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Motorisation, énergie, et environnement

Théorie pour une énergie propre et autonome


Invité §gr1818qp
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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous

Je n'ai pas trouvé le moyen de me présenter dans l'espace "nouveaux membres", je le fais donc en même temps que la présentation du sujet.

 

J’ai 68 ans, électromécanicien de formation j’ai exercé 36 métiers et connu 36 misères. Mon plus long temps professionnel fut la maintenance électronique en informatique et la réparation de certains logiciels.

D’esprit curieux, je m’intéresse au problème de l’énergie en général.

Je cherche une solution pour auto-équilibrer deux couples opposés de puissance différentes.

Un réducteur ou amplificateur est aussi un réducteur ou amplificateur de couple, ce n’est donc pas la bonne piste.

J’ai donc imaginer un équilibreur. Je n'ai aucun moyen (financier ou logistique) de passer à l'expérimentation.

C'est la raison pour laquelle je sollicite votre avis sur mon raisonnement.

 

Apparemment je ne peux pas joindre de pièce, je passe donc par un hébergeur gratuit.

Voici le lien de mon document.

 

http://img110.xooimage.com/views/a/8/3/u7-vulga-53d5f6a.pdf/

 

 

La seule chose dont je ne suis pas certain, c'est le fonctionnement de mon équilibreur. Mon raisonnement est il correcte à ce sujet ?

Bonne lecture.

 

 

 

 

 

 

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Invité §fab361ak

Bonjour à tous

 

Correctif:

inversez le sens des flèches rouges (F'=z) et (F=y) pour l'image de la page 6.

Ou téléchargez le doc. complet sur ce nouveau lien:

http://img110.xooimage.com/vie [...] d7323.pdf/

Avec mes excuses.

t'es pas prêt d'avoir une éventuelle réponse, tes liens ne fonctionnent pas.

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Invité §gr1818qp

Bonjour

 

Je ne comprends pas sur mon micro cela fonctionne.

J'ai du faire une erreur de manip.

en essayant ici

 

 

Je viens d'essayer de nouveau cela fonctionne aussi dans ce message.

Si vous avez tjs des soucis, Je transmettrais le lien par msg personnel.

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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous

 

J'ai fait des images de mon document. Je vais essayer de les placer dans le message.

 

C'est un échec.

 

J'essais avec des liens

http://img110.xooimage.com/files/d/9/6/ux-r1-53db0ed.jpg

http://img110.xooimage.com/files/7/1/5/ux-r2-53db0f6.JPG

 

C'est accessible pour moi, j'espère que ce l'est pour vous.

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Bonjour à tous

 

J'ai fait des images de mon document. Je vais essayer de les placer dans le message.

 

C'est un échec.

 

J'essais avec des liens

http://img110.xooimage.com/files/d/9/6/ux-r1-53db0ed.jpg

http://img110.xooimage.com/files/7/1/5/ux-r2-53db0f6.JPG

 

C'est accessible pour moi, j'espère que ce l'est pour vous.

 

 

Je vais quand même m'en mêler... :lol:

 

http://img110.xooimage.com/files/d/9/6/ux-r1-53db0ed.jpg

 

 

 

Tu peux continuer tes explications...

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Invité §gr1818qp

Bonjour,

 

Merci Typo77 pour ton aide.

J'ai corrigé les fautes et les terminologies qui pouvaient choquer les puristes en physique, en attendant de pouvoir avoir accès à la FAQ et au formulaire de réponse complet. Car jusqu'à aujourd'hui je n'y avais pas accès.

Voici donc le document en entier.

C'est pas encore parfait, les (UXn°) cachent un peu le texte mais c'est mieux que rien.

 

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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous

 

Je pense qu'il manque des explications sur le fait que mon raisonnement respecte le principe de la thermodynamique. J'espère combler cette lacune avec les précisions suivantes:

 

Le fonctionnement théorique de l’alternateur bis rotors respecte le principe de la thermodynamique. Pour comprendre il faut savoir que l’énergie de mise en mouvement n’est pas responsable de l’induction. Comme pour les ascenseurs à bateaux ou l’énergie de mise en mouvement n’est pas responsable de l’attraction terrestre.

Quant à imaginer qu’il y a création de matière parce que la matière est une forme d’énergie, c’est oublier que l’énergie s’exprime sous plusieurs formes, mécanique, thermique, lumineuse, radiante, électrique, chimique, …

Et aussi sous forme de matière, disparition de matière dans une explosion atomique. Cependant cela n’impose pas aux autres formes de n’être uniquement que de la matière.

La théorie Quantique, la théorie des Cordes, nous ouvrent aussi d’autres horizons à ce sujet.

 

Imaginez nos ancêtres. Ils faisaient du feu avec trois éléments, un silex, un minerai de fer et un initiateur végétal. Personne ne leurs a dit : Vous réalisez se que vous voulez faire, « DU FEU ! » C’est une combustion, une réaction chimique exothermique d'oxydoréduction. Qui doit être en principe stœchiométrique. Cela met en jeu des éléments très complexes, molécules, atomes, électrons, hadron, quark, gluon, …, en relation avec, l’énergie, la dimension temporelle, la théorie de la relativité, la théorie Quantique, la théorie des cordes, … Vous espérez y arrivez avec, un silex, du minerai de fer et un initiateur végétal, pauvre d’esprit.

 

Heureusement que ces pionniers qui ont maîtrisé le feu avaient plus tôt l’esprit curieux et ouvert.

 

Soyons plutôt intelligents, gardons ce même état d’esprit, acceptons l’hypothèse qu’un système électromagnétique puisse éventuellement nous permette de tirer profit d’énergies équilibrées mises en mouvement. D’autant plus que je le justifie. Quoi qu’il en soit, nous ne sommes qu’à l’aube de l’utilisation des d’ondes électromagnétiques. Nos connaissances dans ce domaine ne sont pas exhaustives.

 

Je peux expliquer par les faits avérés de la physique actuelle, que les énergies équilibrées, utile et transformable, de l’alternateur bis rotors à aimants permanents, sont supérieures à l’énergie nécessaire à la mise en mouvement des deux rotors ; Pour la même raison, qu’il est compréhensible pour les ascenseurs à bateaux, que les énergies équilibrées des masses en mouvement des bacs, sont supérieures à l’énergie de mise en mouvement du système mécanique. À l’être humain d’être suffisamment intelligent pour en tirer profit.

 

_ L’énergie de mise en mouvement des bateaux, met uniquement en mouvement le système mécanique, que les bacs soient avec ou sans les bateaux. Cette énergie compense les pertes mécaniques.

_ L’énergie de mise en mouvement des rotors, met uniquement en mouvement le système mécanique, que l’alternateur bis rotors soit en charge nominale ou non. Cette énergie compense les pertes mécaniques.

 

_ Qu’ils soient avec ou sans les bateaux, les bacs en mouvement ou non, sont toujours équilibrés.

_ Que l’alternateur bis rotors soit en charge ou non les influences électromagnétiques sont toujours équilibrées entre les rotors. Que ce soit l’influence d’induction ou l’influence de la réactance d’induit en charge.

 

_ L’attraction terrestre n’est pas la conséquence de l’énergie de mise en mouvement des bacs.

_ Le flux inducteur, ainsi que le flux induit, ne sont pas les conséquences de l’énergie de mise en rotation des rotors. Le flux inducteur est dû aux aimants permanents ou au courant d’excitation et le flux induit est dû à la charge par fermeture du circuit induit.

 

_ La variation de la hauteur des bacs est la conséquence directe du mouvement du système mécanique, sans appel supplémentaire d’énergie de la mise en mouvement, totalement utilisée par les pertes mécaniques.

_ La variation temporelle du flux inducteur est la conséquence directe de la mise en mouvement de l’alternateur bis rotors, sans appel supplémentaire d’énergie de la mise en mouvement, totalement utilisée par les pertes à vides ou pertes constantes.

 

_ L’attraction terrestre s’équilibre sur l’axe des ascenseurs à bateaux.

_ L’EMRI s’équilibre sur l’axe des engrenages auxiliaires.

_ Les énergies équilibrées des masses des bacs en mouvement, ne peuvent influencer l’énergie de mise en mouvement du système mécanique.

_ Les énergies équilibrées de la puissance utile et de la puissance transformée ne peuvent influencer l’énergie de mise en mouvement de l’alternateur bis rotors.

_ Le principe de la thermodynamique est bien respecter dans les ascenseurs à bateaux comme dans l’alternateur bis rotors.

 

 

Avec les alternateurs actuels :

 

A vide la motricité compense les pertes constantes. La somme (motricité + pertes = 0). Bien que le (ΔΦ/Δt) inducteur exerce un effet mécanique entre le rotor et le stator. Je note cet Effet Mécanique dû au Flux Inducteur (l’EMFI). L’EMFI va tantôt s’opposer, tantôt s’additionner à la motricité, en fonction de sa position par rapport aux circuits magnétiques des bobinages induits.

La somme mathématique de l’EMFI est nulle, bien que ses effets mécaniques soient effectifs. C’est l’exemple d’un champ électromagnétique variable maintenu sans appel de puissance supplémentaire. Car la puissance absorbée à vide est égale aux pertes mécaniques. L’EMFI qui s’équilibre ne nuit pas au courant d’excitation ou aux aimants permanents, c’est un fait avéré et accepté.

Comparable à l’EMRI de l’alternateur bis rotors, qui pourrait donc aussi être maintenu sans appel de puissance supplémentaire, car équilibré sur les engrenages auxiliaires, sans pour cela nuire au courant induit.

En charge la réactance d’induit à un effet mécanique (l’EMRI) effectif opposé à la rotation.

Le flux induit ne se trompe pas. Ce n’est pas le flux inducteur lui-même qui est la cause de sa variation c’est bien la rotation. La loi de Lenz est respectée, le courant induit s’oppose à la rotation, cause qui lui a donné naissance et le flux inducteur reste efficace. Je rappelle qu’un flux constant n’est pas inducteur.

Si A est l’EMFI et B l’EMRI, nous avons par rapport à la rotation : (-A+A) + (-B-B) = -2B

Voila pourquoi il faut équilibrer l’EMRI sur l’axe d’un alternateur actuel, car (-2B) se retrouve en totalité sur l’unique rotor. La carcasse servant d’appuis est reliée à la terre, sans conséquence pour la rotation de la terre.

L’appel de puissance supplémentaire sur l’axe, équilibre l’EMRI et laisse Pu effective à l’extérieure de l’alternateur pour équilibrer la puissance transformée (Pt). Nous avons donc, deux équilibrages distincts. Dans l’alternateur (appel de puissance - EMRI = 0) et à l’extérieur (Pu – P transformée = 0).

L’équilibre interne laisse Pu efficace pour assumer l’équilibre externe avec Pt, c’est un fait avéré et accepté.

Nous pouvons raisonnablement présumer que la configuration actuelle des alternateurs peut donc être améliorée si en interne l’EMRI s’équilibrait. Elle laisserait donc efficace Pu qui équilibre Pt. C’est bien ce qui se passe actuellement dans les alternateurs. Donc cela se passera inévitablement dans l’alternateur bis rotor, car j’utilise les mêmes phénomènes physiques dans leurs environnements habituels.

 

 

 

 

 

Avec l’alternateur bis rotors : Ce qui suit n’engage que moi, car non encore expérimenté.

 

A vide comme en charge nous avons les mêmes phénomènes électromagnétiques que ceux des alternateurs actuels. Ces phénomènes électromagnétiques s’expriment dans leurs environnements habituels.

La seule différence est l’absence d’appel de puissance motrice pour équilibrer l’EMRI, car il s’équilibre sur les engrenages auxiliaires.

Pareillement à l’EMFI qui s’équilibre sans nuire au courant d’excitation ou aux aimants permanents ; l’EMRI équilibré en interne, laisse Pu efficace pour assumer l’équilibre externe avec Pt.

Pareillement à l’EMRI des alternateurs actuels qui équilibré en interne par l’appel de puissance sur l’axe, laisse Pu efficace pour assumer l’équilibre externe avec Pt.

L’EMRI équilibré ne nuit pas au courant induit.

Toutes les énergies mises en mouvement, sont équilibrées, bien qu’il y ait une utilisation humaine d’une de ces énergies. Exactement comme pour les ascenseurs à bateaux.

Il est important de comprendre que l’énergie de mouvement, équilibrée par les pertes à vides, est comparable à l’énergie de mouvement des ascenseurs à bateaux. Et que la puissance utile, ainsi que la puissance transformée, qui s’équilibrent sont comparables à l’utilisation que nous faisons des énergies des masses en mouvement des ascenseurs à bateaux. Sans création ou génération spontanée de quoique ce soit.

L’attraction terrestre n’est pas une génération spontanée, elle existe par la présence de la terre, similaire au flux de l’inducteur et de l’induit qui existent respectivement, grâce aux aimants permanents ou au courant d’excitation et à la charge par fermeture du circuit induit. Ce sont des ondes électromagnétiques.

Quant à l’EMRI elle s’équilibre sur les engrenages auxiliaires.

Salutations

 

PS j'ai schématisé une conception un peu plus simple du système d'engrenages. J'espère bien tôt vous la montrer.

 

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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous

Mon ancien document est certainement mal formulé.

J’ai corrigé cet aspect. Bien que le compromis entre simplicité et détails nécessaires est difficile.

Si quelqu’un est intéressé par l’expérimentation, qu’il n’hésite pas. Je n’ai aucune revendication. Je suis simplement bloqué par manque de finances et de logistique pratique.

Si quelqu’un a une question qu’il n’hésite pas, je suis à votre disposition. Pas toujours autant que je le souhaiterais, mais bon j’essayerai.

Voici la doc. Modifiée :

 

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Invité §gr1818qp

Bonjour à vous

 

 

Lamentable cafouillage de ma part, correctif:

 

Exemple : Pour une roue à l’avant d’un vélo ou la force de mouvement est appliquée sur l’axe.

À la distance de déplacement correspondant à un tour de roue de vélo, nous ne pouvons pas ajouter le déplacement de l’axe de la roue de vélo, bien entendu cela est considéré sans glissement.

Sauf erreur de ma part, en conséquence : d = 3r

Une révolution d’axe vert entraîne trois tours de roues dentées vertes en appui sur la roue dentée de carcasse. Ce qui impose un tour à la roue dentée bleue.

Et pour la roue dentée verte centrale qui fait elle aussi trois tours, elle impose trois tours à la roue dentée orange.

Différentiel de rotation entre les roues dentées bleue et orange : 3 – 1 = 2

 

Autrement écrit :

Pour 500 t/mn du support gris, le disque bleu fait 500 t/mn et le disque orange fait 1500 t/mn

 

Différentiel de rotation entre les disques 1500 – 500 = 1000 t/mn.

Pour avoir un différentiel supérieur ou inférieur, il faut modifier le rapport de d/r.

 

Je pense que cela ne remet pas en cause la suite du raisonnement.

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Invité §fab361ak

Ah !

Je me disais bien que ça clochait, après la 4 ème relecture complète !

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Invité §gr1818qp

Bonjour fabien62118

 

Une erreur qui ne remet pas en cause le raisonnement, tout reste valable.

 

Explication en détail:

Je garde: d = 3r, une révolution d’axe vert correspond à son déplacement sur 360° perpendiculairement à l’axe orange, le terme « roue » remplace l’expression « roue dentée » :

Donc une révolution de l’axe vert n’est pas un tour sur lui-mêmes.

 

Pour la roue verte périphérique :

3 tours de roue verte + (1 révolution d’axe vert ou trois avancées d’axe vert équivalant à 3 tours de roue verte) = l’équivalent de 6 avancées de périmètre de roue verte = 2 tours de roue bleue, car d=3r.

Autrement écrit : 1 révolution d’axe vert = (3 +3) avancées de roue vertes = 2 tours de roue, bleue, car d = 3r.

Autrement écrit : 1 révolution d’axe vert = 6 avancées de roue verte = 2 tours de roue bleue, car d=3r.

Donc, 500 tours de support gris = 500 révolutions d’axe vert = l’équivalent de 3000 avancées de périmètre de roue verte = 1000 tours de roue bleue, car d=3r

 

 

Pour la roue verte centrale qui n’est pas en prise sur la roue dentée de carcasse :

500 tours de support gris = 500 révolutions d’axe vert (équivalant à 500 avancées de périmètres de roue verte) + 1500 tours de roue verte centrale (qui correspondent à1500 tours d’axe vert sur lui-même sans conséquence sur la rotation de la roue orange) = 2000 tours de roue orange. Car rayon roue verte = rayon roue orange.

Différentiel de rotation 1000 -2000 = 1000 t/mn

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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous

 

Oui une erreur, qui je le répète n'engage pas la suite du raisonnement.

J'ai donc refait le document de façon plus rigoureuse, plus de détails, plus de pages, le principe reste le même.

Je ne tiens plus à convaincre, je respecte chaque opinion, bien que je souhaiterais que, si l'on me dit que j'ai tord, qu'on me le démontre.

J'observe trois attitudes différentes sur le sujet:

1_ il y a les coriaces, inconditionnels qui y voient de la surunité impossible, bien que toutes les puissances soient équilibrées sans surunité spontanée.

2_ Il y a les formatés qui ne peuvent pas me prouver que j'ai fait une erreur, mais croient qu'il y en a une quelque part.

3_ Il y a les prudents, qui attendent que l’expérience soit tentée.

 

Ma plus belle partie d'échec et la plus longue, toute une vie, je l'ai joué avec la physique. Et la je suis PAT, dans l'impossibilité d'avancer, de débloquer la situation, car aucun moyen financier et logistique.

Je vous laisse mon document à toute fin utile, si le sujet intéresse quelqu'un. Je n'ai aucune prétention, l'expérimentateur est le seul à prendre des risques, il est logique que ce soit le seul bénéficière.

 

http://img110.xooimage.com/views/d/a/b/abr3-5470292.pdf/ (Peut être quand en le recopient dans la barre (http:...)

Les liens ne fonctionnent pas, je passe par le forum (a tout de suite)

 

 

 

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Invité §gr1818qp

Il manque la page 9 que je n'ai pas réussi à insérer. La voici

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Bon, moi je veux bien donner mon avis, mais je n'ai pas le temps de me plonger dans tes raisonnements théoriques.

 

Peux-tu résumer un peu le principe, dans les grandes lignes, et donner quelques exemples concrets d'application ?

 

J'ai à peu près compris l'idée, mais jusque là je ne vois pas bien où l'appliquer dans le but d'économiser de l'énergie.

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Invité §gr1818qp

Bonjour pierregdlj

Tout d’abord, je m’excuse pour le retard à répondre. Un très gros problème de santé dans la famille m’éloigne de mon ordi.

 

Objectif et principe: (écrit Page 3)

L’ascenseur à bateaux

L’attraction terrestre nous permet de profiter favorablement des puissances en action.

D'où l'hypothèse qui en découle inévitablement.

Et s’il existait un moyen de réaliser une situation similaire non limitée dans le temps et indépendante de l’attraction terrestre.

C’est l’objet de cette étude. C’est le principe que je vais développer

 

 

Principe : 1 étape (écrit Page 3) recherche de forces indépendantes de l’attraction terrestre.

Parmi les forces indépendantes de l’attraction terrestre, il y a entre autres : la mémoire de forme d’un ressort, le champ magnétique ou flux magnétique des aimants permanents, l’induction électromagnétique d’un Alternateur Mono-Rotor que je dénomme (AMR)

 

Principe : 2 étape (écrit page 4 à 8)

Equilibrer deux forces indépendantes de l’attraction terrestre avec l’équilibreur de couple (EC).

Utilisation (non exhaustive) (écrit page 9)

Modifier le treuille pour avoir les mêmes avantages que les ascenseurs à bateaux sans avoir de contrepoids à incérer dans le mécanisme. C’est quand même plus facile et plus pratique.

 

Principe : 3 étape :

Inconvénient de l’induction l’effet mécanique de la réactance d’induit (EMRI): (écrit Page 3)

En rotation à vide, le circuit induit est le siège d’un potentiel électrique. Si une charge ferme ce circuit, un courant induit y circule, créant un champ électromagnétique. C’est la réactance d’induit dont l’effet mécanique nécessite un apport de puissance sur l’axe de l’alternateur.

Cette puissance apportée (Pa) équilibre l’Effet Mécanique de la Réactance d’Induit (EMRI) aux pertes près.

Élimination de cet inconvénient de l’EMRI (écrit page 13)

Pour obtenir un résultat similaire au ressort avec l’EMRI, il faut le diviser en deux couples égaux et opposés. Pour cela j’envisage un Alternateur Bis Rotors, que je dénomme ABR.

Je laisse la réactance d’induit s’exprimer dans son environnement habituel, grâce à deux rotors libres sur leur axe, qui sont, l’induit et l’inducteur. Ils tournent à des vitesses différentes dans le même sens, créant un différentiel de rotation ressenti par les masses magnétiques.

En charge l’EMRI tente de figer les deux rotors avec des forces égales et opposées, comme le ferait un ressort.

 

Principe : 4 étape (écrit en page 13 et 14) Je ne recopie pas les pages 13 et 14, je les explique.

Une fois l’inconvénient de l’EMRI éliminé, je passe à l’application de l’EMRI sur l’EC, pour parvenir au principe recherché : Et s’il existait un moyen de réaliser une situation similaire non limitée dans le temps et indépendante de l’attraction terrestre.

Voila le principe sommairement dans sa totalité. Tout cela basé sur des faits constatés que j'utilise dans un assemblage novateur.

Après vient l’hypothèse de l’auto alimentation:

Et oui ! Si nous pouvons profiter d’énergies équilibrées en mouvement avec une énergie apportée inférieure, pourquoi pas envisager l’auto alimentation. De toute façon cette situation est actuellement constatée, mais limité, dans le temps, la distance et la dépendance à l’attraction terrestre, par la conception du mécanisme.

C’est difficile à admettre de par nos connaissances et le manque d’expérimentation. C’est l’objet de tout le reste de mon document qui n’est que justifications étayés par les calculs et la logique, le tout prit sur les phénomènes physiques actuels.

 

Utilisations : (écrit page 14, 16)

_ En adaptant ce procédé aux alternateurs, aux centrales hydrauliques, aux éoliennes, …, il est alors possible d’augmenter la production d’énergie électrique avec la même puissance absorbée.

_ Cette énergie électrique peut être envisagée pour toutes utilisations adéquates. Pour des robots pouvant remplacer l’homme dans un environnement extrême, sous la mer, dans l’espace, sur la lune ou Mars …

 

Comme je parle beaucoup d’équilibre, j’ai eu à ce sujet la remarque que équilibre = immobilité.

J’ai donc ajouté deux pages supplémentaires

Que voici.

Équilibrage des formules-1[1].png

 

Équilibrage des formules-2[1].png

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Invité §gr1818qp

Bonjour

 

J'avais oublié, un résumé du principe se trouve en dernière page dans l'épilogue:

Gardons ce même état d’esprit, acceptons l’hypothèse qu’un système électromagnétique puisse éventuellement nous permette de tirer profit d’énergies équilibrées, bien qu’en mouvement. D’autant plus qu’il reprend les mêmes phénomènes physiques avérés dans le même environnement que l’AMR et dans le respect des lois de la physique.

J'ajoute: dans le même environnement que l'AMR et dans des conditions similaires (pas identiques) aux ascenseurs à bateaux. C'est l'énergie utilisée et le système mécanique qui sont différents, pour arriver au même résultat, sans limitation de distance. Car toujours efficace à 360°.

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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous

 

Après 55 ans de recherche, j'ai trouvé.

C'est moins compliqué que ce que je vous ai présenté, d'une simplicité redoutable, irréfutable, même pas besoins de grands calculs.

Reste maintenant à intéresser quelqu'un qui veuille bien assumer l'expérimentation.

Pour éviter du travail je mets le document en lien ici , y à plus qu'à télécharger.

Bonne lecture.

Le lien fonctionne pour moi, si vous avez un Pb me le faire savoir svp.

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Invité §gr1818qp

Je viens de passer mon assemblage mécanique en engrenages droits. C'est plus simple à comprendre.

J'ai également séparé la partie technique de la partie philosophique et ai alléger un peut les textes.

Voici le document:ici

bonne lecture

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Invité §gr1818qp

Mes engrenages droits sont une imbécilité, je ne sais pas comment j'ai pu pensé cela.

J'ai fait un document plus rigoureux, uniquement technique, plus simple, que des faits avérés. Bien sur pas de calcul avec des faits avérés ce n'est pas nécessaire.

J'ai changer le titre car le principe s'adapte aussi à beaucoup de situations.

Voici le document ici

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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous,

 

J'ai mis ce long silence à profit pour corriger tout ce qui n'était pas correcte dans mes allégations antérieures. Je vous livre le résultat.

 

 

Je tiens à rappeler que:

L’énergie s’exprime sous plusieurs formes, mécanique, thermique, lumineuse, radiante, électrique, chimique, … Et aussi sous forme de matière, disparition de matière dans une explosion atomique. L’énergie ne peut être créée, ni détruite.

La théorie Quantique, la théorie des Cordes, nous ouvrent aussi d’autres horizons à ce sujet. A bien y réfléchir on ne sait même pas la véritable nature de l'énergie. Et si on croit la déterminer, c'est en fonction de notre perception et de nos références. Perception et références, prisonnières comme nous de cet univers qui nous limite dans un espace-temps, dont l'une des frontières qui nous est imposée, est la vitesse de la lumière.

Je rappelle que les ondes magnétiques et électromagnétiques se propagent à la vitesse de la lumière. Elles sont donc un des phénomènes naturels qui jouxtent une des frontières de notre univers tel qu’on le perçoit. L’interaction possible avec ce qu’il y a derrière cette frontière nous est inconnue.

Je tiens aussi à m'excuser au près des lecteurs de ne pas avoir mis le document dans ce forum. Cela m'aurais demander beaucoup de travail. De ce fait, j'espère ne pas faire de tord au forum "CARADISIAC".

Voici le lien directe de mon document sur le site "INVENTION - EUROPE"

La transformation du document de (.pdf) en (.htlm) donne un résultat assé médiocre au niveau de la présentation et de la netteté. Je vous assure que le maximum a été fait. Les personnes qui seraient intéressées par l'originale, peuvent m'écrire à l'adresse mail en fin de document.

Bonne lecture.

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Invité §gr1818qp

Bonjour à tous,

 

 

J'ai ajouté le texte suivant sur INVENTION-EUROPE au sujet de ma théorie sur le couple magnétique de la réactance d'induit:

 

 

L’éventuelle ambigüité du raisonnement vient de l’interprétation « action-réaction »

 

L’action est la manifestation d’un déséquilibre qui demande une puissance (x).

 

La réaction détermine la valeur (x) de ce déséquilibre aux pertes près.

 

 

L’erreur serait de considérer que la puissance absorbée par l’alternateur (Pa), de valeur (x), développe instantanément deux puissances de valeur (x) qui sont la puissance utile (Pu) et la puissance du couple de la réactance d’induit (Pr).

Car cela revient à considérer que toute action de puissance (x) développe instantanément deux phénomènes physiques de valeur (x) qui sont l’action et la réaction sans considération de leur opposition qui les équilibre.

 

 

Or la réaction qui nous paraît instantanée est inévitablement postérieure à l’action. Cependant, action et réaction son indissociable car elles ne peuvent exister seule et permettent d’équilibrer la formule Pa = Pu aux pertes près.

Sans réaction pas de déséquilibre ou action, donc pas de puissance absorbée par une quelconque réaction.

Exemple : bien qu’il soit en mouvement, un astéroïde dans l’espace ne développe pas de puissance utile. Il dispose d’une puissance d’action potentielle qui s’exprimera à hauteur de la réaction éventuellement rencontrée. Car c’est bien la réaction qui détermine la puissance de l’action.

 

 

Aux pertes près, dans l’alternateur le processus est le même. Bien que l’on puisse considérer l’appel de puissance externe à l’alternateur comme l’action (déséquilibre) primaire.

Le flux inducteur effectif, possède une puissance potentielle (Pa) déterminée par la conception de l’alternateur. Pa se manifeste à hauteur de la réaction (Pr) rencontrée. Et l’appel de puissance externe (action primaire) est déterminé par la réaction (Pu) développée. C’est un triple phénomène « action-réaction » en cascade.

Si le potentiel de (Pa) est insuffisant, (Pr) l’affaiblira, ainsi que (Pu) et (Pt).

 

 

L’ambiguïté de l’instantanéité des puissances étant écartée, le fonctionnement résumé d’un alternateur actuel se s’explique par les puissances en jeu suivantes (aux pertes près)

 

Pa = puissance absorbée (interne à l’alternateur).

 

Pr = puissance mécanique de la réactance d’induit (interne à l’alternateur).

 

Pu = Puissance utile (externe à l’alternateur).

 

Pt = puissance transformée dans la charge (externe à l’alternateur).

 

 

Quand l’alternateur fonctionne à vide :

Pa = pertes, le circuit induit possède un potentiel de puissance sans déséquilibre, similaire à l’astéroïde dans l’espace.

Chronologiquement, bien que d’apparence instantanée, les réactions se succèdent. L’action Pt à l’extérieur, met en charge l’alternateur :

 

1_ L’action (Pt), déséquilibre le circuit induit à hauteur de la réaction (Pu)

Pt = Pu, les puissances s’équilibrent à l’extérieur de l’alternateur.

 

2_ Pu est la réaction externe qui donne la réaction interne (Pr).

Pu = Pr, les puissances s’équilibrent entre l’extérieur et l’intérieur de l’alternateur.

 

3_ Pr est la réaction interne qui impose le couple moteur à hauteur de (Pa).

Pr = Pa, les puissances s’équilibrent à l’intérieur de l’alternateur.

 

La succession des évènements peut aussi s’écrire sous cette forme :

L’action Pt donne la réaction Pu, Pu donne la réaction Pr, Pr donne la réaction Pa.

Il est évident que, si le potentiel de (Pa) est insuffisant, (Pr) sans opposition s’affaiblira, en conséquence, (Pu) s’effondrera ainsi que (Pt).

Cela indique que nous pouvons simplifier en déterminant (Pt) comme action, qui se stabilise à hauteur de la réaction (Pa).

 

En conclusion il n’y a aucune multiplication ou dédoublement de puissance.

 

Cette approche non académique du fonctionnement de l’alternateur actuel a le mérite d’éliminer l’ambigüité de l’instantanéité des puissances, car elles se succèdent continuellement par l’apport de (Pa) en respectant le principe de la thermodynamique.

 

 

 

Cela écrit le système d’aide à la motricité garde toutes ces promesses, que ce soit pour les charges ou pour l’alternateur bis-rotors.

Car si la réaction détermine la valeur de l’action dans les systèmes actuels, le système d’aide à la motricité équilibre la réaction grâce à l’inertie du support ou point d’appui, sans influencer la motricité. L’équilibre est effectif, l’action reste égale à la réaction.

 

Car l’action a pour origine la charge et la réaction est l’inertie du support opposée à cette charge. Action et réaction équilibrées n’ont aucune influence sur la rotation des pignons. Dans ce cas c’est l’action de la motricité, égale à la réaction des pertes mécaniques, qui assume le mouvement.

 

 

Pour comprendre il faut analysée le processus « action-réaction » aux pertes près :

 

Pour la charge

L’action de la gravité est divisée en deux valeurs égales et opposées. Ces valeurs s’équilibrent par rapport au support ou point d’appui. La valeur de l’action est inévitablement égale à la valeur de la réaction inertielle du support. Cette situation est permanant quelque soit la position des pignons à 360°. Pas de mouvement, car action = réaction, il faut vaincre les pertes mécaniques pour avoir un mouvement. C’est le rôle de la puissance motrice.

 

Pour l’alternateur bis rotors :

L’action du couple mécanique de la réactance d’induit, est divisée en deux valeurs égales et opposées. Ces valeurs s’équilibrent par rapport au support ou point d’appui. La valeur de l’action est inévitablement égale à la valeur de la réaction inertielle du support. Cette situation est permanant quelque soit la position des pignons à 360° et ne peut influencer la motricité, car l’action est égale à la réaction.

 

Il faut vaincre les pertes mécaniques pour maintenir le mouvement. C’est le rôle de la puissance motrice sur l’axe de l’alternateur bis rotors.

 

 

C’est un cas similaire aux « ascenseurs à bateaux » dont voici un lien intéressant :

https://www.dielette.fr/2016/02/25/la-roue-de-falkirk-ascenseur-a-bateaux/

 

Bien entendu nous comprenons le fonctionnement des ascenseurs à bateaux qui n’est qu’une partie d’un cycle ou tous les éléments s’équilibrent, La chaleur reçue du soleil, le cycle de l’eau et la gravité. Nous le comprenons d’autant mieux que nous pouvons le constater. Cependant ce cycle n’est qu’une partie d’autres cycles bien plus vastes.

 

 

Chercher à imaginer l’infinie avec un cerveau fini, voila une utopie.

Quoi que, l’antre de la pensée, si antre il y a, est elle située dans le cerveau ?

 

Bon revenons à la réalité. Par quelle singularité le système, alternateur bis-rotors associé à l’aide à la motricité, permettrait-il l’autonomie en énergie ? Autonomie non perpétuelle, car rien n’est perpétuel (usure, etc.)

Les principaux phénomènes physiques d’un alternateur actuel à aimants permanents sont :

_ Φ, le magnétisme permanent, ne nécessite pas (ou infiniment peu) d’énergie pour être maintenu.

_ Pa, la puissance absorbée, fait varier Φ par rotation.

_ -e = (ΔΦ/Δt), l’onde électromagnétique induite, potentiellement équilibrée à vide.

_ Pt, la puissance transformée à l’extérieure, déséquilibre (-e) en charge.

 

 

En charge dans l’alternateur actuel :

(-e) déséquilibré par Pt, crée une réaction le (CMRI), qui ne s’oppose pas directement à (-e), mais à Pa responsable du couple de rotation. Il est compréhensible alors que Pa doit assumer l’équilibrage du (CMRI).

 

 

En charge dans l’alternateur bis-rotors associé à l’aide à la motricité :

(-e) déséquilibré par Pt, crée une réaction le (CMRI), qui est orienté sur le support qui l’équilibre. Il est alors impossible au CMRI de s’opposer à Pa, qui n’assume plus l’équilibrage du CMRI, mais simplement les pertes mécaniques.

L’environnement des phénomènes physiques avérés reste le même dans les deux cas.

 

 

C’est similaire aux ascenseurs à bateaux, qui dirigent la gravité sur le support d’équilibrage, laissant à la motricité les pertes mécaniques à assumer.

Que ce soit le cycle, « gravité, chaleur solaire et cycle de l’eau » ou le cycle, « magnétisme, induction, puissance transformée », ils respectent tous deux le principe de la thermodynamique et font tous deux partie d’autres cycles bien plus vastes, susceptibles de dépasser l’entendement.

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Invité §gr1818qp

Bonjour,

J’ai enfin une (réponse) démonstration mathématique au sujet du pignon se déplaçant sur la crémaillère. Cela corrobore ce que je supposais intuitivement.

J’ai donc simplifié mon document. Il ne reste plus que l’alternateur bis-rotors, non encore étudié n’y expérimenté qui reste hypothétique.

Voici mon nouveau document en lien à télécharger : http://img113.xooimage.com/views/a/1/4/mf-56b3a02.pdf/

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