progresser, se tient à la R-12 pour attacher la corde au pare-chocs. L'opinel piqué par petits coups dans la glace lui permet, non seulement de ne pas partir dans la pente, mais de se rapprocher de la haie de hêtres. Je sens sous les roues AR Christian et Michel, qui parviennent un peu à stabiliser la voiture. Tout va très vite: je coupe le moteur, saute, la massette posée côté du siège (une habitude de géologue amateur passionné!) tapant la glace pour tenter de progresser. Incroyable, jamais je n'ai vu, ni n'ai revu depuis, glace aussi glissante!

La R-12 recule nettement puis se bloque. Philippe a réussi! La corde 20 mètres) est tendue comme une de guitare. Christian, Michel et moi-même, tenant la corde (merci nos gants de ski, toujours à la ceinture), rejoignons Philippe. Certes, la corde est en travers de la route, la R-12 au bout, mais personne ne circule..A suivre, peu relu.

 

 

[Bernardo21]

Quelque explication: je vais publier deux croquis pour tenter d'être plus clair. Ensuite ,des photos capturées sur reproduction du film double-8 couleur reproduites par film au camescope sur écran. Sur le film qui sera sur Daylimotion:

- On entend le bruit du projecteur.

- Chronologiquement, c'est la 2ème partie qui est la première! En effet, ces films, de février 1979, il fallait les retourner une fois arrivé à la moitié, 2 minutes 15, dans le plus possible d'obscurité. Là, j'ai fait un choix; arrivé à la fin du film, n'ayant pas de film vierge, et malgré l'urgence de la situation, j'ai choisi d'avoir quand' même des images, me cachant de la lumière sous une couverture, à tâtons pour retourner le film , sachant qu'elles seraient en surimpression sur la première partie du film, partie bien claire car tournée sur la neige, mais bon.. Je demande votre indulgence, vous demandant de vous concentrer sur la partie où l'on voit la R-12. Bien sûr, la partie où on attache pour la 1ère fois la R-12 aux arbres n'est pas filmée, l'urgence était de l'arrimer solidement. Puis, tandis que nous cherchions comment faire, craignant de voir des voitures redescendre du parking sur la route barrée par la corde, alors que le parking, invisible, était désert, j'ai réussi à filmer quand' même. Les images ne donnent pas idée de la raideur de la pente, de la profondeur du ravin, et de l'incroyable épaisseur du verglas.

[Invité §Tom583bI]

Le compteur continue de tourner... En parlant de vidéo, ça fait longtemps que tu nous en a pas fait de ta voiture!

 

C'est dingue de voir comment des voitures présentant à première vu des histoires similaires peuvent être usées de manière différentes... Hier j'ai bricolé avec des amis sur une 2LT de fin 87, ex première main rachetée à une personne âgée qui semblait aimer sa voiture, elle a autours de 150000km seulement mais sur certains points il y a de grosses différences avec la mienne qui même si elle a un passé proche, totalise quand même 80000km de plus!

 

Le moteur et le turbo ont déjà étés remplacés en échange standard, le tout a 20000km et pourtant le moteur est plus gras que le miens (que je nettoie jamais...) et au ralentis j'ai trouvé qu'il tournait moins bien.

 

La caisse est vraiment très saine hormis les 2 feuillures de bas de caisse (la mienne est moins saine au niveau des longerons et passages de roue, mais à cet endroit c'est quasi intact) sans doute à cause de levages hasardeux que n'a pas subit la mienne.

 

Il l'a acheté il y a moins d'un mois alors qu'elle sortait de quelques années d'arrêt au chaud, comme la mienne, mais en moins d'une semaine il a eu le droit à la tringle du levier par terre (les caches rotules ont lachés), à un ventilos grippé, un autre grillé, ce qui a engendré la rupture du radiateur de chauffage... le voilà bon pour un dégarnissage et un nettoyage complet de l'habitacle. :/

La pompe à eau électrique du turbo présente elle aussi des signes de faiblesse...

 

Les caches rotules ont étés remplacés mais il subsiste un jeu énorme dans son levier. Sur la mienne j'avais remplacé tout le kit de silentbloc préventivement, à 220000km à l'époque l'usure était au final très faible...

 

C'est chiant d'avoir tant de souci en si peu de temps avec sa voiture, après tu n'a plus confiance surtout avec une auto de cet age. Avec la mienne je suis vraiment serin, hier elle s'est encore tapée une heure dans paris intra-muros et sur le périf à moitié bouché, j'ai totale confiance en elle et comme d'hab elle ne m'a pas déçue...

 

Et même si elle venait à avoir un souci un de ces quatre, je me dirais pas "rooooh encore une couille j'en ai marre!" Non car ça serait sa PREMIÈRE panne en quasi 27ans et 240000km

 

quant je pense a l'epoque ou j'avait que des R21 je me suis fait bannir du forum renault21.fr pour mes prise de position pour l'essence (un peu extrémistes sur les bords) et la j'achète un mazout et paf c'est la galère pour les dieseleux.... les mecs c'est de ma faute je crois....... aïe pas sur la tête..... aïe pas sur la tête

Arf je crois que je me souviens de ce cas... Des barres

Si je ne m'abuse tu avais sorti un truc du genre que les 21 mazout méritaient de finir brulées ou un truc du genre... Et t'as pas dutout étés viré à cause de ça, mais à cause du clash qui en a découlé Surtout que dans le style forum ouvert et pas sectaire, pour être dessus depuis 2008... Bref.

 

Et maintenant tu portes un DCI sur ton pseudo... énorme

 

Je dis ça, mais plus anti mazout que moi tu crève, pour preuve je préfère me trimballer en Picasso essence qui peut taper 14L/100 quand je suis énervé, qu'en scénic DCI. Mais ça n'empêche pas qu'il faut rendre à César ce qui est à César, les mazout de cette époque comme les XUD ou les J8S sont costauds et peu difficiles en entretien ainsi qu'en carburant en plus d'être frugales.

 

Désolé pour ce petit HS Berdardo