L'ivresse de la passion....[Porsche 911 2.4 E inside)

[Invité §cha054ld]

Salut !

suite à la demande de scirocco62, je poste la bafouille que j'avais rédigé suite à la conduite d'une belle Porsche 911 de 1973, une 2.4l 'E' (injection en allemand). C'est un petit peu long à lire mais pour récompenser la lecture, il y a quelques photos en bas du post.

 

Bonne lecture

 

"Ivresse de la passion, ou comment Zuffenhaussen et l’Automne peuvent faire bon ménage…

 

 

 

L’automne, son fichu temps, ses feuilles mortes et ses couleurs si typiques rappelant par flash back des photos souvenirs des années 70, époque ô combien révolue sur bien des plans, l’automne et sa fin d’après midi digne d’un clair obscur dirigé par une lumière chaude et rasante, contrastant avec le froid hivernal qui n’est pas si loin qu’on le croit…

 

La porte du garage est désormais ouverte ! Une fraîcheur vivifiante invite à une dernière sortie avant l’hiver. Installation aux commandes de l’engin après l’ouverture de la portière conducteur au bruit froid. D’emblée la position est ferme et très basse, agréable sensation d’être calé dans le siège. De la main droite je clipse ma ceinture de sécurité, de la main gauche je tourne doucement la clé dans la serrure…contact ! Le moteur démarre au quart de tour. Réglage du starter à main, situé à coté du frein de parking , aux environs de 1200trs/minute, tandis que je fini de parfaire le réglage de mon rétroviseur extérieur. Le temps de laisser le moteur prendre une température minimale, dernières recommandations du passager qui n’est autre que le propriétaire de l’auto.

Allumage des feux, suppression du starter à main et première embrayée, le moteur vrombit et l’auto sort de son refuge, presque timidement. Court escapade en centre ville, l’auto daigne à rouler sans s’exprimer de la plus belle façon qui soit, le flat six prend rapidement sa température de fonctionnement mais semble comme bridé. C’est alors que l’on découvre un spectacle charmant : les passants se retournent sur son passage, comme fascinés par la belle qui malgré ses 30 printemps attire les regards sympathiques de quatragènaires qui l’espace d’un instant revoient la voiture dont ils rêvaient étant gosse. Intemporelle par sa ligne pure, enchanteresse par le mythe qu’elle représente, envoûtante par sa mélodie si caractéristique, les superlatifs ne manquent pas pour tenter d’analyser ce phénomène qu’est « la » Porsche.

Malgré un comportement exemplaire et une facilité insoupçonné à se glisser dans le trafic urbain, l’auto réclame ses petites départementales secondaires, oubliez les grandes avenues et l’autoroute, place aux petites routes de campagne, désertes au possible, succession de virages en guise de cerise sur le gâteau.

Sortie d’agglomération, rapport en 2ème, je monte doucement mais sûrement le régime moteur, 2000trs, 2500, 3000tours…le flat six prend ses tours de façon linéaire, du moins j’en ai l’impression. Passage au dessus des 3000trs/minutes, je me trouve désormais aux commande d’un missile « sol-sol », le moteur si creux en bas régime trouve dès lors toute sa puissance à mesure que l’on presse la pédale d’accélérateur. 4000tours/minutes, passage sur le 3ème rapport et aussitôt accélération, la voiture se cambre légèrement, le capot se redressant de quelques centimètres, à l’image du cheval qui frappe le blason du capot, l’auto semble désormais rivée à la route à mesure que la vitesse augmente, rapide passage en 4ème, la boite 915 est ferme et ne croche pas. 110, 120, 130, l’aiguille monte à une rapidité déconcertante. Le premier virage se profile à l’horizon : contrôle des rétroviseurs, un pied sur l’embrayage pour un rétrogradage sur le rapport inférieur juste avant l’entrée du virage, et le second sur la pédale d’accélérateur ; passage sur le troisième rapport in extremis, à cet instant, le moteur rugit littéralement dans notre dos à plus de 5000trs, relance franche du pied droit, la pédale d’accélérateur est plaquée au sol. Le coup de pied aux fesses est phénoménal, le flat six respire ! Enfin semble t-il nous faire comprendre ! Il n’est pas question de se laisser griser par cette délicate odeur d’huile chaude qui envahi l’habitacle, l’aiguille du tachymètre va bientôt flirter avec les interdits de la zone rouge, passage supérieur en sortie de courbe.

La ligne droite se profile à travers la forêt, désormais hantée par un bruit rauque et de plus en plus métallique à mesure que la Porsche prend de la vitesse. Les arbres défilent si vite…160…180…5ème…la barre des 200km/h est franchie sans aucune difficulté… « bienvenue dans le club des plus de 200km/h » comme me rappelle une publicité Sonauto d’époque…220, l’auto nous donne son maximum, la suspension trahit la moindre aspérité de la chaussée, la direction est ferme, il s’agit d’être vigilant et de tenir le volant d’une main sûre. Un panneau indique une courbe en « S » à 300m, Interdiction de toucher aux freins pour le moment, rétrogradage non sans un plaisir d’en prendre plein les oreilles de cette sonorité, que dis-je, de cette mélodie !

La courbe se rapproche, une double pression ferme et rapide sur la pédale centrale suivie d’un rétrogradage sur le 3ème rapport. L’enchaînement de la courbe se fait d’une facilité déconcertante à plus de 120km/h ! L’auto possède un énorme potentiel d’adhérence ! Après quelques kilomètres à son volant, j’eu l’étrange et délicieuse impression de faire corps avec l’auto, anticiper ses réactions, l’entendre vivre, respirer…La nuit commence à tomber.

Passage dans un tout petit bourg, dont l’étroitesse des ruelles amplifièrent la mélodie des 6 cylindres à plat, la Porsche se dirigea presque d’elle même sur le haut de la vallée.

Clignotant à droite, 2ème, freinage doux mais néanmoins ferme, l’auto est désormais au ralenti, dominant la vallée et la forêt, parler de son terrain de jeu serait sans doute plus approprié…

Nous prenons quelques minutes à contempler la vue magnifique qui s’offre à nous, cette foret orange, rousse, bordeaux, illuminée par un soleil couchant. Le cliché serait parfait. Les premiers signes de trépignements commencent à se faire sentir, nous devons reprendre la route, j’aime ça, elle est fait pour ça. Je me retrouve cette fois passager de l’Elégante.

 

L’auto repart doucement, dans un feulement de velours…qui ne dure pas, après un aller de conduite par un amateur, la Porsche réclame son maître, qui le lui rend bien, fort bien ! Dès lors j’assiste à une formidable maîtrise de l’auto, n’hésitant pas à pratiquer le double débrayage, usant et abusant du talon pointe, Guy me fait une véritable démonstration de pilotage sur un tracé sinueux à souhait. Le flat six rugit, s’exprime, vit !

Repoussant l’auto dans ses derniers retranchements, l’heureux propriétaire garde ce sourire de plaisir et ce regard d’enfant empli de bonheur comme s’il prenait le volant de la Porsche pour la première fois, un certain paradoxe pour une histoire fusionnelle qui dure depuis 28 ans déjà ! L’un vieilli là où la seconde ne subit pas les outrages du temps, la reconnaissance d’un entretien toujours méticuleux et sérieux. Force est de constater que l’auto nous le rend au centuple ! au minimum…

 

Nous voilà depuis plus d’une heure à sillonner les petites routes…que le temps passe vite. Il est désormais temps de laisser aller l’auto à un rythme moins effréné pour permettre au moteur de refroidir avant de rejoindre son garage.

 

Voilà la « 2.4 E » garée comme il se doit, coupure de l’allumage, le moteur à injection s’arrête aussitôt. Nous restons plusieurs minutes sans une parole à profiter de ces derniers instants, respirants à plein poumons cette enivrante odeur d’huile chaude, les quelques vapeurs d’essence se mélants agréablement bien à l’ensemble, le tout dans une chaleur permise par le Flat.

 

Une dernière caresse sur le flanc d’aile avant de la quitter des yeux… Cette Porsche 2.4 E est décidément la plus sensuelle et démoniaque des maîtresses ! Impression confirmée d’un léger sourire par Guy, que je ne saurais remercier assez pour m’avoir permis de réaliser ce que je pensais rester du domaine du rêve : prendre le volant d’une automobile, d’un mythe ! "

 

http://membres.lycos.fr/nurseryrhymes/Forum/24E-1.jpg

 

http://membres.lycos.fr/nurseryrhymes/Forum/24E-2.jpg

 

http://membres.lycos.fr/nurseryrhymes/Forum/911-560-3.jpg

911 2.4 E de 1973 - 165 ch & Mercendez Benz 560 SEL de 1987 - 300 ch

6 cylindres à plat contre V8...tous allemands

[Invité §cel144mm]

Merci beaucoup pour ce recit, on s'y croirait.

[Invité §Nel201ew]

Salut !

suite à la demande de scirocco62, je poste la bafouille que j'avais rédigé suite à la conduite d'une belle Porsche 911 de 1973, une 2.4l 'E' (injection en allemand).

 

Le E c'est pas pour injection, c'est le niveau de gamme, au dessus de la T et sous la S.

Pas sur que les jantes soient d'époques

[Invité §Ric254ve]

C'est très bien raconter, toutes mes félicitations, c'est sûr qu'une telle auto, avec une ligne intemporelle comme tu le dis, doit procurer des sensations très spéciales.

[Invité §cel144mm]

Ce sont des jantes ATS, et il me semble qu'elles sont d'époque.

[Invité §cha054ld]

les jantes sont des 'ATS' qui ont fait peur apparition (discrète certes) sur le millésime 1973, simplement les célébres Fuchs tenaient le haut du pavé. Les ATS ont surtout étes connus à partir de 1974.

 

Effectivement le E est entre la T et la S, mais le 'E' veut bien dire Einspritzer, ce qui veut dire 'injecteur', le 'S' étant pour Sport, et le T, je n'arrive jamais à m'en rappeler..

 

Les trois 911 2.4l de l'époque (1972-73) soit la 'T', la 'E' et la 'S' faisaient respectivement 130ch, 165ch et 190ch , ça fait suite à l'augmentation de cylindrée (1970-1972 : 2.2l)

[Invité §zed465YD]

"T" pour "Touring" et "E" pour "Einspritzung" (soit "Injection" )

[gromiko]

Sympa le récit.

T ce n'était pas pour Targa ???

[Invité §8-B828FZ]

Sympa le récit.

T ce n'était pas pour Targa ???

 

Non, pour les coupés comme les Targa en 2.4:

- T est le modèle "de base", carbus 130ch

- E est le modèle "intermédiaire", injection 165ch

- S est le modèle "sport", injection 190ch

 

En fait les dénominations T, E et S ne concernent que le moteur et le chassis ainsi que des petites différences à l'intérieur il me semble

 

[Invité §jir135UP]

Superbe récit.

[Invité §six822dW]

Récit vraiment fantastique, c'est beau la passion automobile !

 

Et puis Porsche ... le rêve presque inaccessible

[Invité §cel144mm]

Une 911 de ce type coute entre 15 000 et 20 000 euros max, donc c'est pas si inaccessible...

[Invité §KAN466hr]

inaccessible non

 

MAis les pieces sont tres cher surtout la pompe a huile

[steph87]

Ce sont des jantes ATS, et il me semble qu'elles sont d'époque.

Oui meme si on voit surtout des jantes fuchs 5 batons sur les porsche de cette époque. Les fuchs pouvait être peinte en noire ou en couleur carrosserie sur les RS

Plus rare il existait aussi des fuchs 4 batons et ces ATS

[Invité §six822dW]

Une 911 de ce type coute entre 15 000 et 20 000 euros max, donc c'est pas si inaccessible...

 

Mouarf, j'en aurai une un jour je pense, mais là chui encore trop petit

[steph87]

Je viens de voir un 2,4T pour 13000 € dans un bon état. Les modèles T sont un peu mal aimé et pourtant... Dieu sait que je m'en contenterais

 

Un jour

[Invité §KAN466hr]

[citation]

Je viens de voir un 2,4T pour 13000 € dans un bon état. Les modèles T sont un peu mal aimé et pourtant... Dieu sait que je m'en contenterais [/quotemsg]

 

Ca me fait toujours rire les mal aimé.

 

Les 914 ont etait mal aimés pourtant elle ont la cote maintenant.

pareil pour les 928 ou les 944 elles interresses de plus en plus de monde.

 

Un jour la 2.4 T sera coté et recherché et pleins de gens se diront mince quand je pense qu'il ya 10 ou 15 ans ça valait rien pare ce que personne en voulais.

 

 

[steph87]

[citation]Le 05/05/2004 à 11:42, KANEDA1 a écrit :

<div class="citation">Je viens de voir un 2,4T pour 13000 € dans un bon état. Les modèles T sont un peu mal aimé et pourtant... Dieu sait que je m'en contenterais [/quotemsg]

 

Ca me fait toujours rire les mal aimé.

 

Les 914 ont etait mal aimés pourtant elle ont la cote maintenant.

pareil pour les 928 ou les 944 elles interresses de plus en plus de monde.

 

Un jour la 2.4 T sera coté et recherché et pleins de gens se diront mince quand je pense qu'il ya 10 ou 15 ans ça valait rien pare ce que personne en voulais.

</div>

C'est le meme probleme avec les 2,7 ( je ne parle pas des Rs ni des carrera ) mais elles restent les 911 les moins cheres l'achat et une fois équipée d'un carter de SC, fini les gros problèmes

 

 

 

[Invité §six822dW]

Pourquoi c'est quoi le problème ? pour quelle raison il faut changer le carter ?

[steph87]

Pourquoi c'est quoi le problème ? pour quelle raison il faut changer le carter ?

Il était en magnésium et assez fragile

[Invité §six822dW]

Il était en magnésium et assez fragile

 

Ah ok, merci Si y a que ça alors

[steph87]

Elle a aussi été mal vue avec ses pare choc soufflet et ses ailes arrieres encore droites

De plus elles ne sont pas trop performantes, la crise pétrolière de l'époque ne plaidait pas en la faveur des réalisations de Porsche. ca ira mieux en 79 avec la sortie de la Sc

[Invité §Ang786hm]

Elle a aussi été mal vue avec ses pare choc soufflet et ses ailes arrieres encore droites

De plus elles ne sont pas trop performantes, la crise pétrolière de l'époque ne plaidait pas en la faveur des réalisations de Porsche. ca ira mieux en 79 avec la sortie de la Sc

Je me permets de te contredire...en effet, les 2.7l sont les dernière vrais porsche 911 avant l'idée de la marque d'arrêter la 911 et de privilégier les porsches à moulbif avant (928, 924, 944...) quand la SC est sortie les puristes ont criés au scandale voyant que la puissance n'exedais pas 180 ch... Oui les SC sont super fiables (presque autant que les 3.2l ) mais mal aimées au départ...l'amour des porschistes pour la belle la réintégré parmis les puristes...Mais ne pas oublier l'histoire...

 

Porsche à même fait marche arrière en faisant évoluer la SC 188ch puis 204 ch....

[Invité §80_610Se]

Tres beau récit et très bien écrit.

On s'y croit vraiment !

En effet, l'acquisition d'une telle auto est désormais un rêve relativement accessible au niveau du prix. Surtout quand on remarque que c'est le tarif d'une 206 ou Clio de milieu de gamme !

Par conntre, niveau perf pur, que donne la 2.4 E sur le papier ?

[steph87]

Je me permets de te contredire...en effet, les 2.7l sont les dernière vrais porsche 911 avant l'idée de la marque d'arrêter la 911 et de privilégier les porsches à moulbif avant (928, 924, 944...) quand la SC est sortie les puristes ont criés au scandale voyant que la puissance n'exedais pas 180 ch... Oui les SC sont super fiables (presque autant que les 3.2l ) mais mal aimées au départ...l'amour des porschistes pour la belle la réintégré parmis les puristes...Mais ne pas oublier l'histoire...

La dernière vrai 911. On a dit ca a chaque nouveau modèle et le succes est toujours au rendez-vous... Pour notre plus grand bonheur

Devant la demande Porsche devait resortir une voiture avec un moteur en porte-à-faux arriere et des ailes de grenouilles, une 911 quoi

Mais tu as raison à propos de l'envie de Porsche de stoper la production de la 911. Mais pour ma part je pense que cette idée a du germer dans la tete des dirigeants au moment du choc pétrolier, on voit alors apparaitre des Porsches moins performantes.

 

Pour la Sc et sa première version, c'est clair qu'au niveau puissance c'était pas la folie furieuse mais c'est un peu dans le meme esprit que la 2,7. En terme de performance pure je ne sais pas si une 2,7 160 cv vaut une 3,0 sc 180. Par contre j'aimerais bien faire le test

 

 

 

[Invité §Ang786hm]

La dernière vrai 911. On a dit ca a chaque nouveau modèle et le succes est toujours au rendez-vous... Pour notre plus grand bonheur

Devant la demande Porsche devait resortir une voiture avec un moteur en porte-à-faux arriere et des ailes de grenouilles, une 911 quoi

Mais tu as raison à propos de l'envie de Porsche de stoper la production de la 911. Mais pour ma part je pense que cette idée a du germer dans la tete des dirigeants au moment du choc pétrolier, on voit alors apparaitre des Porsches moins performantes.

 

Pour la Sc et sa première version, c'est clair qu'au niveau puissance c'était pas la folie furieuse mais c'est un peu dans le meme esprit que la 2,7. En terme de performance pure je ne sais pas si une 2,7 160 cv vaut une 3,0 sc 180. Par contre j'aimerais bien faire le test

 

N'ayant conduit que des porsches post Sc je ne peux malheureusement pas parler de la différence...Mais je peux affirmer que la sc s'est embourgeoisée et est donc plus lourde!!

 

Je dis pas que c'est la dernière vrais 911 comme on à pu le dire lors de la sortie de la 993 ou 964 (grenouille powwwa) mais comme celle que Porsche avait décidé comme étant la dernière à l'époque à savoir sans déscendance!!

 

Je pense pas que la crise pétrolière est vraiment été l'élément déclancheur quand on sait qu'à la même époque PORSCHE poussait le produit 928 (qui était pour eux l'eldorado de l'époque) qui je vous le rappel est un GOUFFRE économique en entretien (revision, consommation gargantuesque, comme en assurance)

 

[Invité §cel144mm]

Il était en magnésium et assez fragile

 

Ah bon, j'ai jamais entendu parler de ça...

 

Les 2.7 et les 3l sont aujourd'hui trés appréciées. De toutes manières, les Porsches ne restent jamais au creu de la vague. Le prix chute pour mieux remonter ensuite...

[steph87]

Ah bon, j'ai jamais entendu parler de ça...

J'ai un article qui en parle je regarderai ca demain

Les 2.7 et les 3l sont aujourd'hui trés appréciées. De toutes manières, les Porsches ne restent jamais au creu de la vague. Le prix chute pour mieux remonter ensuite...

[/quotemsg]

Les 3l sont tres aprécié la 2,7 cote moins, mais il est certain qu'elle remontera

[Invité §cel144mm]

Ok

 

Et je vais jetter un oeil dans le guide d'achat de Flat6...

[Invité §Ang786hm]

N'ayant conduit que des porsches post Sc je ne peux malheureusement pas parler de la différence...Mais je peux affirmer que la sc s'est embourgeoisée et est donc plus lourde!!

 

Je dis pas que c'est la dernière vrais 911 comme on à pu le dire lors de la sortie de la 993 ou 964 (grenouille powwwa) mais comme celle que Porsche avait décidé comme étant la dernière à l'époque à savoir sans déscendance!!

 

Je pense pas que la crise pétrolière est vraiment été l'élément déclancheur quand on sait qu'à la même époque PORSCHE poussait le produit 928 (qui était pour eux l'eldorado de l'époque) qui je vous le rappel est un GOUFFRE économique en entretien (revision, consommation gargantuesque, comme en assurance)

parceque c'est important :D

[steph87]

parceque c'est important :D

Tout ce qui concerne Porsche est important

[Invité §lud211Vq]

j'ai presque envie de pleurer tellement ca fait envie

 

j'ai oublié Sarkozy le temps de ma petite lecture alors bravo à toi pour cet exploit

[Invité §sci863hC]

Excuse moi de ne pas l'avoir lus avant mais.... Qu'est ce c'est BEAU et magnifiquement raconter tu as un talent certain pour narrer les faits c'est indéniable, quand j'ai vu la tartine je me suis dis "mouarf çà fait beaucoup aussi..." mais; franc chapeau je ne regrète vraiment pas çà s'est lut d'une traite encore bravo :bien: :bien: :bien:

 

Et merci pour la dédicace

[Invité §sci863hC]

trop beau pour sombrer

[Invité §cha054ld]

je vais chercher ça cette apres midi, j'ai des photos de la Porsche aux 1ers Porsche Days