Accident d'une Ferrari ce week end dans le Pas-de-Calais

[Invité §bry701ZI]

C'est une bien triste nouvelle évidement et le fait que cet accident implique une Ferrari, ça prend toujours une dimension

bien particulière sur le ForumAuto section Ferrari...

Mes sincères Condoléances à la famille, je ne sais pas si quelqu'un du Forum les connaissait...

Le père ainsi que le fils sont nommés dans l'article..

http://france3-regions.francet [...] 33533.html

[audi86]

Mes sincères condoléance à la famille

[Invité §nil715Bx]

Ce sont toujours des moments très triste...quelque soit la voiture

 

Si quelqu'un connait ces personnes , elle peux souhaiter mes sincères condoléances à la famille..

[RossoCorsa300]

Un pensée émue pour ce docteur et son fils

 

 

 

Les messages de soutien et d’affection affluent après le décès brutal de François Guillon, l’un des médecins historiques de la Polyclinique du Ternois, et de son fils aîné Armand, samedi dans un accident. Leurs funérailles ont été célébrées ce vendredi à l’église d’Avesnes-le-Comte.

 

Le docteur Guillon était âgé de 62 ans et vivait à Rebreuve-sur-Canche depuis près de vingt ans.

 

« Un super médecin qui a opéré ma fille », « Son grand humour va nous manquer », « Merci de m’avoir soignée toutes ces années », « C’est notre docteur House qui disparaît »... Comme le résume aussi cette salariée de la Polyclinique du Ternois, les décès brutaux de François Guillon et de son fils Armand samedi « vont laisser un grand vide » dans la capitale polopolitaine. Le chirurgien ORL était un des médecins historiques de l’établissement. Il arpentait ses couloirs depuis près de vingt ans.

« Il n’aurait, pour rien au monde, fait un autre métier »

 

Ce surnom de « docteur House » ? Il l’a reçu un matin où il « est arrivé au travail avec une barbe de trois jours », raconte son fils Édouard, 23 ans. « Des infirmières lui ont donné une canne (comme l’acteur de la célèbre série télé américaine), les enfants l’appelaient souvent de cette façon. » Un clin d’œil sympathique pour ce docteur « qui aimait beaucoup plaisanter ».

Mais il partageait un autre point commun avec ce personnage fictif : la passion de son métier. « Malgré ses 62 ans, il acceptait de se faire déranger le week-end et en pleine nuit, se souvient sa fille, Laure, 21 ans. Il n’aurait, pour rien au monde, fait un autre métier. »

 

« C’était un grand original »

François Guillon avait suivi toutes ses études à Paris, où il a vécu pendant près de vingt-cinq ans. Médecin thermaliste dans les Pyrénées, médecin de rallye, puis médecin à la prison de la Santé, il a multiplié les expériences. Jusqu’à poser définitivement ses bagages dans le petit village de Rebreuve-sur-Canche, près de Frévent. « C’était son choix, de s’installer à la campagne. »

Une opportunité s’était présentée à la Polyclinique du Ternois, où il a mis ses compétences au profit des patients, mais aussi du personnel, puisqu’il assurait le lien avec l’administration (lire ci-dessous). « Je pense que ses patients retiendront de lui que c’était un grand original, glisse Édouard. Il avait un très fort caractère. Mais ils devaient justement apprécier qu’il n’y aille pas par quatre chemins. »

Les obsèques de François et d’Armand Guillon seront célébrées ce vendredi à 14 heures, à l’église d’Avesnes-le-Comte.

« C’est une grande perte pour la Polyclinique et la population »

 

Un bouquet de roses blanches a été déposé près de la place de parking du docteur Guillon.

 

La vie doit suivre son cours à la Polyclinique du Ternois, la santé des patients oblige. Pourtant, le vide que crée le décès du docteur François Guillon est perceptible. Il faut dire que l’ORL (oto-rhino-laryngologiste) exerçait dans ces murs depuis près de vingt ans.

Sur le parking, la place qui lui était réservée est ornée d’un discret bouquet de roses blanches. Une collecte pour les obsèques a aussi été organisée spontanément, dès le lundi. Certains membres du personnel sont très bouleversés.

« Un énorme service »

« Dans une équipe, des liens se créent forcément. Nous avons mis en place une cellule psychologique pour les salariés qui ont besoin de s’exprimer », explique Bertrand Desprets, directeur général délégué de la polyclinique.

François Guillon, décrit comme un homme de caractère, était apprécié à la clinique. Il était très investi, notamment en tant que président de la Commission médicale d’établissement, qui assure le lien entre le personnel médical et l’administration.

Le chirurgien est « une grande perte pour la polyclinique et la population du Ternois ». En témoignent les nombreux appels de patients qui attendent un rendez-vous. « Il avait un gros acte de consultations. Les ORL sont de plus en plus rares donc difficiles à remplacer. Pourtant, nous ne pouvons pas nous passer de leur exercice. En cela, il rendait un énorme service. »

 

 

Source : http://www.lavoixdunord.fr/reg [...] 46n3349442

[Invité §fer278IL]

Encore une triste nouvelle, condoléance à la famille.