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Société

Faits divers d'ici ou d'ailleurs....


Invité §Red080vN
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Voir la meilleure réponse Résolu par laurent du doubs,

Messages recommandés

Invité §pio151qU

Un fan du Silence des Agneaux apparemment :eek:

 

Non, il l'aurait mangé sinon! :cyp:

 

 

erkkk c'est glauque quand même!!!!

 

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Invité §Zir680wn
Un couple accusé de torture de leur enfant : "J'étais un chien" dit la victime

 

"A leurs yeux, je n'étais qu'un chien" : Serge s'est ainsi présenté devant la cour d'assises de Seine-et-Marne qui juge depuis lundi matin son père et sa belle mère accusés de "tortures et d'actes de barbarie" alors qu'il avait treize ans, entre 2001 et 2002.Serge (prénom modifié) a raconté les "corvées" auxquelles il était contraint matin et soir avant l'école puis en revenant. "Je me levais, c'était corvées", a-t-il dit à la cour. L'adolescent, qui aujourd'hui encore malgré ses 17 ans a les traits d'un enfant frêle, devait "nettoyer le sol, laver les vitres, la salle de bain, la cuisine, ramasser les excréments des chiens sur le balcon" avant de les sortir.Orphelin de mère décédée lorsqu'il avait 11 ans, Serge est devenu le "souffre-douleur" d'une fratrie de 6 enfants -3 frères, 1 demi-soeur et un demi-frère- "trois, quatre mois" après l'arrivée de sa belle-mère, Patricia, divorcée d'avec un homme alcoolique et violent.

 

Au moindre prétexte, les coups pleuvaient, portés le plus souvent par le père, Joël, mais également par sa concubine. Les humiliations se répétaient. Pendant "deux mois", selon l'accusée, il avait dû manger assis par terre. Devant le reste de la famille, il était contraint "de se gifler lui-même". "Ca nous faisait rire", reconnaît, mal à l'aise, l'accusée."J'essayais de rester fier, de ne pas pleurer", a précisé l'adolescent, vêtu d'un survêtement trop large. "tous les 2 fautifs"Il a fallu attendre qu'un médecin scolaire remarque en mars 2003 des hématomes sur son visage, traces de la râclée de la veille, pour que le calvaire cesse.Les deux accusés, lui est détenu, elle est libre depuis novembre 2004, se sont rejetés à l'audience l'initiative des maltraitances comme lors de l'instruction.

 

"Ce que j'ai fait à mon fils, je le reconnais. C'est horrible, c'est inhumain", marmonne Joël, tête baissée, tout en se cachant derrière un caractère "très influençable". "J'avais peur que Patricia ne me quitte (...). Je faisais tout ce qu'elle me demandait". D'un coup de menton, comme un enfant apeuré, il désigne à plusieurs reprises celle qu'il appelait "maman" faute d'avoir connu la sienne."On s'entendait sur tout sauf sur l'éducation des enfants (...). Je n'étais pas d'accord avec sa manière de le traiter", s'est défendue Patricia. Mais l'accusée, toujours très calme, a reconnu avoir cassé un manche à balai par la force des coups et avoir donné des "claques".C'est elle aussi qui avait ordonné à Serge d'aller dehors faire ses besoins avec les chiens "parce qu'il était sale".

 

L'adolescent les a renvoyés dos à dos : "Pour moi, ils sont tous les deux fautifs", a-t-il lancé au début de sa déposition, nommant son père et sa belle-mère par leurs noms de familles. "Vous l'appeliez papa avant", interroge délicatement le président Yves Jacob. "Oui mais après ce qu'il m'a fait...", répond la victime, aujourd'hui placée dans une famille d'accueil.Serge n'a pas réussi à retenir ses larmes à l'évocation de la mort de sa mère et de sa soeur jumelle, morte à l'âge de quatre mois, et qui, pour son père, aurait dû vivre à sa place.Réquisition, plaidoiries et verdict prévus mardi.

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Invité §Zir680wn
Cinquante voitures percutées lors d'une course folle

 

Un scénario digne du film « The Blues Brothers » de John Landis, s'est déroulé, dans la nuit de dimanche à lundi, sur le périphérique. Peu après minuit, un camion pourchassé par quarante voitures de police a percuté cinquante automobilistes et envoyé deux équipages des forces de l'ordre au tapis. Les policiers ont dû faire feu à deux reprises pour réussir à stopper le camion fou, à Saint-Denis.

 

Il est 0 h 30. Trois camions de 19 tonnes escortés par deux voitures, une Peugeot 406 et une Renault Laguna, débarquent à l'entreprise DHL, à Lognes-Marne-la-Vallée, spécialisée dans le transport de fret. A leur bord, une dizaine d'hommes armés de bombes à gaz lacrymogène. Ils ont probablement aussi des armes de poing sur eux, mais ils ne les sortent pas. Après avoir neutralisé le gardien du site dans sa loge, ils le bâillonnent. Puis, les inconnus se mettent à charger leurs trois camions de matériel informatique. L'opération ne prendra pas très longtemps. Pourtant, la police repère vite leur manège. Deux des trois poids lourds réussissent à prendre la fuite, immédiatement pris en chasse par les hommes de la compagnie départementale d'intervention (CDI) de Seine-et-Marne, relayés un peu plus tard par les hommes du commissariat de Noisiel. Le troisième camion n'a pas le temps de sortir et reste à quai. Une course-poursuite s'engage alors sur l'autoroute A 4, puis sur le périphérique parisien.

 

Moins d'une demi-heure plus tard, vers 0 h 55, l'un des deux poids lourds est finalement intercepté par les forces de l'ordre à Paris, dans le XX e arrondissement, entre la porte Dorée et la porte de Vincennes. Coincé, le chauffeur ne tente pas de prendre la fuite. Mais il n'en sera pas de même du conducteur du second camion, un mineur de 17 ans.

 

Ce dernier tente sa chance par un autre itinéraire. Il fonce sur l'autoroute A 1, direction le Stade de France, puis emprunte la N 1 conduisant à Saint-Denis. Grâce à un dispositif de coordination régionale permettant aux forces de l'ordre de communiquer sur une même fréquence, le conducteur fou se retrouve avec 40 voitures de police à ses trousses. Les chasseurs n'ont pas le droit à l'erreur, car la course-poursuite peut, d'un moment à l'autre, tourner au drame. Jusque-là, le bolide a percuté une cinquantaine de voitures depuis son départ, la plupart sur le périphérique. Sans faire de victimes. Mais il faut rapidement mettre un terme à ce stock-car. Car le kamikaze ne craint rien. Il force même un barrage et envoie deux véhicules de police au tapis. Nous sommes pourtant presque au bout de la cavale. A la gare routière de Saint-Denis, les policiers font feu par deux fois. Le poids lourd s'immobilise enfin et son conducteur est interpellé.

 

Seulement quarante minutes se sont écoulées entre ce dénouement inespéré, au vu de la détermination du conducteur, et le début du braquage à Lognes. Les deux conducteurs interpellés ont été placés en garde à vue. Ce sera au groupe de répression du banditisme (GRB) de la police judiciaire de Meaux de faire toute la lumière sur cette rocambolesque affaire. [/quotemsg]

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Invité §Zir680wn
« On a fait tellement de braquages ! »

 

Depuis hier, et jusqu'à vendredi, la bande de Montrouge, qui a sévi dans le Val-de-Marne entre autres, comparaît devant la cour d'assises de l'Essonne. Quatre jeunes, de 24 à 26 ans, poursuivis pour une quinzaine de braquages de supérettes et des car jackings. Des attaques à main armée commises entre le 12 octobre 2000 et le 14 janvier 2001 sur l'ensemble de l'Ile-de-France, et parfois au-delà.

 

Ce matin, la cour doit notamment évoquer les hold-up du Lidl de Champigny et du Champion de Saint-Maurice, deux attaques menées le 31 octobre 2000 à une heure d'intervalle. En trois mois, le mode opératoire n'a pas varié d'un iota : un vol de voiture avec violence à Paris dans la soirée et le lendemain matin deux à trois braquages de petites surfaces au moyen d'un pistolet d'alarme et d'un fusil à pompe. Hier, très vite, au-delà de l'examen des faits, une curieuse atmosphère a empli la salle des assises. Cohérents avec leurs dépositions, Stéphane, Messaoud et Khaled ont, au moins en partie, reconnu les faits. En revanche, Kamel, le plus jeune, est revenu d'un bloc sur ses déclarations précédentes. « Je ne sais rien, murmure-t-il.

 

Je n'ai rien fait. Je n'ai participé à aucun braquage. » « Vous n'avez jamais été le quatrième homme de l'équipe ? » interroge la présidente, presque incrédule. La réponse tombe, lapidaire : « Non... » Moment de flottement dans la salle. Tout au long de l'audience, ses coaccusés n'auront de cesse de confirmer sa version. Stéphane, calme, apparaît comme l'homme clé. Il a tout avoué, « assume » mais refuse de balancer : « Je reconnais ma participation mais je ne peux pas parler à la place des autres... » La présence de Kamel quand le groupe « monte au braquage » ?

 

« Je ne dis pas avec qui j'étais mais je suis certain qu'il n'était pas là », riposte l'accusé. Au-delà de cet aspect du dossier, la présidente obtient la description précise des attaques à main armée et de leur technique. Chaque braquage, le moindre vol de voiture est passé au crible. Peu à peu, le portrait d'un réseau à tiroirs, organisé, se dessine : changement de véhicules, d'équipe - tous ne reconnaissent pas le même nombre de hold-up, absence d'empreintes, etc. Et si Stéphane affirme que la bande « allait au hasard et braquait la première supérette venue sans forcément savoir dans quelle commune ils agissaient », le jeune homme finit par soupirer. Soumis à la pression de la présidente, bien décidée à obtenir une réponse à chaque question, il explique ses « trous de mémoire » d'une phrase : « Des braquages, on en a fait tellement que j'ai du mal à me souvenir... » [/quotemsg]

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Invité §fab373pz
Une automobiliste tuée par un projectile

Deux individus, circulant en sens inverse, auraient jeté un objet lourd sur le pare-brise de la victime, causant sa mort. Ils sont toujours en fuite.

 

Effroyable. Lamentable. Intolérable. Les qualificatifs manquent pour traduire la tragédie qui vient de frapper les parents et amis de Saadia Bayad.

 

 

 

 

Une habitante de Sainte-Marie âgée de 50 ans qui est décédée hier, aux environs de midi, alors qu'elle rentrait tranquillement à son domicile au volant de sa voiture accompagnée de sa petite fille de 10 ans. Pire, une mère de famille de quatre enfants tuée... par la bêtise de quelques inconscients.

 

Il était près de 12 h 15 hier. Saadia Bayad circulait sur le CD 11, dans le sens Canet - Sainte-Marie quand elle a perdu le contrôle de sa Renault Scenic sur une ligne droite à quelques centaines de mètres de l'entrée de Sainte-Marie.

 

Le véhicule a violemment percuté le bas-côté et s'est immobilisé dans l'agouille en contrebas.

 

A en juger par l'état de son pare-brise, étrangement transpercé côté conducteur, les services de gendarmerie ont rapidement acquis la certitude qu'il ne s'agissait pas d'un simple accident après avoir retrouvé dans l'habitacle un objet lourd correspondant au trou constaté sur le pare-brise.

 

Ils ont ouvert une enquête pour homicide involontaire.

 

Et leur hypothèse a été rapidement corroborée par les différentes déclarations des témoins. D'aucuns racontent qu'au moment de l'accident, un objet aurait été lancé sur la voiture par la fenêtre d'un autre véhicule arrivant en sens inverse.

 

Deux individus, semble-t-il, se trouvaient à bord. Ils seraient passés par Torreilles pour rejoindre Sainte-Marie.

 

Là, peu de temps avant le drame, à 500 ou 600 mètres de distance, ils auraient également lancé un objet en verre sur une autre femme qui se trouvait sur le bord de la chaussée et auraient poursuivi leur route en faisant de grands gestes par les fenêtres et en vociférant. Ils se seraient ensuite attaqués à Saadia Bayad avant de prendre la fuite.

 

Immédiatement dépêchés sur les lieux, les sapeurs-pompiers n'ont rien pu faire pour sauver la conductrice, morte sous le regard de sa petite fille. Par miracle, l'enfant n'a pas été blessée mais a été évacuée, en état de choc, vers le centre hospitalier de Perpignan.

 

Le projectile qui a atteint la mère au niveau du visage pourrait être à l'origine de son décès. Une autopsie de son corps sera pratiquée aujourd'hui pour déterminer les causes exactes de la mort.

 

Les services de gendarmerie lancent un appel à témoins concernant un véhicule utilitaire de couleur blanche, portant des sérigraphies bleues sur les flancs, qui se serait trouvé aux alentours de Sainte-Marie hier vers midi.

 

Toute personne susceptible de fournir des renseignements est priée de contacter la brigade de gendarmerie de Canet au plus vite au 04 68 80 21 07. [/quotemsg]

 

Source Midi Libre 23/02/05

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Invité §Zir680wn

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Son amitié pour un activiste palestinien conduit une Israélienne en prison

 

Ils auraient pu ne jamais se croiser. Il a échappé à plusieurs tentatives d'assassinat ciblé de l'armée israélienne, est sans doute l'homme le plus populaire de Jénine et apparaît régulièrement depuis deux ans dans les médias israéliens. Elle est originaire d'une des villes les plus pauvres d'Israël, ancienne secrétaire à Tel-Aviv et électrice du Likoud, le parti du premier ministre Ariel Sharon. Zacharia Zubeïdi et Tali Fahima se sont pourtant rencontrés à plusieurs reprises, dans le camp de réfugiés de Jénine, à l'initiative de la jeune femme, qui voulait "connaître le quotidien des Palestiniens".

 

Si les discussions entre Palestiniens et Israéliens suivent leur cours, Zacharia Zubeïdi pourrait bientôt disparaître de la liste des activistes recherchés par l'armée israélienne et rallier les nouvelles forces de sécurité palestiniennes. Une détente qui, pour l'instant, ne bénéficie guère à son amie israélienne. Emprisonnée depuis août 2004, Tali Fahima vient de voir sa détention administrative prolongée de six mois, jusqu'à l'ouverture de son procès, prévue le 17 juillet ; la jeune femme à l'allure austère est accusée d'"avoir fourni des informations à l'ennemi, eu des contacts avec un agent étranger et soutenu une organisation terroriste".

 

Dans un entretien qu'il a accordé au quotidien Yediot Aharonot, lundi 7 février, l'activiste des Brigades des martyrs d'Al-Aqsa a estimé que "si un accord est trouvé sur la libération des prisonniers -palestiniens, l'un des sujets de discussion entre les deux parties-, Tali devrait en faire partie". On en est loin. Fin janvier, la justice israélienne a confirmé qu'elle constituait bien un danger pour l'Etat et refusé sa mise en résidence surveillée. C'est la première fois qu'une femme juive est ainsi maintenue en détention administrative, un traitement d'ordinaire réservé aux activistes palestiniens et exceptionnellement utilisé à l'encontre de militants israéliens d'extrême droite.

 

Face aux lourdes charges qui pèsent contre elle, la jeune femme reconnaît seulement avoir sympathisé avec Zacharia Zubeïdi. Dans un élan, elle s'était même engagée à lui servir de bouclier humain. Tali Fahima n'y voit rien de répréhensible. Les autorités, en revanche, ne manquent pas une occasion de l'accabler. Les services secrets israéliens ont affirmé, sans livrer de preuves, qu'elle avait aidé les Palestiniens à fomenter un attentat.

 

L'opinion publique a déjà tranché : elle est "coupable" pour plus de deux tiers des personnes récemment interrogées lors d'un sondage. "Le profil de Tali a affolé les services de sécurité, explique de son côté Judith, une amie de l'accusée. Elle n'appartient à aucun réseau militant, elle n'est même pas de gauche et elle a pris l'initiative d'aller à Jénine seule."

 

La partie la plus concrète de l'accusation repose sur le fait que la jeune Israélienne aurait traduit pour ses amis palestiniens des documents confidentiels relatifs à la traque des activistes et que l'armée avait perdus à Jénine. Elle nie ces faits, soulignant que Zacharia Zubeïdi parle hébreu et n'avait nullement besoin de son aide.

 

Pour les militants pacifistes qui soutiennent Tali Fahima, ce procès est "politique". "Alors que de plus en plus de gens veulent voir ce que fait l'armée israélienne dans les territoires occupés, les autorités essayent de faire pression pour qu'ils aient peur d'y aller", assure Ouri Ayalon, engagé contre la construction de la clôture de séparation entre Israël et la Cisjordanie.

 

Mardi 8 février, Tali Fahima a eu 29 ans. Ses amis ont organisé une fête devant la prison. Par téléphone portable et haut-parleur interposés, Zacharia Zubeïdi lui a fait savoir qu'il lui avait acheté un ours en peluche. Dernièrement, il avait proposé de venir témoigner en sa faveur. Même "blanchi", il est peu probable que le jeune activiste y soit autorisé.

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Invité §Zir680wn
Tué par des gendarmes, enterré par la justice

 

Dans la nuit du 2 mars 2003, Mourad, 17 ans, mourait sous les balles de gendarmes de la brigade de Saint-Hippolyte-du-Fort (Gard), alors qu'il s'enfuyait à bord d'une voiture sur une route de campagne (Libération des 4, 5, 7 et 17 mars 2003). Depuis, l'enquête piétine. Pire, elle s'emmêle les pieds, empêtrée dans une étonnante histoire de dépositions mensongères et de photos secrètes.

 

Lors de la reconstitution, peu de temps après les faits, le chef de patrouille avait affirmé être sorti de sa voiture son arme à la main, puis avoir ordonné à ses deux subordonnés de tirer. Alors que Mourad, sans arme, ne cherchait qu'à échapper aux gendarmes, ceux-ci déchargeront sur sa voiture pas moins de 17 balles. Une d'entre elles lui traversera le crâne et le tuera. A l'automne 2004, coup de théâtre : lors d'une nouvelle déposition devant le juge d'instruction, le chef de patrouille avoue avoir complètement menti jusqu'ici : «Je n'ai [pas] sorti mon arme [...] et à aucun moment je n'ai donné l'ordre de tirer.» Il affirme même, plus loin : «C'est sur ordre que j'estime avoir décidé de dire aux membres de la patrouille de déclarer dans leurs auditions que j'avais donné l'ordre de tirer.» Le juge décide alors d'entendre les deux subordonnés, qui confirment les propos de leur supérieur : «Le chef X. est venu discuter avec moi et m'expliquer qu'il fallait que les choses soient carrées, donc qu'il n'y ait pas de divergences entre nous. Il présentait cela comme indispensable à la défense de ce qu'il appelait l'esprit gendarmesque.»

 

Prévenu du revirement des déclarations des gendarmes, l'avocat de la mère de Mourad, François Roux, demande au juge d'organiser une nouvelle reconstitution. Et incidemment, de mettre le chef de patrouille en examen pour subornation de témoin. Refus catégorique du juge. Qui considère que «ce mensonge avéré et reconnu n'a été d'aucune influence sur le déroulement des faits». «C'est bien évidemment le contraire ! dénonce François Roux. Car si le chef de patrouille n'a pas sorti son arme et n'a pas donné l'ordre de tirer, c'est bien qu'il considérait qu'il n'y avait aucun danger. Or les textes qui encadrent l'utilisation des armes à feu chez les forces de l'ordre sont très précis. Il doit s'agir d'une situation d'absolue nécessité, ce qui n'était visiblement pas le cas.»

 

La famille de Mourad, autour de laquelle s'était fortement mobilisé le quartier de Valdegour, à Nîmes, a du mal à comprendre un tel blocage judiciaire. «Nous, on veut simplement savoir ce qui s'est réellement passé cette nuit-là, affirme Rabia Benaziz, la mère de la victime. Or là, j'ai l'impression qu'ils nous cachent quelque chose.» Une impression renforcée par un mystérieux album de photographies, sur lesquelles on verrait les gendarmes incriminés participant à une fête de la caserne, le soir même de la mort du jeune homme. Un album placé sous scellés, dont l'avocat réclame ­ en vain ­ une copie depuis des mois.

 

Le conseil municipal de Saint-Hippolyte a voté une motion de soutien aux gendarmes. Et les policiers municipaux avaient distribué aux habitants une pétition : «Suite aux événements [...] la population veut témoigner toute sa sympathie dans les moments difficiles que vous traversez.» [/quotemsg]

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Invité §Zir680wn

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Le couple harcelé met son pavillon en vente

 

Dans le pavillon de Fabrice, la sonnette est coupée. A la place, une caméra de vidéosurveillance filme en continu ceux qui s'approchent un peu trop près de la porte d'entrée. Inutile de passer à l'improviste, mieux vaut téléphoner avant.

 

Depuis qu'il a emménagé à Cergy-Saint-Christophe avec son épouse, il vit un enfer, calfeutré dans son petit pavillon qu'ils ont entièrement rénové et décoré ensemble avec goût. Résignés, ils viennent pourtant de le remettre en vente. « L'ancien propriétaire nous harcèle et nous menace régulièrement, c'est invivable », confie Fabrice. Ces neufs derniers mois, ils en ont vu de toutes les couleurs. « La première fois, il a sonné à la porte vers 23 heures, se souvient son épouse. Il a demandé ce qu'on faisait dans sa maison. Il nous a assuré qu'on s'était fait escroquer, qu'on devait réclamer l'argent à l'agence immobilière et lui rendre la maison.»

 

L'homme aurait même contacté l'agence et le notaire. Cette première rencontre se termine dans le calme. Mais en juin, il dépose une lettre menaçante. « Je ne veux pas de violence contre des innocents. Par conséquent, réclamez votre argent avant qu'il ne soit trop tard pour vous. » Un peu plus tard, les volets de la maison sont maculés de sang. « Une autre fois, il a fait un petit feu sur le perron, se souvient la jeune propriétaire. Des allumettes déposées les unes derrière les autres conduisaient à la maison. Pour moi, il voulait nous montrer ce qui nous attend si nous ne prenons pas le chemin qu'il veut. » Cet été, l'homme rend des visites oppressantes deux fois par semaine. « Souvent en fin de soirée, il vient et frappe très violemment sur les volets », assure Fabrice. Plusieurs fois, ils ont trouvé des sacs de viande transpercés de piques devant leur porte. « Il fait des rites vaudou », assure Fabrice. Renseignements pris, Fabrice et sa femme sont persuadés qu'ils ne sont pas ses premières victimes. Le couple s'aperçoit que la maison est passée de mains en mains ces dernières années.

 

« En fait, l'homme qui nous harcèle était le propriétaire du pavillon jusqu'en mai 2001. A cause de difficultés financières, son logement a été saisi et vendu à un marchand de biens. Ensuite, il a squatté jusqu'à ce qu'il soit expulsé par les forces de l'ordre en mars 2003. La maison est alors achetée et remise en vente un mois plus tard. Elle trouve un acquéreur en septembre, qui cherche à vendre dès décembre. » Fabrice et son épouse ont le sentiment d'être tombés dans un piège.

 

« L'agence immobilière ne nous a rien dit, elle a dissimulé cet élément essentiel », accuse le couple qui souhaite l'emmener devant les tribunaux. Eux aussi veulent revendre leur maison. Depuis qu'il a été arrêté par la police et qu'une date de procès a été fixée, l'homme ne vient plus les importuner. Mais Fabrice et sa femme n'ont plus la force de vivre ici. Traumatisés par ce qu'ils ont vécu, ils n'imaginent pas reprendre une vie normale dans cette maison. Tous deux sont d'accord pour la revendre, mais pas « à refiler le problème à d'autres ». Ils comptent aller jusqu'au bout de l'action en justice qu'ils mènent à l'encontre de l'ancien propriétaire.

[/quotemsg]Lien de la dépêche

 

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Invité §MCB785xf

Il suffit pourtant de la calmer, je sais qu'on ne fait pas justice soi-même en France, mais parfois, ça simplifie beaucoup de choses.

 

Ce genre de chose marche contre un type un peu lourd ou un voyou mais face à un vrai taré (comme ici), tu risques de déclencher une spirale de violence incontrolable. :L

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Ce genre de chose marche contre un type un peu lourd ou un voyou mais face à un vrai taré (comme ici), tu risques de déclencher une spirale de violence incontrolable. :L

Peut être ne est-il arrivé là aussi parce que les gens l'ont laissé évoluer dans son délire, regarde, une simple plainte l'a calmé, c'est bien la preuve que ça n'est pas un psychotueur vileur incendiaire.

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Invité §Zir680wn
Dix ans de réclusion pour avoir tenté de tuer son compagnon

 

Il a éclaté en sanglots à l'énoncé du verdict. Voilà deux jours qu'Ahmed endurait le procès de son ex-compagne, accusée d'avoir tenté de l'assassiner le 5 février 2003 au Plessis-Robinson. Hier après-midi, la cour d'assises des Hauts-de-Seine a suivi les réquisitions que l'avocat général avait prononcées un peu plus tôt et a condamné Houria, 41 ans, à dix ans de réclusion criminelle, pour un geste à glacer le sang.

 

En pleine nuit, alors que son compagnon dormait, l'accusée avait déversé sur son visage une casserole d'huile qu'elle avait préalablement fait bouillir sur les plaques électriques de la cuisine... « Je voulais le tuer », a avoué cette femme perturbée en reconnaissant que, plusieurs mois avant les faits, elle avait réfléchi au moyen de parvenir à ses fins.

 

Brûlé sur 25 % du corps « J'ai pensé à le faire avec un marteau... ou avec de l'acide », a-t-elle évoqué à l'audience. A l'époque, Houria espérait que le malheureux « ne s'en remette pas ». Ahmed, grièvement brûlé, s'en est pourtant sorti. Il porte aujourd'hui les stigmates de cette nuit tragique sur le visage, dans le cou et sur tout le haut du corps. « 25 % de la surface corporelle est atteinte, raconte son avocate. Il a beaucoup souffert. Il a subi de nombreuses hospitalisations, ne supporte plus le moindre rayon de soleil... »

 

Pendant le procès, ce quadragénaire a souvent étouffé des pleurs d'incompréhension. « Pourquoi ? » a insisté la présidente de la cour. A l'époque, Houria avait affirmé haïr cet homme qui, disait-elle, buvait, la violentait et la volait. Devant les assises, l'accusée ne savait plus. Mais elle était sûre d'une chose : cet homme était « le seul qu'elle ait aimé ».

[/quotemsg]Lien de la dépêche

 

Horrible, je n'ose même pas imaginer, ébouillanté à l'huile pendant son sommeil :eek:

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Invité §Zir680wn

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Un hôtel quatre étoiles sur le «nid d'aigle» d'Hitler

 

Il a beau être camouflé sous les cimes enneigées des sapins, le luxueux hôtel qui s'apprête à ouvrir au-dessus de la ville de Berchtesgaden, en Allemagne, fait polémique. Il est situé sur le «nid d'aigle» d'Hitler, un haut lieu du pouvoir nazi.

 

C'est là que le Fürher et ses proches se réunissaient pour planifier l'offensive allemande ainsi que l'extermination des Juifs lors de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui il est devenu l'Intercontinental Resort Bechtesgaden, un hôtel quatre étoiles avec piscine, balnéothérapie et pistes de ski à proximité.

 

Jeudi, le gouvernement bavarois a annoncé son ouverture pour le 1er mars. Pour se préparer à affronter les critiques, le Land de Bavière, propriétaire du terrain, a posé comme condition que l'hôtel accueille une clientèle aisée, une précaution visant à écarter la venue de néo-nazis.

 

La décision de construire un hôtel sur le site a déclenché la colère de nombreux mouvements juifs. Des inquiétudes qu'ont essayées de résoudre les autorités bavaroises avec l'ouverture en 1999 d'un centre de documentation qui détaille le passé nazi du lieu.

 

La plupart des bâtiments du «nid d'aigle» ont été détruits par les bombardements alliés en 1945 et la résidence d'Hitler a été rasée par les autorités bavaroises en 1952. Les forces militaires américaines ont ensuite occupé le site comme station de vacances après la Seconde Guerre mondiale, avant de la rendre à l'Allemagne en 1996. Cette destination reste populaire chez les soldats américains.

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Lien de la dépêche

 

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C'est la 2ème D.B. de Leclerc qui a pris d'assaut le Berghof de Hitler à Berchtesgaden, on voit d'ailleurs sur la dernière photo deux soldats français près de la Mercedes du Fuhrer.

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Invité §Zir680wn
Elle sectionne le pénis de son compagnon à l'annonce de leur rupture

 

Une femme visiblement contrariée par la rupture avec son petit ami lui a sectionné le pénis avant de le jeter aux toilettes et de tirer la chasse. Des employés du service des eaux ont retrouvé l'organe que des chirurgiens ont réussi à regreffer.

 

La police d'Anchorage a précisé que Kim Tran, 35 ans, a été interpellée et inculpée de violence domestique... avec preuve. Elle a été écrouée sans possibilité de libération sous caution. La porte-parole de la police Anita Shell n'a pas hésité à qualifier la blessure infligée à l'homme âgé de 44 ans de "brutale, plutôt brutale".

 

Le couple s'était disputé samedi parce que l'homme, dont l'identité n'a pas été communiquée, voulait mettre un terme à la relation qui durait depuis un an. Une fois la cause apparemment entendue, le duo décidait alors de faire l'amour, a expliqué Anita Shell. Au cours de leurs ébats, l'homme a semble-t-il accepté de se soumettre aux caprices de sa partenaire en se laissant attacher les mains à une poignée de fenêtre située juste au-dessus du lit.

 

Une fois fait, Kim Tran s'est alors saisie d'un couteau de cuisine pour lui sectionner le pénis. Après avoir tiré la chasse, elle a conduit l'homme jusqu'à l'hôpital avant de regagner l'appartement du couple. C'est un employé de l'hôpital qui a alerté la police qui a retrouvé Kim Tran en train de nettoyer le sang. [/quotemsg]

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Invité §Zir680wn
Japon: ils découpent le pénis d'un travesti

 

PHNOM PENH (AP) -- Deux Japonais ont sectionné le pénis d'un travesti qu'ils avaient pris pour une femme avec laquelle ils souhaitaient avoir une aventure, rapporte dimanche le quotidien «Kampuchea Thmey».

 

La victime, un employé de bar qui aime s'habiller avec des vêtements de femme, se rendait à son travail jeudi lorsque les deux hommes lui ont proposé 20 dollars (15 euros) pour avoir une relation sexuelle avec eux.

 

Après avoir découvert qu'il s'agissait d'une femme, les deux Japonais ont attrapé un couteau et sectionné son pénis, avant de s'enfuir en voiture, a précisé le quotidien, citant la victime. Le travesti, âgé de 18 ans, a été transporté à l'hôpital Calmette de Phnom Penh, a-t-on appris de source hospitalière.[/quotemsg]

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Bis repetita :bah:

 

 

 

 

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Invité §ort666yM

 

Japon: ils découpent le pénis d'un travesti

 

PHNOM PENH (AP) -- Deux Japonais ont sectionné le pénis d'un travesti qu'ils avaient pris pour une femme avec laquelle ils souhaitaient avoir une aventure, rapporte dimanche le quotidien «Kampuchea Thmey».

 

La victime, un employé de bar qui aime s'habiller avec des vêtements de femme, se rendait à son travail jeudi lorsque les deux hommes lui ont proposé 20 dollars (15 euros) pour avoir une relation sexuelle avec eux.

 

Après avoir découvert qu'il s'agissait d'une femme, les deux Japonais ont attrapé un couteau et sectionné son pénis, avant de s'enfuir en voiture, a précisé le quotidien, citant la victime. Le travesti, âgé de 18 ans, a été transporté à l'hôpital Calmette de Phnom Penh, a-t-on appris de source hospitalière.

 

Ca devient compliqué cette histoire :W

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Le 27/02/2005 à 11:48, Ziriako a écrit :

 

Japon: ils découpent le pénis d'un travesti

 

PHNOM PENH (AP) -- Deux Japonais ont sectionné le pénis d'un travesti qu'ils avaient pris pour une femme avec laquelle ils souhaitaient avoir une aventure, rapporte dimanche le quotidien «Kampuchea Thmey».

 

La victime, un employé de bar qui aime s'habiller avec des vêtements de femme, se rendait à son travail jeudi lorsque les deux hommes lui ont proposé 20 dollars (15 euros) pour avoir une relation sexuelle avec eux.

 

Après avoir découvert qu'il s'agissait d'une femme, les deux Japonais ont attrapé un couteau et sectionné son pénis, avant de s'enfuir en voiture, a précisé le quotidien, citant la victime. Le travesti, âgé de 18 ans, a été transporté à l'hôpital Calmette de Phnom Penh, a-t-on appris de source hospitalière.

 

 

Comme tu dis, très compliqué :W

 

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Invité §kaz086tA

Ca te rappele pas une histoire aux states :D John Bobbit :D Ca a couté 1 million de F la greffe et pour payer il a ensuite tourner des films X, il est devenu star du porno US

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Ca te rappele pas une histoire aux states :D John Bobbit :D Ca a couté 1 million de F la greffe et pour payer il a ensuite tourner des films X, il est devenu star du porno US

Il avait le nom pour en tous cas!

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Invité §kaz086tA
La journaliste française Florence Aubenas, enlevée en Irak il y a plus de sept semaines, lance un appel à l'aide désespéré dans un enregistrement vidéo diffusé mardi par des insurgés irakiens, où elle sollicite tout particulièrement le concours du député UMP Didier Julia .

[/quotemsg]

yahoo

On a pas fini d'en entendre parler de Julia s'il réussi à obtenir sa libération c'est l'essentiel.

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Invité §_lu652qJ

yahoo

On a pas fini d'en entendre parler de Julia s'il réussi à obtenir sa libération c'est l'essentiel.

 

Je pense que la pauvre Flo n'a fait que répéter ce que ses ravisseurs lui ont dicté. Peut-être qu'ils veulent la peau de Julia ?

 

 

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Invité §kaz086tA

Je pense que la pauvre Flo n'a fait que répéter ce que ses ravisseurs lui ont dicté. Peut-être qu'ils veulent la peau de Julia ?

Pas sûr, je pense que Julia avait vraiement des contacts même si son collègue était un mytho sinon jamais le gouvernement lui aurait filé un VISA pour aller en irak.

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Invité §_lu652qJ

Pas sûr, je pense que Julia avait vraiement des contacts même si son collègue était un mytho sinon jamais le gouvernement lui aurait filé un VISA pour aller en irak.

 

Bien sûr qu'il avait des contacts, mais cette opération etait vraiment pitoyable. :L

 

Petite précision: Ce n'est pas le gouvernement qui donne les visas, mais le pays que tu visites. Ceci dit, de toute manière les sbires de Julia sont allés en Iran pour passer la frontière vers l'Irak.

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Invité §Zir680wn

ziriako_1109749887_a.jpg.1247c6cc13a85da3adbca3cc5fd4555e.jpg

Agression de Dieudonné à Fort-de-France

 

Quatre personnes ont été placées en garde à vue dans les locaux de la police à Fort-de-France (Martinique) à la suite de l'agression contre l'humoriste français Dieudonné, a indiqué le directeur départemental de la sécurité publique, Bernard Cateau.

 

Selon la police, l'humoriste Dieudonné a été agressé, mardi, à Fort-de-France par quatre individus placées en garde à vue. Selon des sources proches de l'enquête, il a été affirmé dans un premier temps que les agresseurs seraient arrivés en Martinique avec des passeports israéliens. Puis, Bernard Cateau, directeur départemental de la sécurité publique, s'est refusé à fournir des détails sur la nationalité des agresseurs pour ne pas nuire au bon déroulement de l'enquête.

 

L'humoriste, qui s'apprêtait à rejoindre les locaux d'Antilles Télévision, mardi, en début de soirée, a été agressé par trois individus. Au cours d'un point de presse improvisé, devant le commissariat de police de Fort-de-France, M. Cateau a indiqué mardi soir que Dieudonné allait subir une visite médicale après l'agression, selon la procédure normale, mais qu'il allait bien.

 

Interrogé sur le spectacle que doit donner Dieudonné, mercredi, à l'Atrium à Fort-de-France, M. Cateau a indiqué que des mesures de sécurité particulières seront mises en place.

 

L'humoriste aurait déposé plainte pour coups et blessures volontaires. Selon le producteur de son spectacle, Dieudonné doit tenir une conférence de presse mercredi matin à la suite de cette agression. L'artiste, qui risque d'être poursuivi par la justice française après avoir qualifié dernièrement de "pornographie mémorielle" les commémorations de la Shoah, a saisi à son tour la justice, en portant plainte pour "diffusion de fausse nouvelle".

[...]

[/quotemsg]

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Le climat devient délétère :roll:

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Invité §Sap240SG

Pourquoi ce recours à la violence?

A Lyon, des spectateurs avaient été aggréssés également. :roll:

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Invité §Sap240SG

mercredi 2 mars 2005, 22h33

Dieudonné: côte "un peu fêlée" après son agression

 

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FORT-DE-FRANCE (AFP) - L'humoriste Dieudonné a attribué à des "extrémistes sionistes" l'agression dont il a été victime la veille à Fort-de-France et qui lui a valu "une côte un petit peu fêlée", a-t-il expliqué mercredi lors d'une conférence de presse.

 

Le fantaisiste a été attaqué mardi sur un parking d'Antilles Télévision (ATV) où il était attendu au Journal télévisé, à la veille de la dernière de son spectacle controversé "Mes excuses".

 

"Je me retourne vers les extrémistes sionistes qui m'ont frappé hier et qui me comparent à Hitler : Hitler n'est pas humoriste", a-t-il déclaré.

 

Cette agression, a-t-il dit, "le lie définitivement à cette terre". "Je me suis fait frapper ici, je me suis fait traiter de sale nègre ici. Aujourd'hui, je suis un Martiniquais",

 

Les quatre personnes interpellées à la suite de cette agression étaient toujours en garde à vue mercredi, a-t-on indiqué de sources proches de l'enquête. Il s'agit, selon ces sources, de quatre agents commerciaux, titulaires de passeports français, habitant Schoelcher, commune limitrophe de Fort-de-France, arrivés en Martinique en octobre 2004. Sur le passeport de deux d'entre eux, des visas attestent de longs séjours en Israël, selon la même source.

 

L'humoriste a raconté qu'à 18H00 locales (23H00 mardi à Paris), trois hommes s'étaient jetés sur lui après avoir lancé "sale négro, on va te faire la peau", le frappant "à la mâchoire et à la cage thoracique".

 

"J'ai une côte un petit peu fêlée, mais je pourrai jouer mon spectacle", a-t-il assuré.

 

Les trois hommes, a raconte Dieudonné, se sont enfuis à bord d'une voiture dans laquelle les attendait un complice. Une patrouille de police qui passait les a pris en chasse. Selon Dieudonné, "une véritable course-poursuite" s'en est suivie, jusqu'à ce que la voiture des agresseurs soit bloquée dans les embouteillages. Les agresseurs, qu'il a reconnus, ont été conduits au commissariat de Fort-de-France.

 

Dieudonné a dénoncé des faits graves, "une agression en groupe avec préméditation, injures racistes et coups et blessures".

 

Il a vu un symbole dans le fait que les faits aient eu lieu dans une île qui a connu l'esclavage. "On va taper un nègre là où on les a bien tapés...On va taper un nègre en Martinique pour dire, Nègre, tu restes à ta place et tu fermes ta gueule"!. "Moi, je ne fais pas partie de cette catégorie-là".

 

Cette agression a provoqué de nombreuses réactions en Martinique.

 

Le préfet de Région a "condamné fermement" "cette agression inacceptable et révoltante".

 

Dans l'archipel voisin de la Guadeloupe, le président (PS) du Conseil régional Victorin Lurel a condamné "les attitudes, propos et actes qui visent à dresser les communautés et les religions les unes contre les autres". "Ces positions radicales engendrent nécessairement des violences inadmissibles et des tensions entre deux communautés qui ont souffert de grandes discriminations dans l'histoire".

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Invité §kaz086tA

La journaliste italienne vient d'être libéré, elle a été récupéré par les services secrets italiens. Lors d'un passage à un barrage ricains, les ricains ont rien compris et tué le chef des services secrets et blessé la journaliste.

Chez les ricains on tue d'abord on réfléchit après :roll:

Pas étonnant que ça traine aubenas si on obtient sa libération pour qu'elle se fasse flinguer à un barrage ricain :roll:

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Invité §Zir680wn
Mort de faim et de solitude

 

Triste et consternant. Le corps sans vie d'un jeune homme de 25 ans a été retrouvé dans son appartement de Lyons-la-Forêt (Eure). Il a été découvert un mois et demi après sa mort quand des « proches » ont fini par s'inquiéter de ne plus avoir de ses nouvelles.

 

Le malheureux est semble-t-il mort de faim. Lorsque les gendarmes ont pénétré dans les lieux, le poste de télévision était encore en marche. Cette personne vivait seule, n'avait aucun contact avec le monde extérieur. Dépourvu de ressources, sans travail, il menait une existence de reclus, ne demandant absolument rien à personne. Au bout du rouleau, il s'est laissé dépérir. « Il s'agit d'un drame de la solitude et de la misère car aucune infraction n'a été relevée et il n'y aura aucune poursuite pénale. La tristesse de cette affaire, c'est que ce monsieur est mort sans que personne ne s'en émeuve », confiait hier un officier de gendarmerie.

[/quotemsg]Lien de la dépêche

 

Pauvre gars :cry:

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