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Jaguar

[Voyages, bonnes tables, photos, culture] Art de vivre des Jaguaristes


Invité §cou736Hn

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Invité §cou736Hn

Avec X350 SV8 la J-gate est beaucoup plus facile à utiliser et bien plus secure que les palettes de XK-R, laquelle, j'ai oublié de le préciser, fait un joli (mais inutile) bruit de rétrogradage au pot d'échappement .

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Invité §gab446EY

Je suppose qu'on peut aussi conduire en utilisant la BVA avec la J-gate.

Est-ce beaucoup plus lent?

 

 

Bonjour Paydase

 

Sauf que depuis quelques temps Jaguar n'a plus de J-gate . ( euh!... Si sur F Type )

 

Amicalement

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Invité §bmv702vX

Pas de J-Gate sur New XK (même si la forme reprend la forme en J).

 

Sur XJ ou old XK la boite n'a rien à voir avec la boite de New XK, c'est une boite auto 6 vitesses que vous pouvez laisser soit en D (utilisation des 6 vitesses existantes) ou vérouiller sur 2, 3, 4 ou 5 vitesses mais dans ce cas la boite n'ira pas plus haut que la vitesse que vous aurez bloqué. Certes il est possible de "dévérouiller" la boite "manuellement" en manoeuvrant le levier mais ça n'a pas grand intérêt et, au regard, de ce que disent certains sur d'autres forum, la boite n'apprécie pas trop .

La sélection du mode sport s'effectue par un bouton placé à côté de la J-Gate

 

http://i39.servimg.com/u/f39/12/80/18/57/img_1510.jpg

 

Sur New XK 1er génération, il s'agit d'une boite 6 vitesses séquentielle et même si le levier circule dans une sorte de J, vous le placer soit en D, soit en Sport, rien d'autre.

Pour passer les vitesses manuellement, il faut impérativement se servir des palettes au volant.

En mode normal, la boite revient automatiquement en mode D si vous restez plus de 10/15 secondes sans vous servir des palettes.

Par contre en mode sport, la boite restera en manuelle et pour revenir en D, il faudra repositionner le levier central sur D.

 

http://i39.servimg.com/u/f39/12/80/18/57/p1040513.jpg

 

Sur New XK 2ème et 3ème génération, le levier a disparu pour laisser la place au bouton rotatif.

 

http://i39.servimg.com/u/f39/12/80/18/57/img_7514.jpg

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Au temps pour moi, merci maître.

J'avoue que, me concernant, je ne touche jamais au levier (si ce n'est pour les manœuvres de parking) et conduis donc toujours en D. Et j'ai la BVA6 de X350 avec la J-Gate.

 

Ce que vous dites confirme les remarques faites auparavant concernant la difficulté de changer de vitesse en courbe (si nécessaire) avec les palettes au volant, puisque sur new XK on doit obligatoirement les utiliser.

Valable donc seulement en ligne droite.

Et en courbe, mieux vaut bien choisir le rapport avant et conduire en souplesse, ce qui est l'esprit de cette auto.

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Invité §bmv702vX

Honnetement, je pense que c'est une question d'habitude.

J'ai fait une descente du ventoux lors d'un rallye du FJDC (avec dernière moi une XJS V12 qui n'avait plus de freins en arrivant en bas !) en utilisant uniquement les palettes et je me suis régalé.

 

Il faut juste être attentif et ne pas garder ses mains à 11h10 !! les conseils d'auto-école....c'est pour l'éauto-école.

 

Maintenant, le seul intéret du mode séquentiel avec les palettes c'est de préserver les freins.

 

Pour le reste la boite auto réagira plus vite.

 

Sur la 5l avec le mode dynamique enclenché (le bouton avec el petit damier sur la photo) qui, notamment, rigidifie les suspensions et optilise les passages de vitesse, c'est sans comparaison aucune.µ

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Invité §sav362PU

Honnetement, je pense que c'est une question d'habitude.

J'ai fait une descente du ventoux lors d'un rallye du FJDC (avec dernière moi une XJS V12 qui n'avait plus de freins en arrivant en bas !) en utilisant uniquement les palettes et je me suis régalé.

 

Il faut juste être attentif et ne pas garder ses mains à 11h10 !! les conseils d'auto-école....c'est pour l'éauto-école.

 

Maintenant, le seul intéret du mode séquentiel avec les palettes c'est de préserver les freins.

 

Pour le reste la boite auto réagira plus vite.

 

Sur la 5l avec le mode dynamique enclenché (le bouton avec el petit damier sur la photo) qui, notamment, rigidifie les suspensions et optilise les passages de vitesse, c'est sans comparaison aucune.µ

Pléonasme, non? :ange:

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Invité §cou736Hn

Honnetement, je pense que c'est une question d'habitude.

J'ai fait une descente du ventoux lors d'un rallye du FJDC (avec dernière moi une XJS V12 qui n'avait plus de freins en arrivant en bas !) en utilisant uniquement les palettes et je me suis régalé.

 

Il faut juste être attentif et ne pas garder ses mains à 11h10 !! les conseils d'auto-école....c'est pour l'éauto-école.

 

Maintenant, le seul intéret du mode séquentiel avec les palettes c'est de préserver les freins.

 

Pour le reste la boite auto réagira plus vite.

 

Sur la 5l avec le mode dynamique enclenché (le bouton avec el petit damier sur la photo) qui, notamment, rigidifie les suspensions et optilise les passages de vitesse, c'est sans comparaison aucune.µ

 

 

 

Bonsoir Maître,

 

Alors, je voudrais bien connaître la position des mains lorsque le volant a fait un tour et demi (540°) pour prendre une épingle à cheveux, puis changer de vitesse en sortie du virage ?... Je ne peux faire autrement que laisser le volant revenir à la normale, soit quelques mètres après la sortie afin d'avoir à nouveau accès aux palettes enfin horizontales, bien après la sortie du-dit virage, donc. Et si les épingles à cheveux s'enchaînent rapidement ?....

 

Je suis toute ouïe pour les conseils... :)

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Invité §bmv702vX

Bah honnetement lorsque je conduis "un peu vite" en montagne,la position de mes mains sur le volant n'est pas la chose sur laquelle je concentre toute mon attention !!!

 

Tout ce que je sais, c'est que l'utilisation des palettes ne m'a pas posé de problèmes particuliers ou de mains croisées.

 

Après même s'il m'arrive de conduire un peu vite, je ne suis pas Vatanen.

 

J'en conclu donc que pour un conducteur lambda, les palettes de la XK sont parfaitement utilisables.

 

Après pour un pilote ....

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Invité §dra127Oi

Il est clair que sur une voiture de tourisme, il vaut mieux que les palettes ne soient pas solidaires du volant mais fixes !!!

Sinon, il faut mettre un petit anneau en couleur sur le haut du volant que l'on retrouve chez les sportives ou voitures de course pour savoir ou l'on en est avec le volant...

 

Sur une monoplace (F1, F3, FR ou Proto) c'est le contraire car vu l'énorme rayon de braquage; même si on croise (les bras) dans un virage serré qui se referme petit à petit, on est en buté donc pas de soucis !!!

 

 

 

1) lorsque le volant a déjà fait un tour et demi, ce qui est le cas en virage en épingle à cheveux, les anneaux ne servent à rien sur une GT. Le volant est complètement "bas par-dessus tête".

 

2) oui, mais là le volant est très petit. Un croisement de bras est tout à fait possible.

1/ Ce n'est pas faux mais dans ces conditions, il vaut mieux laisser opérer l'automatisme de la boite ou choisir une vraie sportive ou une GT avec un autre système !!!

 

2/ Ai je dis autre chose?

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Invité §cou736Hn

 

 

 

 

Allez !... Reprise des épisodes touristiques précédents (pour ceux qui suivent...)

 

 

 

... Sont tous derrière nous sur les plages, agglutinés comme des morues au sel à l'étal d'un Géant Casino, tandis que Frangine et moi faisons vibrer tendrement le moteur à petits coups d'accélérateur.

Nous sommes repartis vers Saint-Martin-Vésubie...

 

Hier, l'Osso Bucco était une la réussite absolue. J'en cuisinais pour la première fois. Comme dit Colette (je crois) : "Il faut mettre un peu du diable dans sa cuisine". Si fait ! et après on est aux anges...

 

Cet après-midi, tandis que je vous narre, je surveille une tarte aux abricots du coin de l'oeil (hé, les filles !) : une pâte brisée sur laquelle on répand un peu de poudre d'amande, les abricots cul en dessous, (je vais le tuer ce correcteur automatique !), des pignons légèrement dorés, un appareil de sucre + oeufs + t'tit coup de cognac + crème fleurette... 35 mn à 180°.

(Wouarf ! on aura tout lu sur ce topic !)

 

Après les gorges de la Vésubie à proprement dites, lesquelles sont des roches grises et beige qui frôlent la chaussée, la vallée s'élargit sur un paysage plus vert :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Arrêt à Lantosque pour déjeuner. Pas de recommandation de restaurant particulière. Une petite terrasse abritée suffira pour des raviolis annoncés "maison".

Il y a une via ferrata dans le coin, des amateurs se préparent avec casques, cordes, chaussures adaptées. Faudra que j'essaie ça un jour...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques kilomètres plus loin, Roquebillière. On a traversé la Vésubie pour passer sur l'autre rive. La particularité de ce clocher est qu'il est en tuiles vernissées de couleurs.

Pour moi et mes souvenirs, nous sommes en Italie. N'oublions pas que le Countea de Nissa a été rattaché à la France en 1830 seulement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On s'est garé un peu où on pouvait dans le carrefour, attention à la garde au sol :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La route est vraiment très agréable. Plutôt large, pas raide du tout. Peu de circulation, peu de vélos, pas de motos...

Saint-Martin-Vésubie est à 945 m d'altitude, à environ 60 km de Nice. C'est un village un peu étal qui est la porte ouverte vers le Mercantour.

Il est des premiers villages a avoir connu l'électricité, et quelques maisons plutôt riches indiquent à quel point l'économie a pu y être florissante (fillages de draps), avant le tourisme.

 

 

Est-ce que cela ne vous a pas un bon petit goût de la vraie Provence, ca ?...

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a eu de la richesse, ici.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Piuisque Frangine et moi, nous ne travaillons pas pour Tripadvisor ni pour National Geographic, on ne va pas vous proposer toutes les photos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et si vous pensez que nous avons un goût prononcé pour la visite des églises et des chapelles, c'est que nous sommes encore et toujours sur la route du Baroque flamboyant et, aussi, qu'une église dit toujours quelque chose de la vie sociale et politique d'une région, des déplacements de sa population, des croisements de routes commerciales, des entrées étrangères économiques et culturelles. Et il y a des merveilles à y découvrir...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retour en ville (comme je le disais plus haut je ne propose pas nos 72 photos sélectionnées....) (M'éverve cet interface !)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A l'office du tourisme, nous nous enquérons des promenades à faire autour du village : ben, y'a de quoi faire !...

C'est sans doute ici que nous viendrons en février pour nos vacances d'hiver... Raquettes et toussa.

 

 

 

 

 

 

 

Vers 18 h 00, le temps passe au gris, nous décidons de rentrer et de visiter sur la route un endroit haut perché qui porte le joli nom de Belvédère.

Ici, ce ne sont que ruelles et traboules désertes. On se perd dans les petits escaliers bien raides.

On pourrait croire que les habitants sont des zombies qui vont se jeter sur vous dès la nuit tombée...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Heureusement la république est passée par là :

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vous disais dans le précédent topic que nous avions vécu dans cette région, étant gamins Frangine et moi. Elle se souvenait bien mieux que moi de cette maison, qui fut un bar-restaurant, il y a.... 60 ans. Et dont on a gardé la façade humoristique :

 

 

 

 

 

 

 

 

Voili, voilà.... C'est tout pour aujourd'hui...

 

Ah, NON ! j'oubliais... La tarte aux abricots pour ce soir... Quand je vous dis qu'on aura tout vu sur ce forum... (hé, les filles !)

 

 

 

 

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Invité §cou736Hn

Bah honnetement lorsque je conduis "un peu vite" en montagne,la position de mes mains sur le volant n'est pas la chose sur laquelle je concentre toute mon attention !!!

 

Tout ce que je sais, c'est que l'utilisation des palettes ne m'a pas posé de problèmes particuliers ou de mains croisées.

 

Après même s'il m'arrive de conduire un peu vite, je ne suis pas Vatanen.

 

J'en conclu donc que pour un conducteur lambda, les palettes de la XK sont parfaitement utilisables.

Après pour un pilote ....

 

 

 

Je suis un conducteur lambda, et les palettes sont parfaitement utilisables lorsqu'elles sont revenues à peu près à la parallèle, et lorsque le virage ne fait pas plus de 90°... :deuxsanssix:

J'approuve :)

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A nouveau, très chouette reportage avec des clichés bien choisis.

Je verrais bien un petit livre illustré de la sorte pour vanter le charme désuet de cet arrière-pays :jap: .

Les raquettes cet hiver, bon plan. Mais la via ferrata, attention, c'est peut-être plus exigeant à nos âges :D .

Enfin, vos talents culinaires me font saliver. Je ferais bien étape par là-bas un de ces jours :p

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Invité §cou736Hn

A nouveau, très chouette reportage avec des clichés bien choisis.

Je verrais bien un petit livre illustré de la sorte pour vanter le charme désuet de cet arrière-pays :jap: .

Les raquettes cet hiver, bon plan. Mais la via ferrata, attention, c'est peut-être plus exigeant à nos âges :D .

Enfin, vos talents culinaires me font saliver. Je ferais bien étape par là-bas un de ces jours :p

 

 

 

 

Vous serez le bienvenu. :)

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Toujours excellent ce topic ... n'ai pas pu le suivre depuis 1 grosse semaine, c'est avec grand plaisir que j'ai "rattrapé" mon retard ... les photos de la balade du Col de Bise sont toujours sur l'iPhone de madame n72 ... m'en occuperai peut être samedi ... entre 3 courses ...

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Identifier la marque de piano exige d'être déjà un mélomane éclairé.

La plupart des interprètes aujourd'hui jouent Steinway ou un japonais/coréen. Jouer un Bösendorfer est moins fréquent (Jo me corrigera si je dis une bêtise). Personnellement je préfère le son des Bösendorfer, mais celà dépend aussi beaucoup de la facture et du réglage. En général les Steinway sont plus éclatants et les Bösendorfer plus ronds/feutrés (mon opinion).

Comme pour nos Jaguar, j'ai un faible pour les pianos plus anciens. Et pour ceux-là, les grands pianos étaient principalement des Bechstein, Bösendorfer ou Steinway.

J'ai la chance d'avoir hérité de mon père un quart Bechstein qui date d'un siècle environ (modèle A, 180cm) qui a été restauré. Une dimension suffisante pour un grand séjour (les graves plus riches d'un demi-queue ne seraient pas vraiment exploitables). Il a l'ancien cadre qui a une petite fissure (faiblesse connue de ce modèle mais bénigne). Le son en est très pur, et surtout je trouve son toucher merveilleux, d'une douceur "féminine".

Quand j'étais plus jeune, jouer (à mon niveau, faible) l'une des compositions faciles de Chopin, valse ou nocturne m'apportait un plaisir incomparable, "sensuel".

Même si rien à voir, bien sûr, avec l'écoute (passive) de ces oeuvres fabuleusement jouées par Cortot (probablement sur Bösendorfer)...

 

Steinway a une sorte de monopole de fait, mais d'autres marques de qualité existent et ne se portent pas si mal, pour contenter ceux qui aiment aussi se changer les idées et les oreilles.

Un peu comme Jaguar vis à vis de Audi et BMW.

 

Il y a un monde entre des pianos excellentissimes mais "pour la maison" et un piano de concert, un peu comme entre une berline et une voiture de circuit.

 

Personnellement nous utilisons ma femme et moi deux pianos Italien Fazioli qui ont les caractéristiques des pianos de concert: puissance, spectre, projection, transparence absolue.

Pour se changer les oreilles j'ai aussi un Piano Pleyel de concert de 1906 qui sort d'une restauration complète et qui est magnifique ainsi qu'un Feurich demi queue pour avoir un son allemand chaud et expressif.

Ces deux derniers instruments sont plus typé "musique à la maison"

 

Les artiste chez eux doivent avoir à la fois un piano compatible avec un usage domestique et ressembler à un piano de concert dans ses réactions....pas à choisir facile donc...

 

Les Bosen sont (ou ont été, selon l'esthétique que l'on apprécie) des instruments magnifiques mais qui ont des défauts, et la seule manière de les apprécier est d'aussi aimer leurs défauts.

J'en ai eu un, j'en enregistre un autre de temps à autre avec bonheur: Dans le piano de concert ou l'Impérial Bosendörfer il y a trois registres assez distincts généralement: des aigus souvent projetés et un peu dur, un médium magnifiquement chantants et des basses assez envahissantes et pas très harmoniques. J'apprécie nettement plus les instrument plus petit en taille, plus équilibrés et moins puissants: le grand quart et le demi peut être sublime, le 3/4 aussi selon le réglage.

 

Les vrai challengers à Steinway sur scène sont les magnifiques Yamaha CF et CFX, qui sont très beaux mais que je trouve à force un peu monotones.

Et les Fazioli comme le F278 que je trouve exceptionnel si bien réglé (rare)

 

Pour la maison, le F212 que j'ai est excessivement puissant, non pas parce que la "percussion" est augmenté, mais la table d'harmonie transforme sur toutes les fréquences et sur toute la surface: c'est une richesse mais qui 'est bien pire qu'un compresseur sur une XJ...

Cela devient vraiment limite chez soi, même dans ma pièce de 50 m2. Mais c'est exactement la même chose avec un Steinway B.

 

CDF les disques de Stéphane Blet que vous appréciez sont enregistré sur mon exemplaire de F278 Fazioli.

 

Le Bechstein A est l'archétype du piano ancien pour amateur éclairé, qui aime ce type de son.

Mais c'est comme rouler en XK120....pour un pianiste d'aujourd'hui, il représente des repères plus d'actualité pur travailler.

Il faudrait pourtant qu'à côté de leur piano moderne, les pianistes possèdent aussi un beau piano ancien, vraiment utilisable pour avoir un autre "remue méninges" sur la conception du son, des phrases et des œuvres en général.

Perso j'adore ces aller retour entre le Fazioli et le Pleyel...

 

Bref, on a 200 ans de factures instrumentales à dispositions, représentant des courants esthétiques aussi passionnants les uns que les autres....et pas toujours à prix fort.

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Merci paydase....

 

j'avoue que c'est une question que je ne me suis jamais posée, ma femme non plus....depuis notre tendre enfance nous vivons avec nos pianos....

C'est comme si dire qu'un lit prend de la place...

 

Alors bien sur, oui objectivement accumuler des pianos entre 2 et 2,78 mètres de long c'est encombrant.

 

J'ai parfois eu des périodes où je dormais sous mes pianos....

 

et sur le dessus d'un grand piano, pleins de choses sont possibles aussi....

 

La limite, ce n'est pas la place au sol, c'est véritablement acoustiquement avoir des pianos vivables pour les oreilles quand on joue 8 heures par jours...

 

Je vis dans une maison, ex usine en proche banlieue parisienne, c'est fait exprès pour avoir les pianos et les jaguar...et faire ce que l'on veut le jour et la nuit sans déranger personne.

Car un piano de concert, voire deux quand on fait du deux pianos, ça fait quand même pas mal de décibel, même fermés.

 

mes pianos au micros, parmi eux se cache deux curiosités....un Pleyel 1836 époque Chopin et un Erard 1847, en pension à côté du Fazioli....

https://soundcloud.com/joperrot

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Bravo Rosso, tu n'as donc pas mélangé l'Erard et le Pleyel!

Oui beau festival, tous les sens sont sollicités....

Baglini est un artiste Fazioli depuis longtemps je crois me rappeler.

J'ai aussi personnellement des liens assez étroits avec Paulo Fazioli...mon F278 a été en France un piano assez "phare" qui a fait plus de 300 enregistrements avec beaucoup de grands pianistes. Dont Aldo Ciccolini avec qui j'ai produit plus de 15 enregistrements sur ce piano.

Sauf le premier.

 

Du reste je vais raconter une histoire liée à cet artiste, ce premier enregistrement et mon piano.

Quand je l'ai acheté fin 1998, il a été livré directement pour le premier enregistrement que je faisait avec Aldo: L'oeuvre de Janacek.

A.Ciccolini aime bien cet exemplaire, il l'avait longuement joué avant mon achat et l'enregistrement.

Malheureusement les transporteurs ont fait tomber le piano dans le camion....sans rien dire, ils l'ont laissé en l'état dans la salle d'enregistrement.

Sans commentaire....il y a prescription.

Je ne sais pas pourquoi, dès mon arrivée sur les lieux, de loin j'ai senti quelques chose de bizarre...les doigts sur le piano m'ont tout de suite renseigné sur le désastre....

 

Un autre piano (le fameux 3m08) fut livré dans l'heure, et le mien reparti dans l'autre sens...pour finalement retourner à l'usine à Sacile (près de Venise) car je tenais à conserver CET exemplaire même réparé.

La suite extraordinaire de l'histoire est qu'il est reparti de l'usine le 23 mars 1999 au soir ou le 24 au matin, je ne sais plus....il est passé par le tunnel du Mont Blanc....qui brulait le 24 moins de 30 mns plus tard...

Ce piano est donc un double rescapé.

 

Il est revenu encore plus beau de l'usine: les dégats structuraux était mineurs, et Paulo Fazioli a fait plusieurs mises à jour importantes dont ce piano n'aurait jamais profité sans revenir à l'usine et sans avoir re-décollé et remis en charge la table d'harmonie: opération improbable dans la vie normale d'un piano de concert, du moins pendant les 50 premières années....

 

L'enregistrement avec le piano 3.08, plus sombre et moins "solaire" a particulièrement bien convenu à la Sonate 1905, oeuvre douloureuse et intense.

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pour les amoureux de piano (notamment de Fazioli ...), de voyages, de bonne nourriture (à manger ... et à boire !), de jaguar d'Alfa :ange:

 

amiato piano festival

 

merci joperrot pour ces enregistrements, écouter une Mazurka sur un Pleyel contemporain du compositeur prend vraiment une saveur particulière

 

Pour revenir à cet enregistrement du Pleyel (pas le 1906 restauré désormais) mais d'un modèle de 1836, voici un texte écrit pour le disque que j'ai publié cet année avec.

C'est le pianiste Yves Henry (disciple de Ciccolini aussi et avec qui j'ai réalisé presque une vingtaine de disque) qui parle. Chaque instrument a son histoire, celui ci encore plus que d'autres.

J'aime réunir des instruments qui ont un passé significatif, je suis sur qu'il en reste quelques choses dans le son et ce qu'il est devenu intrinsèquement.

De plus ce texte, éclaire parfaitement l'intérêt pour un artiste "moderne" de se confronter à un instrument de cette époque et de faire évoluer son interprétation.

 

De la même manière j'aurai aimé conduire l'auto de mon arrière grand oncle, reproduite dans mon avatar.

 

Ma première rencontre avec le piano utilisé dans cet enregistrement date de 1995. C’est aussi l’année - coïncidence - de ma prise de fonctions comme directeur artistique du Festival de Nohant, petit village du Berry où se trouve la maison de George Sand et où Chopin composa durant les étés de 1839 à 1846 l’essentiel, si ce n’est le meilleur, de son œuvre.

En 1995, ce piano était à l’abandon dans un couloir du château Chanorier à Croissy sur Seine. Il était propriété de la Ville qui ne savait qu’en faire... Très vite, j’ai pris conscience de la rareté de cet instrument et nous avons fondé une association dédiée entièrement à ce que je qualifierait de « sauvetage » tant il était dans un mauvais état. Nous avons réuni les fonds nécessaires et procédé à sa restauration qui a duré 18 mois. Il a été rejoué pour la première fois en 1999 dans la maison de George Sand lors du 150è anniversaire de la mort de Chopin. Depuis, il a participé à plus d’une centaine d’événements (concerts, masterclasses publiques, enregistrements, expositions) et a récemment repris place dans ce même Château Chanorier à Croissy sur Seine, mais cette fois, dans un salon qui lui est dédié, en compagnie d’autres instruments de la même époque, des facteurs Pleyel et Erard.

 

Disons tout de suite que j’ai redécouvert Chopin grâce à cet instrument. C’est lui qui m’a obligé à une relecture complète de l’œuvre de ce compositeur, tant en raison de sa sonorité que de son mécanisme sensible à simple échappement avec un faible enfoncement et une réactivité exceptionnelle. Ces caractéristiques éclairent d’un jour nouveau les indications si précises de Chopin. Pendant dix ans, je me suis mis littéralement à l’écoute de cet instrument, fasciné par les voies nouvelles qu’il m’ouvrait, et qui soudain rendaient beaucoup plus compréhensibles les indications exceptionnellement précises de Chopin.

Il me semble indispensable de rappeler ici que Chopin, à partir de son arrivée à Paris et jusqu’à sa mort, a affiché une préférence pour les pianos de Pleyel, non seulement pour ses concerts, mais aussi - et c’est le plus important - pour son usage personnel, tant de compositeur que de professeur. L’épisode célèbre du séjour à Majorque (hiver 1838-1839), pendant lequel Chopin n’écrit pas une note de musique tant que son Pleyel n’est pas arrivé en est un exemple. Il terminera en quelques jours ses Préludes op.28 dès que l’instrument sera là. Pendant les étés qu’il passera ensuite à Nohant, Pleyel lui fera parvenir chaque année un piano à queue qui sera installé non pas dans le salon, mais dans sa chambre, à l’étage, car l’instrument n’était pas destiné à jouer pour des amis, il était nécessaire à Chopin pour composer, pour élaborer minutieusement ses partitions. George Sand évoquera dans « Histoire de ma vie » quel labeur c’était :

Il s’enfermait dans sa chambre des heures entières, pleurant, marchant, brisant ses plumes, répétant et changeant cent fois une mesure, l’écrivant et l’effaçant autant de fois, recommençant le lendemain avec une persévérance minutieuse et désespérée. [1]

 

Cet attachement de Chopin aux pianos de Pleyel s’explique assez facilement lorsqu’on connaît les instruments de cette époque. Il avait dans la première partie de sa vie joué principalement les instruments viennois, bénéficiant d’un mécanisme extrêmement sensible, grâce auxquels il pouvait exprimer toutes les subtilités de sa musique. Pleyel, avec son mécanisme à simple échappement et ses pianos peu puissants mais conçus pour que la sonorité rayonne autour du piano, correspondait tout à fait à son goût résumé dans une de ces formules lapidaires dont il avait le secret : les pianos Pleyel sont non plus ultra.[2]

 

 

De 1830 à 1850 les pianos Pleyel ont évolué très vite (comme ceux de la concurrence) tout en gardant des caractéristiques essentielles et notamment celles d’un son à la fois clair et chaleureux, velouté dans les médiums et plus cristallin dans les aigus. Néanmoins, ayant joué depuis quinze ans beaucoup de pianos Pleyel de cette période, j’ai constaté qu’il y avait une évolution vers une plus grande égalité du son sur tout le clavier, évolution qui s’affirme à partir des années 1845. L’instrument sur lequel j’ai joué pour cet enregistrement date de 1837. Nous aurions pu évidemment jouer celui qui a été joué par Chopin lui-même pour le programme de ce concert de 1848 [3]. Toutefois, il m’a semblé intéressant de faire entendre cet instrument de 1837, dont la sonorité peut certes dérouter à la première écoute, mais qui restitue à mon avis avec une grande fidélité la finesse de la musique de Chopin, en permettant notamment d’entendre - grâce en particulier aux différences de timbre sur tout le clavier - l’extraordinaire tissage des voix que Chopin utilise dans son écriture pianistique.

Si Chopin est évidemment, et avant tout, un immense génie qui sait faire vibrer en nous les émotions et les sentiments humains, c’est aussi un alchimiste du son, qui, par ses recherches incessantes au clavier de ses différents pianos Pleyel, a réussi à se passer de l’orchestre, mieux encore, à créer un univers sonore à part entière qui a ouvert la porte à certains de ses successeurs qui poursuivront dans cette voie, je pense notamment à Debussy, mais aussi Fauré, Ravel et Scriabine.

 

Parmi les détails techniques de ce piano à queue de 2,27 m Pleyel n°5612 de 1837 en acajou moucheté à double rubans de cuivre, il faut tout d’abord donner l’étendue de son clavier : 6 octaves 1/2 s’arrêtant au fa aigu, ce qui ne permet pas de jouer la Barcarolle op.60 nécessitant une note de plus : le fa dièse aigu de la dernière page. Nous avons contourné ce problème en accordant le fa 1/2 ton plus haut uniquement pour cette prise. Signalons aussi un chevalet à double étage faisant passer les cordes alternativement au-dessus et à l’intérieur du chevalet. C’est sans doute ce qui donne des timbres bien identifiables pour chaque partie du clavier : depuis les basses très cuivrées jusqu’aux aigus cristallins et voilés, en passant par les deux registres privilégiés pour le chant, c’est-à-dire le médium grave, très proche du violoncelle et le médium aigu, très proche de la voix humaine. Le violoncelle et la voix étant les deux « instruments » pour lesquels Chopin a écrit, en dehors de ses œuvres pour piano seul. Enfin, signalons pour l’anecdote un clavier légèrement plus étroit car à l’époque, on pouvait commander son instrument avec un clavier pour homme ou un clavier pour femme ! Le premier propriétaire de ce piano étant une femme [4], elle avait demandé ce clavier plus étroit. Et enfin, un diapason plus bas que le diapason actuel, aux alentours de 430. Cet accord plus bas donne évidemment des rapports de tonalités et de couleurs bien différents que je vous laisse apprécier. Le premier acquéreur de cet instrument a été Mlle Nicole, à Paris, en juin 1839. [5]

Tout ceci donne évidemment une sonorité bien particulière dont j’espère qu’elle vous fera redécouvrir les œuvres qui composent ce programme.

 

 

[1] Histoire de ma Vie, Vè partie, ch. XIII, t. II, p. 446

 

[2] Correspondance de Frédéric Chopin, Tome II, page 48, lettre du 12 décembre 1831

 

[3] Cet instrument n°13.819 de 1848 fait partie de la collection exceptionnelle d’Alec Cobbe en Angleterre

 

[4] Le premier acquéreur de cet instrument a été une certaine Mlle Nicole, à Paris, en juin 1839. (archives Pleyel – Cité de la Musique)

 

[5] d’après les archives Pleyel publiées par la Cité de la Musique

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Bonsoir,

 

Sans vouloir être indiscret ou vous mettre dans la gêne, serait-il possible d'avoir des visuels des pianos que vous citez, soit les vôtres, soit des photos de concerts et/ou de sites spécialisés, c'est toujours plus simple et agréable de pouvoir mettre un visuel sur une référence ;)

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merci pour tous ces détails !

pour ce qui est de la reconnaissance du Pleyel on va dire que c'est de la chance :lol: même si le son m'a semblé assez comparable à un enregistrement des Mazurkas par Cor De Groot présent sur une "intégrale" que j'avais achetée il y a quelques années. Après vérification il jouait sur un Pleyel de 1847. J'ai déjà joué (je me considère plus comme un pianoteur que comme un pianiste, le manque de temps et de travail faisant évidemment la différence ... ) sur un Pleyel mais plus récent il me semble (début vingtième si mes souvenirs sont bons), c'est assez déconcertant lorsqu'on a l'habitude des sonorités actuelles et lorsqu'on cherche un piano ou préfère quelque chose d'un peu plus polyvalent. Mais pour en revenir à ces mazurkas, ce piano lors donne une tonalité encore plus nostalgiques, j'aime beaucoup.

Qui s'est occupé de restaurer le Pleyel ?

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Invité §sav362PU

Super...

J'ai beaucoup de choses à dire, mais pas le temps.

 

;)

Continuez comme cela.

Cdlt

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Bonsoir,

 

Sans vouloir être indiscret ou vous mettre dans la gêne, serait-il possible d'avoir des visuels des pianos que vous citez, soit les vôtres, soit des photos de concerts et/ou de sites spécialisés, c'est toujours plus simple et agréable de pouvoir mettre un visuel sur une référence ;)

 

 

je regarde dans les archives

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Oui, je pensais bien que ça en intéresserait quelques un(e)s surtout que cette balade vaut vraiment le détour ... seul hic, je n'avais pas pris mon APN, donc c'est photos iPhone4 de madame, je me les suis envoyés par eMail hier, mais en compressant, ça rend moins bien, je m'en occuperai j'espère rapidement ... suis bien pris en ce moment, week-end compris ...

 

Mais franchement, une belle balade au niveau de Vacheresse, dans le coin d'Abondance, "Le Col de Bise" ... le temps était incertain l'autre samedi matin, nous avons commencé par shinter une partie de la balade, puis l'avons commencé "à l'envers" pour "gagner" du temps en cas de pluie, puis voyant le temps tourner à notre avantage, nous l'avons "agrandie", et parcourut à l'envers ... mais les paysages dans ce sens sont beaucoup plus grandioses, surtout arrivés au Col par "le mur" (tout est relatif, ne suis pas un Alpiniste, juste un randonneur amoureux de Dame Nature)

Bonjour,

 

Bon, ben voilà, photos téléchargées depuis l'iPhone4 de madame ... m'en veux encore de ne pas avoir pris mon APN Pana-Objectif Leica ... m'enfin, ce sera le prétexte pour y retourner et faire un plus grand tour.

 

Je ne sais pas si parmi vous il y a quelques randonneurs du Dimanche ou de purs Alpinistes.

Pour notre part, nous adorons les randonnées, tout en connaissant et maîtrisant nos limites.

 

Voici donc le lieu de la balade (avec x possibilités différentes de l'appréhender)

 

 

 

 

La balade se situe donc vers Abondance, via Vacheresse et le Col de Bise.

Ici, moult façons de très bien manger (pas forcément sainement niveau cholestérol), pour ceux que cela intéresse, nous pourrons y revenir (Fromage d'Abondance, Laitier ou Fermier peut se manger à toute heure de la journée, accompagnée de plus rares crottins de chèvres d'abandonce, en mi-frais (mes préférées), frais, semi-sec, ou sec, sans oublier le Berthoud)

 

L'itinéraire conseillée pour le petite marche :

 

 

 

 

Itinéraire que nous avons du ... modifier à cause de la météo fort changeante et plus ou moins prévisible voir imprévisible.

J'étais avec mon épouse, ma sœur lyonnaise et 4 têtes plus ou moins blondes âgées de 8 à 11 ans.

 

En théorie, l'itinéraire conseillée et de faire la boucle par le col de Floray puis de redescendre par le Col de Bise.

Pour raisons de météo incertaine, arrivés à quart course en direction du Col de Floray, nous avons bifurqué pour rejoindre le Col de Bise, prenant alors la balade autrement.

Là, nous attends une petite dénivelée sympathique, au milieu de vaches d'abondances si caractéristiques et nous produisant un excellent lait qui permet aux autochtones de produire un excellentissime fromage, "le petit jésus en culotte de velours" ...

 

La vue depuis le col est juste sublime, dommage pour la qualité des clichés :bah: ...

 

 

Au fond, le Léman (et non pas le "Lac de Jnève" :p ) avec Vevey à l'Ouest et Montreux à l'Est.

 

Différentes vues des pentes au(x) sommet(s) :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis direction le Lac de Darbon, avec rencontres d'une foultitude de bouquetins

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le tout près du Col de Pavis

 

 

 

 

 

 

 

Puis arrivée au Lac de Darbon :

 

 

 

 

Et un joli spécimen de batracien :

 

 

 

Voilà, pour certains, cela peut sembler être anodin, sans intérêts.

 

Pour nous, c'est l'essence même de la Vie ... et la raison pour laquelle je n'ai pas fait long feu, professionnellement parlant, hors de Rhône-Alpes et plus précisément de Grenoble puis de Haute Savoie.

 

Le prochaines fois, je prendrais l'APN et m'efforcerais de bien cadrer.

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Pour les éventuel(le)s intéressé(e)s, c'est une balade simple, avec des vues sublimes. 3.5 heures, 4 en traînant en admirant la faune et le flore.

 

Au chalets de bise, dégustation de fromages d'abondance.

 

Dans le même coin, ne pas rater Gruyères en Suisse, lieu sublime et dont les prochaines couleurs chaudes automnales vont encore sublimer.

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Invité §sav362PU

Chouette. ;)

J'adore les bouquetins. C'est placide.

Même en période de rut, c'est pas (trop) dangereux.

@+

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Merci de ces images, n72.

Ca me rappelle quand je faisais des ballades en montagne à l'époque où j'habitais Grenoble. Et d'accord pour dire que cette communion avec la nature un peu sauvage laisse des souvenirs impérissables

Bravo pour les bouquetins, ils ne se laissent pas approcher si facilement.

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Invité §sav362PU

Merci de ces images, n72.

Ca me rappelle quand je faisais des ballades en montagne à l'époque où j'habitais Grenoble. Et d'accord pour dire que cette communion avec la nature un peu sauvage laisse des souvenirs impérissables

Bravo pour les bouquetins, ils ne se laissent pas approcher si facilement.

Oh, les bouquetins, ça va... il suffit de rester calme et de faire des mouvements lents.

Une fois habitué à vous, une famille entière peut brouter/lécher le sel à quelques mètres.

Les chamois, ça, c'est une autre histoire.

:)

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Effectivement, il y avait aussi deux chamois, mais à un bon 200 mètres ... avec l'iPhone ... ben ...

 

Le bouquetin qui est au "sommet", nous étions à 20-25 mètres, j'ai du m'asseoir pour qu'il comprenne que je ne voulais pas le tuer pour le manger ...

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Belle rando N72, ces photos me ramènent bien des années en arrière, lorsque j'étais en été...

Ah ben l'été ... cette année ... commence maintenant ... mais pas pour les températures ...

 

J'ai du annuler deux we rando+refuge.

En mai j'avais prévu une balade sur des crêtes, au Col d'Ubine avec les enfants ... on a marché dans la neige, donc pas de crêtes ...

 

Là, j'ai deux résa, j'espère que je pourrais les faire ...

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Invité §sav362PU

Effectivement, il y avait aussi deux chamois, mais à un bon 200 mètres ... avec l'iPhone ... ben ...

 

Le bouquetin qui est au "sommet", nous étions à 20-25 mètres, j'ai du m'asseoir pour qu'il comprenne que je ne voulais pas le tuer pour le manger ...

Ouaip...

J'ai passé une nuit complète au milieu d'un troupeau. Avec femelles et petits...

C'était génial.

En Vanoise, au refuge de l'Arpont.

Tous mes potes étaient à l'intérieur, et moi j'ai passé la nuit dehors, avec une copine, dans un duvet double...

Bon, ça sentait un peu la chèvre... mais sous les étoiles, sur un piton herbeux... quel souvenir!

C'était aussi bien que de se bourrer la gueule à coup de Génépi ou Chartreuse.

 

Le plus marrant : les marmottes qui elles aussi se font à votre présence... :lol:

 

Un autre souvenir sous un orage dantesque dans le Mercantour (pléonasme), dans une bergerie avec un bouc était... hum... comment dire... moins plaisant.

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Ah, ça, la montagne, quelque soit la saison ... c'est envoûtant ...

 

J'aime les gens, les rencontres, les partages de vécus, d'idées, ... mais absolument pas la foule, j'ai une sainte horreur des lieux d’attroupements de personnes (concert, Fête de la Musique, Centre ville, ...) ... c'est mon côté Peaux d'bêtes qui ressort ... comme dirait l'ami Pif :jap: ...

 

Je rêverai avoir ma maison d'en bas (600m d'altitude) ... en haut (entre 1'300 et 2'000) ... maison en poteaux poutres avec surfaces vitrées de presque partout ...

 

Un chalet, un vœux pieux, je regarde aussi les appart', ça baisse un peu ...

 

EdenArcs par exemple vend un F3 (2SdE, 2Chambres, Séjour) à 290kE ... il y a 18 mois, c'était 430kE ... si je pouvais défiscaliser en achetant ça, mais pas assez de fonds ... :bah: ...

 

Bref, nous ne sommes pas sur le vrai HS, alors je stoppe là ...

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