Le Topic des engins blindés (Index en page 1)

[FB 59]

Je me souviens d avoir vu des photos avec un dispositif Calliope de Sherman et aussi en ambulance .

On devrait trouver ça chez Gogole.

 

Mais aussi d un sdkfz 250, avec des etoiles blanches .

[flyinngpat]

En parlant de ça, j'ai trouvé des photos de changement de propriétaires ! les connaisseurs reconnaitront.

 

Une Kettenkrad

 

un Matilda

 

un Halftrack

 

un SDKF, enfin, je crois !

 

un Marmon

 

une Schwimmwagen

[flyinngpat]

une autre série :

 

un SDKF

 

deux autres SDKF

 

Voilà, voilou !

[FB 59]

Je pense que l aumonier de la 2DB roulait en Kubelwagen !

[flyinngpat]

Un aumonier, piquer du matériel ! mais où va-t-on ?

 

Il n'y a pas la photo que tu cherchais, des fois !

[Invité §Nik017Hy]

deux autres SDKF

 

Voilà, voilou !

 

 

Un aumonier, piquer du matériel ! mais où va-t-on ?

 

Il n'y a pas la photo que tu cherchais, des fois !

 

 

Ouaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis la voilà !!!!!!!

 

Mais dans mes souvenirs elle se situait dans un bois avec des Half-Track et il n'y avait qu'un seul Sdkfz 251

[Invité §pie367dg]

Une question à ce propos,

les qualités d'essence étaient-elles compatibles entre les productions allemandes et anglo-saxonnes.

Par exemple les huiles et/ou les graisses avaient des degrés de viscosité différents suivant leur provenance et ,donc, il fallait se montrer prudent sur leur

utilisation.

A mon sens les carburants devaient avoir aussi des différences et utiliser un véhicule de prise qui tombera rapidement en panne à cause de carburant/huile/

graisse inadaptés ne sert à rien.

Pour exemple, en GB jusqu'à assez récemment il fallait bien repérer le nombre

d'étoiles indiquant la qualité du carburant pour les vl continentaux

[flyinngpat]

 

Ouaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis la voilà !!!!!!!

 

Mais dans mes souvenirs elle se situait dans un bois avec des Half-Track et il n'y avait qu'un seul Sdkfz 251

 

 

Content de t'avoir rendu service

[flyinngpat]

Une question à ce propos,

les qualités d'essence étaient-elles compatibles entre les productions allemandes et anglo-saxonnes.

Par exemple les huiles et/ou les graisses avaient des degrés de viscosité différents suivant leur provenance et ,donc, il fallait se montrer prudent sur leur

utilisation.

A mon sens les carburants devaient avoir aussi des différences et utiliser un véhicule de prise qui tombera rapidement en panne à cause de carburant/huile/

graisse inadaptés ne sert à rien.

Pour exemple, en GB jusqu'à assez récemment il fallait bien repérer le nombre

d'étoiles indiquant la qualité du carburant pour les vl continentaux

 

 

Je pense que Jensen doit avoir la réponse

[Terisonen]

La qualité d'essence allemande était très mauvaise, au point qu'en Normandie, des véhicules alliés ayant utilisé de l'essence allemande récupéré dans les stocks de prise (il y avait quelques problèmes logistiques pendant la poursuite des armées allemandes après l'opération Cobra ) ont été gravement endommagés au niveau moteur (indice d'octane plus faible de l'essence allemande) . Il faut dire que l'essence en grande partie synthétique allemande n'était pas de bonne qualité, problème qui à toujours handicapé l'aviation allemande par exemple (rendement moteur moins bon).

[juluch]

Pourtant l'essence synthétique est en principe de bonne qualité....

 

D'ailleurs on en reparle ces temps ci et le procédé est bon pour l'environnement apparemment.

[jensen]

Une question à ce propos,

les qualités d'essence étaient-elles compatibles entre les productions allemandes et anglo-saxonnes.

Par exemple les huiles et/ou les graisses avaient des degrés de viscosité différents suivant leur provenance et ,donc, il fallait se montrer prudent sur leur

utilisation.

A mon sens les carburants devaient avoir aussi des différences et utiliser un véhicule de prise qui tombera rapidement en panne à cause de carburant/huile/

graisse inadaptés ne sert à rien.

Pour exemple, en GB jusqu'à assez récemment il fallait bien repérer le nombre

d'étoiles indiquant la qualité du carburant pour les vl continentaux

 

 

Concernant le carburant synthétique :

 

http://www.techno-science.net/ [...] tion=10332

 

Et n'oublions pas plusieurs choses :

 

Les autobus Parisiens à plate-forme Renault TN4 ont tournés jusqu'à leur réforme en 1971 au carburant dit "ternaire" : 1/3 essence, 1/3 alcool et 1/3 benzol.

 

Et leur moteur était le même que celui des chars Renault R35...

 

Je me rappelle aussi d'une anecdote racontée par un vieil ami :

 

Juste après la défaite de juin 1940 son père décide de stocker du carburant dans sa ferme afin de parer "au cas où"...

 

Ils enferment de l'essence dans plusieurs Dame-Jeanne (des bouteilles en verre circulaires de 10 litres) et les rebouchent très soigneusement (et ceci afin d'éviter l'évaporation mais aussi d'être repérés en cas de perquisition "à l'odeur" )

 

N'ayant qu'une activité maraîchère ils parviennent à s'en sortir avec un cheval et ne peuvent de toute façon pas utiliser une voiture car ils seraient très vite "repérés" et sans doute inquiétés par les autorités, mais songent à partir de septembre 1943 et l'arrivée des Allemands (nous sommes dans une commune aux portes du Vercors) à fournir ce carburant au maquis "au cas où".

 

Par chance ces derniers faisaient tourner le peu d'engins qu'ils possédaient au gazogène car lorsque arriva la libération l'ouverture des bombonnes ne laissait rien présager de bien bon...

 

Les moteurs refusèrent purement et simplement de démarrer !

 

Cette essence, de qualité très médiocre, n'avait plus aucune capacité inflammatoire 4 ans après son stockage.

 

Mon ami ira voir les Américains et, après quelques séances de troc bien négociées (avec de grands gestes), parvient à rentrer à la ferme avec 3 paquets de Camel et un jerrycan de "Gazoline" 100% US : Les moteurs démarrèrent au 1/4 de tour avec une pêche jamais vue avant-guerre ! http://forum-auto.caradisiac.com/static/icones/smilies/lol.gif

 

Lors du passage à l'essence sans plomb il y a une vingtaine d'années j'avais lu des articles dans Auto-rétro et Gazoline qui disait de ne pas s'inquiéter pour le fonctionnement au SP95 des "avant-guerre" car le carburant que l'on vendait à l'époque chez nous était une vraie merde !

 

Je confirme !

[Invité §Nik017Hy]

Content de t'avoir rendu service

 

 

 

Une question à ce propos,

les qualités d'essence étaient-elles compatibles entre les productions allemandes et anglo-saxonnes.

 

 

La qualité d'essence allemande était très mauvaise

 

 

Cette essence, de qualité très médiocre, n'avait plus aucune capacité inflammatoire 4 ans après son stockage.

 

 

 

Les carburants européens étaient donc de mauvaise qualité (tant synthétiques qu'à base de pétrole ? )

[jensen]

A priori oui !

[flyinngpat]

Le raffinage de l'époque n'était pas comme celui d'aujourd'hui !

[juluch]

N’empêche de nos jours avec les techniques actuelles, je pense que le carburant synthétique est intéressant pour pallier le pétrole.

 

Les USA serait en passe d'utiliser à grande échelle pour leur armée ce type de carburant.

[Invité §pie367dg]

Pour les anciennes, si elles peuvent fonctionner au SP95, il faut toutefois ne pas

oublier un additif.

Je crois que c'est seulement aprés-guerre qu'est apparu l'essence super ( que

l'on appelle aujourd'hui super 97 avec plomb, si on en trouve encore )

Et ce super n'était pas compatible avec tous les VL.

Par exemple, pour ma première voiture, une VW 1200 en 1971, il était bien

recommandé de ne rouler qu'à l'ordinaire

[FB 59]

Notez bien, que j'ai vu un vieux film la semaine derniere sur classic,. je crois ou un camion tombé en panne d essence lors d une course poursuite dans une ile du nord de l ecosse ,finissait son voyage en roulant

au whisky . Le titre en etait" WHISKY A GOGO "

Le whisky pendant la guerre devait etre plus detonant que l essence !!

[Invité §vik883zR]

Du whisky dans un camion...Je m'insurge quel gâchis....

[flyinngpat]

Oui, mais les écossais pourraient devenir les prochains rois du "pétrole"

[FB 59]

Oui, mais les écossais pourraient devenir les prochains rois du "pétrole"

 

on pourrait prendre l apero a la station !

station licence 4!!

 

 

suis pas sur qu il vendraient des ethylotests

1 offert a chaque plein

[Invité §pie367dg]

Au prix du pur malt 12 ans d'age, je préfère le SP 95 dans mon réservoir et

l'autre dans mon verre, si possible avec des pistaches, j'aime bien

[hansi68730]

Citation :

En parlant de ça, j'ai trouvé des photos de changement de propriétaires ! les connaisseurs reconnaitront.

 

Suiven de beaux exemples

 

 

J'ai aussi un Sd.Kfz 233 (enfin je pense) sous la main

[jensen]

Au vu du terrain je dirais Afrique du Nord non ?

[Invité §cle806Gb]

une autre série :

 

un SDKF

 

deux autres SDKF

 

Voilà, voilou !

 

Superbe la série de photos !

 

Par contre c'est quoi les blindés à roues sur la 2nde photo ?

[jensen]

Au second plan ?

 

Greyhound

 

Sans doute des M20.

[Invité §cle806Gb]

Au second plan ?

 

Greyhound

 

Sans doute des M20.

 

Ah bin voilà, je me disais bien que je l'avais vu quelque part !!

 

Plus sérieusement je les avais pas pas reconnu !

[jensen]

 

 

 

 

 

STURMTIGER : Souffler c'est jouer !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1943.

 

Depuis quelques mois les Allemands sont marqués par le désastre de Stalingrad et font le point sur le matériel qui leur fit défaut sur place...

 

Le Brummbär avec son obusier de 150 mm était déjà en lice mais l'Etat-Major souhaitait un autre véhicule blindé de soutient d'Infanterie lourd armé d'un canon de 210 mm !

 

Ce dernier n'étant pas disponible on décide en juin 1943 de récupérer un projet destiné à la Kriegsmarine : Une pièce de 380 mm Raketenwerfer 61L/54 destinée à la lutte anti sous-marine !

 

Le canon, nommé RW61, est modifié dans le but d'une utilisation terrestre et le prototype est présenté en octobre 1943.

 

Il est monté dans une casemate soudée sur un châssis de Tigre 1 : Le Sturmtiger est né.

 

 

Le genre d'engin qui a toujours attiré du monde, où qu'il se trouve...

 

 

Les essais sont concluants, l'engin est un monstre !  

 

Approchons nous un peu…

 

La base est donc connue, motorisée par un moteur Maybach HL230 P45 de 650 ch assisté d'une boite mécanique Olvar 0G 401216A du même constructeur donnant 8 vitesses avant et 4 arrières.

 

Sa vitesse est donnée pour 40 km/h sur route et 24 km/h en tout-terrain (chiffres TRES théoriques !)

 

Son autonomie maximum ne dépasse pas 120 km dans les meilleures conditions et tombe même à moins de 80 km sur terrain meuble.

 

La suspension reste la même avec ses barres de torsion.

 

Sa casemate, boulonnée au châssis, est blindée à 150 mm à l'avant et 80 mm en latéral et arrière.

Elle est pratiquement invulnérable aux coups dans son arc frontal.

 

 

L'intérieur.

Assez vaste pour les servants, mais les projectiles prenaient beaucoup de place !

 

 

 

L'équipage est de 5 hommes : Chef d'engin, pilote, tireur et 2 chargeurs.

 

Il emmène officiellement 14 obus : 12 sur 2 racks de chargement, 1 directement dans le canon et un autre sur le rail d'approvisionnement du tube mais les risques réels de chute en cas de dévers ou de bosse trop prononcée faisait que l'équipage en restait prudemment à 13 coups disponibles.

 

 

 

 

 

Pour l'emport des projectiles (345 kg pièce pour 1,42 m de long !) un palan est fixé sur les superstructures et les soulèvent jusqu'à une trappe amovible située sur le toit.

 

 

 

C'est sur qu'ils n'allaient pas les monter sur l'épaule !

 

 

En vérité ces obus n'en sont pas vraiment. 

Le terme de roquettes leur convient beaucoup mieux puisqu'ils sont autopropulsés par une charge au Propergol !

 

 

Juste énormes les pralines ! 

 

 

 

Lors du tir une charge explosive fait sortir le projectile à la vitesse de 45 m/s, puis la charge s'allume et lui permet d'atteindre 250 m/s, vitesse assez faible au demeurant.

 

La portée utile de ce canon à âme rayée fabriqué par Rheinmetall-Borsig est de 5 700 m environ.

 

 

 

Le canon vu de l'intérieur, les rayures sont ici clairement visibles.

 

 

Il existe deux types de projectiles : Explosifs ou à charge creuse capables de percer 2,50 m de béton armé !  

 

Le canon possède une élévation comprise entre 0° (il est obligatoire de se mettre dans cette position pour enfourner l'obus) et +85°.

Le débattement latéral est de 10°.

 

Comme le recul lors du tir est d'environ 40 tonnes et que la culasse ne pourrait pas résister longtemps à une telle force les techniciens ont montés tout un réseau d'évents canalisant les gaz générés lors du tir autour du canon et ressortant à l'extérieur par de petits orifices circulaires.

 

Si le système est ingénieux, il en résultera un gigantesque flash lumineux au départ de chaque coup, rendant le char très repérable et le forçant à changer de place entre 2 tirs afin d'éviter les conséquences d'un tir de contrebatterie.

 

 

Feuer !  

 

 

Un contrepoids sera monté sur certains tubes pour faciliter l'élévation de la pièce.

 

 

Tout autour de la bouche du canon on distingue les trous d'évacuation des gaz vers l'extérieur lors du tir ainsi que le contrepoids fixé à son extrémité.

 

 

 

L'armement secondaire se compose d'une mitrailleuse MG34 sur rotule approvisionnée à 600 coups et d'un lance-grenades de 90 mm NBK 39 doté de 100 projectiles.

 

La longueur de l'engin est de 6,28 m, la largeur de 3,70 m et la hauteur de 2,85 m (3,46 m avec le palan).

 

Un problème et de taille : Le poids !

65 tonnes, c'est 8 de plus qu'un Tigre déjà "réputé" pour être mécaniquement fragile… 

 

Et étant donné que la mécanique n'est pas renforcée il ne faudra pas s'attendre au moindre miracle : Le Sturmtiger ne tiendra jamais la distance... 

 

Mais qu'importe les défauts, les Allemands veulent cet engin qui manqua cruellement pour déloger les soldats Soviétiques embusqués dans les immeubles de Stalingrad, la production est donc lancée.

 

Afin de ne pas gêner une construction d'engins blindés déjà très insuffisante il est décidé chez Alkett de ne produire le Sturmtiger qu'à partir de châssis de chars endommagés au combat et de retour en usine.

 

La production sera donc pour le moins "poussive" et seulement 18 chars seront (re)construits entre août et décembre 1944.

 

 

 

 

 

Deux d'entre-eux sont envoyés à Varsovie durant l'été 44 lors du soulèvement de la capitale Polonaise, ce sera la seule occasion pour le Sturmtiger de "s'exprimer" en fonction de son utilité initiale : La destruction d'ouvrages où s'abrite l'ennemi.

 

Il suffisait d'un seul coup au but pour voir s'effondrer un immeuble de quatre étages, voire souffler tout un pâté de maison !

 

Les chars construits seront regroupés en trois compagnies et envoyées sur le front Ouest à l'automne.

 

Initialement il était prévu d'adjoindre à chaque Sturmtiger un chassis de Tigre modifié en ravitailleur, mais seul un engin sera construit faute de "matière première" (les Tigre de combat de 57 tonnes étaient presque irrécupérables si endommagés sur le terrain du fait de leur poids et de l'absence de véhicules lourds de dépannage en nombre suffisant dans les rangs de la Wehrmacht).

 

Trois Sturmtiger sont expédiés dans les Ardennes lors de l'offensive du Maréchal Von Rundstedt mais, trop lents et trop souvent en panne, ils ne pourront rallier leurs positions à temps.

Ils restent cantonnés près de Düren et seront retrouvés sabordés à proximité de Bonn quelques semaines plus tard.

 

 

Bien que mis en ligne à 18 exemplaires et donc très rares les Sturmtiger capturés, souvent en panne de carburant, seront abondamment photographiés !

 

 

Le reste appartient à l'histoire et n'est plus, dès janvier 1945, qu'une succession de reculs et d'escarmouches à retardement pour l'armée agonisante du 3ème Reich.

 

Un Sturmtiger s'illustrera en détruisant avec un seul projectile trois chars US M4 Sherman et en bloquant toute la colonne pour quelques heures.

 

Il reste aujourd'hui le souvenir de véritables monstres qui, même fabriqués en plus grand nombre, n'auraient pu changer le cours d'une guerre bien trop rapide pour eux.

 

 

C'est sur "qu'il en impose", même de nos jours !

 

 

 

La totale suprématie aérienne des alliés auraient fini par faire taire les plus décidés…

 

Une chimère de plus à mettre au "crédit" des autorités Nazies, avec le Landkreuzer P1000 Ratte et des projets d'avions à réactions techniquement irréalistes à cette époque.

 

Deux Sturmtiger sont encore exposés de nos jours : A Kubinka (RU) et à Münster (D). 

 

 

 

 

 

 

Le Sturmtiger en situation réelle :

 

 

 

 

 

 

 

 

Modifié 1 février 2023 par jensen

[marcellus wallace]

Merci pour cette énième excellente présentation c'est toujours un plaisir a lire ce topic

[hansi68730]

Merci pour cette énième excellente présentation c'est toujours un plaisir a lire ce topic

 

 

L'on ne peut que s'associer à ces remerciements.

Après le Brummbär page 107 et le Sturmtiger ci dessus, comme c'est bientôt Noël j'espère que Tonton nous fera prochainement une présentation d'un de leurs engins encore plus "kolossal" soit:

La série "KARL" du général Becker

Un mortier sur chenilles qui se contentait d'obus de 600!

[flyinngpat]

Quel monstre le Sturmtiger mais arrivé trop tard (heureusement) et trop fragile.

[juluch]

Comme tu dis tonton"une chimère de plus"...........

 

C'est gaspiller du talent, de la main d'oeuvre, des matières premières et beaucoup de fric pour des résultats ridicules et inutiles.

 

Déjà le Tigre lui même, sans ce.........canon monstrueux................,fut un gouffre financier pour des résultats assez moyens malgré que le chars fut pratiquement invulnérable.

 

Entre Dora, les Sturmtigers, brummbars et autres chimères teutonnes mal motorisées (sans parler des projets inaboutis et stupides)............pfff!!

 

N'importe quoi!!

 

Merci Tonton pour cet article aussi bien documenté.

[flyinngpat]

Quelques changements de propriétaires :

 

Un char A 13

 

Un Somua S 35

 

Un Churchill

 

Un Sherman Firefly

 

Un Panther

 

Un Greyhound

 

Un Halftrack

 

Un T 34 et un KV 2

 

Le nombre de photos de T 34 capturés est impressionnante. Beaucoup de tourelles ont été aussi récupérées pour des trains blindés.

[hansi68730]

Bonjour

 

Un autre changement de propriétaire!

Véhicule d'un genre particulier... ( Prikolach )

Devinerez vous l'origine et le type des chenilles?

Vu la longueur du nez le moteur provenait certainement du même engin.

[hansi68730]

A propos de bricolage:

 

Tof prise à Berlin, à la fin des hostilités.

Voyez et jugez du travail!

Devaient être fous fanatiques pour entreprendre un boulot pareil les derniers jours de guerre tout en connaissant la situation!

Mais vu le nombre de douilles au sol...

 

Sturmgeschutz IV