Invité §Red080vN 25 février 2004 Signaler Partager 25 février 2004 Oh putain ce que c'est glauque MJ serait d'un autre avis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 27 février 2004 Signaler Partager 27 février 2004 Trois ans après, le père de Jérémie réclame justice «J'ai besoin de mettre un visage sur le meurtrier de mon fils. J'ai envie de pouvoir le regarder en face. Je veux voir quelle tête a celui qui a détruit notre vie... » Trois ans, jour pour jour, après le meurtre de Jérémie, son fils aîné âgé alors de 10 ans, dans leur pavillon de Saint-Leu-La-Forêt (Val d'Oise), Pedro Sanches n'a toujours pas pu trouver de réponses aux questions qui pourrissent sa vie, celle de son épouse et de leurs trois autres enfants. Pourquoi et comment ce drame horrible a-t-il pu se produire ? Leur avocat, Arthur Vercken, a écrit mercredi pour demander au juge d'instruction que le meurtre de Jérémie soit intégré dans les plus brefs délais au fichier national des crimes en série. « Il faut désormais élargir le champ des recherches à tout le territoire », estime ce spécialiste des affaires criminelles, en colère contre le manque de moyens de la justice (lire en encadré) . Aujourd'hui, les parents assisteront à une messe à la mémoire de leur fils et se rendront sur sa tombe, comme ils y vont régulièrement. « On pensera encore plus fort que d'habitude à Jérémie », confie son père, à jamais brisé. Le 27 février 2001 à 16 h 45, un faux facteur se présente avec un paquet-poste à la porte du pavillon familial, où la grand-mère Isabelle garde seule trois de ses quatre petits-enfants. Le père, médecin généraliste, et la mère, sage-femme, sont dans leur cabinet de Franconville. Les enfants regardent la télévision dans la pièce unique du rez-de-chaussée. Après avoir laissé entrer son visiteur, Isabelle, 64 ans, descend chercher un stylo à l'entresol pour signer le reçu. L'homme de 1,80 m, la trentaine, les cheveux bruns, de type méditerranéen, la suit. Il tente de l'étrangler avec une ceinture, puis la frappe de quatre coups de couteau dans le dos. L'enfant avait été tué de 54 coups de couteau... Jérémie a tout vu et se met à hurler en prenant la fuite. Il est rattrapé au second étage du pavillon par l'agresseur qui lui assène 54 coups de couteau dont 49 dans le thorax, le faisant taire définitivement. Le couteau n'a jamais été retrouvé, ni le paquet du facteur de l'horreur. Seul indice laissé sur place : une tache du propre sang du meurtrier, tombée sur la terrasse, sur laquelle il a sauté depuis le premier étage, avant de prendre la fuite. Cette tache de sang a fourni l'empreinte génétique du tueur. « Mis à part l'ADN, les indices sont assez maigres et, trois ans après, il n'y a pas d'élément nouveau », déplore le père. Bien qu'une centaine de nouveaux témoins aient été auditionnés dans le voisinage en décembre dernier, les enquêteurs n'ont guère avancé. En 2001 et 2002, 500 personnes avaient déjà été entendues, 300 avaient subi un test ADN qui s'était révélé négatif. Le téléphone réservé aux témoignages a cessé de sonner. « Le temps travaille contre nous », reconnaît le chef enquêteur, dont l'effectif devrait prochainement être renforcé d'un cinquième élément. Pedro Sanches croit à un psychopathe obligatoirement récidiviste. « Il y a forcément quelqu'un qui a vu quelque chose », ajoute le policier qui garde l'espoir de mettre la main sur le meurtrier de Jérémie. Pour tout témoignage : contacter les enquêteurs de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles 24 h/24, au 01.39.24.71.93. Si les parents de Jérémie n'ont pas déménagé de leur pavillon, leur vie a malheureusement changé. « J'hésite à sortir dans le jardin, le soir. Je me réveille la nuit », confie le père. Jérémie avait 10 ans au moment où. Le Parisien 27 Février 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
klitor 3 mars 2004 Signaler Partager 3 mars 2004 Hotel Tannenhof à Sasbachwalden en Allemagne Un hotel où le client fixe le prix de sa chambre. Le prix recommandé de 49 euros la nuit n'est qu'une suggestion. Le client suivant son appréciation du service peut payer plus ... ou moins. http://www.daserste.de/plusminus/beitrag.asp?iid=148 http://216.239.37.104/translate_c?hl=fr&sl=de&u=http://www.daserste.de/plusminus/beitrag.asp%3Fiid%3D148&prev=/search%3Fq%3Dhotel%2Btannenhof%2Bsasbachwalden%26hl%3Dfr%26lr%3D%26ie%3DUTF-8%26oe%3DUTF-8%26sa%3DG Je vais peut être passer mes vacs dans la Forêt Noire finalement J'ai connu sur Paris un resto dit "révolutionnaire" dans le 15ème arrondissement où les clients payaient en fonction de leurs moyens. Par exemple un chomeur ne payait rien,... Seul un prix moyen était suggéré. Il m'est arrivé un jour de ne pas avoir de monnaies et de partir sans payer ... et de revenir déjeuner quelques jours plus tard et de laisser le double pour compenser Ce resto a disparu, hélas on m'a expliqué que certains reprenaient leur monnaie ... en oubliant de laisser un billet Faut savoir qu'il y avait rarement quelqu'un à la caisse. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
klitor 4 mars 2004 Signaler Partager 4 mars 2004 Hotel Tannenhof à Sasbachwalden en Allemagne (suite) sont sympas les hotels la-bas http://www.wagners-tannenhof.de/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 5 mars 2004 Signaler Partager 5 mars 2004 La blague sinistre des «potaches» fachos à la basilique Saint-Denis Libération 2 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §sup185KV 5 mars 2004 Signaler Partager 5 mars 2004 La blague sinistre des «potaches» fachos à la basilique Saint-Denis Libération 2 Mars 2004 A libération,on ne parle jamais des trains qui arrivent à l'heure. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 6 mars 2004 Signaler Partager 6 mars 2004 Un vibromasseur provoque une alerte à la bombe en Autriche VIENNE (Reuters) - Un paquet abandonné dans une poubelle et émettant un bruit suspect a été découvert vendredi dans une ville de l'ouest de l'Autriche, mais l'équipe de déminage appelée d'urgence n'a finalement pas eu à intervenir. "La tension est retombée quand il s'est révélé que le paquet contenait un vibromasseur en marche ainsi que quatre cassettes vidéo et des magazines pornographiques", a fait savoir la police de Rankweil dans un communiqué. Yahoo 5 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §le 816mY 6 mars 2004 Signaler Partager 6 mars 2004 ça me fait penser à Fight club "La plupart du temps ce n'est rien mais... de temps en temps... ... c'est un vibromasseur" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 7 mars 2004 Signaler Partager 7 mars 2004 Il se tire un clou dans la tête pour amuser la galerie SYDNEY (Reuters) - Un bricoleur australien a reconnu la bêtise du geste qui l'a amené à se tirer un coup de pistolet à clou chargé dans la tête juste pour faire le malin devant ses copains. Brad Shorten, 33 ans, partageait quelques bières avec des amis après un peu de bricolage à son domicile et ils riaient ensemble des accidents du travail. Il s'est alors saisi d'un pistolet à clou qu'il pensait vide et l'a pointé vers sa tête avant d'appuyer sur la gâchette. "J'ai vraiment été stupide", a-t-il déclaré au Sunday Herald Sun. Il a précisé qu'il avait débranché le compresseur et enlevé le réservoir à clou mais a reconnu n'avoir pas réalisé qu'il restait un clou dans l'outil et suffisamment de pression pour qu'il fonctionne. La mésaventure l'a laissé avec un clou de 3,2 cm fiché dans son crâne juste en arrière de la tempe. Les chirurgiens du Royal Melbourne Hospital ont dû mener une délicate opération de quatre heures même si le principal intéressé pensait pouvoir l'enlever avec une simple pince. Shorten, père de trois enfants, devrait se rétablir complètement. Yahoo 7 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
hondavtec77 7 mars 2004 Signaler Partager 7 mars 2004 aieeeeeeee Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §sup185KV 7 mars 2004 Signaler Partager 7 mars 2004 C'est du bourrage de crâne. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Les restes du père avec du lapin aux petits légumes Dans la Meuse, un fils a dépecé le cadavre de son père. C'est une lourde bâtisse ocre aux volets blancs, posée en plein virage au centre de Sorcy-Saint-Martin (Meuse), un village de 1 000 habitants situé entre Toul et Bar-le-Duc. Les scellés jaune et rouge de la gendarmerie sont bien visibles sur la porte de bois clair. Mercredi après-midi, lorsqu'ils l'ont franchie pour la première fois après avoir été alertés par les voisins, les enquêteurs ont découvert le corps d'un homme, dépecé et en état de décomposition avancée. Sans doute mort depuis un mois. Les techniciens de l'identité criminelle ont retrouvé la tête dans un autocuiseur, un avant-bras dans la cuisinière et une côte dans une casserole. Mélangée avec du lapin et des légumes. Le reste était disséminé dans la cuisine et à la cave, soigneusement rangé dans des barquettes de congélation. Pour retrouver tous les morceaux de ce désossage, les vingt gendarmes de Bar-le-Duc, Commercy et Nancy chargés de l'enquête ont reçu le concours d'une brigade cynophile allemande, équipée de «chiens de cadavres», spécialisés dans la recherche de restes humains. Opinel. Selon toute vraisemblance, ce sont ceux du propriétaire de la maison, Hubert Cornevin, un cheminot retraité de 80 ans. L'autopsie ordonnée jeudi par le procureur de la République de Bar-le-Duc, Yvon Calvet, devrait le confirmer. Le retraité vivait sous le même toit que son fils, Jean-Pierre, 49 ans, qui a été placé en garde à vue mercredi à la gendarmerie de Commercy. Vendredi, à l'issue de sa présentation au juge d'instruction Jean-Philippe Belperron, il a été mis en examen pour «homicide volontaire sur ascendant» et «atteinte à l'intégrité d'un cadavre», puis incarcéré. Pour le moment, il reconnaît seulement avoir commencé à couper le corps de son père avec un Opinel, environ six jours après le décès. Pour expliquer son geste, il avance des raisons financières : il aurait entrepris de faire disparaître le corps afin de ne pas supporter les frais d'obsèques et de continuer à percevoir la pension de cheminot du retraité, un peu plus de 1 000 euros par mois. «Nous avons beaucoup de questions et très peu de certitudes», indique le procureur de la République. Les enquêteurs cherchent à déterminer les causes du décès, notamment par le biais d'une expertise toxicologique. Hubert Cornevin souffrait d'un cancer en phase avancée. La mort naturelle n'est donc pas exclue. Pas plus que l'euthanasie ou l'homicide. Son fils Jean-Pierre souffrait de troubles psychologiques mais n'était pas suivi médicalement. «Il s'agit d'un univers fermé. Les deux hommes vivaient totalement isolés, ils n'avaient pas de vie sociale, explique Yvon Calvet. Jean-Pierre Cornevin est un homme fruste, qui entretient une relation toute particulière avec l'argent. Il n'a montré aucun affect et son geste lui semble tout à fait naturel.» Une expertise psychiatrique a été ordonnée. Le capitaine Eric Monti, directeur de l'enquête, décrit un suspect qui alterne «moments de cohérence et phases de blocage» : «Lors de la perquisition, il est resté très calme. Il demandait juste qu'on éteigne la lumière après être passé dans les pièces de la maison.» Mobylette. Au bar-tabac de Sorcy-Saint-Martin, face à la maison des Cornevin, les habitués parlent de «gens pas méchants et très discrets». La mère est morte «il y a dix, douze ans». Un autre fils est lui aussi décédé, de maladie, à l'enfance ou à l'adolescence, on ne sait plus trop. Personne ne leur rendait visite et on ne leur connaissait pas de fréquentations. «Je dis pas que c'étaient des chouettes, mais presque», commente un ancien collègue de travail de Jean-Pierre. Le fils était agent de maintenance à l'entreprise locale des Fours-à-Chaux. Il a continué à travailler jusqu'à son interpellation. On le voyait parfois dans les champs, à ramasser de l'herbe pour ses lapins. «Avant, il sortait de temps en temps le samedi soir, en discothèque. Mais ça faisait longtemps qu'il avait arrêté ça», se souvient un habitué. Depuis, Jean-Pierre rentrait du travail à 17 heures et ne ressortait plus de la maison. «Il n'a jamais dépensé un centime. Il allait au boulot avec une Mobylette qui datait de Mathusalem. Il avait revendu sa voiture et il utilisait la 2 CV de son père», raconte l'ex-collègue. Un voisin avait bien constaté, ces derniers temps, que quelque chose clochait. Il ne voyait plus Hubert promener son chien, comme le vieil homme avait l'habitude de le faire tous les soirs : «Mais je pensais que c'était le chien qui était mort.» Le chien va bien. Il a été confié à un organisme spécialisé. Jean-Pierre Cornevin, lui, a passé sa première nuit en détention à la maison d'arrêt de Bar-le-Duc. Libération 6 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §le 816mY 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Les techniciens de l'identité criminelle ont retrouvé la tête dans un autocuiseur, un avant-bras dans la cuisinière et une côte dans une casserole. Mélangée avec du lapin et des légumes. Le reste était disséminé dans la cuisine et à la cave, soigneusement rangé dans des barquettes de congélation [/quotemsg] Le malade Il va être jugé irresponsable pénalement, ça fait pas un pli Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §le 816mY 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 «atteinte à l'intégrité d'un cadavre» [/quotemsg] C'est nouveau ça... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Le boucher sans foi ni loi Le tribunal correctionnel de Versailles a condamné jeudi soir Bernard, un boucher de Mantes-la-Jolie à 9 mois de prison avec sursis. Il avait vendu durant 18 mois des kilos de viande à une retraitée de 85 ans qui lui achetait entre 150 et 200 francs de marchandise par jour. Sauf que la pauvre femme n’avait plus toute sa tête… « Que la proie était facile ! C’est une affaire scandaleuse. Nous avons affaire à un homme dans scrupules ». La procureur de la République a clairement exprimé sa colère, jeudi dernier, face à un commerçant poursuivi pour avoir abusé de la faiblesse d’une de ses clientes âgée à l’époque des faits…de 85 ans. La retraitée est depuis décédée de sa belle mort. Devant la 5e chambre du tribunal correctionnel, Bernard D., 50 ans, un boucher de Mantes-la-Jolie, a dû s’expliquer sur l’ardoise de 18 370 francs (2 800 euros) qu’il a fait payer à Genneviève après lui avoir fait crédit pendant 18 mois. En octobre 1998, la cliente a fait deux chèques remplis par le commerçant. L’un d’un montant de 8 370 F (1 276 €) l’autre de 10 000 francs (1 524 €). Des sommes faramineuses qui ont intrigué les proches de la pauvre dame lesquels ont déposé plainte pour « abus de faiblesse ». L’enquête va alors permettre de découvrir que la vieille dame avait acheté en l’espace de cette période des quantités de viandes astronomiques. 900 tournedos et 1 872 tranches de jambon Jeudi après-midi, la présidente du tribunal, Isabelle Verdeaux, lit les procès verbaux d’enquête : « La cliente a acheté plus de 900 tournedos, 1 872 tranches de jambon, et 375 kilos de bourguignon pour le chien ! Vous vous rendez compte, elle ne pouvait pas manger tout cela ? », demande-t-elle alors au boucher debout devant elle. L’homme rétorque sans sourciller. « Elle venait chez moi tous les jours et elle prenait la même chose. De la viande de bœuf, du jambon et de la viande pour son chien, explique-t-il. Elle achetait entre 150 et 200 francs de viande par jour. Elle venait le matin et même parfois l’après-midi ». « Pourquoi la servir à nouveau une deuxième fois ? », s’interroge la présidente, effarée par la quantité de viande achetée. « Lorsqu’elle revenait l’après-midi, je lui disais qu’elle avait déjà été servie mais elle me répondait que son chien avait mangé toute la viande ». Vu la fréquence de passage de la (trop) « bonne cliente », le commerçant va ouvrir une ardoise spécialement pour elle. Selon lui cinq ou six clients pas plus avait également des ardoises mais les policiers n’ont pu le déterminer. « Parfois, elle n’avait pas assez d’argent alors je lui faisais crédit. J’avais confiance, poursuit le prévenu. Je la connaissais depuis une vingtaine d’années. Nous parlions ensemble. Elle ne perdait pas la tête. J’ai fort logiquement demandé après un an et demi de me faire rembourser comme pour les autres clients ». Des propos contredits par les proches de la vieille dame qui se sont constitué partie civile. « Elle n’était pas du genre à ouvrir un crédit, explique-t-on. Elle n’aimait pas les dettes. Elle portait un petit sac autour du cou dans lequel se trouvait de l’argent. Elle perdait la tête ». « C’est odieux, a plaidé l’avocate de la famille. Genneviève était fragile. Elle était âgée. Les commerçants, c’est important pour les personnes âgées qui viennent discuter. Elles ont confiance. On va retrouver quatre à cinq kilos de viande avariées dans le réfrigérateur de la pauvre dame ». Même conclusion du côté de la représentante du ministère public. « Nous avons 18 370 F d’impayé, expose la procureur. Cela signifie que la cliente a payé une quantité tout aussi importante sinon plus de viande achetée pendant ces dix-huit mois. Une femme de 85 ans ne peut pas consommer jusqu’à 30 000 francs de viande en un an et demi. Il est facile d’abuser des petits vieux seuls ». Le tribunal a condamné le boucher à 9 mois de prison avec sursis. Il devra payer 5 000 € de dommages-intérêts à la famille de la cliente et 1 000 € pour frais d’avocat. Courrier de Mantes 3 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §le 816mY 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 « La cliente a acheté plus de 900 tournedos, 1 872 tranches de jambon, et 375 kilos de bourguignon pour le chien ! Vous vous rendez compte, elle ne pouvait pas manger tout cela ? » Le boucher : « C'était une bonne vivante ! ... son chien aussi » Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ber647PT 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Un article déjà vieux de presque deux ans mais que je tiens à mettre... http://www.anne-ce.net/presse/er2.jpg Elle avait pris de l'ecta... elle n'a pas survécu Cela s'est passé en juin 2002, combien d'autres ont connu la même fin malheureuse depuis ? Source : http://www.anne-ce.net Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §vin530NU 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Une autre ! Une autre ! C'est triste, mais vu comme ca, la connerie de certain fait sourire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ber647PT 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Encore des violences policières ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Cru743gi 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Une autre ! Une autre ! C'est triste, mais vu comme ca, la connerie de certain fait sourire. T'as lu le dernier post? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ber647PT 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 T'as lu le dernier post? Il n'a pas du le lire celui là Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §le 816mY 8 mars 2004 Signaler Partager 8 mars 2004 Encore des violences policières ! C'est la vrai cause effectivement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 9 mars 2004 Signaler Partager 9 mars 2004 Deux assassins s'échappent d'un hôpital psychiatrique Les deux hommes avaient attendu un dimanche pour s'évader. Au centre psychiatrique de Montfavet (Vaucluse), c'est le jour où les équipes soignantes tournent en nombre réduit. Y compris dans les «unités pour malades difficiles», sous haute garde : Montfavet est une des quatre structures en France à traiter des patients «dangereux» et des prisonniers sous injonction thérapeutique. Ici, ils sont une cinquantaine derrière des enceintes, dans trois unités. Mahmoud El Shennawy, 50 ans, avait été transféré de la prison de Toulouse, et Tahar Ahmed, 28 ans, de Marseille. Tous deux avaient été condamnés pour assassinat. Selon la direction de Montfavet, «un pistolet et un couteau leur ont été jetés par-dessus la clôture par des complices extérieurs. Leur unité est la moins surveillée». Dimanche, en fin d'après-midi, les deux ont ligoté l'équipe soignante puis attendu la relève vers 21 heures. Ils ont pris un infirmier en otage, s'enfuyant dans sa voiture. L'employé a réussi à sauter, à un feu rouge du côté d'Orange. Libération 9 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 9 mars 2004 Signaler Partager 9 mars 2004 Pas de faveur pour l'invalide trop pressé Dans le métro, un contrôle tourne au tabassage. Procès. Dans cette affaire, il y a un élément indéniable : sur les photos qu'a fait prendre Franck juste après sa rencontre avec la policière Mélanie G., sa tête a doublé de volume. «Elle m'a mis un coup de poing en plein visage», affirme-t-il. «Je ne l'ai pas touché», assure la jeune femme. Ce matin-là, comme trois fois par semaine, Franck se rendait à sa dialyse. Il est en retard. Au métro Anvers, il y a une file à la caisse. Invalide à 80 %, Franck peut voyager gratuit. Mais il n'use pas de ce droit. «On le connaît bien, il est toujours très poli et ne fraude jamais», a témoigné un agent RATP. Alors, Franck saute le portillon. Et tombe sur la patrouille de police. Il sort sa carte d'invalide: «Je vais à ma dialyse, je suis très pressé.» Les policiers n'apprécient pas et le «passent au fichier». L'opération prend quelques minutes, Franck s'impatiente. Quand la policière Mélanie G. lui rend sa carte, il «l'arrache» de ses mains et part en courant. «Son comportement correspondait à l'outrage, on l'a gardé.» Franck est tiré dans les escaliers il dit «traîné» et conduit vers «un local», un couloir conduisant aux toilettes. Un témoin verra les policiers le pousser brutalement vers la porte où se tient Mélanie G. Un autre entendra derrière la cloison «un coup sourd», une bousculade, et un homme crier : «Arrêtez de cogner, je suis malade...» Hier, la 11e chambre de la cour d'appel de Paris examinait l'affaire. En première instance, la policière avait été relaxée. Franck, lui, a fait appel de la condamnation civile. A mesure que la présidente de la cour d'appel interroge la policière et confronte ses réponses aux témoignages, celle-ci s'enferre. «Il nous insultait et ameutait la foule.» Des insultes, personne n'en a entendu. «Ils étaient trop loin.» Mais ils ont bien entendu Franck dire qu'il était malade. Enfin, pourquoi ne pas l'avoir poursuivi pour outrages ? «Heu... on a préféré la fraude...» Mais il n'y avait pas fraude. En première instance, l'avocate de l'aide juridictionnelle n'avait pratiquement pas plaidé. Hier, Me Irène Terrel a insisté sur le mépris subi par la victime : «Deux fois, lorsqu'il a reçu le coup de poing, et lorsque le tribunal a relaxé la policière.» L'avocat général s'est contenté d'un borborygme. Jugement le 3 mai. Libération 9 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §sup185KV 9 mars 2004 Signaler Partager 9 mars 2004 Pas de faveur pour l'invalide trop pressé Dans le métro, un contrôle tourne au tabassage. Procès. Dans cette affaire, il y a un élément indéniable : sur les photos qu'a fait prendre Franck juste après sa rencontre avec la policière Mélanie G., sa tête a doublé de volume. «Elle m'a mis un coup de poing en plein visage», affirme-t-il. «Je ne l'ai pas touché», assure la jeune femme. Ce matin-là, comme trois fois par semaine, Franck se rendait à sa dialyse. Il est en retard. Au métro Anvers, il y a une file à la caisse. Invalide à 80 %, Franck peut voyager gratuit. Mais il n'use pas de ce droit. «On le connaît bien, il est toujours très poli et ne fraude jamais», a témoigné un agent RATP. Alors, Franck saute le portillon. Et tombe sur la patrouille de police. Il sort sa carte d'invalide: «Je vais à ma dialyse, je suis très pressé.» Les policiers n'apprécient pas et le «passent au fichier». L'opération prend quelques minutes, Franck s'impatiente. Quand la policière Mélanie G. lui rend sa carte, il «l'arrache» de ses mains et part en courant. «Son comportement correspondait à l'outrage, on l'a gardé.» Franck est tiré dans les escaliers il dit «traîné» et conduit vers «un local», un couloir conduisant aux toilettes. Un témoin verra les policiers le pousser brutalement vers la porte où se tient Mélanie G. Un autre entendra derrière la cloison «un coup sourd», une bousculade, et un homme crier : «Arrêtez de cogner, je suis malade...» Hier, la 11e chambre de la cour d'appel de Paris examinait l'affaire. En première instance, la policière avait été relaxée. Franck, lui, a fait appel de la condamnation civile. A mesure que la présidente de la cour d'appel interroge la policière et confronte ses réponses aux témoignages, celle-ci s'enferre. «Il nous insultait et ameutait la foule.» Des insultes, personne n'en a entendu. «Ils étaient trop loin.» Mais ils ont bien entendu Franck dire qu'il était malade. Enfin, pourquoi ne pas l'avoir poursuivi pour outrages ? «Heu... on a préféré la fraude...» Mais il n'y avait pas fraude. En première instance, l'avocate de l'aide juridictionnelle n'avait pratiquement pas plaidé. Hier, Me Irène Terrel a insisté sur le mépris subi par la victime : «Deux fois, lorsqu'il a reçu le coup de poing, et lorsque le tribunal a relaxé la policière.» L'avocat général s'est contenté d'un borborygme. Jugement le 3 mai. Libération 9 Mars 2004 Je proteste contre le multipostage à sens unique. Attention à l'effet boomerang messieurs les propagandistes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 10 mars 2004 Signaler Partager 10 mars 2004 Georges, 17 ans, s'immole par le feu dans son lycée Devant ses camarades grimés et déguisés pour le carnaval du lycée, Georges*, 17 ans, a tenté de se donner la mort, hier midi, au beau milieu de l'établissement scolaire où il est scolarisé à Sèvres (Hauts-de-Seine). L'adolescent s'est d'abord immolé avant de se jeter d'une terrasse. Malgré cette double tentative de suicide, particulièrement violente, la mort ne l'a pas emporté. Il est environ 12 h 30, hier, quand Georges se dirige vers les toilettes d'un bâtiment du lycée. Maquillages outranciers, déguisements délirants, c'est plutôt une atmosphère de fête qui règne dans l'enceinte de cet établissement de 1 700 élèves. « C'était carnaval aujourd'hui », expliquera plus tard un groupe d'élèves. Alors que les uns s'apprêtent à déjeuner, les autres sortent de cours, vont et viennent. Et Georges s'enferme dans les toilettes du rez-de-chaussée. Il s'asperge alors d'un mélange de sucre et de chlorate de sodium, une solution explosive et inflammable qu'il avait préparée et « se met le feu », résume un témoin de l'affaire. Les flammes embrasent les vêtements, traversent les fibres, brûlent la peau. Transformé en torche vivante, Georges sort des toilettes. Dans cette ambiance festive, les lycéens et adultes présents auraient pensé à une farce un quart de seconde avant de prendre réellement conscience du drame. Ils saisissent aussitôt un extincteur et aspergent Georges. Tandis que la mousse carbonique éteint peu à peu les flammes, Georges aurait hurlé : « Tuez-moi, tuez-moi », sous le regard médusé des lycéens et des enseignants. A peine éteint, il s'enfuit alors vers un autre bâtiment du lycée. Traversé par une petite route pentue, l'établissement, construit sur un petit coteau, est divisé en deux parties. Georges quitte alors la partie supérieure du lycée, traverse la voie en courant et rejoint le bloc inférieur des bâtiments, enjambe un muret et se jette d'une terrasse, d'une hauteur d'environ dix mètres. « Un saut de quatre étages », précise une source proche du dossier. Miraculeusement, le jeune homme atterrit en vie. Les yeux écarquillés, trois jeunes filles racontaient hier après-midi : « On était en cours et on a vu quelqu'un qui tombait passer devant la fenêtre. » Immédiatement alertés, les secours arrivent sur les lieux et découvrent un jeune « qui parle, assis, conscient », rapporte un secouriste. « On voyait parfois qu'il n'allait pas bien » Georges souffre terriblement et est alors endormi avant d'être évacué au service des grands brûlés de l'hôpital Cochin. Le corps de l'adolescent est brûlé à 80 % et son visage est également atteint. Les brûlures seraient les blessures les plus préoccupantes. Une jeune fille, proche des toilettes quand Georges s'est immolé, a, elle aussi, due être hospitalisée à cause des émanations toxiques qu'elle a respirées. Une dizaine de témoins de la scène, traumatisés, ont été pris en charge par la cellule de soutien psychologique de l'inspection académique et par la cellule d'urgence médico-psychologique (CUMP) du Samu. Quatre d'entre eux ont aussi été hospitalisés. « On voyait parfois qu'il n'allait pas bien », murmure une enseignante, visiblement très choquée. « Mais il assurait que si. » « C'est clair, il allait mal, il était mal dans sa peau », assure de son côté un lycéen. Classé parmi les bons élèves de sa classe de 1 r e , option arts plastiques, Georges, demeurant avec ses parents dans les Yvelines, aurait des antécédents dépressifs. Il aurait d'ailleurs laissé des écrits indiquant son intention de mettre fin à ses jours. L'enquête, confiée à la sûreté départementale des Hauts-de-Seine, permettra peut-être de faire la lumière sur le désespoir de l'adolescent. Le prénom de l'adolescent a été modifié. Le Parisien 10 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Pti621RH 10 mars 2004 Signaler Partager 10 mars 2004 Lu dans le Sud ouest du samedi 1er juin 2003 : Le motard préssé affole le radar des gendarmes (je vous retanscri l'article) "Du jamais vu en Gironde.hier matin,un motard de 40 ans ,gérant de discothéque et demeurant en dordogne,a éte controlé a la vitesse incroyable de 287kmhs.Le pilote,qui circulait sur une Kawasaki 1200R,dans le sens Périgueux-libourne,a été flashé au niveau D'arveyres ,sur l'autoroute A89.Les gendarmes de l'escadron départemental de sécuriré routiére avait du mal a en croire l'affichage du radar(un mesta 208).Le motard,qui avait dépassé de 157kmhs la vitesse autorisée a été interpellé au péage de libourne."La vitesse retenue sur le procés verbal a été de 272kmhs" a expliqué le capitaine Dury,commandant de l'escadron,qui a reconnu n'avoir jamais constaté un éxcés de vitesse aussi important malgré une longue carriére consacrée a la lutte contre l'insécurité routiére.Le sous prefet de libourne a aussitot été informé et un retrait administratif de 6 mois du permis de conduire a été prononcé tandis que la moto été immobilisée.Le motard,qui comparaitra en septembre prochain devant le tribunal de police,encourt une peine de suspension de 3 ans et une amende de 1500 euros.Mais s'il se trouve en état de récidive ,c'est a dire si lors des 12 derniers mois il a déja été condamné pour un éxces de vitesse supérieur a 50hmhs,l'infraction devient un délit.L'affaire serait alors jugée devant un tribunal correctionnel.Le gérant de la discothéque,plusieurs fois controlé pour des infractoins similaires depuis l'obtention de son permis,a expliqué qu'il n'avait pas conscience de rouler aussi vite.Et pourtant,lors de son audition,le motard a reconnu avoir perdu 2 fréres dans des accidents de la route provoqués par la vitesse.L'an passé 1100 motards sont morts sur les routes françaises" Source : http://forum-auto.caradisiac.com/sqlforum/section2/sujet29776-0.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §djs551ns 10 mars 2004 Signaler Partager 10 mars 2004 et ben Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ber647PT 10 mars 2004 Signaler Partager 10 mars 2004 Georges, 17 ans, s'immole par le feu dans son lycée [...] Le Parisien 10 Mars 2004 C'est affreux de se dire qu'il y a des gens malheureux au point d'en arriver à de telles extrémités Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §ber647PT 10 mars 2004 Signaler Partager 10 mars 2004 Lu dans le Sud ouest du samedi 1er juin 2003 : Le motard préssé affole le radar des gendarmes (je vous retanscri l'article) [...] Source : http://forum-auto.caradisiac.com/sqlforum/section2/sujet29776-0.htm P'tain la vache, on arrive encore à tenir son guidon à une pareille vitesse !?! Là vraiment, je suis sur le cul, c'est plus que de l'inconscience ça... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 10 mars 2004 Signaler Partager 10 mars 2004 Nicaragua: dépité par le départ de son épouse, il se tranche le pénis MANAGUA (AFP) - Désespéré par le départ de son épouse, un Nicaraguayen de 35 ans s'est tranché le pénis d'un coup de machette après avoir tenté en vain de s'égorger et de se tailler les veines. Selon la presse locale citant sa famille, José Castillo a été admis en urgence à l'hôpital de Jinotepe, à 46 km au sud de Managua, son organe sexuel à la main mais les médecins n'ont pas réussi à le lui greffer. Selon ses proches, M. Castillo a d'abord essayé de se couper la tête avec son coupe-coupe puis s'est entaillé les poignets après avoir appris que son épouse l'abandonnait pour un autre homme. L'homme, hospitalisé dans un état grave, est surveillé de près par les médecins car il a affirmé être prêt à tenter de nouveau de se suicider. Yahoo 10 Mars 2004 Comment sa femme peut-elle revenir maintenant qu'il n'a plus de pénis ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §le 816mY 10 mars 2004 Signaler Partager 10 mars 2004 Immédiatement alertés, les secours arrivent sur les lieux et découvrent un jeune « qui parle, assis, conscient », rapporte un secouriste [/quotemsg] Incassable... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 11 mars 2004 Signaler Partager 11 mars 2004 Les propriétaires du chenil de luxe écroués C'est une pratique quasi féodale que les gendarmes ont mise au jour, lundi à Armentières-en-Brie (Seine-et-Marne) après plus d'un an d'enquête. La ferme Saint-Jean, gardiennage de luxe pour 150 chiens de race, dotée d'une réputation nationale, était, selon le parquet, le siège d'un véritable asservissement, mené depuis quatorze ans par Marie-Christine et François Bailleux, les riches propriétaires. Ils ont été mis en examen hier soir pour esclavage moderne et ont été écroués. Un couple et deux hommes, tous âgés et marginalisés, ont été successivement les victimes de l'hospitalité toute relative des Bailleux. Tout commence en janvier 2003. Les gendarmes de Lizy-sur-Ourcq, appelés pour une voiture suspecte au chenil de la ferme Saint-Jean, sont reçus par un couple d'une soixantaine d'années, les Lagrange, qui se présentent comme les gardiens. Le chenil est situé très en retrait du village, à environ 1,5 km au bout d'un chemin forestier privé et entouré d'arbres. Un rapide entretien alerte les gendarmes. Le couple explique qu'il vit là dans une caravane depuis 1989 et s'occupe, 24 h/24, du gardiennage, du nettoyage, de la nourriture et des soins des chiens. Le tout pour un « salaire » de 15 à 45 € par mois pour deux jusqu'en 2000, puis 225 € ensuite. Sans eau ni électricité. Un véritable esclavage, assorti d'une relation de dépendance liée à la précarité des victimes. Persuadés « d'aider » leurs victimes L'enquête s'accélère en décembre 2003 lorsque la caravane des Lagrange part en fumée. Les gendarmes en profitent pour les reloger dans une commune voisine et les interroger. Libérées, les victimes se confient. Le lien est fait avec le décès (de cause naturelle) en mars 2003 d'un homme d'une cinquantaine d'années, logé dans une autre caravane près du chenil. Selon les Bailleux, c'était un SDF auquel ils rendaient service. Pour les enquêteurs, un troisième nécessiteux au service des Bailleux. Finalement, lundi, les gendarmes investissent la ferme Saint-Jean. Ils sont accompagnés de personnels de la Mutualité sociale agricole, de l'inspection du travail, des services vétérinaires et d'un représentant du parquet de Meaux. Ils trouvent cette fois un quatrième homme, âgé de 65 ans. Il a remplacé les Lagrange au chenil, dans des conditions presque identiques. Sur place, les différents services découvrent en plus une série d'infractions à la législation du travail. Placés en garde à vue, les Bailleux reconnaissent les faits, mais pensent avoir « bien traité » leurs victimes. Leur entourage parlait hier soir d'une « histoire rocambolesque ». Des déclarations qui n'étonnent pas les enquêteurs et le parquet, plus d'une fois frappés par le cynisme naturel du couple. En vacances en Afrique, ils écrivent à leurs pauvres : « Ici, il n'y a pas d'eau non plus. » De Cuba, ils décrivent « la misère quotidienne, difficile à supporter pour des Occidentaux ». Et bien que persuadés « d'aider » leurs victimes, ils prenaient tout de même soin de les dissimuler lorsque les caméras de « 30 Millions d'amis » venaient vanter les conditions de vie des chiens à Armentières... Le Parisien 11 Mars 2004 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §le 816mY 11 mars 2004 Signaler Partager 11 mars 2004 La nature humaine... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Invité §Zir680wn 12 mars 2004 Signaler Partager 12 mars 2004 Ils arrachent une bague de 60 000 € Cette habitante de Neuilly avait sans doute été repérée et suivie. A peine garée dans un parking souterrain de l'avenue Bineau, à Neuilly, mercredi midi, cette dame, âgée de 75 ans, a été agressée par deux hommes qui en voulaient manifestement à l'une de ses bagues, un solitaire d'une valeur de 60 000 €. Après avoir projeté au sol la septuagénaire, les deux voleurs ont arraché la bague convoitée. Ils n'ont pu lui arracher d'autres bijoux, et sont repartis en courant Le Parisien 12 Mars 2004 Moralité,ne jamais sortir avec ses vrais bijoux Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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