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Alfa Romeo

Chez Jack - LE bordel de la section Alfa


jack
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Hello

 

Petit road trip réservé la semaine du 08 mai avec mon fils : Modène, visite Musées Ferrari, Lambo (avec visite de l'usine) et j'essaie de caler Pagani par la même occasion. Si la météo est avec nous, ça va être mémorable !!

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Petit we prévu à Bruges avec madame, on va en profiter pour sortir le box même si les T° annoncées n'inciteront pas vraiment à la ballade décapotée :D

 

Sinon, notre activité se poursuit. On vient de vendre une belle 147 GTA, ça fait donc la 2ème depuis le début, et le 3ème Arese après le GTV vendu en tout début d'année. La preuve qu'en sélectionnant des beaux modèles, entretenus et suivis, on arrive à vendre. Le plus difficile, qui nous occupe beaucoup, consistant à essayer de dénicher de beaux modèles.

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Merci. On va bientôt, normalement, vendre la corvette C6 et ça serait vraiment top car elle immobilise une part importante de tréso potentielle. Une fois vendue, on pourra acheter plein de busso chouette :D

 

Et ce qui est marrant aussi, c'est qu'on vend aussi des GTA stock (la 1ère, la 147) et les clients nous demandent de les upgrader. Elle a eu droit en 2ème monte aux barres stab, à son Q2, et peut-être bientôt aux combinés.

 

Il y a des amateurs du full stock et d'autres qui veulent profiter sans trop d'arrière pensée de leur jouet donc en améliorant ou fiabilisant ces autos.

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Merci. On va bientôt, normalement, vendre la corvette C6 et ça serait vraiment top car elle immobilise une part importante de tréso potentielle. Une fois vendue, on pourra acheter plein de busso chouette :D

 

Et ce qui est marrant aussi, c'est qu'on vend aussi des GTA stock (la 1ère, la 147) et les clients nous demandent de les upgrader. Elle a eu droit en 2ème monte aux barres stab, à son Q2, et peut-être bientôt aux combinés.

 

Il y a des amateurs du full stock et d'autres qui veulent profiter sans trop d'arrière pensée de leur jouet donc en améliorant ou fiabilisant ces autos.

en meme temps le q2 c est plus une fiabilisation que de l upgrade je trouve

 

un ami va bientot monté un quaife sur sa gt 3.2

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c'est de la sémantique.

Oui le Q2 sert à fiabiliser le différentiel origine faiblard et c'est aussi en même temps un upgrade.

Simplement, il y a des acheteurs de GTA qui ne veulent pas d'une auto modifiée, même si c'est pour la fiabiliser.

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Voilà, la semaine se clôt par une belle triplette : 156 GTA SW, 156 GTA berline et 147 GTA rejoignent les rangs OMP en cette fin de semaine.

 

On va maintenant en prendre le plus grand soin pour qu'elles soient à nos standards c'est-à-dire en très bel état mécanique et esthétique.

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Les photos arrivent. Il faut les nettoyer d'abord. Sur FB, tu as déjà pu voir la SW et la berline. La 147 est sur le trajet du retour en ce moment, elle est dans une config assez originale.

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J'ai toujours été vraiement fan de l'intérieur caramel !!!! :love:

 

Je le suis un peu moins de la couleur extérieure.

 

En tous cas, à chaque fois que je vois une GTA, je me dit que je reprendrai une un jour ! Je pense même que la perte financière doit être nulle ou très faible.

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La photo ne lui rend pas hommage. Après, c'est une affaire de goût, disons que ça change des couleurs qu'on trouve beaucoup en France.

Elle est dans un super état mécanique (normal, elle vient du Japon).

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Invité §89f660tS

J’aime beaucoup ! Il y a quelques temps, une configuration semblable était sur LBC ;)

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Hello

 

Je rentre de mon road trip dans la région de Modène, 1 semaine avec mon fils, alors pour vous faire partager cette superbe semaine, un petit CR s’impose, avec quelques photos souvenirs de ce « must have » de tout passionné d’automobiles.

On préfère se concentrer sur Modène et ses environs donc on ne poussera pas jusqu’à Milan pour voir le musée historico notamment. Ce sera l’occasion d’un 2ème road trip :D

 

Jour 1 :

 

Top départ depuis Paris. On roulera décapoté la quasi-totalité du trajet, les routes de montagne ont une saveur particulière cheveux aux vent, rythmées par le son du flat 6 qui hurle jusqu’à 7800 tours. Les tunnels seront bien sûr l’occasion de gamineries qui donnent la banane aux deux grands enfants que nous sommes :D

 

On coupe la poire en deux pour le trajet Paris-Modène et étape à Chamonix. J’ai dégoté un hôtel bien sympa avec piscine/jaccuzi/hammam. Arrivés dans le parking de l’hôtel, nous aurons droit à un avant-goût d’Italie : un club anglais de Lambo a fait étape ici et on commence déjà à s’éclater la rétine :

 

 

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Les british ne font pas les choses à moitié quand il s’agit de chignoles !

 

 

Jour 2 :

Trajet entre chamonix et notre 1er hôtel près de Modène. On arrive direct pour la visite réservée à 15h chez le plus italien des argentins : Horacio Pagani.

 

 

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La visite commence avec le petit musée où toute l’histoire d’Horacio est racontée depuis ses premiers bricolages en tant qu’enfant en Argentine jusqu’à la création de Pagani, en passant par son arrivée en Italie avec son embauche chez Lambo au service développement matériaux spéciaux qui est son dada depuis le début. On apprend plein de choses : le nom de sa 1ère pagani, la C12 vient de sa femme Christina (et du moteur V12 Mercedes), la zonda F est un hommage à Fangio qui l’a beaucoup soutenu dans la création de sa marque. Bref, plein d’infos hyper intéressantes.

 

Toute la gamme est là, comme un rêve : C12, Zonda F, Cinque, Zonda R et la dernière Huayra :

 

 

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S’ensuit la visite de l’usine après être passé par la case « on range les APN, téléphone & co ». Donc pas de photo.

L’usine ressemble plus à un loft géant, hyper design, éclairé par une immense verrière. Pagani a voulu que ça ressemble à tout sauf à une usine et c’est réussi : on se croirait sur une place italienne, avec des réverbères, des arches en pierre, c’est superbe !! et que dire de ce qu’on voit partout !! C’est clinique. Différents postes de montage, des pièces en carbone partout. Tout est bien évidemment assemblé à la main, chaque pièce est rigoureusement rangée et notée, à sa place. 2 Huayra attendent d’être livrées, les modifications de dernières minutes étant possibles (à 2M€ le morceau, ça s’entend !).

La visite du labo matériaux spéciaux est passionnante. C’est vraiment le truc de Pagani. Il a développé un mélange de fibres de carbone encore plus résistant et léger si bien que le roadster Huayra est plus léger que le coupé ! (-30kg sur la coque en carbone). Un peu déçu de ne pas pouvoir vous faire partager par des photos cette « usine » mais c’est logique.

Ensuite, nous rentrons à notre hôtel, histoire de se remettre de la route et de toutes ses 1ères émotions.

 

Jour 3 :

 

Journée entièrement consacrée au cheval cabré, à Maranello. Pour l’occasion, nous changeons d’hôtel pour être au cœur du cavallino, en face de l’usine Ferrari, dans un très bel établissement où se retrouvent bon nombre de ferraristes.

 

 

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1ère bonne nouvelle, nous sommes surclassés dans une suite, toutes les chambres doubles étant prises suite à des modifications de résas : on nous a attribué une suite, comme pour les pilotes de la scuderia selon l’accueil : je ne vous raconte pas la tête de mon fils quand on nous a annoncé ça !!

 

Ensuite, c’est parti pour un tour de la ville en passant par le circuit Fiorano. On essaie bien de s’incruster mais bon, ça ne marche pas si bien que ça !

 

 

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En se dirigeant vers le musée Ferrari, je vois une officine spécialisée dans la carrosserie des bolides d’Enzo : ZANASI ; photos interdites, mais bon moi et les interdits…. :D

Alors je shoote (mattez la tête des employés !!) ; on n’est pas trop restés pour discuter avec eux finalement :D

 

 

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Avant d’arriver au musée, on passe devant une des nombreuses sociétés qui proposent de faire des tour de ferrouzes, business qui doit être bien juteux au regard des nombreux touristes de la ville. Au début, je n’étais pas partant et puis je l’ai fait pour mon fils. Donc c’est parti pour 10min en passager d’une california. Evidemment toutes les formules sont possibles, en passager ou conducteur, 458, 488, GTC4 lusso etc…bon moi c’est plus pour faire plaisir à mon fiston. Ceci étant, les sensations sont vraiment pas mal ; la california a été pas décriée mais je vous assure que ça chante comme il faut et on sent qu’il y a des watts. La boite est impressionnante de rapidité. Par contre, l’état des caisses laisse à désirer ; ok c’est pour faire des tours de manège mais les freins étaient à l’agonie et la carrosserie plus toute fraiche. Bon, on va pas faire les fines bouches, pour 50 euros, on a fait un petit tour (musclé) en california et on est à fond dans le trip (c’est comme les popcorn à 10e au ciné, tu fais ça pour le trip global).

 

 

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Nous arrivons ensuite au musée Ferrari de Maranello (il y en a un autre à Modène, ville natale d’Enzo). Il n’y aura pas de visite de l’usine pour une raison très simple. Je n’ai pas de Ferrari !!

L’idée m’a traversé de faire un covering rouge sur ma teutonne et de lui coller 2 écussons qui vont bien mais je me suis ravisé au dernier moment, pensant que la supercherie ne marcherait pas.

Le musée est sympa, quelques beaux modèles, F40, LaFerrari Aperta (avec son ensemble moteur-boîte d’une grande simplicité :D), les modèles récents (488, GTC4 lusso) qu’on croise d’ailleurs à l’extérieur lors des tours de manège. Et quelques clins d’œil sympa à la vie d’Enzo, notamment son passé de pilote Alfa :

 

 

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Bref, ce n’est pas LE musée du siècle mais le prix d’entrée est assez raisonnable et c’est évidemment une des choses à faire à Maranello. Le reste de la journée sera rythmé par les gelati, les bonnes galces italiennes et des flâneries dans Maranello qui transpire le cheval cabré : magasins, rond point avec la statue du cheval, tout vit au rythme de Ferrari.

 

 

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Le soir, venu, étape obligatoire dans l’ancienne cantine préférée d’Enzo, le cavallino.

 

 

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Extraordinaire ! L’ambiance en entrant est géniale : moteur de Ferrari (V12 bien sûr !!), photos de pilotes de la scuderia, maquettes, casques, volant, bien plus qu’un restaurant c’est un lieu de culte. A faire absolument si vous venez à Maranello. En plus les pâtes sont délicieux, rythmées par un bon vin italien.

 

Jour 4 :

 

C’est le jour du taureau (ou du tracteur pour les amateurs d’histoire !). Cap sur Sant’Agata et l’usine lamborghini, à 30 minutes de Maranello.

Au programme, visite du musée et de l’usine. Et oui, comme chez Pagani, pas besoin d’être propriétaire pour visiter l’usine, quelques dizaines euros suffisent. Mais ça les vaut largement.

On commence en apéro par la visite du musée avec les magnifiques anciennes : 350 GT, Espada, bien entendu la magnifique Miura, et les récentes, Murcielago SV, Aventador, Huracan performante, le dernier 4x4 Urus (pas fan du tout).

 

 

 

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L’incroyable Veneno figure aussi au programme (1 des 12 fabriquées, 3 coupés et 9 roadster). Ce n’est pas véritablement beau, ni élégant, c’est BESTIAL en fait. Je comprends qu’on puisse détester mais ça ne laisse pas indifférent.

 

 

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Comme chez Pagani, pas de photo de l’usine mais c’était génial. Complètement différent. Cette fois-ci, même si tout est assemblé à la main, on rentre dans un autre univers, très différent de l’artisanat Pagani : 2 chaines de montage, 1 pour les Huracan et 1 pour les Aventador. 31 postes de montages pour la 1ère de 34min chaque et 8 postes pour les aventador de 81 minutes chaque. AU total, ce sont 13 Huracan et 5,5 (et oui, pas 5 ni 6 !!) qui sont assemblées chaque jour. S’ensuivent 1h30 de roulage sur banc moteur, un essai routier et les voitures sont expédiées aux 4 coins du monde (US, Japon, Allemagne, Corée, sont les 1er marchés de lambo). Aucun stock. 6 mois d’attente pour une Huracan, 12 pour une aventador.

Nous avons parcouru chacune des 2 lignes de montage, pendant 1h environ avec le plein d’explications très intéressantes de la charmante christina :D

On sillone ainsi au milieu de pièces toutes plus impressionnantes les unes que les autres (disques carbone, étries, bloc moteur V10 & V12, ateliers des peaux de cuir et alcantara). Montage des sièges etc…super intéressant. Le clou de la visite : le « mariage ». L’accouplement entre l’ensemble moteur-boite de l’aventador et la caisse, réalisé par 4 opérateurs.

 

Jour 5 :

 

Cette fois, c’est une journée plutôt consacrée au trident avec un petit tour dans le centre de Modène pour voir le show-room qui jouxte l’usine Maserati (qu’on n’a pas prévu de visiter) et dans l’après-midi, un plein campagne à proximité de Modène, visite du musée d’Umberto Panini, grand passionné de Maserati et qui possède une très belles collection de voitures anciennes, de motos, et quelques autos de course (coupé GT Trofeo et granturismo trofeo). Le tout au milieu d’une ferme où est produit du parmesan !! Assez irréel comme endroit. Le musée est en plus gratuit donc c’est plutôt sympa et à faire dans la région.

 

 

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Jour 6 :

 

Dernière journée où on continuera de flâner dans les rues de Maranello, profiter de belles rencontres dans la rue, que ce soit des Ferrari de particuliers ou les différents modèles de location :

 

 

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« hum, je me demande bien si cette 458 Speciale freine bien :D »

 

 

 

 

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Ensuite ce sera le retour à la maison, toujours en passant par les Alpes pour profiter de belles routes sous le soleil, en mode décapoté. Le box s’est très bien comporté au cours de ces 3000km, 10l / 100 de moyenne, avec quelques bons moments d’arsouille. La conso n’est pas un critère très important pour moi car je roule peu mais c’est toujours bon à prendre. Dans le pays de l’italienne, elle a quand même fait son effet à chaque fois, surtout par le fait que la config de couleur est assez rare.

Le problème c’est que maintenant je me verrai bien au volant d’une Ferrari. Mais pas tout de suite, d’autres priorités budgétaires, notamment via le développement de Ouest Moteur Passion qui se poursuit. Je suis toujours aussi fan des cab, donc ça serait une 458 spider jaune, autant dire pas tout de suite vu le budget que ça représente.

 

Cette semaine a été formidable. Je vous le conseille à tous, c’est un pèlerinage qui enchantera tout passionné d’auto, italiennes ou pas. Les visites d’usine ont été super intéressantes.

Et puis l’Italie reste l’Italie : un pays magnifique que ce soit pour sa cuisine, son architecture, son goût général pour les belles choses.

J’espère au travers de ce petit CR vous avoir fait partager un peu de ces instants mémorables.

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