Aller au contenu
Logo Caradisiac      

Téléchargez nos application

Disponible sur App Store Disponible sur Google play
Publi info
Salon de discussion

Le Topic des engins blindés (Index en page 1)


jensen
 Partager

Messages recommandés

Invité §pie367dg

En temps de guerre tous les pays, tous les régimes, ont besoin de héros donc "ON" monte en épingle les plus emblématiques, toutefois cela ne retire rien

à ses qualités de soldat en faisant abstraction de ses engagements politiques.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut Jensen

 

Excellent ton article sur Witmann !

La découverte de sa sépulture en 83 me rappelle une découverte identique qu'avait fait mon frère aîné et ses collègues dans un secteur proche. Il était à l'époque agent communal dans la petite commune de Feuguerolles Bully dans le Calvados ( une dizaine de kms au sud de Caen et à trois kms de la RN 158 ). Ils étaient en train de nettoyer et de curer au tractopelle un fossé le long d'une friche quand le godet du dit tractopelle déterra des ossements humains. Evidemment, les travaux furent stoppés sur le champ, la gendarmerie appelée, puis la police et l'identité judiciaire.

Les deux squelettes (dont les crânes manquaient) étaient celui d'un homme et d'une femme. L'homme portait encore un blouson de tankiste allemand et la femme, des bouts d'uniforme de "souris grise".

Ce genre de découverte est monnaie courante dans la région, il n'est pas rare qu'au cours de labours ou de travaux de terrassement des vestiges des durs combats qui se sont déroulés dans le secteur refont surface.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

pour sa mort, certaines sources parlaient d'un tir venant d'un Typhoon....pour finalement avoir la preuve que le tir venait du Firefly A alex883.gif.e72897aa99a17b7337aac753e7a5bdd1.gif

 

merci Tonton :jap:

 

 

 

Disons que ces "sources" commencent à dater... :D

 

Je m'explique ! :o

 

 

========> Dès la fin du conflit des habitants du coin constatent qu'effectivement une roquette de Typhoon non explosée se trouve être à proximité du Tigre (à quelle distance ? On ne l'a jamais su vraiment...)

 

Ce sera suffisant pour décréter que Wittmann fut pris à parti par un appareil de la RAF et détruit suite au tir d'une salve de ces roquettes. :jap:

 

MAIS (il y a toujours un "mais" quelque part... :buzz: ) il y a pas mal de trucs qui n'ont jamais collés :

 

-Les journaux de marche de la RAF n'indiquent pas la présence d'appareils d'attaque au sol sur cette zone le 08 août 1944

 

-Aucun pilote n'en a revendiqué la paternité, eux qui n'étaient pourtant pas avares en "victoires imaginaires"... :cyp:

 

-le tir d'une salve de roquettes équivalait à la bordée d'un croiseur de 10 000 tonnes ! Le seul problème étant que ces dernières étaient d'une totale imprécision (pas meilleure que celles des fusées Le Prieur de 14/18, c'est dire !) et toucher un char (même un Tigre) relevait du hasard ou du coup de bol de "mari trompé" ! :oops:

 

On a ensuite affirmé avec force que le destructeur du Tigre 007 était un certain Joe Ekins, alors tireur sur un Firefly du Yeomanry.

On est à peu près certains qu'il détruisit effectivement les chars de Dollinger, Iriohn et Kisters compte-tenu des points d'entrée des projectiles, mais par contre il est absolument sur qu'il n'a pas pu détruire le 007 de Wittmann, auquel cas l'obus aurait pénétré sur le flanc droit, pas à l'arrière gauche, c'est impossible ! :nanana:

 

Il faudra attendre 2002 pour qu'un tankiste du Sherbrooke Canadien se manifeste, via Internet je crois, pour signaler qu'il détruisit bel et bien un Tigre ce jour-là à défilement de tourelle sur son arrière-gauche.

 

Pourquoi avoir autant attendu ? lenoun.gif.1e9941b04ce355b5af805c2116a89411.gif

 

Tout simplement parce que la popularité de Wittmann n'a pas passé l'Atlantique avant le 21ème siècle, et donc que les canadiens avaient "dézingué" un Tigre point-barre ! :bah:

 

Il n'y avait, pour eux, aucune raison d'en faire tout une histoire...

 

Vali vala ! :o

 

 

;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

T'es sérieux?

 

Putain j'en ai mangé pendant des semaines, avec voyage pédagogique sur Verdun, Douaumont etc...

Quand :??:

 

J'ai une fille en 1°, et une en 3°, je peux te certifier que c'est très pauvre, par rapport à ce que moi j'ai étudié il y a plus de 40 ans ... arkiel.gif.9a0b995f298b5324278bb58c3326dda0.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi j' ai pas d' histoire de mon coté, mon père ne nous a jamais parlé de la guerre d' Espagne, ni de son engagement dans la légion en 39-45, juste quelques anecdotes sur la façon dont il a été reçu par la France a Rivesaltes et plus tard au camp de Gurs.

Et maintenant c' est trop tard.......

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est un de mes grand père qu'a fait 39-45, mais mort alors que je m’intéressais pas encore a tout ça, l'autre était en France mais pas français, et dans un coin tranquille, il a donc pas vécu grand chose.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

:jap:

 

Comme dit au hasard des topics, grand père paternel Saint-Cyrien griévement blessé au chemin des Dames (pied arraché, gangrène .... jambe de bois), qui remet ça en 43 dans un réseau (communiste, ça l'a toujours fait chier après :D ), il s'est amusé à faire des faux-papiers et des relevés de plan des fortifications du Havre, dénoncé par un bon français, Gestapo, torture, et en départ prévu pour Dachau ... libéré avec le bombardement de la prison de Rouen ...

 

Fallait pas lui en parler, c'est mon père qui m'a tout raconté (lui-même du même réseau ...) Officier de la Légion d'honneur au péril de sa vie, Croix de guerre 14-18, grand croix blessés de guerre, plus 4 autres qu'il faudra que je regarde arkiel.gif.9a0b995f298b5324278bb58c3326dda0.gif

 

Mon père m'a eu à 49 ans, ceci explique cela ;)

 

 

Edit: l'autre grand-père ... drôle de guerre, arrêté sur le "Front", "déporté" pour le travail obligatoire en Bavière ... bardé lui aussi de médailles, le rappelant sans cesse ... sentiment mitigé de ma part ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

DES CHARS ET DES HOMMES...

Michael Wittmann : La créature du régime.

...

...

Personnellement je n'oublierai pas "deux ou trois trucs" :

-Il était volontaire pour la SS et convaincu par les théories Nazies, personne ne l'y a jamais poussé ! :nanana:

-Certes courageux au combat et possédant un sens tactique indiscutable il n'avait rien du "copain", ne supportant pas qu'un subordonné discute un ordre ou se moque de sa hiérarchie.

-Durant sa longue campagne à l'Est personne ne l'a vu avoir la moindre compassion ou attitude "humaine" face aux civils ou aux prisonniers de guerre Soviétiques.

A vous de vous faire une opinion, mais la mienne est faite... :jap:

 

 

Merci Tonton pour cet article.

Mon opinion il y a belle lurette qu'elle est faite.

Ci dessous quelques personnages dont quelques super connus et mais aussi inconnus qui n'ont, bien qu'ils aient plus de "victoires" que les "héros" médiatisés par le système.

Tapez par exemple le nom de Kurt Knispel sur un moteur de recherche et lisez son histoire.

C'est l'opposé de ce Wittmann!

 

 

Screen_Hunter_94_Apr_10_19_42.jpg

 

Screen_Hunter_95_Apr_10_19_42.jpg

 

Ils étaient 273 à avoir totalisé 25 "victoires" détenteurs de l'insigne 25

et 11 seulement à porter l'insigne 100

mais K. Knispel avec 168 "victoires" homologuées n'en fait pas partie!

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Super il est là.

Quoi que tu fasses, fais le bien! Comme d'hab.

Pour le fun un truc marrant

D'accord y a pas de chenilles, mais on en est pas loin.

Un Schwimmwagen Typ 166-5, avec dispositif pour la neige profonde en 1944

Curieuse prise de vue en montagne alors qu'il est immatriculé pour la région de Stuttgart...

 

VW Schwimmwagen Typ 166-5,  with a device to overcome the deep snow 1944.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

 

 

 

Sd.Kfz.7 : La bête de somme du camp d'en face. 

 

 

A0marder.png.daefe55c2abab0baf7f1426a89010574.png

 

 

 

s04.jpg

 

 

Les origines de ce semi-chenillé remontent à 1933, année où fut lancé un appel d'offre pour permettre à l'armée Allemande de disposer d'un tracteur d'artillerie capable de se mouvoir sur tous les terrains. :jap:

 

Le pays étant encore sous les restrictions de la commission d'armistice le projet est camouflé, comme pour de nombreux engins blindés, sous le vocable de "machine agricole". :ddr:

 

C'est la firme Bavaroise Krauss-Maffei qui remporte en 1934 le marché de cet engin de 11,5 tonnes capable de tracter une pièce d'artillerie de 8 tonnes conformément au cahier des charges initial.

 

80 exemplaires sont commandés et destinés à la traction du fameux canon de 88 mm Flak 18.

 

 

s07.jpg

 

 

Une trentaine d'ensembles sont expédiés en Espagne au titre de l'aide militaire allemande à la suite de la demande d'assistance faite par le général Franco dès juillet 1936.

 

On ne le dira jamais assez mais la terrible guerre civile Espagnole sera un "banc d'essai grandeur nature" pour tout le matériel mais aussi les doctrines d'emploi pensées par l'Allemagne Hitlérienne dès le milieu des années 30. 

 

Penchons-nous un peu sur ce Sonderkraftfahrzeug 7 ("véhicule spécialisé" dans la langue de Molière…) vins37.gif.e13548e7a9bd42f1c2c5335f3645a5b8.gif

 

Nous sommes devant un engin de 6,90 m de long, 2,35 m de large et 2,62 m de haut capable d'emmener un équipage de 12 personnes ou une charge utile de 1,8 tonnes.

 

 

 

s06.jpg

 

 

Son moteur à essence de 6 cylindres en ligne Maybach HL62 TUK de 6 191 cm3 développe une puissance de 138 ch à 2 600 Trs.

 

Associé à une boite de vitesses mécanique à 4 rapports avant et 2 arrière il autorise à ce véhicule une vitesse de pointe sur route de 51 km/h (et d'environ 25 en tout-terrain).

 

 

 

s02.jpg

 

 

La consommation sur route frôle les 80 litres aux 100 km (et 170 en tout-terrain…) avec une autonomie qui ne dépasse pas dans le meilleur des cas les 250 km.

 

L'essieu avant, simplement directeur, est de type rigide suspendu par un ressort à lames transversal.

 

A l'arrière on trouve un train chenillé avec six galets de roulement, une roue tendeuse (à l'arrière) et un barbotin (à l'avant).

Tous sont garnis d'une bande caoutchoutée, les maillons de la chenille sont lubrifiés et cette dernière repose sur des patins souples gage de silence sur route, de limitation des vibrations et d'une bonne tenue de l'ensemble à l'usure.

L'amortissement est confié à des barres de torsion.

 

Ce système, en fin de compte complexe et très exigeant sur son entretien, permet au Sd.Kfz.7 de tirer son épingle du jeu sur terrains variés, puisqu'il est capable de grimper des pentes de 50%, de franchir une tranchée ouverte de 2 mètres de large et même une coupure humide de 0,65 m de profondeur.

 

 

Visiblement nous sommes ici au maximum des capacités de franchissement du véhicule ! :p

s14.jpg

 

 

 

s11.jpg

 

 

 

s10.jpg

 

 

Sous le plateau se trouve un treuil électrique d'une puissance de 3,45 tonnes, l'engin est apte à tracter en plus de 88mm Flak un canon de 105 mm K18 ou une pièce de 150 mm SFH18.

 

Les artilleurs prennent place à bord et disposent de vastes coffres de rangement pour leurs impédimentas ou les munitions.

 

La production en grande série n'est véritablement lancée qu'à partir de 1939.

Très vite ce petit engin fiable et abouti va devenir l'accessoire indispensable des unités où il remplace avantageusement les chevaux encore majoritaires dans les charrois d'artillerie de toutes les armées Européennes de l'immédiat avant-guerre ! :oui:

 

Le Sd.Kfz.7 sera de tous les théâtres d'opération du premier au dernier jour du conflit : Pologne, France, Afrique du Nord, front de l'est, Balkans, Italie, Normandie…

 

Véritable "machine à tout faire" dès sa configuration d'origine il ne connaîtra pas un nombre incalculable de versions, bien au contraire !

 

-Sd.Kfz.7 : La version de base de très loin la plus produite.

 

 

Belle photo d'époque prise en Afrique du Nord.

s08.jpg

 

 

 

s18.jpg

 

 

-Sd.Kfz.7/1 : Version équipée de l’affût quadruple de DCA Flakvierling 38 de 20 mm capable d'une cadence de tir de 800 coups/minute.

 

 

Le quadritube de 20 mm, "terreur" des pilotes alliés en Normandie.

s03.jpg

 

 

 

-Sd.Kfz.7/2 : Le calibre de 20 mm étant insuffisant face à des appareils comme les Sturmoviks Soviétiques on installe sur le semi-chenillé un canon de 37 mm Flak 36/37 monotube d'une cadence de tir de 120 coups/minute.

Nettement plus puissant il peut détruire n'importe quel avion allié avec un seul projectile au but !

 

 

Plus puissant, le 37 mm avait une cadence de tir plus faible.

s01.jpg

 

 

 

On notera l'installation à partir de 1942/43 d'une cabine blindée sur ces deux dernières versions.

Elle sera réalisée en acier de 8 mm d'épaisseur à partir de panneaux plats soudés entre-eux, une méthode simple et réalisable dans de petits ateliers sans avoir recours à une main d'œuvre très spécialisée.

 

 

s05.jpg

 

 

 

-Sd.Kfz.7/3 Feuerleitpanzerfahrzeug : Une version rarissime transformée en poste de tir et de commandement mobile concernant le lancement des fusées V2.

 

 

La petite remorque à l'arrière est un pas de tir mobile pour V2.

s17 V2.jpg

 

 

La caisse est totalement blindée afin de protéger les techniciens des éventuels "incidents de tir" alors très fréquents… 

On ne pense pas que la production dépassa la dizaine d'exemplaires.

 

 

 

s18 V2.jpg

 

 

 

La fabrication du Sd.Kfz.7 sera réalisée chez Krauss-Maffei à Munich bien entendu mais aussi chez Borgward à Brême ou encore chez Saurer-Werke à Vienne.

 

 

On notera la plaque de blindage qui protège le radiateur des projectiles ennemis, pas vraiment l'idéal par temps chaud !

s09.jpg

 

 

La production sera répartie de la façon suivante :

 

1939 : 1 609 exemplaires

1940 : 996

1941 : 1 322

1942 : 1 388

1943 : 3 250

1944 : 3 352

1945 : 270

 

En mars 1945 la fabrication s'arrête et un dernier rapport sur l'état du matériel de l'armée Allemande réalisé à la même période mentionne encore 3 602 engins en état de marche présents à l'inventaire.

 

La production totale sera donc de 12 189 exemplaires (on peut même largement avancer le chiffre de 12 300 en comptant les prototypes et engins de présérie d'avant 1939).

 

On pense qu'environ 800 Sd.Kfz.7/1 et 1 000 Sd.Kfz.7/2 furent produits (dont une petite moitié avec cabine blindée).

Certaines sources parlent de 318 7/1 fabriqués, ce chiffre semble très faible et ne pourrait concerner que les versions à cabine blindée.

 

 

s13.jpg

 

 

Les exemplaires ayant survécu à la guerre seront récupéré par certaines armées, en particulier celle de Tchécoslovaquie qui emploiera de tels véhicules jusqu'au début des années 50.

 

Des entreprises de génie civil ou de dépannage utiliseront des Sd.Kfz.7 "plus ou moins reconditionnés" jusqu'à la fin des années 70, époque où l'absence totale de pièces détachées et le renchérissement de l'essence leur porteront un coup fatal. 

 

 

Sd.Kfz7/1 à cabine blindée du musée de Koblenz.

s15.jpg

 

 

 

s16.jpg

 

 

 

Le Brésil commandera 32 engins en 1939 et en recevra… 5 fin 1941 ! 

L'Allemagne alors engagée sur tous les fronts ne pourra plus honorer le reliquat de la commande ni la fourniture de pièces détachées, ce qui explique que les engins réceptionnés étaient tous réformés dès 1945.

 

 

L'Italie, très en retard techniquement, évalue le véhicule en 1941 et obtient de Krauss-Maffei une licence de production confiée à la firme transalpine Breda.

Cette dernière équipe le modèle baptisé Breda 61 de son moteur T14 six cylindres à essence de 7 412 cm3 développant 130 ch à 2 400Trs.

500 engins sont commandés mais seulement 36 seront livrés avant l'armistice de septembre 1943 ! :hihi:

 

 

Breda 61.

La principale différence avec l'engin allemand sera son volant placé à droite, comme sur tous les poids-lourds Italiens jusqu'en… 1974.

s20 breda 61.jpg

 

 

La production continuera après cette date pour le compte des Allemands présents en Italie du Nord qui en recevront 199 en 1944.

 

Les Britanniques capturent de nombreux Sd.Kfz.7 en Afrique du nord et décident d'en fabriquer une copie, ce sera le Bedford BT6 "Traclat".

Globalement les cotes et le train de roulement sont des "copiés/collés" de l'engin d'outre-Rhin, par contre la mécanique est typiquement British avec deux moteurs Bedford 6 cylindres en ligne disposés côte à côte et développant la puissance totale de 136 ch.

 

 

Bedford BT6, où quand la perfide Albion jouait les copieurs 

s21 bedford.jpg

 

 

Six prototypes seront réalisés mais tant un prix de revient beaucoup trop élevé que la présence massive de Half-Tracks M3 d'origine US finira par mettre un terme définitif au projet bien avant la production en série.

 

Le Sd.Kfz.7 sera, de par sa présence en relatif grand nombre sur tous les fronts, l'un des instigateurs de la légende de "l'armée Nazie techniquement et mécaniquement supérieure aux autres".

Mais c'est oublier que les besoins réels pour un tel véhicule n'ont jamais pu être honorés par les usines du Troisième Reich et que les divisions d'artillerie hippomobiles resteront majoritaires à l'inventaire Allemand, et ce jusqu'au 8 mai 1945 ! ;)

 

 

s19.jpg

 

 

 

:coucou:

 

Jensen.

 

 

Modifié par jensen
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hello Tonton merci pour l'article.

J'ai plaisir à lire ta phrase: :love:

sic: Les artilleurs prennent place à bord et disposent de vastes coffres de rangement pour leurs impédimentas ou les munitions.

Donc, les coffres n'étaient pas assez grands?

 

Les liens vidéo n'aboutissent pas! :cry:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §pie367dg

Pour moi les liens vidéos fonctionnent.

Par contre quand notre ami Jensen dit : " la petite remorque derrière est une base de départ pour un V 2 ", là j'ai un gros doute puisque celui-ci était

beaucoup plus gros qu'un V 1 qui lui non plus n'aurait pas tenu sur cette remorque si on se souvient de la taille de celui que nous avons vu à

Reuenthal .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §pas471gx

Il s'agit bien d'une table de lancement transportable pour V2, voir le dernier HS de "Ligne de Front" (le n°26).

 

Bel article au passage ; j'attends celui qui concernera le petit frère, le Sd.Kfz 11 ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour moi les liens vidéos fonctionnent.

Par contre quand notre ami Jensen dit : " la petite remorque derrière est une base de départ pour un V 2 ", là j'ai un gros doute puisque celui-ci était

beaucoup plus gros qu'un V 1 qui lui non plus n'aurait pas tenu sur cette remorque si on se souvient de la taille de celui que nous avons vu à

Reuenthal .

 

 

sachant qu'il part direct a la erticale, c'est "juste" une base carrée avec quelques structures autour, après on dit pas que c'est l'ensemble complet non plus.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §wit375IU

Jolie mot " impédimentas " .

il me semble qu'il existe un exemplaire du Sd.Kfz.7 au musé de Colleville-sur-mer l'overlord museum .

a confirmer bien sur .

 

 

 

[h1]

[/h1]

[h1]

[/h1]

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §wit375IU

Je trouve ca impressionnant , mettre la video a 1mn40 (pas trouvé la version schort).

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je trouve ca impressionnant , mettre la video a 1mn40 (pas trouvé la version schort).

 

 

 

Le système du Leclerc est bien meilleur. Au prix d'une sophistication technique qui doit se payer en terme de disponibilité, peut-être...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
 Partager



Newsletter Caradisiac

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

×
  • Créer...