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Société

Faits divers d'ici ou d'ailleurs....


Invité §Red080vN
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Invité §Zir680wn
La boucherie halal dénoncée par le FN

 

 

Monique Delcroix, conseillère municipale FN à Méru, n'a pas du tout apprécié l'accord, donné récemment par le maire, pour l'installation d'une boucherie halal. Elle explique, notamment, « être la seule à s'élever au sein du conseil contre l'installation d'une boucherie halal en centre-ville.

 

Au dernier conseil municipal, M. Leblanc a déclaré qu'une telle boucherie ne le gênerait pas, et Mme Lemaître - adjointe chargée du développement économique - qu'elle la fréquenterait personnellement ». Un débat qui pour elle, « symbolise l'explication de la défaite de la droite aux dernières élections. Le vote Front national, qu'on ne peut plus désormais qualifier de protestataire, est celui de Français qui ne voudront plus jamais des partis qui soutiennent l'immigration ». Le FN a réalisé à Méru un score de 24 % au 1 e r tour des régionales, et 20 % au second tour.

 

Le Parisien 5 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
Les Halles, c'est pas Los Angeles et ses gangs

 

Tribunal correctionnel de Paris

 

Le jeune avocat plaide pour deux garçons prévenus de violences avec arme. «Les plaignants sont incohérents, ils parlent d'une lame de couteau qui brille dans la nuit. Or, à 20 heures, il fait jour, et les policiers n'ont retrouvé aucune arme sur les lieux ! Ensuite, le quartier des Halles, contrairement à ce que veut nous faire croire madame le procureur, n'est pas Los Angeles avec des gangs qui se poursuivent armés jusqu'aux dents.» La présidente regarde sa montre : «Maître, il faut conclure ! Malheureusement nous avons beaucoup d'affaires...» L'avocat se dépêche : «Si la politique pénale est d'envoyer en prison quelqu'un qui n'a jamais été condamné, eh bien, ce n'est pas comme ça qu'on résoudra les problèmes de société !»Les deux partent en prison pour deux et quatre mois.

 

Maintenant, c'est Thierry, 44 ans, parka de chasseur, air ébahi. En moto, il aurait fui après avoir renversé une femme qui a eu la jambe fracturée. C'est un témoin qui a rattrapé Thierry à un feu rouge. «La dame traversait hors des clous, je ne l'ai pas vue car elle était cachée par des voitures à l'arrêt. Je n'ai pas compris que je l'avais renversée et je n'ai pas fui, assure Thierry, mais je ne pouvais pas m'arrêter au milieu de la chaussée.» La procureure admet : «Ce piéton n'a pas eu un comportement correct, mais on ne peut heurter quelqu'un sans s'en apercevoir, c'est lamentable de le prétendre !» Elle veut dix-huit mois de suspension du permis de conduire. Il écope de 1 000 euros d'amende et dix mois de suspension.

 

Et voilà Brahim, 27 ans, cheveux nattés, visage creux, «réalisateur-scénariste». Les policiers ont trouvé dans sa voiture quatorze cartes bancaires contrefaites ou volées, dont quatre seraient tombées de sa poche. «J'étais en voiture avec un ami, raconte Brahim, c'est lui qui a insisté pour qu'on raccompagne un gars qui a déposé les cartes sous le tapis de sol de ma voiture. Moi je n'appartiens pas à ce genre de trafic !» «A un autre alors ?, susurre la juge, et puis au départ, vous n'avez pas dit cela aux policiers.» Brahim explique : «Au début, je ne voulais pas dénoncer ce Francky, mais j'ai compris que j'allais prendre, alors j'ai craché le morceau. Francky est un voleur connu !» Il ajoute : «Je vis du RMI et des royalties que je touche sur mes spectacles, et dans trois semaines j'ai un tournage, tout cela peut être vérifié.» «Ce n'est pas cela que le tribunal met en doute», dit la juge. La procureure réclame huit mois, et l'avocate pense à un travail d'intérêt général. «Vous seriez d'accord pour un TIG ?», demande la présidente. Cinq mois ferme.

 

Au tour de Najib, au teint vert, comme son blouson. Il a été arrêté dans un squat où il a volé deux boîtes de thon. «Vous êtes connu sous d'autres alias, rapporte la présidente, avec une condamnation pour violences et une autre pour trafic de stupéfiants, et vous êtes définitivement interdit du territoire français. Que faites-vous en France depuis 1986 ? Vous comptez vous maintenir ici envers et contre tout ?» Najib travaille au noir chez des brocanteurs des Puces et a fait «des démarches pour être régularisé, toutes refusées». Il est malade : «Je fais des crises aiguës de paranoïa, je suis suivi par un psychiatre.» «Qu'est-ce que la paranoïa, monsieur ?», demande la procureure. Najib : «Je me sens harcelé, j'ai l'impression qu'on parle de moi à la télé, mes crises sont de plus en plus fréquentes.» La procureure acquiesce : «Sa définition est exacte, il doit être paranoïaque, comme souvent les grands toxicos ! Il peut recommencer sa vie, mais ailleurs.» Elle réclame une nouvelle interdiction du territoire. L'avocat se lance : «Oui, mon client est étranger, il a déjà été condamné et il est en situation irrégulière. Mais rien dans le dossier ne montre que ni le préfet ni le procureur aient seulement essayé de le renvoyer au Maroc ! Il est allé en prison et en est même ressorti libre. Ce n'est pas sa faute s'il est encore là.» Trois mois ferme, deux ans d'interdiction. Les avocats se regardent, ils lèvent les yeux au ciel.

 

Libération 5 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
Elle dilapidait les économies de sa meilleure amie

 

 

Elle n'était pas dépensière. Alors, forcément, cette habitante de Saint-Denis, membre de la communauté indienne, ne comprenait pas pourquoi son compte bancaire était, ces derniers temps, régulièrement débité de 1 500 €. A la fin du mois de mars, cette femme âgée d'une quarantaine d'années a décidé de déposer plainte au commissariat.

 

La police dionysienne n'a pas mis longtemps pour donner une réponse à ses interrogations : c'est en fait l'une de ses meilleures amies, également d'origine indienne, qui dilapidait ses économies. L'arnaqueuse a été arrêtée ce week-end. Chaque fois qu'elle rendait visite à sa copine, c'est-à-dire presque tous les jours, elle lui subtilisait des chèques et lui empruntait, ni vu ni connu, son passeport. Ensuite, elle filait à la banque de sa victime pour retirer le pactole. Les employés n'y voyaient que du feu. Car, pour éviter d'attirer les soupçons lors de la vérification du passeport, l'usurpatrice gardait au guichet son turban sur la tête. Après avoir touché le jackpot, elle repassait chez sa copine pour remettre le passeport là où elle l'avait trouvé. Au total, cette ruse lui a rapporté 21 000 €, jusqu'à ce que les forces de l'ordre l'interpellent et retrouvent à son domicile 15 000 € en liquide. Les 6 000 € manquant ont été dépensés en bijoux et autres billets d'avion. L'escroc en sari, qui a déjà remboursé sa compatriote, sera jugée le mois prochain au tribunal correctionnel de Bobigny

 

Le Parisien 6 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
Un trafic de grosses cylindrées devant la justice[g]

 

 

Un an de prison. C'est la peine requise hier après-midi à l'encontre de Karim, 27 ans, par le tribunal correctionnel d'Evry. Détenu depuis deux ans dans le cadre d'une autre affaire, le jeune homme, originaire du quartier des Tarterêts, à Corbeil, comparaissait pour « recel d'un bien », en l'occurrence une Volkswagen Passat.

Condamné treise fois pour différents motifs depuis 1993, Karim s'était déjà illustré dans le cadre d'un vaste trafic de pièces détachées volées, là encore aux Tarterêts. Pour ce nouveau dossier, c'est à Sainte-Geneviève-des-Bois qu'il a été interpellé le 4 juin 2002.

 

Depuis plusieurs mois, les occupants d'une résidence avaient remarqué un va-et-vient suspect de véhicules de grosses cylindrées, garés quelques jours sur leur parking avant d'être évacués. Pêle-mêle, les habitants repéreront plusieurs BMW M3, ainsi que des Audi S3 et S8. Dans la foulée, ils notent également la présence régulière de deux individus, que les policiers n'auront plus qu'à interpeller. Ce jour-là, Karim s'apprête à enlever du parking une Passat, braquée quelques jours plus tôt dans une station-service de Fleury-Mérogis. C'est là que le jeune homme dit l'avoir achetée, pour environ 600 €. « Je savais qu'elle était volée », assume-t-il, tout en niant être l'auteur de l'agression. Le procureur, Hubert Dujardin, n'a pas caché son « insatisfaction totale » vis-à-vis du dossier, regrettant que Karim ne soit poursuivi que pour recel. Il a réclamé également de quatre à six mois de sursis à l'encontre de son complice, Didier, 23 ans, au casier judiciaire vierge. Le jugement devait être rendu tard dans la soirée d'hier.

 

Le Parisien 6 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
Il vaut mieux la mettre en veilleuse

 

 

Chaque mardi, choses vues et entendues dans les tribunaux parisiens. C'est fou ce qu'il y avait de gens énervés, ivres, ou les deux, à Paris le 6 février... Par la logique du calendrier des audiences, une quinzaine de personnes, sans compter les absents, se sont retrouvées hier à partager les bancs de la 16 e chambre correctionnelle, pour des mots, gestes et conduites alcoolisées du 6 février 2004.

 

Benjamin, l'air d'un grand étudiant doux de 25 ans, rougit un peu. A 6 h 30, il grille un feu, coupe la route à deux jeunes filles en 106, « freinant en travers, à la Starsky et Hutch », résume l'une d'elles. En fait les dames étaient deux policières qui allaient au travail en civil. Quand elles ont sorti leurs cartes bleu blanc rouge, l'automobiliste a jailli de sa voiture, les insultant. Le juge lit, impassible : « pauvres c... avec vos cartes de police, j'en ai rien à f..., de toute façon, je connais du monde ». « Je n'ai pas de problème d'alcool, jamais eu d'accident », plaide le prévenu, qui affichait 0,63 mg d'alcool à l'éthylomètre - le seuil légal est à 0,4. Au restaurant, son amie lui avait annoncé qu'elle le quittait : « à partir de là, j'ai fait des choses insensées », comme partir finir la nuit « pour oublier » aux Folies-Pigalle... « Passons sur l'absence d'élégance, que je déplore à chaque audience, où je m'efforce de faire de l'éducation civique, mais qu'il comprenne au moins qu'il y a des circonstances où il vaut mieux la mettre en veilleuse », soupire la substitut du procureur, qui profite de chacune de ses interventions, très didactique, pour éduquer la salle, et réclame huit à dix mois de suspension de permis, plus deux à trois mois de prison avec sursis. Verdict en mai.

 

Thierry, la cinquantaine trapue, ex-chauffeur de taxi, fusille la salle du regard quand il en sort. « En un sens, oui », comme dit le juge, il préfère être « en demande d'emploi » que de continuer à faire taxi, parce qu'il y a « trop de problèmes avec les gens ». Quand les policiers en patrouille dans le RER entre Châtelet et Gare-du-Nord lui ont demandé d'enlever ses pieds du siège où il s'était affalé, après « deux bouteilles et demi de Bordeaux », il a commencé par lancer, « si tu me touches, je te tape ». L'altercation s'est finie sur des menaces de faire « sauter le train, si je veux » et une bordée de noms d'oiseaux destinée aux « flics ». Il a déjà été condamné quatre fois pour des outrages. « Manifestement, vous avez une propension à vous emporter, surtout contre les fonctionnaires », remarque le juge, qui se donne jusqu'au 17 mai pour décider ou non d'une expertise psychologique.

 

Augustin n'est pas là, contrairement à sa victime : un policier à qui il a répété « tu n'es qu'une merde », alors qu'il se faisait arrêter un couteau de cuisine à la main. « Je m'étais fait agresser », avait expliqué Augustin après l'arrestation agitée : d'où le couteau. Faute de retrouver son agresseur, il passait ses nerfs en crevant les pneus des voitures garées dans la rue. Le policier, qui se constitue partie civile, veut 1 € symbolique et qu'on respecte le travail de la police. « Comme dirait Boris Vian, on n'est pas là pour se faire engueuler ! », approuve la substitut, qui déplore un « dossier désagréable » et qui, vu le couteau, « aurait pu être dangereux ». L'absent ne le sait pas, mais la 16 e chambre l'a condamné à quatre mois de prison ferme, plus 1 € symbolique et « confiscation » du couteau sous scellés.

 

Le Parisien 6 Avril 2004

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Invité §le 816mY

Benjamin, l'air d'un grand étudiant doux de 25 ans, rougit un peu. A 6 h 30, il grille un feu, coupe la route à deux jeunes filles en 106, « freinant en travers, à la Starsky et Hutch », résume l'une d'elles. En fait les dames étaient deux policières qui allaient au travail en civil

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:W

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Invité §le 816mY

L'antivol du III e millénaire

 

Selon le site caradisiac.com, le car jacking et le home jacking, qui consistent respectivement à dérober un véhicule soit en éjectant le conducteur soit en fracturant son garage, vivent leurs dernières heures.

 

Zéphyr Technologie, une société basée à Rochefort-sur-Mer (Charente-Maritime), aurait inventé un antivol qui enregistre les empreintes digitales du propriétaire du véhicule. Le conducteur pose son doigt sur un capteur intégré à la console, et ce n'est qu'une fois l'empreinte reconnue que l'autorisation de démarrer est donnée à la voiture.

 

Le coût de cet équipement serait inférieur à 300 €

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Super, maintenant il va falloir voler le doigt du conducteur :W

ça va faire mal

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Invité §Zir680wn
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Les néonazis recrutaient au lycée

 

 

D'abord, on remarque les armes : des fusils de chasse, un pistolet-mitrailleur datant de la Seconde Guerre mondiale, des grenades et des munitions en tout genre. Puis il y a ces casques nazis ou ces tenues militaires frappées de la croix gammée. Mais il y a surtout les écrits dont les titres révisionnistes sont une insulte à l'histoire : « le Mensonge d'Auschwitz par l'illustration », « le Massacre d'Oradour : un demi-siècle de mise en scène »...

 

Les perquisitions menées la semaine dernière dans l'Indre par les policiers de Châteauroux, dans le cadre d'une enquête sur le groupuscule d'extrême droite Epervier, sont explicites. « On peut parler d'un groupe néonazi, xénophobe et homophobe, détaille Pierre Valleix, le procureur de la République de Châteauroux. L'enquête permettra de savoir quelles étaient ses intentions. Les repentis parlent d'entraînements à des sports de combat. » Quatorze personnes ont été mises en examen pour « organisation et participation à un groupe de combat ». Jeunes pour la plupart, liés au mouvement Epervier, tous ont été relâchés, sauf un. Paul-Emmanuel Thore, le leader du mouvement, qui a été placé en détention provisoire.

 

Agé de 30 ans, Thore, cheveux rasés, n'est pas un inconnu dans la région. Ce militant d'extrême droite a été condamné en 1997 après avoir attaqué un stand lors de la Fête des associations de Poitiers. Son mouvement Epervier, dont le magazine propose des articles sur l'écrivain collaborateur Robert Brasillach ou bien sur le satanisme, a, un temps, été domicilié à la même adresse que le Front national local. Il aurait également été rédacteur en chef de la lettre interne du FN de l'Indre.

 

Avec ses « amis », il recrute de nouveaux jeunes adeptes en distribuant des tracts à la sortie des lycées. Ceci est à l'origine de l'ouverture de l'enquête en 2001 après le dépôt d'une plainte pour « intrusion dans un établissement scolaire ». La seconde activité d'Epervier était la musique, via une association baptisée Bleu Blanc Rock, créée en 2001 par Thore. Dans son bar, la Taverne Saint-Georges à Saint-Maur, près de Châteauroux, le jeune homme organisait des concerts de « recrutement » chaque week-end.

 

Parmi les membres de cette association, on retrouve le nom de Fabrice Robert, un ancien d'Unité radicale, groupe qui comptait dans ses rangs Maxime Brunerie, l'homme qui a tiré sur le président de la République le 14 juillet 2002. La une du magazine « Paris Match », consacrée à cet événement, a d'ailleurs été retrouvée lors de la perquisition. « Il ne cachait pas ses opinions, raconte un voisin. Un jour, il m'a dit qu'il fallait tuer tous les chômeurs. » Sa femme, institutrice, attendait un troisième enfant. Le couple avait l'habitude de se rendre à la messe chaque dimanche dans une chapelle traditionaliste dépendant d'une école privée catholique. La messe y était dite en latin. Les armes ont été pour l'essentiel retrouvées au domicile de son père, Henri Thore, propriétaire d'un magasin d'optique à Châteauroux. « Tout ce qu'on peut dire sur lui est faux », explique un membre de la famille. « Parler de complicité d'organisation d'un groupe de combat à propos de mon client est grotesque », complète son avocat, M e Triomphe. Amateur de chasse, le père de Paul-Emmanuel, âgé de 59 ans, jouit d'une bonne image dans sa commune de Mézières-en-Brenne. C'est pourtant dans une malle de son grenier que l'on a retrouvé la documentation révisionniste.

 

Le Parisien 7 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
Ils braquaient pendant des permissions

 

Jugé à partir d'aujourd'hui par la cour d'assises du Val-de-Marne, à Créteil, Choukri Berkane est déjà bien connu puisque la même cour l'a condamné en 1997 à douze ans de réclusion criminelle pour des braquages. Pourtant, cet habitant d'Antony (Hauts-de-Seine), âgé de 47 ans, est parvenu à braquer trois banques en avril et juillet 2001, à Massy (Essonne), Vincennes et Fresnes. Coiffé d'une perruque, le braqueur de banques entrait le premier, allait au guichet, ses deux complices tentaient ensuite d'entrer.

Les vidéos des banques ont permis rapidement de l'identifier. Mais le suspect a tout nié.

 

Aux dates des braquages, Choukri Berkane était officiellement détenu à Nantes. Renseignements pris, en avril et en juillet 2001, lors des faits, il était en fait en permission. Avec ses deux complices, Patrick Gréco, 39 ans, et Florus Viardot, 42 ans, il s'est fait coincer juste après le braquage de la Société générale de Fresnes, le 6 juillet 2001. Chez Greco, les policiers ont retrouvé un gilet pare-balles, une kalachnikov et un pistolet automatique à billes. Florus Viardot a écopé également de douze ans de prison en 1995 pour braquages.

 

Le Parisien 7 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
La bagarre des basketteurs se règle au couteau

 

 

C'est un simple match de basket qui a manqué de virer au drame. Samedi soir au gymnase Romain-Rolland de Bagneux (Hauts-de-Seine), la bagarre générale entre l'équipe locale et la VGA Saint-Maur a tourné à l'agression à l'arme blanche. Après moins de dix minutes de jeu, Cyril B., un des joueurs de Bagneux, vraisemblablement muni d'un couteau, s'est attaqué à un adversaire.

 

Fort heureusement, le coup porté sous l'oreille n'a été que superficiel et la victime, Maka Sangaré - un gaillard de 1,90 m âgé de 27 ans -, n'a subi qu'une blessure légère. « Une bagarre a éclaté et quatre joueurs de l'équipe de Bagneux me sont tombés dessus, explique Maka Sangaré. Comme j'essayais de m'en sortir, j'ai senti quelque chose derrière l'oreille et j'ai vu que je perdais du sang. Je me suis retourné et je me suis rendu compte qu'il (NDLR : l'agresseur) cachait une lame derrière son dos. Dans la foulée, j'ai reçu un coup de poing d'un des ses coéquipiers. »

 

« C'est un garçon difficilement contrôlable » Les forces de l'ordre, qui sont intervenues une dizaine de minutes plus tard, n'ont pas eu le temps d'interpeller l'auteur des faits. Hier encore, l'agresseur - âgé de 27 ans, originaire d'une rue jouxtant le quartier de la Pierre-Plate à Bagneux -, était toujours en fuite. « C'est un garçon difficilement contrôlable, commente le responsable de son club. La saison dernière, nous avions déjà eu des problèmes avec lui. Il avait donné un coup de boule à un adversaire et nous avons longtemps hésité avant de le reprendre en début de saison. Mais depuis samedi, il ne fait plus partie du club ; d'ailleurs, personne n'arrive à le joindre. » Si les deux parties se rejettent la responsabilité de la violente échauffourée, celle-ci semble trouver sa source dans les tensions qui avaient déjà émaillé le match aller en décembre dernier.

 

« Les choses ont commencé à se calmer quand les joueurs de Bagneux se sont rendu compte qu'il y avait eu un coup de couteau », témoigne l'entraîneur de Saint-Maur. Pas assez tôt cependant pour qu'un de ses joueurs - un jeune Israélien arrivé récemment au club - ne s'en tire avec une double fracture de la mâchoire. Quant à Maka Sangaré, il a déposé plainte au commissariat de son domicile, à Dammarie-les-Lys, pour tentative d'homicide.

 

Le Parisien 7 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
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La vidéosurveillance fait scandale à Asnières (92)

 

Hier, une dizaine de nouvelles caméras venues enrichir le dispositif de vidéosurveillance municipale de la ville d'Asnières sont entrées en fonction. Hasard du calendrier, c'est également hier qu'a été révélée une affaire relançant la polémique sur l'utilisation de cet arsenal destiné à l'origine à lutter contre la délinquance. Une affaire qui remet en question le secret censé protéger ces images.

 

Le 25 février dernier, vers 21 h 30, Francis Pourbagher, le directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann, député-maire UMP d'Asnières, pénètre en compagnie d'un médiateur de la ville dans le poste de la police municipale installé rue Henri-Poincaré. Il se dirige vers la salle de vidéosurveillance où sont installés une dizaine d'écrans de contrôle. Un chef de poste surprend le directeur de cabinet en train de « donner des directives sur le visionnage de la place des Bourguignons à l'agent affecté à la surveillance ». « Il voulait prendre en flagrant délit des militants en train de placarder des tracts ou de photocopies d'articles de presse défavorables au maire, accuse un conseiller municipal de l'opposition municipale. Voilà à quoi sert la vidéosurveillance à Asnières. C'est une police politique. La technologie moderne est mise au service d'un pouvoir personnel. »

 

« Faux, rétorque l'intéressé. Ce soir-là, je rendais une visite de routine au poste de police municipal. Je voulais m'assurer que le dispositif était opérationnel et que les fonctionnaires étaient à leur poste. Je pénètre très régulièrement dans le carré de la vidéosurveillance. Ce lieu suscite la curiosité. J'ai simplement demandé à l'agent en poste de prêter une attention particulière aux abords de la place des Bourguignons car des tracts avaient été collés sur du mobilier urbain. »

 

Cette affaire peut très bien ne pas en rester là Offusqué par la présence du directeur de cabinet et de son acolyte, l'agent de police lui a rappelé qu'il n'avait pas le droit de pénétrer dans ce lieu, surtout en présence d'une personne étrangère au service ni de procéder à un visionnage des images. « C'est moi le patron ici », aurait rétorqué Francis Pourbagher, d'après le rapport rédigé par le chef de poste. « Je n'ai pas tenu ces propos, réfute le directeur de cabinet, mais il est vrai que le maire m'a confié la mission de veiller à la sécurité et à la prévention. Dans ce cadre-là, j'ai accès au poste de police. Il y a eu un malentendu avec ce policier. Il a sans doute voulu faire du zèle. Mais je ne vais pas le lui reprocher. S'il reste des zones d'ombre, il faudra les éclaircir. »

 

Toutefois, le rapport du policier zélé n'est jamais parvenu au commissaire, contrairement à ce que prévoit la procédure. Le document est resté bloqué en mairie. Mais cette affaire peut très bien ne pas en rester là. Le procureur risque de demander l'ouverture d'une enquête policière pour faire toute la lumière sur cette affaire particulièrement sensible. De leur côté, Bruno Casari, élu d'opposition à la majorité municipale, et Sébastien Pietrasanta, conseiller régional PS, demandent la démission du directeur de cabinet et du médiateur de la ville

 

Le Parisien 7 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
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Les livreurs boycottent la cité des Tarterêts

 

Encore une fois, Eric Vallmajo, l'unique pharmacien de la gigantesque cité des Tarterêts à Corbeil-Essonnes, devra aller chercher un colis loin de chez lui. Pourtant, il a bien payé la livraison. Mais Chronopost a refusé de l'apporter sur la dalle du bloc central des Tarterêts.

 

Le pharmacien a reçu un courrier : « Suite à l'agression de notre livreur, nous ne pouvons pas acheminer votre commande. » Pis, la Poste a un bureau juste en face de sa devanture, mais il doit se rendre à l'agence du centre-ville pour récupérer sa commande. « C'est comme ça depuis des mois, raconte Eric Vallmajo. Et c'est pareil avec toutes les sociétés de livraison : Jet Services, UPS... Le moindre problème justifie le refus de livrer et je dois parfois aller jusqu'à Chilly-Mazarin pour récupérer des marchandises. » Le pharmacien ne cache pas son inquiétude : si ça continue, c'est son chiffre d'affaires qui va baisser.

 

« Nous laissons un avis de passage » Une ville entière de 12 000 habitants privée de services, presque « boycottée » : voilà la situation des Tarterêts. Le problème n'est pas nouveau. Depuis des années, las d'être victime d'agressions, SOS Médecins ne vient plus dans la cité la nuit. Pour intervenir, les pompiers demandent l'assistance de la police, qui elle-même ne s'y risque qu'en force. Il y a quinze jours, une voiture du Samu a été dégradée en pleine intervention. « On y va parce qu'on est obligé, confie un membre du Samu de l'Essonne. Mais c'est vrai qu'on appréhende. »

 

Officiellement, il n'y a pas de ghetto ici, pas de zone de non-droit. Mais il est pratiquement impossible pour un habitant des Tarterêts de se faire livrer quoi que ce soit à domicile. Excédés, certains y voient une sorte d'isolement, de discrimination injustifiée (lire ci-dessous). « Pas du tout, explique-t-on à Chronopost. Il est exact que, depuis un an, nous ne faisons plus de livraisons là-bas. Nous laissons un avis de passage, c'est la seule procédure que nous avons trouvée pour protéger à la fois nos livreurs, mais aussi les marchandises de nos clients. » Mêmes explications du côté de TNT Express, qui a repris Jet Services : « On ne peut pas mettre en péril la sécurité de nos salariés. » Que faire ? La police met des officiers de référence à disposition. « On ne peut pas être derrière chaque livreur, explique un officier du commissariat de Corbeil-Essonnes. Les commerçants ont un correspondant : s'il peut venir, il surveille la livraison. » Les habitants, eux, n'ont droit à rien et sont résignés. « Je sais très bien que, si je dois remplacer ma machine à laver, je devrais aller la chercher, c'est comme ça », confie un habitant de la cité.

 

Le Parisien 7 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
Auto-césarienne pour une mère qui craignait de perdre son enfant

 

CHICAGO (AP) - Elle avait déjà donné naissance à un enfant mort-né et ne voulait pas renouveler cette expérience. Lorsque sa nouvelle grossesse a mal tourné, une Mexicaine a donc pratiqué une césarienne sur son propre abdomen avec un simple couteau et donné naissance à un petit garçon en bonne santé, selon la "Revue internationale de gynécologie et obstétrique".

 

La mère et l'enfant, son neuvième, ont tous deux survécu à cette "opération", malgré un trajet de huit heures en voiture pour se rendre à l'hôpital le plus proche et une attente de plusieurs heures une fois là-bas, écrit le Dr Rafael Valle, un obstétricien de l'Université Northwestern.

 

"On lui a demandé 'Pourquoi avez-vous fait ça? Savez-vous que vous auriez pu mourir? Elle a répondu: 'Oui, mais je voulais sauver mon bébé'", a-t-il raconté mercredi. "Pour moi, c'est héroïque", a expliqué le Dr Valle, qui a rédigé cet article avec un collègue et les deux médecins qui ont soigné cette mère dans un hôpital de campagne de l'Etat mexicain d'Oaxaca.

 

Agée de 40 ans, la femme vivait dans une maison au sol boueux, sans eau courante ni électricité, et avait déjà donné naissance à un enfant mort-né, explique la revue médicale. Elle était seule lorsqu'elle a perdu les eaux et, redoutant que cette expérience ne se renouvelle lorsqu'elle s'est aperçue que l'accouchement ne progressait plus, elle a décidé de pratiquer elle-même la césarienne. Auparavant, elle avait bu trois verres d'alcool pour anesthésier la douleur.

 

"Elle a utilisé son savoir-faire dans l'abattage des animaux. Apparemment, elle n'a pas saigné énormément et demandé à un de ses enfants d'appeler une infirmière avant de perdre connaissance". Celle-ci a suturé son abdomen, et la mère et l'enfant ont été transportés à l'hôpital.

 

L'incident s'est produit il y a environ deux ans, a précisé le Dr Valle, prenant soin de souligner qu'il ne s'agit "pas d'un canular". AP

 

Yahoo 7 Avril 2004

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Invité §Zir680wn
Le tortionnaire domestique sera jugé aux assises

 

 

Retour à la case départ pour le dossier de Frantz Julan, 27 ans, de Lagny-sur-Marne. Après l'ouverture d'une information judiciaire sous une qualification criminelle, puis des poursuites en correctionnelle de violences aggravées, c'est finalement devant une cour d'assises que seront jugés les faits reprochés à Julan. C'est ce qu'a décidé hier le tribunal correctionnel de Meaux en se déclarant incompétent du fait de la nature criminelle des faits et en renvoyant le dossier au ministère public.

 

Cette décision a répondu aux voeux de deux des trois parties civiles, jugeant « scandaleuse la qualification correctionnelle choisie pour poursuivre le prévenu ». Difficile en effet de réduire à de simples violences la brutalité et le sadisme dont a fait preuve Frantz Julan à l'encontre de ses concubines successives entre septembre 2001 et août 2002, dans son appartement de Lagny transformé à plusieurs reprises en chambre de tortures.

 

Dans un fonctionnement évoquant une sorte de Dr Jekyll et Mr Hyde, Frantz opère tout d'abord dans le registre de la séduction pour attirer ses victimes. S'inventant une enfance malheureuse ou une grave maladie, il parvient à attendrir les jeunes femmes. Ce n'est qu'un peu plus tard que le séducteur fragile laisse la place au bourreau.

 

Sur les trois victimes recensées, deux décrivent un véritable calvaire qui donne la nausée. Plongées dans des bains d'eau glaciale, les femmes sont en même temps brûlées par des objets métalliques préalablement chauffés, de la cire bouillante ou encore carrément brûlées par un fer à souder. Les coups pleuvent, assénés avec des haltères ou des nunchakus. L'une des deux jeunes femmes fait même un récit qui laisse à penser qu'elle a sans doute frôler la mort. « Après m'avoir rouée de coups, il m'a attachée et bâillonnée, puis enfermée dans un sac-poubelle. Il m'a aspergée de déodorant, je n'arrivais plus à respirer et il n'arrêtait pas de répéter qu'il allait me liquider. »

 

Incapables de soutenir le regard de leur bourreau, les victimes évoquent la violence morale qui accompagnait invariablement les souffrances physiques : menaces de mort, menaces sur les parents ou les enfants, menaces de mutilation ou de viol par des tiers sont quelques exemples du discours de Frantz Julan. Autant d'actes qui, pour la substitut du parquet, ne suffisaient pas à caractériser des actes de torture et de barbarie. Une analyse intégralement contredite par les juges qui ont placé Frantz Julan sous mandat de dépôt en attendant qu'il soit traduit devant une cour d'assises.

 

Le Parisien 8 Avril 2004

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Invité §Cer308SA

Rassure moi, tu ne t'amuses pas a retaper tous les articles que tu trouves passionants, quand meme ??

 

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Invité §Zir680wn
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Sa mission : ramener les fêtards en minibus chez eux

 

 

Grâce à lui, les parents dorment sur leurs deux oreilles quand leurs enfants font la fête à la discothèque du Bizon de Barbizon, situé entre Melun et Fontainebleau. Depuis juillet 2003 en effet, Gérard ramène tous les week-ends les jeunes jusqu'à leur domicile. Au volant de sa navette de seize places, il raccompagne jusqu'au pas de leur porte les personnes qui ont bu trop de verres et qui ne souhaitent pas prendre le volant après s'être amusées, leur évitant ainsi les risques d'accident.

 

Du jeudi au dimanche soir, il passe chercher des fêtards chez eux et les ramène ensuite à l'aube, à condition tout de même qu'ils habitent dans un rayon de 25 km autour de Barbizon, et moyennant une participation de 3 €.

 

Le Parisien 8 Avril 2004

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Invité §Y.5241pq

Il doit etre propre son minibus chaque vendredi soir ou samedi soir tient ...

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Invité §Zir680wn

Il doit etre propre son minibus chaque vendredi soir ou samedi soir tient ...

 

Sûrement,en attendant je trouve que c'est plutôt une bonne idée de sa part.

 

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Invité §Y.5241pq

Sûrement,en attendant je trouve que c'est plutôt une bonne idée de sa part.

Les boites de nuit font quelques fois ce genre de navettes aussi gratos (genre "centre ville -> boite" aller retour)

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Invité §Cer308SA

Sûrement,en attendant je trouve que c'est plutôt une bonne idée de sa part.

 

Tu devrais faire pareil tu seras peut-etre un jour dans ces jolis faits divers dont tu aimes tant faire part aux modestes membres de FA :jap:

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Invité §Zir680wn
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Un Anglais volait des voitures pour les laver avant de les restituer

 

LONDRES (AFP) - Un voleur en série de voitures, qui mettait un soin obsessionnel à les nettoyer avant de les restituer dans un état étincelant à leurs propriétaires, a été condamné par un tribunal britannique à six ans de prison, a rapporté le Daily Telegraph.

 

L'homme, Colin Sadd, 41 ans, multirécidiviste, a été décrit par un juge de la cour de Sheffield (nord de l'Angleterre), où il était jugé, comme "l'homme que vous préfereriez le plus voir voler votre voiture".

 

Colin Sadd, élégamment vêtu, se faisait passer pour un client dans les showrooms où étaient exposées des voitures, et après en avoir subtilisé les clés, partait avec pendant plusieurs heures, avant de les remettre lavées de fond en comble et en parfait état à leurs propriétaires. Le maniaque aurait ainsi "emprunté" une quarantaine de véhicules.

 

Le juge Alan Goldsack a estimé qu'il n'avait pas d'autres solutions, compte tenu de son casier judiciaire, de renvoyer le coupable en prison, ajoutant qu'il avait besoin de suivre un traitement psychiatrique.

 

La femme de Sadd, Mary, a fait part quant à elle de son intention de demander le divorce. "Il portait une plus grande attention aux voitures qu'il avait volées qu'à moi", a-t-elle expliqué.

 

Yahoo 8 Avril 2004

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Invité §le 816mY

six ans de prison

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Aucun humour :L

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Invité §Flo524gs

Et pis même qu'on peut aller chez le marchand de journaux pour acheter Le Nouveau Détective ou des trucs dans le genre.

 

il y a plein de faits divers :W :W

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Invité §Zir680wn

 

 

Tout ce que tu trouves sur FA ou sur Internet,tu peux le trouver ailleurs,pourtant le Net existe,FA également et je te rencontre sur les deux comme par hasard.

 

En attendant,si mes interventions sur des topics ne te conviennent pas,tu as trois solutions...soit tu ne viens pas sur ces topics,soit tu ignores mes posts,soit tu te plains aux modérateurs :jap:

 

 

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Invité §Cer308SA

Tout ce que tu trouves sur FA ou sur Internet,tu peux le trouver ailleurs,pourtant le Net existe,FA également et je te rencontre sur les deux comme par hasard.

 

En attendant,si mes interventions sur des topics ne te conviennent pas,tu as trois solutions...soit tu ne viens pas sur ces topics,soit tu ignores mes posts,soit tu te plains aux modérateurs :jap:

 

bah d'un autre coté pour un gars qui apprécie vanter son niveau intellectuel comme tu le fais si bien, je trouve que tes interventions se limitent pas mal a du vulgaire copier/coller d'articles trouvés de ci de là de la Toile...

 

A croire que tu prends les autres pour des demeurés qui ne savent pas lire un article de journal... :roll:

 

m'enfin... fais ce que tu veux apres tout si ca t'éclate :coucou:

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Invité §jag423Oi

Pourquoi vous arretez? moi j'aime bien lire votre rubrique!!!

Et non je ne suis pas une idiote!!!!

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Invité §jag423Oi

Seattle: Un homme tentant de siphonner de l'essence d'un mobile home a eu plus qu'il n'en demandait. La police, arrivant sur les lieux du crime a trouvé un homme malade, roulé en boule à côté du mobile home, avec un mélange d'excréments et d'urine créant une flaque à côté de lui. Le porte-parole de la police a déclaré que l'homme a admis qu'il voulait siphonner le véhicule mais qu'il a introduit le tuyau dans le réservoir des toilettes par erreur. Le propriétaire du véhicule a refusé de porter plainte, déclarant qu'il n'avait jamais autant ri!

 

Quand 2 employés d'une station service du Michigan ont refusé de donner la caisse à un voleur visiblement saoul, le voleur les a menacé d'appeler la police. Comme ils refusaient toujours, le voleur a appelé la police et fut arrêté.

 

Un homme portant un bas sur la tenté tenta de voler la caisse d'un supermarché. Quand la police arriva, il attrapa rapidement un panier et fit semblant de faire ses courses...oubliant le bas qu'il portait...

 

Louisiane: Un homme entra dans un magasin, posa un billet de $20 sur le comptoir et demanda de la monnaie. Quand l'employé ouvra la caisse, l'homme brandit un revolver et demanda à l'employé de lui donner tout le cash, ce qu'il fit. Le voleur pris l'argent et s'enfuit rapidement, laissant le billet de $20 sur le comptoir. La somme dérobée était de $15. Question: si quelqu'un vous menace avec une arme à feu et vous donne de l'argent, un crime est-il commis ?

 

1997, Canada. Une canadienne appela la police en se plaignant qu'elle s'était faite avoir lors d'une vente de drogue. Elle déclara qu'un homme lui a vendu de la cocaïne mais quand elle fut chez elle, elle trouva que ça ressemblait a de la farine. La police envoya un agent de narcotiques pour vérifier la substance. Bien-sûr, il s'agissait bel et bien de cocaïne, la femme fut rapidement arrêtée pour possession de drogue. La GRC encourage toute personne pensant s'être faite avoir lors d'un deal de drogue a se faire connaître...

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Invité §Zir680wn

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Le rocker Bébert condamné pour recel de vol

 

Bébert, chanteur du groupe de rockabilly les Forbans, a été condamné vendredi soir par la 11e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Créteil à deux mois de prison ferme et à 10.000 euros d'amende pour recel de vol.Neuf autres prévenus ont été condamnés à des peines allant de trois mois avec sursis à deux ans fermes.Le tribunal a finalement abandonné les qualifications de "bande organisée" et d'"association de malfaiteurs" dans cette affaire de vols de fret, commis notamment près du marché d'intérêt national de Rungis.[/quotemsg]

http://www.lemonde.fr/web/dh/0,14-0@14-0@2-3224,39-23004070,0.html

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Invité §Zir680wn

Une femme enceinte victime d'une césarienne pour voler son bébé

 

Une Colombienne enceinte de huit mois a été droguée et soumise à son insu à une césarienne sauvage par une inconnue qui lui a volé son bébé avant qu'elle ne parvienne à donner l'alerte pour récupérer son enfant.

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http://fr.news.yahoo.com/040605/202/3u7ko.html

 

Quelle époque de fous :eek:

 

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