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Le Topic des engins blindés (Index en page 1)


jensen
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Invité §EBR504bS

Merci Jensen!!!

 

Un petit EBR que je connais :

 

https://aws-cf.caradisiac.com/prod/shared/forum/m [...] .jpg3..jpg

 

Pour les tourelles la FL11 n'a pas de chargeur automatique (barillet), en effet pas la grosse caisse derrière.

Donc les premiers EBR avec FL11, le tireur officiait de chargeur.... ;)

 

Bien sur ceux avec tourelle FL10 de l'AMX13 avaient le chargeur automatique! ;)

 

Le Panzer 4 arf SUPER j'adore ce char, le scherman Allemand! :o

 

Bonjour je suis nouveau sur ce forum et passionné de tank :love: . j'aimerai savoir ou se trouve l'EBR pot de fleur :lol:

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arkiel.gif.9a0b995f298b5324278bb58c3326dda0.gif faut pas se fier aux artilleurs, j'avais 2 potes qui mettaient en batterie à 2 un 105 Hm2, et assuraient seuls un tir de saturation arkiel.gif.9a0b995f298b5324278bb58c3326dda0.gif

 

 

Après, sauf erreur, suis pas sûr que ce soit la charge de poudre, mais plutôt "la bourre" de maintien ... j'peux me gourrer, ça date d'il y a 20 ans arkiel.gif.9a0b995f298b5324278bb58c3326dda0.gif

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:o il n'y a plus de douille ... comme on le voit à 1 min, c'est bien la charge de poudre, mais ça n'est plus de la poudre comme autrefois (j'ai connu le temps où on mettait de 1 à 6 sacs de poudre, suivant la portée désirée, le tout mis dans l'étui, l'obus glissé en force dessus, la fusée réglée, et hop ...), c'est une espèce d'étouppe imbibée d'explosif (au secours, les spécialistes ..... j'étais dans l'artillerie, mais pas ma spécialité :o )
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:jap: Bonjour... Je suis à la recherche de renseignements.

Ces photos prises par mon pére date de 1951 alors qu'il était à l'école d'application de l'artillerie de Ida Oberstein. Mais d'aprés ce que j'ai pu lire la 5éme DB (On voit l'insigne sur les chars) n'était pas stationnée à cet endroit ?

Peut-on à partir des surnoms des chars retrouver leur pedigree ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci d'avance

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:o il n'y a plus de douille ... comme on le voit à 1 min, c'est bien la charge de poudre, mais ça n'est plus de la poudre comme autrefois (j'ai connu le temps où on mettait de 1 à 6 sacs de poudre, suivant la portée désirée, le tout mis dans l'étui, l'obus glissé en force dessus, la fusée réglée, et hop ...), c'est une espèce d'étouppe imbibée d'explosif (au secours, les spécialistes ..... j'étais dans l'artillerie, mais pas ma spécialité :o )

Y'a eu la Nitrocellulose peut être ?

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:o il n'y a plus de douille ... comme on le voit à 1 min, c'est bien la charge de poudre, mais ça n'est plus de la poudre comme autrefois (j'ai connu le temps où on mettait de 1 à 6 sacs de poudre, suivant la portée désirée, le tout mis dans l'étui, l'obus glissé en force dessus, la fusée réglée, et hop ...), c'est une espèce d'étouppe imbibée d'explosif (au secours, les spécialistes ..... j'étais dans l'artillerie, mais pas ma spécialité :o )

 

Panzerhaubitze 2000

Cela m'intriguais aussi. Donc j'ai cherché, et n'ai trouvé que ceci:

 

Charges propulsives pour Panzerhaubitze 2000.jpg

 

Munitions pour Panzerhaubitze 2000.jpg

 

http://www.army-technology.com/projects/pzh2000

http://de.wikipedia.org/wiki/Treibladungsbeutel

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(modifié)

 

 

 

 

 

Sd.Kfz.9 FAMO : C'est du lourd ! yanncnn.gif.4442670d50212bf2228a80840fdfe028.gif

 

 

 

A0marder.png.f3dfa50a254cb3cd5232b884192f0f66.png

 

 

 

 

 

famo07.jpg

 

 

 

 

 

C'est début 1936 que le projet d'un engin spécial (Sonderkraftfahrzeug en allemand, ou Sd.Kfz en abrégé ! ;) ) est lancé.

 

Il s'agit de reprendre le concept du tracteur semi-chenillé déjà mis au point précédemment par Krauss-Maffei ou Borgward entre autres mais cette fois-ci en version "XXL" puisque l'engin qui va apparaître sera de la classe des 18 tonnes !

 

C'est la firme Fahrzeug und Motorwerke (FAMO c'est plus simple à prononcer…) qui s'attelle à la tâche depuis son usine de Breslau en Silésie (après-guerre cette cité sera rebaptisée Wroclaw et se trouvera désormais en Pologne).

 

L'Etat-Major Nazi cherche alors à se doter d'un engin à capacité tout-terrain capable de tracter un canon de campagne de 240 mm, le légendaire 128 mm Flak de DCA ou encore l'obusier lourd de 355mm, et ce bien entendu avec servants et munitions.

 

Mais il y a aussi une autre utilité au FAMO, à savoir la possibilité d'être une dépanneuse de chars voire un transporteur en y attelant une remorque. :oui:

 

Le prototype, baptisé F1, fait ses premiers "tours de chenilles" vers la fin de l'été 1936.

Il est équipé d'un moteur V12 Maybach HL98 de 9 780 cm3 développant 200 ch et mesure 7,70 m de long.

 

Bien que correspondant au cahier des charges sa puissance et sa longueur sont vite considérés comme un peu juste et les quatre exemplaires de présérie nommés F2 mis en service en avril 1938 seront toujours dotés d'un moteur à 12 cylindres en V refroidi par eau identique au précédent mais développant 250 ch et d'une caisse rallongée à 8,32 m.

 

 

Les capacités de franchissement de cet engin étaient bluffantes... A vide !

famo14.jpg

 

 

La version définitive dite F3 est mise en service à l'automne 1939.

La seule différence notable avec la précédente est un moteur HL108 d'une cylindrée de 10 838 cm3 et d'une puissance de 270 ch à 3 000Trs.

 

Ce semi-chenillé est, par rapport à ses semblables tels que le Sd.Kfz.251, proprement énorme !

 

 

L'équipage qui pose fièrement devant son FAMO donne une idée des dimensions XXL de la bestiole...

famo01.jpg

 

 

En plus de ses 8,32 m de long, il mesure 2,60 m de large et 2,85 m de haut.

 

Son poids à vide est d'un peu plus de 15 tonnes et de 18 en charge.

Il est capable de tracter une remorque porte-char de type Sd.Ah.116 apte à accueillir un char contemporain de type Pz.III, ce qui porte le poids total en charge à près de 36 tonnes !

 

 

La remorque Sd.Ah.116.

Un pilote se trouvait à l'arrière pour manoeuvrer les deux essieux directeurs de cette dernière, facilitant grandement l'inscription en virage.

Devinette : Comment faisait-on pour charger le char ?

Simple... :o

La partie arrière avec les 2 essieux pouvait se désaccoupler du plateau.

Il ne restait plus au char qu'à grimper par ses propres moyens ou à se faire hâler par le treuil du FAMO.

famo09.jpg

 

 

 

Cet engin est alors sans équivalent dans les autres armées. :fier:

 

Sa boite ZF Synchromech à quatre rapports avant et une marche arrière avec boite de transfert couplée au V12 lui autorise une vitesse de 50 km/h sur route et encore de 30 km/h en tout-terrain (à vide et sans remorque s'entend :o ).

 

 

famo02.jpg

 

 

Sa capacité en carburant de 320 litres lui permet de franchir des étapes routières de 250 km (l'autonomie est à diviser largement par deux sur terrain meuble).

 

A bord on trouve deux banquettes autorisant l'installation de huit hommes d'équipage, le plateau arrière dispose de plusieurs compartiments aptes à contenir tout le lot de bord nécessaire à la mission de l'engin.

On y trouve aussi un treuil de halage d'une capacité de 7 tonnes qui peut, grâce à des poulies de mouflage, tirer une charge de 21 tonnes.

 

 

Tirer un Pz.III ne posait pas de problème au FAMO, mais le mieux était encore de démonter ses chenilles, on gagnait ainsi beaucoup en terme de résistance au roulement !

famo04.jpg

 

 

La campagne de mai/juin 1940 démontrera toutes les qualités du FAMO (que la troupe va vite surnommer Büffel : Le Buffle), il faut dire que la nature des combats est idéale avec une progression rapide des corps blindés et un recul tout aussi vif des défenseurs... :oops:

 

Les équipages de FAMO, qui ne disposent pas de blindage pour leur protection, peuvent intervenir dès la fin des combats pour dépanner ou récupérer les éventuels blindés amis mais aussi remorquer vers l'arrière tous les chars et autres véhicules lourds capturés à l'ennemi, et ce sans risquer grand'chose.

 

 

Les roues avant étaient uniquement directrices, non motrices.

L'agilité n'était pas la principale qualité du Sd.Kfz.9...

famo11.jpg

 

 

 

Mais les choses vont changer durant la campagne de Russie... :o

 

Si au début les Allemands pensent rééditer le coup de la "Blitzkrieg" ils vont vite déchanter et bien souvent devoir récupérer le maximum d'engins blindés au plus près des combats, les unités d'assaut souffrant vite d'un taux d'attrition dramatique pour la suite des événements.

 

Il ne faut pas oublier non plus qu'une campagne rapide avec un taux de pertes relativement faible comme enregistré à l'Ouest en 1940 n'engage pas à "investir" dans de tels engins, mais ici tout change et le FAMO va vite montrer son plus gros défaut : Celui de ne pas être disponible en nombre suffisant.

 

Les premiers exemplaires seront dotés d'ailes avant enveloppantes et d'un pare-chocs intégré.

famo12.jpg

 

 

Un autre problème va se faire jour avec la mise en service du Tigre en 1942 et du Panther en 1943.

En effet nous sommes désormais très loin des chars "d'une vingtaine de tonnes" (le premier nommé en fait 57, le second 45...) et un FAMO, tout balaise soit-il, est incapable de remorquer un de ces blindés seul ! :nanana:

 

Et les conditions climatiques, avec une boue gluante quasi-omniprésente sur le terrain, n'arrange pas la situation...

 

Pour remorquer un Panther sur le plat il est nécessaire de disposer de deux FAMO, celui de tête relié à son alter-égo par un cable de remorquage imposant aux conducteurs une synchronisation quasi-parfaite pour la bonne marche de l'ensemble, le char étant relié au second engin par une barre d'acier.

 

Un Tigre nécessite trois engins au minimum pour être remorqué ! Et si le monstre est planté dans la boue un quatrième ne sera pas de trop voire même un cinquième s'il faut gravir une pente de 10%... :ange:

 

 

Pour sortir ce Ferdinand de son mauvais pas il faudra compter sur quatre FAMO !

famo13.jpg

 

 

 

Les compagnies asservies à la maintenance "bricolèrent" très rapidement leurs FAMO en y installant une potence par exemple, et ce afin d'effectuer des opérations de maintenance mécanique sur le terrain, mais il n'était guère envisageable d'utiliser cette dernière pour un changement de tourelle par exemple, sa capacité de levage ne dépassant généralement pas 1500kg.

 

C'est pourquoi est mis au point dès 1941 un engin équipé d'une grue Bilstein d'une capacité de levage de 6 tonnes, cette fois-ci apte à travailler de manière plus efficace en étant même capable de lever une tourelle de char moyen.

 

Ce FAMO, rebaptisé Hebekraft 6T voit la suppression de sa banquette arrière et l'installation de quatre bras stabilisateurs latéraux, il conserve par contre toutes les capacités mécaniques et de traction des autres véhicules de la série.

 

 

Grue de 6 tonnes, fabriquée par Bilstein (oui, celui des amortisseurs...) ;)

famo06.jpg

 

 

 

Il est fabriqué à environ 110 exemplaires et équipe les unités de maintenance à raison d'un engin par peloton.

 

Les aléas du conflit font apparaître le besoin d'un engin automoteur doté d'une grue de 10 tonnes de capacité.

 

Ce véhicule, conçu par Demag, n'est pas à proprement parler un engin de première ligne, sa fonction étant plutôt la maintenance lourde ou la pose de travées de pont par les unités du Génie par exemple.

 

 

 

famo17.jpg

 

 

 

Cette fois-ci le FAMO est considérablement modifié (18 cm de plus en longueur) et équipé d'un groupe auxiliaire pour la manœuvre de la flèche.

 

Baptisé Hebekraft 10T cet engin ne sera fabriqué qu'à une quarantaine d'exemplaires environ, se déplaçant toujours avec une remorque où reposent les quatre bras stabilisateurs qui assurent sa sécurité en phase de travail.

 

Un appel d'offre est aussi lancé en 1942 à la demande de l'Afrika-Korps pour monter sur le FAMO une pièce de DCA de 88 mm Flak 41.

 

On en profite pour réaliser un blindage intégral de la cabine en acier de 14,5 mm d'épaisseur.

 

 

La pièce de Flak pouvait aussi servir pour l'antichar, mais elle n'était pas conçue pour tirer en site négatif et la cabine gênait.

famo05 88mm antichar.jpg

 

 

 

famo03 88mm flak.jpg

 

 

 

Le véhicule, présenté en juin 1943, a un équipage de 11 hommes, un poids en charge de 25 tonnes et une capacité en munitions embarquées de 40 coups, ce qui est pour le moins faible concernant une pièce de Flak... :sic:

 

Le plus clair de l'histoire sera que le comité Allemand de l'armement ne sera guère convaincu par l'engin et annulera la commande initiale de 112 exemplaires passée précédemment.

 

 

Cette version ne sera pas convaincante, loin de là !

famo08 flak.jpg

 

 

 

Seuls 14 engins seront construits et équiperont la 304éme unité de DCA de l'armée de terre envoyée en septembre 1943 en Italie.

Aucun d'eux n'en reviendra...

 

Le nombre total de FAMO construits est de 2 727 exemplaires étalés entre octobre 1939 et (approximativement) décembre 1944.

 

 

Au fil du temps et des restrictions diverses la silhouette du FAMO sera simplifiée.

Les ailes n'envelopperont plus les roues par exemple.

famo08.jpg

 

 

 

 

Devant la lenteur de production (le Sd.Kfz.9 était un engin compliqué et long à construire) FAMO fut épaulé par VOMAG qui le produira à doses homéopathique mais aussi par le constructeur Tchèque TATRA, qui décida d'y installer son moteur V12 Typ 103 Diesel de 201 ch déjà vu sur le fabuleux 8X8 Puma.

Les productions de ce constructeur se caractérisaient par un capot-moteur différent, mais à ma connaissance très peu d'exemplaires seront produits.

 

 

Le "FAMO" vu par Tatra.

V12 Diesel, 201 ch et capot-moteur différent.

famo16.jpg

 

 

 

Le Français Panhard sera aussi "sollicité" mais se débrouillera pour ne jamais sortir le moindre exemplaire de son usine, la complexité mécanique du FAMO étant une excellente raison de retarder l'échéance… 

 

En fin de compte le FAMO ne sera jamais disponible en nombre suffisant pour porter une assistance efficace aux unités blindés et permettre un reconditionnement rapide et efficace des Panzers endommagés sur le champ de bataille, obligeant souvent les équipages à les abandonner après sabordage…

 

Il faut dire que le prix d'un seul de ces engins était de 60 000 Reichmarks alors qu'un Panther n'en coûtait "que" 50 000 de plus.

 

Comme il fallait au moins deux voire trois semi-chenillés pour l'assister de manière efficace le choix fut vite fait par l'Etat-Major, et ce d'autant plus que le Bergepanther (la version "dépanneuse" du Panther) était apparu et se trouvait capable de faire mieux surtout en capacité de traction pour à peine plus cher… :o

 

Pas mal de FAMO ont survécu au conflit, on peut citer ici :

 

-Une version grue de 10 tonnes qui restera utilisée par un spécialiste allemand du BTP au moins jusqu'au début des années 80, servant même à l'occasion de "vitrine" pour cette entreprise.

 

-Un collectionneur Britannique qui possède un F3 entièrement restauré.

 

 

Celui-ci.

famo10.jpg

 

 

-Le Musée WTS de Coblence qui en expose aussi un exemplaire.

 

 

Koblenz.

famo18.jpg

 

 

 

-Un FAMO F3 est capturée en Normandie en 1944.

Remis en condition et doté d'une lame-bouteuse il servira dans une carrière locale comme Bulldozer jusqu'en 1979 avant d'être récupéré par Michel Leloup, le conservateur de l'ancien Musée de Falaise décédé en 2011.

C'est cet exemplaire qui est de nos jours exposé au Musée Overlord de Colleville. :jap:

 

 

 

Se rendre à 3'50 mn pour constater les capacités de franchissement de la bête :

 

 

 

L'arrivée du FAMO à Colleville :

 

 

 

 

:coucou:

 

Jensen.

 

 

Modifié par jensen
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Fameux le Famo!

dankeschön pour les belles photos.

 

Donc ce ne sont que des Panzer III et IV en panne qui étaient transportés, car un transport de char de 21 t par un ensemble chenillé de 24t (remorque comprise) n'avait aucun avantage.

 

"Les roues avant étaient uniquement directrices, non motrices". Avaient-elles seulement une influence sur la trajectoire sans blocage d'une chenille? n'était il pas plus simple de les supprimer et de recentrer le plateau sur les chenilles?

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Mule : Femelle du mulet, hybride de la famille des équidés issue du croisement d’un âne et d’une jument. (Le bardot lui est issu du croisement d’un cheval et d’une ânesse)

 

mule la vraie.png

 

Mule : Véhicule militaire robotisé servant principalement au transport, mais pas que.

 

mule en expo.jpg

 

mule au travail.jpg

mule en action.jpg

mule de Tsahal.jpg

 

Mais aussi,

Mule : Transporteur de drogue

Mule : Chaussure légère d'appartement laissant le talon découvert.

 

Autres emplois,

Tête de mule : Personne têtue, obstinée

Mule du pape ; Pantoufle blanche décorée d'une croix brodée, que portaient naguère les papes.

Ferrer la mule : Voler son patron

Être chargé comme une mule : Porter de lourds fardeaux.

Travailler comme une mule : Travailler énormément, sans relâche

A vieille mule, frein doré : Parer une vieille carne pour mieux la vendre.

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