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Histoire et patrimoine

Recensement : les automobiles les plus rares (antérieures à 1980)


Invité §Dym361NE

Messages recommandés

Invité §Dym361NE

Bonjour à toutes et à tous.

 

J'entreprends de rassembler ici, grâce à votre aide, toutes les voitures les plus rares (dont il n'existe aujourd'hui que 10 exemplaires au maximum) dont la période de production est antérieure à 1980, en les présentant brièvement (nom, marque ou créateur, date de fabriquation, et éventuellement leur particularités esthétiques et techniques). Il est intéressant d'en donner la fiche technique, complète ou partielle, si elle existe évidemment. Il est important de mettre au moins une photo du véhicule (il n'y a pas de nombre de photos maximum).

Chacun peut compléter les informations concernant un modèle déjà évoqué.

 

Le but est de découvrir de nouveaux modèles, inconnus et très singuliers pour la plupart, et de créer une base de données fiables (d'où l'intérêt de se corriger les uns les autres, ou d'ajouter certaines informations complémentaires) dédiés à ces modèles souvent oubliés.

 

Pour ma part je commence en vous présentant la "Dymaxion Car" créée par le brillant ingénieur Buckminster Fuller en 1933. Celui-ci voulait au départ concevoir une voiture qui pouvait également voler, mais les contraintes techniques étaient beaucoup trop importantes. Il décida de construire 3 prototypes comportant trois roues avec la roue arrière directrice (ce qui en fait un engin un peu déroutant à conduire), une structure en bois, et une forme de goutte d'eau extrêmement aérodynamique. À l'intérieur comme à l'extérieur, on reconnaît tout de suite l'influence du "streamline" en vogue à l'époque. La voiture est une traction avant, mais le V8 Ford est en position centrale arrière.

La voiture était très stable et pouvait atteindre de très hautes vitesses pour l'époque (de l'ordre de 160 km/h).

Voici donc quelques photos :

 

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Alors, bonnes recherches !

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Invité §Dym361NE

Voici à présent une voiture bien plus petite, puisqu'il s'agit de "l'Oeuf" de Paul Arzens, designer et créateur de génie.

Cette citadine à moteur électrique réalisée en 1942, était son principal moyen de déplacement en ville. Elle fut imaginée et fabriquée dans le but de contourner les restrictions de carburant imposées par l'Allemagne pendant l'Occupation, mais il l'utilisa jusqu'à la fin de sa vie.

Elle pouvait atteindre les 80 km/h et offrait une autonomie de plus de 100 km, ce qui est amplement suffisant pour de simples déplacements urbains. Arzens, en employant des matériaux légers comme l'aluminium ou le Plexiglas, a compensé les 300 kg des batteries, tout en abaissant le centre de gravité du véhicule. Le chassis était composé d'une longue poutre en Duralinox, qui offrait un comportement de conduite très sain et très agréable. Cette conception annonce celle des petites sportives des années 60, telles que les Lotus Europa ou les René Bonnet Djet.

On peut comparer cet Oeuf électrique à la Renault Twizy, malgré les 70 ans qui les séparent. Ce véhicule surprend encore aujourd'hui par son intemporalité, par la modernité de sa conception et de ses lignes.

En voici quelques photos :

 

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Invité §Dym361NE

On connaît tous la voiture de Batman propulsée par son impressionnante turbine, qui nous a fait rêver plus d'une fois lorsque l'on était encore des enfants. À l'origine, le moteur à turbine fut l'ambition de nombreux industriels et d'ingénieurs après la Seconde Guerre mondiale. Elle équipait les tous jeunes avions "à réaction" et devint l'un des moteurs les plus performants jamais conçus (et c'est toujours le cas). Alors pourquoi ne pas équiper les voitures de tels moteurs ? Parmis de nombreuses autres compagnies automobiles, c'est la question que s'est posée Chrysler aux Etats-Unis. En 1963, l'entreprise américaine est parvenue à mettre au point cette turbine sur un concept car inédit : la Chrysler Typhoon. Afin de vérifier si la voiture "à réaction" pouvait être viable, un panel de différents clients cobayes se sont vus offrir le modèle produit à 55 exemplaires, qu'ils allaient tester pendant une période de 3 mois environ. Le moteur à tubine de la Chrysler pouvait fonctionner avec n'importe quel type de liquide aux propriétés combustibles (diesel, essence, kérosène, huile végétale, alcool et eau de toilette en tout genre, etc.) sans aucun ajustement du mélange air/carburant spécifique, mais ne pouvait pas supporter le plomb, présent dans l'essence vendue à l'époque. Après plus de 2 millions de km parcourus par les nombreux cobayes sans aucune défaillance technique majeure, Chrysler a donc finalement décidé de récupérer tous ses modèles et de les détruire. Ironie du sort, le super sans plomb a été mis sur le marché quelques années plus tard.

Aujourd'hui 9 modèles ont survécu, dont 3 toujours en état de marche.

Revenons au moteur de la Chrysler Typhoon. Il développait 130 chevaux SAE pour un couple impressionnant de 576 N.m au démarrage. Comme il s'agit d'une turbine, nos repères associés au moteur à pistons traditionnel sont complètement bouleversés. Celui-çi peut atteindre les 44500 tours/min, et le nombre de pièces mobiles du moteur n'est que de 60, contre 300 dans un moteur à pistons et combustion interne. Tout comme dans le cas du moteur rotatif, la turbine n'est à l'origine d'aucune vibration, et le son qu'elle émet est très singulier. Le bruit du moteur s'apparente plutôt à celui d'un aspirateur géant qu'au bruit de paquebot des bons vieux V8 américains. Cependant, la voiture était très silencieuse et très confortable au quotidien. Elle était équipée d'une boîte de vitesse automatique légèrement modifiée, puisqu'elle n'avait pas besoin de convertisseur de couple.

Quant aux émissions du pot d'échappement, elles ne sont composées ni de monoxyde de carbone, ni d'imbrûlés, ni d'hydrocarbures bruts. Avec la mise au point du catalyseur par Volvo dans les années 70, la Chrysler aurait même pu faire disparaître les émissions d'oxyde d'azote qui furent un problème tout au long de son développement.

Bien sûr l'auto n'est pas exempte de défauts. J'ai déjà cité l'intolérance aux particules de plomb, mais la voiture consommait aussi beaucoup de carburant, et malgré ses très bonnes performances lorsqu'on avait le pied au plancher, il y avait un léger temps mort à l'accélération, un peu comme sur les anciens moteurs turbos des années 70 et 80. L'accélération dépendait beaucoup de la température et de la densité de l'air ambiant : en zone de haute altitude, certains clients ont même rencontré de grosses difficultés à démarrer le véhicule. Il fallait laisser le moteur chauffer à sa température idéale, sinon il pouvait caler ou manquer de puissance.

À quelques années près, le moteur à turbine avait toutes ses chances de révolutionner l'automobile au même titre que l'électrique aujourd'hui, et peut-être que le progrès technique moderne serait parvenu à résoudre les problèmes de mise au point du moteur qui ont conduit l'entreprise à stopper le projet si brutalement.

Voici donc quelques photos de la Chrysler Typhoon (1963-1964) :

 

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Invité §Dym361NE

La photo de la Chrysler à Paris correspond à la période de test des modèles. Il est en effet surprenant d'en avoir une photo de chez nous !

 

 

Après la Seconde Guerre mondiale, l'automobile tente de renaître de ses cendres. Les bouleversements économiques conduisent la plupart des constructeurs à s'intéresser à une vision de l'automobile radicalement nouvelle ; son image d'objet prestigieux et inaccessible laisse place à une forte volonté d'en démocratiser l'usage. En ce sens, le projet de l'industrie automobile d'agrès-guerre dépasse le concept de la Ford modèle T (centré essentiellement sur l'efficacité et la rapidité dans la production à l'usine), car elle recherche simplicité et efficacité au coeur de sa propre conception.

 

La suite du message sera publiée plus tard.

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Invité §Dym361NE

Je continue.

En France, les premiers Salon de l'Auto d'après-guerre marqués essentiellement par la Citroën 2cv, aboutissement du projet TPV (Très Petit Véhicule) développé avant la Guerre, et par la populaire Renault 4cv à moteur arrière, esquissent le nouveau portrait de l'automobile, simple et séduisante, économique et accessible.

Au Salon de 1948, un étrange prototype fait sensation. Il s'agit de la révolutionnaire Panhard Dynavia.

D'un point de vue technique, elle reprend le chassis et la mécanique de la Dyna X sortie un an plus tôt. La Dynavia hérite donc du tout nouveau bicylindre à plat de 610 cm3 déjà réputé pour son excellent rendement, et son irréprochable tenue de route est assurée par la traction avant et un ingénieux système (que j'expliquerai ultérieurement avec grand plaisir) qui limitait le roulis sans diminuer le débattement de la suspension.

La particularité du prototype par rapport à la Dyna X de série vient du remarquable travail sur l'aérodynamique, effectué par le designer Louis Bionier. Son Cx de 0,24 lui permettait d'atteindre les 130 km/h. Quant à la consommation, elle n'excédait pas les 3,5 litres/100km à une allure moyenne de 90 km/h ! À titre de comparaison, une 4cv consomme le double pour une vitesse maximale bien inférieure et une cylindrée équivalente. Les plus grosses Traction Avant Citroën offrait les mêmes performances pour une cylindrée 3 fois supérieure, et je ne parle pas de la consommation...

Mais le coefficient de traînée n'a pas été la seule préoccupation de Bionier : le faible coefficient de dérive offre une grande stabilité à vitesse élevée.

Malgré son empattement (trop) réduit et ses décorations quelques peu surannées, la forme de la Dynavia n'en demeure pas moins époustouflante.

L'objectif était de créer une confortable berline quatre places alliant économie et performance ; il fut brillament atteint. Cet étonnant prototype inspira les concepteurs de la Dyna Z présentée au Salon de l'Auto 5 ans plus tard, sans doute la berline la plus moderne des années 50 avec la DS.

Seul un des deux exemplaires de la Dynavia a survécu, l'autre n'ayant jamais été retrouvé. Il est exposée à la célèbre Cité de l'Automobile de Mulhouse.

En voici quelques photos :

 

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Invité §Dym361NE

En 1969, on savait que plusieurs nations étaient en train de préparer une série de mesures concernant la sécurité et que la législation allait évoluer. Plutôt que de poursuivre ses recherches secteur par secteur, Volvo décida de lancer une étude globale et de développer un véritable laboratoire roulant. Cette démarche déboucha sur la présentation de la Volvo VESC (Volvo Experimental Safety Car) en 1972.

Avec ce prototype, Volvo répondait aux nombreux constructeurs qui présentait des ESV. Ces "Experimental Safety Vehicles" proliférèrent à travers le monde. Mais contrairement à la plupart de ces prototypes, la Volvo VESC a fait l'objet d'une étude esthétique qui annonçait les prochains modèles de la marque, en particulier la Volvo 240.

Les autorités américaines avaient établi une liste de 82 points définissant les ESV. Sur 70 points, Volvo était au moins aussi exigeant que les législateurs américains. Neuf points restaient un peu plus confus tandis que sur trois autres points, Volvo était en retrait par rapport aux ESV.

La VESC était capable d'encaisser une collision frontale de l'avant comme de l'arrière à 80 km/h et un tonneau, sans danger corporel pour le conducteur et les passagers. Sur ce dernier point, la VESC était 4 fois plus résistante que ne le demandaient les Américains. La VESC possédait un dispositif qui fut par la suite appliqué à toutes les Volvo : en cas de choc, le moteur s'abaissait en reculant, afin de ne pas pénétrer dans l'habitacle.

Parmi l'équipement de la VESC, on notait également la présence d'un système de freinage anti-blocage, de ceintures de sécurités automatiques, de caméra de recul (et oui !), de barres latérales dans les portières (comme sur la Volvo 144) et d'air-bags. En cas de collision, le volant se rétracte automatiquement dans le compartiment moteur. Les sièges étaient équipés d'appui-tête escamotables : ils ne surgissaient qu'en cas de nécessité afin de ne pas obstruer le champ de vision en temps normal.

Le concept car VESC exprimait vraiment la volonté de Volvo d'élever ses standards de sécurité.

En voici quelques photos :

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Invité §Dym361NE

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Invité §Bru737qj

Bonjour!!!

Vaste sujet ces autos!!!

Qui s'en souviens de celle là?

La Panhard 24 CT...

 

 

Si elle conserve le fameux « flat twin » porté à 50 CV, ce qui lui permet d’attendre les 150 km/h en vitesse de pointe, elle est dotée d’un châssis tubulaire ultra rigide, qui lui confère une tenue de route exemplaire. Avec ses doubles optiques protégés par une vitre (repris par la DS en 1967), ses bourrelets de protection du tableau de bord, son volant creusé et rembourré, ses feux asservis à l’ouverture des portes et ses ceintures de sécurité (en option), elle misait autant sur la sécurité que sur le confort. La PL 24 proposait en effet un miroir de courtoisie éclairé, un thermomètre d’ambiance dans la boîte à gants, un volant réglable en profondeur, un système de chauffage très ingénieux et une roue de secours au sec et protégée.

Cette auto, déclinée en berline 4 portes dotée d’un moteur 4 cyclindres aurait pu se révéler redoutable pour la concurrence, notamment pour Citroën, qui commercialisait sa DS et allait lancer son Ami 6. Passée sous le contrôle de Citroën en 1965, Panhard cessera cependant toute fabrication en 1967. L’usine de la porte d’Ivry sera alors affectée à l’assemblage des 2CV fourgonnette.

Une carrosserie aérodynamique, un moteur 4 cylindres à plat refroidit par air, un système hydropneumatique dont Panhard était spécialiste sur ses véhicules militaires blindés… Certains pensent alors que l’héritage Panhard s’est retrouvé, trois années après l’arrêt de la PL 24, dans la Citroën GS

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Invité §Gor062SF

Excellente idée de sujet ! Je tâcherai d'y contribuer dans la mesure de mon temps disponible...

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Bonjour!!!

Vaste sujet ces autos!!!

Qui s'en souviens de celle là?

La Panhard 24 CT...

 

 

Si elle conserve le fameux « flat twin » porté à 50 CV, ce qui lui permet d’attendre les 150 km/h en vitesse de pointe, elle est dotée d’un châssis tubulaire ultra rigide, qui lui confère une tenue de route exemplaire. Avec ses doubles optiques protégés par une vitre (repris par la DS en 1967), ses bourrelets de protection du tableau de bord, son volant creusé et rembourré, ses feux asservis à l’ouverture des portes et ses ceintures de sécurité (en option), elle misait autant sur la sécurité que sur le confort. La PL 24 proposait en effet un miroir de courtoisie éclairé, un thermomètre d’ambiance dans la boîte à gants, un volant réglable en profondeur, un système de chauffage très ingénieux et une roue de secours au sec et protégée.

Cette auto, déclinée en berline 4 portes dotée d’un moteur 4 cyclindres aurait pu se révéler redoutable pour la concurrence, notamment pour Citroën, qui commercialisait sa DS et allait lancer son Ami 6. Passée sous le contrôle de Citroën en 1965, Panhard cessera cependant toute fabrication en 1967. L’usine de la porte d’Ivry sera alors affectée à l’assemblage des 2CV fourgonnette.

Une carrosserie aérodynamique, un moteur 4 cylindres à plat refroidit par air, un système hydropneumatique dont Panhard était spécialiste sur ses véhicules militaires blindés… Certains pensent alors que l’héritage Panhard s’est retrouvé, trois années après l’arrêt de la PL 24, dans la Citroën GS

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Même si elle ne court pas les rues, on en voit dans les rassemblements.

 

Ne pas oublier la BT, plus longue...

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J'ai une Chevrolet Citation. .Bon elle est de 79 sur la carte grise, mais le modèle et officiellement sortie en 80... Je suis dans les clous.....??!

 

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Pas courante aux USA... alors en France. ..

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Invité §COB465hn

De bons souvenirs de revoir ces Panhard je me souviens de gros compteur que j'admirais étant gamin La Chrysler Turbine e essai à Paris mais pas caché comme les véhicules aujourd'hui.

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Invité §aut501Gd

Horch "930 S"

 

http://nsm07.casimages.com/img/2017/08/11//17081105271920484315212607.jpg

 

Tout son historique est là

 

http://forum-auto.caradisiac.com/forum2.php?hash_check=61f455dcf9073887fe869751bdd32bd3&page=124&post=364705&cat=5&config=automobiles-mythiques-exception.inc&sondage=0&owntopic=0

 

Un seul exemplaire subsistant sur la dizaine de pré-série de 1939-40. Il est exposé au musée Audi d'Ingolstadt

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Horch "930 S"

 

http://nsm07.casimages.com/img [...] 212607.jpg

 

Tout son historique est là

 

http://forum-auto.caradisiac.com/forum2.php?hash_check=61f455dcf9073887fe869751bdd32bd3&page=124&post=364705&cat=5&config=automobiles-mythiques-exception.inc&sondage=0&owntopic=0

 

Un seul exemplaire subsistant sur la dizaine de pré-série de 1939-40. Il est exposé au musée Audi d'Ingolstadt

 

 

Quelle gueule !!!

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Voici à présent une voiture bien plus petite, puisqu'il s'agit de "l'Oeuf" de Paul Arzens, designer et créateur de génie.

Cette citadine à moteur électrique réalisée en 1942, était son principal moyen de déplacement en ville. Elle fut imaginée et fabriquée dans le but de contourner les restrictions de carburant imposées par l'Allemagne pendant l'Occupation, mais il l'utilisa jusqu'à la fin de sa vie.

Elle pouvait atteindre les 80 km/h et offrait une autonomie de plus de 100 km, ce qui est amplement suffisant pour de simples déplacements urbains. Arzens, en employant des matériaux légers comme l'aluminium ou le Plexiglas, a compensé les 300 kg des batteries, tout en abaissant le centre de gravité du véhicule. Le chassis était composé d'une longue poutre en Duralinox, qui offrait un comportement de conduite très sain et très agréable. Cette conception annonce celle des petites sportives des années 60, telles que les Lotus Europa ou les René Bonnet Djet.

On peut comparer cet Oeuf électrique à la Renault Twizy, malgré les 70 ans qui les séparent. Ce véhicule surprend encore aujourd'hui par son intemporalité, par la modernité de sa conception et de ses lignes.

En voici quelques photos :

 

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Euh.............y aurait pas du Fibronil dans cet oeuf? :p

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Une jolie barquette homologuée vue sur la baie, GT 38 , de 1968 ...

C' est un modèle unique réalisée par un désigner de G . Motor avec un moteur Corvair central et une boîte Porsche...

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