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ADA condammé : n'hésitez pas à les traîner en justice !


Invité §jar007Ah
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Invité §jar007Ah

J'ai assigné la société ADA en jugement, et celle-ci vient d'être condammée (jugement du 27 mars 2015).

Pour ceux et celles qui voudraient porter une affaire semblable devant les tribunaux, je livre ici les grandes lignes de la requête rédigée par mon avocat, ainsi que le jugement rendu.

Le 26 septembre 2013, j'ai signé auprès de la société ADA de Nice un contrat de location d'un véhicule utilitaire, pour 24 heures.

Lors de la signature de ce contrat, la société ADA a exigé la prise d'une "empreinte" de ma carte bancaire. Un état descriptif du véhicule a été réalisé, et de celui-ci est ressorti que le véhicule était porteur de pas moins de huit rayures, marques et autres résidus de chocs.

Au retour du véhicule, ADA constate une rayure supplémentaire sur le pare-choc avant droit (Je ne conteste pas), et se permet, deux jours plus tard, de prélever la somme de 457 € sur mon compte bancaire, sans me prévenir, et sans justifier du montant de la somme débitée.

J'ai mis en demeure ADA de me rembourser la somme prélevée ou, tout au moins, de me produire des justificatifs de la réalité des réparations entreprises.

Le 30 décembre 2013, ADA m'opposait son refus catégorique au remboursement, et le justifiait en produisant un "devis" de remise en état établi par un expert mandaté par ses soins.

La requête rédigée par mon avocat insiste sur les points suivants :

1. le devis est daté du 27 septembre 2013, soit le jour même du retour du véhicule, et il émane d'une société située à Nanterre, soit à plus de 900 kms de Nice... Ils ont fait appel à Superman...

2. Un devis ne constitue pas un justificatif de l'effectivité des réparations, mais une simple estimation.

3. L'état dans lequel se trouvait le véhicule (huit traces de chocs) démontre que ADA ne fait pas procéder systématiquement aux réparations nécessaires sur les véhicules qu'elle loue.

4. Le pare-choc était déjà endommagé avant même que le véhicule me soit loué.

En conclusion de requête, j'estimais que j'étais en droit de me demander pourquoi j'aurais du assumer seul la remise à neuf d'un pare-choc déjà endommagé, surtout lorsque ADA était incapable de me démontrer la réalité des réparations engagées. De plus, ADA s'était permis de débiter mon compte sans me prévenir. Je n'avais donc jamais donné mon accord à ce prélévement.

Je me suis moi-même représenté au tribunal. ADA ne s'est pas fait représenté. J'étais la seule partie devant le juge.

Je vous livre le jugement dans son intégralité. il est, pour le moins, expéditif :

" Attendu que c'est à juste titre que le requérant s'interroge sur la valeur du devis versé par la société ADA au regard de des conditions de son émission,

Que par ailleurs il est établi que la somme de 457 € a été prélevée unilatéralement sans prévenir l'intéressé ni recueillir son accord après l'avoir régulièrement informé,

Que par conséquent la demande de remboursement de la somme ainsi prélevée est justifiée,

Attendu que les désagréments résultants de cette manière de procéder conduisent allouer au requérant une somme de 150 € au titre du péjudice subi et de 150 € au titre des frais irrépétibles."

ADA est donc condammé à me verser 857 €.

Il ressort de cette affaire que ADA a été condamné pour avoir opéré un " hold up " sur mon compte bancaire, et n'avoir pas respecté le code de la consommation (triptyque devis-facture-réglement)...

J'ai fait appel à un avocat pour rédiger la requête (coût : 400 €). je ne rentre donc pas tout à fait dans mes frais, mais le jeu en valait la chandelle. Il n'y a pas de petite victoire.

Ce recours à un avocat n'était pas nécessaire. Les greffes des tribunaux d'instance délivrent à la demande des formulaires - simples - qui permettent d'exposer les faits et de présenter une requête. Se représenter soi-même reste une épreuve, mais elle n'est pas insurmontable. Les juges sont en général très indulgents, et n'oublient jamais que vous n'êtes pas avocat.

Je reste à la disposition des internautes qui voudraient me poser des questions.

 

HAUT

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Invité §ar 511df

Merci pour ce retour de jugement car les loueurs (certains) ne se privent pas d'outrepasser leurs droits.

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Invité §ash741Us

A noter que le jugement ne porte pas sur le fait de faire ou non les réparations

 

En effet, personne n'est obligé de réparer le véhicule, on doit simplement être indemnisé pour le préjudice subit et on fait ce que l'on veut avec cette indemnisation

 

Le jugement porte en fait sur le fait d'avoir prélevé unilatéralement le montant d'un devis qui ne vous a pas été présenté, il notifie également les conditions d'émission du devis sans toutefois pouvoir affirmer qu'il y a un arrangement ou pas (vu qu'il n'y a pas de preuve et qu'il est fort possible d'estimer des dégâts sur simple photo comme le font certains experts mandatés par des assureurs)

 

Bref, si ADA vous avait informé du montant et vous avait signalé que la somme allait être prélevée sur votre compte (via votre carte bancaire), le jugement aurait pu être tout autre

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Invité §RGL883gy

J'ai assigné la société ADA en jugement, et celle-ci vient d'être condammée (jugement du 27 mars 2015).

Pour ceux et celles qui voudraient porter une affaire semblable devant les tribunaux, je livre ici les grandes lignes de la requête rédigée par mon avocat, ainsi que le jugement rendu.

Le 26 septembre 2013, j'ai signé auprès de la société ADA de Nice un contrat de location d'un véhicule utilitaire, pour 24 heures.

Lors de la signature de ce contrat, la société ADA a exigé la prise d'une "empreinte" de ma carte bancaire. Un état descriptif du véhicule a été réalisé, et de celui-ci est ressorti que le véhicule était porteur de pas moins de huit rayures, marques et autres résidus de chocs.

Au retour du véhicule, ADA constate une rayure supplémentaire sur le pare-choc avant droit (Je ne conteste pas), et se permet, deux jours plus tard, de prélever la somme de 457 € sur mon compte bancaire, sans me prévenir, et sans justifier du montant de la somme débitée.

J'ai mis en demeure ADA de me rembourser la somme prélevée ou, tout au moins, de me produire des justificatifs de la réalité des réparations entreprises.

Le 30 décembre 2013, ADA m'opposait son refus catégorique au remboursement, et le justifiait en produisant un "devis" de remise en état établi par un expert mandaté par ses soins.

La requête rédigée par mon avocat insiste sur les points suivants :

1. le devis est daté du 27 septembre 2013, soit le jour même du retour du véhicule, et il émane d'une société située à Nanterre, soit à plus de 900 kms de Nice... Ils ont fait appel à Superman...

2. Un devis ne constitue pas un justificatif de l'effectivité des réparations, mais une simple estimation.

3. L'état dans lequel se trouvait le véhicule (huit traces de chocs) démontre que ADA ne fait pas procéder systématiquement aux réparations nécessaires sur les véhicules qu'elle loue.

4. Le pare-choc était déjà endommagé avant même que le véhicule me soit loué.

En conclusion de requête, j'estimais que j'étais en droit de me demander pourquoi j'aurais du assumer seul la remise à neuf d'un pare-choc déjà endommagé, surtout lorsque ADA était incapable de me démontrer la réalité des réparations engagées. De plus, ADA s'était permis de débiter mon compte sans me prévenir. Je n'avais donc jamais donné mon accord à ce prélévement.

Je me suis moi-même représenté au tribunal. ADA ne s'est pas fait représenté. J'étais la seule partie devant le juge.

Je vous livre le jugement dans son intégralité. il est, pour le moins, expéditif :

" Attendu que c'est à juste titre que le requérant s'interroge sur la valeur du devis versé par la société ADA au regard de des conditions de son émission,

Que par ailleurs il est établi que la somme de 457 € a été prélevée unilatéralement sans prévenir l'intéressé ni recueillir son accord après l'avoir régulièrement informé,

Que par conséquent la demande de remboursement de la somme ainsi prélevée est justifiée,

Attendu que les désagréments résultants de cette manière de procéder conduisent allouer au requérant une somme de 150 € au titre du péjudice subi et de 150 € au titre des frais irrépétibles."

ADA est donc condammé à me verser 857 €.

Il ressort de cette affaire que ADA a été condamné pour avoir opéré un " hold up " sur mon compte bancaire, et n'avoir pas respecté le code de la consommation (triptyque devis-facture-réglement)...

J'ai fait appel à un avocat pour rédiger la requête (coût : 400 €). je ne rentre donc pas tout à fait dans mes frais, mais le jeu en valait la chandelle. Il n'y a pas de petite victoire.

Ce recours à un avocat n'était pas nécessaire. Les greffes des tribunaux d'instance délivrent à la demande des formulaires - simples - qui permettent d'exposer les faits et de présenter une requête. Se représenter soi-même reste une épreuve, mais elle n'est pas insurmontable. Les juges sont en général très indulgents, et n'oublient jamais que vous n'êtes pas avocat.

Je reste à la disposition des internautes qui voudraient me poser des questions.

 

HAUT

Bonjour,

 

Merci pour l'exposé de ce récit... assez épique.

Je me permets de vous contacter car je viens de vivre une expérience client ubuesque et c'est le moins que l'on puisse dire...

En synthèse, j'ai loué un véhicule utilitaire fin juillet avec la société ADA. Après 3h de route, un voyant jaune du véhicule s'est allumé (symbole moteur). Ce dernier clignotait puis restait allumé en continu. J'ai appelé l'assistance qui m'a demandé de ne pas prendre en compte ce voyant si je en ressentais pas de problèmes lors de la conduite.

 

Aussi, le lendemain, le voyant s'est à nouveau allumé et j'ai rencontré un problème moteur puisque le véhicule n'avait plus de "reprise". Il y avait de l'essence dans le réservoir et me suis garé comme sur le parking d'une station service. J'ai appelé l'assistance qui, après quelques questions de routine a envoyé un dépanneur qui a constaté une perte de puissance.

J'ai été appelé par l'agence de Gare de Lyon qui m'informe que la panne est liée au fait qu'il n'y avait plus d'essence, que la perte de puissance existait mais qu'elle était minime... Je viens d'être prélevé de la somme de 972,72€ pour le rapatriement du véhicule.

 

 

Aussi, je conteste fortement ce prélèvement dans la mesure où j'ai la preuve qu'il y avait de l'essence (attestation du dépanneur), que l'assistance m a aiguillé et a effectué un pré diagnostic, que le dépanneur est venu en constatant un problème et qu’il y avait de l’essence.

 

Aussi, pourriez vous m'aider pour que je puisse obtenir réparation ? Dois je engager un avocat ? aller directement dans un tribunal d'instance...

 

Puis je vous contacter directement ?

 

Rodolphe

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Bien que vous cherchiez uniquement à joindre jarry06390 ...

Est-ce que vous avez une attestation écrite du dépanneur concernant la présence d'essence ?

Si oui, en avez-vous fait état auprès du loueur ? Lui avez-vous fourni ?

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Invité §Mar532GW

Bonjour à tous,

 

Je me permets de répondre sur ce post, car il m'a été très utile quand j'ai été confrontée à un problème de même type avec ADA et que j'ai décidé de recourir à un référé-provision contre eux.

 

Je souhaite donc continuer à "propager la bonne parole" ;-), afin que d'autre ne se laisse pas avoir non plus.

 

Voici un résumé des faits :

 

- Février 2018, nous avons réglé la location d’un utilitaire via le site Internet de Ada et souscrit une assurance/garantie complète.

- Mars 2018, nous avons récupéré notre véhicule à l’agence Ada Nation, un véhicule qui était déjà en fort mauvais état.

- Nous avons signé ce jour-là un état descriptif de départ , ainsi que le contrat de location.

- Nous avons également fait un dépôt de garantie de 290€.

- Deux jours après, nous sommes aller rendre le véhicule. Malgré nos contestations, nous avons été forcé de signer un état de retour vide de descriptif, faisant mention d’un accident.

- A notre grande surprise, la caution de 290€ a été encaissée 48h, dont un dimanche, après la restitution du véhicule sans qu’aucune des étapes du process de gestion de notre garantie complète n’ai été respectée, à savoir : 1 - Constater les dommages au véhicule lors du retour / 2- Visio-expertise/ 3- Déclaration de sinistre/ 4 - confirmation de prise en charge.

- Avril 2018. Nous avons alors tenté de joindre, sans succès, l’agence Ada Nation, puis celle de Montreuil dont elle dépend.

- Sans réponse concrète quant au litige, nous nous sommes résolus à envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception, tant à l’agence Ada qu’au service consommateurs Ada de Clichy (siège de Ada), leur demandant toutes les explications et tous les documents justifiant ce prélèvement

 

 

En juillet 2018, avec tous nos éléments et sans réponse ni de l'agence, ni du siège, nous avons fait appel à une avocate, qui a rédigé un référé- provision (plus rapide car la comparution est quasi immédiate et moins coûteux qu'un procès, à faire lorsque l'on est sûr d'avoir raison et de gagner), qui leur a fait parvenir une assignation à comparaître par huissier.

 

A peine 4 jours plus tard, nous recevions un courrier de la part d'ADA, avec un chèque de 500€ pour arrêter la procédure.

 

Comme ce courrier est un exemple de mauvaise foi et de mépris du client, je m'en épargnerais ici la douloureuse copie, cependant, je vous livre néanmoins le contenu d'un des paragraphes, qui me semble être anthologique : "Il va de soi que ce règlement ne vaut aucunement reconnaissance d'une quelconque responsabilité de la société ADA, dans le litige qui vous oppose à l'agence du boulevard de Charonne".

 

 

Sur les conseils de notre avocate, nous avons décidé d'en rester là de notre démarche.

 

Bon courage à tous et surtout ne renoncez pas fasse aux difficultés d'une quelconque procédure ! ADA joue notamment avec la multiplication de ses filiales, qui rendent parfois difficilement identifiable l'antenne à attaquer en justice. Sachez, qu'il s'agira toujours de celle figurant en en-tête de votre facture.

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Invité §Mus416aL

J'ai assigné la société ADA en jugement, et celle-ci vient d'être condammée (jugement du 27 mars 2015).

Pour ceux et celles qui voudraient porter une affaire semblable devant les tribunaux, je livre ici les grandes lignes de la requête rédigée par mon avocat, ainsi que le jugement rendu.

Le 26 septembre 2013, j'ai signé auprès de la société ADA de Nice un contrat de location d'un véhicule utilitaire, pour 24 heures.

Lors de la signature de ce contrat, la société ADA a exigé la prise d'une "empreinte" de ma carte bancaire. Un état descriptif du véhicule a été réalisé, et de celui-ci est ressorti que le véhicule était porteur de pas moins de huit rayures, marques et autres résidus de chocs.

Au retour du véhicule, ADA constate une rayure supplémentaire sur le pare-choc avant droit (Je ne conteste pas), et se permet, deux jours plus tard, de prélever la somme de 457 € sur mon compte bancaire, sans me prévenir, et sans justifier du montant de la somme débitée.

J'ai mis en demeure ADA de me rembourser la somme prélevée ou, tout au moins, de me produire des justificatifs de la réalité des réparations entreprises.

Le 30 décembre 2013, ADA m'opposait son refus catégorique au remboursement, et le justifiait en produisant un "devis" de remise en état établi par un expert mandaté par ses soins.

La requête rédigée par mon avocat insiste sur les points suivants :

1. le devis est daté du 27 septembre 2013, soit le jour même du retour du véhicule, et il émane d'une société située à Nanterre, soit à plus de 900 kms de Nice... Ils ont fait appel à Superman...

2. Un devis ne constitue pas un justificatif de l'effectivité des réparations, mais une simple estimation.

3. L'état dans lequel se trouvait le véhicule (huit traces de chocs) démontre que ADA ne fait pas procéder systématiquement aux réparations nécessaires sur les véhicules qu'elle loue.

4. Le pare-choc était déjà endommagé avant même que le véhicule me soit loué.

En conclusion de requête, j'estimais que j'étais en droit de me demander pourquoi j'aurais du assumer seul la remise à neuf d'un pare-choc déjà endommagé, surtout lorsque ADA était incapable de me démontrer la réalité des réparations engagées. De plus, ADA s'était permis de débiter mon compte sans me prévenir. Je n'avais donc jamais donné mon accord à ce prélévement.

Je me suis moi-même représenté au tribunal. ADA ne s'est pas fait représenté. J'étais la seule partie devant le juge.

Je vous livre le jugement dans son intégralité. il est, pour le moins, expéditif :

" Attendu que c'est à juste titre que le requérant s'interroge sur la valeur du devis versé par la société ADA au regard de des conditions de son émission,

Que par ailleurs il est établi que la somme de 457 € a été prélevée unilatéralement sans prévenir l'intéressé ni recueillir son accord après l'avoir régulièrement informé,

Que par conséquent la demande de remboursement de la somme ainsi prélevée est justifiée,

Attendu que les désagréments résultants de cette manière de procéder conduisent allouer au requérant une somme de 150 € au titre du péjudice subi et de 150 € au titre des frais irrépétibles."

ADA est donc condammé à me verser 857 €.

Il ressort de cette affaire que ADA a été condamné pour avoir opéré un " hold up " sur mon compte bancaire, et n'avoir pas respecté le code de la consommation (triptyque devis-facture-réglement)...

J'ai fait appel à un avocat pour rédiger la requête (coût : 400 €). je ne rentre donc pas tout à fait dans mes frais, mais le jeu en valait la chandelle. Il n'y a pas de petite victoire.

Ce recours à un avocat n'était pas nécessaire. Les greffes des tribunaux d'instance délivrent à la demande des formulaires - simples - qui permettent d'exposer les faits et de présenter une requête. Se représenter soi-même reste une épreuve, mais elle n'est pas insurmontable. Les juges sont en général très indulgents, et n'oublient jamais que vous n'êtes pas avocat.

Je reste à la disposition des internautes qui voudraient me poser des questions.

 

HAUT

 

 

bonjour,

 

j'ai eu exactement la même histoire avec ada le 29 septembre je loue un véhicule de tourisme.

 

La veille j'appel pour savoir si le véhicule étai pret pour le lendemain à 9h comme convenu ( la fille au téléphone me dit que le véhicule est prêt)

Au lendemain donc le 29 septembre à 9 h le véhicule n'a jamais été sorti du parc en plus de cela il n'est pas nettoyé pour faire un contrôle.

J'attend donc qu'il nettoie la voiture, quelque minute après la jeune fille a fini de faire semblant, j'indique alors que le véhicule est encore salle et qu'on

ne voit pas très bien, elle prend alors un chiffon et nettoie quelques traces. C'était la première fois que je louai un véhicule.

Elle procède donc à l'état des lieux avec mes quelques remarques que j'ai vu sur le véhicules, elle me dit répète à chaque fois "cest noté".J'ai alors fait confiance.

l'état des lieux avant le départ a duré moins de 5 minutes avec plus de 26 défauts relevé sur leur tablette.

Elle me demande dons de signé. Je n'avais pas le choix que de signé car étant déjà en retard et l'impossibilité de contrôler tout les défauts

sur la tablette et sur le véhicule.

J'ai pris alors la route, au retour au me signale qu'il y a une griffure sur la jante arrière côté passager.

 

Coïncidence d’après ada : "les 3 jantes étaient impactées mais celle à l'arrière ne l'était pas "

J'ai donc demandé de voir les photos.

 

Dans toutes les prises de vue du véhicule c'est le seul endroit ou l'on voit la jante à moitié les autres sont prise entièrement.

Et je me souvient très bien de n'avoir trébuché ou raflé aucune chose.

Ils ont donc débité la somme de 125€ sur la caution sans demandé mon avis (selon eu :la franchise).

J'ai donc écrit un courrier en expliquant mon mécontentement et un remboursement.

Maintenant je ne laisserai pas passé cela , je vous demande donc que faire car il ya bien là du vice et abu de confiance.

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Invité §Nog442Xy

C est juste étant ancien franchise Ada je vous confirme que les dégâts facturés aux clients sont un véritable bisiness plus ou moins 20% du CA d une agence , la boîte qui fait soit disant une expertise est une société qui appartient à Ada et les prix des réparations sont en général surévalués de 50% par rapport aux prix normaux ce sont des escrocs avec leurs clients et avec leurs franchisés

 

bonjour,

 

j'ai eu exactement la même histoire avec ada le 29 septembre je loue un véhicule de tourisme.

 

La veille j'appel pour savoir si le véhicule étai pret pour le lendemain à 9h comme convenu ( la fille au téléphone me dit que le véhicule est prêt)

Au lendemain donc le 29 septembre à 9 h le véhicule n'a jamais été sorti du parc en plus de cela il n'est pas nettoyé pour faire un contrôle.

J'attend donc qu'il nettoie la voiture, quelque minute après la jeune fille a fini de faire semblant, j'indique alors que le véhicule est encore salle et qu'on

ne voit pas très bien, elle prend alors un chiffon et nettoie quelques traces. C'était la première fois que je louai un véhicule.

Elle procède donc à l'état des lieux avec mes quelques remarques que j'ai vu sur le véhicules, elle me dit répète à chaque fois "cest noté".J'ai alors fait confiance.

l'état des lieux avant le départ a duré moins de 5 minutes avec plus de 26 défauts relevé sur leur tablette.

Elle me demande dons de signé. Je n'avais pas le choix que de signé car étant déjà en retard et l'impossibilité de contrôler tout les défauts

sur la tablette et sur le véhicule.

J'ai pris alors la route, au retour au me signale qu'il y a une griffure sur la jante arrière côté passager.

 

Coïncidence d’après ada : "les 3 jantes étaient impactées mais celle à l'arrière ne l'était pas "

J'ai donc demandé de voir les photos.

 

Dans toutes les prises de vue du véhicule c'est le seul endroit ou l'on voit la jante à moitié les autres sont prise entièrement.

Et je me souvient très bien de n'avoir trébuché ou raflé aucune chose.

Ils ont donc débité la somme de 125€ sur la caution sans demandé mon avis (selon eu :la franchise).

J'ai donc écrit un courrier en expliquant mon mécontentement et un remboursement.

Maintenant je ne laisserai pas passé cela , je vous demande donc que faire car il ya bien là du vice et abu de confiance.

 

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