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Témoignage (accident, vol, incivisme...)

PIRATAGE de ciroen saxo annee 2000


Invité §mad463Kp

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Invité §mad463Kp

À l’ère de dispositifs intelligents, nous avons les smartphones, les téléviseurs intelligents, les réfrigérateurs intelligents, et même les voitures intelligentes ! Le contrôle appartient désormais à ces dispositifs. Oui mais ils peuvent facilement se retourner contre nous…

 

M

ais imaginez si un attaquant veut se venger ou attaquer quelqu’un, maintenant il peut carrément pirater sa voiture ! De plus, deux chercheurs en sécurité, Javier Vazquez Vidal et Alberto Garcia Illera ont développé un gadget maison appelé « CAN Hacking Tools (CHT) », composé d’un petit appareil plus petit que votre smartphone, et qui s’avère suffisant pour pirater des voitures. Le kit coûte moins de 20 dollars, mais il tout de même capable de prendre le contrôle total d’une voiture, que ce soit ses fenêtres, ses phares, sa direction ou même ses freins. Passons sur la fonction d’ouverture et de démarrage idéal pour les voleurs…

 

Le dispositif utilise le port CAN intégrés dans les voitures dans l’ordinateur de bord, et qui est alimenté par le système électrique de la voiture. Injecter un code malveillant via le port CAN permet à un attaquant d’envoyer des commandes à distance sans fil à partir d’un ordinateur. Une fois que les pirates s’emparent de ce réseau, ils peuvent contrôler tous les éléments électroniques reliés au système au sein du véhicule.

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Invité §mad463Kp

Piratage des freins à près de 130 km/h

piratage-voiture-conduite-manette-nintendo

Et oui, deux hommes disent pouvoir forcer une Toyota Prius à freiner brusquement à près de 130 km/h. Ils disent aussi pouvoir désactiver les freins d’une Ford Escape se déplaçant à une vitesse très lente, de telle sorte que le véhicule continuerait de se déplacer, que le conducteur appuie ou non sur la pédale.

Ils ont réussi ce tour de force avec seulement un petit ordinateur personnel, quelques lignes de code et une manette de Nintendo afin de ce brancher sur le port réservé au diagnostic pour ensuite envoyer leurs propres commandes à la voiture: accélération, freinage, direction, etc.

Une Ford Escape, une Toyota Prius et de nombreux autres modèles se sont ainsi retrouvés sous leur contrôle.

Le piratage de voiture n’est pas nouveau et pourtant ce procédé est peu connu, car son secret est étroitement gardé. Mais tout ça est sur le point de changer grâce à deux spécialistes de logiciels informatiques.

Mais ne vous en faites pas trop pour l’instant car ces deux hommes, Charlie Miller et Chris Valasek, carhackersont des spécialistes en sécurité informatique. Leur travail consiste à découvrir les vulnérabilités des logiciels avant que les pirates informatiques exploitent les failles.

Après plusieurs mois de recherches et grâce à une subvention du gouvernement américain, ils ont annoncé qu’ils allaient publier dans un livre blanc de 100 pages les différentes techniques d’attaques des systèmes de la Toyota Prius et de la Ford Escape.

Avez vous une des ces voitures ?

Il y a quand même une information plus ou moins rassurante dans l’information transmise aux médias pour les propriétaires de ces deux types de voitures: ils affirment que lors de leurs essais de piratage, ils étaient assis à l’intérieur des voitures et utilisaient des ordinateurs portables connectés directement aux réseaux informatiques des véhicules.

Ils ne mentionnent pas si on peu ou ne peu pas faire la même chose à distance et ce, par voie hertzienne.

Luc Laporte

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Invité §mad463Kp

Un hacker pirate 100 voitures à distance

Olivier Robillart, 19 mar 2010, 09:56

car-crash-voiture

0 0 0 0 3 commentaires

Conduire une centaine de voitures télécommandées de grandeur nature, un objectif que vient de réaliser un hacker texan.

 

Mécontent parce que renvoyé d’un concessionnaire automobile à Austin (Texas), un hackeramateur est parvenu à s’introduire dans le système informatique de son ex-employeur. Bilan : une centaine de voitures immobilisées à distance.

 

Omar Ramos-Lopez est plutôt du genre revanchard. Après avoir été renvoyé par son employeur, il a réussi à bloquer le démarreur des véhicules du concessionnaire et dans certains cas rendu le klaxon fou sur plus d’une centaine de voitures. Pour cela, il est simplement entré dans le système Webtech de sa compagnie grâce à des mots de passe et identifiants d’un de ses anciens collègues.

 

Le programme permet en principe, via un GPS, de localiser et d’immobiliser un véhicule à distance, voire d’activer le klaxon pour avertir le propriétaire qu’il est en retard dans ses remboursements.

 

C’est donc après s’être introduit dans le système Webtech que ce « hacker » de 20 ans a piraté une centaine de voitures parmi les 1.100 références présentes dans la base de données. De même, il aurait également commandé 130.000 dollars en pièces et matériel.

 

Pour autant, sa cavale informatique n’a pas fait long feu puisque les enquêteurs, croyant à un défaut de la technologie, ont pu remonter la filière grâce à l’adresse IP du pirate. Il a été arrêté puis placé en détention.

 

 

En savoir plus sur http://www.silicon.fr/un-hacke [...] vyuvk60.99

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Invité §mad463Kp

Argus Cyber Security, un pionnier de la cybersécurité automobile, a annoncé avoir levé 4 millions de dollars lors d’un premier tour de table. Le tour de table comprenait Magma Venture Partners et Vertex Venture Capital, deux fonds de capital-risque de premier plan, ainsi qu’un groupe d’investisseurs renommés, dont M. Zohar Zisapel.

 

Les voitures devenant connectées à Internet et aux appareils externes tels que les smartphones, les clés intelligentes, les outils de diagnostic et les autres véhicules, elles sont de plus en plus vulnérables aux cyber-attaques. Ces intrusions malveillantes peuvent compromettre les unités de commande électronique d’un véhicule (ECU), permettant la manipulation du moteur, des freins et des airbags d’une voiture ainsi que d’autres systèmes de sécurité ou composants du véhicule.

 

Argus propose à l’industrie automobile un système de prévention d’intrusion (IPS) unique, reposant sur des algorithmes brevetés d’inspection de paquets en profondeur (DPI). Il empêche le piratage en temps réel des composants essentiels d’un véhicule et s’intègre de façon transparente à toutes les chaînes de production automobiles. L’IPS d’Argus génère également des comptes-rendus et des alertes de surveillance à distance de la cyber-santé d’un véhicule.

 

M. Zisapel, cofondateur de RAD Group, valorisé à 1,2 milliard d’USD, est considéré par beaucoup comme l’un des » pères fondateurs » de l’industrie israélienne de la haute technologie. Il a cofondé Argus, dont il est président du conseil d’administration. À l’issue de ce tour de table, M. Ran Achituv, commandité de Magma Venture Partners, et M. Yoram Oron, fondateur et commandité de Vertex Venture Capital, ont intégré le conseil d’administration de l’entreprise.

 

« Argus permet aux constructeurs automobiles et à leurs fournisseurs de promouvoir l’innovation et la connectivité des véhicules en limitant accroissement des risques pour les personnes et les biens. Ceci permet aux fabricants d’éviter les rappels massifs et coûteux « , indique Zohar Zisapel, cofondateur et président du conseil d’administration d’Argus. « Je suis enthousiasmé d’avoir rejoint une équipe d’experts chevronnés en cybersécurité. Je suis certain qu’Argus comblera les importantes lacunes de sécurité auxquelles l’industrie automobile est confrontée grâce à sa technologie innovante et robuste. «

 

Argus Cyber Consulting Services permet aux constructeurs automobiles de détecter les menaces et de trouver les vulnérabilités dans les éléments en réseau de tous les véhicules. En s’appuyant sur les services d’Argus, l’industrie automobile peut adopter une approche proactive pour éliminer les cyber-menaces dans les modèles existants et à venir.

 

« Dans un monde de voitures connectées, le piratage automobile est un risque inévitable « , précise Ofer Ben-Noon, cofondateur et PDG d’Argus. » Argus permet à l’industrie automobile de maintenir la sécurité des passagers en tant que priorité maximale et de répondre aux exigences réglementaires naissantes de la cybersécurité. Avec la croissance rapide de la demande et des opportunités commerciales, nous utiliserons les fonds investis pour étendre notre offre de produits et notre présence sur le marché. »

 

 

 

Pour respecter notre travail, merci de ne reprendre que l'intro. Pour lire la suite de cet article original direction -> http://www.datasecuritybreach. [...] z3Gsqmu6tT

Under Creative Commons License: Attribution Non-Commercial No Derivatives

Follow us: @datasecub on Twitter

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Invité §Did453xk

sinon j'ai fait 50000 km jamais de probleme j'ai roulé en France en Belgique au Luxembourg et en Allemagne etc a mon avis cette voiture grise a une combine avec le garage qui a le monopole sur cette route c'est une entreprise capitaliste c'est tout.

 

 

 

Disons que sur la N.66 (portion que tu décris avec tes problèmes de direction), comme sur la N.57 rejointe au niveau de Remiremont, tout le linéaire est réparti entre différents garages (que ce soit de Mulhouse à Nancy, ou de Nancy à Besançon). C'est comme ça que son réparties les interventions sur les routes "nationales", ou les grands axes structurants.

 

Rien de choquant à cela :spamafote:

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Invité §Did453xk

Je vais mettre France 3 Lorraine Champagne Ardenne tous les soirs pour me tenir au courant :D

 

VosgesTV devrait faire la une de ses prochains flashs info avec cette affaire ;)

 

Tout cela va finir à Ravenel© ! :o

 

Ils sont déjà complet, c'est pour ça que la population de la Meuse a diminué de moitié en 50 ans :lol:

 

vu ton avatar porno c'est toi qui devrait te faire soigner!

 

Son avatar est l'oeuvre de Gustave Courbet "L'origine du monde", qui a beaucoup choqué au 19°Siècle. Mais cette époque est révolue, quoique dans certains coins des Vosges... :voyons:

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sur vingt ingénieurs il y'aura bien un qui acceptera de prouver ma théorie même si il risqueraut un licenciement de psa!

 

Bonjour.

 

va falloir creuser profond,pour dénicher un ingénieur prêt à perdre sa place dans le seul but de valider votre théorie. :biggrin:

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c'est pas un trollage cette histoire est vrai ce gars il est comme une araignée sur sa toile il patrouille sur ce tronçon de route monopole d'un garage et attend les pigeons il active son appareil provoque des accident et certaines personnes laissent leur voiture accidentés ce garage peut avoir ainsi un stock de pièces détachées gratuitement un trafic très juteux le gars cela fait dix fois qu'il a piraté ma voiture il vise de veilles voitures assurées au tiers payant comme cela il n'y a pas d'enquête des experts en assurances pour enquêter!

 

Là,vous êtes carrément en train d'accuser le garagiste du coin ,en charge du dépannage sur ce tronçon,de vouloir planter les voitures,et ce,sans aucune preuve.

Gaffe,ça dérape sévère.

:pfff:

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Invité §you566bi

D'un point de vue commercial, cela s'explique bien.

 

Je connais un carrossier qui invoque les esprits pour faire venir la neige et/ou le verglas.

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Ce serait juste un garagiste qui tenterait de récupérer des pièces détachées à bon compte ? Le madrak, il nous prend pour des perdreaux de l'année avec son histoire, et il est avéré que c'est beaucoup plus sérieux.

 

 

Car l'histoire du garagiste est juste un écran de fumée, qui sert à dissimuler un complot bien plus important et aux conséquences bien plus graves pour toute l'humanité. Ecran de fumée que madrak, qui comme nous l'avons maintenant tous compris est un agent de ce complot, tente maladroitement de répandre avec son histoire invraisemblable et minable de petit garagiste bidouilleur...T

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Invité §you566bi

Faudrait voir aussi si le phénomène ne correspond pas aux grandes marées... Vers chez moi, des rochers apparaissent dans la baie, sur lesquels je viens frotter les coques de mon bateau...

Les bretons sorciers sont sournois.

 

Les ondes HF portent mieux la nuit, cela pourrait être une explication.

 

Para ailleurs, on a souvent dit que la Saxo, qui a été un échec commercial, est née sous une mauvaise étoile... Le ciel... L'explication doit venir de là. Deux gousses d'ail, dont une fixée au volant devrait résoudre le problème. Prendre de l'ail bio, car l'ail traité est souvent passé aux UV, qui annule l'effet bénéfique.

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Invité §you566bi

Tu crois que Madrak serait à l'origine du phénomène?... Je ne vais plus me balader dans ce coin, moi....

Les Safranes sont sensibles au phénomène?

On m'a laissé entendre que le biéthanol avait un effet subversif sur les ondes. D'ailleurs, mon autoradio reçoit moins bien avec ce type de carburant...

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Invité §you566bi

Et les Airbus? Tu crois que ça craint? Parce qu'il y en a plein qui passent par là... Et avec leurs commandes de vol électriques... Avion français, comme la Saxo...

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Invité §you566bi

M'en fiche, je suis présentement dans l'émisphère sud, et les ondes ne passent pas l'Equateur. C'est d'ailleurs pour ça que je ne peux pas recevoir la page du Bon Coin sur internet là où je suis...

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Invité §mad463Kp

Dès le début de janvier 1960, Nikita Khrouchtchev a annoncé le développement en Union Soviétique d'une nouvelle arme fantastique.

 

Le 10 avril 1963 l'une des premières nouvelles superarmes déployées opérationnellement a été utilisée pour détruire le sous-marin atomique U.S.S. Thresher en plongée, au large de la côte est des États-Unis.

Le jour suivant, le 11 avril 1963, la même superarme déployée a été utilisée dans un mode différent pour produire une explosion sous-marine géante dans l'océan sur la Fosse de Porto Rico à 160 kilomètres au nord de Porto Rico.

 

Au fil des années, différents avions ont subi des interférences ou ont été descendus par les essais de ces armes soviétiques. Un cas particulier concernait la perte mystérieuse de plusieurs F-111 dans le conflit du Vietnam. Au moins un équipage de F-111 descendu a été récupéré dans les échanges de prisonniers de guerre qui ont suivi.

Sur cet avion tous les systèmes électriques se sont trouvés en difficulté simultanément. Cela était probablement dû aux équipes soviétiques spéciales convertissant des systèmes radars de missile nord-vietnamien SA-2 au mode EM scalaire, et employant une interférence de "faisceau scalaire" pour produire des bruits EM parasites dans les systèmes électriques et électroniques de l'avion.

 

En fin avril/début mai 1985, l'armada entière des superarmes EM scalaires stratégiques soviétiques a été activée lors d'une célébration spéciale du 40ième anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale.

L'activation de cette armada (qui comprenait probablement plus de 100 armes géantes), couplée à 27 générateurs géants et un grand nombre de commandes et de contrôles de transmissions, ont été surveillés sur un système de détection avancée appartenant à Frank Golden.

Après le gigantesque exercice stratégique, qui a duré plusieurs jours, la plupart des armes et des sources d'énergie ont été désactivées pour se tenir prête à l'action.

 

Les lancements de la navette de la NASA ont fourni une opportunité de choix pour les tests soviétiques de ces superarmes en mode ABM dans la phase de lancement, là où un missile lancé peut être détecté et détruit peu de temps après le décollage [ndt : ABM pour anti-missile balistique]. Au début, les explosions de la pulsation électromagnétique (EMP) sur la trajectoire que la navette venait d'emprunter, ont été délibérément décalées dans le temps, pour empêcher en fait la destruction de la cible et éviter d'alerter les U.S.A. que quelque chose d'inhabituel était en train de se passer.

 

Le tir de navette du 26 novembre 1985 a vu un test particulièrement significatif dans ce domaine.

Dans ce cas, une très forte explosion ou "boum sonique" a eu lieu sur le site de lancement 12 minutes après le décollage de la navette, tandis que la navette était déjà au loin sur sa trajectoire prévue. Au moins deux lancements précédents de la navette avaient été utilisés comme pseudo-cibles, avec sur le pas de tir des boums décalés dans le temps qui retentissaient bien en arrière des véhicules.

 

Après que l'absence de réaction américaine à ces tests ait montré que les U.S.A. n'avaient encore aucune connaissances de cette nouvelle technologie et n'identifiaient même pas son emploi, les soviétiques ont apparemment décidés d'effectuer des tests où la cible serait réellement détruite.

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Invité §mad463Kp

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COMMUNAUTÉ D’INTÉRÊT DES VICTIMES DES ARMES ELECTROMAGNÉTIQUES

with 56 comments

 

Texte traduit de l’allemand par Rudy Andria

 

Notice d’information, Avril 2004

 

“Communauté d’Intérêt des Victimes des Armes Electromagnétiques.

 

A tous les commissariats de police de la République Fédérale d’Allemagne.

 

Crimes par micro-ondes / Torture électromagnétique à distance.

 

http://www.mikrowellenterror.de/MBPolizei1.pdf

 

Mesdames, Messieurs

 

Depuis plus de dix ans, en Allemagne, des hommes sont torturés dans leurs foyers, à travers leurs murs, dans le plus grand secret et au mépris de l’être humain, avec des rayons électromagnétiques pulsés et à haute fréquence . D’après nos recherches, il existe depuis longtemps un crime high-tech organisé, qui pourrait “s’imposer” sans obstacle et dont les tactiques se précisent de plus en plus.

 

Il ne s’agit pas de crimes “d’une seule fois”. Les crimes par micro-ondes sont perpétrés sur le long terme.

 

La toute nouvelle technologie à micro-ondes en plein développement offre de nombreuses opportunités criminelles. (NDT: ce texte date de 2004. Cette effroyable technologie a évolué de façon exponentielle, depuis). Des citoyens qui ne se doutent de rien sont surveillés, traqués, localisés/pistés, et irradiés dans le but délibéré de nuire. Les motifs sont multiples et vont des “simples irradiations” pour acquérir facilement un bien immobilier, jusqu’à des liquidations lentes et atroces . Nous connaissons des cas que nous pouvons, sans exagération aucune, qualifier d’exécutions. Ces appareils sont aussi idéaux, pour se débarrasser des concurrents. Le choix des gens à cibler est fréquemment dicté par la vengeance, la haine pathologique et l’envie ou jalousie sociale. Comme nous pourrions l’apprendre, les instigateurs concernés payent, en outre, des sommes énormes, pour des expérimentations humaines illégales (pour tester des armes, par exemple), afin d’ étudier les effets biologiques des irradiations des armes à micro-ondes.

 

Les méthodes de torture sont extrêmement nombreuses et provoquent diverses réactions : sensations de piqûres d’aiguilles fines, sensations de coupures de rasoir aussi aigues que celles d’une épine, réchauffement de différentes parties du corps provoquant la sensation d’être “grillé”, ainsi que des vibrations et des déchirures, comme si on était entré dans une source de courant, des douleurs de différents aspects, en diverses parties du corps et bien d’autres douleurs. On est stupéfait par le comportement pervers et sadique de plusieurs tortionnaires qui “tirent”, de préférence, sur les parties génitales et l’anus des victimes.

 

Le sang-froid bestial avec lequel ces crimes sont mis en oeuvre est incompréhensible pour des citoyens normaux, qui ne comprennent pas ce qui leur arrive et pourquoi ils sont maltraités à tel point.

 

Les effets d’irradiation de micro-ondes dépendent, entre autres choses, de :

l’intensité (force des champs électriques ou densité de performance), les fréquences de porteur (la modulation) / le taux de répétition des pulsations / la focalisation des radiations / la distance entre la source d’irradiation et la victime / l’interférence de plusieurs sources de radiation.

Ceux qui maîtrisent bien ces paramètres, peuvent, à distance, de manière secrète et invisible, avec une extrême précision mais difficilement prouvable, paralyser un être humain, le manipuler, le persécuter, le torturer, le rendre malade, le pousser au suicide ou le tuer.

 

Ceux qui possèdent ces instruments ou ces armes, dont certains peuvent être faits, même avec peu de moyens et peu de connaissances préalables (voir les instructions sur l’Internet), jouissent d’un incroyable pouvoir et d’un effroyable potentiel, pour détruire quelqu’un et peuvent, jusqu’à ce jour, se sentir absolument à l’abri de toutes poursuites judiciaires. L’application criminelle de la toute dernière technologie à micro-ondes caractérise le crime du futur. Elle offre aussi des occasions idéales pour la production d’armes électromagnétiques pour le terrorisme, dont une mise en garde contre son danger est faite, dans le deuxième Rapport de Risques de la Commission de la Protection au Ministère de l’Intérieur de la République Fédérale (Tome 48, année 2001) . Avec le savoir-faire technique adéquat, non seulement on cible de manière précise une personne, au sein d’ une famille ou dans un groupe, mais on peut aussi accentuer l’étendue des radiations, pour pouvoir obtenir des conséquences dévastatrices. Depuis plus de dix ans, nous observons une précision croissante de la technique et de la procédure. La torture peut être déclenchée à des distances encore plus importantes, avec des appareils portables encore plus petits , grâce à l’application des systèmes d’antennes “intelligentes”. Les radiations sont plus sophistiquées et plus spécifiques. Le voisin d’à côté qui torture avec un four à micro-ondes trafiqué, ne représente que la variante primitive d’une criminalité high-tech, beaucoup plus complexe et très habilement camouflée. Plus le crime perdure, plus il sera difficile de s’en débarasser. Il s’agit d’un crime sournois, sophistiqué, dans lequel la victime est attaquée avec des radiations électromagnétiques, d’une part, et d’autre part, elle se voit systématiquement affaiblie, blessée, soumise à l’intimidation et à l’isolement par d’autres types de délits. Les descriptions présentées par les victimes sur les crimes par micro-ondes, jusque-là largement inconnus et inimaginables, apparaissent déjà impensables à l’observateur extérieur profane.

Viennent , de surcroît, s’y rajouter d’autres délits, apparemment insensés et absurdes :

– Cambriolages ne laissant aucune trace d’effraction.

– Perturbation des moyens de communication (téléphone, PC, fax)

– Campagnes de diffamation et d’assassinat moral.

– Torture par le bruit.

– Terreur dans la circulation routière, etc.

Cette double stratégie renforce ainsi le doute sur la capacité de jugement de la victime. Il se produira, en outre, un renversement des rôles de l’agresseur et de la victime, grâce à un simulacre de délits et d’autres offenses insidieuses.

 

Tout bien considéré, la stratégie vise à déclencher la conviction que tout n’est que problème de la personne en question, comme si cette personne n’avait pas toutes ses facultés.

Les procédures du crime pourraient aussi être expliquées, à partir des événements complètement normaux de la vie quotidienne (“plausible deniability”), laissant ainsi entendre que le harcèlement et les “étranges” agressions ne sont que le fruit de l’imagination de la victime. De plus, l’émission de micro-ondes ou plutôt les irradiations devraient être détournées de l’importance réelle du crime. Le crime devrait être individualisé, une stratégie qui est malheureusement en cours, jusqu’à présent.

Au lieu de cela, nous avons affaire à cette “nouvelle” forme de criminalité high-tech organisée, au développement grave et dangereux ,de portée nationale. C’est en aucune circonstance le cas d’une personne isolée, lorsqu’ elle peut être torturée et assassinée, sans obstacles et en toute liberté, dans notre pays (NDT : l’Allemagne) – peu importe les moyens utilisés et que ce soit secrètement ou ouvertement! Chaque citoyen peut être une victime potentielle, livrée, impuissante et sans défense, aux criminels bestiaux, exactement comme nous le sommes déjà, actuellement.

Dans de nombreux cas, l’approche extrêmement standardisée du crime high-tech organisé ne nous est pas inconnue: la victime ciblée est , en règle général, irradiée, d’abord à partir des immeubles, ensuite, à partir des voitures ou des fourgonnettes en stationnement. Par ailleurs, de plus en plus de voisins sont “recrutés” spécialement pour être tortionnaires.

 

Vous pouvez encore vous reposer tranquillement en-dehors de votre maison. Vous découvrez que les radiations, à votre domicile, ne se trouvent qu’en certains endroits, et avant tout, près de certaines fenêtres. Vous essayez instinctivement de les éviter, mais, très vite, vous vous apercevez que vous êtes traqué et irradié de plus belle. Vous avez affaire à une véritable traque sauvage dans votre propre foyer. Vous tentez de vous échapper et vous quittez votre maison, en toute hâte. Et pourtant, vous êtes très vite localisé partout, et vous êtes ciblé et irradié, avec une extrême précision. Plus moyen de vous évader, plus moyen de trouver la sécurité, ni à l’hôtel ni même chez vos amis. Vous êtes ciblé et irradié encore plus, partout, dans votre propre pays, voire au-delà des frontières. Plus aucun endroit pour vous abriter.

 

Pour l’observateur extérieur, rien ne prouve l’existence d’un crime : on ne voit ni les tortionnaires, ni les instruments de torture, ni les atroces et nocives micro-ondes, ni leurs effets. Tout ce que les victimes rapportent ressemblent à des fantasmes ou à des scénari de science-fiction imaginaires.

Le niveau d’obstacle se présentant aux criminels est vraisemblablement dérisoire, justement parce que ces crimes sont invisibles, ils peuvent être perpétrés à distance, et le plus souvent, sans laisser de traces. On peut torturer des gens sauvagement avec des micro-ondes, sans que l’on puisse détecter quoi que ce soit, dans la mesure où les expertises métrologiques sont extrêmement difficiles à produire.

 

Nous supposons qu’il existe des relations client-fournisseur extrêmement bien organisées, dans lesquelles des sous-contrats partiels sont attribués à des complices provenant de plusieurs catégories d’âge, allant des adolescents jusqu’aux retraités. Il s’agit bien de l’attrait de l’argent facile, nous le reconnaissons à la surabondance inopinée des possessions des criminels roulant très souvent dans des voitures de luxe flambant neuves.

 

Nous avons des dossiers sur les systèmes de niveau des tortures, nous assistons souvent à la création d’appareils de plus en plus petits (sans doute des composants?), à la suite de quoi les tortures sont modifiées et des méthodes de torture également spéciales peuvent, de temps en temps, réaliser des missions spécifiques …Toutes les victimes sont unanimes à déclarer que les appartements ou immeubles, d’où proviennent les tortures, ne sont jamais laissés vides.

 

Bien que des victimes de “la communauté d’intérêt” aient déjà fait beaucoup, pour attirer l’attention des autorités sur la cruauté des crimes par micro-ondes , nous devons encore et toujours noter le refus d’accorder de l’aide aux victimes, en raison du caractère invisible et difficilement crédible de ces attaques électromagnétiques, ainsi que de la difficulté à les contrôler.

 

Le tout premier endroit où s’adressent des victimes désespérées sont , avant tout, les commissariats de police locaux, où elles sont simplement rejetées par manque de compétence. En règle générale, les charges criminelles ne sont pas prises en compte. Les actes criminels n’apparaissent pas dans les statistiques de la criminalité et sont traités comme non-existants …!

Dans la lettre du Service Criminel Fédéral (Bundeskriminalamt) du 21.01.2003, AZ : LS 2 – 27-2737/02, il est déclaré que : “Les effets néfastes des micro-ondes sur l’organisme humain est, depuis de nombreuses années, un fait prouvé scientifiquement.” Il est admis que “une utilisation des micro-ondes comme arme est ….. concevable”. “L’application de micro-ondes comme moyen visant à causer des dommages à des tierces personnes fait l’objet d’une étroite surveillance de la part du Bundeskriminalamt”. Selon le Ministère Fédéral de l’Intérieur (Commission des Pétitions du 23.10.02), le Bundeskriminalamt déclare que … “les services de justice et de police sont respectivement compétents, localement et matériellement”.

Avec la décision de refus de la police, les victimes sont régulièrement livrées sans protection aux criminels et les tortures continuent de plus belle.

 

Une particularité des crimes par micro-ondes mortelles réside, en effet, dans le fait qu’ils ne peuvent pas être reconnus facilement comme crimes ! On doit le savoir , lorsqu’on est ainsi affronté à ce genre de situation et on doit savoir se mettre à l’affût du premier soupçon . La preuve la plus difficile nécessite des compétences particulières et une procédure spéciale pour les enquêteurs.

Pour cela, il est impératif de savoir à quoi s’attendre des crimes par micro-ondes létales , comment évaluer les preuves et comment elles peuvent être obtenues.

 

Au Ministère Bavarois de l’Intérieur se trouve un avis consultatif de la LKA bavaroise, sous la référence AZ : IC5-0142.1-610 qui fournit des éclaircissements sur les crimes par micro-ondes.

 

Les techniques et les stratégies en médecine légale doivent être adaptées aux réalités de la criminalité moderne. Jusqu’à présent, le travail d’investigation est encore largement laissé aux victimes elles-mêmes, mais nous ne sommes ni physiciens ni experts de la recherche. Bien qu’il existe quelques victimes ayant des compétences en métrologie, seuls quelques cas graves nous sont connus (par exemple AZ : 711 Js 12421/03).

 

Nous faisons appel aux droits de l’homme. Ils représentent les droits de l’être humain à la vie, à la santé et à la liberté. L’inviolabilité du domicile de ces brutes de criminels, où, à des fins criminelles, des dispositifs sont mis en oeuvre de manière concrète et visible, ne peut pas jouer en faveur des législateurs pour garantir la protection contre la torture. Nous sommes soumis au principe de légalité. Les victimes ont opté pour la procédure judiciaire et doivent, de ce fait, être écoutées et protégées. Il est effrayant et scandaleux de constater que les déclarations de tant de victimes se corroborent.

Les preuves ne peuvent être trouvées qu’après des investigations approfondies et adéquates, elles sont nécessaires, mais ne peuvent pas être exigées comme condition préalable.

 

Ceux qui revendiquent le monopole de la poursuite de toutes les infractions pénales devraient, de toute façon, le savoir. Nous voudrions éviter, à l’avenir, que des gens soient cruellement assassinés, à cause des autorités mal informées. Si la police, à l’annonce du crime par micro-ondes, ne reconnait pas le crime et ne diligente pas les enquêtes ad hoc, parce qu’elle ne peut rien commencer avec les seules déclarations des victimes, dans ce cas-là, elle devrait, au moins, savoir qu’elle signe l’arrêt de mort certaine des victimes des armes à micro-ondes, parce que les irradiations des ondes électromagnétiques pulsées sont non seulement insoutenables, mais également mortelles , à long terme, à une telle intensité.

 

La victime est sous la dépendance absolue de l’aide des autorités compétentes, parce qu’elle ne peut pas, uniquement par la voie judiciaire, se libérer de cette torture. Veuillez donc considérer de quelles possibilités une victime des armes à micro-ondes peut disposer, si la voie judiciaire lui reste verrouillée, pour s’affranchir de la torture et de l’assassinat à petit feu?

 

Nous sommes au courant des exigences excessives de toutes les administrations concernées. En clair, il faut constater les épouvantables divergences entre la place de l’information, l’équipement et les méthodes de la police, d’un côté, et le savoir-faire technique, l’ organisation étroite, les stratégies guerrières et les ressources humaines et financières des réseaux criminels, de l’autre. A ce crime inhumain et méprisable il est possible d’opposer seulement quelque chose qui soit compatible avec la sécurité de l’Etat et les unités anti-terroristes.

 

Nous avons élaboré un questionnaire, en guise de guide, qui devrait être un support acceptant la publicité, parce que l’expérience des personnes les plus affectées montre qu’il est extrêmement difficile de décrire ces crimes cruels basés sur des radiations invisibles.

Après réception de ces informations, un entretien personnel avec la victime est primordial, afin d’élucider et de clarifier des points difficiles. La « Communauté d’intérêt des victimes des armes électromagnétiques” fournit de nombreux matériels d’information, ainsi que les résultats de plusieurs années de recherche. Lors du Troisième Salon International des équipements de la police et des équipements spéciaux GPEC 2004, à Leipzig, des informations seront données sur “Les armes non létales (ANL)”, ainsi que sur les possibles utilisations des “micro-ondes de haute puissance (HPM)” www.gpec.de

 

Nous tenons à informer tous les services de la police, par le biais de ce dépliant d’information.

 

“Communauté d’Intérêt des Victimes des Armes Electromagnétiques”.

 

Version originale écrite en allemand par Dr. Reinhard Munzert.

 

Reinhard Munzert

IG der Opfer von E-Waffen

www.mikrowellenterror.de,

 

Email: Rmunzert@t-online.de

 

http://www.mikrowellenterror.de/MBPolizei1.pdf

 

Note du traducteur:

 

La situation, en Allemagne, des victimes des armes électromagnétiques, décrite ci-dessus, corrobore totalement la situation des victimes des autres pays du monde.

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Invité §mad463Kp

Si le radar et le laser, couplés à la prise de vues et des systèmes informatiques permettent déjà d’identifier et localiser n’importe quel véhicule, il n’est toutefois pas possible – sauf dans de rares cas – de les neutraliser sans interception physique. Le dispositif imaginé et présenté par James Tatoian, cadre supérieur de la firme Eureka Aerospace à Pasadena (Californie), nommé le High Power Electromagnetic System, pourrait pallier cet inconvénient.

 

« Depuis les années 1970, chaque voiture comporte un certain nombre de systèmes de contrôle reposant sur l’emploi de microprocesseurs qui organisent le fonctionnement de l’allumage électronique et de l’injection d’essence ainsi que d’autres systèmes essentiels de chaque véhicule, rappelle Tatoian. Si vous introduisez un courant électrique parasite dans leurs câblages, cela provoque des perturbations en cascade qui perturbent ou même peuvent griller ces microprocesseurs. »

 

Si cette idée de base peut être réalisée aisément par un flux de micro-ondes, l’innovation consiste à focaliser et diriger précisément l’émission de façon à n’atteindre que la cible visée, évitant tout dommage envers les autres moyens de transport ou des téléphones portables des piétons. James Tatoian précise que si le programme de recherches est essentiellement financé par l’Armée américaine, les retombées dans le domaine civil apparaissent clairement.

 

Selon le service de recherches de la société, aucun effet dommageable n’est à craindre envers les personnes situées accidentellement dans le faisceau. Sa fréquence d’émission est calculée de façon à perturber certaines fonctions précises du véhicule, à savoir les plus vulnérables telles l’allumage ou l’ordinateur de bord. Pour les premiers essais, l’émetteur a été fixé sur le toit d’un véhicule terrestre, et s’est montré capable de griller des microprocesseurs jusqu’à une distance de 100 mètres.

 

« Il est intéressant de savoir que chaque véhicule possède sa propre plage de fréquences vulnérables, qui peut varier de 350 à 1.300 MHz, explique Tatoian. Le scénario idéal serait celui où les poursuivants connaissent la marque et le type exact de la cible, afin de régler le dispositif émetteur le plus sélectivement possible. »

 

Encore bien lourd

 

L’émetteur se présente actuellement sous la forme d’un boîtier de 1 m x 1,30 m pesant environ 100 kg, et ce canon futuriste n’est donc utilisable que depuis un véhicule, voiture, bateau ou hélicoptère. Des efforts de miniaturisation se poursuivent cependant. La réalisation d’un appareil portatif et individuel paraît encore assez éloignée… tout comme l’était celle de radars à main il n’y a pas si longtemps.

 

Cependant, rien ne s’oppose techniquement à l’utilisation immédiate de l’appareil par divers services de sécurité, comme les garde-côtes, où il pourrait aider efficacement à la lutte contre la contrebande. Une autre option envisage d’en doter l’armée ou les dispositifs de contrôle douanier afin de stopper à distance les véhicules dont le conducteur refuse d’obtempérer.

 

Tatoian insiste aussi sur la sécurité apportée par le High Power Electromagnetic System par rapport à d’autres méthodes couramment utilisées par les forces de l’ordre pour stopper un véhicule en fuite, telles les herses déployées en travers de la route ou même le fait de tirer dans les pneus. Dans ces cas, précise-t-il en substance, le véhicule roulant à grande vitesse devient brutalement incontrôlable et risque de provoquer un grave accident, tandis que la neutralisation de ses organes électroniques entraîne un arrêt progressif.

 

Mais plusieurs difficultés restent à résoudre avant l’utilisation du système. Par exemple, l’utilisation de la fréquence vulnérable propre aux différents véhicules n’a pu être testée que sur 13 voitures, chaque modèle demandant une analyse poussée avant application de ce principe. D’autres facteurs difficilement contrôlables entrent encore en ligne de compte, comme l’usage de plus en plus répandu de matériaux composites mauvais conducteurs d’énergie, ou les nombreuses couches de rouille ou de peinture perturbant le faisceau micro-ondes.

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Invité §mad463Kp

Fabriquer un brouilleur de téléphone mobile.

 

Auteur : Olivier Despont

 

 

 

 

 

brouilleur GSM Fabriquer un brouilleur de téléphone mobile.

 

Ce petit appareil, de la taille d’un paquet de cigarette, permet d’effectuer un brouillage de certaines ondes. Il peut brouiller les ondes du réseau GSM, du Wifi, du GPS et bien plus encore. Avec sa batterie Lithium-ion vous pouvez disposer de 2h de brouillage global ou 4h sur une seule bande.

 

332373631 4df091e053 Fabriquer un brouilleur de téléphone mobile.

 

Ce montage est signé LadyAda, et comme tous ses autres travaux, il dispose d’une licence Creative Commons et il est fournit avec l’aide est la documention associé sur le site : ladyada.net

 

Le nom de code de ce montage est le Wave Bubble.

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Invité §mad463Kp

un brouilleur de gsm peut il perturber la trajectoire d'une voiture!

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Et un simple garagiste aurait accès à ces technologies et les utiliserait pour accidenter des voitures dont il veut récupérer les pièces ?

 

Je te le répète madrak, arrête de nous enfumer !!! Dis-nous quelle est ta place dans l'Organisation, ce que tu sais du complot... au lieu de jouer la victime et de nous poster des articles délirants pour nous refaire le coup du ballon-sonde météo qui cachait l'extraterrestre de Roswell qui cachait le crash d'un prototype de supersonique américain !

 

Tu devrais le savoir pourtant, les Dignitaires de l'Ordre ne plaisantent pas avec les exécutants maladroits ou ceux qui ont la langue trop longue ! Et comme tu es les deux, de "fausse victime en Saxo" que tu joues tu risques à brève échéance de devenir "vraie victime en break 406 gris" si tu ne te confies pas à nous.

 

 

Parce qu'entrer dans l'Organisation en espérant en retirer une parcelle d'importance, de richesse et de pouvoir c'est une chose. Se retrouver ensuite au volant d'un break 406 gris en train de manipuler un canon à ondes sans vraiment savoir le but exact en est une autre (mais sache que ce but est bien plus terrible que ce qu'ont bien pu te dire le Chef de Dizaine ou le Responsable de Cohorte en t'envoyant en mission) en est une deuxième, déjà plus lourde de conséquences...

Mais saloper ta mission, te faire repérer par le conducteur d'une Saxo et comble de bêtise, tenter ensuite de te faire passer pour lui sur un forum et dévoiler ainsi ta mission au grand jour, ça c'est une chose que les Dignitaires ne laisseront jamais passer. Et ne crois pas que tu seras assez malin pour te planquer de façon à échapper au Gardien du Secret et aux Exécuteurs des Sentences !

 

Moi je me suis mouillé pour toi en te laissant voir que j'étais infiltré dans l'Organisation, pour t'offrir de te tirer d'affaire mais vu les risques, je ne mouillerai pas davantage sans contreparties, il faut donc que tu commences par nous dire tout ce que tu sais.

Après tout, c'est juste ta peau qui est en jeu...

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Invité §mad463Kp

« MÊME COMPORTEMENT QUE LORS D'UNE PANNE SÈCHE »

 

Plusieurs niveaux d'intervention seraient alors possibles. Le premier consisterait simplement à pouvoir « griller » à distance le réseau électronique d'un véhicule, à l'aide de fortes impulsions électromagnétiques émises par un instrument idoine, ceci pour l'immobiliser – ce qui pourrait être dangereux en plein flux sur l'autoroute. L'idée intéresse les unités de police.

 

Les chercheurs du projet européen Savelec la développent. « Nous cherchons à savoir si stopper ainsi une voiture, et de manière sûre, est réaliste », dit Stelios Savaidis, électronicien à l'Institut technologique du Pirée et l'un des responsables.

 

Serait-il aussi possible que des personnes mal intentionnées s'approprient cette technologie ? « Utiliser ce genre d'appareils requiert une très haute expertise. Il s'agira aussi de réglementer strictement leur acquisition, et de les équiper de puce de repérage. » Enfin, précise Peter Highton, de la société Freescale Semiconductor, en pointe dans la fabrication de ces ECU, « ce genre de technologie ne bloquera pas entièrement la voiture, mais induira le même comportement que lors d'une panne sèche ».

 

INSUFFLER À DISTANCE DES COMMANDES IMPROMPTUES

 

Une autre technique de piratage de voiture consiste à intervenir dans les codes informatiques gérant ses systèmes électroniques. En 2010, des chercheurs du Center for Automotive Embedded Systems Security (Caess), lié aux universités de Californie à San Diego et de Washington, ont réussi, en connectant leur ordinateur sur l'ECU d'un véhicule, à interférer sur tous ses éléments électroniques, de la radio au klaxon en passant par la jauge d'essence, les fenêtres, le moteur et les freins.

 

A l'été 2013, lors du congrès DefCon, Charlie Miller, ingénieur de sécurité chez Twitter, avec un collègue, a reproduit cette expérience et pris le contrôle d'une Toyota Prius de 2010 en y connectant son ordinateur portable.

 

Fin mars, lors de la conférence Black Hat Asia, à Singapour, les spécialistes en sécurité Javier Vazquez-Vidal et Alberto Garcia Illera vont présenter leur bricolage électronique de la taille d'un téléphone, dont les composants coûtent 20 dollars (14,5 euros) : greffé au bon endroit sur une voiture, il permettrait d'y insuffler à distance des commandes impromptues des phares ou des freins. Pour l'heure, ce dispositif n'est actionnable qu'à travers une connexion Bluetooth, donc de courte portée, mais ses inventeurs assurent pouvoir y installer un transmetteur de téléphone portable pour le commander à plus longue distance.

 

DISPOSER D'UN ACCÈS PHYSIQUE

 

Ces démonstrations ne sont pas anodines, tant elles mettent en évidence les lacunes dans la sécurité de l'ECU des voitures, leur système nerveux central. Néanmoins, tous ces appareils de piratage nécessitent de disposer d'un accès physique au véhicule, que ce soit à son châssis, sous son capot ou dans son habitacle.

 

Or, si l'intention des gens qui s'adonnent à ce genre d'action est de nuire au propriétaire de l'engin, point n'est besoin d'un tel arsenal technologique : saboter les freins ou poser une bombe est plus simple – mais moins discret.

 

Du côté des fabricants, on dit se mettre à jour au fur et à mesure que la technologie progresse. « Les points d'accès à l'électronique des véhicules sont ainsi faits que seules des personnes autorisées peuvent les franchir pour installer des codes informatiques, eux-mêmes validés par nos seuls spécialistes, le tout étant protégé par un système de signatures cryptées », dit Oliver Peter, porte-parole de BMW.

 

ACTIONNER ÉLECTRONIQUEMENT LES FREINS

 

Reste l'accessibilité des véhicules connectés à distance. En 2010, des ingénieurs de l'université américaine Rutgers ont trouvé une faille : les senseurs sans fil qui doivent, aux Etats-Unis depuis 2008, être logés dans les pneus et servent à indiquer au conducteur l'état de gonflement. A travers eux, à l'aide de radiofréquences et d'un logiciel adéquat, ils ont pu interférer avec l'ECU du véhicule.

 

En 2011, les ingénieurs du Caess sont parvenus à déjouer la sécurité de l'interface de téléphonie portable intégrée à une voiture (et qui sert aux services d'assistance à distance). Ils ont ainsi eu accès au réseau électronique pour manipuler divers accessoires (nettoyage des vitres, phares, radio, compteur de vitesse, etc.) – des interventions certes agaçantes et distrayantes, mais loin d'être mortelles.

 

D'ailleurs, selon les experts interrogés, si l'on peut actionner électroniquement les freins, modifier la direction du véhicule resterait pour l'heure largement illusoire. Tout au plus Nissan va-t-il lancer en 2014, loin de la traditionnelle colonne de direction mécanique, un système d'orientation des roues basé sur des commandes électroniques qui leur seraient envoyées. Et les scientifiques du Caess reconnaissent qu'ils n'ont pu « jouer » avec la voiture que lorsqu'elle roulait à moins de 8 km/h. Au-dessus, l'ECU considérait leurs commandes espionnes comme invalides.

 

« WI-FI DERNIÈRE GÉNÉRATION »

 

Qu'en est-il de la sécurité liée à l'interconnectivité entre des véhicules appelés à communiquer en mode « platooning » ? « Ces engins seront équipés de Wi-Fi dernière génération », imagine Erik Ström, professeur à l'université suédoise de Chalmers, qui développe un tel projet avec déjà du 5G. Or, « dès qu'il existe un accès Wi-Fi à un instrument, il y a une possibilité de le contrôler à distance », s'est inquiété sur CNBC Troels Oerting, directeur du Centre de cybercriminalité de l'agence européenne Europol.

 

Erik Ström ne le nie pas. Mais il indique que les véhicules s'identifieront mutuellement avec des signatures cryptées. Et qu'« il faut faire la distinction entre la possibilité technique qu'un tel piratage ait lieu et sa probabilité réelle de survenir », que le chercheur minimise.

 

« Je ne crois pas trop, pour l'heure, au piratage de ces véhicules individuels », ajoute Michaël Thémans, du laboratoire mobilité de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne. Pourquoi ? « Le sens des informations échangées et le protocole associé sont cruciaux : le système de communication ne devrait en aucun cas permettre de prendre le contrôle des véhicules, qui ne font qu'émettre des données pour informer les autres voitures. » Oliver Peter confirme : « Certaines données sont en mode “lecture” uniquement », et ne peuvent être manipulées.

 

« DONNÉES À DÉCRYPTER »

 

Pour Peter Highton, ces voitures interagissantes utilisent par ailleurs un bouquet de divers capteurs (caméras, radars, etc.). Autant d'éléments qui fonctionnent selon un codage que tout pirate devra d'abord assimiler. Or, dit Oliver Peter, « les systèmes et programmes informatiques des voitures sont très différents de ceux des ordinateurs de bureau ». Qui plus est, ils sont propres à chaque marque.

 

Et les deux spécialistes d'assurer, eux aussi, qu'un cryptage des données transmises aussi complexe que possible permettra de minimiser les craintes des automobilistes. « Dès qu'il y a des données à décrypter, dit Peter Highton, 99 % des pirates abandonnent. Car la démarche prend du temps, ce qui n'est pas pratique si l'on veut pirater une voiture qui se déplace, et exige beaucoup de puissance informatique. Or, des superordinateurs capables de telles tâches ne sont pas à la disposition de particuliers, tout au plus des agences gouvernementales. »

 

Justement : sur le Web, moult théories du complot voient derrière la mort « accidentelle » de Michael Hastings la patte des services de renseignement américains. Peu avant sa mort, le journaliste aurait envoyé à ses collègues un courriel paniqué, disant que ses proches étaient questionnés de près par le FBI…

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Invité §mad463Kp

ce gars a essayé de m'avoir dix fois ok et toujours sur cette route avec sa 406 break grise donc ce n'est pas un hasard!

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Invité §Ant637fd

Mais mais mais en plus c'est qu'il a l'air de se prendre au sérieux :cry:

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Invité §Did453xk

Moi, je ne me fâche pas avec les Vosgiens... Surtout ceux en 406 break grise.

Cette voiture, je l'ai régulièrement vue passer devant chez moi, à horaire fixe, du coup tous les jours je ferme mes volets ! anthony921.gif.1eb680e9ad53cef1b1a9e1562052bbdd.gif

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