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Invité §ren477ny
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Invité §Lei341ot

Espérons qu'ils puissent boire du bon bourgogne!

 

L'État a exigé de la petite commune de Pouilly-en-Auxois d'accueillir plusieurs dizaines de Soudanais, Tchadiens ou Érythréens.

De la « jungle » de Calais aux tranquilles vallons du pays bourguignon, soixante migrants d'Afrique de l'Est ont trouvé un point de chute inattendu dans le bourg rural de Pouilly-en-Auxois (Côte-d'Or). C'est dans une ancienne caserne de gendarmerie reconvertie en centre d'accueil pour migrants que ces Soudanais, Tchadiens ou Érythréens ont élu domicile début février, à la plus grande surprise des 1600 âmes de cette commune. Un lieu d'accueil temporaire pour ces demandeurs d'asile désireux de vivre en France plutôt que de franchir la Manche.

« Pour désengorger Calais de ses quelque 2500 migrants, le ministère de l'Intérieur a demandé à différents opérateurs de logement social dont Adoma (organisme spécialisé dans l'insertion par le logement, NDLR) de chercher des centres d'accueil. Adoma a signé un bail de dix-huit mois pour accueillir jusqu'à 60 migrants dans cette caserne des gendarmes, un bâtiment des années 1960 vacant depuis plusieurs mois », explique la sous-préfète de Beaune, Anne Frackowiak-Jacobs. Une vingtaine de départements seraient concernés par cette « répartition » des migrants.

Après un premier moment de stupeur et d'inquiétude, le maire de Pouilly-en-Auxois, Bernard Milloir (sans étiquette), a pris son parti de cette « décision d'État » qui lui a été imposée. L'élu a simplement émis la demande de ne pas accueillir de familles avec enfants car les « structures scolaires sont déjà remplies au maximum ». Du côté des habitants, la nouvelle a été plus diversement accueillie. « Au début, la population était extrêmement méfiante, surtout par méconnaissance du statut de demandeur d'asile. Il y a eu quelques réactions nauséabondes, des tracts où il était écrit “on vit bien ensemble sans eux”… », rapporte Anne Frackowiak-Jacobs. « Les informations alarmantes sur les heurts avec les migrants à Calais n'ont pas rassuré la population. J'ai reçu des insultes, des lettres anonymes où l'on me traite de c… de maire, un mail injurieux. J'ai même déposé une plainte », confie également Bernard Milloir.[h2]La situation s'est apaisée[/h2]

« Cela a fait peur à certains au début mais beaucoup d'habitants se sont aussi manifestés pour leur apporter de l'aide, donner des vêtements », raconte l'abbé de la paroisse de Pouilly-en-Auxois. Peu après leur arrivée, nombre de villageois ont d'ailleurs eu l'occasion de rencontrer les nouveaux venus lors d'une… « soirée crêpe » organisée au château de Chailly voisin.

Aujourd'hui, près d'un mois après l'arrivée des migrants, la situation s'est apaisée, s'accordent à penser le maire et la sous-préfète de Beaune. « Les migrants se promènent en ville sans problème. Il ne faut pas oublier que ce sont des demandeurs d'asile, ils veulent apprendre le français, certains sont francophones et le parlent déjà. Il y a même un Soudanais qui peut citer Voltaire », s'étonne Anne Frackowiak-Jacobs.

Arrivés « très fatigués », « vêtu seulement d'un survêtement par moins 6 °C » pour l'un d'entre eux, les demandeurs d'asile découvrent pour leur part des conditions de vie bien moins précaires qu'à Calais. « Ils sont accompagnés dans leurs démarches par Adoma. Cinq d'entre eux ont obtenu le statut de réfugié et doivent quitter le centre d'ici à trois mois. Ceux qui sont déboutés devront également partir », souligne la sous-préfète de Beaune. Seront-ils remplacés par de nouveaux arrivants? « Nous attendons l'arrivée de 30 autres migrants en mars, indique Bernard Milloir. Et nous ne savons pas si le bail de dix-huit mois sera renouvelé et si ce dispositif d'accueil temporaire service asile va se prolonger. »

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Invité §Lei341ot

L'ancien vice-Premier ministre de Boris Eltsine, opposant à Vladimir Poutine et organisateur de marches pacifiques contre la guerre en Ukraine, a été abattu vendredi en plein centre-ville.

L'opposant russe Boris Nemtsov a été tué par balle en plein centre de Moscou dans la nuit de vendredi à samedi, « un assassinat qui a tout d'une provocation », selon le président Vladimir Poutine cité par son porte-parole, précisant que le meurtre avait les apparences d'un « contrat ».

Boris Nemtsov se promenait avec une jeune femme venant d'Ukraine sur le Grand Pont de pierre, juste à côté du Kremlin, quand « une voiture s'est approché d'eux, quelqu'un a tiré des coups de feu, dont quatre l'ont touché dans le dos, causant sa mort », a déclaré une porte-parole du ministère russe de l'Intérieur, Elena Alexeeva, à la chaîne de télévision Rossia 24.

La police a indiqué que plusieurs personnes avaient été témoins de l'assassinat. « Devant moi, je vois le corps de Boris. Il y a beaucoup de policiers autour », a déclaré un proche de M. Nemtsov, l'opposant Ilia Iachine, à Ria Novosti.

Boris Nemtsov était l'ancien vice-Premier ministre de Boris Eltsine et organisateur de marches pacifiques contre la guerre en Ukraine. Il devait participer dimanche à l'une des plus importantes démonstrations de protestation depuis des mois dans la capitale russe.

Fervent opposant au président russe, il était le leader du mouvement d'opposition Solidarnost aux côtés de l'ancien champion d'échecs Garry Kasparov.

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Invité §Lei341ot

Strasbourg (AFP) - Le débat sur la fessée pourrait être relancé en France, après une décision du Conseil de l'Europe mercredi à la suite d'une réclamation d'une ONG britannique qui reproche à la loi française de ne pas interdire totalement d'infliger des châtiments corporels aux enfants.

Dans cette décision, il sera affirmé que le droit français ne prévoit pas d'"interdiction suffisamment claire, contraignante et précise", selon le site internet du journal Le Monde, une information qui n'a pas été confirmée à Strasbourg.

Réagissant à l'article du site, la secrétaire d'Etat à la Famille, Laurence Rossignol, s'est déclarée lundi "favorable à une éducation sans violence", mais estimé que convaincre les parents d'abandonner les punitions corporelles ne passait pas par la loi.

"On n'a pas besoin de loi" sur le sujet, "en revanche on a besoin d'une réflexion collective sur la question de l'utilité des punitions corporelles dans l'éducation des enfants", a-t-elle réagi, interrogée par l'AFP.

L'association pour la protection des enfants Approach allègue que la France viole un article de la Charte sociale européenne, en raison de "l'absence d'interdiction explicite et effective de tous les châtiments corporels envers les enfants".

Sa réclamation a été déclarée recevable en juillet dernier par le Comité européen des droits sociaux (CEDS) du Conseil de l'Europe, organisation paneuropéenne chargée de favoriser le dialogue sur la démocratie et les droits de l'homme.

Le rappel à l'ordre sur les châtiments corporels par le CEDS, s'il se confirme mercredi, n'est pas inédit : le même comité a déjà par trois fois depuis 2003 constaté que le droit français violait la Charte sociale européenne. La différence cette fois, c'est que sa décision découle de la réclamation d'une ONG.

A la différence d'un arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), bras judiciaire du Conseil de l'Europe, la procédure devant le CEDS ne prévoit pas de sanctions, mais la France n'en est pas moins tenue de se conformer à ses décisions.

Le Conseil de l'Europe incite depuis plusieurs années ses Etats membres à bannir les châtiments corporels infligés aux enfants. A ce jour, 27 des 47 pays membres de l'organisation ont adopté une législation en ce sens, à commencer par la Suède, élève modèle dès 1979 et chantre de la "parentalité positive", qui promeut une éducation sans punitions physiques d'aucune sorte.

Mais d'autres pays européens, dont la France, ne les ont interdites que partiellement, comme à l'école ou en milieu pénitentiaire.

En mai, un amendement contre la fessée avait bien été proposé par les écologistes à l'occasion du débat parlementaire sur la loi sur la famille. Mais l'amendement avait été retiré par les députés et renvoyé à un texte ultérieur.

- Le 'droit de correction' visé -

Tout en sanctionnant les violences faites aux enfants, le droit coutumier français tolère un "droit de correction" au sein de la famille, à condition que cette correction soit légère et qu'elle ait un but éducatif.

Les juges français jouissent ainsi d'une large liberté d'interprétation en la matière. Ce qui donne parfois lieu à des décisions polémiques, comme en octobre 2013 lorsqu'un père de famille avait été condamné à 500 euros d'amende pour une fessée déculottée administrée à son fils de neuf ans.

L'affaire avait suscité de nombreuses réactions sur internet, la plupart des intervenants jugeant cette condamnation disproportionnée.

Dans sa réponse sur le fond de la réclamation d'Approach en septembre dernier, la France avait estimé que son arsenal législatif contenait déjà "les dispositions nécessaires permettant d'interdire et de sanctionner" les violences envers les enfants, et avait souligné qu'en pratique les juges condamnaient les châtiments corporels "à condition qu'ils atteignent un seuil de gravité", conformément à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme.

L'article 17-1 de la Charte sociale européenne révisée en 1996, signée par 45 Etats membres du Conseil de l'Europe mais ratifiée par seulement 33 d'entre eux (dont la France en 1999), dispose notamment qu'il convient de "protéger les enfants et les adolescents contre la négligence, la violence ou l'exploitation".

Approach avait déposé en 2013 des réclamations contre six autres pays : Chypre, Belgique, Irlande, République tchèque, Slovénie et Italie.

L'action contre Chypre a depuis été retirée et deux autres ont été retoquées par le Conseil de l'Europe, qui n'a pas encore statué sur les trois restantes.

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Invité §Lei341ot

De mieux en mieux!

 

La bêtise humaine n'a pas de limite. Selon des informations publiées par Ouest-France, un homme a été condamné à deux ans de prison, lundi à Nantes, car il démarchait des clients sur une aire d'autoroute en vue de prostituer sa femme, handicapée à plus de 80%. L'information serait remontée d'un client, choqué par la détresse de cette femme. Tarif de la passe : 20 €, deux bouteilles de pastis ou cinq cigarettes...

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Invité §Lei341ot

Le client a été choqué, mais il a été client quand même!

La culpabilité névrotique-sociale, y'a rien de mieux comme arme de délation... :gun:

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Invité §cur863KI

le mec qui s'est fait démarché, qui a eu la proposition, n'a pas forcément été client...

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Invité §rs_584kx

 

La bêtise humaine n'a pas de limite. Selon des informations publiées par Ouest-France, un homme a été condamné à deux ans de prison, lundi à Nantes, car il démarchait des clients sur une aire d'autoroute en vue de prostituer sa femme, handicapée à plus de 80%. L'information serait remontée d'un client, choqué par la détresse de cette femme. Tarif de la passe : 20 €, deux bouteilles de pastis ou cinq cigarettes...

 

Juste pour ma culture perso: comment est mesuré / estimé ce pourcentage?

 

 

Sinon +1, effectivement la bêtise humaine est illimitée...

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Invité §Lei341ot

le mec qui s'est fait démarché, qui a eu la proposition, n'a pas forcément été client...

 

 

Ne me dis pas que c'était toi? :sol:

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Invité §Lei341ot

Juste pour ma culture perso: comment est mesuré / estimé ce pourcentage?

 

Sinon +1, effectivement la bêtise humaine est illimitée...

 

 

C'est compliqué et pas toujours logique.

Le taux est calculé par rapport à une inaptitude au travail en fonction d'une atteinte particulièrement invalidante.

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Invité §cur863KI

 

Ne me dis pas que c'était toi? :sol:

 

 

 

J'habite pas loin de Nantes! 1506430399_ae92.gif.cb8e7e35918f36d6f621f4ce0ba3b4c1.gif

 

D'ailleurs, pour 5 cigarettes, ca vaut le coup!

Pour 2 bouteilles de pastis, un peu moins ...

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Invité §Lei341ot

Manuel Valls s'en est pris au philosophe Michel Onfray, qu'il a accusé de "perdre les repères" et de préférer l'intellectuel de la Nouvelle droite, Alain de Benoist, à Bernard-Henri Lévy.

 

"Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu'Alain de Benoist, qui était le philosophe de la Nouvelle droite dans les années 70 et 80, qui d'une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l'Horloge, le Grece, (...) au fond vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu'on perd les repères", a dénoncé le Premier ministre sur Europe 1/iTELE/Le Monde.

 

"Dans ce moment-là, mon rôle, le rôle des formations politiques, c'est de faire en sorte qu'on comprenne quels sont les enjeux", a-t-il confié.

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C'est sauve qui peut au PS en ce moment, on allume des contre feux à tout-va (Guéant, diabolisation du FN) pour récupérer le plus de voix possible... rossocorsa300.gif.075855f12e7f437b3e5b5ff66aea3637.gif

 

La raclée aux prochaines élections risque d'être KoloSSale et monumentale pour les socialos... david62000.gif.264bb9a05123a5e88978b812e65ad54e.gif

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Invité §Lei341ot

C'est sauve qui peut au PS en ce moment, on allume des contre feux à tout-va (Guéant, diabolisation du FN) pour récupérer le plus de voix possible... rossocorsa300.gif.075855f12e7f437b3e5b5ff66aea3637.gif

 

La raclée aux prochaines élections risque d'être KoloSSale et monumentale pour les socialos... david62000.gif.264bb9a05123a5e88978b812e65ad54e.gif

 

 

 

:ouimaitre:

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Invité §Lei341ot

L'occupante de l'appartement, situé rue Thiers (1er arr.) à Marseille, une dame de 87 ans, n'en a pas cru ses yeux. Hier, à 5 heures du matin, elle a découvert dans une chambre inoccupée de son logement deux individus paisiblement endormis, qui portaient au poignet plusieurs de ses bracelets. Sans perdre son sang-froid, la vieille dame a discrètement prévenu les forces de l'ordre qui se sont immédiatement rendues sur place et ont réveillé en douceur les deux intrus...

La Provence 19/03/15

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Invité §fer278IL

Génial le système, pourquoi ne pas l'avoir adapté à ce jour?????

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Invité §cur863KI

Génial le système, pourquoi ne pas l'avoir adapté à ce jour?????

 

 

Parce qu'on ne le voit jamais prendre un virage!

est-ce que la voiture est capable de rouler normalement ?

Pas sûr...

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Invité §Gas660Rm

Génial le système, pourquoi ne pas l'avoir adapté à ce jour?????

Un ingénieur français avait inventé un système similaire et s'indignait qu'aucun constructeur automobile n'ait adopté son système.

Effectivement, j'imagine le massacre en cas de fausse manoeuvre en virage, ou même en ligne droite!

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Invité §der618nQ

le moindre porte à faux à l'arrière et tu arrache tout en pivotant....

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Invité §rs_584kx

Il me semble qu'un designer excentrique (du genre Sbarro, d'ailleurs c'était peut-être lui?) avait créé quelque chose d'approchant, avec deux roues qui sortaient sous l'arrière de la carrosserie et permettaient de faire pivoter la voiture autour du train avant. Mais je n'ai pas retrouvé le nom de cet engin et je doute même qu'il y ait eu ne serait-ce qu'un exemplaire réellement commercialisé. Pour autant que je me souvienne c'était une voiture très compacte, presque dénuée de porte-à-faux, façon Smart Fortwo.

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Invité §Lei341ot

Royale ou quatre fromages?

 

 

 

Un père de famille new-yorkais a été condamné à une peine d'au moins 20 ans de réclusion ce jeudi pour avoir tué son fils en lui faisant manger une pizza sur laquelle il avait versé de la mort aux rats.

Son fils, âgé de cinq ans, était mort après avoir mangé cette pizza, et sa fille de sept ans avait été gravement intoxiquée.

Selon le parquet, Leonardo Espinal, 49 ans, a commis ce crime en novembre 2012 pour se venger de son ex-femme, après avoir découvert que celle-ci fréquentait un autre homme.

L'accusé avait écrit une note indiquant qu'il allait se suicider, avant de donner à manger à ses enfants une pizza empoisonnée. Lui-même avait également mangé un morceau de cette pizza.

Sa fille Mia a vomi mais Leonardo Espinal s'est enfermé dans la salle de bain avec son fils Steward et a refusé de sortir.

La belle-mère de l'accusé a appelé les secours mais quand la police a réussi à défoncer la porte pour entrer il était trop tard. Son fils a été retrouvé mort dans la baignoire. Son décès est lié à son empoisonnement, et au fait qu'il a été maintenu la tête sous l'eau.

Leonardo Espinal avait plaidé coupable le mois dernier d'homicide et de tentative d'homicide. Il a été condamné jeudi à une peine de 20 ans de réclusion au minimum, qui peut se prolonger jusqu'à une peine de prison à perpétuité.

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Invité §Lei341ot

Patrick Pelloux, l'urgentiste "démago-hystéro-donneur de leçons-pleurnicheur dans le cou de Hollande" flaire le bons coup, et montre enfin son vrai visage d'e*****é qu'il est.

A Marseille, on appelle ça une "grosse m***e".

 

 

Dans un courriel dont l'AFP a obtenu une copie, Laurent Léger précise que ce collectif réunit onze collaborateurs, dont lui-même, l'urgentiste Patrick Pelloux et le dessinateur Luz. Ce collectif a engagé deux avocats, Antoine Comte et Stéphane Servant.

Charlie Hebdo est détenu actuellement à 40% par les parents de Charb, ayants droit de leur fils tué dans l'attaque du 7 janvier, 40% par le dessinateur Riss, nouveau directeur de la publication blessé à l'épaule, et 20% par Eric Portheault, directeur général.

"La direction l'a appris mercredi. Nous prenons acte des souhaits des salariés d'être associés à la vie du journal. Mais nous sommes très loin de la réflexion sur l'actionnariat", a commenté l'avocat du journal, expliquant que les dirigeants étaient "navrés" de cette initiative.

"Riss est encore à l'hôpital, les parts de Charb sont gelées par la succession de Charb. Tout cet argent fait plus de mal que de bien. Cela fait penser à ces enterrements où on se bat déjà en revenant du cimetière pour les bijoux de la grand-mère", a-t-il regretté.

"Pour le moment, on n'est pas associé aux choix. Il n'y a rien contre la direction actuelle, aucun conflit avec qui que ce soit, mais par rapport à ce qui s'est passé, les salariés veulent être davantage acteurs de l'entreprise", a déclaré pour sa part Patrick Pelloux, joint par l'AFP.

"A partir du moment où une entreprise est décimée, vous vous sentez complétement liés à elle", plaide-t-il. "Il ne s'agit pas de se partager le gâteau. L'argent ne nous intéresse pas". ( on va te croire!)

Contacté par l'AFP, Laurent Léger a seulement répondu qu'il s'agissait de "discussions internes au journal".

Juste avant l'attentat jihadiste qui a tué douze personnes de son équipe, le journal, au bord de la faillite, ne se vendait qu'à 30 000 exemplaires. Il a depuis vu affluer les dons, les abonnements et vendu à plus de 7 millions d'exemplaires son "numéro des survivants", sorti le 14 janvier. En tout, Charlie Hebdo pourrait recueillir jusqu'à 30 millions d'euros.

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Il me semble qu'un designer excentrique (du genre Sbarro, d'ailleurs c'était peut-être lui?) avait créé quelque chose d'approchant, avec deux roues qui sortaient sous l'arrière de la carrosserie et permettaient de faire pivoter la voiture autour du train avant. Mais je n'ai pas retrouvé le nom de cet engin et je doute même qu'il y ait eu ne serait-ce qu'un exemplaire réellement commercialisé. Pour autant que je me souvienne c'était une voiture très compacte, presque dénuée de porte-à-faux, façon Smart Fortwo.

 

 

Yes, il s'agissait de la Sbarro Robur :)

 

http://www.heberger-image.fr/data/images/93303_Sbarro_Robur_arriere.jpg

http://www.heberger-image.fr/data/images/96458_bild_63936.gif

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