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Le topic des mysteres de notre monde [ index page 1 ]


Invité §ext155eZ
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J'avais lancé un petit topic la dessus...qui a vite tourné court :cyp:

http://forum-auto.caradisiac.com/sqlforum/section7/sujet251791.htm

 

J'en ai lu quelques une, notamment les premières, avec tous les détails scientifiques... C'est quand même super précis et super pointu...

Mais bon, j'ai l'impression que c'est un groupe d'étudiant, plus ou moins surdoués qui se font un bon trip...

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Participants fréquents à ce sujet

J'ai beaucoup de respect pour JP Petit...

 

Mais j'ai du mal pour les "lettres Ummites", en clair des correspondances qui tendraient à prouver que "certaines personnes savent" et prévoient à l'avance ce qui va se passer je crois... :voyons:

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Invité §chr408md

Histoire d'une maison hantée (herault 1952)

 

C'est le gros plan le plus classique du cinéma d'angoisse , une poignée de porte qui tourne dans la faible lueur d'un rayon de lumière.

Qui est derrière la porte ?

Autre plan classique, les yeux d'une femme agrandis par la peur,fixant cette poignée de porte.Si nous étions au cinéma, plusieurs choses pourraient se passer

ensuite. La porte fermée résisterait à la main invisible, par exemple,ou bien, elle s'ouvrirait sur un assassin redoutable, ou bien on verrait surgir Dracula, ou encore une bête immonde venue d'une autre planète, bref, ce serait du cinéma.

 

Mais nous sommes dans la réalité, un soir de janvier 1952. C'est la campagne du Midi de la France,aux environs de Béziers. La lune est bien ronde, bien blanche, la nuit étoilée, il fait un froid relatif, et on distingue les ombres décharnées

des pieds de vigne, qui attendent patiemment le retour de l'été. La maison est isolée, à cinq cents mètres d'un village de trois cents habitants, au milieu de ces vignes.Les yeux de la femme qui fixent toujours la poignée de porte,comme hallucinés, sont ceux d'Anne-Marie V. Elle est en chemise de nuit, un verre d'eau à la main. La porte est celle de la cuisine.A l'étage, elle sait que son mari dort profondément, puisqu'elle vient de le quitter pour aller boire. Et il n'y a personne d'autre.

Personne. Sauf un chien, incapable de faire tourner une poignée de porte.

Ils sont arrivés le matin, pour prendre possession de cette maison héritée d'une cousine qu'ils connaissaient très peu, une vieille fille sans enfant, morte sans testament il y a quelques mois, et dont les biens reviennent donc aux parents les moins éloignés, c'est-à-dire Guy et Anne-Marie, quarante et vingt-huit ans, mariés depuis dix ans, commerçants dans la banlieue parisienne, sans enfant et plutôt ravis d'hériter de cette grande baraque au soleil.Seulement, il est minuit passé, un rayon de lune éclaire la cuisine,Anne-Marie ne trouve pas l'interrupteur, elle a oublié où il se trouve dans cette maison inconnue, et la porte s'ouvre lentement, tout doucement, comme avec précaution.

Alors elle lâche son verre qui éclate sur le sol carrelé de rouge, et elle hurle avec une force incroyable. Elle n'appelle pas son mari, elle ne crie pas « au secours », elle hurle un son bizarre, strident, modulé à l'infini, c'est la voix de la peur la plus animale.Le hurlement d'Anne-Marie a réveillé en sursaut Guy son époux et Caramel le cocker. L'un dégringole précipitamment l'escalier, pieds

nus, le cheveu et l'esprit en bataille, tandis que l'autre aboie consciencieusement sur le palier, avec la prudence d'un chien qui ne connaît pas la situation et hésite à s'en mêler.Dans le couloir sombre, Guy trébuche sur des valises, se prend les pieds dans un porte-parapluie, et guidé par le hurlement continu de sa femme, ouvre brutalement la porte de la cuisine, trouve l'interrupteur et hurle lui aussi :

— Qu'est-ce qu'il y a ?

Rien. De toute évidence il n'y a rien qu'un verre d'eau répandu sur le carrelage en petits morceaux brillants. Anne-Marie est restée la bouche ouverte, cri

arrêté. Elle arrive à faire une phrase :

— C'est... c'est toi qui...

—- Moi qui quoi ?

— C'est toi qui a ouvert cette porte ?

— Evidemment c'est moi ! Tu hurlais ! Qu'est-ce qui se passe ?

— Non mais tout à l'heure, il y a une minute, c'est toi ?

— Mais qui moi ? Qu'est-ce qui te prends à la fin ? Tu deviens

folle? Qu'est-ce que tu as vu? Une araignée? Une souris? Un

serpent ? Un fantôme ?

— Ecoute Guy... Je ne plaisante pas je t'assure, j'étais là, dans le

noir, je me servais à boire au robinet, et j'ai vu la poignée de la porte

tourner, et puis, la porte a bougé, elle a commencé à s'ouvrir...

alors...

—- Alors tu as hurlé comme si tu avais le diable à tes trousses ! Ce

que tu peux être impressionnable...

— Mais je te jure que j'ai vu la poignée tourner, et la porte s'ouvrir

comme s'il y avait quelqu'un derrière !

— Quelqu'un ? Qui ?

— Mais je ne sais pas ! Tu es arrivé, et, Guy ! Il est peut-être

encore dans la maison ! Il s'est sauvé quand j'ai crié !

— Je n'ai rien vu dans le couloir.

— Il s'est caché ailleurs !

— Où ? Il n'y a qu'un passage !

—- Je ne sais pas. Il a dû avoir le temps de monter à l'étage avant

que tu arrives, ou de se cacher dans la salle à manger, au salon, dans la

cave, au grenier ! Je ne sais pas moi... Il y a sûrement quelqu'un ici !

J'ai peur Guy ! Il a peut-être filé par la fenêtre ?

 

A suivre :D

 

 

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Demain si vous êtes sages... :oui:

 

Je vous raconterez l'aventure survenu au dessus de l'Ohio par un équipage d'hélico de l'US Army en octobre 73...

 

Il s'agit très certainement de l'une des histoires les plus probantes de toute l'ufologie! :bien:

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Invité §oli520Zx

Qui a entendu parler du mystere d'otzi? :??:

Un corp vieux de 5300ans retrouvé en Italie,prisonnier des glaces et tres bien conservé,en 1991.

Depuis ces 14 années,6 des membres ayant participé a ce "repechage" sont mort,3 par accident et 3 par maladie dont certaines foudroyantes...

Ca craint,on croirait un film... :L

Ben il est ou le mystère ???????

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Invité §chr408md

Ca fait beaucoup de morts pour une expédition somme toute habituelle...

 

Et puis ce n'est pas 6 mais 9 morts.

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Invité §gui325SN

Histoire d'une maison hantée (herault 1952)

.../...

A suivre :D

Elle est sympa cette histoire, on dirait du Pierre Bellemare :W

Sans blague, poste nous la suite, on veut savoir :oui:

 

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Invité §chr408md

Histoire d'une maison hantée (herault 1952) Partie 2

 

Au fond, Guy ne connaît pas très bien la maison lui non plus et le doute l'envahit :

— Ne bouge pas de là je vais voir.

— Ah non j'ai trop peur ! Je viens avec toi.

— Qu'est-ce que tu fais ?

— Je prends un couteau, on ne sait jamais.

Guy hausse les épaules, mais pas très fier au fond, il attrape lui aussi au passage dans le couloir, ce qui lui tombe sous la main ; un vieux parapluie de campagne, énorme et poussiéreux.

Inutile de raconter leur exploration. Il n'y a rien nulle part, et de la cave au grenier toutes les portes et les fenêtres sont closes, Guy en conclut qu'il s'agit d'un courant d'air. Mais Anne-Marie insiste :

— Y'a pas de courant d'air. Et les courants d'air ne font pas tourner les poignées de porte !

— Alors tu l'avais mal fermée, et la clenche s'est dégagée toute seule.

— En tournant ? Sans bruit ? Sans un claquement ou un grincement ?

— Alors tu as cru la voir tourner. Un jeu d'ombre et de lumière.La fenêtre de la cuisine n'a pas de volets, et la lune éclaire tout,regarde.

— Tu crois ?

— Evidemment que je crois. Qu'est-ce que tu veux que ce soit d'autre ? Un fantôme ? Celui de la cousine ?

— T'es bête !

— Alors tu vois bien. Allez, allons nous coucher. Tu sais, quand on ne connaît pas une maison, on entend des bruits bizarres, on voit des trucs bizarres, c'est tout simplement parce qu'on n'a pas l'habitude d'y vivre, c'est tout.

— Mouais, sûrement, n'empêche que je l'ai bien vue tourner... On aurait vraiment dit...

— N'y pense plus.

Guy et Anne-Marie remontent l'escalier, et sur le palier le chien les regarde, l'œil interrogateur, le poil hérissé, la queue basse, il gronde.

— Eh bien, Caramel, eh bien, le chien... C'est rien!

— Tu vois ! Il gronde. C'est pas normal Guy.

— Oh écoute, arrête ! Le chien a eu peur c'est tout, ne sois pas stupide. Allez tout le monde au lit !

Tout le monde se recouche. Anne-Marie les yeux ouverts, un peu pâle. C'est une jeune femme fragile, mince, d'une grande nervosité.Cette nervosité n'a fait que s'accentuer au fur et à mesure des années,car elle désire un enfant de toutes ses forces, et n'arrive pas à en avoir.Pourtant rien ne s'y oppose d'après les médecins, elle et son mari sont parfaitement capables de procréer. Mystère de la conception, chaque mois qui passe ne leur a apporté que déception. Et si Guy s'est résigné, aidé en cela par son caractère de bon vivant, équilibré et insouciant, qui ne demande pas l'impossible, Anne-Marie elle, se sent coupable, malheureuse. Elle dort mal, fait des cauchemars... La grande main solide de son époux caresse légèrement son visage immobile...

— Allez dors... Je suis là...

Mais il a beau être là, ce qui va se passer maintenant sera plus difficile à expliquer.

Anne-Marie sursaute à nouveau :

— Qu'est-ce que c'est ?

— C'est la pendule qui sonne ! Il est deux heures du matin.

— Guy?

— Quoi encore...

— La pendule, on l'a regardée ensemble cet après-midi, elle ne marchait pas, rappelle-toi.

— Ah oui ? Eh ben on a dû la secouer un peu et elle s'est remise en marche toute seule...

— Mais c'est impossible, elle n'a plus ses poids.

— Et alors ?

— Eh bien, sans poids, elle ne peut pas sonner.

C'est vrai, elle ne peut pas. Et il n'y a qu'une pendule dans la maison, ça, Guy en est sûr. De plus, il se souvient parfaitement à présent qu'elle n'a pas de poids, qu'une aiguille s'est détachée et que le mécanisme est rouillé. Et cette fois il ne peut plus attribuer le phénomène à la nervosité de sa femme, lui aussi a entendu sonner deux coups. Deux, et sa montre-bracelet marque elle aussi deux heures.

— Je vais voir.

— Ne me laisse pas !

— Reste là avec le chien. C'est peut-être une souris qui s'est coincée dans le mécanisme, et tu as horreur des souris. C'est ça, ça doit être une souris ! Je reviens.Guy descend à nouveau au rez-de-chaussée, ouvre la porte du salon, cherche l'interrupteur, le trouve, et recule aussitôt, effrayé et surpris par une explosion. Comme un coup de feu ! Et il se retrouvedans le noir.Le temps de réaliser que l'ampoule du plafond est responsable de l'incident, qu'elle a grillé au moment où il manipulait l'interrupteur,il se passe quelques secondes d'affolement et Anne-Marie se remet à hurler, le chien à gronder, bref la panique à nouveau.Guy a eu peur. Ça surprend, ce genre de choses. Une fois chien et épouse calmés, il s'emploie à recueillir les minuscules débris de verre

éparpillés sur le tapis. Mais comme il travaille à la lueur d'une bougie, il finit par se couper sur le culot déchiqueté de la lampe, qu'il voulait extraire de la douille.Il jure, peste, cherche un chiffon pour empêcher le sang de couler

goutte à goutte sur le tapis,tandis qu'Anne-marie,recroquevillée dans un fauteuil,le chien sur ses genoux,pleure d'énervement.

 

a suivre :D

 

 

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Invité §chr408md

Histoire d'une maison hantée (herault 1952) suite et fin

 

Anne-Marie, recroquevillée, pleure d'énervement.

— Je veux m'en aller, Guy. Il se passe des choses mauvaises ici.

— Ne dis pas de bêtises ! Elle a éclaté c'est tout, et je me suis coupé c'est tout !

— Non. Il y a autre chose j'en suis sûre, je le sens, cette maison ne veut pas de nous.

— D'accord, on verra ça demain matin au grand jour, si tu veux bien. Allons dormir.

— Pas question, je vais dormir dans la voiture.

 

Et Anne-Marie attrape des couvertures et des coussins pêle-mêle,tandis que son époux résigné, la suit. Il ne peut pas faire autrement,elle aurait trop peur toute seule dans la voiture, et il ne fait pas chaud.Les voilà donc installés tous les deux, le chien en plus, les couvertures par-dessus.

Soudain Anne-Marie sursaute :

— La porte d'entrée, elle a claqué ! Tu l'as fermée à clé ?

— Non. J'ai laissé les clés accrochées au mur dans le couloir.

— Elle a claqué !

— Eh bien elle a claqué, j'avais dû mal la tirer.

— Va voir !

— Ecoute Anne-Marie, c'est, de l'enfantillage maintenant.

— Va voir je t'en prie, j'ai senti comme un souffle... J'ai...vraiment senti quelque chose... Je ne sais pas quoi... Je t'en supplie va voir !

— Mais voir quoi ? On la voit d'ici cette porte, elle est fermée, c'est un courant d'air, on a dû oublier de refermer une fenêtre, et puis j'en ai marre !

— S'il te plaît !

Les yeux d'Anne-Marie sont impressionnants, fixes, elle tremble de tous ses membres et répète :

— S'il te plaît.

Alors en maugréant, Guy sort de la voiture, monte les trois marches du perron et veut ouvrir la porte d'entrée.

Elle devrait s'ouvrir puisqu'il ne l'a pas fermée à clé. Or, elle ne s'ouvre pas. Et justement elle est fermée à clé. A la lueur de sa lampe électrique, Guy peut le constater sans aucune équivoque. Or, cette porte ne possède pas une serrure automatique capable de jouer ce genre de tour aux imprudents. Cette porte est une porte ancienne, avec une vieille serrure, dans laquelle il faut, de l'intérieur comme de l'extérieur, introduire une clé pour faire jouer la fermeture. Il faut donc une main d'homme pour mettre la clé dans cette serrure. Et pire, la clé n'est pas dans la serrure pourtant fermée à double tour.Cette fois, Guy croit devenir fou. Quelle explication donner à ce genre d'événement? Un tour de clé passe encore... avec un courant d'air, le poids de la porte, et en admettant que le pêne soit déjà à moitié enclenché. Mais deux tours c'est un peu gros.Anne-Marie a un malaise en apprenant la chose. Et cette fois, Guy lui-même a peur. Il ne sait pas de quoi, logiquement, mais après tout, cette accumulation fait peur. Il remonte dans la voiture,démarre, fonce au village, réveille le propriétaire de l'unique hôtel,lui raconte que leur porte s'est fermée alors qu'ils étaient dehors, et que la clé était restée à l'intérieur, ce qui explique leur tenue bizarre.Bref, ils se réfugient dans une chambre d'hôtel où rien ne bouge, rien n'explose, rien ne se passe, mais où ils ne dorment pas de la nuit.

Le lendemain matin, pâles et désorientés, ils retournent à la maison. L'ancienne maison de la cousine Louise, avec un serrurier.

Et le serrurier éclate de rire :

— Dites! Elle était pas fermée à clé cette porte! Regardez...

— Mais je vous assure ! Enfin, je ne suis pas fou !

— Possible, mais c'est ouvert. Eh ben vous me devez le déplacement, c'est tout. Au revoir messieurs dames !...

— Dites, euh, vous connaissiez l'ancienne propriétaire ?

— La Louise ? Sûr. Comme tout le monde ! Mais elle fréquentait peu le village. Une vieille un peu sauvage hein ? Enfin, ça l'a quand même porté sur ses cent deux ans ! Ça conserve la sauvagerie !

Anne-Marie contemple la maison, les pierres, les tuiles, la treille, et

soudain, elle demande :

—- Vous savez où elle est enterrée ?

— Bien sûr. Le cimetière est derrière, à cent mètres à peine après le virage, juste derrière ce rideau d'arbres. Vous trouverez facilement.Alors comme ça, c'est vous les héritiers ?

— Euh... oui...

— Eh ben tant mieux, c'est une bonne maison, solide, comme on en fait plus. Elle date de plusieurs siècles vous savez... Même le maire dit qu'il faudrait la classer comme monument historique. Paraît qu'elle était déjà là au Moyen Age. Allez, au revoir et bon séjour quand même hein ? Une nuit dehors c'est pas grave.

Le serrurier parti, Anne-Marie pénètre dans la maison avec

prudence, cherche des vêtements, s'habille rapidement et déclare à

son mari :

— Je vais faire un tour...

— Où ça ?

— Sur le chemin, ça me changera les idées.

— Bon, moi je vais réparer les dégâts dans le salon, et acheter du

matériel. A tout à l'heure.

Anne-Marie marche le long de la route qui mène au cimetière.Bientôt, elle pousse la grille un peu rouillée, et avance dans les allées.Le cimetière n'est pas si grand, et elle trouve rapidement ce qu'elle cherchait. Un petit caveau, réservé à la famille V. Une inscription relativement fraîche, indique que Louise V y dort du sommeil éternel "1850-1952, décédée en sa cent deuxième année. Requiescat pace"

II n'y a personne dans le cimetière, à part Anne-Marie. Alors elle s'agenouille sur la pierre et se met à parler : . . , .

— Ecoute Louise. Je ne t'ai pas connue assez pour savoir si tu étais méchante ou gentille. Peut-être que tu ne voulais pas de nous comme héritiers, mais il fallait le dire avant. Maintenant tu es morte. Tu entends? Tu es morte ! Alors tu vas nous laisser en paix ! Voila. Si tu veux quelque chose dis-le ! Si c'est vrai qu'on peut hanter sa maison pour embêter les vivants, fais-la sauter une fois pour toutes. Mais qu'on en finisse. Moi je suis fatiguée, à bout de nerfs, avec mon mari on était content de venir ici, au soleil, loin de Pans et du bruit, et je m'étais dit comme ça, peut-être que là-bas, je pourrai le faire cet

enfant dont je rêve. Toi, tu n'en as jamais eu Louise, ça a du te tourmenter sûrement. Alors tu peux me comprendre. Laisse-nous vivre ici tranquillement et je te promets que si par bonheur j'ai un enfant, et que c'est une fille, elle s'appellera comme toi : Louise. Voilà. Maintenant je vais faire une prière pour le repos de ton âme.Peut-être que tu n'as pas eu de prières de gens qui t'aimaient. C est pour ça que tu es fâchée, sûrement. On aurait dû venir te voir avant d'entrer dans ta maison. « Je vous salue Marie pleine de grâces... »

 

Ridicule ? Enfantin ? Naïf ? Possible. C'est ce qu'a déclare le mari :

— Mon pauvre chou. Tu ne vas tout de même pas croire a ces choses ? Aller parler à une morte ! quelle idée... ^

 

D'accord. Restons objectifs, froids et trouvons des explications a tout y compris à la porte ouverte et fermée. Mais il faut savoir que la maison n'a plus rien dit. Et Anne-Marie a accouché d'une petite fille,dix mois plus tard. Elle l'a prénommée Louise, et il paraît, mais ce genre de chose est toujours subjectif, que Louise, qui a la cinquantaine maintenant, ressemble à sa lointaine cousine, et n'est pas encore mariée.

Coïncidence... Impressionnabilité, enchaînement de hasards, comprenne qui pourra.

 

 

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Invité §Y.5241pq

suite et fin

 

Flute ! Moi qui attendais des murs qui pissent le sang, Guy qui assassine le village entier a coup de hache, Anne-marie qui se transforme en zombie ... etc ... J'suis decu :L

 

:W

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Invité §Y.5241pq

Ca sent le Pierre Bellemiche à plein nez cette histoire, non?

C'est surtout la precision avec laquelle les discours sont contes, ca fait un peu nouvelles d'horreur un peu cheap ;)

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Bon allez! ;)

 

Maintenant que Chris à fini, je bourre ma pipe, j'allume et j'raconte... :buzz:

 

Au-dessus de Mansfield, Ohio, 16 octobre 1973, 22h30

 

Il y a 3 occupants dans le Bell "Huey" (l'hélico de la guerre du Viet-Nam...) de l'US Army qui assure une liaison entre Colombus et Cleveland à basse altitude.

 

Le temps est idéal, il n'y a ni vent, ni nuages pour géner le vol.

Au-dessus de Mansfield, l'équipage aperçoit sur la gauche une lumière rouge arriver sur eux à grande vitesse ("plus de 1000km/h" diront-ils aux enquèteurs).

 

Craignant une collision avec un chasseur de l'USAF, le pilote jette le manche en avant pour piquer et éviter le choc...

 

L'appareil inconnu se place alors au-dessus de l'hélico, passant donc d'une vitesse supersonique à 150km/h en l'espace d'une seconde! :eek:

 

Immédiatement, le Huey est illuminé par une lumière verte intense ; L'équipage en profite alors pour discerner l'engin: D'aspect métallique et discoïdal, il est un peu plus grand que l'hélico, il possède une lumière verte sur l'avant et une rouge à l'arrière en plus du "projecteur" qui les aveuglent.

 

Une poignée de secondes plus tard, tout s'éteint et l'objet remonte à une vitesse prodigieuse!

 

Regardant ses instruments, le pilote n'en revient pas : Son altimètre indique 1150m, alors qu'il indiquait 430m lors de l'arrivée de l'engin et que le manche était en cabré à 20°!

En clair, l'appareil avait grimpé de 720m en l'espace de quelques secondes, c'était purement et simplement IMPOSSIBLE avec ce type d'hélico!!!

 

Aucun des 3 membres de l'équipage n'a ressenti le moindre trouble physique, pourtant monter de presque 1000m en 3 ou 4 secondes dans un appareil non-pressurisé laisse "des traces"...

 

2 radars de surveillance ont confirmés la hausse d'altitude brutale...

 

Une mère de famille qui prenait le frais avec ses 2 fils avant d'aller se coucher a confirmée avoir vu cet hélicoptère "aspiré" par un engin inconnu à une vitesse sidérante!

 

La seule explication "terrestre" à un tel phénomène serait que l'hélico ait été "pompé" par un courant ascendant... Hors ce type de phénomène ne se produit que sous les nuages (il n'y en avait pas) et en zone montagneuse (nous sommes en plaine...)

De plus, les ingénieurs de la firme Bell sont formels: Si l'appareil avait rencontré un courant capable de le propulser 800m plus haut en moins de 4 secondes à l'horizontal, l'hélicoptère aurait été purement et simplement désintégré! :beuh:

 

 

=========> Aucune explication connue à ce jour... Un des cas les plus solides sur l'existence des Ovnis et leurs capacités "hors-normes". :jap:

 

 

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Invité §yoh083cA

Bon allez! ;)

 

blablablablabla...

 

=========> Aucune explication connue à ce jour... Un des cas les plus solides sur l'existence des Ovnis et leurs capacités "hors-normes". :jap:

Tu oublies une autre explication terrestre: la drogue :oui:

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:coucou: les trolls et les moins trolls! :p

 

Voici la retranscription des communications radio survenues entre un Mirage IV des forces aériennes stratégiques et le contrôle-radar de Contrexeville...

 

Celà s'est passé le 7 mars 1977 vers 19h40, au-dessus de la Lorraine.

 

Pilote: Menthol radar de calcaire 341 au cap 040, niveau 320 (32000 pieds, soit 10500m) en direction de Luxeuil.

 

Contrôle: Reçu! Contact radar et IFF sur vous, affichez 3701 pour identification.

 

Pilote: 3701, roger.

 

Contrôle: Menthol, le terrain est OK, piste en service la 12.

 

Pilote: La 12 OK!

 

C: Attention 341, liner (avion de ligne) dans vos 9 heures, 20 nautiques pour un niveau 330...

 

P: 9 heures, j'ai visuel plus haut, affirmatif!

 

40 secondes passent...

 

P: Menthol radar, vous n'avez rien dans mes 3 heures?

 

C: Dans vos 3 heures? J'ai un autre liner à 26 nautiques et 31000 pieds, trafic lent...

 

P: Combien de nautiques?

 

C: 26 pour 31000...

 

P: Ca passe dans mes 4 heures maintenant!

 

C: Dans vos 4 heures? J'ai un autre liner civil qui passe derrière vous à 10 nautiques mais plus bas au niveau 220.

 

P: Non! Ce n'est pas ça! On a quelque chose qui évolue au même niveau que nous, ça brille très fort, ça s'arrête puis ça brille encore!

 

C: Dans votre secteur 4 heures? Négatif je n'ai rien...

 

P: Oui, même niveau, 4 heures, à environ 15 nautiques...

 

C: Ah bon? Je n'ai RIEN qui correspond pourtant!

 

P: Vous en êtes sùr Menthol?

 

C: Affirmatif!

 

P: Maintenant ça passe dans nos 5 heures...

 

C: Ah non alors! Là je n'ai absolument rien du tout calcaire...

 

P: Ca passe dans nos 6 heures et ça se rapproche à une vitesse que j'évalue au moins à mach 1.5!

 

C: 1.5 mach? C'est impossible, nous n'avons entendu aucun BANG à terre!

 

P: Je confirme la vitesse!

 

C: Vous pouvez décrire ce que vous voyez calcaire 341?

 

P: Bennn... Derrière un Mirage IV, on n'y voit pas grand'chose! C'est la première fois que je vois un tel truc...

 

Bon ,j'évolue un moment... Là... Je fais un 360°, ça brille de trop!

 

C: Vous faites un virage par la droite calcaire?

 

P: Affirmatif! Il est derrière nous maintenant, il nous suit toujours... OH! Inimaginable! Il a disparu à une vitesse folle! Je l'évalue à mach 5 ou 6 au moins!

OK, on a perdu notre temps, on rentre!

 

C: Reçu, vous êtes clear pour toutes les manoeuvres 341!

 

P: Roger!

 

Fin de la transcription...

 

 

Malgré l'enquête menée par l'armée de l'air, on cherche encore une explication! :jap:

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Invité §ded738aZ

:coucou: Jensen

Pourquoi le pilote dit il qu'il a perdu son temps? :voyons:

S'il m'arrivait un truc comme ca je n'aurais surement pas l'impression de perdre mon temps. :p

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Invité §Ara618EH

A mon tour j'ai un mystère sous le coude. :fier:

 

Dias D'Avila, Brésil, 13 décembre 1972

 

Heure locale de 17:04, à Dias D'Avila, Bahia, Brésil.

 

Fritz Abbehusen, âgé de 65 ans, homme d'affaires retraité des industries du cigare et notaire public, également agent fédéral des impôts, regardait tranquillement la TV, quand il a noté que l'appareil était perturbé par des interférences.

 

Fritz Abbehusen

 

 

 

Il est sorti sur le porche de sa maison, et a vu un objet lumineux rond "de taille énorme" dans le ciel, qui descendait vers une colline à approximativement 5 kilomètres de sa maison, et s'est arrêté là.

 

Après un moment, très étonné, il est allé chercher des jumelles, et il a ainsi pu voir que la forme lumineuse n'avait pas atterri mais planait à quelques mètres au-dessus de la terre.

 

La partie inférieure apparaissait maintenant comme un objet étrange, différent de n'importe quel avion ou hélicoptère, et brillait comme une lumière de néon. Sur la partie supérieure, il a vu une rangée de ce qui a ressemblé de petits fenêtres ou hublots lumineux de couleur orange-rougeâtre.

 

Fritz Abbehusen a appelé son épouse Margarida Almeida et leur domestique Valdeta Da Lima et tous les trois ont regardé ce spectacle.

 

Soudainement, trois lumières de clignotantes ont émergé de l'objet. Une de ces lumières s'est lentement déplacée dans la direction de la maison des Abbehusen.

 

Après environ 15 minutes, la lumière mobile était arrivée à moins de 50 mètres de leur maison, par l'arrière. Mr. Abbehusen était resté à l'avant de la maison tandis que les femmes étaient sorties par l'arrière. Ce qu'elles ont vu là les a vraiment effrayé: deux petits êtres qui ont semblé avoir la taille d'enfants de 13 ou 14 ans, avec des corps très minces, sont arrivés.

 

Ils ont porté ce qui a semblé être une sorte de costume d'une seule pièce de couleur blanchâtre ou gris clair.

 

Mr. Abbehusen, qui avait rejoint l'arrière de la maison, a vu les êtres et a dit plus tard: "ces êtres ont gardé leurs coudes près du corps en marchant; ils ont marché comme sur la pointe des pieds, levant leurs genoux exagérément à chaque pas."

 

Aucun des témoins n'a pu distinguer leurs visages et ils ne pouvaient pas dire si ils portaient des casques.

 

Les femmes ont été paniquées et se sont réfugiées dans la maison, criant à Mr. Abbehusen de se cacher également, mais les êtres sont partis.

 

L'OVNI est resté sur la colline jusqu'aux alentours de minuit. A un certain moment, il a émis un rayon lumineux qui a mis le feu aux broussailles.

 

La nouvelle de cette étonnante rencontre est parvenue aux oreilles de la presse, et les journaux ont publié l'histoire. Elle a fait grand bruit dans le pays pendant une courte période, parce qu'il était difficile de voir pourquoi les Abbehusen auraient inventé une telle chose, et également parce que chacun avait pu constater qu'à l'endroit supposé de l'atterrissage de l'OVNI, la végétation avait en effet été brûlée. De plus, des traces de brûlures et d'autres traces étranges ont été également été trouvées dans le jardin des Abbehusen, là où la lumière plus petite et les êtres étranges étaient venus.

 

 

:peur:

 

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Merci extremly'! ;)

 

 

Allez, encore une!

 

Argentine, 21 mai 1968.

 

En début de soirée, le Dr Géraldo Vidal et son épouse prennent la route au volant de leur 403 pour se rendre chez un membre de leur famille.

Le trajet, ils le connaisse ... Départ de Chascomus (120km au sud de Buenos Aires) jusqu'à Maipu, à 150km de leur domicile.

 

N'étant pas arrivés en fin de soirée, la famille fit le chemin en sens inverse: Sans succès! Les Vidal et leur voiture demeuraient introuvables...

 

2 jours plus tard, un neveu reçu un coup de télephone en provenance de l'ambassade d'Argentine au Mexique: Géraldo informait sa famille que "tout allait bien" et qu'il était nécessaire de venir le chercher ainsi que son épouse à l'aéroport international de Buenos-Aires le lendemain...

 

Ils y débarquèrent effectivement, mais Mme Vidal sorti de l'avion sur un brancard et dut être hospitalisée pour "troubles nerveux"...

 

Selon le mari, alors que la 403 se frayait un passage sur la route menant à Maipu, ils entrèrent dans un brouillard très dense.

Ils y pénétrèrent et se retrouvèrent en plein jour, la voiture garée sur un chemin, dans un paysage qu'ils ne connaissaient pas! :voyons:

 

Ils avaient mal de partout, la voiture portait des traces de brulures sur la carrosserie...

 

Reprenant la route, ils demandèrent à un agriculteur à quelle distance de Maipu ou de Buenos-Aires ils se trouvaient: Ce dernier éclata de rire, leur conseillant de réviser leur géographie, la capitale de ce pays n'étant pas Buenos-Aires, mais Mexico!

===> Les Vidal se trouvaient au Mexique, à 6400km de leur point d'origine! :eek:

 

Bien que leurs montres étaient arrétées, ils purent constater que 48 heures s'étaient écoulées depuis leur départ...

 

Les milieux officiels Argentins ont déclarés ne pas avoir pris l'affaire au sérieux...

 

Néanmoins, les Vidal n'eurent pas à payer leurs frais d'hôtel et de rapatriement...

Quand à la 403, elle fut envoyée aux USA pour y être examinée... Personne ne la revit. :bah:

 

Les époux Vidal eurent la surprise 2 semaines plus tard de voir un officier Argentin et son ordonnance frapper à leur porte pour leur remettre les clès d'une 404 toute neuve garée devant leur domicile... Assortie d'une recommandation concernant leur "discrétion" dans cette affaire! :jap:

 

C'est un membre de la famille qui révéla l'histoire à un journaliste local en 1972.

D'après les enquèteurs, il était rigoureusement IMPOSSIBLE de parcourir une telle distance en 48 heures en voiture: Il aurait fallu rouler à 135km/h de moyenne sur des routes et (le plus souvent) des pistes complétement défoncées!

 

L'hypothèse du transfert de la voiture par avion cargo ne tient pas: Il n'y avait presque pas de trafic de ce genre en Amérique Latine à cette époque et aucune ligne régulière de fret entre Buenos-Aires et Mexico...

 

 

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Invité §ext155eZ

 

 

Une petite histoire de trésor passionante :oui:

 

Le trésor de L'Ile Aux Chenes

 

A deux pas de la Nouvelle-Ecosse,

une petite île retient l'attention des chasseurs de trésor depuis plus de deux siècles.

 

Quel mystérieux trésor y a-t-on enterré? Et surtout, qui furent les mystérieux constructeurs du réseau de pièges dont plusieurs générations de chasseurs de trésor ne sont pas encore venus à bout?

 

C'est l'Ile mystérieuse. On y cherche un trésor depuis deux siècles. On sait où chercher. Mais après plus de 200 ans de fouilles avec des techniques de plus en plus perfectionnées, plusieurs faillites et quelques morts, on ne sait toujours pas qui a caché quoi sur Oak Island, l'Ile-aux-Chênes.

 

 

C'est la plus bizarre des "îles au trésor" de la planète. D'ordinaire, les chercheurs savent ce qu'ils cherchent: un galion coulé avec telle cargaison.

Tout ce qu'ils ignorent, c'est où chercher. Dans le cas de la petite Ile-aux-Chênes, au large de la Nouvelle-Ecosse, c'est le contraire: on sait où se trouve le "trésor". Mais on n'a pas l'ombre d'une idée de ce qu'il contient. Et surtout, on ignore qui a pu construire le système de pièges le plus ingénieux qu'une île au trésor ait jamais renfermé.

 

http://www.sciencepresse.qc.ca/images/local_map.gif

 

Au début, ça semblait facile: en 1795, Daniel McGinnis, un adolescent habitant sur le continent, qui s'amusait à chasser la perdrix dans cette île inhabitée, aperçoit une poulie de navire pendue à une branche de chêne. Juste au-dessous, il remarque une légère dépression du sol, comme si on avait rebouché un trou. Persuadé qu'il s'agit d'un trésor laissé par les pirates, il court prévenir deux copains.

 

À quelques pieds de profondeur,

ils rencontrent une rangée de dalles (flagstones ); ils l'enlèvent et continuent à creuser. À trois mètres (dix pieds), c'est une deuxième plate-forme, faite de billes de chêne (oak ). Ils l'enlèvent et continuent à creuser.

 

http://www.sciencepresse.qc.ca/images/puits30.gif

 

 

Et ça continue ainsi pendant des jours. A six mètres (20 pieds), nouvelle plate-forme en chêne. À neuf mètres (30 pieds), une autre. Et sous elle, toujours cette terre tassée, avec de l'argile et des roches. Les garçons comprennent que ces plates-formes servent à se partager le poids des tonnes de terre. Sauf que neuf mètres de profondeur, c'est trop pour eux.

 

Ils abandonnent donc, et les choses en restent là pendant près de dix ans. Jusqu'en 1804... ( la suite apres si l'histoire vous interesse :) )

 

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Invité §ext155eZ

 

 

Alors voici la suite :D

 

Le trésor de l'Ile Aux Chenes ( suite )

 

En 1804, un nommé Simeon Lynds entend parler de la découverte des trois jeunes garçons. Il forme une compagnie et apporte sur l'île du matériel de mines.

 

Les ouvriers dépassent sans problème le niveau atteint dix ans plus tôt et, en continuant à creuser, découvrent à leur tour, tous les dix pieds, des plate-formes recouvertes tantôt de couches d'algues, tantôt de charbon... et même de fibres de cocotier!

 

Dans l'esprit des plus rêveurs, l'association cocotiers = Antilles = pirates = trésor, est rapidement faite...

 

http://www.sciencepresse.qc.ca/images/puits100.gif

 

 

À la 9e plate-forme (27 mètres ou 90 pieds), première découverte intéressante: une lourde dalle de pierre marquée, au verso, d'une inscription dans un langage indéchiffrable. Elle est mise de côté, et il faudra longtemps avant que quiconque ne la juge digne d'intérêt...

 

 

Les ouvriers atteignent 33 mètres (110 pieds) et s'arrêtent pour la nuit. Le lendemain matin, surprise: le puits est rempli aux trois quarts d'eau! D'où vient-elle? On ne sait pas. Mais surtout, pourquoi le puits ne s'est-il pas rempli plus tôt? Sur le coup, on n'a pas de réponse. Pendant des semaines, les hommes écopent avec des seaux et des pompes improvisées, sans parvenir à abaisser le niveau d'eau.

 

Au printemps suivant, ils creusent un deuxième puits, dans l'espoir de prendre le trésor par en-dessous. Ils descendent jusqu'à 37 mètres (123 pieds) puis se dirigent vers le puits au trésor. Alors qu'ils l'atteignent, l'eau commence à jaillir avec force. Les ouvriers n'échappent que de justesse à la noyade. Le deuxième puits est lui aussi inondé.

 

Certains s'interrogent: l'eau a, comme par hasard, commencé à jaillir lorsqu'on a enlevé la dalle gravée. Cette dalle aurait-elle agi comme un bouchon? Le puits aurait donc été conçu comme une paille à l'intérieur de laquelle l'eau ne montera pas si on en bouche l'extrémité avec le doigt?

 

L'hypothèse est séduisante. Mais n'apporte aucune solution au problème. La compagnie abandonne. Lynds est ruiné.

 

Les recherches ne reprendront qu'en 1849...

 

 

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