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Restaurations

Restauration et mésaventures de ma 304S cabriolet


Nar1955
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Hello

 

Dit donc le pti macdoul :pt1cable: !!! j'ai l'impression que tu ne t'es pas bien appliqué pour lire les aventures de Titine, car elle ne vibre pas la ch'tite 304 :spamafote:

 

@+

 

 

Non non je sais ce que je dis d'ailleurs lis bien sont dernier compte rendus il parle bien de vibrations a 110 km/h :jap: :jap:

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C'est vrai qu'elle vibre entre 90 et 110 km/h et cela, depuis que je l'ai. Je pense que c'est vraiment dû à un équilibrage de roue, confirmé par le fiston qui m'a précisé que cet équilibrage n'a jamais été fait depuis le changement de pneus avant que j'achète Titine en 2012. Je ne sais pas si un rééquilibrage après avoir fait 20 000 km est encore judicieux (et possible)?

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C'est vrai qu'elle vibre entre 90 et 110 km/h et cela, depuis que je l'ai. Je pense que c'est vraiment dû à un équilibrage de roue, confirmé par le fiston qui m'a précisé que cet équilibrage n'a jamais été fait depuis le changement de pneus avant que j'achète Titine en 2012. Je ne sais pas si un rééquilibrage après avoir fait 20 000 km est encore judicieux (et possible)?

 

 

Bonjour :)

 

Il est possible de le faire, mais au risque de peu de changement si le pneu est déformé un peu...

Après vous dites que les pneus datent au moins de 2012...

Si vous avez le budget, j'aurais directement changé les 4 pneus...

Un pneu à une durée de vie de 5 ans théoriquement, c'est un motif de refus au contrôle technique normalement...

Après entre nous, si mon pneu est pas craquelé ou autres, je le change pas même dépassé 5 ans...

Mais un pneu craquelé, pour avoir roulé en 2016 avec des pneus de 2008 sur mon ancienne voiture, ça ne tenait absolument pas la route...

Il est aussi possible qu'une jante soit voilé, mais faudrait remédier au problème, sinon ça use un peu plus, toutes les pièces de suspension...

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Non non je sais ce que je dis d'ailleurs lis bien sont dernier compte rendus il parle bien de vibrations a 110 km/h :jap: :jap:

 

 

Hello

 

Sory sory mes plus plates excuses , je ne rappelais plus des tremblements titinesque à 110 KM/H obnubiler que je suis par les tremblements de mon Berlingo pas rigolo :crazy:

 

@+

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Hello Nanar et Titine

 

Bonne année et beaucoup de Km au volant de Titine, je vais continuer à suivre tes aventures, c'est un des derniers endroits ou je sort de mon sous marin.

 

@ bientôt JM

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2018 : Le retour :

Une année de plus qui commence et le besoin de faire tourner Titine me prend comme une envie de… ? De je ne sais pas quoi car il n’y a rien de comparable à l’envie de prendre la route à bord de mon tas de ferraille préféré. Je dis tas de ferraille car c’est ce que voudrait nous faire croire tous les politicards mal intentionnés (et ceux qui les suivent bêtement) qui ne pensent qu’à une chose : faire tourner l’économie en nous refourguant des poubelles de luxe bourrées d’électroniques et sans âme. Bon ! Après ce petit moment de contestation encore politiquement correct, je reviens à mon envie Titinesque.

La batterie de cette dernière a été mise au chaud depuis un peu plus d’un mois suite à la dernière tentative de démarrage qui s’était soldée par un Rrr.. d’agonie suivit du silence caractéristique d’un démarreur sous alimenté (voir plus alimenté du tout). La batterie était-elle morte ou simplement déchargée ? Dilemme … ! Dans ce cas là, il n’y avait pas à tergiverser… Une charge de 24 heures restait le seul remède efficace à porté de ma bourse de l’époque. C’est ce que je fis. La batterie de la petite nièce de Titine (la 205 CJ) étant dans le même état de décrépitude avancée (voir plus car pour elle, même les voyants du tableau de bord ne s’allumaient plus), ce furent 2 batteries que je mis en charge dans notre sous-sol (à tour de rôle évidemment).

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J’ai cependant pris garde de ne pas les oublier, car une charge de plusieurs jours peut se solder par une overdose fatale de coulombs (si si ! j’ai déjà tenté l’expérience… !).

Ce dimanche 28 janvier, bien que sortant à peine d’une crève épouvantable, un soleil bien présent et le fourmillement au bas des reins, caractéristique d’un état de manque, me poussent à ne pas écouter la petite voix de la sagesse qui me susurre : « reste encore au chaud… ça attendra bien encore une semaine ou deux… ! Poussé par cette passion dévorante qui me ferait affronter tous les interdits, j’enfile un pull par-dessus un autre pull, un anorak, une écharpe autour du cou et les pieds dans des Moon boots. C’est donc habillé comme s’il faisant moins quarante douze dehors que je récupère la batterie et me dirige vers une Titine encore recouverte de sa nouvelle bâche de protection.

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Après avoir retiré délicatement cette protection, j’ouvre le capot et commence à placer la batterie.

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Mais quel c… je fais ! J’ai pris celle de la 205… ! Évidemment, celle-ci ne peut pas coller car, mise à part la taille qui diffère, les bornes de celle de la 304 sont inversées, ce qui justifierait son prix exorbitant d’après mon vendeur préféré… !

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Batterie 205

 

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Batterie 304

Me voilà retournant au sous-sol pour prendre la bonne. Quand on n’a pas de tête, mieux vaut avoir des jambes. De retour vers mon petit destrier blanc, je branche la bonne batterie …

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… et m’installe au volant. Avec une petite appréhension, je tourne la clef et … Ouf ! Le démarreur tourne à plein régime. Cette batterie n’est donc pas passée de vie à trépas. Malgré le rythme effréné du démarreur et un pompage digne des Shadocks sur l’accélérateur, le petit 1300 se refuse à émettre le moindre prout … Bon ! L’année commence mal ! Je ne cèderai pas devant l’adversité. J’ai décidé de faire rouler Titine aujourd’hui et elle roulera ! Na… !

Première chose à vérifier, la jauge d’essence ! Celle-ci indique plus de la moitié du réservoir. Une cause éliminée ! Deuxièmement, l’allumage ! Je n’ai pas vérifié les bougies depuis un petit moment. Il est donc temps de le faire. Je démonte la première … Elle me semble correcte…

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Un petit coup de jeu de calle sur entre les électrodes … ! La calle de 0,6 mm passe gras, c’est donc bon. Un petit coup de brosse métallique sur le filetage et sur les électrodes et la bougie retrouve sa place. Démontage de la deuxième … Même motif, même punition ! Le démontage des deux autres nécessitant le retrait du filtre à air, je laisse tomber. Petit tour du côté de l’allumeur … ! Après avoir fait sauter les deux clips, je jette un œil du côté des plots HT… Rien !

 

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Tout semble sec et en bon état. Le charbon est toujours là et de bonne longueur. Je retourne dans l’habitacle pour passer la 4 ème et, par quelques mouvements de va et viens de Titine, je fais tourner légèrement le moteur pour placer le rotor de l’allumeur sous le linguet de la vis platinées. Un petit coup de cale d’épaisseur … 0,4 mm gras. Là aussi, c’est encore bon ! Que faire ? Pousser plus loin mes investigations en contrôlant l’arrivée d’essence et l’avance à l’allumage ? Je me tâte … ! Tant pis, je remonte l’allumeur et tente un nouveau démarrage. Une dizaine de pompages sur l’accélérateur, tirette de starter jusqu’à le sortir presque de son logement, un tour de clef et… Vroummmm, voilà que le petit 1300 démarre au quart de tour. Je repousse légèrement la tirette et le régime moteur retombe à une valeur acceptable. J’attends quelques seconde … Le petit moteur semble claudiquer sur 3 pattes mais ne cale pas. Je le laisse tourner un moment le temps de prendre mes papiers, mettre des chaussures plus aptes à la conduite que les Moon Boots et fermer la maison. Une fois installé au volant, je sors de la propriété et me dirige … ? En réalité, je n’en sais rien. Je vais éviter de remonter en haut du Cerdon, même si j’adore cette route (et son radar !). Je décide de prendre la route de Chalamont et qui vivra verra !

Le petit moteur tourne rond et toutes les sensations me reviennent ! Que c’est bon de reprendre le volant de ce petit cabriolet (non décapoté cette fois… faut pas tenter le diable quand même). Première constatation : le pare brise est crade au possible et, avec le soleil dans les mirettes (Chalamont étant plein ouest), j’y vois comme à travers un caléidoscope psychédélique.

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Inutile de tenter les essuies glace. Je viens de me rappeler que je n’ai changer qu’un bras sur les deux, que le balais côté chauffeur ne plaque plus du tout dans l’angle du pare-brise…

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… et que le lave glace est en grève indéterminé. La pluie n’étant pas au rendez-vous (et heureusement), toute tentative de démarrer cet accessoire se soldera, soit par un bruit sinistre proche des ongles sur un tableau à craie, soit par la rupture brutale du bras non remplacé. L’état de ce dernier nécessitant sans doute l’extrême onction, tout frottement excessif du balai sur le pare-brise, sec comme un oued après 3 ans de sécheresse, verra le petit bras métallique se tordre de douleur avant de se rompre pour finir sur la route ou sur le capot. J’abandonne le nettoyage pare brise et chausse mes lunette de soleil, ce qui diminue notablement l’effet caléidoscope.

Arrivé dans Chalamont, je décide de tourner à droite. Un coup de clignotant et … ! Le répétiteur claque comme une mitraillette … ! Pas bon signe tout ça ! Je sens la lampe grillée ou le faux contact. J’essaie le gauche… ! Non, tout va bien de ce côté-là ! J’ai donc bien un problème à droite. Je tâcherai de m’arrêter plus loin. Au feu, je prends à droite de nouveau et me dirige vers Bourg en Bresse. Il fait beau et le chauffage de Titine se fait bien sentir…(dans tous les sens du terme) ! Ça sent le liquide de refroidissement, la poussière surchauffé, le vieux plastic et la moquette à l’ancienne. Le pied quoi ! Je baisse quand même le thermostat, enfin ce qui devait servir de réglage à l’époque, afin de ne pas me transformer en pomme vapeur. Le petit moteur à retrouver toute son énergie … et tous ces bruits. Je me sens bien et la route défile sans problème. Un petit coup d’œil sur le tableau de bord… ! Le voyant de charge qui était allumé plein feux tout à l’heure à repris sa teinte normal, entre éteint et allumé. Côté compteur de vitesse : impossible de savoir ou se trouve l’aiguille puisqu’avec les lunettes de soleil et la luminosité extérieure, celle-ci se confond avec le fond du compteur. Tant pis ! Il n’y a pas de radar dans le coin. De toute façon, je dois rouler aux alentours de 90, à plus ou moins 10 kilomètres heure.

Encore quelques kilomètres et je prends de nouveau à droite. Le bruit de mitraillette du clignotant me rappelle qu’il faut que je m’arrête pour vérifier quelle lampe ne s’allume pas. Je repère un petit parking avant un Stop.

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Un petit tour de la voiture et me voilà rassuré… ! C’est le clignotant avant droit qui est en grève. Une petite claque technique sur la vitre pour le réveillé … aucun effet. Il va falloir démonter ce foutu clignotant dès que j’aurai le temps. Pendant que je suis dans un coin paumé, j’essaie la Cucaracha ! Mince ! C’est vrai que le « multi ton » a perdu la première partie de son nom à savoir qu’il ne reste plus que le ton. Encore un truc à réparer avant les premières sorties officielles. Décidément … ! Tout part en sucette … !

Me voilà de retour à la maison et je suis heureux de cette petite balade. Comme je l’ai dit une fois, c’est mieux que le Prozac, même si là aussi, il y a accoutumance. Je remets Titine sous sa bâche en pensant à ce que j’ai à faire dessus. Il me faut : faire la vidange et en profiter pour remplacer le soufflet du cardan droit (ou le cardan entier), retirer la tôle provisoire installer depuis deux ans pour éviter à la graisse du cardan de prendre feu sur l’échappement, finir les essuies glace, réparer le lave glace, la Cucaracha, le clignotant, finir d’installer l’autoradio, changer le joint du carter cache culbuteurs, réparer la fuite du radiateur reprendre les trous sous le châssis et passer la carte grise en collection. Il faudra aussi sans doute changer les pneus qui ont à peine 10 000 km mais déjà 6 ans. Que du bonheur quoi … !

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Bonjour Nanar

 

Enfin les affaires reprennent :ange: bien vu la petite balade sous le frileux soleil de janvier, je suppose que comme chez moi la température n'est pas descendu extrêmement bas dans ta belle région, c'est peut être l'explication de tes petits soucis électriques, en effet les gremlins n'aime pas le froid, j'en déduit qu'il sont toujours bien présent planqués au chaud sous le tableau de bord :non: et là tu viens de les réveiller !!! comment dit-on déjà ??? ha oui pas glop.

 

Et hop je retourne me balader sur le forum, @ bientôt JM

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Je pense que la dame en rouge s'est associée au Gremlins cette fois. Le froid n'a pas encore atteint nos contrés mais ça va pas tarder. Je vais de nouveau devoir retirer la batterie, et éviter que les Gremlins ne pompent tout le jus...

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Je pense que la dame en rouge s'est associée au Gremlins cette fois. Le froid n'a pas encore atteint nos contrés mais ça va pas tarder. Je vais de nouveau devoir retirer la batterie, et éviter que les Gremlins ne pompent tout le jus...

 

 

Si ta batterie ne tiens pas la charge avec le froid tu va pouvoir la remplacer :/

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Tu as raison pti macdoul mais comme je l'ai remplacée il y a 2 seulement ans, ça va me faire l'effet d'un purgatif de la remplacer de nouveau (vu le prix). J'ai appris depuis peu que les batteries au plomb se déchargent plus vite au chaud qu'au froid. Par contre, elles craignent énormément les appels de puissance à froid. Je vais donc essayer de ne pas démarrer Titine (ni la 205) pendant les gelées qui sont arrivées ce matin (-3 à 8h00). Je verrai bien ce qui se passe dès le retour des beaux jours. Le seul hic, c'est le risque de claquer la batterie si la température descend vraiment trop bas (risque de gel)...

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Tu as raison pti macdoul mais comme je l'ai remplacée il y a 2 seulement ans, ça va me faire l'effet d'un purgatif de la remplacer de nouveau (vu le prix). J'ai appris depuis peu que les batteries au plomb se déchargent plus vite au chaud qu'au froid. Par contre, elles craignent énormément les appels de puissance à froid. Je vais donc essayer de ne pas démarrer Titine (ni la 205) pendant les gelées qui sont arrivées ce matin (-3 à 8h00). Je verrai bien ce qui se passe dès le retour des beaux jours. Le seul hic, c'est le risque de claquer la batterie si la température descend vraiment trop bas (risque de gel)...

 

 

Et pourquoi ne pas investir dans une batterie au gel a la place du plomb ?

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Bonjour à vous :)

 

Moi je me posais une question, c'est si capricieux que ça une ancienne ?

Et autres questions, pourquoi ne pas monter un allumage électronique sur Titine ?

Ça se fait facilement, ça se voit pas, et fini les problèmes de démarrage et d'usure :)

Après je me doute bien que tu as d'autres chats à fouetter :)

Vivement les beaux jours qu'on puisse profiter à nouveau de beau récit, avec de beaux paysages verdoyant :)

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Pour l'allumage électronique, j'en avais fabriqué un super pour ma R12 dans les années 80 (un que j'avais inventé avec oscillateur et transfo pour la MT). Pour Titine, je veux la laisser dans sa V.O. C'est aussi a le charme des anciennes et même si certains démarrages sont parfois capricieux, l'ensemble est assez fiable, beaucoup plus fiable et plus facilement dépannable que mes dernières voitures bourrées d'électronique (c'est un électronicien pro qui te parle...). J'attends aussi les beaux jours pour me replonger dans des aventures titinesques...

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Oui, après d'un côté, ça se comprend, tu as pas tort de la laisser ainsi. Toi tu as toujours connu les starters et autres carburateurs, moi je n'ai jamais conduit se type de voiture :)

Et c'était une autre époque... :)

Plus fiable et facilement dépannable, je ne peux qu'être entièrement d'accord avec toi, pour avoir des voitures similaires au tienne dans la famille proche, c'est à chaque fois la plus ancienne la plus fiable et la moins coûteuse...

Toi qui est électronicien, ça doit te faire t'arracher les cheveux de voir des composants aussi peu fiable sur l'électronique...

Les aventures de Titine, mais aussi profiter de ce pourquoi elle a été conçu, rouler en cabriolet ! :)

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Invité §bea436Xx

Oui, après d'un côté, ça se comprend, tu as pas tort de la laisser ainsi. Toi tu as toujours connu les starters et autres carburateurs, moi je n'ai jamais conduit se type de voiture :)

Et c'était une autre époque... :)

Plus fiable et facilement dépannable, je ne peux qu'être entièrement d'accord avec toi, pour avoir des voitures similaires au tienne dans la famille proche, c'est à chaque fois la plus ancienne la plus fiable et la moins coûteuse...

Toi qui est électronicien, ça doit te faire t'arracher les cheveux de voir des composants aussi peu fiable sur l'électronique...

Les aventures de Titine, mais aussi profiter de ce pourquoi elle a été conçu, rouler en cabriolet ! :)

Bonjour

Je m'excuse d'interferer dans tes commentaires Je peux te dire que tu te trompes je ne sais pas si certains me contredirons J'ai commencé a oeuvrer sur de autos a partir des années 70 et je peux te dire que tous les jours c'etait des problèmes de bougies vis platinées fils de bougies carburateurs avec leurs mutiples gicleurs et ne parlons pas des pots d'echappement que la corrosion hative ne tardais pas a laisser tomber par terre Et les 2 cv qui se cassaient en deux et les GS ou il fallait etre magicien pour changer le pot d'echappement enfin des torticolis et gnons sur les mains c'etait monnaie courante J'oeuvre toujours sur le nouveaux modèles et je peux te dire que cela n'a plus rien a voir des vidanges a 30000 kms et des filtres dans le même acquabit des courroies a 100000kms voir plus des ampoules pratiquement indestructibles juste des problèmes de Turbo mais c'est je pense un type de conduite et de vanne EGR juste des problèmes de mauvais carburants Des pneumatiques indestructibles Vous en jugerez dans les garages ou dans les plus grands 10 voir 15 personnes oeuvraient maintenant 3 personnes suffisent amplement c'est sure les centres auto rapides executent les plus basses besognes mais les deplacements effectués par la majorité d'entre nous se situent entre 500 et 1500 kms sur autoroute sans problème ou il y a 30 ans tu avais sur la nationale 7 un garage tous les 10 kms donc mon raisonnement ne doit pas etre loin de la verité et tu vois que notre ami Nanar ne deroge pas a notre tradition des années 70 80 Donc bonne route a tous et une bonne poignée de main noire d'huile de Diesel

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Bonjour

Je m'excuse d'interferer dans tes commentaires Je peux te dire que tu te trompes je ne sais pas si certains me contredirons J'ai commencé a oeuvrer sur de autos a partir des années 70 et je peux te dire que tous les jours c'etait des problèmes de bougies vis platinées fils de bougies carburateurs avec leurs mutiples gicleurs et ne parlons pas des pots d'echappement que la corrosion hative ne tardais pas a laisser tomber par terre Et les 2 cv qui se cassaient en deux et les GS ou il fallait etre magicien pour changer le pot d'echappement enfin des torticolis et gnons sur les mains c'etait monnaie courante J'oeuvre toujours sur le nouveaux modèles et je peux te dire que cela n'a plus rien a voir des vidanges a 30000 kms et des filtres dans le même acquabit des courroies a 100000kms voir plus des ampoules pratiquement indestructibles juste des problèmes de Turbo mais c'est je pense un type de conduite et de vanne EGR juste des problèmes de mauvais carburants Des pneumatiques indestructibles Vous en jugerez dans les garages ou dans les plus grands 10 voir 15 personnes oeuvraient maintenant 3 personnes suffisent amplement c'est sure les centres auto rapides executent les plus basses besognes mais les deplacements effectués par la majorité d'entre nous se situent entre 500 et 1500 kms sur autoroute sans problème ou il y a 30 ans tu avais sur la nationale 7 un garage tous les 10 kms donc mon raisonnement ne doit pas etre loin de la verité et tu vois que notre ami Nanar ne deroge pas a notre tradition des années 70 80 Donc bonne route a tous et une bonne poignée de main noire d'huile de Diesel

Bonjour,

Remarque fort judicieuse, mais quand il y avait un souci avec un trombone :lol: ou un bon couteau suisse on pouvait se dépanner sur la bord de la route ! Je me souviens de mon père qui posait le moteur de la 2CV Azam sur la table de la cuisine de la maison familiale et qui changait la segmentation et raboté les pistons pour gagner de la "puissance" :lol: de cette pauvre 2CV. Maintenant, amuse toi a faire cà ! Le mécano d'aujourd'hui est informaticien!!!

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Je te comprends Beaufegord mais comme j'ai goutté aux anciennes et aux nouvelles (simplement la mécanique ... je ne grignote pas encore la ferraille), je reste convaincu que remettre en marche une ancienne est plus facile qu'une récente. Je m'explique: Changer une ampoule de phare sur une ancienne prenait une minute. Sur ma C5, il faut démonter tout le bouclier et le pare choc avant pour retirer l'optique et accéder à l'ampoule. J'ai essayé sans. Résultat, j'ai mis 1h30 et utiliser un endoscope pour récupérer le clips qui était malencontreusement tomber dans l'optique (plus une grosse partie de mon épiderme qui est resté accroché aux différents pièges à paluches). Des lampes, j'en claque environ 2 par an, ce qui fait que je roule parfois avec un seul phare (trop la galère à remplacer). Avec Titine, j'arrive à me dépanner sur le bord de la route. Avec ma 407, j'ai caler une fois à 130 en doublant un camion sur l'autoroute, tout ça à cause d'une sonde sur le pot catalytique (c'est ce que m'a dit Peugeot). Pas moyen de me dépanner seul. Sur ma 406, c'est le BSI qui m'a lâché un jour de pluie. Le moteur continuait à tourner mais je n'avais plus d'essuie glace, plus de phare, plus d'autoradio et plus aucune indication sur le tableau de bord. Quand j'ai coupé le contact, j'ai plus pu redémarrer (direction garage sur un camion plateau). Sur la 307CC de mon beau fils, c'est le radiateur d'eau qui vient de lâcher. Il faut démonter tout le tableau de bord pour y accéder (4 heures de main d'oeuvre chez Peugeot). J'ai eu la même chose sur ma R12 (30 minutes pour le remplacer par moi-même). Là ou je te rejoins, c'est sur la fréquence des entretiens. C'est 20 000 km pour la vidange et 180 000 pour la courroie de distribution sur la C5. C'est 5000 km pour la vidange de Titine et la courroie d'accessoire qu'il faut penser à remplacer (pas chiante à changer mais plus fragile). Côté distribution sur Titine c'est une chaîne, donc pas spécialement prévu pour être remplacée. Quand il y a une panne sur une voiture moderne, il faut prendre la valise (plus personne ne sais diagnostiquer une panne sans ça). Sur les anciennes, il n'y avait pas 36 endroits à chercher (essence ou allumage). Pour ce qui me concerne, j'ai toujours réussi à faire repartir un moteur (même quand j'ai eu ce problème sur le piston concon). Avec ma R12, j'avais fait 240 000 km avant qu'un papi drogué ne me la transforme en banane... Il y avait certes plus d'entretiens mais ce dernier était simple. J'ai même réussi à refaire l'allumage et la carburation en camping à côté de ma toile de tante. Pour les pneus, j'en passe un train par an (40 000 km) autant qu'avec ma Ford Capri de 70 ou ma R12 de 76. De ce côté là, je n'ai pas vu de progrès sauf que maintenant, ils me reviennent beaucoup plus cher (il n'y a presque plus de voitures avec du 135 ou 145). Côté échappement, cela fait presque 1 million de km que je roule en diesel donc, jamais changé un pot sur mes 6 voitures diesel. Du côté de mon beau fils avec sa 307CC, c'est le deuxième pot qu'il change (très cher d'ailleurs à cause de l'antipollution) en même pas 90 000 km. Je ne parle pas de ces problèmes d'électronique qui lui bloquent sa BVA, son toit ouvrant ou l'abaissement de ses vitres. Pas ce problème sur Titine. Alors, sans être vieux jeux, et même si d'affreux Grimlins me mettent des bâtons dans les roues (ou le ventilo), je suis plus tranquille avec mon petit destrier blanc que je ne l'ai été avec mes deux 406, ma 407 et maintenant ma C5. Et puis, j'aime cette grand-mère qui sent bon la vieille moquette, le plastic d'un autre âge, le liquide de refroidissement et l'huile brûlée. Ca se discute pas... Alors, bonne route à tous et à bientôt pour des nouvelles aventures Titinesques.

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Sauf que pour la fréquence des entretiens c'est simplement pour casser plus vite, quand on sollicite comme il se doit son moteur l'huile est cramée bien avant les 30000 kms........

Les turbo volent en grande partie pour sa, après il faut ajouter les systèmes de géométrie variable et la boucle est bouclée.

Moi sur mes autos c'est vidange tout les 5000 kms avec une huile de qualité compétition afin de protéger mes moteurs au mieux :)

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Invité §bea436Xx

 

Et pan sur le bec Nanar :up: je déconne bien sur :W

Bonjour tous

Souvenez vous que l'arrivée du Diesel etait de fin 70 et debut 80 et que le carburant brulé etait gras donc empechant la corrosion de grignoter l'interieur des pots d'echappement Seul quelques irreductibles qui se comptent sur les doigts d'une main ont perseverés avec le moteur essence Nous n'avons jamais entendu parler de la faillite des producteurs de pot d'echappement car la production de voitures neuves avaient acceleré le remplacement des chariottes Mais ce que nous allons voir va etre sanglant car je pense que les epaisseurs de toles formant les pots d'echappement actuels ont dues etre revu a la baisse et ne vont surement pas etre remis a plus epais avec le retour du vehicule essence Dans quelques mois certains vont s'apercevoir que la demande va depasser la production et la Chine reactive va nous envahir de pots leger leger et la suite vous vous en doutez les silencieux les tuyaux vont jucher les routes et autoroutes

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Les échappements des diesel sont aussi plus chaud (à condition de rouler un peu) et le carburant contient moins de souffre. De ce fait, la corrosion intérieur est plus faible, voir presque inexistante sur les diesels. Sur une voiture essence, pour économiser les pots, il faut rouler beaucoup à chaque sortie pour sécher l'eau de condensation qui s'est déposer à l'intérieur (j'ai retirer une fois plus de 2 litres dans un pot de 305). Cette eau plus le souffre crée de l'acide sulfurique qui corrode l'intérieur des pots essence. Je ne sais pas ce que ça donne avec les nouveaux carburants mais je m'aperçois que la fréquence de leur remplacement n'a pas diminuée (peut être des pots chinois en acier à ferrer les ânes ?). Pour Titine, le pot à l'air de résister pour l'instant...

Pourvu que a dure ...!

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Première réparation 2018 : Le volet été/hiver :

En ce beau samedi 24 février, alors que ma journée devait être vouée à la réfection de la buanderie de Madame, me voilà de nouveau sur Titine, prêt à en découdre avec un défaut qui me turlupine depuis que le moteur à été remplacé (en 2012). Il s’agit du système automatique qui fait basculer le volet d’entrée d’air du carburateur de la position été à la position hiver. Pourquoi s’occuper de ce gadget alors qu’il y à 3000 autres problèmes à solutionner me direz-vous ? Je vous dirai bien que « c’est une longue histoire » mais ce serait vous mentir. En réalité, c’est suite à une discussion récente avec un de mes lecteurs via Internet (il se reconnaitra) que j’en suis venu à titiller ce schmilblick… Souhaitant connaître le fonctionnement de ce bijou de technologie (en réalité une belle mer… archaïque), ce brave homme m’a posé une colle … ! Sur sa 304S, ce système recèle un défaut majeur le rendant inopérant. Après avoir suivi quelques unes de mes pistes pour vaincre la bête sournoise, comme changer le câble et la gaine, le canard semble toujours vivant… ! J’ai donc profité d’une opportunité offerte par la sieste du Golgoth qui est apparemment une de nos petites filles, pour cesser tout travaux bruyant et me consacrer à une enquête minutieuse sur le fonctionnement de ce foutu volet.

Pourquoi comparer la progéniture d’une de nos filles à un Golgoth alors qu’elle n’a que 3 ans ? Un Golgoth, pour ceux qui connaissent l’univers de Goldorak, est un robot malfaisant pourrissant la vie du héro. Disons que c’est le seul qualificatif que j’ai trouvé pour vous décrire ce petit monstre, très difficile à maîtriser, qui vous pourrit vos nuits et vos journées. Elle a du être mal programmée ou programmée par un chinois qui s’est foutu complètement du cahier des charges. En effet, à toutes demandes, sa réponse est … « non ». Toute contrariété se transforme en un hurlement strident à vous glacer les veines. Quant à ses nuits, ponctuées sans doute par des cauchemars, elles transforment les miennes en pointillés : un coup je somnole, un coup je me réveille, un coup je somnole …. ! Aussi, pendant sa sieste, c’est le retour du calme après la tempête (mais ça dure pas hélas… !). Je profite donc de celle de cette après-midi pour me détendre. Et quoi de mieux pour se détendre que de bricoler mon petit destrier blanc… !

Je reviens donc à mon envie de vérifier le fonctionnement et remettre en état le système du volet été/hiver. Pourquoi une remise en état ? Pour tenir compte d’une remarque assez ancienne (et justifiée) de l’un d’entre vous concernant la gaine et le câble. Ces derniers présentent une certaine dégradation indigne de Titine et surtout, qui empêche sûrement un bon fonctionnement de l’ensemble… !

Me voilà donc prêt à consacrer quelques précieuses minutes à mon passe temps favori : la mécanique titinesque. Après m’être équipé de Moon boots, d’un anorak et d’une casquette à oreille comme s’il faisait froid (il ne fait que 2 degrés à l’ombre), je débâche mon petit tas de ferraille adorée, ouvre le capot, je jette un œil vers le futur lieu d’opération. C’est vrai que l’aspect de cette gaine et du câble n’est pas des plus réjouissants. Les brins du câble, torturés à mort par le serre câble, essaient désespérément de prendre des directions différentes les uns des autres. Quand à la gaine, dont les embouts ont décidés de jouer cavalier seul, elle présente la couleur et la texture d’un polychlorure de vinyle surchauffé (…de plastique cramé).

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Première étape de ma démarche : vérifier la position du clapet. Comme la température ambiante est plus proche de celle des pôles que de celle des tropiques, le petit volet devrait être en position hiver. Les deux trous du cornet d’aspiration ne permettant pas de vérifier ce point, j’entreprends de démonter la durite reliant ce cornet à la gamelle du filtre à air. Oups…! Cette durite à comme un défaut !

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Elle est en grande partie entaillée juste avant le collier de serrage… ! Encore un truc à remplacer… !

Côté volet, celui-ci est en position… été-hiver, c’est-à-dire que le clapet n‘obstrue pas vraiment le départ vers l’échappement, mais n’est pas non plus complètement ouvert dans cette direction… !

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Normalement, il devrait prendre la position ci-dessous en hiver…

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… et celle ci-dessous en été …

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Bon ! Il faut que je pratique un examen approfondi pour voir ce qui cloche… !

Premièrement, il faut vérifier la commande, et pour ça, démonter le couvercle de la gamelle du filtre à air …

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Le système est apparemment assez simple …

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… Il s’agit d’un élément qui, placé sur le couvercle, se dilate plus ou moins en fonction de la température de l’air dans le filtre à air. Grâce à un petit levier qui tire sur le câble, le déplacement provoqué par cette dilatation est amplifiée.

Pour vérifier si le système fonctionne, je décide de chauffer l’élément au briquet en prenant soin de ne pas faire ça au-dessus du carburateur … vous comprenez pourquoi j’espère ? Non ! Il parait que les vapeurs d’essence s’enflamment vite … Je dis ça, je dis rien… !

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Bon ! Premier test raté… ! Malgré une chauffe on ne peut plus efficace, le seul résultat obtenu est un dépôt de carbone sur l’élément devant normalement se dilater. Rien ne bouge. Ça c’est pas glop du tout.

Je décide donc d’aller plus loin dans mon examen, voire même d’aller jusqu’à pratiquer une opération chirurgicale. Je commence par retirer le câble côté pipe d’aspiration…

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… puis passe à la phase dissection…

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… en isolant l’élément moteur de cette invention de génie …

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A priori, la quequette étant rentrée pratiquement complètement à l’intérieur (comme quand je faisais de la plongée en eau glacée), il n’y a rien d’anormal. En tirant dessus (celle de la pièce, pas la mienne…), je m’aperçois que cette dernière n’est pas solidaire au reste …

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Jusque là, tout va bien. Je ré-emboite le tout et essaie plusieurs mouvements d’aller et retour. Là, je constate qu’il y a un petit point dur. Un coup de bombe au silicone sur l’axe brillant et le coulissement de la partie male dans la partie femelle se fait avec plus de douceur. Bon ! Je sais que tout ça frôle l’érotisme mais j’y suis pour rien. Je n’ai pas d’autres termes pour expliquer ce que je fais (surtout pour bien imager mes actions).

Ayant bien réchauffé l’ensemble grâce au 37,5 degrés de ma chaleur corporelle (je vous rappelle que je tiens la bestiole dans mes mains), je constate que la quequette est nettement sortie et que si j’essaie de la réintroduire avec une légère pression, elle ressort sans problème. Je prends un pied à queue (à coulisse pour les puristes) et vérifie la cote totale de l’ensemble.

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L’instrument de mesure indique environ 5 cm.

Je place ensuite l’ensemble dans le congélateur de Madame (sans lui dire évidemment) pour faire redescendre la température de l’ensemble…

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Après quelques minutes d’attente, je ressors la bête de ma source froide et refais une mesure …

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… 4,4 cm … ! La différence est faible mais est-elle suffisante ? J’attends quelques minutes en laissant ma petite pièce à température ambiante … Mais rien ne se passe. En la prenant dans mes mains, je constate qu’elle est encore glacée. Apparemment, c’est donc normal si l’axe n’a pas bougé. Je décide donc d’utiliser de nouveau la méthode « briquet » pour voir si la quequette va sortir de son trou. J’insiste pas trop car mes doigts commencent à sentir le cochon buclé. Puis je fais une nouvelle mesure…

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… 4,9 cm… ! Presque la mesure de départ. L’ensemble semble donc bien fonctionner, même si j’ai un gros doute sur la puissance de ce petit piston. Ce dernier à beau revenir dans sa position quand j’exerce une petite pression sur son extrémité, cette pression me semble assez faible, suffisamment pour que le dit piston n’est pas la puissance nécessaire pour entraîner le levier, le câble et le clapet. De plus, je vous rappelle que la gaine et le câble sont dans un état tel, que le coefficient de frottement n’est plus du tout négligeable par rapport aux autres efforts. Il me faut donc remplacer l’ensemble.

Je profite du fait que le Golgoth dort encore pour aller acheter un bout de gaine et de câble de frein de vélo, tout en invoquant la nécessité d’aller acheter un réducteur pour la partie évacuation de la buanderie (ce qui soit dit en passant, est la stricte vérité…).

Je trouve le tout chez tonton la bricole à Amberieu. De retour à la maison, Golgoth premier est réveillée. Vous savez la différence entre ce petit monstre et un chamois ? Ben avec un chamois, on le voit avant qu’on l’entend … (blague savoyarde pour ceux qui connaissent …). Cela ne m’empêche pas de faire durer ma trêve titinesque en remontant l’ensemble pour un petit test …

 

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C’est vrai que l’ensemble fait plus pro… Mais j’ai quand même un gros doute sur le fonctionnement. En jouant sur la longueur du câble avec le serre câble, je règle cependant l’ensemble en position hiver, mon intervention n’ayant pas durée plus d’une demi-journée, les saisons n’ont pas pu changer entre temps.

Là-dessus, je referme le capot et décide de vérifier le basculement du volet à ma prochaine sortie … mais sincèrement, j’ai des doutes sur l’état du petit piston… Enfin, la petite heure passée à bricoler Titine m’a fait énormément de bien… bien mieux que n’importe quel anxiolytique … Un vrai bonheur …

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Hello

 

Ma grande sœur surnomme ses petits enfants les chicouf !!!!!

 

Chic ils arrivent et ouf ils repartent, et oui ça se mérite des petits enfants, moi j'en ai aussi mais comme je travail encore cool

 

ceci dit encore un beau reportage titinesque

 

@ bientôt

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Une première sortie en couple pour 2018:

En ce beau jour du 4 mars qui a vu, il y a 63 ans, la naissance d’un personnage auquel je tiens particulièrement, en l’occurrence votre serviteur, nous avons décidé, ma chère et tendre et moi-même, de fêter cet évènement au restaurant. Évidemment, pour que le plaisir soit total, c’est Titine qui va nous y conduire. Je consacre donc ma mâtinée à préparer notre petit destrier pour que, d’une part il soit présentable, et que d’autre part, il ne nous fasse pas le coup de la panne… Enfin, en limiter la probabilité car avec ce petit cabriolet, la probabilité de panne reste toujours largement au dessus de zéro… Même s’il est beaucoup plus fiable qu’à ces débuts.

Je commence par vérifier l’huile, l’eau, le gaz et l’électricité… Heu à voir pour le gaz ! Puis petit tour pour faire chauffer la bête et vérifier que tout va bien. Le Dieu RA est bien là mais il a oublié de brancher le chauffage. En résumé : il caille, ce qui implique qu’il faut rester couvert. C’est pas comme ça que j’aime le mieux me balader, mais faute de vent dans la casquette, on voyagera au chaud. Cerise sur le gâteau, il pleut pas… ! A propos de pluie, il faut que je jette un œil aux essuie-glaces, des fois que la météo ait vu juste pour une fois. En effet, sur 3 sites compulsés ce matin, tous indiquent de la pluie pour après 16h00. Cela doit nous laisser le temps de déjeuner et de faire une petite balade.

Rappelez-vous… ! Le jour du salon Epoqu’Auto de l’an passé (en 2017), j’avais acheté des nouveaux bras d’essuie glaces pour remplacer ceux qui jouent les filles de l’air à chaque fois que j’en ai besoin. J’avais aussi réussi à remplacer, sur place, le plus capricieux des deux (celui côté chauffeur), mais pas l’autre (sans doute retenu par la dame en rouge…). Vous allez me dire que, puisque celui côté passager est plus sage, autant le laisser en place… ! Oui mais non ! Car comme je fais rarement les choses comme il faut (vous avez dû le constater), celui côté chauffeur (le nouveau) est chromé alors que l’autre est noir… Pourquoi chromé ? Parce que c’est le seul modèle que j’ai déniché, dans le bric à brac des stands du salon, avec la bonne longueur et surtout, la bonne inclinaison. De plus, je croyais à l’époque que ceux d’origine étaient chromés, alors que cette belle couleur n’a apparemment jamais existé sur les cabriolets. J’ai ouïe dire que les chromés n’ont même jamais été montés sur ce Peugeot. Seul l’inox a trôné sur les 204/304. Bon ! En attendant je me retrouve avec un chromé et un noir et pas question de remettre le fugitif en place.

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Il est 11h00 et je me tâte … ! Est-ce que j’essaie de monter le deuxième chromé ou est-ce que, pour une fois, je joue la prudence… Les Gremlins ne m’ayant pas encore joué un de leurs sales tours cette année, je me méfie… ! Ils pourraient par exemple casser ce deuxième bras sans que je puisse sortir l’autre bout emmancher dans l’axe, ou pire, faire revenir brusquement ce bras sur le pare brise et me transformer celui-ci en million de petits diamants sans aucune valeur, sauf pour Car glass (je crois que le dit pare-brise est encore en sécurit et non feuilleté). Si ça devait arriver, j’aurai plus qu’à me planquer dans le premier trou de rats taupiers qui envahissent le jardin pour éviter d’affronter la déception de ma dulcinée. Non je ne suis pas lâche, je suis seulement amoureux… Bon ! Tant pis ! Je laisse un bras de chaque couleur (il parait que c’est la mode avec les chaussettes). Je jette quand même un œil à la fixation du balai sur le bras chromé… ! Celui-ci à l’air de bien tenir ! Je constate cependant deux petits défauts … ! Le premier est l’absence manifeste de placage du balai sur le pare brise côté Arlette LAGUILLER (extrême gauche). Le deuxième : il y a un jeu entre balai et bras qui n’a rien à voir avec un jeu fonctionnel. Je regarde côté Chirac (à droite) … itou ! Je creuse un peu … ! Là, devant mes yeux ébahis et non émerveillés, je constate que les fixations des balais sont faites pour des bras de 7mm alors que ceux de Titine ne font que 5mm. Pas étonnant que le balayage ait toujours été erratique depuis le dernier remplacement des raclettes. Il me faut remédier à ces deux problèmes avant de passer au nettoyage de l’habitacle… !

Pour le défaut de placage, je mène une enquête poussée. Mon œil de fin limier un peu casse burnes (presbyte) constate que le balai ne peut manœuvrer librement autour de son axe. Suite à un défaut de fabrication (encore du made in china), les caractères en reliefs, inscrits sur la fixation du balai et dont on se fout complètement, limitent le débattement de cette fixation autour de son axe. De ce fait, le balai ne peut plus aller chercher dans les coins. Je le retire donc et, avec le maximum de douceur, dépose délicatement le bras contre le pare brise …

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Le risque est, comme évoqué plus haut, que le bras revienne brusquement contre la vitre … ! Je vous laisse deviner ce qui se produirait ! J’ai déjà testé comme vous vous en doutez. Mais là, tout se passe bien … ! Ouf !

Deuxième opération, écarter doucement les deux flasques du balai pour que la partie mobile, en pur PVC haut de gamme, pénètre à fond entre ces dernières …

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… Opération réussie … et sans casse !

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Je refixe le balai sur son bras et constate que le dit balai épouse mieux la forme du pare brise.

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Bon ! Je sais … ! Vous allez me dire que c’est pas parfait ! Mais à moins d’acheter des balais contorsionnistes, je ne vois pas comment faire mieux pour l’instant. Il faut dire que les ingénieurs du Lion, qui ont dessiné les lignes gracieuses de ce pare brise, n’ont certainement pas travaillé de concert avec les fabricants d’essuie glaces. Je vais donc me contenter de ce résultat… De toute façon je m’en fou, puisque vu le fonctionnement très approximatifs de cet organe de sécurité, le petit bout de vitre qui ne sera pas balayé ne devrait pas faire tâche avec le reste ! C’est pas ça qui va perturber plus ma visibilité …

Deuxième partie du problème, le jeu du balai sur son bras dû aux 2 millimètres de différence entre la partie femelle de la fixation et la largeur du bras … Pour l’instant, je ne vois pas d’autre solution que de jouer à Mc Gyver ! Je cherche donc dans mes casiers spéciaux clous et vis, une petite pointe qui permettrait de combler ce jeu …

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Miracle … Je tombe sur un casier contenant des petits clous à tête faisant le bon diamètre. Je coupe la tête de l’un d’entre eux et insère le reste dans l’interstice entre la patte et le bras. Un petit coup de silicone blanc (je n’ai pas de noir en stock) pour que le dit clou n’aille pas rejoindre les milliers de petits bouts de métal qui tapisse nos routes à la grande joie de nos pneus (et des actionnaires du Bibendum) …

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Évidemment, vous vous en doutez, tout ceci n’est que provisoire et élaboré (avec géni) dans l’urgence de la situation (vous me connaissez … !).

Après avoir nettoyé le pare brise, les vitres latérales et passé l’aspirateur sur les tapis de sol, Titine est prête pour cette première sortie 2018 avec Madame. Il me reste dix minutes pour me laver et me saper comme un beau gosse (y’a du boulot…) avant de prendre la route.

12h00 : Nous décollons de la maison, direction un petit restaurant à St Paul de Varax …

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Il y a plusieurs routes, plus ou moins directes, pour rejoindre notre destination. Mais ma chère et tendre connait un raccourci … ? Nous prenons donc un itinéraire qu’aucune Gourde qui Parle toute Seule ne nous aurait conseillé.

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Mais qu’importe ! Il fait beau, il fait chaud (dans l’habitacle seulement après avoir poussé le chauffage), le vent siffle une chanson (en s’engouffrant dans tous les défauts de raccordement de la capote et des vitres), et le moteur ronronne de plaisir, accompagné de quelques bruits de tôle. Que demander de plus ? Cela me rappelle qu’il va falloir enlever celle (la tôle provisoire) qui claque contre l’échappement et qui avait été placé là pour éviter que la graisse, qui s’échappe du soufflet troué du cardan, n’aille se réchauffer sur le tuyau brûlant, transformant à coup sûr Titine en Jan Palach (pour ceux qui ont plus de 50 ans et connu la fin des années 60)… Mais avant d’enlever la tôle, il me faut réparer ce soufflet et pour ça, faire la vidange moteur/boîte… Tout un programme chronophage inenvisageable pour les semaines qui viennent !

12h30 : Nous arrivons pile poil à l’heure au restaurant. J’ai dû pousser un peu Titine par moment car le raccourcie faisait prendre un chemin plus long que la route normale… Mais comme c’est mon anniversaire, je reste sur l’idée que ma dulcinée m’a fait prendre un raccourci …

Le ciel se couvre un peu mais comme la Grenouille (nous sommes dans la Dombes) de monsieur Météo n’a annoncé de la pluie qu’à partir de 16h00, je reste confiant.

15h30 : Après un bon repas (non arrosé), nous remontons dans Titine, bien décidés à partir en balade pour profiter de ce bel après-midi exceptionnel (il n’y en a qu’un par an en ce qui me concerne) … Le ciel est de plus en plus menaçant, mais il n’est pas encore 16h00 … ! C’est beau l’optimisme … ! A peine avons-nous fait 500 mètres que l’élément H2O s’invite sur le pare-brise. J‘attends quelques instants pour être sûr qu’il ne s’agit pas d’une vidange de vessie de volatile… ! Bon ! Ça s’arrête ! Ma douce épouse n’a pas dû remarquer ces quelques gouttes car elle n’émet aucune remarque… Tant mieux ! Nous continuons donc à rouler quand ce foutu Zeus commence à nous larguer quelques litres de cet élément liquide qui trouble le Pastis. Là, plus question d’accuser un emplumé (ou alors il est très gros… ou ils s’y mettent à plusieurs …). Très confiant, je réveille les deux fainéants pour qu’ils m’essuient la vitre afin d’y voir plus clair … ! Oups ! Voilà t’y pas que ces derniers décident brusquement de ne pas dépasser la moitié du pare brise … ! Ils restent planté là, comme deux gros glands, refusant d’aller plus loin, et surtout, par bouderie sans doute, de revenir à leur point de départ … Alors ça, c’est pas glop, mais alors pas glop du tout… !

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… Mes neurones, spécialisés dans l’analyse des coups foireux, interpellent immédiatement ma zone cérébrale spécialisée elle, dans la recherche de solutions d’urgence… Pas question de continuer à rouler comme ça ! Pour ceux qui connaissent un peu le fonctionnement électrique des essuie-glaces, la position peu orthodoxe qu’ont pris mes deux énergumènes va provoquer tôt ou tard une fumée nauséabonde dans l’habitacle … Pourquoi ? A cause de ce foutu retour automatique qui, tant que les deux compères ne sont pas revenus au repos, continue à alimenter le moteur qui les entraine… ! Pour ceux qui n’y connaissent rien en électricité, un moteur électrique bloqué mécaniquement, qu’on continue à alimenter, se comporte presque comme un court jus et fini, à plus ou moins brève échéance, par se transformer en chaufferette, puis en braséro… avant de rendre l’âme ! Je vise donc un petit parking à droite et, après un arrêt rapide derrière un camping car, je sors pour vérifier ce qui se passe … ! Inutile de sortir toute ma science… ! Le balai, que j’avais bricolé avec amour avant de partir, est échoué sur le joint supérieur du pare-brise et refuse d’aller plus loin … Une question me titille le bulbe rachidien … ! Comment se fait-il qu’il se retrouve planté là, comme un cachalot sur une plage après une tempête ? Est-ce que j’ai bien fait ce geste élémentaire qui consiste à essayer un système après intervention et avant son utilisation en grandeur réelle ? Je sais que j’ai autant de mémoire que Dory la daurade dans Némo, mais là, je suis à peu près sûr que cet essai est passé à la trappe… ! Quel gros gland tu fais Nanar … Honte à toi, bricolo du dimanche … ! Si j’avais pratiqué l’analyse de risque et un autocontrôle, j’aurai vu que ce foutu balai était plus long que celui requis et que c’est pour ça qu’il s’est fait une sortie de domaine (désolé… déformation professionnelle ...). En attendant, il faut agir vite avant d’affoler Madame par l’émanation d’un fumet non culinaire dans l’habitacle ! Je tire donc sur le bras et aussitôt, le moteur ramène mes deux lascars en position dodo. Ouf ! J’ai limité la casse car rien n’a claqué ! De retour au chaud sur mon siège, j’avise ma passagère qu’il va falloir se passer du personnel de nettoyage des vitres. Je remarque bien une pointe de contrariété mais, à part une réflexion du genre « je sens que les gouttes sur le pare brise vont vite m’agacer », je n’enregistre aucune remarque désobligeante sur l’état générale de notre petit destrier.

C’est donc sous une pluie battante et sans essuie glace que nous reprenons la route.

  • « Mais t’y vois rien ? » me dit ma tendre épouse
  • « T’inquiète ! Je regarde à travers les gouttes… ! »
  • « Moi ça me gène … !
  • « J’ai déjà roulé comme ça… ! »

 

Et pour rajouter un trait d’humour…

  • « si on dépasse les 160 km/h, l’eau sera éjectée automatiquement du parebrise … ! »

 

Ces dernières paroles ont eu l’effet escompté. Voyant que je prenais ce petit problème à la rigolade, Madame se sent rassurée.

Personnellement, j’ai déjà vécu plusieurs fois cette situation mais pour Madame, c’est vrai que c’est un peu nouveau. Aussi, elle décide d’un commun accord avec elle-même, que le mieux, c’est quand-même de rentrer à la maison. Elle ne peut s’empêcher de lâcher :

  • « ça va me gâcher mon aprèsmidi »… !

 

Dans ces cas là, je préfère faire canard. Je ne peux lui donner tort.

16h40 : Nous sommes de retour à la maison, toujours sous la pluie. Je me tâte pour remettre la bâche de protection sur Titine car cette dernière est trempée jusqu’à la moelle (je n’ai pas d’expression équivalente pour une voiture). Inutile d’enfermer l’humidité sous la protection. Ce serait donner mon petit destrier blanc en pâture à la dame en rouge. Je la laisse donc comme ça, sous son quart port, en me promettant que je viendrai la bâcher dès que la pluie cessera … Je suis quand même content de ma journée. Cette première sortie en couple n’a été que du bonheur … Maso vous avez dit ? Non ! Mais il m’en faut peu pour être heureux …

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