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Anecdotes de guerre (Index page 1)


jensen
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Invité §ton817Zq

 

 

Oup's la boulette http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/ange.gif , je suis désolé, j'ai bien voulu dire que c'était bien entendu super intéressant ici... http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/jap.gif

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Invité §ton817Zq

woua Tonyal, t'es un bon! ptdr.gif.a3ea38b4942b621c98cf63c0a15e5426.gif

 

sinon, comme j'ai toujours pas rétabli ma ligne internet, je continuerais des histoires dès la semaine prochaine, un petit changement aussi, je vais vous faire découvrir un livre historique de temps en temps, écris en couleur Bleue car indépendant des postes à venir: le premier? La grande bataille aérienne 14/18, je mettrais an avant avant tout, les hommes.

 

incroyable mais il y a 160 visites par jour en moyenne, ce qui me confirme à continuer se topic, le mieux avec les blindés, de tout FA

 

merci encore tonton jensen

 

 

bon ça suffit oui, j'ai fait une boulette, j'ai fait une boulette... :o

 

http://forum-auto.caradisiac.com/static/images/perso/banditito.gif

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Invité §Nik017Hy

Sympa les américains, ils maltraitent et volent les effets personnels de leurs alliés... pfff.gif.09ce36d37b156eba2bf25d95e50ebf74.gif

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[h1]Kriegsspiel[/h1]Le wargame se décline sous de nombreuses formes: console ou ordinateur, jeu de plateau ou jeu avec figurines, historique, futuriste ou héroic-fantasy. Mais ce qui est aujourd’hui un loisir est issu d’un instrument conçu pour former les officiers d’état-major à la conduite des armées.

 

 

tflkriegsblocks.jpgwar-game.jpg

king-arthur-the-role-playing-wargame-pc-064_m.jpg

 

 

 

Si l’on crédite le baron allemand von Reisswitz de l’invention du wargame moderne, qu’il baptisait du nom de Kriegsspiel («Jeu de la guerre»), il ne faudrait pas oublier que d’autres jeux, plus anciens avaient pour objet de reproduire la guerre de manière plus réaliste, dirons-nous, que les échecs ou les dames (jeux dans lesquels les participants partent à égalité de forces, où le terrain est parfaitement plat et où l’on peut combattre jusqu’au dernier, autant de choses que l’on voit rarement sur un champ de bataille).

 

Le MaMahâbhârata rapporte que, 200 ans avant Jésus-Christ, des souverains indiens avaient eu l’idée de faire manœuvrer, durant plus de deux semaines, des troupes, se livrant une fausse bataille, afin d’examiner les combinaisons les plus valides et les formations les plus efficaces. Il s’agit d’une des plus anciennes sources documentées sur un sujet qui n’a cessé de tarauder les généraux: la simulation de conflit comme outil de leur préparation.

 

Kurukshetra.jpg

 

Sous Charles-Quint, en Espagne, mais aussi au XVIIe siècle, en Angleterre, des penseurs ou mathématiciens proposent à leurs souverains des jeux de guerre rudimentaires. Mais on peine à sortir du cadre habituel: cases, mouvement imposé et aucune place au hasard.[h3]Simuler la guerre dans une Prusse humiliée[/h3]

Malgré quelques tentatives confidentielles, à la fin du XVIIIe siècle, qui démontrent que l’idée est déjà dans l’air -produit, sans aucun doute des Lumières- c’est en 1811 que le baron von Reisswitz présente son «Kriegsspiel» à un prince prussien, proche du roi Frédéric-Guillaume III.

 

Vaincue et humiliée en 1806 à Iéna , la Prusse est une alliée contrainte de la France. Son roi, Frédéric-Guillaume III, est un homme de peu de caractère. Mais dans l’entourage de la reine Louise, beaucoup d’officiers, tels Scharnhorst, Gneisenau, Blücher, mais aussi Clausewitz, entendent préparer la revanche qui s’incarnera bientôt dans la campagne d’Allemagne de 1813 et provoquera, au final, la première abdication de Napoléon un an plus tard.

 

 

 

300px-Battle_of_Jena-Auerstedt_-_Map01.jpgScharnhorst.jpg250px-August_von_Gneisenau.jpgBlücher.jpgClausewitz.jpg

iéna scharnhorst gneisenau blucher clausewitz

 

 

 

C’est un an avant le début de la Grande Guerre que H G. Wells publie un étonnant recueil, Little wars. Herbert George Wells n’est alors plus un tout jeune homme. Né en 1866, il a déjà publié de nombreux ouvrages de science-fiction dont le plus célèbre, La guerre des mondes , est sorti en 1898.

Wells fait partie de ces messieurs qui ne se décident pas à grandir. Depuis son enfance, il collectionne les soldats de plomb et n’a pas cessé de le faire. Il n’est pas le seul: Robert Louis Stevenson tout comme Jérôme K. Jérôme, auteur de Trois hommes dans un bateau , sans nul doute le J. K. J. mentionné dans Little Wars comme compagnon de jeu de Wells, font à cette même époque partie des fanatiques du jeu de guerre avec des figurines.

 

jeudelaguerre630.jpg

jeu de guerre en 1874

 

Dès l’introduction, H. G. Wells annonce la coloration contestataire, sociale et humoristique de cette activité:

«Petites Guerres est le jeu des rois – à la disposition des joueurs des positions sociales inférieures. Ce jeu peut être pratiqué par des garçons de tout âge, de 12 à 150 ans – et même plus âgés - par les plus brillantes des petites filles et par quelques femmes rares et précieuses.»

 

 

 

wellslittlewars.jpg[h3]Des règles très simples[/h3]

 

L’ouvrage évoque ensuite les tâtonnements divers de Wells et de ses amis pour établir un système de règles efficace et réaliste. Les règles, à proprement parler, ne font qu’une vingtaine de pages et découlent pour partie d’un ouvrage précédent, Floor Games paru en 1911.

 

floor games.jpg

Leur système est des plus simples. Après qu’un terrain ait été disposé sur le sol -à l’aide de livres figurant des collines, au départ, puis avec des planches de cartons empilées, de petits arbres miniatures et des maisons en carton, des ponts ou des redoutes construites par les joueurs- les joueurs déploient leurs armées de soldats de plomb et le combat s’engage. L’infanterie peut se déplacer d’un pied (30cm), la cavalerie du double. Les tirs sont réglés à l’aide de petits canons à ressort. Les figurines renversées comptent comme des pertes. Pour le corps à corps, c’est la mathématique qui prime: le plus nombreux l’emporte, mais la résistance des vaincus prend en compte leur éventuelle isolement (trop loin d’autres troupes amies) pour déterminer les pertes qu’ils infligent aux défenseurs.

La question des prisonniers est prise en compte (au départ, la règle ne les prévoit pas – on ne fait pas de prisonniers!) et le moral également, par le biais d’un système ingénieux: chaque perte infligée à l’ennemi, chaque objectif tenu, vaut un certain nombre de points. Lorsque l’écart de points entre les joueurs dépasse un certain seul fixé, celui disposant du total inférieur est déclaré vaincu.[h3]Un jeu pacifiste[/h3]

Pacifiste, progressiste, proche des socialistes (on découvrira après la seconde guerre mondiale qu’il figurait en bonne place sur une liste établie par la SS de personnalités britanniques à interner en cas d’invasion de l’Angleterre), H.G. Wells prévient: son jeu a un but tout à fait opposé à celui du Kriegsspiel.

Il n’est pas de fournir à de futurs généraux des outils pour conduire la guerre mais bel et bien d’insuffler, par le jeu, auprès d’une population très belliqueuse, l’idée que la guerre est une chose abominable:

«Puis-je un moment me permettre de le claironner et dire ô combien cette aimable reproduction est bien meilleure que la chose qu’elle simule? … Voici la guerre ramenée à des proportions raisonnables… Il suffit de jouer quatre fois à Petites Guerres pour comprendre à quel point une Grande Guerre serait une chose abominable.»

Ce mot de Grande guerre imprimé un an avant la gigantesque boucherie de 1914-1918 semble prémonitoire.

H.G. Wells ne publiera pas d’autres règles de jeu. Il continuera de s’adonner à ce loisir bien après la publication de Little Wars, qui permet effectivement la diffusion du wargame au début du XXe siècle. Les canons à ressort et les figurines en métal sont alors à la portée de toutes les bourses. On ne peut donc que s’accorder à dire que si Reisswitz est le père du Kriegsspiel, H.G. Wells est sans nul doute le père du wargame.

 

wargame2.jpg[h3]Un précédent, en 1906[/h3]

Pourtant, dès 1906, un passionné de navires de guerre avait lui aussi publié une règle: Naval Wargaming , œuvre de Fred Jane, bien connu des spécialistes de la guerre navale (il est le créateur de l’annuaire dit Jane’s qui détaille les caractéristiques techniques des navires).

 

Naval Wargaming 3.jpgNaval Wargaming 2.jpgNaval Wargaming.jpg

 

 

Mais cette règle, qui sera révisée par des officiers de la Royal Navy au début des années 1920, demeure très confidentielle et n’a pas la même portée dans le grand public.

 

Dans les années 1920, la saignée de la Grande guerre tend naturellement à détourner de nombreux adultes de ce genre de jeu. Dans une Europe où des millions de jeunes gens y sont morts, rares sont ceux qui ont encore le cœur à «jouer à la guerre», même si les enfants eux, continuent.

Si des règles de jeu continuent d’être produites, elles le sont de manière très confidentielle.

Il faut donc attendre les années 1930 pour que de nouvelles règles soient publiées. Il s’agit de règles de wargame naval, œuvre, une fois encore, d’un auteur de science fiction, américain cette fois: Fletcher Pratt.

 

 

Le Fletcher Pratt’s Naval Wargame est un jeu très scientifique. Les mouvements et les tirs des navires sont résolus par le biais de calculs mathématiques très complexes et d’engins spécialement conçus pour simuler les tirs. Le jeu est critiqué par de nombreux militaires et des spécialistes, qui lui reprochent de trop grandes abstractions. Malgré cela, Pratt obtient une petite renommée quand on apprend qu’il a pu, grâce à sa règle, simuler l’engagement du rio de la plata avec un résultat identique à celui de la bataille réelle.

 

Fletcher Pratt’s Naval Wargame.jpgnaval.jpg

 

Au tournant des années 1940, le wargame, tout en demeurant une activité ludique et à destination du public non spécialiste, tente donc de se rapprocher de la simulation proche du Kriegspiel. Le mélange va devenir effectif dans les années 1950, avec la création des premières sociétés de jeu éditant des wargames en boîte.

 

C’est en 1952 que Charles S. Roberts, alors âgé de 22 ans, créé son premier jeu, Tatics . Dans sa forme, le jeu n’a pas grand chose de révolutionnaire, avec son plateau à cases carrées et sa thématique généraliste. Il l’est pourtant à plus d’un titre.Chaque joueur dispose de pions représentant des troupes blindées, d’infanterie, parachutistes ou amphibies. Chaque type de troupe, nouvelle innovation, dispose de valeur de mouvement (en cases) et de combat différentes. On utilise, pour régler les combat, une table de révolution en haut, les ratios de combat présentés sous la forme d’une équation Attaquant/défenseur (ex 1:4, 1:1 ou 3:1). Plus le ratio est favorable, plus les chances sont fortes d’infliger des dégâts à l’adversaire ou de le contraindre à reculer. Le résultat final est décidé par le lancer d’un dé. Le plateau n’est, enfin, pas uniforme. Certaines cases de terrain influent sur le mouvement (les forêts le ralentissent, les routes l’accélèrent) et sur les combats.

 

tflkriegsblocks.jpgCharles S. Roberts2.jpg

 

 

En 1954, Roberts parvient à éditer Tactics à son compte. Il produit 2.000 boîtes, qu’il vend par correspondance depuis son garage, dans le Maryland, créant The Avalon Game Company.

 

Charles S. Roberts.jpg

 

[h3]La révolution du wargame est en marche[/h3]

En 1958, sa firme, rebaptisée Avalon Hill, sort Tactics II, une version légèrement améliorée de son premier jeu, ainsi qu’une flopée d’autres.

Charles S. Roberts vient de réussir un tour de force: réunir le kriegspiel et le wargame dans un produit pouvant être vendu commercialement et ne nécessitant, de la part du consommateur, aucune dépense supplémentaire – le jeu de H.G. Wells nécessitait l’achat de figurines, de décors, etc.

C’est en 1958 aussi que Roberts publie Gettysburg. Le plateau utilise encore des cases carrées, mais le terrain représenté n’est plus schématique et ressemble à celui de la célèbre bataille de la guerre de sécession.

Dès les jeux suivants, dont Chancellorsville et D-Day, Avalon Hill franchit un cap décisif avec l’introduction d’une grille de mouvement hexagonale. L’hexagone est en effet très supérieur aux cases: il ne crée pas de décalage dans le mouvement (sur une grille carrée, un mouvement en diagonale équivaut à deux mouvements orthogonaux).

Roberts et son équipe de créateurs introduisent peu à peu des concepts encore utilisés dans les wargames sur ordinateur, comme l’empilement de plusieurs unités dans une même case ou les zones de contrôle (cases entourant un pion et sur lesquelles il exerce une influence, pouvant ainsi interrompre le mouvement de l’ennemi).[h3]Les florissantes années 1960-1970[/h3]

À partir de 1962, la force de frappe commerciale d’Avalon Hill augmente: Roberts, qui s’est beaucoup endetté, a cédé une partie de ses parts à la société Monarch, déjà éditrice de jeux et qui investit dans le secteur. Les années 1960 voient Avalon Hill continuer de produire des jeux de simulation, tandis que Roberts se désengage progressivement.

 

 

En 1970, Avalon Hill franchit un nouveau cap avec la sortie de Panzerblitz , qui utilise des cartes isomorphiques ne représentant pas un terrain ou une bataille précise, elles peuvent être assemblées dans n’importe quel ordre. On peut donc créer une grande variété de terrains en fonction de la manière dont elles sont assemblées.

Jim Dunnigan, auteur de Panzerblitz a fondé, en 1969, simulation publications inc (SPI) qui devient le principal concurrent d’Avalon Hill. Les années 1970 et 1980 voient d’autres sociétés arriver sur le marché, avec des jeux souvent de plus en plus complexes et énormes (les «mammoth games»). Par ailleurs, Avalon Hill déroge au cadre purement militaire: simulations sportives et jeux heroic-fantasy sortent d’autant plus régulièrement qu’ils se vendent mieux.

Cette période est également celle de l’émergence de jeux plus tactiques. Le plus célèbre, squad leader , publié par Avalon Hill (1976) et qui sera bientôt remplacé en 1985 par advanced squad leader (ASL), permet de jouer à une échelle réduite: une unité d’infanterie correspond à une section (squad) de 6 à 8 hommes, un pion de véhicule représente… un véhicule. Des jeux comme close assault de Yaquinto ou ambush de Victory Games, sortis en 1983, ont pour unité de base un seul homme, avec des caractéristiques propres.[h3]Le jeu de rôle, enfant du wargame[/h3]

C’est qu’entre temps, le jeu de rôle, enfant du wargame, a fait son apparition et devient un véritable phénomène de société. C’est au début des années 1970 que deux wargamers, gary gygax et dave arneson, posent les bases d’un futur best seller: donjon&drgons. Au départ se trouve chainmail, un jeu de guerre ultra-tactique, dans lequel des joueurs incarnent leur propre personnage dans des batailles. Mais rapidement, ces enchaînements de combats lassent les joueurs et l’on finit par sortir du cadre purement militaire pour se tourner vers un univers heroic fantasy.Le maitre du jeu apparaît et le jeu de rôle peut prendre son essor.

 

Si pendant des années, wargames et jeux de rôles cohabitent dans de nombreuses conventions de jeux, chez de nombreux éditeurs, même, et dans beaucoup de magazines , la rupture s’effectue vers la fin des années 1980.

 

C’est que les ordinateurs ont commencé à envahir les foyers. On peut déjà jouer à des wargames relativement élaborés, contre l’intelligence artificielle. Mais les jeux de rôle, quant à eux, ont des interfaces très limitées. Rien ne vaut donc la table du salon et la bande de copains. Signe des temps: autrefois vendu dans des boîtes, comme le wargame, le jeu de rôle se vend désormais sous la forme de livres (ce qui l’assujettit à une TVA inférieure).

 

Le wargame en boîte ne cesse dès lors de décliner. Ses tables de résolution, même complexes, ne peuvent rivaliser avec des jeux de plus en plus sophistiqués gérés par des ordinateurs de plus en plus puissants. Presque toutes les maisons d’édition font faillite et Hasbro rachète Avalon Hill en 1998.

Le jeu de rôle est relativement épargné par cette dégringolade, jusqu’à l’arrivée de l’Internet haut-débit et des MMORPG, qui vont également reléguer un temps les paravents des MJ et les dés à dix faces au rayon des oubliettes.Mais c’est oublier que ce hobby a plus d’un tour dans son sac. Alors qu’on le donne pour mort, il va renaître de ses cendres au milieu des années 2000

 

à suivre

 

je mettrai aussi l'auteur de se formidable dossier, la source principale que je regarde tout les jours... enfin, quand j'ai la ligne internet et il y aussi beaucoup de recherche sur quant et google

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oups, c'est vrai que j'ai des suites à fournir mais plus le temps en ce moment, j'ai que le dimanche de repos grâce à notre président

 

l'hiver devrait être plus calme et pis, un livre va, je suis certain ravir tout le monde:

 

erich hartmann, 352 victoires WWII, son histoire

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Invité guest527

 

tiens, il me semble l'avoir dans ma bibliothèque mais je me rappelle pas l'avoir lu :??:

 

sera bien de savoir ce que tu en penses :jap:

 

La préface fait à elle seule plus de 40 pages, mais ce que j'apprécie c'est qu'on sent que sa conception est encore très artisanale, les pages ne font pas toutes exactement la même taille, la reliure n'est pas parfaite, j'aime :rs:

 

Après j'en suis à mi-lecture, mais ces derniers mois n'ayant lu que du Frédéric Dard je t'avoue que j'ai un peu de mal à me plonger dedans, l'intrigue est évidemment sans commune mesure ;)

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Invité §Jh6412tY

Bonjour,

Pouvez vous me joindre à jeemm9263@yahoo.fr au sujet du Kurasser?

Merci par avance

Cdlt

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Invité guest527

extrait du grand cirque

 

Finalement alerté par le QG de la 122e Wing, apparaît, deux heures plus tard, un petit Stinson 105 américain qui se pose acrobatiquement sur une bretelle en construction de l’autoroute et m’embarque en voltige pour me ramener chez moi. Comme c’est l’heure du dîner je vais directement au mess pour être accueilli par une salve d’applaudissements, tandis que deux de mes pilotes brandissent une pancarte sur laquelle il est écrit :

"LEAVE IT TO ME, IT IS A PIECE OF CAKE" (Laissez-le moi, c’est du gâteau.)

Bay Adams prétend que c’est ce que j’ai dit à la radio après lui avoir ordonné de me couvrir ! Je ne suis pas sûr que ce furent mes mots exacts, mais cette phrase allait me poursuivre jusqu’à la fin de

la guerre !

 

Pierre CLOSTERMANN

 

 

 

Dans la version du Grand Cirque 2000, on peut lire :

 

La RAF publiait chaque mois un bulletin confidentiel qui donnait des conseils, etc., mais qui surtout épinglait nos plus grosses bêtises à titre d'exemple.

Dans cet esprit, dans chaque numéro, un parmi les 10 000 pilotes de la RAF était décoré de l'ordre du Doigt inamovible - order of the Irremovable Finger.

"Enlève le doigt de ton nez et occupe-toi un peu de ce qui se passe dans le ciel autour de toi!"

Dans une autre rubrique étaient publiées les illustres dernières paroles du mois.

J'y ai eu évidemment droit dans le dernier bulletin de juin 1945, avec ce commentaire : << Our forcefull Frenchman, notre sacré Français, a fini sa guerre en beauté en laissant pour nos archives une phrase immortelle :

"Leave it to me" etc.>> Et c'est ainsi que l'on écrit l'Histoire!

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Invité §Mar676fJ

 

 

Tiens un MAS36 et un joli FM24/29, un de mes préférés en FM, bien que l'AA52 arrive en première position! :p

 

Il est pas mal ce topic! antosha.gif.1d373d70051d825528955a2f0fe9e76c.gif

 

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Invité §gre157oa

Bravo pour cet excellent topic !

 

Pourriez-vous nous raconter l'histoire des 650 zouaves du corps expéditionnaire français qui se sont évaporés près de Saïgon en 1858 ?

 

Merci d'avance

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Bravo pour cet excellent topic !

 

Pourriez-vous nous raconter l'histoire des 650 zouaves du corps expéditionnaire français qui se sont évaporés près de Saïgon en 1858 ?

 

Merci d'avance

Ah oui ,je veux bien lire l'histoire aussi ,merci d'avance .

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Invité §pie367dg

Bravo pour cet excellent topic !

 

Pourriez-vous nous raconter l'histoire des 650 zouaves du corps expéditionnaire français qui se sont évaporés près de Saïgon en 1858 ?

 

Merci d'avance

 

 

 

Ils avaient confondu avec le triangle des Bermudes :??::ange:

Bon plus sérieusement, j'aimerais bien aussi connaître cette histoire.

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Invité §sta883ch

connaissez vous l histoire de ces femmes executées par de s resistants de la derniere heure ?

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connaissez vous l histoire de ces femmes executées par de s resistants de la derniere heure ?

 

 

 

Cela fait suite aux operations SAS des Francaiset GB de juillet et août 44 dans les départements 49 , 79 et 86.

Ope Dickens et Bullbasket ainsi que des missions Jedburghs

La derniere colonne allemande regroupant tout les firces du Sud Ouest et qui n est pas partie sur la poche de Royan, pointe de Grave remonte par Poitiers et se dirige vers l Est. C est la colonne colonel Elster

https://www.google.com/url?sa= [...] jBlsPERlhy

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Invité §Glm886zo

Voici une anecdote relatée par un ami de ma mère. Durant la seconde guerre mondiale, son père est fait prisonnier. Après bien des péripéties, il parvient à s'évader en passant par un tuyau d'égout "comme dans les films". On lui fournit des faux papiers et il veut passer la ligne de démarcation. Malheureusement, il est arrêté pas très loin de ladite ligne par une patrouille allemande. Un soldat regarde ses papiers et lui dit en substance qu'ils vont vérifier ça à la kommandantur. L'évadé est pris de sueurs froides, il se dit que ses papiers ne résisteront pas longtemps à un examen approfondi. La mort dans l'âme, il suit les allemands et en passant à proximité d'un pont, il constate que son lacet est défait. Il se penche pour le refaire tandis que les deux soldats continuent d'avancer. Il se dit alors que c'est le moment de quitter les allemands à l'anglaise. :ange:

 

 

Il regarde discrètement à droite à gauche, prêt à bondir et finalement se ravise. Tout est à découvert autour, des champs à perte de vue et les soldats auront beau jeu de le tirer comme un lapin. Ses chances de survie sont trop faibles pour tenter l'évasion. Il se redresse et court pour rattraper les deux hommes en armes. A peine les a-t-il rejoint que l'un des soldats lui rend ses papiers et lui donne congé ! Visiblement, ils ont pensé que s'il n'a pas cherché à se sauver, c'est qu'il n'a rien à se reprocher ! :)

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