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Salon de discussion

Le Topic de la gastronomie / bonne bouffe (bons plans et restaux)


Invité §Jes257LV
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Participants fréquents à ce sujet

Invité §Jes257LV

[h1]Le « meilleur resto du monde » est espagnol[/h1][h3]L'établissement espagnol « El Celler de Can Roca » a été sacré lundi soir à Londres « meilleur restaurant au monde » par l'influent classement « 50 Best ». biggrin.gif?f-ed=1[/h3]

 

 

Le restaurant des frères Roca, situé à Gérone, retrouve un titre qu'il avait déjà obtenu en 2013. Il succède à « Noma » du chef René Redzepi, qui se trouve dans un entrepôt maritime rénové de Copenhague, premier du classement en 2014. Le prix a été remis à Londres lors d'une cérémonie réunissant des chefs venus des quatre coins du monde au Guildhall, l'ancien hôtel de ville.

 

Le « 50 Best », « baromètre annuel du goût gastronomique », tel que le définissent les organisateurs, a acquis une notoriété et une influence croissantes depuis son lancement en 2002, initialement dans le cadre du magazine « Restaurant ».

 

Il est organisé par le groupe britannique de médias et d'événementiel William Reed. Mais « 50 Best », soit littéralement « Les cinquante meilleurs (restaurants du monde) », s'est aussi fait des ennemis, principalement en France, pays jamais couronné.

 

Une pétition lancée sur Internet pour demander aux « partenaires publics et privés du classement d'arrêter de financer et de soutenir ce classement opaque » réunissait lundi plus de 360 signatures, dont celles des chefs français Joël Robuchon et italien Giancarlo Perbellini.

http://www.lessentiel.lu/fr/li [...] l-19215828
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Invité §Spa365bL

Je vais sur Vias 34450 ce week-end pour 4 jours à coté de Béziers et je voudrais me faire un petit resto sur Béziers lequel vous me conseillerai dans le style pas trop cher et plutôt populaire

 

merci :D

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Un resto indien très sympa la semaine dernière. Par contre on lui a vidé sa cave de rouge donc j'ai oublié le nom.

 

Et j'ai refait mon resto allemand préféré 2 fois cette semaine (dont une fois pour le boulot) :jap:

 

http://www.ratskeller-augsburg.de/

 

http://www.yelp.de/biz/ratskel [...] g-augsburg

 

http://www.tripadvisor.de/Rest [...] varia.html

 

 

 

Un bar aussi 2 fois cette semaine: http://www.lamm-klub.net/download/Lamm_Karte.pdf

 

http://www.yelp.de/biz/wei%C3%9Fes-lamm-augsburg

 

J'aime pas trop, ambiance un peu hypster, mais baby foot.

 

 

Un autre bar de la semaine, celui la parfait pour un début de soirée ou une fin de soirée, avec le blanc sec maison à 1.80€, rare dans un bar "tendance"

 

http://purist-augsburg.de/cocktails

 

http://www.yelp.de/biz/purist-augsburg

 

 

Un bar anarchiste aussi, absolument magnifique (et super pas cher, 4 conso pour 10€, et parfois gratos), avec des autocollant "abolish capitalism" sur les murs etc :W

 

http://www.yelp.de/biz/kreuzweise-augsburg

 

 

Je veux pas rentrer :

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Invité §Jul741RC

J'aime pas trop, ambiance un peu hypster, mais baby foot.

 

ahhhh voilà pourquoi je ne vais plus au troquet depuis très très longtemps... il n'y a plus de baby foot et d'amateur pour y jouer... j'adore ce jeu ringard ! :sol:

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Invité §Jes257LV

[h1]restaurant un an d’existence et deja un succès Metz : la fourchette subliminale de L’Imaginarium[/h1][h2]Depuis un an, le restaurant de la rue de Paris, anciennement La Dinanderie, cartonne. Comptez deux semaines de réservation pour goûter les mets de Guillaume, servis par Mathieu. Une histoire de potes et de fines gueules.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/CE2C7DF8-9463-47B9-93DA-ABFA1527D580/LRL_v0_03/le-nom-l-imaginarium-est-venu-a-mathieu-botzung-et-guillaume-raith-quand-ils-parlaient-longuement-de-leur-projet-on-n-arretait-pas-de-se-dire-quot-imagine-on-pourrait-faire-ci-et-ca-quot-photo-marc-wirtz.jpg

 

Le nom L’Imaginarium est venu à Mathieu Botzung et Guillaume Raith quand ils parlaient longuement de leur projet. « On n’arrêtait pas de se dire "Imagine, on pourrait faire ci et ça". » Photo Marc WIRTZ

 

 

Les tables sont dressées avec raffinement. Les nappes repassées avec précision. Pas de faux plis, ni de faux pas dans les assiettes. Depuis le mois de juillet 2014, L’Imaginarium a sorti ses couverts et ses mets rue de Paris, face au pont des Morts, en lieu et place de l’ancienne Dinanderie. Et c’est un véritable carton. Les commentaires sont dithyrambiques sur le site d'évaluation des restos TripAdvisor, construits autour du champ lexical des saveurs et du savoir-faire.

 

Pour goûter, comptez au moins deux semaines de réservation, pour une table parmi les 30 couverts, le week-end. « Mais le midi, en semaine, parfois, il reste de la place… », rassure, avec le sourire, Guillaume, le chef de cette cuisine aux portes du gastronomique, mais « traditionnelle, haut de gamme, gourmande, fraîche » et « sans trop de chichis ».[h4]Un succès exceptionnel[/h4]

Derrière ce joli succès quasi exceptionnel se cache une histoire d’amitié. Une rencontre entre deux Sarregueminois qui ont fait leur BTS dans le même établissement, l’Hostellerie Saint-Hubert à Hambach, et qui se sont trouvés dans la même vision de leur métier.

 

« C’était un rêve commun de monter notre propre resto. On en parlait tous les soirs après le service. Et cinq ans après, on s’est lancé. C’était le bon créneau. Nous avons attendu de pouvoir trouver le bon endroit, nous avons eu l’occasion de reprendre ce lieu dans lequel Claude Piergorgi s’est illustré. Nous avons été séduits par le cadre et son histoire », se souvient Mathieu Botzung, 30 ans, responsable de salle.

 

« C’était risqué aussi mais à moins de trente ans, nous n’avions pas grand-chose à perdre. »

Derrière les fourneaux, et assurant l’intendance pendant que Mathieu s’occupe du téléphone (et des réservations qui ne s’arrêtent pas), s’affaire Guillaume Raith. Le jeune cuisinier âgé de 27 ans est discret. Mais en fouillant un peu sur internet, on découvre qu’il a fait un passage à Londres, au Spoon d’Alain Ducasse, et à Saint-Emilion, à l’Hostellerie de Plaisance, sous l’égide du deux étoiles Philippe Etchebest. Une jolie carte… de visite.[h4]« Décalé, comme nous »[/h4]

Leur succès, les deux compères s’en réjouissent. Forcément. « Nous n’aurions jamais imaginé être complets si vite. Nous dépassons d’un an notre prévisionnel. C’est forcément au-delà de nos espérances », confie Mathieu. Mais le duo, souriant et humble, n’envisage pas d’accélérer les choses ou de changer quoi que ce soit pour surfer sur la vague de cette notoriété. « Nous resterons sur nos positions. On ne rajoutera pas de tables, on ne proposera pas de second service.

 

Notre idée, c’est de proposer un lieu intimiste dans lequel nos clients peuvent prendre le temps d’apprécier leur repas. On se concentre sur notre salle et notre cuisine », enchaîne Guillaume.

 

Le binôme, prudent, assure que lui aussi a envie de prendre le temps de continuer à apprendre : rectifier les petites erreurs, y aller à leur rythme, s’améliorer, toujours. Et tester de nouvelles recettes, notamment pour le menu de saison, qui tous les mois met en scène un produit, de l’entrée au dessert. « Une pointe de carotte dans un dessert, il faut goûter… », glisse Guillaume. Ils ont de l’audace dans mais aussi autour de l’assiette. Et ils y ajoutent aussi une pincée « décalée » qui leur va bien.

 

Un trait de caractère qui leur a donné l’idée de son nom, L’Imaginarium, pas vraiment branché cuisine. « En fait, quand on réfléchissait à notre projet, on n’arrêtait pas de se répéter "Imagine, on pourrait faire ci ou ça." Et un jour, Guillaume a vu L’Imaginarium du docteur Parnassus , de Terry Gilliam. Ça nous a plu. Ça sonnait bien avec notre cuisine moderne. » Et une petite pointe de magie aussi qui se débusque aussi dans leur logo. Regardez bien, en passant la devanture : il s’y cache une fourchette… subliminale.

« En fait, quand on réfléchissait à notre projet, on n’arrêtait pas de se répéter "Imagine, on pourrait faire ci ou ça " »

 

hetwien.gif.b61398cafe360091d14932fe222db432.gif

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Invité §Jes257LV

[h1]Guide bonnes tables et bons plans TripAdvisor, le nouveau juge des tables à Metz[/h1][h2]Le site internet permet aux internautes de noter et commenter les restaurants du monde entier. Et Metz ne fait pas exception. Rencontre avec les cinq premiers d’un palmarès de bons plans assez hétéroclites.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/BEA66395-4851-494D-9098-E486989E6E86/LRL_v0_03/maxime-et-marie-du-petit-mona-on-regarde-notre-classement-tous-les-jours-jeudi-soir-ils-etaient-medaille-d-argent-du-classement-photo-gilles-wirtz.jpg

Maxime et Marie du Petit Mona : « On regarde notre classement tous les jours ». Jeudi soir, ils étaient médaille d’argent du classement. Photo Gilles WIRTZ http://www.republicain-lorrain.fr/files/fr/images/v0/zoom_in_magnifier_secure.png

 

 

 

A la grande question « où va-t-on manger ? », des milliers d’internautes à travers le monde trouvent la réponse en quelques clics. Le site internet TripAdvisor, qui invite les clients à noter et commenter les prestations des établissements, est devenu un outil incontournable pour les voyageurs, mais également pour les professionnels.[h4]Le palmarès[/h4]

À Metz comme ailleurs, le palmarès est en constante évolution au gré des expériences des critiques gastronomiques amateurs. Même si L’Imaginarium de Guillaume Raith et Mathieu Botzung, rue de Paris, truste la première place depuis plusieurs mois avec 158 commentaires, principalement Excellent.

 

Médaille d’argent ( sur 349 établissements de tout type) : Le Petit Mona et ses sandwichs, paninis, pâtes et salades, avenue Foch. « Nous avons déjà été premiers, avant-hier nous étions troisièmes. Cela peut changer tous les jours. Nous, on regarde tous les matins », sourit Maxime, qui met en avant une sandwicherie d’excellence avec des produits frais et un bon rapport qualité/prix. « Mais nous sommes bien conscients que nous ne sommes pas le deuxième meilleur resto de Metz. Etre avant Le Jardin de Bellevue [rue Claude-Bernard qui est quatrième, NDLR], ça n’a pas de sens. TripAdvisor, c’est plus un échange de bons plans que de bonnes adresses », poursuit celui dont le restaurant est également avant Les Petits Zozios, restaurant végétarien et bio de la rue des Jardins, médaille de bronze du classement messin (également en congés annuels). « C’est un outil à manipuler avec délicatesse, ce n’est pas une fin en soi. Mais je peux vous dire que j’ai 68 avis : 45 Excellent, 19 Très bon et 4 Moyen », compte, de mémoire, Emmanuel Ruiz, patron de La Quille, le bar à vin de la place de Chambre, numéro 5 du classement hétéroclite des établissements messins.[h4]Quelles retombées ?[/h4]

Comment quantifier les retombées de ce classement ? Difficile à dire. « C’est évident qu’une bonne note sur TripAdvisor, pour une entreprise jeune comme la nôtre, est un vrai plus. D’autant plus que nous n’avons quasiment pas fait de publicité et comptons sur le bouche-à-oreille », souligne Guillaume de L’Imaginarium. D’ailleurs, quatre des cinq premiers au palmarès sont des établissements qui fêtent leur premier anniversaire. L’internaute aimerait-il particulièrement commenter les nouveautés ?

« J’aime prendre le temps de m’asseoir avec les clients, de discuter avec eux, de nos bouteilles, des histoires des vins et des vignerons. Du coup, je leur demande souvent d’où ils nous connaissent, et c’est vrai que TripAdvisor revient souvent », soutient Emmanuel Ruiz, content également de pouvoir lire que ses sommeliers et sommelières ne laissent pas indifférents. « J’aime voir le verre à moitié plein ! »[h4]Des commentaires sincères ?[/h4]

L’internaute, caché derrière son ordinateur ou son téléphone, peut avoir le commentaire acerbe et acéré. Et dans toutes les langues. Certains des 347 restaurants messins notés sur le site en font d’ailleurs les frais. Une des spécificités du site est qu’une fois le commentaire posté (ou l’évaluation du visiteur qui peut atteindre le stade tout en demi-mesure de "Horrible"), seul son auteur peut l’effacer. Sinon, la sentence est irrévocable. Et peut avoir de grosse conséquence, notamment dans la rétrogradation.[h4]Qui peut noter ?[/h4]

De là à en déduire que l’on peut saboter la note du voisin ? « Ce n’est pas possible. J’ai voulu noter un super resto de burger à Metz la semaine dernière. TripAdvisor m’a dit qu’en tant que professionnel, je ne pouvais pas, dans ma ville », assure Maxime. Mais on n’est jamais à l’abri de la création d’une nouvelle adresse mail. Les restaurateurs peuvent seulement répondre à leurs commentaires. Par ailleurs, tout à chacun peut créer la page d’un établissement. C’est d’ailleurs un client qui a lancé celle de L’Imaginarium. Et une fois créée, impossible de recommencer. Cette transparence, conjuguée à la gratuité du service, plaît aux restaurateurs rencontrés. « On est heureux du succès, même si rien n’est gagné », conclut Emmanuel Ruiz. D’ailleurs, il est certain que le classement du jour va bientôt changer. Des entrées, des sorties ? A vous de juger.

 

L.L.

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Invité §Jul741RC

"East Mamma" à Bastille...

 

adresse en train de commettre un carton total, ça me fout la dalle rien que d'en causer!!!

 

http://www.bigmammagroup.com/ :love:

 

prochain séjour parisien, passage OBLIGATOIRE :D

 

la carte des vins est sans fin... sacré cave! :jap:

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Un resto de viandes à Augsburg.

 

Bonne viande, bien mieux que les resto "argentins" du même quartier. Accompagnement bof, des patates quoi. Par contre ils n'ont pas de Kellerbier :(

 

je m'en suis tiré pour moins de 20€ avec 2x50cl de helles + un steak :o

 

http://www.yelp.fr/biz/john-benton-augsburg

 

Les salariés sont quasi tous polonais/roumains/turcs :o

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Invité §Jes257LV

[h1]Ground Control, le bar le plus berlinois de Paris[/h1]

 

http://i.f1g.fr/media/figaro/805x453_crop/2015/09/08/XVM07a82a48-5178-11e5-91ae-7b027538d56c.jpg

 

 

 

Dans le quartier de La Chapelle, un site désaffecté de la SNCF abrite un village urbain unique en son genre. Pour prolonger le farniente estival version postindustrielle.

Source Figaroscope

À quelques mètres de la sortie du métro Marcadet-Poissonniers, un autre monde se cache derrière une palissade grillagée. Un site industriel désaffecté? Une gare à l'abandon? Le vaisseau spatial de Ground Control to Major Tom, de David Bowie? Réponse en bas de l'escalier.[h2]Les trésors cachés de la SNCF[/h2]

De nombreux sites appartenant au patrimoine immobilier de la SNCF restent encore inconnus des Parisiens. Aux confins du XVIIIe arrondissement, au-delà de la gare du Nord, plus de 3 hectares sommeillaient depuis 2009. L'année où les trains et locomotives ont cessé de venir se faire réparer dans ces ateliers centenaires dont les vertigineux volumes plairaient aux sculpteurs et artistes de la nouvelle garde. Traversé de rails dans tous les sens, le site est un endroit unique en son genre. Assez pour séduire une équipe de producteurs de spectacles qui, pendant une saison (jusqu'au 15 octobre), en ont fait le rendez-vous underground et boho de la capitale. Ground Control, un concept hybride déjà testé avec succès l'an dernier à la Cité de la mode et du design.[h2]Pétanque et transats[/h2]

Aussi improbable que cela puisse paraître, on joue à la pétanque et au mölkky (jeu de quilles finlandais) entre les rails, ou bien on se prélasse sur un transat en sirotant du cidre avec, en point de mire, caténaires et lignes à haute tension. Après la dune du Pyla, cela peut provoquer un choc! Mais les citadins de retour, sans ciller, se pressent avant que le soleil ne décline sur ce parcours ultrasécurisé.[h2]Poulailler et trattoria[/h2]

Avant d'atteindre le préau - aménagé de mobilier d'écolier rétro et de lampions de fête foraine -, on se doit d'admirer les poules, les courgettes (et bientôt les potirons) plantés par une association d'agriculture urbaine (so bio!). Dans ce village urbain aux allures irréelles, où l'on voit passer RER, Thalys et autres TER, la vie s'organise autour de la cour et des bonnes assiettes italiennes préparées par l'équipe de Roberta. Le week-end, on y brunche en famille.[h2]Musiques électro et Nuit Blanche[/h2]

Entre un rendez-vous chez le tatoueur ou chez le brocanteur, on chine des vinyles, on écoute des sets de DJ ou des mini-concerts. Le 3 octobre, lors de la Nuit Blanche, on admirera l'installation de Vimala Pons et Tsirihaka Harrivel.

Ground Control. 26 ter, rue Ordener (XVIIIe). Tél.:01 48 24 25 97. Du mar. au ven. de 17h à minuit, sam. et dim. de 11h à minuit. Jusqu'au 15 octobre.

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Invité §Jes257LV

[h1]Comment nos assiettes ont changé depuis 50 ans[/h1][h2]Moins de viande, plus de plats préparés et surtout une alimentation guidée par le niveau de revenus : les comportements alimentaires évoluent moins en fonction de l’air du temps que du niveau social.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/05C4D63E-75FF-479B-B29C-4D2D8E5CAD99/LRL_v0_03/title-1444336380.jpg

 

 

 

 

 

En un demi-siècle, les habitudes alimentaires des Français ont changé plus vite que lors des siècles précédents. Importés, exotiques, issus de l’imagination des cuisiniers ou de la recherche, de nouveaux aliments ont fait leur apparition dans le panier. Celui-ci a surtout évolué avec les transformations de la société.

 

Si le contenu du réfrigérateur a changé, l’enveloppe consacrée à la nourriture a également évolué. L’alimentation tient moins de place dans le budget des ménages (20 % au lieu de 34,6 % en 1965) mais coûte plus cher : 3 600 euros par habitant et par an selon l’Insee. Selon les classes sociales, la part du budget alimentaire varie au détriment des classes moins aisées. (Il occupe 4,5 points de plus que pour les plus aisés). Ces différences se reflètent dans les assiettes.

 

Concrètement les familles modestes accordent au pain et aux aliments à base de céréales (comme les pâtes) plus de place qu’à la viande, au poisson, et aux boissons alcoolisées. La viande reste l’aliment de base mais de plus en plus de Français s’en passent.[h4]L’ère des plats préparés[/h4]

L’autre bouleversement est lié au moindre temps disponible pour manger. La consommation de plats préparés, ou simples, comme les pizzas, a fait un bond énorme depuis 1960 : +4,4 % de plus par an. Les Français cuisinent moins, donc achètent moins de produits brut. Ainsi la consommation de purée progresse pendant que l’achat au détail de la pomme de terre diminue (-0.8 % par an en volume par habitant). Autre conséquence de ces repas plus courts : on mange plus à l’extérieur, même si les prix dans les cafés, brasseries ou restaurants augmentent plus vite que l’inflation (+5,9% par an, en moyenne, depuis 1960). En 2014, les Français ont ainsidépensé 59 milliards d’euros à l’extérieur soit 26 % de la dépense alimentaire (contre 14 % en 1960).

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Invité §Jes257LV

Michel Sarran 2 étoiles au Michelin...

 

http://www.michel-sarran.com/

 

 

J'ai fait son restaurant il y a 2 ans avec mon épouse...

 

Quel pied... Chaque ingrédient est mis en valeur, avec des mariages parfaits, sur le plan gustatif, c'est du PA-RO-XY-SME, impressionnant...

 

Coût de la soirée, environ 380 €... 129069364_enduratd90.gif.7514a60ee5f10f835602225377547c2b.gif

:bien:

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Invité §Jes257LV

[h1]Buffalo Grill, la chaîne de restauration, est à vendre[/h1][h2]L’opération de vente des restaurants a été engagée par les propriétaires de Buffalo Grill pour une valeur estimée à 400 millions d’euros.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorrain.fr/images/ECC8DE44-CE2A-4B7D-AAC5-E2C057D7E274/LRL_v0_03/photo-afp-1447320310.jpg

 

 

 

Buffalo Grill, la chaîne française de restauration spécialisée dans la grillade, est à vendre. Selon le quotidien Les Echos, l’opération de vente des restaurants a été engagée par les propriétaires de Buffalo Grill pour une valeur estimée à 400 millions d’euros. Buffalo Grill est le leader de la restauration à thème avec 331 restaurants - succursales et franchisés - 522 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014 et 6560 salariés.

Les propriétaires ont reçu « des marques d’intérêt de fonds français et anglo-saxons », précise les Echos. Buffalo Grill n’a pas souhaité confirmer.[h4]Ouverture de restaurants de burgers[/h4]

Créé en 1980, le groupe a été racheté en septembre 2008 par le fonds d’investissement Abenex Capital (en tant qu’actionnaire majoritaire), la société de gestion de portefeuille Nixen Partners et plus de 200 cadres de l’entreprise. En mai dernier, Buffalo Grill avait annoncé l’obtention d’une ligne de crédit de 30 millions d’euros pour poursuivre ses investissements et sa politique d’ouverture de nouveaux restaurants.

Depuis un an, la chaîne s’est positionnée notamment sur le marché du burger avec l’ouverture en 2015 de quatre établissements spécialisés dénommés « Buffalo Burger », installés à Lille, Chartres, Amiens et Bordeaux.

 

 

AFP

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Invité §fab431ER

une pépite parisienne: le Fellini (1er arr)

 

http://www.fellini.fr/ :jap:

 

testé lors d'une récente escapade, les "spaghettis plats aux fruits de mer et crustacés" sont une TUERIE incroyable, et leur tiramisu, c'est pas compliqué, ça fait 10 ans que je cherche un resto qui le fait aussi bien que ma soeur, ben le voilà aragorn66.gif.031bf4660eada9635dfc680df0026667.gif

 

bon, c'est assez cher, mais ça vaut ce que ça coûte :p

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Invité §Jul741RC

[h1]Buffalo Grill, la chaîne de restauration, est à vendre[/h1][h2]L’opération de vente des restaurants a été engagée par les propriétaires de Buffalo Grill pour une valeur estimée à 400 millions d’euros.[/h2]

 

http://s-www.republicain-lorra [...] 320310.jpg

 

 

AFP

 

bien cher pour une chaine qui n'est pas terrible... comme toutes les chaines quoi !

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De temps en temps j' aime bien moi, au moins ils nous font pas croire que le chef se lève a 4h du mat' pour aller chasser le bison et faire mitonner ses petits légumes.

J' aime bien la Pataterie aussi.

 

 

Trop LoL la pub "Métro" sur france inter, Bruno restaurateur a Antibes aime bien mitonner un bon jambonneau a l' armagnac a ses clients, pour sa il va chez Metro :lol:

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Invité §Rav610FP

une pépite parisienne: le Fellini (1er arr)

 

http://www.fellini.fr/ :jap:

 

testé lors d'une récente escapade, les "spaghettis plats aux fruits de mer et crustacés" sont une TUERIE incroyable, et leur tiramisu, c'est pas compliqué, ça fait 10 ans que je cherche un resto qui le fait aussi bien que ma soeur, ben le voilà aragorn66.gif.031bf4660eada9635dfc680df0026667.gif

 

bon, c'est assez cher, mais ça vaut ce que ça coûte :p

 

Je viens de trouver mon prochain menu chez eux:

-Petits artichauts parfumés à la menthe et ail

-Ravioli de ricotta et épinards

-Fromage de brebis fort

-Truffe au chocolat dans une nage de café

 

MIAM MIAM :love:

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Invité §Jes257LV

Je viens de trouver mon prochain menu chez eux:

-Petits artichauts parfumés à la menthe et ail

-Ravioli de ricotta et épinards

-Fromage de brebis fort

-Truffe au chocolat dans une nage de café

 

MIAM MIAM :love:

Ce topic donne faim alej0x666.gif.21e023fd3a7397343e6cf1c800aaa310.gif

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De temps en temps j' aime bien moi, au moins ils nous font pas croire que le chef se lève a 4h du mat' pour aller chasser le bison et faire mitonner ses petits légumes.

J' aime bien la Pataterie aussi.

 

 

Trop LoL la pub "Métro" sur france inter, Bruno restaurateur a Antibes aime bien mitonner un bon jambonneau a l' armagnac a ses clients, pour sa il va chez Metro :lol:

 

 

Effectivement, ils revendiquent plus ou moins de faire de la daube mais comme pas mal de gens ne font pas vraiment la différence entre bien et mal manger, ça marche.

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Samedi soir, j'ai fait le J'Go de Toulouse... :o

 

C'est du local pour ce qui est des aliments...

 

Après, je qualifierai ce restaurant de semi-industriel, vu que les desserts, c'est clairement dans l'esprit "Metro"... :W

 

Restaurant qui a son petit succès sur Toulouse...

 

83 €, pour deux, correct...

 

Pour les gros mangeurs, passez votre chemin... :jap:

 

http://lejgo.com/accueil

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Nous de temps en temps on va aux " Cornettes de bise" à laCChapelle d' Abondance.

 

Les plateaux de charcuteries sont énormes et de grandes qualités, les plats et spécialités sont simples raffinéss et copieux.

La luge de fromage est gigantesque avec de "vrai" fromages, et les desserts sonts fabuleux

c est convivial sans être familial, service efficace et serieux sans etre guindé, un endroit où l on se sent bien.

Pas cher par rapport à la qualité des produits, par contre déconseillé avant une randonnée :lol:

On y a fait notre repas de mariage, bon on était que 14.

 

Pour digérer il y a un musée savoyard et un parc, piscine et sauna.

 

 

J arrive pas à mettre le lien.......

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Invité §Jes257LV

[h1]Le retour des plats néoclassiques dans les bistrots parisiens[/h1]

http://i.f1g.fr/media/figaro/805x453_crop/2016/01/20/XVMf573628a-baad-11e5-bb89-79ffe5e66085.jpg

 

Blanquette, joue de bœuf confite, agneau de sept heures, pot-au-feu… Les voici de retour sur les cartes, revisités par des chefs qui leur apportent une touche de glam et de légèreté. Drôlement bon!

 

 

 

Source Figaroscope[h2]Une blanquette au Petit Rétro[/h2]

Le lieu. Un bistrot 1900, inscrit au répertoire des monuments historiques, qui compte sans doute parmi les plus cinégéniques de la capitale et de nature à vous arracher des petits cris d'admiration. Faïences à motifs floraux Art nouveau, lustres en fer forgé, machine à café Victoria d'époque... Il a changé d'équipe en 2013 sans toucher à sa plastique.

Le plat. Le chef est passé par Casa Olympe, une bonne école! Et cela donne des plats de tradition, légèrement twistés par de petits ajouts comme cette blanquette de veau « à peine grand-mère » riz noir Vénéré, épices du moment, excellente et digeste, ou encore ce délicieux ris de veau aux noisettes et fricassée de champignons du marché.

Bravo. Le soin apporté aux produits (pain Poujauran, crémerie Bordier, charcuterie Bobosse…), l'addictive brioche perdue à la vanille Bourbon et caramel au beurre salé.

Dommage. L'eau minérale à 8 €, too much!

Le Petit Rétro. 5, rue Mesnil (XVIe). Tél.: 01 44 05 06 05. Tlj sf dim. Formules: à 26 € (déj.), 31 € (soir), menu à 30 € (déj.), 36 € (soir). Carte: 50-60 €.[h2]Un gigot cuisson lente à l'Amarante[/h2]

Le lieu. Ce fut le Saint-Amarante, bistrot de bonne tenue où officia jadis Rodolphe Paquin (Repaire de Cartouche) puis le plus improbable Un Jour Un Chef, bref un bistrot habitué à se réinventer et qui, désormais, est le domaine de Christophe Philippe, chef talentueux passé par les brigades d'Anne-Sophie Pic et d'Éric Briffard (Plaza, Élysées du Vernet). À deux pas de l'Arsenal, le cadre est sans esbroufe, avec son comptoir, ses tables en bois et ses banquettes en Skaï rouge.

Le plat. Si toutes les assiettes sont séduisantes, « le gigot cuit très lentement, purée de topinambours » est la parfaite illustration de ce dossier! Chair fondante et rosée d'une agnelle du Limousin tendre à souhait, escortée de légumes sortis de l'oubli par la malice d'un cuisinier maître ès cuissons, on applaudit.

Bravo. L'accueil formidable de gentillesse et de professionnalisme du serveur-sommelier-directeur de salle.

Dommage. Pour chicaner, « le citron façon crème brûlée » un tout petit peu trop acide.

L'Amarante. 4, rue Biscornet (XIIe). Tél.: 09 50 80 93 80. Tlj sf mer. et jeu. Formule: du « travailleur » au déj. à 22 €. Carte: 50-60 €.[h2]Une joue de veau aux Affranchis[/h2]

Le lieu. Repris il y a tout juste un an par un jeune duo franco-italien formé à L'Ambroisie - Enrico Bertazzo en cuisine et Keenan Ballois en salle -, ce bistrot lumineux a conservé le nom et le décor vintage (tables en bois, banquettes en Skaï) pensés par l'ancienne équipe. Jolie vue sur la place Toudouze à travers les grandes fenêtres.

Le plat. Servie dans sa petite cocotte Staub, sur une purée de pommes de terre bien beurrée, et généreusement arrosée d'un savoureux jus de viande, la joue de veau, l'un des plats signatures de la maison, demande soixante-douze heures de préparation. Pour obtenir son croustillant extérieur et son fondant intérieur, le chef originaire de Padoue fait mariner la viande pendant quarante-huit heures, la saisit à four chaud pendant une heure, puis la laisse mijoter dans son jus à feu doux pendant dix à douze heures. Admirable.

Bravo. Le pain de Thierry Breton, l'œuf parfait façon carbonara en entrée, l'accueil souriant, le service tardif (23 heures).

Dommage. Les tarifs costauds de la formule au déjeuner.

Les Affranchis. 5, rue Henri-Monnier (IXe). Tél.: 01 45 26 26 30. Tlj sf lun. Formules: 35 € (déj.), 40 € (dîn.).[h2]Un pot-au-feu à La Bourse et la Vie[/h2]http://i.f1g.fr/media/figaro/300x300/2016/01/20/XVM1e06e9ce-baae-11e5-bb89-79ffe5e66085-300x300.jpg

Le lieu. Après le déménagement de son Spring (ça date, maintenant) et avant le renouveau de La Vieille (ça arrive), tous les deux rue Bailleul, Daniel Rose a repris et remis à son goût ce bistrot du quartier de la Bourse. Aucune épate dans le décor, juste un habile toilettage, modernisant l'ensemble tout en conservant le cachet classique. Le programme terroir est clairement annoncé sur la carte, resserrée: poireaux vinaigrette, aile de raie à la grenobloise, mousse au chocolat…

Le plat. Déjà incontournable de la maison, le pot-au-feu de veau, ravigote, tête croustillante, herbes et citron vert est un régal absolu! Dans la marmite en cuivre posée sur la table: une viande rosée ultratendre, des légumes (carottes, chou, navets) pétaradants de couleur et un bouillon concentré, punché par les herbes et le citron vert. De quoi garnir à la louche son assiette où patiente la tête de veau (compressée, tranchée et poêlée) et sa tonique ravigote.

Bravo. La qualité de la cuisine, le choix de vins et d'alcools, la coupe Vivienne en dessert.

Dommage. Rien!

La Bourse et la Vie. 12, rue Vivienne (IIe). Tél.: 01 42 60 08 83. Tlj sf sam. et dim. Carte: 35-55 €.[h2]Une souris d'agneau chez Bon Vivant[/h2]

Le lieu. Lancé au printemps dernier rive gauche par la clique de Julien Fouin, ancien journaliste, et Ludovic Dardenay - déjà largement à l'œuvre dans le Marais avec Glou, Jaja, Beaucoup et, depuis peu, Grand Cœur, ce bistrot tout en bois clair fait figure de bon plan pour déjeuner sur le pouce (sandwich, burger), grignoter autour d'un verre ou dîner d'un bon plat bien sourcé (Yves Billot et Éric Ospital pour la viande, Cissey pour le poisson, Yves Cremmer pour la crémerie, Coutume pour le café…).

Le plat. Parmi les incontournables de la carte, une souris d'agneau cuite sept heures aux épices douces, servie avec une timbale de quinoa aux fruits secs. La viande est confite juste comme il faut. Sa sauce aigre-douce agréable et son accompagnement réussi façon semoule vous transportent directement du côté du Maghreb.

Bravo. La carte fournie en vins nature ; la bonne miche de Dupain, boulangerie maison ; la playlist sympa.

Dommage. Certaines préparations approximatives (œuf pané en entrée pas assez chaud, frites décevantes).

Bon Vivant. 7, rue des Écoles (Ve). Tél.: 01 43 26 51 34. Tlj. Carte: 30-40 €.[h2]Une joue de bœuf chez Grand Cœur[/h2]

Le lieu. Pour son dernier-né, l'écurie Fouin-Dardenay a vu les choses en grand: cadre exceptionnel (la cour pavée et classée du Café de la Gare, qu'un tex-mex encombrait depuis des lustres), décor charmant (tables en marbre, grandes bougies, banquettes en velours bleu, poutres et pierres apparentes) et chef étoilé à la conception d'une carte de brasserie très améliorée (Mauro Colagreco, du Mirazur, à Menton).

Le plat. Servie dans une assiette creuse, après six heures de cuisson au vin rouge, la joue de bœuf d'Aubrac a fière allure. Fondante et savoureuse, accompagnée de légumes croquants (chou romanesco, carottes, navets, salsifis), d'ail confit et de quelques graines germées, baignant dans sa sauce, c'est un modèle du genre.

Bravo. La terrasse aux beaux jours ; le cadre magique ; l'œuf poché, crème de parmesan et fricassée de champignons sauvages en entrée ; les vins bio et le bon pain (cf. Bon Vivant).

Dommage. Les prix qui s'envolent le soir.

Grand Cœur. 41, rue du Temple (IVe). Tél.: 01 58 28 18 90. Tlj sauf dim. soir et lun. Formules: 23 € et 30 € (déj.). Carte: 40-60 €.[h2]Une joue de cochon chez Pottoka[/h2]http://i.f1g.fr/media/figaro/300x200/2016/01/20/XVMfbe2a5e6-baac-11e5-bb89-79ffe5e66085-300x200.jpg

Le lieu. En embuscade de la rue Saint-Dominique, artère qui ne manque pas d'escales fréquentables (de La Fontaine de Mars au triplé de Constant, Violon d'Ingres-Cocottes-Café), voici un néo-basque de haut vol. C'est Sébastien Gravé qui est aux commandes, lui le gars « du coin », justement, passé par chez Constant, pour qui il « drivait » les Fables de la Fontaine voisines. En 2011, il a lancé ce néo-bistrot bien dans ses baskets et vient de doubler la mise chez lui, du côté de Bayonne.

Le plat.À l'image de toute la carte (tartare d'espadon et poire, avocat et cake olive ; filet de canette rôtie aux dragées, croquette de ricotta…), la joue de cochon confite allie néo et rétro sur une partition d'accords rock'n'roll. Ultrafondante, elle est servie avec des haricots tarbais, nappée d'une sauce puissante et titillée par un accord terre-mer bien balancé (petits cubes de chorizo et anguille fumée) et lamelles d'oignons pickles. Dans le mille!

Bravo. Le rapport qualité-prix.

Dommage. L'espace un peu réduit.

Pottoka. 4, rue de l'Exposition (VIIe). Tél.: 01 45 51 88 38. Tlj. Menus: 28 (déj.), 37 et 65 €.[h2]Un civet de sanglier au Vitis[/h2]

Le lieu. Tiens, les revoilà! Plaisir de retrouver les frères Delacourcelle, qui nous ont enchantés des années durant, non loin du Collège de France, au Pré Verre, repère malin dans le style bistrote voyageuse. Même programme ici (pourquoi changer quand c'est bon?) avec un bistro haut comme trois pommes où les deux frangins s'activent en live dans leur cuisine ouverte.

Le plat. On ne fait pas plus tradi qu'un bon vieux civet de sanglier! Celui-ci respecte le cahier des charges avec sa viande goûteuse au bon gras fondant et sa sauce vin rouge liée au sang, parfaitement nappante. Et pour le twist, en accompagnement, point de carottes ou de pommes de terre, mais des coings qui viennent alléger le tout et donnent une belle note sucrée-salée au plat. Réconfortant et singulier à la fois!

Bravo. La carte des vins, pointue dans le genre nature.

Dommage. Des grains de sable dans les couteaux à la plancha.

Le Vitis. 8, rue Falguière (XVe). Tél.: 01 42 73 07 02. Tlj sf dim. Carte: 35-45 €.

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Invité §fab431ER

C'est les prix dans ce genre d'établissement, c'est pas des gargotes :jap:

oui et non. on parle pas de l'Ambroisie là, mais d'un "bistro" avec une formule déjeuner à 26€. donc 8€ la bouteille de flotte, c'est du vol. c'est le prix d'un verre de très bon cru bourgeois de Bordeaux faut pas déconner.

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Invité §fab431ER

Samedi soir, j'ai fait le J'Go de Toulouse... :o

 

C'est du local pour ce qui est des aliments...

 

Après, je qualifierai ce restaurant de semi-industriel, vu que les desserts, c'est clairement dans l'esprit "Metro"... :W

 

Restaurant qui a son petit succès sur Toulouse...

 

83 €, pour deux, correct...

 

Pour les gros mangeurs, passez votre chemin... :jap:

 

http://lejgo.com/accueil

 

 

il y a quelques années j'avais dîné chez "les copains d'abord" à Toulouse...un cassoulet tip top!! :p

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Invité §Jes257LV

oui et non. on parle pas de l'Ambroisie là, mais d'un "bistro" avec une formule déjeuner à 26€. donc 8€ la bouteille de flotte, c'est du vol. c'est le prix d'un verre de très bon cru bourgeois de Bordeaux faut pas déconner.

C'est le cas dans de nombreux bistrots, tout dépend de l'emplacement aussi :)

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