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Les anciennes salles de cinéma (vos photos et commentaires)


typo77
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Vous avez sûrement connu dans vote région des salles de cinémas dont la plupart ont disparu aujourd'hui.

Si vous avez des photos et des commentaires, ça peut remémorer beaucoup d'évènement passés.

Parfois d'agréables souvenirs de jeunesse.

On attend vos messages...

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Ouvert en 1952, à l'origine il s'appelait "Le Bikini".

Il était situé au 31 du boulevard de Bonne-Nouvelle et était spécialisé dans les westerns et les séries B.

Le 23 septembre 1970, il fut rebaptisé le "Beverly" et se destina alors aux films américains d'art et d'essai en exclusivité.

Par la suite il s'orienta vers les films "érotiques" et "les soirées à thèmes"...

 

paris-10.jpg

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Construite en 1959 à l'emplacement de l'ancienne salle du "Splendid Palace" qui avait été rasée, le "Kinopanorama" est créé avec une salle de 850 places.

Le procédé cinématographie soviétique utilisé est un concurrent du procédé triple-écran américain Cinérama (avec le son stéréophonique).

Avec 98 hauts-parleurs, un écran courbe, inscrit dans un angle d'ouverture de 100° de 24 mètres de base (plus grand que la scène de l'Opéra de Paris) et tout l'équipement technique particulièrement lourd, la projection était assurée par trois couples de deux projecteurs.

Dans les années 60, les projections ne se feront plus qu'en format 70 mm (faute de nouvelles bandes de projection dans l'ancien procédé).

 

kinopa10.jpg

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Construit sur l'emplacement de l'ancien "Cinéma Moderne" de 1913 au numéro 190 de avenue de Choisy à Paris 13°, le "Palace Italie" fut inauguré le 10 décembre 1931 avec une salle 1.800 places.

Aujourd'hui tous ces immeubles ont été détruits.

 

choisy12.jpg

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Créé en 1912 au 7 de la rue Fagon dans le 13e arrondissement de Paris, l'"Excelsior Concert" devient en 1949 le cinéma le "Fagon".

En 1954, la salle est renommée l''Excelsior".

Elle se spécialise dans les films égyptiens.

 

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Construit au 2 de la rue du Moulin-de-la-Pointe à Paris en lieu et place d'un ancien théâtre des Gobelins, le "Palace du Moulin" était un cinéma de 880 places inauguré en 1934.Galaxi"

Il fut rebaptisé "Le Fontainebleau" en 1941.

Après avoir été fractionné en plusieurs salles sous le nouveau nom de "Galaxie", il fut fermé quelques années plus tard.

 

italie10.jpg

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Après avoir été un grand music-hall de 3.000 places, en 1952 la salle est transformée avec une façade constituée d'une verrière de 250m2.

Elle peut alors accueillir 1.200 spectateurs sur deux niveaux (900 fauteuils dans l'orchestre et 300 fauteuils au balcon).

Elle est alors spécialement équipée pour projeter des films en Cinérama sur un écran de 30x10m et elle est dénommée "l'Empire Cinéma -Théâtre Abel Gance".

En 1975, le Théâtre de l'Empire est racheté par la SFP qui en fait un studio utilisé le samedi, pendant plus de vingt ans, pour le tournage de nombreuses émissions comme "Dimanche Martin", etc.

Par la suite, il fut démoli avoir été dévasté par une très forte explosion qui a eu lieu en 2005...

 

empire10.jpg

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Le Théâtre des Gobelins (900 places) fut bâti en 1869 à Paris au 73 de l'avenue des Gobelins (Paris-13e).

Sa façade a été décorée par le sculpteur Auguste Rodin.

A partir de 1906, il sert accessoirement salle de projection de films documentaires.

Il devient cinéma permanent en 1934 et fut restauré en 1993 (avec la crétion de 2 salles).

Il est fermé fin 2003 et sert d'entrepôt pour un cinéma voisin.

Il est détruit en 2010 (seule sa façade classée sera conservée).

 

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Ce cinéma se situe à l'emplacement de l'ancien café-concert Pacra du début du siècle dernier et fût baptisé par la suite "La Fauvette".

C'est en 1937 que le lieu se convertit définitivement au cinéma avec une salle unique de 1.000 fauteuils.

En 1981, elle se voit adjoindre deux autres salles (180 et 280 places) par l'acquisition d'un local situé à l'arrière de la salle.

En 1984, la grande salle originelle est découpée en trois salles : l'ancien orchestre devient la nouvelle grande salle du complexe avec ses 475 fauteuils et deux salles prennent place dans l'ancien balcon (90 et 145 fauteuils).

En 1991, le complexe devient le "Gaumont-Fauvette", puis le "Gaumont-Gobelins" à partir de 1992, sous diverses appellations : Gaumont-Gobelins 1-2-3-4-5, puis Gaumont-Gobelins.

Fin 2015, il est renommé "Les Fauvettes" et se spécialise dans la programmation de films restaurés.

 

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C'est en 1911 que s'ouvre au 11 du boulevard Port-Royal (Paris-13e), un cinéma très rudimentaire dénommé "Le Royal", qui n'est autre qu'une salle dans un hangar.

En 1920, la salle est agrandie et modernisée : elle comporte alors 500 places d'orchestre et possède un balcon de 100 places.

La salle change de propriétaire en 1933 et devient "l'Escurial", en souvenir d'un beau cinéma niçois...

En 1953, il est adapté au Cinémascope, alors en vogue à cette époque.

Victime d'une baisse de fréquentation en 1981, sa mort par transformation en supermarché est programmée...

Heureusement, une équipe de jeunes passionnés réussit à convaincre le propriétaire de lui céder la gérance du cinéma.

Pour assurer la survie du lieu, une deuxième salle de 85 places est créée dans l'ancien balcon, et l'ancien orchestre une belle salle de 260 places en pente vers un bel écran panoramique incurvé.

Aujourd’hui, l’Escurial s'est spécialisé dans les courts-métrages, des documentaires et les débats.

 

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Vers 1907-1908, au 66 bis de l'avenue des Gobelins (Paris-13e), fut créé le "Pathé-Gobelins", spécialisé dans la projection de films muets jusqu'à la première guerre mondiale, avant de prendre le nom de "Palais des Gobelins".

La salle d'origine de 500 places, est passée à 800 places dans les années 30 (avec un balcon).

En 1960, le cinéma est rebaptisé du nom de "Telstar" et conserve sa grande salle unique.

Repris par UGC en 1976, le cinéma est morcelé en 4 salles, la plus grande de 310 places se retrouvant à l'étage, et prend le

nom d'U.G.C. GOBELINS.

En 1985, 3 salles supplémentaires sont crées sur un espace adjacent.

Sa configuration actuelle, avec sa salle "Prestige" de 400 places, date de 1991.

Il propose à la fois des films en version française et originale.

 

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En 1881, la brasserie "Eden" située au 57 avenue des Gobelins (Paris-13e) est transformée en "Eden Café-Concert".

Celui-ci fermera ses portes en 1895.

En 1911, il devient le cinéma le "Kursaal".

Il subit des transformations en 1964 et devient le "TransLux-Gobelins" et dispose de 700 places (avec la corbeille) et est équipé de projecteurs 70 mm (cinémascope).

En 1968, il est rebaptisé le "Paramount-Gobelins".

Il fermera définitivement le 31 décembre 1985 et sera démoli par la suite.

 

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En 1913, le cinéma "Jeanne d'Arc" a ouvert ses portes au 45 du boulevard Saint-Marcel (Paris-13e).

Ce cinéma possède une salle de 443 places équipée d'un tout petit balcon.

Il utilisa la projection par transparence (cabine de projection derrière l'écran).

Une terrasse au-dessus du hall d'entrée, accessible depuis le balcon, permettait aux spectateurs de prendre l'air pendant les entractes.

Le cinéma fut agrandi en 1925, sa capacité passant à 860 places.

Après sa fermeture définitive le 31 décembre 1975, il a été rasé pour faire place à un immeuble de standing.

 

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Situé à Pontarlier au 61 de rue de la République, le cinéma "Rex" a été inauguré en 1938.

Il possédait une salle de 580 places.

Il a fermé ses portes en 1996 et a été transformé en local commercial.

 

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Créé fin 1913, le cinéma "Cinéma-Pathé" a été inauguré à Pontarlier au numéro 1 de la rue Gambetta.

Doté de 500 places, il sera le premier cinéma de la ville.

Par la suite, il sera réaménagé en complexe de quatre salles (200, 200, 85 et 75 fauteuils) sous le nom d'Olympia".

Il cessera son activité fin 1913.

Un nouveau complexe de 6 salles portant le même nom verra le jour à proximité la même année.

 

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Le "Saint-Marcel" a vu le jour au 67 du boulevard Saint-Marcel (Paris-13) en 1931.

A l'époque, il offrait une salle de 2.017 places.

Fin 1954, il est transformé et ne comporte plus que 1.100 places et prend le nom Saint-Marcel Pathé.

La salle est située en partie en sous-sol d'un immeuble.

En 1975, il est démoli et un bloc d'appartements et un super marché le remplacent.

 

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Construite en 1959 à l'emplacement de l'ancienne salle du "Splendid Palace" qui avait été rasée, le "Kinopanorama" est créé avec une salle de 850 places.

Le procédé cinématographie soviétique utilisé est un concurrent du procédé triple-écran américain Cinérama (avec le son stéréophonique).

Avec 98 hauts-parleurs, un écran courbe, inscrit dans un angle d'ouverture de 100° de 24 mètres de base (plus grand que la scène de l'Opéra de Paris) et tout l'équipement technique particulièrement lourd, la projection était assurée par trois couples de deux projecteurs.

Dans les années 60, les projections ne se feront plus qu'en format 70 mm (faute de nouvelles bandes de projection dans l'ancien procédé).

 

https://i37.servimg.com/u/f37/ [...] nopa10.jpg

 

Un ciné magnifique le "Kiné". Les films étaient choisis en conséquence.Le dernier que j'avais vu était "Out of Africa"

 

Tout mes cinémas de quartier ont disparu :bah:

Je connaissais "La Pagode", un ciné ancien et typique. Je ne sais pas s'il existe encore.

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La pagode

 

Citation :

La Pagode, cinéma emblématique du VIIe, ne fermera ses portes que temporairement. Condamnés, il y a deux semaines, par la justice à quitter les lieux à la demande de la propriétaire, les gérants ont mis la clé sous la porte ce mardi. Mais Elisabeth Dauchy, qui possède ce bâtiment classé, construit en 1895 dans la plus pure tradition japonaise, a voulu rassurer les riverains et les amoureux du 7e art. Le cinéma va être « rénové avec soin par un architecte et des techniciens de talent ». La Pagode restera fermée le temps des travaux, d'une durée encore indéterminée, mais redeviendra ensuite un « haut lieu culturel » et, à ce jour, la seule salle de cinéma de l'arrondissement.

http://www.leparisien.fr/paris [...] 264695.php

 

laPagode.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Citation :

 

Citation :

La Pagode fut initialement construite en 1896 par l'architecte Alexandre Marcel, à une époque où le japonisme est à la mode. Il s'agit alors d'un cadeau de François-Émile Morin, directeur du grand magasin Le Bon Marché tout proche, à son épouse

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Pagode

 

Pourtant classé, ni la ville de Paris , ni le ministère de la culture n'ont pu le faire perdurer ?

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La pagode

 

 

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Citation :

 

 

Pourtant classé, ni la ville de Paris , ni le ministère de la culture n'ont pu le faire perdurer ?

 

Effectivement, à ce jour rien ne peut assurer que ce lieu mythique du cinéma sera à nouveau ouvert...

Peu de cinéma que j'ai fréquentés durant ma jeunesse existent encore.

La population ouvrière des quartiers populaires de Paris a pratiquement disparu et avec elle les lieux de loisirs et commerces qui animaient tous ces endroits.

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Effectivement, à ce jour rien ne peut assurer que ce lieu mythique du cinéma sera à nouveau ouvert...

Peu de cinéma que j'ai fréquentés durant ma jeunesse existent encore.

La population ouvrière des quartiers populaires de Paris a pratiquement disparu et avec elle les lieux de loisirs et commerces qui animaient tous ces endroits.

 

Pour ne parler que 2 7ème, 4 cinémas antérieurement, 0 maintenant.

 

Il y avait un cinéma, peut être le plus grand de Paris vers la place Clichy. Il a disparu, c'est sûr.

Me souviens plus du nom :??:

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Dans les années 1930, le "Café Banelle", situé rue Roger Salengro à Blendecques,

était doté d'une salle de banquets et faisait office de cinéma

Il était dénommé alors "Modern-Cinéma Dancing".

 

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Le cinéma circulaire "Arromanches 360" a été créé à l'initiative du Conseil régional de Basse-Normandie

pour le cinquantenaire du débarquement en 1994.

Le système photographique et de projection Circorama a été conçu exclusivement par Patrick Besenval.

Il comportait neuf projecteurs "Simplex 35" qui projetaient des films de 35 mm sur neuf écrans.

Aujourd'hui, tout a été changé en faveur de la projection numérique.

Arromanches 360 est le seul cinéma du genre en activité en France.

 

arroma10.jpg

http://www.in70mm.com/news/201 [...] /index.htm

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Ouvert en 1896 au 8 du boulevard Bonne-Nouvelle (un an après l'invention du cinématographe)

et entièrement dédié au 7e Art en 1904, le "Cinématographe-Théatre Bonne Nouvelle", diffusait

principalement des scènes d'actualités.

En 1911, la salle de 300 places est rebaptisée "Cinéma de la Porte Saint-Denis".

D'importants travaux de transformation en 1931 amélioreront notamment le confort et la ventilation.

Jusqu'en 1955, le cinéma sera spécialisé dans les westerns et les films policiers.

Par la suite, il change de propriétaire et de nom et devient "Le Strasbourg"..

En 1972, il se spécialise dans les films à caractère pornographique et ferme fin 1994.

 

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Ouvert en 1896 au 8 du boulevard Bonne-Nouvelle (un an après l'invention du cinématographe)

et entièrement dédié au 7e Art en 1904, le "Cinématographe-Théatre Bonne Nouvelle", diffusait

principalement des scènes d'actualités.

En 1911, la salle de 300 places est rebaptisée "Cinéma de la Porte Saint-Denis".

D'importants travaux de transformation en 1931 amélioreront notamment le confort et la ventilation.

Jusqu'en 1955, le cinéma sera spécialisé dans les westerns et les films policiers.

Par la suite, il change de propriétaire et de nom et devient "Le Strasbourg"..

En 1972, il se spécialise dans les films à caractère pornographique et ferme fin 1994.

 

https://i37.servimg.com/u/f37/ [...] rasb11.jpg

 

https://i37.servimg.com/u/f37/ [...] rasb10.jpg

 

 

Trompeur le nom, on aurait pu croire le situer Bd de Strasbourg.

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Le cinéma circulaire "Arromanches 360" a été créé à l'initiative du Conseil régional de Basse-Normandie

pour le cinquantenaire du débarquement en 1994.

Le système photographique et de projection Circorama a été conçu exclusivement par Patrick Besenval.

Il comportait neuf projecteurs "Simplex 35" qui projetaient des films de 35 mm sur neuf écrans.

Aujourd'hui, tout a été changé en faveur de la projection numérique.

Arromanches 360 est le seul cinéma du genre en activité en France.

 

https://i37.servimg.com/u/f37/ [...] roma10.jpg

http://www.in70mm.com/news/201 [...] /index.htm

 

J'y suis allé il y a quelques années.

C'est intéressant sans être vraiment spectaculaire.

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Cinéma LES BOSQUETS (puis DOMREMY), avant-hier...

 

En 1909, est créé au 60 de la rue Domrémy (Paris-13e), le "Cinéma-théâtre des Bosquets".

Le cinéma est un hangar qui peut contenir 1.200 spectateurs.

En 1912, c'est Jean Ferret qui lui succède, il organise des projections en plein air dans le jardin.

Il invente un écran métallique sur papier, fourni en rouleau de 50cm de large.

Par la suite il sera baptisé "Le Domrémy".

Aujourd'hui il est remplacé par un immeuble.

 

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En 1941, le "Palais Berlitz" faisait partie des grands bâtiments parisiens marqués par la Collaboration.

Fin 1950, une salle de 1.600 places est construite à la place du bâtiment qui avait pris le nom de la "MICHODIERE" et prend le nom de "BERLITZ".

Le cinéma a son entrée 31 boulevard des Italiens et des sorties rue de la Michodière, rue de Hanovre et rue Louis-le-Grand.

Elle comporte un grand balcon de 600 places

En 1977, Gaumont acquiert la salle et la divise en cinq et donne à l'ensemble le nom de "GAUMONT BERLITZ".

Le 11 décembre 1985 une sixième salle est ajoutée au complexe qui prend le nom de "GAUMONT OPERA".

Le complexe fermera définitivement en 1994, mais Gaumont y installera le "GAUMONT OPERA PREMIER" en sous-sol.

 

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L'association Cinéco est né en 1983 au cœur des Cévennes.

A l’origine, ce sont quelques amateurs de cinéma qui ont eu l’envie de faire

partager leur passion en créant un cinéma itinérant.

Cinéco s’est donné comme but d’offrir une ouverture culturelle par le biais

de l’accès au 7ème art aux habitants du Gard et de la Lozère éloignés des

villes.

45 bénévoles œuvrent au fonctionnement des circuits (60% des séances).

Les équipes de bénévoles (projectionnistes, caissiers, colleurs d’affiches)

assurent les projections dans les villages.

 

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L'association Cinéco est né en 1983 au cœur des Cévennes.

A l’origine, ce sont quelques amateurs de cinéma qui ont eu l’envie de faire

partager leur passion en créant un cinéma itinérant.

Cinéco s’est donné comme but d’offrir une ouverture culturelle par le biais

de l’accès au 7ème art aux habitants du Gard et de la Lozère éloignés des

villes.

45 bénévoles œuvrent au fonctionnement des circuits (60% des séances).

Les équipes de bénévoles (projectionnistes, caissiers, colleurs d’affiches)

assurent les projections dans les villages.

 

https://i37.servimg.com/u/f37/ [...] c_0010.jpg

 

Bien documenté ce topic :oui:

 

Il me semble, quand quelques petites villes avaient la chance de disposer d'une salle de cinéma, c'était une équipe itinérante qui les faisait fonctionner dans un certain périmètre et avec prog hebdo bien sûr.

ça ne doit plus exister. :??:

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