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Motorisation, énergie, et environnement

Diesel ou essence , il faut que ce soit un choix réfléchi :


Invité §geg572mh

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Invité §YDa570dj

:Dnon.gif

Parce que tu crois que je vais afficher ma vie , mes voitures comme le mouton que tu est ? Si c'était mon, désir je serais inscrit a cette daube de forum ce que je ne fais pas !

tu est vraiment/décidemment pas fut fut mon vieux , c'est vrai que rouler en auto Roumaine ça n'incite pas au développement humain normal mais a la régression organisée , ça relève plutôt de la psychiatrie de masse et a un anti-économisme de gauche aigu lol.giflol.gif

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Invité §qvM181Lk

Accueil > Automobile[h1]La Smart et la Lexus CT200H hybride désignées voitures propres 2012[/h1]Par Barbara Leblanc - Publié le 05 juin 2012, à 11h 01

 

 

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/3/9/6/000145693_5.jpg

Les deux modèles occupent le haut du classement réalisé par l’Agence de l’environnement et de maîtrise de l’énergie (Ademe) publié le 5 juin avec à peine 86 grammes de CO2 au kilomètre.

Deux modèles de Smart et la Lexus CT200H hybride sont classés premiers du palmarès 2012 des meilleurs véhicules neufs en matière d'émissions de CO2. Sont ensuite désignées deux autres modèles de la Smart Fortwo avec 87 grammes de CO2.

La première voiture française, Renault Clio, apparaît au troisième rang des diesel avec 89 g de CO2 émis au km parcouru. Soit autant que la Volkswagen Polo Bluemotion, deux modèles de Seat Ibiza et deux modèles de Skoda Fabia.

Pour les voitures à essence, les hybrides japonaises restent en tête avec la Lexus (87 g/km) et lesToyota Auris et Prius (89 g). Deux modèles de Fiat 500 raflent la 3e place, avec 90 g, et six autres modèles de la petite Italienne la 4e place ex-aequo avec une Toyota Prius avec 92 g.

Aucun modèle de constructeur français ne figure parmi les 10 voitures à essence ou hybrides les plus propres, c'est-à-dire celles qui émettent moins de 100 g de CO2 au kilomètre.

En 2011, le classement de l’Ademe comptait quatre modèles de voitures françaises -- 2 Citroen CI et 2Peugeot 107 -- au 10e rang avec 103 g/km.

Dans le classement européen, la France est en 3ème position contre la 2ème l’année dernière. Sa moyenne d’émissions de CO2/km est de 127 grammes environ, selon les chiffres publiés lors des neuf premiers mois de l’année 2011.

C’est le Portugal qui décroche la première place avec 124 grammes par km. Le Luxembourg reste bon dernier avec 147g/km derrière l’Allemagne avec 145g/km.

L'Union européenne a prévu de demander un effort aux constructeurs automobiles pour ramener la moyenne des émissions de CO2 des voitures neuves à 130 g/km sur la période 2012-2015. Un second objectif plus drastique a été fixé à 95 g/km à l'horizon 2020.

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Invité §Pdw762fm

[h1]La pollution automobile ne sort pas uniquement du pot d’échappement[/h1]Par Benoît Solivellas | lundi 11 juin 2012Lorsqu’on évoque la pollution atmosphérique d’origine automobile, on s’intéresse généralement aux gaz émis par les pots d’échappement. Mais le moteur n’est pas la seule source de pollution, l’usure des freins ou des pneus contribuent aussi à cette pollution même s'il reste difficile de la quantifier.

http://www.cartech.fr/i/edit/2012/06/39772773/Disque-frein.jpg

On les appelle pièces d’usure. A juste titre, puisque les pneus et les plaquettes de freins sont en frottement perpétuel et ont vocation à se dégrader, à perder de la matière au cours de leur vie.

Ces pertes sont lentes et se font sous forme d’éléments de taille microscopique diffusés dans l'air ambiant. Du fer, du cuivre, de l’antimoine et du baryum pour les freins, du zinc et des particules carbonées pour les pneus. A noter que l’usure de la route par les pneus émet également du silicium, de l’aluminium et du calcium.

Alors que les particules fines – uniquement de grand diamètre émises à l’échappement sont en baisse sous l’effet des normes européennes, une équipe de chercheurs anglais a cherché à savoir quelle était la proportion de cette autre pollution.

Pour cela, elle a comparé des échantillons d’air relevés sur une rue fréquentée avec d’autres, éloignés de la circulation. Les résultats ont montré que, dans leur majorité, les éléments cités plus haut sont plus concentrés aux abords de la route mais les marges d’erreur ne permettent pas de tirer un rapport quantitatif entre les deux zones témoins. Les pièces d'usure augmentent donc les taux de particules fines dans l'air mais on ne sait toujours pas dans quelle mesure.

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D'où l'intérêt de prendre une hybride ou électrique qui utilisera un freinage en grande partie inductif, donc sans contact et sans particules. Sur une Prius, les plaquettes de frein durent 3 fois plus longtemps grâce à l'utilisation en majorité du freinage régénératif.

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Invité §Ess650sw

[h1]La pollution automobile ne sort pas uniquement du pot d’échappement[/h1]Par Benoît Solivellas | lundi 11 juin 2012Lorsqu’on évoque la pollution atmosphérique d’origine automobile, on s’intéresse généralement aux gaz émis par les pots d’échappement. Mais le moteur n’est pas la seule source de pollution, l’usure des freins ou des pneus contribuent aussi à cette pollution même s'il reste difficile de la quantifier.

http://www.cartech.fr/i/edit/2 [...] -frein.jpg

On les appelle pièces d’usure. A juste titre, puisque les pneus et les plaquettes de freins sont en frottement perpétuel et ont vocation à se dégrader, à perder de la matière au cours de leur vie.

Ces pertes sont lentes et se font sous forme d’éléments de taille microscopique diffusés dans l'air ambiant. Du fer, du cuivre, de l’antimoine et du baryum pour les freins, du zinc et des particules carbonées pour les pneus. A noter que l’usure de la route par les pneus émet également du silicium, de l’aluminium et du calcium.

Alors que les particules fines – uniquement de grand diamètre émises à l’échappement sont en baisse sous l’effet des normes européennes, une équipe de chercheurs anglais a cherché à savoir quelle était la proportion de cette autre pollution.

Pour cela, elle a comparé des échantillons d’air relevés sur une rue fréquentée avec d’autres, éloignés de la circulation. Les résultats ont montré que, dans leur majorité, les éléments cités plus haut sont plus concentrés aux abords de la route mais les marges d’erreur ne permettent pas de tirer un rapport quantitatif entre les deux zones témoins. Les pièces d'usure augmentent donc les taux de particules fines dans l'air mais on ne sait toujours pas dans quelle mesure.

 

 

Trois ans plus tard le sujet revient comme par hasard en boucle, avec celui des particules générées par les Essences à injection directe.

 

C'est juste pour se conforter de porter encore et toujours nos choix vers le Diesel, en laissant entrevoir que les autres possibilités ne sont pas si clean que ça, donc il vaut mieux en rester à nos choix ancestraux, qui ne seraient pas illogiques.

 

La propagande sait comme nulle autre pareille exploiter l'incertitude et en tirer partie.

Et il y a toujours un angle qui ne présente pas un objet sous son meilleur jour, il faut le trouver, puis l'exploiter à fond ...

Il y a donc les autres particules fines dues aux frottements et à l'usure, et les particules fines des Essences à injection directe.

Il faut aussi montrer que l'on aurait toute les peines du monde à lutter contre ces phénomènes qu'on vient juste de redécouvrir pour les ressasser!

Cela nous exonère de n'avoir rien fait contre le Diesel, et même nous excuse de l'avoir porté aux nues presque à l'insu de notre plein gré ...

Et le tour est joué !

 

On serait donc toujours extrêmement futés et précurseurs de consommer 80% de Diesel pour 20% d'Essence en France.

Et les Japonais seraient des imbéciles d'avoir virés les Diesels de Tokyo comme des malpropres il y a 10 ans.

Honneur est sauf !

 

Or les faits sont aussi têtus de leur côté:

"Avec 70% des kilomètres parcourus en Île-de-France, les véhicules particuliers diesel contribuent à hauteur de 83% aux émissions de NOx et 99% des émissions de particules de l'ensemble des véhicules particuliers."

http://tempsreel.nouvelobs.com [...] iesel.html

 

Mais la réalité ne nous impressionne pas, n'est-ce pas ?

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Invité §Ess650sw

 

En mettant tous ses moyens en faveur du Diesel alors qu'il connaissait les centaines de milliers de morts que cela allait provoquer, l'Etat a simplement concédé aux français un droit de tuer.

 

A la différence des américains dont le fantasme porte la mort en dehors de leurs frontières (350 000 décès en Irak en 5 ans), nous avons la légèreté d'âme de le faire dans notre propre pays (40 000 morts annuels par particules fines, sans aucune réaction depuis 20 ans).

 

Si les USA comme la France ne reconnaitront jamais de responsabilité quant à leurs hécatombes respectives et donc ne pourront pas au moins s'en excuser à la face de l'humanité, on peut noter que l'effet de sidération accompagnant ces crimes d'Etat aura duré pendant 5 ans pour les américains et plus de 20 ans pour les français.

 

Pendant ces périodes respectives, ces deux pays auront mobilisé toute leur conscience collective et leur énergie créatrice pour réaliser l'ampleur de cette tâche.

 

Quelques centaines de milliers de morts le nécessitent à l'évidence ...

Parigi-Inquinamento-001.jpg

=====

 

"Carburants : à quel point le diesel est-il nocif pour notre santé et notre planète ?

Les véhicules diesels émettent des oxydes d\'azote, des particules fines et du CO2, qui mettent en danger notre santé et la planète.

Par Carole Bélingard – France Télévisions

 

Mis à jour le 16/11/2018 | 07:19 – publié le 16/11/2018 | 07:01

 

Le diesel, longtemps privilégié par les automobilistes, altère en réalité dangereusement la qualité de l'air que nous respirons.

 

"Moins polluant", "économique"… Dans les années 1990, le diesel était mis en avant dans les médias pour ses nombreuses qualités supposées. Les politiques publiques ont d'ailleurs largement incité les foyers français à s'équiper de voitures diesels, notamment via une fiscalité avantageuse. Résultat de cette promotion : 62% du parc roulant de véhicules de particuliers est aujourd'hui composé de voitures diesels, selon des chiffres de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) collectés en 2015.

 

Mais les habitudes changent. Pour la première fois, le nombre de véhicules neufs essence vendus en 2017 dépasse le nombre de diesels, signale l'Ademe. Le discours politique évolue aussi. Pour justifier la hausse des taxes sur le gazole, les membres du gouvernement ne cessent de rappeler dans les médias "les morts prématurées liées à la pollution de l’air", à l'instar du ministre du Budget, Gérald Darmanin, sur Europe 1, fin octobre. Les élus de la métropole du Grand Paris ont même voté, lundi 12 novembre, une prochaine interdiction de circulation dans 79 communes pour les diesels immatriculés avant 2001.

 

Pourquoi un tel désamour ? Parce que le diesel n'est pas aussi bon qu'on nous le vendait, ni pour notre santé, ni pour notre planète. Et ce à cause des différents polluants qu'il rejette dans l'atmosphère.

Les particules fines

 

"Les diesels émettent essentiellement des particules ultrafines, explique à franceinfo Thomas Bourdrel, radiologue et fondateur du collectif Strasbourg respire. Ces nanoparticules sont aujourd'hui bien connues. Leur toxicité provient notamment des composés à la surface, que l'on appelle hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP)." Or, même les filtres installés sur les moteurs dernière génération laissent passer les particules les plus fines, insiste le médecin, coauteur d'une étude sur les effets cardiovasculaires de la pollution de l'air, publiée en 2017 dans la revue scientifique Archives of Cardiovascular Diseases (en anglais).

 

Certes, les voitures essence émettent aussi des particules fines, comme le rappelle cet article de The Conversation. Mais "la majorité des HAP issus du trafic sont émis par les véhicules diesels, essentiellement par les véhicules particuliers (67%). Les véhicules essence ne représentent que 3% des émissions de HAP", rapporte Airparif, l'association de surveillance de la qualité de l'air en Ile-de-France, dans une étude.

 

C'est justement à cause de la présence de ces HAP que le diesel est classé comme cancérigène avéré par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 2012.

 

Les particules fines s'infiltrent et pénètrent tous les organes. Outre les effets respiratoires et cardiovasculaires, elles ont des effets cancérigènes et des effets sur la grossesse.Thomas Bourdrel, médecin radiologue, fondateur du collectif Strasbourg respireà franceinfo

 

Les personnes âgées et les enfants, plus sensibles que le reste de la population, ne sont pas les seuls concernés : "Tout le monde peut être touché", insiste Thomas Bourdrel. Selon l’Agence européenne pour l’environnement (en anglais), les particules fines ont provoqué en 2016 la mort prématurée de 422 000 personnes en Europe, dont 48 000 en France, un chiffre en hausse.

 

Une étude canadienne publiée en 2017 dans The Lancet (en anglais) a montré d'autres effets de cette pollution aux particules fines. "Elle semble avoir une incidence sur l’apparition de maladies neurodégénératives comme Alzheimer. Plus les individus ont vécu à proximité d’un grand axe routier, plus la fréquence de démence est élevée", commente, dans La Croix, Gilles Dixsaut, médecin et président du comité d’Ile-de-France contre les maladies respiratoires.

Le dioxyde d'azote

 

Autre composant problématique : les gaz, sous forme d'oxydes d'azote (NOx), qui s'échappent malgré les filtres. "Le diesel pose surtout un problème de santé publique en ville, souligne Thomas Bourdrel, car le moteur n'a pas le temps de chauffer donc les catalyseurs [censés réduire les gaz d'échappement], qui ont besoin qu'une température soit atteinte, sont inefficaces pour bloquer les gaz."

 

Parmi ces NOx, le dioxyde d'azote (NO2) est le plus toxique. "Un diesel va émettre de 6 à 10 fois plus de NO2 que l’essence", souligne Thomas Bourdrel. Ces fameuses émissions d'oxydes d'azote sont au cœur du scandale du "dieselgate", qui a mis au jour en 2015 une fraude massive aux tests antipollution des moteurs diesels de plusieurs constructeurs automobiles.

 

Qu'en est-il trois ans plus tard ? Pour le savoir, l'ONG Transport & Environment a réalisé des tests censés être plus proches des conditions réelles de conduite que ceux menés par les constructeurs. En clair, elle a pris en compte les dénivelés, l'altitude mais aussi les différents styles de conduite. Dans ces conditions, l'ONG a montré, dans un rapport publié en septembre (en anglais), que le nombre de véhicules diesels ne respectant pas les normes d'émissions de polluants continue d'augmenter.

 

Une petite proportion de modèles sont propres, mais beaucoup ne le sont pasL'ONG Transport & Environmentdans un rapport

 

Les conséquences de ces polluants sur la santé sont eux aussi lourds. "Des études épidémiologiques ont suggéré que le NO2 peut représenter un facteur de risque dans l'augmentation de la mortalité observée au cours d'épisodes de pollution. D'autres travaux ont évoqué son rôle dans le développement de maladies cardiovasculaires chroniques telles que l'insuffisance cardiaque", affirme Valérie Lecureur, chercheuse à l'Institut de recherche en santé, environnement et travail de Rennes, à Sciences et Avenir.

 

Selon l’Agence européenne pour l’environnement (AEE), l’exposition au NO2 a provoqué 79 000 morts dans 41 pays européens en 2015, dont 7 700 en France.

L'ozone

 

Parmi les NOx émis essentiellement par le diesel, on trouve un deuxième gaz : le monoxyde d'azote (NO). S'il est bien moins toxique pour la santé que le NO2, le NO contribue à la formation de l'ozone troposphérique (ou "de basse altitude"). Cet ozone (O3) a été responsable de 17 700 décès prématurés en Europe en 2015, selon l’AEE, dont 1 500 en France. "Les émissions d'ozone vont surtout être dangereuses pour les personnes sensibles, comme les personnes âgées, les jeunes enfants", précise Thomas Bourdrel. Chez ces personnes, la pollution à l'ozone peut provoquer de la toux et une irritation de la gorge, du nez et des yeux, selon Santé Publique France.

 

En outre, des concentrations journalières élevées d'ozone sont associées à une augmentation des crises d'asthme et des admissions hospitalières pour causes respiratoires et cardiovasculaires, et peuvent conduire à un excès de mortalité, précise l'organisme public."

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