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Youngtimers

Salon de Bruxelles 2016 - Les youngtimers à la fête


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Messages recommandés

:coucou:

 

 

Dans le cadre du 94ème Salon de Bruxelles, qui s'est déroulé au Brussels Expo du 14 au 24 Janvier dernier, une exposition consacrée aux Youngtimers se tenait dans le Hall 2, en partenariat avec le magazine belge Le Moniteur Automobile (AutoGids, pour nos amis flamands) et la radio BelRTL.

 

 

Petites vidéos de l'évènement :

 

 

Le communiqué de presse de l'évènement :

 

Les salons automobiles présentent les voitures d'aujourd'hui, tout en levant le voile sur les technologies et les produits de demain, une autre source de fascination. Mais à l'occasion du prochain Salon Auto et Moto de janvier 2016, l'organisateur FEBIAC prévoit une dimension supplémentaire. Le palais 2 accueillera une grande exposition sur un thème d'actualité : les youngtimers.

 

Les youngtimers sont les modèles de voitures qui ont marqué les années 70, 80 et 90 du siècle dernier. Trop jeunes pour être rangées parmi les oldtimers, elles n'incarnent pas non plus les concepts et les techniques d'aujourd'hui. Les youngtimers intéressent un public très divers : les nostalgiques qui y voient le moyen de revivre leur jeunesse ou de retrouver leur première voiture, mais aussi les amateurs qui souhaitent conduire une « classique » sans trop investir. Une voiture fiable qui ne coûte pas trop cher à l'achat et à l'entretien.

 

Bon nombre de youngtimers sont les témoins vivants de la mode « vintage » qui s'étend aussi à la mode et à la décoration. Sans parler du mouvement disco, dont le pouvoir de séduction ne faiblit pas.

Le Salon 2016 met l'expérience youngtimers à la portée du grand public ! Le Palais 2 abritera plus de 30 représentants de la catégorie. On pourra aussi y voir 9 motos emblématiques de la même période. Et au milieu des véhicules, une piste de patin à roulettes. Impossible de faire plus « seventies » ou « vintage » ! Envie de chausser les patins sous les boules à facettes, sur fond de musique d'époque ? N'hésitez pas. En collaboration avec la Vlaamse Rollerbond, des patins traditionnels et inline seront à votre disposition.

 

Mais ce n'est pas tout : la Fédération belge de Véhicules anciens tiendra une permanence dans le palais. Car-pass (l'association qui lutte contre la fraude au compteur kilométrique) sera également présente. Car-pass diffusera ses spots TV que tout le monde connaît, notamment celui qui représente une youngtimer rouge faisant le tour du monde à l'envers…

 

Au fil des prochaines semaines, grâce notamment aux clichés que m'a transmis @alta86 (Dont vous pouvez retrouver le site ICI ), je vais vous faire plonger au sein de cette exposition.

 

:jap:

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J'ouvre ce topic avec la voiture que je trouve la plus atypique de cette exposition et, aujourd'hui, une véritable rareté (Je n'ai pas souvenir d'en avoir déjà croisé une sur ma route) : la Hyundaï Pony de première génération. L'exemplaire ici présenté a été mis en circulation en 1981. Le design est l’œuvre du studio Ital Design, et on retrouve sous son capot une motorisation 1.4L.

 

Hyundai Pony.jpg

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile.

 

Pony.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile, justement.

 

Première voiture produite en masse par Hyundai, la Pony a permis au constructeur de se développer en Europe. Dessinée en Europe et équipée de moteurs et de transmissions Mitsubishi, elle a fait sa première apparition en Belgique au salon de Bruxelles 1978.

 

La technique

 

Fondé en 1967 en Corée du Sud, Hyundai construit dans un premier temps des Ford Cortina sous licence. Quelques années plus tard, en 1974, les dirigeants de la marque pensent à l’autonomie et décident de construire leur propre voiture. Pour mener leur projet à bien, ceux-ci engagent d’anciens responsables de projet de British Leyland. Le style est quant lui confié aux bons soins du bureau Ital Design. Ce dernier crée une berline qui, curieusement, bien que dotée d’une carrosserie à deux volumes, ne possède pas de hayon. Quant à la mécanique, c’est celle de la Mitsubishi Colt Lancer. Le client a le choix entre deux moteurs: un 1200 de 55 ch et un 1400 de 67 ch. En Frankenstein automobile, la Pony utilise également quelques pièces de Ford Cortina! En 1978, la famille Moorkens perçoit le potentiel de cette marque totalement inconnue en Europe et devient le premier importateur Hyundai en Europe. Au salon de Bruxelles cette année-là, le public belge découvre pour la première fois une automobile coréenne sur un minuscule stand où trônent à peine trois voitures. On est encore loin du succès que la marque connaît aujourd’hui…

 

Le mythe

 

Fort proche esthétiquement de la Morris Marina ou de la FSO Polonez, la Pony n’est pas vraiment un canon. Elle est intéressante parce qu’elle représente la démarche assez maladroite de son jeune constructeur pour conquérir un marché mondial (Afrique, Asie, Europe, Amérique Centrale).

 

La cote

 

Plus difficile à dénicher qu’une Ferrari F40, la Hyundai Pony de première génération a presque entièrement disparu d’Europe, la faute à une corrosion endémique et à son absence d’image! Si vous en trouvez une, ce que vous serez prêt à mettre fera office de cote !

 

Lien vers l'article : http://www.moniteurautomobile. [...] -pony.html

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Honneur à la Belgique pour ce second épisode, avec l'Apal Francorchamps, un véhicule d'outre-Quiévrain sorti en 1984. Avec pour base technique, la Mercedes 190E récemment commercialisée.

 

Apal Francorchamps.jpg

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/40/apal.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile, justement.

 

Commercialiser une voiture de sport n’est pas une sinécure, surtout pour un constructeur belge spécialisé dans la production en petites séries. Avec la Francorchamps, Apal (Application en Polyester Armé Liège) en a fait l’amère expérience en 1984.

 

La technique

 

Basée sur la technique d’une Mercedes 190E (la référence d’alors en matière de berline), la Francorchamps possède un châssis maison en acier auquel s’ajoutent à l’avant et à l’arrière deux bâtis tubulaires. Ceux-ci accueillent les trains roulants complets de la marque à l’étoile. Prélevé lui aussi directement sur la berline teutonne, le moteur s’avère décevant. Si le cahier des charges initial prévoit des blocs costauds (2.3 16 soupapes, V8, etc.), l’Apal reçoit le très fade 2 litres 4 cylindres fort de 122 ch, très loin des velléités sportives du concept initial. Bien plus en avance techniquement, la carrosserie de ce coupé à toit rétractable est fabriquée entièrement en Kevlar. Traité avec soin par l’entreprise liégeoise Carat-Duchatelet, l’habitacle ne peut néanmoins renier son origine roturière avec son tableau de bord directement repris de la 190.

 

Le mythe

 

Avec son style tarabiscoté (pourquoi donc lui donner tant de phares?) qui fleure bon les eighties, l’Apal Francorchamps ressemble plus à une voiture « tunée » qu’à une sportive de prestige. Cependant, on ne peut qu’être fasciné par cette tentative avortée (deux exemplaires de présérie ont été construits, dont un seul homologué pour un usage routier) et désespérée de répondre à la très sérieuse Porsche 944, maître achat de la catégorie à l’époque. Une version moderne et noir-jaune-rouge de « David contre Goliath », en quelque sorte.

 

La cote

 

Étantdonné sa rareté, l’Apal Francorchamps n’a pas vraiment de prix. Devenir son propriétaire tient plus de la sauvegarde d’un patrimoine national au nom prestigieux que d’un intérêt pour ses qualités intrinsèques.

 

Lien vers l'article : http://www.moniteurautomobile. [...] hamps.html

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Un modèle qui va plaire à @§Yar380xl, la Toyota MR, dont l'exemplaire ici présenté date de 1988.

 

Toyota MR - 1988.jpg

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/90/Toyota-MR-02.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile, justement.

 

Première voiture japonaise de série à moteur central, la Toyota MR2 a marqué son époque par son rapport prix/prestations imbattable et sa ligne suggestive et futuriste de style « Manga ».

 

La technique

 

Lancée en 1984, la Toyota MR2 (Mid Engined Runabout) fait d’emblée sensation avec sa ligne angulaire « wedge » très en vogue à cette époque. Proposée en deux carrosseries (Coupé et targa T-bar à partir de 1986), cette japonaise révolutionne le marché des petites sportives: d’une part elle est la première japonaise à moteur central de série, d’autre part, elle offre un excellent rapport prix/prestations. Avec la MR2, le client en a pour son argent! Outre une plastique suggestive soulignée la plupart du temps par une peinture rouge qui n’est pas sans rappeler une certaine marque italienne dont les voitures partagent également les phares rétractables, la Toyota flatte ses passagers dans un habitacle résolument sportif.

 

Assis très bas dans des sièges enveloppants, ceux-ci font face à une planche de bord dont l’instrumentation est volontairement consacrée à son conducteur. Ce dernier est particulièrement choyé, avec un minuscule levier de vitesse placé en hauteur, un volant tulipé à 3 branches et un compte-tours dans la ligne de mire. Pour faire « vroum-vroum », un 1600 « double arbre » vu précédemment dans la Corolla Sport se cache derrière les sièges. D’une puissance de 122 ch, celui-ci suffit amplement pour emmener avec fougue les 1.050 kg de l’engin.

 

Ne rechignant pas à monter dans les tours, il joue également la carte de la séduction avec sa sonorité rauque, suggestive à souhait. Profitant de masses bien équilibrées, la MR2 fait merveille sur les routes sinueuses, où elle se révèle amusante sans jamais être dangereuse. Dommage que la version à compresseur (145 ch à 6500 tr/min), destinée au marché américain, n’ait jamais été commercialisée en Europe.

 

Le mythe

 

Abordable et sans prétention, la MR2 est la compagne idéale pour qui aime la conduite et les sensations « rétro ». Malheureusement, sa corrosion endémique a souvent eu raison d’elle en dépit de sa légendaire fiabilité.

 

La cote

 

Plutôt stable ces dernières années, la cote de la MR2 MkI s’établit entre 3.000 et 8.000 €.

 

Lien vers l'article : http://www.moniteurautomobile. [...] 2-mk1.html

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Invité §Yar380xl

Chouette, le voilà le topic :) C'est vrai qu'elle est belle cette MR, et vivement la MX-5 ! Et c'est chouette de revoir l'Apal, une des légendes belges :p

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Sortie tout droit d'une spéciale de rallye, c'est la Ford Escort RS Cosworth, en 1992.

 

Ford Escort Cosworth - 1992.jpg

 

Ford Escort Cosworth bis - 1992.jpg

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/40/cosworth.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile, justement.

 

Une voiture de M. Tout-le-monde avec des performances ahurissantes et un look à tomber par terre, voilà la recette de la Ford Escort RS Cosworth. Bête de rallye adaptée à la route, elle a tout inventé avant les Subaru Impreza STI ou Mitsubishi Lancer Evolution.

 

La technique

 

Prenez une Ford Escort 3 portes. Jetez tout ce qu’il y a dedans. Elargissez-la et modifiez-la de façon à y adapter une transmission à 4 roues motrices. D’une mécanique sans intérêt positionnée en position transversale, passez à un bloc directement hérité de votre longue expérience en rallye que vous placez longitudinalement. Ajoutez à l’ensemble une batterie de spoilers proéminents, des extensions d’ailes, des prises d’air et des grosses jantes et vous obtenez une Ford RS Cosworth! Violente à souhait, la Cossie (surnom affectueux donné par les aficionados de la lignée) est motorisée par un 4 cylindres 2 litres gavé par un turbo Garrett T35 et fort de 220 ch. Redoutable d’efficacité sur les routes sinueuses, cette Escort s’impose dès son lancement comme la référence du moment. Très pointue en raison du caractère explosif de son moteur, qui ne délivre la puissance qu’au-dessus de 4000 tr/min, la RS évolue en 1994 pour recevoir un turbo plus petit qui lui fait gagner 7 ch et plus d’homogénéité en utilisation routière. Cependant, la première version, dont fait partie la voiture exposée a les faveurs de certains passionnés qui la trouvent plus authentique en raison de sa brutalité.

 

Le mythe

 

En seulement 4 ans de commercialisation (de 1992 à 1996), l’Escort RS Cosworth a marqué grandement les passionnés par son cocktail prix/prestations détonnant. En rallye, sa carrière ne s’est jamais réellement terminée. Elle est passée des rallyes internationaux aux épreuves nationales pour finir dans les événements historiques!

 

La cote

 

Extrêmement recherchée, une RS se trouve à partir de 20.000 €. A ce prix, vous trouverez un véhicule kilométré qui a vécu. Comptez jusqu’à 40.000 € pour un exemplaire en parfait état qui vous rappellera les bonnes vieilles années 90.

 

Lien vers l'article : http://www.moniteurautomobile. [...] h-t35.html

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Invité §alt607uT

Cette Escort est juste magnifique !!

 

 

Oui c'est vrai ! Je ne l'avais encore jamais vue de cette couleur :-)

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Aujourd'hui, le modèle qui tiendra l'affiche sera la Volvo 340. L'exemplaire présenté dans le Hall II n'était pas inconnu de tous...

 

Volvo 340.jpg

 

... puisqu'il s'agit de la Volvo qui a mené campagne pour CarPass. La fameuse voiture qui parcourt le monde en marche arrière!

 

Voici quelques spots de publicités, dans lesquels elle est apparu ces dernières années.

 

 

 

 

 

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/700/10/volvo-343.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile, justement.

 

Imaginée par Daf, motorisée par Renault et construite par Volvo, la 343 est la première compacte de la marque. Polyvalente et bien construite, elle a connu une carrière longue de 16 ans.

 

La technique

 

L’histoire de la série 300 commence aux Pays-Bas. Depuis 1958, la société DAF (Van Doorne AangangwagenFabriek), jusqu’alors spécialisée dans la construction de poids lourds, se met à construire de petites voitures de ville. Leur particularité est qu’elles se passent de boîte de vitesses, puisqu’elles sont équipées d’une transmission à variation continue appelée Variomatic.

 

Révolutionnaire à l’époque, le système remporte un certain succès commercial auprès d’une clientèle qui a du mal à conduire un véhicule traditionnel. Pourtant, désireuse de se concentrer à nouveau sur l’activité poids lourds, la direction de la marque néerlandaise décide de vendre son activité auto à Volvo en 1975. Alors en production, la Daf 66 devient naturellement Volvo 66 et se pare d’une calandre qui rappelle les autres modèles de la marque. En même temps, la firme de Göteborg reprend le projet néerlandais d’une berline à hayon, la 77, équipée du vénérable moteur Renault « Cléon Fonte » 1400! Ce fructueux partenariat avec le constructeur français a débuté quelques années auparavant et s’est traduit pour une hausse significative des performances des Daf.

 

Volvo décide de puiser encore dans la banque de mécaniques françaises en y a ajoutant un 1.7 ainsi qu’un 1.6 Diesel. Seul le 2.0 à essence est un pur produit suédois. Plus compacte que ses produits habituels, la série 300 fait accéder la marque au segment des berlines compactes. Pour faire passer la pilule d’un dessin plutôt raté, Volvo équipe la série 300 d’un habitacle austère, mais dont la qualité est conforme aux normes maison. Vendue en 3 portes (343), 5 portes (345) et en variante tricorps « luxueuse » 3 volumes à 4 portes (360), la suédoise, dont la gamme a été par la suite renommée 340/360, s’efface en 1991, un an après la 66.

 

Le mythe

 

Particulièrement dénuée de charme, la Volvo série 300 a séduit une clientèle qui cherchait avant tout un véhicule compact et robuste. Aujourd’hui, son image quelque peu ringarde peut faire sourire et son prix très bas en fait un ancêtre accessible.

 

La cote

 

Avec elle, pas besoin de vous saigner aux quatre veines! Un budget de 500 à 1.500 € suffit pour se faire plaisir. Foncez !

 

http://www.moniteurautomobile. [...] 6K2Yc.dpuf

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Ce soir, c'est a tour d'une française de passer sur le grille : la Renault 5 Turbo.

 

Renault 5 Turbo - 1981.jpg

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/90/Renault-R5-turbo.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile, justement.

 

Méconnaissable sous sa robe agressive, la Renault 5 se mue en bête de course dans sa très exubérante version Turbo. Une sportive sans concession imaginée et créée par des passionnés de sport automobile.

 

La technique

 

Apparue en 1972, la Renault 5 apporte un vent de fraîcheur dans le segment des citadines. Sa simplicité, son confort et son style atypique en font un véhicule de ville apprécié. Un jour, pourtant, l’idée d’en extrapoler une version sportive pour promouvoir le modèle germe dans la tête de deux responsables de projet. Ceux-ci imaginent une R5 rapide grâce à l’utilisation du turbo, technologie en plein essor à cette époque, aguicheuse et bon marché. Curieusement, séduite par l’idée, la direction de Renault approuve le projet et ses bases sont alors jetées. Il est décidé de placer le moteur en position centrale de la caisse afin de concevoir une sportive de route pouvant être facilement préparée. Après la réalisation de quelques prototypes, la Renault 5 Turbo est finalement présentée au salon de Bruxelles en 1980. La voiture fait sensation avec sa plastique étonnante et ses performances de premier ordre.

 

Son habitacle, par exemple, est dessiné par Bertone, qui lui confère un aspect « psychédélique ». Au début, un contingent de 200 exemplaires seulement est prévu pour l’homologation en groupe B. Très vite, la Renault 5 Turbo rencontre tant de succès que la production est poursuivie et les délais de livraison s’allongent. Pour maintenir son poids sous la tonne, les ingénieurs sélectionnent des matériaux légers tels que le polyester (ailes, capot) et l’aluminium pour les ouvrants. Les caisses « lambda » sont envoyées chez le carrossier Heuliez pour être profondément modifiées afin de recevoir un moteur derrière les sièges avant. Emprunté à la R5 Alpine, celui-ci a également été revu en profondeur (pièces mobiles, notamment) pour encaisser le surcroît de puissance dû à l’utilisation du turbo. Le petit 1.4 donne 160 ch, de quoi propulser les 970 kg de la voiture dans la stratosphère! La R5 Turbo est remplacée en 1982 par une version moins chère à produire, la Turbo 2. Au total, près de 5.000 exemplaires sont construits en 6 ans.

 

Le mythe

 

Près de 36 ans après son lancement, le charme de la scandaleuse R5 Turbo agit toujours. Sa légende s’est construite sur les petites routes sinueuses d’Europe ainsi qu’en rallye, où son palmarès prouve qu’elle n’était pas là que pour épater la galerie.

 

La cote

 

Ceux qui en ont acheté une il y a quelques années ont fait une affaire: sa valeur a évolué de façon spectaculaire, pour atteindre de 40.000 à 90.000 € aujourd’hui!

 

http://www.moniteurautomobile. [...] turbo.html

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:hello:

 

Ce soir, c'est a tour d'une française de passer sur le grille : la Renault 5 Turbo.

 

Renault 5 Turbo - 1981.jpg

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/90/Renault-R5-turbo.jpg

 

 

:love: Trop belle ! Sinon, une question : comment fais-tu pour faire de si belles photos ? Merci d'avance.

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:love: Trop belle ! Sinon, une question : comment fais-tu pour faire de si belles photos ? Merci d'avance.

 

Pour les clichés pris dans le cadre du Salon de Bruxelles, ils ne sont pas de moi : comme je le disais dans le premier message, ceux-ci sont l'oeuvre d' @alta86. ;)

 

En raison des faits qui se sont déroulés en novembre à Paris, et la proximité de Molembeek des allées du Salon, j'avais pris la décision de ne pas m'y rendre cette année. :jap:

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:love: Trop belle ! Sinon, une question : comment fais-tu pour faire de si belles photos ? Merci d'avance.

 

Pour les clichés pris dans le cadre du Salon de Bruxelles, ils ne sont pas de moi : comme je le disais dans le premier message, ceux-ci sont l'oeuvre d' @alta86. ;)

 

En raison des faits qui se sont déroulés en novembre à Paris, et la proximité de Molembeek des allées du Salon, j'avais pris la décision de ne pas m'y rendre cette année. :jap:

 

 

Ah ? J'avais pas vu. Sinon, effectivement, si tu veux pas croiser MATT-68, je veux dire Jawad :cyp: il fallait mieux s'abstenir. Après, je ne connais pas la protection du site, mais si c'était comme à Rétromobile, c'est très bien protégé (il faudra que j'ouvre mon deuxième topic tiens).

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L'une des figures de proue du phénomène Youngtimers, je parle bien entendu de la Volkswagen Golf I GTi, qui fête cette année son quarantième anniversaire! :bien:

 

VW Golf GTi - 1978.jpg

 

La photo d'époque, du Moniteur Automobile, qui présente un exemplaire Pirelli de 1983.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/700/0/vw-golf-GTI-MK1.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Objet de culte des collectionneurs depuis des années, la Volkswagen Golf I GTI a beaucoup d’arguments pour plaire. Mignonne, polyvalente, efficace et bien construite, l’allemande s’arrache désormais à prix d’or.

 

La technique

 

Destinée à remplacer la vénérable Coccinelle, la Volkswagen Golf apparaît en 1974. Très moderne par rapport à sa devancière, celle-ci inaugure une ère nouvelle pour la marque. Dès sa genèse, certains ingénieurs de la maison pensent déjà à une version « sport ». En quelques mois, ces derniers mettent au point la future GTI en mettant particulièrement l’accent sur le châssis. Le 1600 à injection mécanique est quant à lui élaboré en partenariat avec Audi.

 

Présentée au public lors du salon de Francfort 1975, la Golf GTI fait sensation. Outre ses performances accessibles à un prix modeste, elle soigne ses passagers avec un intérieur tendu de tissus à carreaux rouges et arbore une calandre soulignée d’un liseré rouge, des élargisseurs de bas de caisse, un spoiler avant de plus grande taille et un encadrement de pare-brise noir mat. La commercialisation de la GTI est vite un succès. La première année, VW en vend 10 fois plus que le nombre initial prévu! Au fil des ans, la GTI évolue.

 

Elle reçoit une boîte à 5 rapports en 1980; 2 ans plus tard, elle passe au 1800 fort de 112 ch, qui lui donne plus de progressivité, plus de facilité d’utilisation au quotidien. Toujours aussi efficace, elle est également commercialisée en 5 portes, plus familiale. Le phénomène GTI est alors à son apogée. La Golf I s’efface en 1984 au profit de la Golf II, qui poursuivra sa carrière sportive avec la même mécanique.

 

Le mythe

 

Voiture des bons comme des mauvais garçons, la Golf GTI est universelle et cultissime. Comme toutes les voitures mythiques, elle peut décevoir aujourd’hui, car ses performances sont celles d’un autre âge. Il faut plutôt la voir comme une machine à remonter le temps.

 

La cote

 

En hausse constante, les prix des Golf I GTI sont très élevés. Il vous faudra débourser de 5.000 € pour une base de restauration à plus de 11.000 € pour un véhicule en état « concours ». Cette inflation ne devrait pas s’arrêter avec l’engouement croissant des jeunes collectionneurs pour les Volkswagen anciennes.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] i-mk1.html

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On reste dans le groupe Volkswagen, avec la Skoda Felicia Fun, un pick-up apparu au cours de l'année 97.

 

Skoda Felicia Pick-Up - 1999.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/700/0/SKODA-Felicia-pick-up.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Dans les années 90, Škoda a maladroitement transformé son austère pick-up Felicia en voiture de loisirs. Avec sa teinte jaune poussin et sa banquette repliable montée dans la benne, la Fun a été un échec commercial, mais elle a marqué les esprits.

 

La technique

 

Entré dans le giron du groupe Volkswagen en 1990 et racheté par celui-ci 3 ans plus tard, Škoda traine derrière lui une image austère due à son passé de constructeur de voitures dans une république communiste. En 1995, la médiocre berline Favorit est revue de fond en comble et se mue en Felicia, bien plus convaincante. Celle-ci reprend les variantes de carrosserie de sa devancière: berline, break et pick up. Avant tout destiné aux petits indépendants, ce dernier se veut simple et bon marché. En mal d’image en Europe, Škoda présente à la stupéfaction générale la Felicia Pick Up Fun en 1997.

 

Présenté sous la forme d’un véhicule voué aux loisirs, l’utilitaire est transfiguré par une peinture jaune orangée criarde et un kit de carrosserie complet (boucliers, élargisseurs d’ailes, etc.) qui semble tout droit sorti du premier magasin de tuning venu. Détail amusant: une banquette escamotable montée dans la benne permet à deux passagers de prendre place à l’extérieur et dans le vent. Pour pénétrer dans l’habitacle, il faut avoir le cœur bien accroché, car les sièges sont partiellement recouverts de jaune, de même que le volant et les fonds de compteurs.

 

Sous le capot de la Fun, on retrouve un 1.6 d’origine Volkswagen déjà vu notamment dans la Polo 6N. Fort de 75 ch, celui-ci emmène le pick-up sans panache; heureusement, vu sa tendance naturelle au roulis et sa rigidité sommaire. Avec son look atypique, la Felicia Fun connaîtra une carrière anecdotique: en 2 ans de commercialisation, à peine 3.832 exemplaires seront fabriqués.

 

Le mythe

 

Tellement exubérante et peu utilisable qu’elle fait toujours sourire près de 20 ans après sa commercialisation, la Škoda Felicia Fun est un collector depuis sa sortie. Moins élégante qu’une Mini Moke ou qu’une Citroën Mehari, la Fun est néanmoins beaucoup plus rare et moins chère que les reines de la plage. Et puis, on ne passe pas inaperçu à son volant!

 

La cote

 

Bien que rare, le pick-up Fun n’est pas cher: entre 1.500 et 3.000 € vous suffiront pour en trouver un en bon état. Trop récent pour être vu dans des manifestations de voitures anciennes, il a néanmoins des chances de connaître plus de succès dans les années à venir.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] p-fun.html

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Invité §Yar380xl

On reste dans le groupe Volkswagen, avec la Skoda Felicia Fun, un pick-up apparu au cours de l'année 97.

 

Skoda Felicia Pick-Up - 1999.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobi [...] ick-up.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Dans les années 90, Škoda a maladroitement transformé son austère pick-up Felicia en voiture de loisirs. Avec sa teinte jaune poussin et sa banquette repliable montée dans la benne, la Fun a été un échec commercial, mais elle a marqué les esprits.

 

La technique

 

Entré dans le giron du groupe Volkswagen en 1990 et racheté par celui-ci 3 ans plus tard, Škoda traine derrière lui une image austère due à son passé de constructeur de voitures dans une république communiste. En 1995, la médiocre berline Favorit est revue de fond en comble et se mue en Felicia, bien plus convaincante. Celle-ci reprend les variantes de carrosserie de sa devancière: berline, break et pick up. Avant tout destiné aux petits indépendants, ce dernier se veut simple et bon marché. En mal d’image en Europe, Škoda présente à la stupéfaction générale la Felicia Pick Up Fun en 1997.

 

Présenté sous la forme d’un véhicule voué aux loisirs, l’utilitaire est transfiguré par une peinture jaune orangée criarde et un kit de carrosserie complet (boucliers, élargisseurs d’ailes, etc.) qui semble tout droit sorti du premier magasin de tuning venu. Détail amusant: une banquette escamotable montée dans la benne permet à deux passagers de prendre place à l’extérieur et dans le vent. Pour pénétrer dans l’habitacle, il faut avoir le cœur bien accroché, car les sièges sont partiellement recouverts de jaune, de même que le volant et les fonds de compteurs.

 

Sous le capot de la Fun, on retrouve un 1.6 d’origine Volkswagen déjà vu notamment dans la Polo 6N. Fort de 75 ch, celui-ci emmène le pick-up sans panache; heureusement, vu sa tendance naturelle au roulis et sa rigidité sommaire. Avec son look atypique, la Felicia Fun connaîtra une carrière anecdotique: en 2 ans de commercialisation, à peine 3.832 exemplaires seront fabriqués.

 

Le mythe

 

Tellement exubérante et peu utilisable qu’elle fait toujours sourire près de 20 ans après sa commercialisation, la Škoda Felicia Fun est un collector depuis sa sortie. Moins élégante qu’une Mini Moke ou qu’une Citroën Mehari, la Fun est néanmoins beaucoup plus rare et moins chère que les reines de la plage. Et puis, on ne passe pas inaperçu à son volant!

 

La cote

 

Bien que rare, le pick-up Fun n’est pas cher: entre 1.500 et 3.000 € vous suffiront pour en trouver un en bon état. Trop récent pour être vu dans des manifestations de voitures anciennes, il a néanmoins des chances de connaître plus de succès dans les années à venir.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] p-fun.html

Un garage Skoda près de chez moi (qui fait Kia aujourd'hui) en avait un, je le trouvait vraiment sympa ce petit pick-up :) D'ailleurs, en voyant l'autocollant Skoda sur l'aile arrière, je me dis que si ça tombe c'est peut-être celui-là...

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Le Tract'Opel de l'exposition, c'était une Kadett C, qui jouait les Orange Mécaniques.

 

Opel Kadett C - 1976.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/700/10/Opel-Kadett-C.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Devenue culte grâce à ses innombrables succès en rallye dans sa version GT/E, l’Opel Kadett C est l’essence même de la berline populaire et polyvalente du milieu des années 70.

 

La technique

 

Lancée en 1973, l’Opel Kadett C est en rupture avec sa lignée. Alors que les précédents modèles étaient désespérément ultraclassiques et sans relief, elle arrive sur le marché avec une ligne intéressante et moderne. Très fine visuellement, la Kadett est terminée par un arrière en pointe qui lui donne un certain dynamisme. C’est aussi la première fois que la maison mère General Motors imagine une voiture « mondiale » destinée à être proposée en de nombreuses versions, que ce soit de carrosseries ou de mécaniques, sur divers marchés et dans plusieurs marques (Opel, Vauxhall et Isuzu). Pour mener à bien ce projet ambitieux, le programme prévoit une « base » commune qui utilise des éléments de tôlerie interchangeables et des moteurs communs dont la fiabilité est éprouvée. Pour réduire les coûts, le constructeur prévoit des productions locales disséminées partout dans le monde. Dans le cas de l’Opel, celle-ci est construite dans les usines de Bochum et d’Anvers en de nombreuses robes: la Sedan en 2 ou 4 portes, le Coupé, qui se distingue par ses grilles d’aération placées derrières les vitres arrière, le break Caravan et la City à hayon.

 

Notez qu’un semi-cabriolet Aero a vu également le jour en 1976; son prix de vente dissuasif lui a interdit le succès. Seuls des 4 cylindres prennent place dans la Kadett: un 1.0 de 40 ch, un 1.2 de 52, 55 ou 60 ch et un 1.6 de 75 ch. Pour les sportifs, la GT/E arrive au milieu des années 70 pour concurrencer la VW Golf GTI. Basée sur le coupé, elle est mue par un 1.9 à injection de 105 ch (plus tard, elle adoptera un 2.0 pour passer à 110 ch, puis culminer à 115 ch). Formidable base de voiture de rallye à cause de son poids plume de 790 kg, la GT/E est très vite adoptée en compétition, où ses nombreux succès forgeront sa légende.

 

Le mythe

 

La Kadett C est une sorte de couteau suisse de l’automobile. Des versions populaires à l’efficace GT/E, elle propose de multiples tempéraments tout en restant abordable. Simple et fiable, elle est désormais prisée en collection.

 

La cote

 

Le prix d’une Kadett C varie beaucoup en fonction de sa version. Si l’on exclut les GT/E à la valeur sans cesse montante (de 10.000 à 25.000 €), il est possible de trouver son bonheur entre 2.000 et 5.000 €.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] ett-c.html

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La Subaru SVX, un coupé des années 90 inconnu de beaucoup de personnes. :p

 

Subaru SVX.jpg

 

Subaru SVX - 1994.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/60/subaru-svx.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Les apparences sont parfois trompeuses. Ni vraiment sportive ni luxeuse, la Subaru SVX est un oiseau rare à la ligne particulière. Son moteur boxer et sa transmission intégrale en font une curiosité au milieu d’une concurrence bien plus traditionaliste.

 

La technique

 

Dessinée par Giorgetto Giugiaro, qui officiait en ce temps-là pour Ital Design, la SVX se démarque à sa sortie en 1991 de ses concurrentes par son esthétique digne d’un OVNI avec une importante surface vitrée qui se termine de façon originale sur la malle arrière. Presque directement issue d’un concept car présenté au salon de Tokyo en 1989, la SVX ne ressemble à nulle autre! Sa technique est également particulière, avec l’adoption d’un 6 cylindres à plat 24 soupapes de 3,3 litres délivrant 230 ch. Doté d’un centre de gravité plus bas que celui d’un moteur traditionnel, ce boxer est accouplé à une boîte de vitesses automatique à 4 rapports. C’est malheureusement là que le bât blesse: cette transmission réduit fortement les performances et la japonaise fait beaucoup moins bien que les rivales allemandes de l’époque. Pourtant, le tableau n’est pas entièrement sombre: la voiture se révèle particulièrement douce à conduire et sa transmission 4x4 la rend très sécurisante.

 

Le mythe

 

Particulièrement discrète sur le marché à cause de sa ligne hors du commun et d’un prix de vente trop élevé, la SVX permet aujourd’hui à son propriétaire de rouler « différent ». Confortable et bien équipée, la Subaru est une voiture de passionnés avertis.

 

La cote

 

Si vous en trouvez une, vous devrez la payer entre 3.000 et 7.500 €.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] u-svx.html

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Invité §Yar380xl

La Subaru SVX, un coupé des années 90 inconnu de beaucoup de personnes. :p

 

Subaru SVX.jpg

 

Subaru SVX - 1994.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobi [...] ru-svx.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Les apparences sont parfois trompeuses. Ni vraiment sportive ni luxeuse, la Subaru SVX est un oiseau rare à la ligne particulière. Son moteur boxer et sa transmission intégrale en font une curiosité au milieu d’une concurrence bien plus traditionaliste.

 

La technique

 

Dessinée par Giorgetto Giugiaro, qui officiait en ce temps-là pour Ital Design, la SVX se démarque à sa sortie en 1991 de ses concurrentes par son esthétique digne d’un OVNI avec une importante surface vitrée qui se termine de façon originale sur la malle arrière. Presque directement issue d’un concept car présenté au salon de Tokyo en 1989, la SVX ne ressemble à nulle autre! Sa technique est également particulière, avec l’adoption d’un 6 cylindres à plat 24 soupapes de 3,3 litres délivrant 230 ch. Doté d’un centre de gravité plus bas que celui d’un moteur traditionnel, ce boxer est accouplé à une boîte de vitesses automatique à 4 rapports. C’est malheureusement là que le bât blesse: cette transmission réduit fortement les performances et la japonaise fait beaucoup moins bien que les rivales allemandes de l’époque. Pourtant, le tableau n’est pas entièrement sombre: la voiture se révèle particulièrement douce à conduire et sa transmission 4x4 la rend très sécurisante.

 

Le mythe

 

Particulièrement discrète sur le marché à cause de sa ligne hors du commun et d’un prix de vente trop élevé, la SVX permet aujourd’hui à son propriétaire de rouler « différent ». Confortable et bien équipée, la Subaru est une voiture de passionnés avertis.

 

La cote

 

Si vous en trouvez une, vous devrez la payer entre 3.000 et 7.500 €.

 

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Rares ces Subaru !! Et pas super belles je trouve :D

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Dans le genre "Japonaise rare", j'ai aussi cette Suzuki Swift GTi. Je n'ai pas le souvenir d'en avoir croisé une ces dix dernières années, au minimum.

 

Suzuki Swift GSi - 1986.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/700/10/swift-gti.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Beaucoup moins connue du grand public que les Golf ou 205 GTI, la Suzuki Swift GTi vaut néanmoins le détour. Son moteur twin-cam explosif et son look de bombinette en font un futur collector.

 

La technique

 

Aussi ennuyeuse qu’une saison complète de l’Inspecteur Derrick, la Suzuki Swift n’est pas au premier abord une voiture culte. Produite notamment en Inde, elle a été conçue pour être avant tout économique et fiable. Ces qualités sont d’ailleurs unanimement reconnues à l’époque par une clientèle essentiellement âgée ou féminine. On ne sait pas quelle mouche a piqué la direction de la marque en 1989 pour que Suzuki lance une version GTi de sa compacte. Pour enfin donner envie au public de l’acheter, les designers de la maison ont transformé la citrouille en carrosse en lui ajoutant des boucliers proéminents spécifiques et des jupes latérales qui lui élargissent les voies. Avec 4 petites jantes alu en plus, le tour était joué! Mais plus intéressante est encore la mécanique.

 

Le petit moteur 1000 de 53 ch est jeté aux orties pour laisser place à un 1300 à 2 arbres à cames tout en aluminium de 101 ch. Avec son poids plume de 810 kg, la Swift se mue en petite boule de nerfs, abattant le 0 à 100 km/h en un peu plus de 9 s et pointant à plus de 180 km/h. Plus amusante à conduire que réellement efficace, la japonaise bénéficie d’une boîte de vitesses à 5 rapports rapprochés qui donne envie de jouer du levier. Pour freiner l’engin, 4 disques viennent compléter l’ensemble. L’habitacle a lui aussi été revu; il reçoit un traitement « popu-sport ». Deux sièges enveloppants et un volant sport viennent égayer cette morne plaine pour la bonne cause!

 

Le mythe

 

On aime plus la Swift GTi pour ses performances que pour sa plastique assez banale. Fiable mais trop discrète, elle a du charme, mais ça ne saute pas aux yeux de prime abord.

 

Le cote

 

Encore délaissée par les amateurs de bombinettes, la Swift GTi est une affaire, puisqu’on peut la trouver entre 1.500 et 3.000 €. Vu le prix de plus en plus élevé des autres GTi, sa cote pourrait bien grimper dans les prochaines années.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] t-gti.html

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La voiture la plus ancienne de cette exposition était la Fiat 500, présentée ici dans une livrée L de 1971.

 

Fiat 500 - 1971.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/40/fiat-500-l.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Simple, petite et pas chère, la Fiat 500 est arrivée à la fin des années 50 dans une Italie qui se reconstruisait. Elle a permis à beaucoup de familles d’accéder à l’automobile à une époque où la classe populaire se contentait de deux-roues.

 

La technique

 

Exsangue après la Seconde Guerre mondiale, l’Italie tente de se reconstruire économiquement. L’industrialisation crée la société de consommation et un des premiers besoins qui se font ressentir est celui de la mobilité. La réponse à cette demande est le développement du scooter, qui devient rapidement une des images d’Epinal du pays. A cette même époque, les dirigeants de FIAT (Fabricca Italiana Automobili Torino) sentent un nouveau marché s’ouvrir. En 1955 est présentée la 600, nouveau modèle économique et moderne. Ce dernier rencontre vite du succès, pourtant la firme se remet vite au travail sur un modèle plus économique encore, la Nuova 500. Lancée en 1957, celle-ci joue la carte du minimalisme avec une longueur de seulement 2,97 m permettant à 2 personnes d’y prendre place plus leurs petits bagages. Sous son capot se cache un minuscule bicylindre de 479 cm3 délivrant la bagatelle de 13 ch! Très vite, la voiture évolue pour plus de puissance (499,5 cm3 et 17,5 ch) et reçoit son fameux toit ouvrant en toile qui fera du modèle une légende! De nombreuses versions dérivées sont commercialisées (break « Giardinera », Sport, etc.), dont la version L (luxe) qui vous est présentée. Ne cherchez pas d’ostentation dans cette variante qui a connu un grand succès commercial, il s’agit de détails mineurs, comme des espaces de rangement ou un nouveau volant à deux branches en plastique pleine fleur, qui sont ajoutés par rapport à la version de base!

 

Le mythe

 

Difficile de résister à sa bouille de pot de yaourt et à sa taille de cuistax! Elle est tellement mythique qu’elle fait partie des clichés sur l’Italie. Si la vitesse de pointe n’est pas son fort (ne comptez pas plus de 90 km/h avec le vent dans le dos), la 500 vous emmène sur les petites routes avec le sourire. Que demander de plus?

 

La cote

 

Assez recherchée, la 500 s’échange contre un chèque de 2.500 à 10.000 €.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] a-500.html

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La BMW E24 635 CSi, ça devrait faire plaisir à @DBS 69 et @Epicure06, notamment. :p

 

BMW E28 635CSi - 1986.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/90/BMW-635csi.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Avec le coupé 635 CSI, BMW repousse encore plus loin les limites de la performance et du confort. A lui seul, son moteur constitue l’une des plus belles réussites de la firme de Munich.

 

La technique

 

Ayant pour lourde tâche de succéder au sculptural coupé 3.0, la nouvelle BMW Série 6 est lancée en 1976. Dessinée par Paul Bracq à qui l’on doit notamment la Mercedes SL « Pagode », elle est très élégante avec ses montants fins et sa face avant inclinée comme un museau de requin.

 

Au début de sa commercialisation, elle offre d’abord le choix entre deux 6 cylindres, un 3 litres et un 3,3 litres (630 et 633 CSI). Jugés trop légers par rapport à la masse de la voiture (1.530 kg à vide), tous deux souffrent également de n’être disponibles qu’avec une boîte manuelle à 4 rapports. Pour un véhicule destiné avant à arpenter l’Autobahn, celle-ci pénalise la consommation à une époque où le sujet fâche: il ne faut pas oublier qu’une crise pétrolière a ébranlé l’Europe au milieu des années 70.

 

La réponse vient finalement en 1978 avec la 635 CSI. Dérivée du 3 litres CSL de compétition, cette mécanique est dégonflée pour la série. Il s’agit d’un 6 cylindres en ligne de 3,5 litres. Doté d’une injection Bosch L-Jetronic, celui-ci délivre 218 ch à 5200 tr/min. Accouplé à une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports, il permet au lourd coupé d’accélérer de 0 à 100 km/h en 8,1 s et établit sa vitesse de pointe à 227 km/h. Musicale à souhait, la BMW Série 6 possède enfin un moteur à la hauteur de ses ambitions! La commercialisation sera un succès: 45.000 unités vendues à travers le monde entre 1978 et 1989. Le marché américain apprécie ce coupé confortable vendu en boîte automatique à 4 rapports. Une version encore plus musclée est bientôt proposée: la M635 CSI. Équipée du moteur de la M1, un 6 cylindres double arbre à cames à 24 soupapes, celle-ci voit sa puissance grimper à 286 ch, transformant la « 6 » en vraie sportive.

 

Le mythe

 

Sa ligne de squale gracieux, son intérieur qui invite et au voyage et la sonorité de son 6 cylindres: tout est plaisant dans la 635 CSI. Lorsqu’on voit la ligne des BMW actuelles, on se dit que c’était mieux avant!

 

La cote

 

La 635 CSI plaît de plus en plus et ce regain d’engouement se ressent dans les prix. Méfiez-vous des exemplaires trop bon marché à la carrosserie gangrenée par la rouille. Vous pouvez tabler sur une fourchette de 7.000 à 15.000 € pour une bonne voiture.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] 5-csi.html

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En raison des faits qui se sont déroulés en novembre à Paris, et la proximité de Molenbeek des allées du Salon, j'avais pris la décision de ne pas m'y rendre cette année. :jap:

 

Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire, parfois. :roll:

 

Comme si tous les vilains méchants se cachaient forcément dans le même quartier de l'agglomération bruxelloise et pas ailleurs. :cyp:

 

De toutes façons, il n'y a eu aucun problème de sécurité au Salon de Bruxelles. Il y avait une expo Youngtimers qui promettait... mais qui aurait pu être mieux. Le visuel de l'expo montrait des voitures exposées dans un virage relevé, façon circuit auto, et des boules à facettes partout. Au final, les voitures étaient à même le sol en béton, parfois disposées en dépit du bon sens, et certaines étaient très mal éclairées. Pas vraiment des conditions idéales pour prendre des photos, car pour économiser mes batteries, j'évite le flash.

 

http://autosalon.be/uploads/images/5628e582411ee.png

 

http://i29.photobucket.com/albums/c259/Exiv96/Salon-auto-BXL/IMG_30847b.jpg

 

Il y avait quand même quelques projecteurs, et de la lumière provenant de la patinoire à rollers où personne n'allait. Faut dire que la foule ne se pressait pas. L'expo était bien signalée depuis l'extérieur du Palais 2, avec de grandes banderoles, mais étant donné les mésures de sécurité, on ne pouvait y accéder que par un couloir au bout du palais 4, entre les toilettes et un vendeur de hot-dogs.

 

http://i29.photobucket.com/albums/c259/Exiv96/Salon-auto-BXL/IMG_30888b.jpg

 

Le camion peut être considéré comme un Youngtimer, lui aussi. C'est un Peterbilt 377 des années 90.

 

Il y avait également un food truck, basé - ô surprise - sur un Citroën Type H, mais il était désert.

 

http://i29.photobucket.com/albums/c259/Exiv96/Salon-auto-BXL/IMG_30882b.jpg

 

A noter que l'exploitant ne semble pas connaître l'ancien schéma des immatriculations en France. :cyp:

 

http://i29.photobucket.com/albums/c259/Exiv96/Salon-auto-BXL/IMG_30881b.jpg

 

Enfin, il y avait quand même aussi des voitures.

 

 

Audi Quattro.

 

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Rolls Royce Silver Spirit.

 

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Citroën Visa GTi.

 

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L'Apal Francorchamps, avec de vrais morceaux de Mercedes 190.

 

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Mitsubishi Starion, qui me semble plus ancienne que l'année 1988 annoncée.

 

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Toyota MR. Quand je disais que la disposition des véhicules était bizarre. La moto Yamaha aurait pu être exposée autrement que devant la Toyota.

 

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Alors que cette Peugeot 309 GTi semble perdue dans le vide.

 

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Lexus LS 400.

 

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Suzuki Swift GTi.

 

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Honda Civic CRX.

 

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Nissan 300 ZX tunée par Strosek. C'est pas vilain.

 

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Subaru SVX.

 

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Et Lotus Esprit GT3.

 

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Skoda Felicia Fun.

 

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Mazda MX-5.

 

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Volvo 340.

 

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Et enfin, celle qui est pour moi la star de l'expo : cette Hyundai Pony plus neuve que neuve.

 

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Prévue pour naître avec le blason Talbot, sortie finalement sous le logo Peugeot, la 309 a conquis ses lettres de noblesse en enfilant son survêtement, devenant la GTi.

 

Peugeot 309 GTi - 1987.jpg

 

La photo d'époque du Moniteur Automobile.

 

http://static.moniteurautomobile.be/imgcontrol/images_tmp/clients/moniteur/c680-d465/content/medias/images/news/16000/600/60/309-GTI.jpg

 

Voici ce qu'en dit Le Moniteur Automobile.

 

Méconnue par rapport à la sacro-sainte 205 GTI, la Peugeot 309 GTI souffre d’un look plutôt banal. Pourtant, sa robe discrète cache un vrai tempérament sportif qui justifie sa place au panthéon des petites sportives abordables des années 80.

 

La technique

 

Partageant sa plateforme avec la 205, la Peugeot 309 se veut plus logeable et plus confortable que sa petite sœur. Lancée en 1985, elle est créée avec un patchwork de pièces du groupe PSA, fait de composants de Citroën BX, de Peugeot 305 et 205. Assez naturellement, une version GTI est présentée en 1986. Cette dernière reprend l’excellent moteur GTI 1900 du best-seller de Sochaux. Ce 4 cylindres de 130 ch a déjà fait ses preuves sous le capot de bon nombres de modèles du groupe (BX GTI, 405, etc.). Plus décevante est la présentation extérieure de la 309 GTI, qui ne fait que reprendre les jantes de la 205 GTI et adopter un bouclier avant spécifique, ainsi qu’un petit becquet placé sur le hayon arrière. Pour renforcer le caractère musclé de la voiture, Peugeot s’est contenté d’ajouter des moulures surmontées de liserés rouges. Un peu léger tout de même… Presque aussi terne que celui d’une 309 conventionnelle, l’habitacle de la GTI est à peine égayé par des surpiqûres rouges. Plus intéressant est le caractère de la voiture, qui gagne en confort et en homogénéité par rapport à la 205. Son poids raisonnable de 930 kg lui permet des performances intéressantes. Le 0 à 100 km/h est abattu en 8 s et la vitesse de pointe est établie à 206 km/h. Les amateurs exigeants voient d’un bon œil l’arrivée en 1989 d’une version GTI 16 soupapes forte de 160 ch. Plus affûtée, celle-ci arrive malheureusement un peu tard pour convaincre.

 

Le mythe

 

Apparue au milieu des années 80 lorsque les GTI connaissent leur heure de gloire, la 309 GTI a une place un peu à part. Avec son esthétique de voiture de grand-père et sa présentation « low cost », elle cache bien son jeu. Moins chère que la 205, elle permet également de rouler « différent ».

 

La cote

 

Rare en Belgique, la 309 GTI se trouve plus facilement en France. Prévoyez un budget de 2.500 à 6.000 €.

 

http://www.moniteurautomobile. [...] 9-gti.html

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Invité §RRB466XX

Qu'elle belle expérience, que de bons souvenirs...

 

 

Merci @NyvetDuPiC pour avoir inséré ma vidéo et @Exiv96 pour les photos.

Je vous propose mon reportage photos sur mon site : cliquez ICI

 

++

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