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Range Rover

Les essais et avis des journalistes sur l'EVOQUE ED4


Invité §nic834Wm

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Invité §nic834Wm

Salut à tous,

 

Avec la sortie prochaine de l'Evoque dans sa version 2WD, de plus en plus d'essais sont dispos dans la presse précialisée et sur internet. Je vous propose de les centraliser ici.

 

Je vous avoue que je suis plutôt etonné des avis très favorables qui ressortent sur cette version "Low Cost" :D ! Compte tenu de l'image de marque de Land Rover, je m'attendait à un accueil moins chaleureux de la part des journaleux !

 

Voici donc le 1er essai trouvé sur le Web: http://www.autodeclics.com/land_rover/essai/38243-essai_range_rover_evoque_ed4_2_roues_motrices.html

 

Vu sur autodeclics.com

 

Essai Range Rover Evoque eD4 2RM : Loin d'un Range au rabaisLe Range Rover Evoque se vend bien, et se vend cher : 50 000 euros en moyenne en France. Ses acheteurs ne regardent pas à la dépense mais ils auraient tord de bouder sa version 2 roues motrices, plus économe et sobre, et à peine moins capable face aux difficultés.

 

Les petits modèles coup de cœur, certains constructeurs en ont fait leur spécialité. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Land Rover est sur le point de les rejoindre. Peu de monde aurait parié que cette marque réputée pour ses franchisseurs invétérés et ses luxueux tout-terrains trouverait aussi facilement la formule. Et pourtant : porté par son style ravageur, l'Evoque est un succès. Il a déjà séduit 40 000 personnes à travers le monde dont 3 700 en France. Et parmi ces derniers, 80 % de nouveaux clients Land Rover. La nouvelle coqueluche anglaise a vite trouvé sa clientèle et ne cannibalise pas – ou peu – les ventes du Freelander, qui l'a vu arriver d'un œil inquiet.

 

L'an passé, ce dernier fut le premier Land Rover à sacrifier 2 de ses 4 roues motrices sur l'autel de la chasse au CO2 et de l'élargissement de sa clientèle. Une révolution de palais qui se poursuit tout naturellement avec l'Evoque, modèle le plus typé ''ville'' du constructeur.

 

 

Moins de poids, moins de CO2

 

Version d'entrée de gamme, l'eD4 s'équipe exclusivement du 2.2 diesel de 150 ch (la version SD4 de 190 ch n'est pas concernée) et d'une boîte mécanique à 6 rapports. Il avance par rapport à son homologue à traction intégrale un gain de poids de 75 kg (1 595 kg) qui, combiné au travail porté sur l'injection du 4 cylindres (réduction du débit d'alimentation) et à l'apport du stop/start livré de série, lui permet de réduire ses rejets de C02 de quelque 20 g/km.

De fait avec seulement 129 g/km en version ''Coupé'' (133 g pour le 5 portes), ce mini Range Rover descend au niveau d'une Golf SW TDI 140 ch et se maintiendra en zone neutre en 2012, évitant le malus de 200 euros – surtout psychologique à ce niveau de gamme – de la version 4x4.

 

En pratique, cette transmission est loin de faire de l'Evoque un Land Rover au rabais. On retrouve d'abord à son volant le comportement incisif et équilibré des versions 4 roues motrices. Direction directe, prises de roulis très limitées, inertie inexistante : les sensations de conduite tiennent plus de la berline dynamique que du placide SUV. Une impression confortée par l'excellente position de conduite et la boîte de vitesse précise aux débattements courts, qui semble tirée d'un roadster.

 

Particulièrement silencieux, le 2.2 se montre lui à la fois doux et performant, même s'il doit composer avec l'étagement long de la boîte 6 rapports. Lequel étouffe quelque peu la vigueur du 4 cylindres.

Mais c'est surtout en matière de motricité que cette traction avant était attendue au tournant. Et sur les routes autrichiennes humides et parfois même enneigées empruntées lors de cet essai, notre monture – certes équipée de pneus neige – n'a pas déçu. Naturellement, l'Evoque eD4 n'affiche pas la maîtrise implacable des versions 4 roues motrices, mais son train avant encaisse sans broncher les 380 Nm de couple du 2.2 et l'adhérence reste globalement très honorable. A condition bien sûr de rester humble en pareilles circonstances !

 

 

Pas ridicule en hors bitume

 

Devant cette efficacité, les moniteurs expérimentés des stages Land Rover Experience, déplacés pour l'occasion, n'ont pas hésité à mettre au défi ce 2 roues motrices sur un parcours dédié aux 4x4. Qui plus est enneigé ! Une série d'exercices qui n'ont pas ému le moins du monde le crossover, pourtant dépourvu du système Terrain Response, mais aidé par ses généreux débattements de suspension, sa garde au sol confortable et ses assistances électroniques bienveillantes.

 

Rattrapage de dérive sur sol glissant, démarrage en montée, descente vertigineuse (mettant à l'épreuve le Hill Descent Control) mais aussi dévers impressionnants et croisements de ponts ambitieux n'ont guère posé de problème à ce Land Rover, réclamant tout au plus quelques corrections supplémentaires au volant. Essayées en parallèle, les versions 4 roues motrices se sont naturellement montrées plus à l'aise, sans que l'écart entre les 2 transmissions s'avère rédhibitoire.

 

On le voit, l'Evoque eD4 fait honneur à la réputation de Land Rover. Bien sûr, il ne saurait éclipser ses homologues à traction intégrale, qui s'imposeront auprès de clients coutumiers de routes glissantes et de chemins escarpés, où cherchant simplement la sérénité apportée par une transmission intégrale.

Les autres apprécieront la sobriété de cette version eD4 (6,6 l/100 km relevé sur un parcours routier) et ses tarifs moins salés (mais amenés à enfler au grès des options) débutant à 32 900 euros en 5 portes et 33 900 euros en ''coupé''. Les inconditionnels de la boîte automatique n'auront quant à eux guère de choix, l'option n'étant pas disponible sur ce modèle d'accès.

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Invité §nic834Wm

http://automobile.challenges.fr/essais/20111210.LQA1883/range-rover-evoque-2wd-futile-et-utile.html

 

Range Rover Evoque 2WD : futile et utile

 

Range Rover est en passe de gagner son pari. Contre toute attente, l'Evoque ne se vend pas au détriment du Freelander : 80 % de ses acheteurs sont des nouveaux-venus à la marque, qui le préfèrent en version 4x4. Restait à prouver qu'il mérite son blason prestigieux en deux roues motrices aussi.

 

 

Il neige. Fort. Il neige de cette neige qui colle aux arbres, entrave le balai des essuie-glaces et grime le visage des voitures jusqu'à les rendre méconnaissables. Les sapins avachis qui bordent la petite route de montagne semblent nous faire la révérence, ultime hommage rendu à deux Parigots courant à leur perte au volant d'une voiture à deux roues motrices. Bienvenue au Tyrol autrichien !

 

Quelques signes avant-coureurs auraient pourtant dû nous mettre la puce à l'oreille. A commencer par le sourire béat des gens de Land Rover venus nous accueillir à l'aéroport de Munich, deux heures plus tôt. Ces pilotes professionnels sont payés pour mettre à l'épreuve les véhicules — et leurs conducteurs — sur les terrains les plus difficiles d'Europe, histoire de révéler leur plein potentiel. Ils ne sourient qu'une fois assurés d'en avoir donné pour leur argent aux volontaires qui paient pour se soumettre à leur torture, dans le cadre des journées du Land Rover Experience.

 

"Bonne nouvelle !", avait lancé en guise d'introduction Dougie, notre chef d'expédition anglais au visage poupon. Preuve qu'on ne devrait jamais se fier à l'apparence des gens. "Hier soir, est tombée la première neige de l'année sur le circuit de montagne qui vous attend là-haut, en Autriche", avait-il expliqué, un brin hilare. "Vous avez de la chance. Vous serez parmi les premiers au monde à pouvoir tester sur neige la nouvelle variante à deux roues motrices du Range Rover Evoque." Certes. Mais enfin, avec toute cette neige… Est-ce bien raisonnable ?

 

Mon inquiétude était montée d'un cran lorsque, au moment de prendre possession des véhicules, j'avais entendu deux vétérans des raids transcontinentaux — le directeur des relations extérieures de Land Rover France et un confrère journaliste, essayeur aguerri — raconter comment, lors de précédents essais, l'équipe de Dougie les avait "mis sur les rotules" en quelques heures. Et comment, au soir d'une journée d'exercices de franchissement ayant mis à mal leurs lombaires et leurs cervicales, ils avaient été invités à repartir pour deux heures de crapahutage nocturne, à la lueur des phares fouilleurs. Sympa mais quelque peu excessif.

 

Il est comme ça, l'ami Dougie. Et puisqu'il semblait résolu, cette fois encore, à démontrer la supériorité des Range Rover (fussent-elles à deux roues motrices), je m'attendais au pire.

 

La neige qui tombait dru tandis que nous grimpions en direction de Salzburg, en Autriche, n'était pas pour me rassurer. A notre arrivée sur le circuit de l'automobile club autrichien (ÖAMTC), je sentis le cuir de mes souliers de ville se recroqueviller sous la morsure du froid. Heureusement j'avais alors déjà recouvré un peu de mon courage, rasséréné par l'aisance naturelle dont avait fait preuve notre Evoque 2WD (pour "2-wheel-drive", ou 2 roues motrices) sur les petites routes enneigées menant au domaine.

 

Il faut dire qu'entre l'aéroport et le circuit, nous n'avions pas hésité à bousculer un peu ce Range Rover en réduction, que nous imaginions taillé pour les beaux quartiers plutôt que pour la vadrouille. L'objectif était de déceler toute variation dans son comportement que pourrait induire la suppression de la boîte de transfert, de l'arbre de transmission et du différentiel arrière. La répartition des masses s'en trouve bousculée, en raison d'un allègement de 72,5 kg par rapport à l'Evoque 4WD.

 

Sur autoroute, la différence est imperceptible. La direction nous a paru un peu moins informative et la tenue de cap un peu moins précise que celles de l'Evoque 4 roues motrices essayé au mois d'août dernier (lire notre Essai Range Rover Evoque SD4 4WD Diesel de 190 ch), mais ces légères différences peuvent aussi bien être mises sur le compte des trombes d'eau qui inondaient la chaussée que de la gomme plus tendre des pneumatiques hiver, aux sculptures approfondies. Difficile à dire.

 

Nous n'avons guère eu le loisir de juger de l'équilibre du comportement de l'Evoque 2WD sur petites routes, car la pluie a très vite cédé la place à la neige. Lorsque la chaussée fut devenue aussi blanche que les bas-côtés (voir notre Galerie Photo), nous avons eu maintes fois l'occasion d'apprécier l'adhérence fournie par les pneus Continental ContiWinterContact, en virage serré comme en phase de freinage d'urgence. L'occasion de rappeler l'utilité indiscutable de ce genre d'équipement par temps froid, et pas seulement sur chaussée mouillée.

 

Revers de la médaille, mon copilote et moi-même avions la désagréable impression que, sans ses pneumatiques spéciaux, le Range Rover Evoque 2WD ne ferait pas mieux qu'une banale berline familiale, simple traction équipée d'un antipatinage…

 

Dougie et son équipe allaient se charger de nous prouver le contraire. La démonstration sur le circuit aménagé de l'ÖAMTC démarra avec l'exercice des rampes enneigées, conçu pour illustrer la supériorité des aides à la conduite mises au point par Range Rover. Il s'agit du fameux Hill Descent Control (ou HDC) qui évite le blocage des roues en descente sur terrain glissant. Ou bien de l'antipatinage "maison", adapté aux exigences particulières de l'évolution en tous-chemins.

 

 

Premier exercice : la descente enneigée

La pente est si abrupte que, arrêté au sommet de la petite butte, le conducteur ne voit plus que le ciel à travers le pare-brise… Heureusement le vaste écran central de l'Evoque retransmet l'image que capture une caméra logée à raz du sol, dans son bouclier avant. Idéal pour s'assurer que "ça passe" lorsqu'on craint que cela "ne casse".

 

HDC enclenché et réglé au plus lent, l'Evoque se laisse happer par la gravité sans que son pilote ne touche à aucune des pédales : le système sollicite un à un les étriers de frein pour maîtriser l'allure et la trajectoire. Dans cette neige épaisse, il faut tout de même donner un peu de volant pour compenser une amorce de glissade de l'arrière, que l'on soit aux commandes de l'Evoque à deux comme à quatre roues motrices.

 

Descente avec HDC : match nul.

 

L'exercice inverse donnera sa première victoire à l'Evoque 4WD, sans que son frère 2WD n'ait à rougir pour autant. Il consiste à exécuter un démarrage en côte. Une particularité : côté gauche, les roues reposent sur une chaussée enneigée ; côté droit, sur un goudron apparent mais quelque peu verglacé. La consigne se résume à mettre les pleins gaz et à observer comment l'antipatinage régule le couple moteur. Le juge de paix sera l'afficheur numérique qui, quelque quarante mètres plus loin, donnera la vitesse atteinte au pied de la descente.

 

Qu'il soit à deux ou à quatre roues motrices, l'Evoque est facile à lancer, bien aidé par la fonction d'aide au démarrage en côte de son correcteur de trajectoire. L'Evoque 2WD fait longuement patiner ses roues, en quête de la moindre parcelle d'adhérence, et l'on comprend très vite que l'électronique gère mieux la situation lorsque le pied droit reste collé au plancher. L'Evoque conserve ainsi une trajectoire rectiligne et atteint 23 km/h en bas de la pente, contre 30 km/h pour le 4 roues motrices. Lequel patine sensiblement moins et s'arrache plus vigoureusement sans faire hurler son moteur.

 

Démarrage en côte sur neige : victoire 4WD.

 

 

 

Exercice du départ arrêté

Deux Evoque prennent le départ côte-à-côté sur une surface plane, peinte et arrosée d'eau, simulant parfaitement le verglas. Sans surprise, l'Evoque à transmission intégrale profite de sa motricité supérieure pour prendre le large. Cent mètres après le départ, il devance d'une longueur son frère 2WD dont les roues avant n'en finissent pas de patiner.

 

Départ arrêté : victoire 4WD.

 

 

 

Evitement et freinage

L'exercice suivant consiste à simuler un obstacle en courbe. Le conducteur freine en entrée de virage et sent l'arrière de son véhicule déraper vers l'extérieur. L'action du correcteur de trajectoire s'avère d'une efficacité voisine sur les deux véhicules, chacun doté de l'amortissement piloté avec amortisseurs à fluide magnéto-rhéologique. En revanche, le conducteur de l'Evoque 4WD dispose d'une motricité qui lui permet de participer activement à la maîtrise de la dérive. Il lui suffit de mettre les gaz et de trouver la juste dose de contre-braquage. De sorte que l'intégrale s'extraie du virage plus vite et en meilleure posture que la simple traction.

 

Le constat est identique à l'issue de la simulation d'une manœuvre d'évitement : la transmission intégrale n'offre un avantage qu'au conducteur qui a la présence d'esprit de remettre les gaz pour aider à rétablir la trajectoire. Pas évident.

 

Virage et évitement : victoire 4WD. Du moins pour ceux qui ont la présence d'esprit d'en exploiter les bénéfices.

 

Au final et au risque d'enfoncer une porte ouverte, nous ne conseillerons l'achat de la version à quatre roues motrices du Range Rover Evoque qu'aux amateurs de sports d'hiver et aux habitants des régions souvent enneigées. Ainsi qu'à ceux qui ne dédaignent pas offrir un bain de boue périodique à leur véhicule de loisirs. Les autres sauront se satisfaire d'un Evoque simple traction, dont l'allure ne laisse rien présager de la simplification de sa transmission. Ils trouveront dans la liste des équipements optionnels mille façons de dépenser la somme épargnée sur le prix d'achat.

 

Difficile en effet de résister aux tentations qu'offre l'Evoque, lequel sacrifie à la mode de la personnalisation en multipliant les habillages et les accessoires high-tech. De quoi en faire le plus futile des Range Rover, mais un Ranger Rover à part entière quand même.

 

 

En résumé

 

Les +

Allure séductrice en diable, pas entamée en 2 roues motrices

Confort préservé en modes Normal et Neige

Comportement routier très efficace en 2 roues motrices aussi

Consommation en conduite souple (Diesel 150 ch, 129 g/km CO2)

 

 

Les -

Visibilité arrière et périphérique compromise

Accessibilité des places arrière (carrosserie 3 portes)

Prix en rapport avec ses velléités haut-de-gamme

 

 

 

 

 

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Invité §nic834Wm

Vu dans Autoplus la semaine dernière (Désolé pour la qualité de l'image)

 

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Invité §nic834Wm

Voici quelques lignes trouvées sur le site http://www.moniteurautomobile.be/article/premier-essai-web-range-rover-evoque-ed4-16069.cfm

 

Je n'ai pas la version complète, mais si un ami belge possède la revue 1514 du 07/01/12, ce serait sympa qu'il poste l'article en entier !!

 

Rien qu'en l'observant, on pouvait déjà se douter que l'engin original ne serait pas le plus gros touilleur de bourbier de la gamme. Cette fois, on en est sûr. Du moins dans cette version baptisée eD4. Fini le module de transfert, l'arbre central de transmission, le différentiel arrière et les arbres secondaires, le 2.2 Diesel de l'Evoque n'est plus connecté qu'aux seules roues avant. Au passage, il a maigri de 75 kg (affichant désormais 1.595 kg à vide sur la balance en version Coupé) et se positionne du coup comme l'engin le plus écologico-économique de la gamme Land Rover avec des émissions de CO2 contenues officiellement à 129 g/km (133 en 5 portes). Pas mal pour un Range !

 

L'Evoque eD4 conserve un comportement équilibré. Pas plus sous-vireur à la limite que son homologue à transmission intégrale, il fait même preuve d'une agilité légèrement supérieure dans les virages serrés. En conduite dynamique, on ressent donc moins d'inertie dans le châssis au cours des changements d'appuis, tandis que la stabilité en courbe reste l'une des plus rigoureuses de la catégorie. Sur un bitume gras ou glissant, deux roues motrices ne transmettent jamais le couple comme quatre, mais après quelques tests poussés à son volant, on peut affirmer que les ingénieurs ont fait du bon boulot.

Assurément, le Range Rover Evoque eD4 n'est pas celui des vrais baroudeurs. Mais il garde un comportement sûr, voire enjoué à l'occasion, tout en ne perdant rien de sa personnalité. Et puis 4,9 l/100 km (annoncés) avec un Range, il y a de quoi rester bouche bée, non ?

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1514 du 7 janvier 2012.

http://www.moniteurautomobile.be/img/positif.gifPoints positifs
Comportement routier rigoureux

Motricité remarquable (pour un SUV 2WD)

Agrément mécanique préservé

http://www.moniteurautomobile.be/img/negatif.gifPoints négatifs
Boîte automatique incompatible avec le 2WD

Visibilité périphérique

Portes encombrantes, accès à l'arrière (Coupé)

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