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Impôts, tout le monde va trinquer !!!!


Invité §ren584rX

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Invité §Lei341ot

 

La fameuse "approche globale", développée dans les ZSP, est-elle efficace ? Quel est l'impact sur la population de ce concept sécuritaire censé nettoyer les 39 cités marseillaises du trafic de stups ? En octobre dernier, la préfecture de police décidait d'en avoir le coeur net. Elle commandait donc un rapport à un policier retraité, Serge Supersac, afin d'observer son effet à l'échelle d'un quartier.

 

Le choix s'arrêtait sur Frais-Vallon (13e) pour un examen de deux mois et demi. Le 20 décembre dernier, le chercheur remettait ses conclusions de 53 pages au préfet et l'Observatoire régional de la délinquance et des contextes sociaux (ORDCS) les mettait en ligne sur son site internet. Quelques semaines seulement... Un coup de fil du cabinet exigera qu'il soit immédiatement retiré...

Remisé dans un tiroir préfectoral

Pourquoi ce rapport, commandé et payé, a-t-il été censuré et remisé dans un tiroir préfectoral ? "Pas assez objectif", argumente la préfecture (voir encadré)."J'ai répondu honnêtement, rétorque Serge Supersac. Je ne suis pas là pour flatter le préfet". Mais ses conclusions ont dû faire tousser jusqu'au sommet de l'État. Selon le rapport de l'ancien policier, ce dispositif sécuritaire, jugé"innovant" et "spécifique" par l'ancien ministre de l'Intérieur est... inefficace !

Outre son aspect endémique, Serge Supersac a pu constater sur le terrain que le trafic s'adaptait parfaitement aux diverses opérations de police. "La population a appris à vivre avec. Il fait partie du quotidien, observe-t-il. Surtout qu'après l'héroïne, l'arrivée du cannabis a été considérée comme un mieux". Dans un souci de bon voisinage, les "choufs" aident régulièrement les mères de famille à monter leurs courses.

 

"La forte pression policière induit des réflexes de solidarité corpo ra tistes"

Un échange de bons procédés qui aurait même conduit, selon l'auteur du rapport, un gardien à confier la propreté d'un couloir à un "charbonneur"... D'où un effet assez limité des opérations de police. "Le trafic ne s'arrête jamais, assène Serge Supersac. Même quand il y a les CRS !" Selon son rapport, les clients sont envoyés vers d'autres points de deal qui s'ouvrent de façon transitoire ou vers d'autres cités. "Il y a des règlements de comptes mais il y a aussi de l'entraide, même si on n'en est pas encore à la mise en place d'un syndicat de dealers, note, surpris, le chercheur. Cette forte pression policière induit des réflexes de solidarité corpo ra tistes."

 

'après l'ancien policier, ce sont surtout les habitants qui subissent des pressions à l'issue des actions des forces de l'ordre. "Les membres du réseau deviennent nerveux, détaille le rapport. Un jour, des policiers se sont déguisés en ascensoristes. Du coup, tous les techniciens étaient devenus suspects". Plus grave, Serge Supersac raconte qu'à la suite de l'interpellation d'un chef de réseau, son remplaçant avait décidé de faire des économies en réduisant le nombre de guetteurs. Pour limiter les accès désormais sans surveillance, il avait aussi verrouillé les portes des escaliers, mettant ainsi en danger les riverains, notamment en cas d'incendie.

"On se rend compte que les CRS n'ont pas de consignes précises. Alors qu'ils doivent lutter contre les trafics, ils font aussi des contrôles routiers, souligne-t-il. Il n'y a pas de véritable dialogue. Du coup, personne ne comprend vraiment ce qu'ils font là. Pour la population, Brennus ou approche globale, c'est ésotérique, de la gesticulation policière. Eux, les habitants, ils ne pensent qu'à remplir leur frigo". Dubitatif sur l'effet durable de ces actions, "des pansements alors qu'il faut des points de suture", Serge Supersac déplore que "les policiers répondent à une productivité alors qu'ils doivent être régulateurs de paix". "Ce concept d'approche globale n'est pas totalement inutile mais il faut profiter de cette dynamique pour reprendre pied parmi la population, martèle-t-il. Tant que la police n'ira pas vers la population, ça ne marchera pas. Les faits sont têtus !"<hr style="height:1px;border:0px solid #808080;background-color:rgb(147,149,152);color:rgb(147,149,152);margin:22px 0px;" />

"Pas objectif", selon la préfecture

Sollicitée au sujet de la censure de ce rapport qu'elle avait pourtant commandé, la préfecture de police estime que "le résultat de cette étude n'a pas répondu à la demande initiale, à savoir connaître le ressenti de la population de Frais-Vallon par rapport à l'approche globale". "L'étude produite comportait essentiellement le propre avis de M.Supersac sur la façon notamment d'organiser la police marseillaise, argumente la préfecture. Il n'y a quasiment pas d'éléments objectifs chiffrés et argumentés sur l'impact de l'approche globale auprès des habitants de ce quartier, affirme le cabinet du préfet. Dès lors, ce rapport n'avait pour nous pas d'utilité. Par ailleurs, il s'agissait d'une commande pour disposer d'un outil de travail interne qui n'avait nullement vocation à être publié". Mais comme le préfet de police est toujours "soucieux d'évaluer le dispositif mis en place dans les ZSP", il a d'ores et déjà lancé des démarches"pour faire réaliser une évaluation de l'approche globale par une ou plusieurs entités neutres et extérieures au périmètre policier". "Ce sont pourtant eux qui sont venus me chercher, rétorque Serge Supersac. Mais manifestement, ils se sont trompés. En voyant mon passé de policier, ils ont pensé que je rentrerais dans le rang. J'ai réalisé un travail objectif, qui n'était pas destiné à faire plaisir à qui que ce soit."<hr style="height:1px;border:0px solid #808080;background-color:rgb(147,149,152);color:rgb(147,149,152);margin:22px 0px;" />

L'auteur

Ancien gardien de la paix et CRS, notamment à Marseille, Serge Supersac collabore régulièrement avec l'Institut national des hautes études de sécurité et avec l'Observatoire régional de la délinquance et des contextes sociaux (ORDCS). Depuis plus de dix ans, il travaille sur la relation police-population. Il a notamment réalisé une étude sur l'UPU (Unité de prévention urbaine), brigade qui existe uniquement à Marseille, intitulée "Le meilleur au milieu du pire".

Approché par le cabinet du préfet de police en octobre dernier pour vérifier l'impact des nouveaux dispositifs de sécurité sur la population, il a pris l'exemple de la cité de Frais-Vallon. Un choix arrêté en concertation avec la préfecture. Pendant deux mois et demi, il a rencontré des habitants, des commerçants, des travailleurs sociaux et même des dealers.

 

Retrouvez dans La Provence d'aujourd'hui et dans notre édition Abonnés :"Les différentes méthodes pour assainir les cités du trafic de drogue"

Laetitia Sariroglou

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Invité §Lei341ot

Si les écologistes ne voulaient être de la nouvelle équipe de Manuel Valls, Christiane Taubira était à deux doigts de laisser tomber aussi. Convaincue à la dernière minute, elle avait deux conditions : conserver la Justice et s'assurer de la mise en place de la réforme pénale.

Elle avait déjà fait ses adieux à son équipe au ministère de la Justice. Le Monde raconte que Christiane Taubira ne s'attendait pas à rempiler dans la nouvelle équipe gouvernementale autour de Manuel Valls . Et elle ne le souhaitait pas.

« J'ai envie de rentrer chez moi. Ça suffit. Tout ça me gonfle », a-t-elle confié à des proches. « Moi, j'ai plus envie de mon Amazonie », a lancé Christiane Taubira, déclinant l'offre dans un premier temps, avant de se laisser convaincre.

Mais le chef de l'État lui a laissé de nombreux messages. Même Arnaud Montebourg, dont elle est proche, y est allé de son lobbying. Selon le quotidien du soir, il lui a rendu visite deux fois pour la convaincre.

Mardi, la veille de l'annonce du nouveau gouvernement, Christiane Taubira a gardé, y compris devant ses plus proches collaborateurs, un silence et un visage de sphinx, ne laissant rien paraître des tractations en cours. Au cours de la journée, elle a été reçue par Manuel Valls à Matignon. « Le président tient à ce que tu sois là. C'est important pour la gauche », a développé le nouveau premier ministre. « Le premier ministre n'avait pas beaucoup le choix pour renforcer sa majorité dans son propre camp. Il lui fallait donner des garanties à la gauche du Parti socialiste », a décrypté une source au Figaro. Manuel Valls lui propose alors plusieurs portefeuilles: la Culture, puis l'Éducation.

Pour elle, ce sera à nouveau la Justice, alors que la place avait été proposée à Bertrand Delanoë mardi matin, selon les informations du Figaro . Mais la ministre s'inquiète de voir passer à la trappe son texte clé, celui de la réforme pénale. « Je n'ai pas de garanties sur la réforme pénale », fait-elle remarquer à Manuel Valls par SMS. « La réforme n'est que différée », essaie de la rassurer le premier ministre.

Finalement, elle acceptera le poste. Mais fait savoir depuis sa nomination combien elle tient à ce que le texte sur la réforme pénale, qui devait être examiné à l'Assemblée la semaine dernière, soit bien mis en œuvre.

"Dire qu'un poste de ministre de la Justice la gonfle, c'est plutôt gonflé, effectivement"

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Invité §Gas660Rm

 

La fameuse "approche globale", développée dans les ZSP, est-elle efficace ? Quel est l'impact sur la population de ce concept sécuritaire censé nettoyer les 39 cités marseillaises du trafic de stups ? En octobre dernier, la préfecture de police décidait d'en avoir le coeur net. Elle commandait donc un rapport à un policier retraité, Serge Supersac, afin d'observer son effet à l'échelle d'un quartier.

 

Le choix s'arrêtait sur Frais-Vallon (13e) pour un examen de deux mois et demi. Le 20 décembre dernier, le chercheur remettait ses conclusions de 53 pages au préfet et l'Observatoire régional de la délinquance et des contextes sociaux (ORDCS) les mettait en ligne sur son site internet. Quelques semaines seulement... Un coup de fil du cabinet exigera qu'il soit immédiatement retiré...

Remisé dans un tiroir préfectoral

Pourquoi ce rapport, commandé et payé, a-t-il été censuré et remisé dans un tiroir préfectoral ? "Pas assez objectif", argumente la préfecture (voir encadré)."J'ai répondu honnêtement, rétorque Serge Supersac. Je ne suis pas là pour flatter le préfet". Mais ses conclusions ont dû faire tousser jusqu'au sommet de l'État. Selon le rapport de l'ancien policier, ce dispositif sécuritaire, jugé"innovant" et "spécifique" par l'ancien ministre de l'Intérieur est... inefficace !

Outre son aspect endémique, Serge Supersac a pu constater sur le terrain que le trafic s'adaptait parfaitement aux diverses opérations de police. "La population a appris à vivre avec. Il fait partie du quotidien, observe-t-il. Surtout qu'après l'héroïne, l'arrivée du cannabis a été considérée comme un mieux". Dans un souci de bon voisinage, les "choufs" aident régulièrement les mères de famille à monter leurs courses.

 

"La forte pression policière induit des réflexes de solidarité corpo ra tistes"

Un échange de bons procédés qui aurait même conduit, selon l'auteur du rapport, un gardien à confier la propreté d'un couloir à un "charbonneur"... D'où un effet assez limité des opérations de police. "Le trafic ne s'arrête jamais, assène Serge Supersac. Même quand il y a les CRS !" Selon son rapport, les clients sont envoyés vers d'autres points de deal qui s'ouvrent de façon transitoire ou vers d'autres cités. "Il y a des règlements de comptes mais il y a aussi de l'entraide, même si on n'en est pas encore à la mise en place d'un syndicat de dealers, note, surpris, le chercheur. Cette forte pression policière induit des réflexes de solidarité corpo ra tistes."

 

'après l'ancien policier, ce sont surtout les habitants qui subissent des pressions à l'issue des actions des forces de l'ordre. "Les membres du réseau deviennent nerveux, détaille le rapport. Un jour, des policiers se sont déguisés en ascensoristes. Du coup, tous les techniciens étaient devenus suspects". Plus grave, Serge Supersac raconte qu'à la suite de l'interpellation d'un chef de réseau, son remplaçant avait décidé de faire des économies en réduisant le nombre de guetteurs. Pour limiter les accès désormais sans surveillance, il avait aussi verrouillé les portes des escaliers, mettant ainsi en danger les riverains, notamment en cas d'incendie.

"On se rend compte que les CRS n'ont pas de consignes précises. Alors qu'ils doivent lutter contre les trafics, ils font aussi des contrôles routiers, souligne-t-il. Il n'y a pas de véritable dialogue. Du coup, personne ne comprend vraiment ce qu'ils font là. Pour la population, Brennus ou approche globale, c'est ésotérique, de la gesticulation policière. Eux, les habitants, ils ne pensent qu'à remplir leur frigo". Dubitatif sur l'effet durable de ces actions, "des pansements alors qu'il faut des points de suture", Serge Supersac déplore que "les policiers répondent à une productivité alors qu'ils doivent être régulateurs de paix". "Ce concept d'approche globale n'est pas totalement inutile mais il faut profiter de cette dynamique pour reprendre pied parmi la population, martèle-t-il. Tant que la police n'ira pas vers la population, ça ne marchera pas. Les faits sont têtus !"<hr style="height:1px;border:0px solid #808080;background-color:rgb(147,149,152);color:rgb(147,149,152);margin:22px 0px;" />

"Pas objectif", selon la préfecture

Sollicitée au sujet de la censure de ce rapport qu'elle avait pourtant commandé, la préfecture de police estime que "le résultat de cette étude n'a pas répondu à la demande initiale, à savoir connaître le ressenti de la population de Frais-Vallon par rapport à l'approche globale". "L'étude produite comportait essentiellement le propre avis de M.Supersac sur la façon notamment d'organiser la police marseillaise, argumente la préfecture. Il n'y a quasiment pas d'éléments objectifs chiffrés et argumentés sur l'impact de l'approche globale auprès des habitants de ce quartier, affirme le cabinet du préfet. Dès lors, ce rapport n'avait pour nous pas d'utilité. Par ailleurs, il s'agissait d'une commande pour disposer d'un outil de travail interne qui n'avait nullement vocation à être publié". Mais comme le préfet de police est toujours "soucieux d'évaluer le dispositif mis en place dans les ZSP", il a d'ores et déjà lancé des démarches"pour faire réaliser une évaluation de l'approche globale par une ou plusieurs entités neutres et extérieures au périmètre policier". "Ce sont pourtant eux qui sont venus me chercher, rétorque Serge Supersac. Mais manifestement, ils se sont trompés. En voyant mon passé de policier, ils ont pensé que je rentrerais dans le rang. J'ai réalisé un travail objectif, qui n'était pas destiné à faire plaisir à qui que ce soit."<hr style="height:1px;border:0px solid #808080;background-color:rgb(147,149,152);color:rgb(147,149,152);margin:22px 0px;" />

L'auteur

Ancien gardien de la paix et CRS, notamment à Marseille, Serge Supersac collabore régulièrement avec l'Institut national des hautes études de sécurité et avec l'Observatoire régional de la délinquance et des contextes sociaux (ORDCS). Depuis plus de dix ans, il travaille sur la relation police-population. Il a notamment réalisé une étude sur l'UPU (Unité de prévention urbaine), brigade qui existe uniquement à Marseille, intitulée "Le meilleur au milieu du pire".

Approché par le cabinet du préfet de police en octobre dernier pour vérifier l'impact des nouveaux dispositifs de sécurité sur la population, il a pris l'exemple de la cité de Frais-Vallon. Un choix arrêté en concertation avec la préfecture. Pendant deux mois et demi, il a rencontré des habitants, des commerçants, des travailleurs sociaux et même des dealers.

 

Retrouvez dans La Provence d'aujourd'hui et dans notre édition Abonnés :"Les différentes méthodes pour assainir les cités du trafic de drogue"

Laetitia Sariroglou

Eh oui, comme toujours, nos chers (très chers!) dirigeants sont totalement coupés de la réalité du terrain, très loin de la vraie vie.

 

Leur dogmatisme les rend inaptes à toute analyse critique. Ils demandent un rapport, le rapport n'abonde pas dans leur sens, pas grave, on le retire et on en demandera un autre qui pourra les conforter dans leurs erreurs.

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Invité §the115Jl

Ancien gardien de la paix et CRS, notamment à Marseille, Serge Supersac collabore régulièrement avec l'Institut national des hautes études de sécurité et avec l'Observatoire régional de la délinquance et des contextes sociaux (ORDCS). Depuis plus de dix ans, il travaille sur la relation police-population. Il a notamment réalisé une étude sur l'UPU (Unité de prévention urbaine), brigade qui existe uniquement à Marseille, intitulée "Le meilleur au milieu du pire".

Approché par le cabinet du préfet de police en octobre dernier pour vérifier l'impact des nouveaux dispositifs de sécurité sur la population, il a pris l'exemple de la cité de Frais-Vallon. Un choix arrêté en concertation avec la préfecture. Pendant deux mois et demi, il a rencontré des habitants, des commerçants, des travailleurs sociaux et même des dealers.

 

il faut dire qu'avec un nom pareil pour ce pauvre policier : Mr SUPERSAC , :sol: quand on se souvient de ce que fut le S.A.C et ses dérives dans la région ..!

En règle générale, je n'aime pas trop les jugements d' 1 seule personne !!

quant à l'entraide entre reseau de cannabis ; laissez moi rire !!

Au contraire !!c'est la meilleure façon de prendre des positions plus fortes ; d'où les règlements de comptes à répétitions ; de là à dire que c'est la présence policière qui provoque ses guerres ; qui va s' en plaindre ? pas moi !!! :lol: :lol:

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Invité §bry701ZI

-Impôts, tout le monde va trinquer !!!!

 

-Sionisme

 

:voyons:

 

Ne me lancez pas sur Israël et cie, je serai intarissable :cyp:

 

En sommes nous ne pouvons plus parler ici du gouvernement si j'ai bien compris ?... :ange:

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Invité §Lei341ot

il est mignon quand même Valls :sol: :sol:

 

 

ça y est.

Tu as des goûts de chiottes, maintenant?

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Invité §sup100qL

En sommes nous ne pouvons plus parler ici du gouvernement si j'ai bien compris ?... :ange:

 

Sisi, t'inquiètes ;)

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Invité §Lei341ot

 

 

 

Tu sembles bien les connaitre, mister Chihuahua

 

//www.youtube.com/embed/MWr81tCPsxE

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Invité §the115Jl

 

ça y est.

Tu as des goûts de chiottes, maintenant?

tu es plus beau que Valls ? :) :) :) :)

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Invité §Lei341ot

tu es plus beau que Valls ? :) :) :) :)

 

 

 

C'est s'abaisser que de se comparer à celui ci...

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Invité §Lei341ot

Ah quand même!

 

 

POLITIQUE - Plus de trois Français sur quatre désapprouvent la nomination du premier secrétaire du PS Harlem Désir comme secrétaire d'Etat et seulement 35% connaissent son probable successeur Jean-Christophe Cambadélis, selon un sondage BVA pour iTélé-CQFD publié samedi 12 avril.

A la question "approuvez-vous la nomination de Harlem Désir comme secrétaire d'Etat au sein du gouvernement", 79% des personnes interrogées répondent par la négative, 16% approuvent et 5% ne se prononcent pas.

Un "mauvais chef de parti"

La désapprobation est particulièrement élevée parmi les sympathisants de droite, avec 95%, contre 3% qui approuvent et 2% qui ne se prononcent pas. Même les sympathisants du PS sont 61% à désapprouver cette entrée au gouvernement du chef du parti, contre 35% qui approuvent et 4% qui ne se prononcent pas.

83% des personnes interrogées jugent que Harlem Désir a été un mauvais chef de parti, contre 11% qui estiment que son bilan était "plutôt bon", 6% ne se prononçant pas. Pour 46% il était "un très mauvais premier secrétaire" du PS, 37% le qualifiant de "plutôt mauvais".

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Invité §Lei341ot

Ah quand même!

 

 

SONDAGE - Un remaniement pour rien? La cote de popularité de François Hollande n'a visiblement pas bénéficié du grand chamboulement post-municipales. Pire, à en croire le baromètre YouGov de ce mois d'avril réalisé pour Le HuffPost et Itélé , le président de la République enregistre un nouveau record d'impopularité avec une chute de 3 points et seulement 13% d'opinions favorables. En tout, ce sont 80% des personnes interrogées qui se disent insatisfaites par l'action du chef de l'Etat.

Cette nouvelle cote d'alerte doit certes être nuancée: 7% des sondés réservent leur avis et se classent donc parmi les indécis. Ce sondage a par ailleurs été réalisé entre le 4 et le 9 avril derniers, soit au lendemain de la nomination des 16 ministres du gouvernement Valls mais avant le discours de politique général du nouveau premier ministre et la publication de la liste définitive de l'exécutif. L'ampleur des changements entrepris par le président de la République n'a donc pas pu pleinement infuser* dans l'opinion.

* j'aime bien le terme utilisé.

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Invité §Lei341ot

Vous me direz, cela ne les empêche pas de continuer à gouverner...

Enfin, à gouverner... :whistle:

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Invité §Lei341ot

Dans un courrier adressé au ministère de l’Economie, les différentes associations du secteur automobile italien réclament la suppression du Superbollo, une taxe sur les véhicules de luxe qui fait perdre davantage de recettes qu’elle n’en rapporte.

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Invité §Lei341ot

Unknown.jpg

"Moi, Président de la République...

 

 

 

L'installation de Ségolène Royal à l'hôtel de Roquelaure, siège du ministère de l'Écologie, a jeté un froid sur le personnel. En cause, des consignes ont été passées oralement, qui forment une sorte de code de conduite en vue de respecter l'étiquette. Le caractère draconien des messages apparaît à beaucoup comme hors norme. Ainsi, il est exigé du personnel féminin une tenue décente avec "interdiction des décolletés", indique une source à l'hôtel de Roquelaure. En vérité, le personnel n'avait pas vraiment besoin de ce rappel pour adopter une tenue tout ce qu'il y a de plus décente...

Contactée par Le Point.fr, Ségolène Royal, qui a démenti l'interdiction des décolletés sur Twitter, indique qu'il s'agit seulement d'un "règlement intérieur sur proposition des services qui est destiné à l'interne et ne donne pas lieu à commentaires externes". Les cancans vont pourtant bon train dans les couloirs de cet hôtel particulier du 7e arrondissement de Paris, édifié en 1722 par le maréchal de Roquelaure... [h3] L'huissier annonce la ministre, on se lève !

[/h3]

Toujours selon le personnel, la "dame de fer" de la région Poitou-Charentes se déplacerait dans les couloirs du ministère précédée d'un huissier qui l'annonce, de sorte que le personnel doit se lever sur son passage. Il est également défendu au personnel de fumer dans la cour et le jardin en présence de la ministre. Lorsque la ministre déjeune dans son salon, les membres de son cabinet ne doivent pas emprunter le couloir adjacent pour cause de nuisances sonores. Si bien que, pour atteindre la salle dite de "la popote", il ne faut pas traîner : les conseillers ministériels doivent s'y hâter avant que la ministre ne pénètre dans son salon. Tant pis pour les retardataires, "la popote" leur sera inaccessible.

Par ailleurs, Ségolène Royal a mis en place le co-working. Traduction concrète : aucun bureau ne doit être occupé par une seule personne, en dehors du sien. Il faut être au moins deux afin de co-worker. Cette règle s'applique à Jean-Louis Bianco, son conseiller spécial, qui partage son bureau avec son chargé de mission... [h3] Le fait du prince

[/h3]

Enfin, une dernière règle un peu curieuse : la permission de dormir dans la cabane de l'hôtel particulier qui abrite les officiers de sécurité ou les chauffeurs a été réglementée. Ainsi, le chauffeur de Frédéric Cuvillier, le secrétaire d'État aux Transports, n'a pas le droit d'y passer la nuit lorsque ce dernier est absent de Paris. "Cette interdiction n'a guère de sens, le chauffeur de Cuvillier habite Boulogne... C'est donc des déplacements en plus lorsqu'il faut aller chercher Cuvillier à l'aéroport", nous explique-t-on à l'intendance de l'hôtel de Roquelaure.

Les principes rigoureux mis en place au ministère de l'Écologie tranchent avec l'atmosphère de laisser-aller de la gauche au pouvoir. Le swap Jouet-Lemas à la Caisse des dépôts, les repassages en tout genre (Dominique Voynet, Harlem Désir...), sans parler de l'affaire Morelle, viennent parasiter le message du gouvernement au moment où celui-ci demande aux Français (les retraités, les fonctionnaires, les collectivités locales) des efforts supplémentaires...

dupond et dupont.jpg

 

"ça ne faisait pourtant pas partie de ses propositions?"

"je dirais même plus, ça ne faisait pas partie de ses propositions"

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Invité §the115Jl

Unknown.jpg

"Moi, Président de la République...

 

 

nooon !!

juste ça et v'là que je fais une crise d'urticaire géante !!!!!!

même pas la force de lire le reste ; tu ne m'en voudras pas ? hein chouchou :sol:

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Unknown.jpg

"Moi, Président de la République...

 

 

 

L'installation de Ségolène Royal à l'hôtel de Roquelaure, siège du ministère de l'Écologie, a jeté un froid sur le personnel. En cause, des consignes ont été passées oralement, qui forment une sorte de code de conduite en vue de respecter l'étiquette. Le caractère draconien des messages apparaît à beaucoup comme hors norme. Ainsi, il est exigé du personnel féminin une tenue décente avec "interdiction des décolletés", indique une source à l'hôtel de Roquelaure. En vérité, le personnel n'avait pas vraiment besoin de ce rappel pour adopter une tenue tout ce qu'il y a de plus décente...

Contactée par Le Point.fr, Ségolène Royal, qui a démenti l'interdiction des décolletés sur Twitter, indique qu'il s'agit seulement d'un "règlement intérieur sur proposition des services qui est destiné à l'interne et ne donne pas lieu à commentaires externes". Les cancans vont pourtant bon train dans les couloirs de cet hôtel particulier du 7e arrondissement de Paris, édifié en 1722 par le maréchal de Roquelaure... [h3] L'huissier annonce la ministre, on se lève !

[/h3]

Toujours selon le personnel, la "dame de fer" de la région Poitou-Charentes se déplacerait dans les couloirs du ministère précédée d'un huissier qui l'annonce, de sorte que le personnel doit se lever sur son passage. Il est également défendu au personnel de fumer dans la cour et le jardin en présence de la ministre. Lorsque la ministre déjeune dans son salon, les membres de son cabinet ne doivent pas emprunter le couloir adjacent pour cause de nuisances sonores. Si bien que, pour atteindre la salle dite de "la popote", il ne faut pas traîner : les conseillers ministériels doivent s'y hâter avant que la ministre ne pénètre dans son salon. Tant pis pour les retardataires, "la popote" leur sera inaccessible.

Par ailleurs, Ségolène Royal a mis en place le co-working. Traduction concrète : aucun bureau ne doit être occupé par une seule personne, en dehors du sien. Il faut être au moins deux afin de co-worker. Cette règle s'applique à Jean-Louis Bianco, son conseiller spécial, qui partage son bureau avec son chargé de mission... [h3] Le fait du prince

[/h3]

Enfin, une dernière règle un peu curieuse : la permission de dormir dans la cabane de l'hôtel particulier qui abrite les officiers de sécurité ou les chauffeurs a été réglementée. Ainsi, le chauffeur de Frédéric Cuvillier, le secrétaire d'État aux Transports, n'a pas le droit d'y passer la nuit lorsque ce dernier est absent de Paris. "Cette interdiction n'a guère de sens, le chauffeur de Cuvillier habite Boulogne... C'est donc des déplacements en plus lorsqu'il faut aller chercher Cuvillier à l'aéroport", nous explique-t-on à l'intendance de l'hôtel de Roquelaure.

Les principes rigoureux mis en place au ministère de l'Écologie tranchent avec l'atmosphère de laisser-aller de la gauche au pouvoir. Le swap Jouet-Lemas à la Caisse des dépôts, les repassages en tout genre (Dominique Voynet, Harlem Désir...), sans parler de l'affaire Morelle, viennent parasiter le message du gouvernement au moment où celui-ci demande aux Français (les retraités, les fonctionnaires, les collectivités locales) des efforts supplémentaires...

dupond et dupont.jpg

 

"ça ne faisait pourtant pas partie de ses propositions?"

"je dirais même plus, ça ne faisait pas partie de ses propositions"

 

 

Ouais, c'est du ragot. vrai ou faux, tu n'en a aucune idée, non ?

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Invité §Lei341ot

Quand ça parle de tes collègues, c'est toujours des ragots, pas vrai?

Je préfère rester calme... :vomi:

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Invité §Lei341ot

François Hollande est considéré comme le moins bon des présidents de la Ve République selon un sondage BVA* réalisé pour Le Parisien dimanche-Aujourd'hui en France . Sans surprise, les Français placent en tête du classement le Général de Gaulle (1959-69) à 36%. Il est suivi par le premier chef de l'État socialiste de la Ve République, François Mitterrand (1981-95), plébiscité à 27%, puis par Nicolas Sarkozy (10%), qui a exercé entre 2007 et 2012.

 

A la quatrième place, Valéry Giscard d'Estaing (1974-1981) et Jacques Chirac (1995-2007) arrivent ex-aequo avec un score de 8%. Ils sont talonnés par Georges Pompidou (7%), en fonction de 1969 à 1974. L'actuel président François Hollande , qui ferme la marche, arrive loin derrière : seuls 0,5% des sondés le considèrent comme le meilleur chef d'Etat. 4% des personnes interrogées ne se prononcent pas.

 

* Enquête réalisée par téléphone et par Internet les 15 et 16 mai 2014 sur 1072 personnes représentatives de la population française, selon la méthode des quotas.

 

0,5%.

Ah quand même!

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Invité §enz615ZM

François Hollande est considéré comme le moins bon des présidents de la Ve République selon un sondage BVA* réalisé pour Le Parisien dimanche-Aujourd'hui en France . Sans surprise, les Français placent en tête du classement le Général de Gaulle (1959-69) à 36%. Il est suivi par le premier chef de l'État socialiste de la Ve République, François Mitterrand (1981-95), plébiscité à 27%, puis par Nicolas Sarkozy (10%), qui a exercé entre 2007 et 2012.

 

A la quatrième place, Valéry Giscard d'Estaing (1974-1981) et Jacques Chirac (1995-2007) arrivent ex-aequo avec un score de 8%. Ils sont talonnés par Georges Pompidou (7%), en fonction de 1969 à 1974. L'actuel président François Hollande , qui ferme la marche, arrive loin derrière : seuls 0,5% des sondés le considèrent comme le meilleur chef d'Etat. 4% des personnes interrogées ne se prononcent pas.

 

* Enquête réalisée par téléphone et par Internet les 15 et 16 mai 2014 sur 1072 personnes représentatives de la population française, selon la méthode des quotas.

 

0,5%.

Ah quand même!

Sa famille représente 0,5 % de la population française ?

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François Hollande est considéré comme le moins bon des présidents de la Ve République selon un sondage BVA* réalisé pour Le Parisien dimanche-Aujourd'hui en France . Sans surprise, les Français placent en tête du classement le Général de Gaulle (1959-69) à 36%. Il est suivi par le premier chef de l'État socialiste de la Ve République, François Mitterrand (1981-95), plébiscité à 27%, puis par Nicolas Sarkozy (10%), qui a exercé entre 2007 et 2012.

 

A la quatrième place, Valéry Giscard d'Estaing (1974-1981) et Jacques Chirac (1995-2007) arrivent ex-aequo avec un score de 8%. Ils sont talonnés par Georges Pompidou (7%), en fonction de 1969 à 1974. L'actuel président François Hollande , qui ferme la marche, arrive loin derrière : seuls 0,5% des sondés le considèrent comme le meilleur chef d'Etat. 4% des personnes interrogées ne se prononcent pas.

 

* Enquête réalisée par téléphone et par Internet les 15 et 16 mai 2014 sur 1072 personnes représentatives de la population française, selon la méthode des quotas.

 

0,5%.

Ah quand même!

 

 

:sarcastic:

 

Pourquoi ne pas dire directement : François Hollande est considéré comme le pire des présidents de la Vème République rossocorsa300.gif.7b7c13e26c65e8faa13fa598e2573052.gif

 

Ah ces journaleux.... :pfff:

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:sarcastic:

 

Pourquoi ne pas dire directement : François Hollande est considéré comme le pire des présidents de la Vème République rossocorsa300.gif.7b7c13e26c65e8faa13fa598e2573052.gif

 

Ah ces journaleux.... :pfff:

 

 

 

+1 :pfff:

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Invité §the115Jl

 

:sarcastic:

 

Pourquoi ne pas dire directement : François Hollande est considéré comme le pire des présidents de la Vème République rossocorsa300.gif.7b7c13e26c65e8faa13fa598e2573052.gif

 

Ah ces journaleux.... :pfff:

le pire et le plus malheureux !!

il s'est pris un "pied" par la pseudo actrice .. réalisatrice (OMG !!! immonde !!)

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Invité §mal081nt

J'en ai parlé dans un autre post mais il a plus sa place ici donc je me permets de le redire ici :

 

J'ai lu dans la presse ceci : une très riche personne (bien connue chez nous) avec ses sociétés : et bien sa femme de ménage ...............paie plus d'impôts que lui ?!?!

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Invité §the115Jl

J'en ai parlé dans un autre post mais il a plus sa place ici donc je me permets de le redire ici :

 

J'ai lu dans la presse ceci : une très riche personne (bien connue chez nous) avec ses sociétés : et bien sa femme de ménage ...............paie plus d'impôts que lui ?!?!

Ben ! c'est qu'il est bien plus intelligent que sa femme de ménage !!! :lol: :lol:

( bien que je doute fort de cette info ou intox !!)

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Invité §Mr 141If

J'en ai parlé dans un autre post mais il a plus sa place ici donc je me permets de le redire ici :

 

J'ai lu dans la presse ceci : une très riche personne (bien connue chez nous) avec ses sociétés : et bien sa femme de ménage ...............paie plus d'impôts que lui ?!?!

 

Ba ouis, on ne paye pas d'impots grace à l'optimisation fiscale, et alors ? au moins ce fric on l'utilise pour faire vivre et travailler des gens qui du coup donneront à leur tour des impots, je ne m'inquiète pas, ce n'est pas de l'argent perdu pour le fisc au final

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