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Société

Le Topic du Made In France


Invité §Jes257LV
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Messages recommandés

Paulo, ton concept de fenêtre il y a quoi de particulier exactement ?

 

Car j'vais peut être refaire quelques fenêtres dans les mois qui viennent, donc autant être au courant si un truc super novateur est sur le point de sortir :o

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Invité §dow743BW

 

Tu arrives juste après le lancement de windows 10, chaud niveau calendrier :(

 

 

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fanfanlaixoi.gif.0ae3254bfb3304ca0519e2ce245a33ab.gif lol la grosse partie du marché ce sont les petites ( clio, 208)

 

Concernant la Yaris, je me demande comment il s'en sorte (chaine ultra automatisé, coup de fouet? :cyp: )

 

 

La main d'oeuvre dans le prix d'une auto, c'est pas le poste le plus délirant, de loin pas.

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Invité §rob664cZ

 

La main d'oeuvre dans le prix d'une auto, c'est pas le poste le plus délirant, de loin pas.

 

WHAT? raggasonic.gif.af87571ea0a23178d10a8ee1f49dbf2a.gif

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Invité §Pau730mo

 

Tu arrives juste après le lancement de windows 10, chaud niveau calendrier :(

 

C'est le drame de ma vie :ouin:

 

Le référencement naturel des "portails" et des "fenêtres" est pollué par les geeks :o

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Invité §Pau730mo

Paulo, ton concept de fenêtre il y a quoi de particulier exactement ?

 

Car j'vais peut être refaire quelques fenêtres dans les mois qui viennent, donc autant être au courant si un truc super novateur est sur le point de sortir :o

Je t'envoie un MP :o

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Invité §nyn781GE

@Paulo_les_gaz faut compter combien pour 2 fenetres en 4x90 et une porte fenetre en 2x120 en fabriqué français (ou europe riche à la limite)? pas du HDG, un truc cohérent pour un appart à 80k...

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Invité §Pau730mo

Wesh Paulo, tu ferais pas aussi dans le Velux ? :o:siffle:

 

J'en ai un grand d'une 30aine d'année qui a les joints un poil raides, et le store extérieur est quasi mort... :jap:

 

 

La fenêtre de toit, c'est un métier bien particulier. Je fais pas.

 

Y'a que 3 fabricants, de mémoire. Velux, Roto, et Fakro.

 

Sorti de là, point de salut... désolé :D

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La main d'oeuvre dans le prix d'une auto, c'est pas le poste le plus délirant, de loin pas.

 

C'est malgré tout une variable importante pour l'usine d'assemblage finale. Mais bien évidemment pas la seule, la géographie ça compte pour beaucoup!

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[h1]43000€ l'espace, pas pour moi.. mais tant mieux si elle trouve sa clientèle :) [/h1][h1]Renault Douai, heureuse victime du succès de l’Espace[/h1]

Un peu plus de quatre mois après son lancement commercial, l’Espace semble avoir trouvé son public, et Renault réussi son pari d’un retour dans le haut de gamme. Depuis sa commercialisation mi-avril, l’Espace s’est écoulé à 17 000 exemplaires (commandes à fin août), un chiffre situé dans la fourchette haute des prévisions établies par les commerciaux de Renault. Le seul marché français absorbe la moitié des ventes.

Des tarifs élevés

"Quand nous l’avions découvert en interne, son design et ses prestations nous avaient convaincu, l’Espace pouvait trouver son public, se souvient Bruno Aziere, délégué central CFE-CGC chez Renault. Mais nous avons été surpris par le prix moyen par véhicule. Nous n’étions plus habitués à des prix de transaction aussi élevés !" Les ventes de la finition la plus haute, Initiale Paris, sont en effet supérieures aux attentes. Et la majorité des clients optent pour la seconde finition la plus élevée, baptisée Intens, associée à une motorisation dCi 160. Ce modèle est facturé minimum 43 500 euros.

 

Des problèmes d’approvisionnement

Face à cette demande, Douai (Nord), seule usine à produire l’Espace, s'est trouvée dans les premiers mois un peu débordée. A la fin du premier semestre, le site a ainsi connu quelques problèmes d’approvisionnement auprès de différents sous-traitants. "Certains fournisseurs, par exemple d’éléments de boucliers, avaient du mal à suivre la cadence", explique-t-on du côté de l’usine. La cadence de la ligne a aussi augmenté. "Nous avons fait appel pendant deux mois à un rallongement d’horaire, souligne Jean-Philippe Daveau, chef du département qualité de l’usine de Douai. Nous avons aussi la possibilité de faire appel à des samedi travaillés".

 

Espace, Talisman, Scénic

"L’usine est victime du succès de l’Espace, mais aussi des autres modèles de Renault", ajoute Fred Gallet, secrétaire général FO de l’usine nordiste. A côté des 150 à 250 Espace quotidiens, jusqu’à 500 monospaces Scénic sortent chaque jour des chaines, car les ventes de ce modèle, pourtant en fin de vie, restent soutenues. Quelques berlines Talisman sont également assemblées chaque jour par une équipe dédiée pour valider les jalons avant sa montée en cadence prévue pour octobre. Dans les mois qui suivent, le site préparera l’arrivée de la prochaine génération du Scénic. "Notre plan de marche fonctionne bien, rassure Jean-Philippe Daveau. La qualité des modèles reste notre priorité et la flexibilité du flux de production nous autorise cette diversité de modèles". Les syndicats espèrent eux la mise en place d’une équipe de nuit, une option évoquée fin août en comité central d’entreprise.

Moteur R9

Il faudra d’ici là résoudre un autre problème d’approvisionnement. Le Scénic (ancienne comme nouvelle génération) comme la Talisman disposent du moteur R9. Or l’usine de mécanique de Cléon (Seine-Maritime) peine à le fournir à Douai. Cette famille de moteur est en effet très utilisée sur de nombreux modèles de la gamme Renault (Kadjar, Traffic), mais aussi par Daimler et Cléon tourne à pleine capacité. "Ce sont des bonnes difficultés !", commente Bruno Aziere, qui souligne le retour à bonne fortune de Renault. Alors que Douai avait produit 114 000 véhicules l’année dernière, elle devrait en produire plus de 130 000 cette année. Des projections en interne anticipent déjà 170 000 véhicules en 2016.

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Invité §Jes257LV

[h1]Économie Le macaron de Boulay, un patrimoine vivant 1506430399_ae92.gif.cb8e7e35918f36d6f621f4ce0ba3b4c1.gif **[/h1]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/CC1BE085-07A5-47B9-95EA-0A75006B74AA/LRL_v0_03/jacques-alexandre-fabrique-ses-macarons-de-boulay-suivant-la-recette-initiale-de-benoit-lazard-le-createur-de-ce-biscuit-compose-d-amandes-de-sucre-et-de-blancs-d-oeufs-photo-rl.jpg

 

Jacques Alexandre fabrique ses macarons de Boulay suivant la recette initiale de Benoît Lazard, le créateur de ce biscuit composé d’amandes, de sucre et de blancs d’œufs. Photo RL http://www.republicain-lorrain.fr/files/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png

 

 

 

 

 

 

La distinction est prestigieuse sans pour autant revêtir un caractère commercial galvaudé. La maison Alexandre de Boulay vient d’obtenir le label Entreprise du patrimoine vivant décerné par le ministère de l’Économie. À croire qu’Emmanuel Macron est friand des macarons mosellans. Trêve de plaisanterie. Cette récompense, à la différence des Saveurs et autres produits de l’année, est le fruit d’une démarche initiée par la chambre de commerce. « Nous avons été contactés par l’organisme qui nous a demandé de monter un dossier pour prétendre à ce prix », avoue Jacques Alexandre, le maître des lieux. Après plusieurs inspections effectuées dans son atelier et des expertises menées par des professionnels des métiers de bouche, le savoir-faire boulageois a été, à juste titre, honoré. « Pour nous, ça ne va pas changer grand-chose », confie le pâtissier.[h4]Fin du XIXe siècle[/h4]

« En revanche, c’est une véritable reconnaissance du produit et de notre travail. Cette distinction, je la dédie à tous ceux qui nous ont précédé s. » À Boulay, le macaron est une institution et cette aventure a débuté à la fin du XIXe siècle à une époque où Benoît Lazard, débitant de vins et producteur de pain azyme, crée la délicieuse douceur. « Depuis cette époque, le gâteau est considéré casher, car il ne comporte pas de farine et pour lever, il n’a pas besoin de fermentation », affirme Jacques Alexandre.

Petit à petit, le biscuit conquiert les tables boulageoises, puis effectue son petit bonhomme de chemin dans le département. Au fil des années, la famille Lazard, détentrice du secret de fabrication, a su mettre en valeur ce produit exceptionnel, fleuron d’une région et qui a ravi les palais des plus grands de ce monde. Pour ne citer que les plus fines gueules, saviez-vous que le général de Gaulle, sa majesté le roi Georges VI, l’empereur Guillaume II ou encore l’écrivain André Maurois ont succombé au fondant et à la saveur toute particulière du macaron de Boulay ? En 1963, les héritiers Lazard, René May et Lucienne, n’ayant pas d’enfant, ont décidé de vendre leur secret à Francine et Jean Alexandre, deux marchands de bestiaux installés à Boulay. L’aventure s’est poursuivie et le célèbre biscuit est parti à la conquête du monde. Aujourd’hui, il est expédié au Japon, aux États-Unis, en Australie, en Israël, au Canada et sa préparation n’a pas changé malgré les modes, les nouvelles technologies et les produits de substitution.[h4]À la main[/h4]

« Nous le fabriquons toujours à la main », assure Jacques Alexandre. Pour cela, une seule recette : des amandes entières venues du bassin méditerranéen, du sucre et du blanc d’œuf de première qualité.

 

« Chaque jour, nous émondons les amandes à la main. Cela représente un travail pénible », glisse le maître des lieux. Cette corvée terminée - la maison confectionne entre 30 et 120 kg de macarons par jour - les graines sont mélangées au sucre et concassées à l’aide d’un rouleau en granit « pour ne pas briser la fibre ».

On y ajoute ensuite les blancs d’œufs et le tout passe quatre fois dans une presse ancestrale pour donner une pâte d’amande très fine. C’est alors qu’intervient le façonnage qui se fait à l’aide d’une cuillère en argent, « car l’argent est un matériau sain et la forme de l’ustensile est très particulière. »

En bouche, le macaron dévoile d’abord son côté sucré et à la fois très léger. Vient alors ce doux arôme de l’amande qui vous envahit le palais et vous procure une sensation de plaisir. « Cette marque de reconnaissance de l’État, mise en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux, permet de réconcilier le travail et la passion, le patrimoine et l’avenir. Pour nous, ce label nous conforte dans notre volonté de maintenir la qualité de nos macarons sans nous soucier des modes qui, par définition, ne font que passer. »

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Invité §Jes257LV

[h1]Et tout à coup, la 3D vient tout révolutionner[/h1][h2]De l’électricité générale à la création design en 3D de mobilier urbain ou pièces industrielles en matériau composite… c’est le parcours atypique de Stéphane Pariset et sa dernière société, Créative Industrie, près de Nancy.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/148D9387-9736-4A16-8131-A78E54E55650/LRL_v0_03/un-mobilier-urbain-a-la-carte-a-son-gout-selon-le-style-de-sa-ville-ou-de-son-jardin-c-est-possible-et-meme-accessible-creative-industrie-possede-l-imprimante-3d-industrielle-capable-de-realiser-des-pieces-impossibles-a-usiner-et-modifiables-a-l-envi-une-revolution-dans-le-monde-de-la-conception-industrielle-photo-rl.jpg

 

Un mobilier urbain à la carte, à son goût, selon le style de sa ville ou de son jardin… c’est possible et même accessible. Créative Industrie possède l’imprimante 3D industrielle capable de réaliser des pièces impossibles à usiner et modifiables à l’envi. Une révolution dans le monde de la conception industrielle. Photo RL. http://www.republicain-lorrain.fr/files/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png

 

 

 

 

 

 

 

 

« Fallait que je trouve l’idée, faire ce que les autres ne savent pas faire. Parce qu’imiter les autres, c’est mort. »

 

Electricien à la base, Stéphane Pariset compte vingt-sept années d’entrepreneuriat. Créative Industrie est sa petite dernière, « les banques ont facilement suivi. 27 ans sans incidents bancaires, ça aide. J’ai réussi à traverser les orages », résume le self-made-man, aussi discret que volontaire. On sent chez lui l’esprit patron, capable de laisser les coudées franches à ses équipes tout en sachant trancher et surtout… prendre les risques.

 

D’une société d’éclairage général créée en 1988, toujours basée à Allain (54), Stéphane Pariset lance Rent Light en 2012. Depuis, il loue, entretient, pose, dépose un bon millier de points lumineux. De fil en aiguille, Stéphane Pariset recrute un designer pour travailler sur une nouvelle ligne de mobilier urbain « et… tout à coup, la 3D tombe ! »

Déjà dépassée, la 3D ? Pour Stéphane Pariset, ces nouvelles techniques commencent tout juste à ouvrir de nouvelles perspectives industrielles. « Rien à voir avec les imprimantes 3D personnelles. Je suis la seule entreprise de France à posséder cette machine américaine de cette qualité et de cette taille, pouvant utiliser un matériau composite à base de fibre de verre. »[h4]« Ce qui paraît impossible dans la vraie vie »[/h4]

Ainsi est née en février 2014 Créative Industrie , située à Ville-en-Vermois, à quelques kilomètres d’Allain derrière Nancy. Un million d’euros d’investissement dans une machine opérationnelle depuis un an tout juste.

 

« On n’a aucune contrainte, on peut tout fabriquer, y compris ce qui paraît impossible dans la vraie vie. »

 

Bienvenue dans la troisième dimension ! Si bien que le milieu entrepreneurial n’imagine pas encore ce qu’il pourrait réaliser à partir d’un simple plan conçu sur ordinateur, « dans des délais très courts, sans investissement en outillage ou moulage.

 

J’invite beaucoup de chefs d’entreprise pour qu’ils puissent visualiser et comprendre les possibilités qui leur sont offertes. » La 3D est un excellent moyen de tester un produit sur le marché avant de recourir à de gros investissements, de modifier une conception, l’améliorer, y intégrer de nouvelles technologies. A côté du designer Christophe Herry travaille Julien, un ingénieur électronicien.

 

 

« Nos pièces sont livrées finies, peintes avec différentes finitions possibles. Elles peuvent être intelligentes si on nous le demande. » Comme ces nouveaux luminaires urbains connectés avec caméra et haut-parleur intégré. « Industrie pharmaceutique, luxe, mécanique, automobile, art… sont les domaines pour lesquels on travaille. » Les entreprises tiennent à garder l’anonymat « parce que toutes travaillent sur quelque chose de spécial et veulent garder leur longueur d’avance. »

:bien:
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Invité §Jes257LV

:bien:

 

Ils ne doivent pas manquer de boulot. :oui:

 

Pas de concurrence.... pour l'instant :jap:

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Invité §Jes257LV

[h1]Le pied de nez des chaussettes BleuForêt[/h1][h2]Une visite chez BleuForêt et… plus jamais on ne regarde ses chaussettes ou collants de la même façon. Au nez et à la barbe de tous, la société vosgienne prouve que l’on peut résister aux délocalisations et même vendre en Chine ![/h2]

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/900F06CB-B4B8-42D4-BF2F-A7BF471ACD20/LRL_v0_03/bleuforet-la-marque-maison-celle-estampillee-bleu-blanc-rouge-est-100-fabriquee-a-vagney-petite-ville-des-vosges-jusqu-a-35-000-paires-peuvent-sortir-de-ses-ateliers-chaque-jour-en-haute-saison-au-total-ce-sont-5-5-millions-de-chaussettes-et-collants-qui-y-sont-fabriques-dont-30-exportes-photo-bleuforet.jpg?1443645156

 

BleuForêt, la marque maison, celle estampillée bleu-blanc-rouge, est 100 % fabriquée à Vagney, petite ville des Vosges. Jusqu’à 35 000 paires peuvent sortir de ses ateliers chaque jour en haute saison. Au total, ce sont 5,5 millions de chaussettes et collants qui y sont fabriqués dont 30 % exportés. Photo BLEUFORET http://files.prsmedia.fr/files/LRL/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png

 

 

 

 

 

Il lui en a fallu du tempérament et du talent pour défier des actionnaires américains qui prônaient la délocalisation. En 1994, Jacques Marie, PDG de Dim depuis 1975, fut prié d’obtempérer ou de racheter Vagney (88) l’usine qu’il défendait tant. Il l’a rachetée.

 

Aujourd’hui, BleuForêt, la marque de chaussettes et collants 100 % made in Vosges, exporte partout dans le monde dont les Etats-Unis. La boucle semble bouclée.

La bobine de fil ne s’est pourtant pas déroulée sans accrocs. Remonter l’usine, garantir un salaire aux 200 ouvriers, croire en une nouvelle marque… que de risques. L’homme n’a cessé de penser que l’industrie textile des Vosges et de la France entière était morte faute d’investissements. Une problématique toujours d’actualité. Lui, a injecté jusqu’à 800 000 € par an dans l’entreprise, tout en distillant une culture de la remise en cause permanente.

 

Deux collections de chaussettes et collants par an, comme chez les grands couturiers. Des stylistes à Paris, 250 modèles par collection imaginés à partir de 750 fils et 1350 références pour un rendu broderie, jacquard, bouclette, double chaussette, extensible, métallique, cachemire, angora… La chaussette française se décline pour tous les goûts et toutes les couleurs et toutes les bourses. Du moyen de gamme distribué en grande surface au haut de gamme des boutiques de luxe de l’Hexagone et quinze pays différents, dont la Chine, le Japon, l’Amérique du Nord…

 

Jacques Marie flairait le marché. « Je pensais que les valeurs main-d’œuvre locale et produits naturels redeviendraient modernes. » On lui prédisait deux ans d’existence. « Vingt ans plus tard, je suis toujours présent. » Même sans Dim qui l’a lâché en 2009, alors que la crise avait déjà fait baisser ses commandes de 20 %.

Il en a fallu du talent et du tempérament au fondateur pour rebondir. Se concentrer sur la marque BleuForêt qu’il avait créée dès 1995 avec sa société baptisée Tricotage des Vosges et racheter dès 2010 Olympia, déjà délocalisé dans les pays de l’Est ou le Maghreb. Aujourd’hui, 30 % de la marque Olympia est relocalisée à Vagney. Au total, 35 000 paires maximum par jour s’y tricotent. 5,5 millions de chaussettes et collants par an.

 

Pour autant, rien ne fut jamais simple. L’usine a souffert. Voilà deux ans peut-être que la mise en avant du made in France ravive ses volumes. Mais les investissements n’ont jamais cessé. Une gestion des stocks et des expéditions permet des fabrications en toutes petites séries et des livraisons dans une moyenne de trois jours, « quinze jours maxi », assure Thierry Fleurance, technicien régleur, développement et production. « Avec la qualité, là réside notre force. » De nouvelles machines sont attendues, « des machines finies, qui fermeront même la pointe. » Trois minutes pour une chaussette, onze paires par heure. Le haut de gamme demande un appairage à la main avec placement délicat du papier de soie. Auparavant, il y aura eu un lavage à 30°, formeuse et pressage.

 

Si les tricoteuses n’ont guère besoin de bras pour fonctionner – lire ci-contre – toutes ces opérations de mise en forme, vérification, et finition emploient encore des petites mains. 177 personnes travaillent à Vagney. 230 pour le groupe, si on inclut Olympia.

 

Pour un collant, c’est dix minutes de tricotage, quatre d’assemblage. Voir ces femmes glisser le tricot sous la machine pour le transformer en collant sexy-chaud ne peut laisser indifférent. Il y a des dextérités qui forcent le respect.

http://www.maddyness.com/wp-content/uploads/2013/02/made-in-france-neutre.jpg
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Invité §Jes257LV

[h1]85 % du chiffre d’affaires à l’export Les dessins animés passent par le logiciel messin TV Paint[/h1][h2]Impossible de dire combien de logiciels ils ont vendus dans le monde, de toute façon le nombre resterait secret.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/43C07C70-8572-4589-85C9-BAF29FE4C19D/LRL_v0_03/fabrice-debarge-dans-ses-locaux-a-metz-devant-tv-paint-animation-le-logiciel-vendu-dans-plus-de-70-pays-au-monde-a-l-ecran-une-animation-creee-par-tevy-dubray-photo-anthony-picore-1444676453.jpg

 

Fabrice Debarge, dans ses locaux à Metz, devant TV Paint animation, le logiciel vendu dans plus de 70 pays au monde. A l’écran une animation créée par Tevy Dubray. Photo Anthony PICORE

 

 

 

M etz. « La concurrence est très agressive et tout renseignement lui donne l’occasion de nous contrer. » Patrick Adam et Fabrice Debarge, les dirigeants de TV Paint installés à Metz, travaillent dans l’univers du dessin animé, mais pas dans un monde de Bisounours !

 

Leur logiciel existe depuis 1991, « mon frère, Hervé, l’a développé, explique Patrick Adam. Quasiment en même temps que Photoshop. » Dire si Hervé, le visionnaire malheureusement décédé il y a deux ans, était précurseur. « Dans le milieu de l’animation, la création en 3D avait pris le pas. Tout le monde pensait que la 2D était morte, » se souvient Fabrice Debarge. Question de coût, de facilité de création.

 

Mais le logiciel des petits frenchies est venu casser les prédictions. Depuis 1991, avec des coups d’accélérateur en 1997 et 2005, la formule n’a cessé d’évoluer et se perfectionner.

 

« En février dernier, nous avons sorti la onzième version du logiciel. Elle marche très fort et notre chiffre d’affaires est en progression de plus de 50 % cette année. »

TV Paint propose un logiciel qui permet aux créatifs de dessiner directement sur l’écran de l’ordinateur. Le designer trace son trait, construit son image plan par plan, la fait évoluer, peut la modifier à souhait et la réutiliser au fil de l’histoire. « C’est la façon de créer qui se rapproche le plus du papier et du crayon, mais avec la force du numérique. Soit rapidité d’exécution et coût moindre.

 

« Les créatifs ont toute latitude, leur seule limite c’est leur talent et leur imagination. » Depuis le lancement du premier logiciel, les versions n’ont cessé de s’améliorer. « Chaque nouveau film réalisé avec notre logiciel pose de nouvelles problématiques. On accompagne nos clients et sommes très attentifs à leur retour ou questions techniques qui nous permettent d’améliorer chaque version. »[h4]85 % du chiffre d’affaires à l’export[/h4]

L’entreprise et ses quatorze salariés, réalisent 85 % du chiffre d’affaires à l’export. Ce qui leur vaut de se voir décerner le mois prochain le prix à l’export par la Région lorraine. Seul en France, majoritairement implanté dans toute l’Europe, TV Paint vend dans 70 pays différents et a attaqué le marché japonais vers 2008-2009. « Ça ne fait que depuis un ou deux ans qu’on commence à voir de très bons résultats. Aujourd’hui, c’est dans les pays asiatiques qu’on vend le mieux : Corée, Taïwan, Singapour, Chine, Japon… On travaille aussi beaucoup avec les écoles d’art graphiques. »

Plus d’une centaine de films, longs-métrages ou séries animées, ont été réalisés grâce au logiciel des Messins, « mais personne ne le sait puisque la force de notre logiciel c’est de permettre aux graphistes d’imprégner leur style propre. Dans le générique, le logiciel n’est jamais cité. Il n’y a pas d’Oscar dans cette catégorie ! »

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Invité §Jes257LV

[h1]Economie - longuyon Graffitis : l’arme fatale[/h1][h2]A l’avenir, la Société lorraine de peintures et vernis de Longuyon pourrait décrocher de juteux marchés… La PME a convaincu la SNCF avec un produit antigraffiti efficace et non toxique. Les commandes d’essai affluent à présent.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/DC7DF94F-16DE-4CAF-9E17-DE236C06F262/LRL_v0_03/pour-prouver-l-efficacite-de-sa-gamme-graffilor-jacques-henrion-pdg-de-la-slpv-n-hesite-pas-a-tester-ses-produits-a-meme-les-murs-des-locaux-de-la-slpv-a-longuyon-photo-rene-bych-1444759469.jpg

 

Pour prouver l’efficacité de sa gamme Graffilor, Jacques Henrion, PDG de la SLPV, n’hésite pas à tester ses produits… à même les murs des locaux de la SLPV, à Longuyon. Photo René BYCH http://files.prsmedia.fr/files/LRL/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png

 

 

 

 

 

Jacques Henrion est un homme verni ! La SLPV (Société lorraine de peintures et vernis) installée à Longuyon, dont il est le PDG, dispose désormais d’une gamme de produits référencés par la SNCF. « A présent, ses centres sont autorisés à commander des antigraffitis à la SLPV », traduit le patron de la PME. L’entreprise, d’une quinzaine de salariés, a attiré l’attention de la société ferroviaire grâce à sa ligne Graffilor, commercialisée depuis mai.

 

A priori, le principe n’a rien de novateur : « Il y a douze ou treize ans, nous avions déjà travaillé sur ce type de revêtement mais la gamme était imparfaite, reconnaît Jacques Henrion. Après le nettoyage, il demeurait toujours des résidus de peinture, des fantômes qu’on n’arrivait pas à enlever. »

 

La donne change en 2014, lorsque l’entité recherche et développement de la SLPV a l’idée d’associer à son produit « une molécule qui n’avait rien à voir avec l’anti graffiti ». Son nom restera confidentiel, forcément. Son bénéfice, lui, a été décliné au sein de trois formules. Le vernis star, Graffilor, permet d’imperméabiliser une paroi. « Il crée un effet hydrophobe : la plupart des peintures perlent à la surface et peuvent être retirées grâce à un nettoyage à sec. Au pire, u n coup de nettoyeur haute pression et ça dégage », décrit le président-directeur-général.

 

Viennent ensuite les solutions curatives. Face aux bombes utilisées par les grapheurs de haut vol, au contenu plus coriace, la SLPV propose un nettoyant additionnel. Enfin, la ligne se complète avec un gel à appliquer sur des surfaces non traitées par le vernis. C’est avec ce dernier article que la société longuyonnaise a convaincu les représentants de la SNCF, début juin, lors de tests organisés au centre de Lyon.[h4]Inoffensif[/h4]

Cela étant, avant de prouver son efficacité sur une rame de transport de voyageurs largement taguée, la gamme Graffilor jouissait déjà d’une bonne réputation. Ceci depuis des évaluations de non-dangerosité, effectuées au laboratoire parisien de toxicologie de la société ferroviaire : « Le produit a plu immédiatement, du fait qu’il n’est pas dangereux, ni pour l’homme ni pour l’environnement. Et ça, pour l’instant, personne ne sait le faire ! », vante Jacques Henrion. Cet argument expliquerait également la rapidité du référencement, « assez exceptionnelle quand on connaît le fonctionnement de la SNCF ».

 

A présent, le PDG va devoir se montrer patient jusqu’à percevoir les effets de cette homologation, déjà officielle « aux centres de Metz, Nancy, Dijon, Grenoble, Bagneux en région parisienne… Depuis septembre, nous recevons des commandes d’essais qui ne sont pas encore importantes. Mais le marché pourrait vite devenir gros, très gros », estime Jacques Henrion. Le sort de Graffilor semble sur de bons rails.

 

Plus d’informations en tapant Graffilor sur www.youtube.com

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Invité §Pau730mo

Nous serons normalement certifiés NF en décembre :fier:

 

Les mecs de l'organisme certificateur étaient très surpris des résultats des essais. Texto : "c'est rare qu'on ait d'aussi bons résultats"

 

:fier: :fier:

 

Bon, semaine prochaine, plan com dans la presse :sol:

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[h1]Economie - longuyon Graffitis : l’arme fatale[/h1][h2]A l’avenir, la Société lorraine de peintures et vernis de Longuyon pourrait décrocher de juteux marchés… La PME a convaincu la SNCF avec un produit antigraffiti efficace et non toxique. Les commandes d’essai affluent à présent.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorra [...] 759469.jpg

 

Pour prouver l’efficacité de sa gamme Graffilor, Jacques Henrion, PDG de la SLPV, n’hésite pas à tester ses produits… à même les murs des locaux de la SLPV, à Longuyon. Photo René BYCHhttp://files.prsmedia.fr/files [...] secure.png[/url]

 

 

 

 

 

Cool alors sans les graph on pourra faire des villes encore plus fades.

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Invité §Jes257LV

 

 

Cool alors sans les graph on pourra faire des villes encore plus fades.

Ben non, ne pas avoir à supporter ces horreurs visuelles est un bonheur pour moi...et beaucoup d'autres alex883.gif.531e2d4250446f8f44de4726822e9af8.gif

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Sans doute du bon matos, mais putain esthétiquement ces amplis sont atroces ! :blague:

Perso j'aime bien, ça change de l'éternel noir. :jap:

 

Mais je lui transmettrai ton avis, et lui suggèrerai de permettre la customisation à la commande. ;)

 

Bon, après, ce ne sont que des images de synthèse sur le site. ;)

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Perso j'aime bien, ça change de l'éternel noir. :jap:

 

Mais je lui transmettrai ton avis, et lui suggèrerai de permettre la customisation à la commande. ;)

 

Bon, après, ce ne sont que des images de synthèse sur le site. ;)

 

Le problème des choix esthétiques "osés" c'est que ça plait généralement pas au plus grand nombre....

 

Alors que si tu fais un ampli noir assez sobre, les gens sauteront pas au plafond mais au moins t'es à peu près sûr que ça rebutera pas l'acheteur potentiel :)

 

Dans le cas des amplis No-Mad, je vois sur leur site qu'ils proposent une personnalisation ce qui est un très bon point. Mais cette possibilité ne saute pas aux yeux quand tu consultes le site au premier abord... Et ça n'enlève pas le fait que ce sont surtout les grilles de HP grises qui sont à mes yeux très vilaines...

 

Sinon, ces amplis là, c'est 100% made in France ? Au prix où ils sont affichés j'ose l'espérer... :hum:

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Le problème des choix esthétiques "osés" c'est que ça plait généralement pas au plus grand nombre....

 

Alors que si tu fais un ampli noir assez sobre, les gens sauteront pas au plafond mais au moins t'es à peu près sûr que ça rebutera pas l'acheteur potentiel :)

 

Dans le cas des amplis No-Mad, je vois sur leur site qu'ils proposent une personnalisation ce qui est un très bon point. Mais cette possibilité ne saute pas aux yeux quand tu consultes le site au premier abord... Et ça n'enlève pas le fait que ce sont surtout les grilles de HP grises qui sont à mes yeux très vilaines...

 

Sinon, ces amplis là, c'est 100% made in France ? Au prix où ils sont affichés j'ose l'espérer... :hum:

 

Ah, ben tu vois, j'avais pas vu qu'ils proposaient la customisation. :jap:

 

100% en terme de matériel, c'est compliqué dans la mesure où les composants électronique viennent rarement de France, mais concernant l'étude, les protos et la production, là oui, j'en suis certain. Le pote est électronicien, il a tout conçu lui-même chez lui... ;) Et c'est pas le genre à sous-traiter aux chinois. :w:

EDIT : Le Made In Jura n'est pas usurpé. :jap:

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Invité §Jes257LV

[h1]valeur ajoutée... Idées cadeaux made in Lorraine[/h1][h2]On peut faire ses cadeaux de Noël sur Internet et consommer 100 % lorrain. Guide non exhaustif d’objets de tous styles, tous prix, toutes tendances, histoire de donner des idées à chacun.

[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/CAC1E241-ECF1-40E7-940D-D30811D68EF3/LRL_v0_03/title-1449090369.jpg

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/BAFE4ABF-FC0D-4979-9CF0-FE606E38E6A6/LRL_v0_03/title-1449090369.jpg

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/AEB6547F-E62E-4195-9159-EB3373FD73FE/LRL_v0_03/title-1449090369.jpg

 

 

 

[h4]Bijoux[/h4]

Il y a les "petits" créateurs de bijoux. Des pièces uniques dans des matériaux souvent inattendus, à tous les prix. Pascal Teiten à Metz qui a créé Global Art Design propose notamment des bracelets en verre acrylique personnalisés.

Evelyne Thiery, à Epinal, crée des bijoux modernes, composés de métaux et couleurs, faciles à porter.

Atelier Klair à Basse-sur-Rupt (88), Klair with K , une bottière maroquinière qui donne dans le tour de bras ou de poignet assez rock’n’roll.

Du plus luxueux à l’accessible. Beaucoup de bijoutiers indépendants ont conservé leurs propres ateliers et travaillent des pièces uniques en proposant même de fondre or ou argent pour atténuer le coût. Citons Silver Craft, à Metz qui s’est spécialisé dans l’argent et propose des pièces uniques très typées.

L’atelier de création Bianchi à Maizières-lès-Metz fait figure d’ovni. Le père artisan horloger créé des montres uniques. Le fils, joaillier créateur, travaille le bijou.[h4]Jeux et jouets[/h4]

La Lorraine n’est pas réputée pour ses fabriques de jeux et jouets. Pourtant.

Des cartes à jouer ? Le leader européen des cartes à jouer se situe à Nancy : France cartes. Jeux de belote, bridge, poker, tarot, cartes de collection ou éducatives sortent de son usine et se vendent sous les marques : Grimaud, Ducale, Dusserre… Un magasin France cartes existe à Saint-Max (54).

Blue Orange , La société mussipontaine a ouvert des bureaux à San Francisco pour inonder le marché nord américain. Une quarantaine de jeux tout âge à son catalogue.

A Etain (55), les p oupées PetitCollin , dernière fabrique de poupées en France. La designer Sylvia Natterer a élargi la gamme.

Dans les Vosges, il existe des créateurs de jouets en bois. L’atelier de Planois à Basse-sur-Rupt. Guy Vilmain et ses jouets en bois de Liezey ou encore l’Atelier jouets bois à Ménil qui travaille aussi des crèches.[h4]Cosmétique et savon[/h4]

Notons, pêle-mêle, la Savonnerie artisanale de Lorraine à Grostenquin. Les savons artisanaux et crèmes de soin à base de lait d’âne à Foulcrey (pays de Sarrebourg) sous la marque Mosell’ânes. Ou encore dans les Vosges, lait Z’Anes de mon moulin qui a la particularité de proposer un savon spécial pour chien. Savons et soins bio à partir de lait de jument se confectionnent au Domaine de la voie lactée à Eschviller près de Bitche. A Nancy, le savonnier Berga’Sens propose son Pavé de Nancy à la Bergamote ou encore Le Lorrain à base huile de mirabelle… Dans les Vosges l’art de l’huile essentielle se cultive à la Ferme du bien-être à Gérardmer (cosmétiques, savons, aromates, tisane, sirop…) ou encore à Terre des Vosges , à Vioménil (eau florale, huiles essentielles). Sur le site Arbaurea , on trouve savons, huile, coffrets réalisés par Flore Milliotte.[h4]Bougies[/h4]

A Plesnois, à deux pas de Semécourt, une fabrique de bougies Lumières du temps , distribuées en jardinerie, fleuristes et magasin spécialisé notamment sur la zone de Semécourt. Récemment, à Bousse une jeune femme s’est lancée dans la création de bougies aux senteurs lorraine : la Chandelière , distribuée notamment chez le fleuriste Vatry à Thionville.

Dans les Vosges à Gerbépal, Jean-Noël Jacquemin créé et sculpte ses bougies.[h4]High-Tech[/h4]

Une imprimante 3D ? Contactez Open Edge la jeune pousse installée à Folschviller qui crée et fabrique ses propres imprimantes 3D, de toutes tailles et tout prix.

Un objet fabriqué en 3D : Concept store 3D , rue de la Fontaine à Metz, peut tout faire ou presque et notamment des bustes, figurines et autres objets personnalisés.

Divacore , start-up messine qui conçoit des enceintes nomades au rapport qualité/prix imbattable si l’on en croit le magazine 01.Net. Casques Bluetooth et oreillettes Bluetooth spéciales sportifs. Les produits sont développés à Metz et fabriqués en Chine. Idem pour la tablette SlyTab, développée en Moselle est, vendue en grande surface, fabriquée en Chine.

Il existe aussi des jeux vidéos 100 % lorrains. Shuttle shuffle , réalisé par Lozange Lab à Metz ou encore Neurovoider développé par l’association Coin à Metz, le jeu sur smartphone Gamyo mis au point par des Vosgiens.

On peut s’intéresser à Findspire créé par des Nancéiens, plateforme de musique en streaming mais pas seulement. Une exploration s’impose.

Original, offrir des cours de guitare en ligne. Méthode interactive, hyper originale qui plonge le débutant immédiatement dans la musique. Un site entièrement conçu par deux Sarrebourgeois qui n’a pas cessé de raffler des prix : My Music Teacher.[h4]Objets designers[/h4]

Boîte, vase, plat, cendrier, horloge, patère, chandelier… Ces accessoires qui prennent valeur d’essentiel et personnalisent nos intérieurs. Pascal Teiten et Global Art design (GAD) est installé à Metz. Maxime Cœur Metz-Blida propose bijoux, dessous de verre, objets organiques. 2M26 oscille entre design et architecture. Atelier à Metz et shoowroom à Nancy. Caroline Favier propose des objets à partir de récup : du porte-clés au paravent en passant par le petit mobilier. Jean-Christophe Trichery réalise du mobilier inspiré des flycase souvent moins cher que les produits manufacturés. Véro Reato fait d’étonnants objets en béton. A voir. A Nancy Mélina céramique travaille la céramique étonnamment.[h4]Luxe[/h4]

Ne pas oublier nos traditions verre et cristal : Baccarat, Daum, Saint-Louis, Meisenthal, Cristal de Lunéville. Les Emaux de Longwy.

Côté bois, le centre créatif de Liffol-le-Grand est un univers unique, les broderies Gouvernel ou Bacus.[h4]Chaussures, vêtements[/h4]

Les chaussures Mephisto sont fabriquées à Sarrebourg, les chaussettes BleuForêt à Vagney dans les Vosges, le site le necessaire est fait propose des vêtements fabriqués en Lorraine. Les baskets connectées GlaGla de Nancy. Les T-shirts funs et personnalisés de Fensch Valley à Algrange ou les sérigraphies de T-shirts limités de Charles-Henry-Le-Mégot.[h4]Linge[/h4]

Pour vos nuits, les couettes Dodo , bien sûr. Le leader européen fabrique à Saint-Avold. Ne pas oublier Linvosges ou Garnier-Thiebaut , survivants du textile.

 

images?q=tbn:ANd9GcT59YrKRwBgaERZJa7zbbduBoBOqHZunXTTwPoHwNzHGCCXChlj

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Nous serons normalement certifiés NF en décembre :fier:

 

Les mecs de l'organisme certificateur étaient très surpris des résultats des essais. Texto : "c'est rare qu'on ait d'aussi bons résultats"

 

:fier: :fier:

 

Bon, semaine prochaine, plan com dans la presse :sol:

 

 

J'arrive après la guerre mais bravo pour la certif :bien:

 

Je sais à qui j'enverrais un MP si j'ai besoin de rénover un jour :cyp:

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Invité §Jes257LV

[h1]Batilly: 2015, l’année de tous les records à Sovab[/h1]

 

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/493459BB-A2CF-410C-AAD2-DDDB6DD6310B/LRL_v0_03/le-renault-master-a-beneficie-d-un-restyling-qui-a-contribue-a-doper-ses-ventes-deja-elevees-en-france-et-en-europe-photo-fred-lecocq-1450429715.jpg

 

 

 

Le Renault Master a bénéficié d’un restyling qui a contribué à doper ses ventes déjà élevées en France et en Europe. Photo Fred LECOCQ http://files.prsmedia.fr/files/LRL/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png

 

Il est des nouvelles qui font plaisir. Comme celle parvenue ce vendredi matin depuis Batilly. L’usine phare de Meurthe-et-Moselle se porte bien. Allez, osons-le, on ne peut mieux. Pour preuve, les résultats de l’année 2015. L’usine a fermé ses portes hier soir pour rouvrir début janvier. L’occasion de comptabiliser les utilitaires produits sur ses chaînes cette année, soit 126 375 ! Elle a dépassé son précédent record qui datait de 2006 (123 202 exemplaires). L’usine est spécialisée dans la fabrication de grands fourgons pour Renault et ses partenaires Nissan, General Motors et Renault Trucks. Cette année marque également le record de production du seul fourgon badgé Renault Master. Le précédent record datait de 2000 avec 82 121 exemplaires à l’époque.

Sovab a vu se succéder les trois générations de Master. En 2015 elle fête ses 35 années de production avec plus de 2,2 millions de véhicules sortis des chaînes depuis 1980. Avec plus de 3 000 salariés, l’usine est le premier employeur privé du département.

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Invité §Pau730mo

 

J'arrive après la guerre mais bravo pour la certif :bien:

 

Je sais à qui j'enverrais un MP si j'ai besoin de rénover un jour :cyp:

 

 

Voilà, c'est fait, courrier reçu hier :fier:

On commence le marquage en janvier.

 

Et avec un haut niveau de certification : Sur 600 fabricants en France, seuls 145 sont certifiés dont seulement 25 avec une performance supérieure ou égale à la nôtre :fier: :fier: :fier:

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Invité §dow743BW

 

Voilà, c'est fait, courrier reçu hier :fier:

On commence le marquage en janvier.

 

Et avec un haut niveau de certification : Sur 600 fabricants en France, seuls 145 sont certifiés dont seulement 25 avec une performance supérieure ou égale à la nôtre :fier: :fier: :fier:

 

 

Félicitations :jap:Quand on veut, on peut ©

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