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Motorisation, énergie, et environnement

Le topic des VHs électrique / hybride / Hydrogène et autres énergies


Invité §geg572mh
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Invité §geg572mh

:jap::love:FISKER-KARMA Selon l'Auto-Journal, le constructeur californien Fisker commercialisera sa routière hybride dans l'Hexagone en Juin prochain / le prix américain de la Karma s'établit à 87.900 dollars soit environ 59.000 euros.

 

http://www.turbo.fr/actualite-automobile/311802-electrique-fisker-karma-france-prochain/

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Invité §geg572mh

RENAULT VEUT ETRE LEADER DE L’ELECTRIQUE EN 2020

 

20 novembre 2009

 

Les projets de Renault-Nissan dans les véhicules électriques, multiples et ambitieux, devraient permettre à l’Alliance d’être numéro un mondial dans ce secteur en 2020, avec une part de marché d’au moins 20 %.

 

En France, l’usine de Flins deviendra en 2012 le fer de lance de Renault en matière de batteries et de véhicules électriques. Le site fabriquera 100 000 bateries par an dans un premier temps, puis 250 000 en 2015. Flins devrait par la suite pouvoir recycler les batteries en fin de vie. Renault produira en outre la Zoé dès 2012 sur ce site. (AUTO JOURNAL 19/11/09)

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Invité §geg572mh

:jap:BMW Série 1 petite hybride en perspective ......

 

http://www.autosblog.fr/post/2517/spyshots-une-bmw-serie-1-hybride-en-test

 

Et une 100 % électrique :

 

BMW Série 1 électrique

Prototype inattendu

 

Réputé pour ses talents de motoriste, BMW ne s'est pas lancé à corps perdu dans l'électrique. Mais les temps changent, et le bavarois devrait bientôt présenter une version "survoltée" de sa compacte Série 1.

 

Planning chargé pour BMW en cette fin d'année : si la nouvelle Série 5 sera présentée dans quelques jours, la marque nous prépare encore une surprise de taille. D'après une source proche du dossier, elle devrait en effet dévoiler une version électrique de sa Série 1. Présentée à l'état de prototype, cette variante inédite reste discrète sur ses choix techniques.

Mais une chose est sûre : contrairement au spectaculaire concept Vision EfficientDynamics du dernier salon de Francfort, cette compacte se dispensera de tout moteur thermique.

Elle se rapprochera donc davantage de sa petite cousine Mini E.

Et pourrait même reprendre une architecture similaire, en se convertissant à la traction avant.

 

 

En logeant une partie des batteries dans le tunnel de transmission, il serait en effet possible de conserver des places arrière et un volume de coffre décent. Quitte à se fâcher avec quelques puristes, pour qui une BMW se doit d'avoir des roues arrière motrices. Présentée au prochain salon de Detroit, cette bavaroise s'inscrit dans le Project i, qui vise à proposer des véhicules alternatifs, adaptées à la circulation urbaine et dotés de deux, trois ou quatre roues.

Elle rejoint l'étude de scooter à toit C1-E et les concepts de tricycles futuristes SIMPLE et CLEVER.

 

Mais contrairement à ces derniers, qui ont rejoint le musée, cette Série 1-E (appellation non définitive) pourrait bien être commercialisée en petite série, à l'image de la Mini E.

Même si BMW travaille déjà activement sur la remplaçante de sa compacte, prévue pour 2011.

 

 

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Invité §geg572mh

Salon :

Bugatti électrique... de 1931

 

 

http://www.moniteurautomobile.be/medias/pics/X_13100_2_H.jpg

http://www.moniteurautomobile.be/Pics/GE_Pix.gif

http://www.moniteurautomobile.be/medias/pics/X_13100_1_H.jpg

 

Lors de la présentation du groupe VW la veille du salon de Francfort, le patron de Bugatti est arrivé au « volant » d'une Type 56, un modèle électrique qu'a possédé la Reine Elisabeth.[/b]

 

 

 

Lors de la présentation du groupe VW la veille du salon de Francfort, le patron de Bugatti est arrivé au « volant » d'une Type 56, un modèle électrique qu'a possédé la Reine Elisabeth.

 

En 1931, Ettore Bugatti s'était fait construire une voiture électrique, la Type 56, avec le style des véhicules de la fin du XIXe et du début du XXe. Elle ressemble d'ailleurs à l'Oldsmobile de 1901. Ce coupé biplace de 0,8 kW lui servait pour ses déplacements de l'usine à son domicile et aux alentours. L'électricité était stockée dans 6 accumulateurs de 6 V. Ce modèle capable de rouler à 28 km/h avait un moteur dans chaque roue et se guidait à l'aide d'une queue de vache. Elle devait rester unique mais dix exemplaires ont été construits à la demande de clients fidèles (quatre ont survécu). Un de ceux-là a été utilisé par la famille royale. Et c'est celle, en jaune, ayant appartenu à la Reine Elisabeth, que Bugatti a sorti pour son show de présalon.

 

Le CEO de Bugatti, M. Paefgen, a choisi cette Type 56 de 1932 en cette année centenaire de la marque pour présenter une nouvelle série spéciale de la Veyron Grand Sport : la Sang Bleue lors du show d'avant-première du salon de Francfort. Cette dernière avait été dévoilée à Pebble Beach. Le show réservé à la presse était la seule occasion de voir cette voiture à l'IAA puisque la marque Bugatti n'y avait pas de stand. Le prototype Galibier n'était pas en Allemagne non plus, sa présentation le week-end précédent était réservée à la clientèle, au château de Saint Jean à Molsheim. Le grand public devra attendre le salon de Genève.

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Invité §geg572mh

:jap:PORSCHE

 

 

http://www.auto-innovations.com/actualite/actualite.html

 

26 novembre 2009

La première batterie de démarrage lithium-ion commercialisée par Porsche

 

Batterie de démarrage lithium-ion

commercialisée par Porsche

Déjà annoncé dans notre actualité du 28 août dernier, les Porsche 911 GT3, 911 GT3 RS et Boxster Spyder disposeront en option d’une batterie de démarrage à technologie lithium-ion. La Société Dr. Ing. h. c. F. Porsche AG devient ainsi le premier constructeur automobile au monde à proposer une batterie de démarrage au lithium-ion.

Cette nouvelle batterie permet d’obtenir un gain de poids de plus de 10 kg par rapport à un modèle au plomb standard de 60 Ah.

 

La batterie lithium-ion affiche une longueur et une largeur similaires à celles d’un modèle ordinaire, mais une hauteur inférieure de près de 70 millimètres. Ses points de fixation, ses connexions électriques et sa plage de tensions sont également entièrement compatibles.

 

La batterie de démarrage devant privilégier la puissance, c’est la technologie « lithium-fer-phosphate » qui a été choisi, contrairement à d’autres technologies telles que l’oxyde de manganèse, de l’oxyde de cobalt ou du nickel qui privilégient la capacité de stockage. Sa capacité nominale n’est ainsi que 18 Ah, contre 60 Ah pour celle au plomb qu’elle remplace.

Par ailleurs, grâce à sa résistance interne réduite, cette batterie absorbe davantage de puissance, lors de sa recharge.

Enfin, la batterie lithium-ion autorise un plus grand nombre de cycles de charge/décharge et présente une auto-décharge plus faible et une durée de vie plus longue.

 

Cette batterie lithium-ion est composée d’un film de carbone et de phosphate de fer séparé par une pellicule céramique humidifiée par l’électrolyte. Elle est constituée de 4 cellules montées en série fournissant 14 volts. L’électronique de commande est entièrement intégrée. Son système de gestion la protège des décharges excessives et garantit un niveau de charge homogène entre les différentes cellules. Lorsque la tension de la batterie descend au-dessous d’un certain seuil, un signal d’avertissement indique au conducteur de la recharger, soit en exploitant la puissance du moteur, soit en utilisant un chargeur classique.

 

À partir de février 2010, la nouvelle batterie lithium-ion sera également disponible en rééquipement sur les trois modèles pré-cités auprès de Porsche Tequipment.

Elle sera disponible en option en France dès janvier 2010 sur la 911 GT3, la 911 GT 3 RS et le Boxster Spyder au prix de 1913.60 €, TVA de 19,6 % incluse.

La batterie est produite par la société allemande GAIA Akkumulatorenwerke GmbH, filiale de LTC-Lithium Technology Corporation.

 

Voir aussi Les problématiques de l’emploi d’une batterie lithium-ion dans un véhicule

 

Yvonnick Gazeau

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Moi ce qui me fait marrer c'est les types qui ce marrent quand quelqu'un arrive avec une innovation , dix ans plus tard souvent ils pleurent parce qu'ils ce sont fait bouffer.

Dans les années soixante les ricain ils rigolaient bien quand Toyota a racheter une vielle usine de General Motors...

 

Et les horlogers Suisse se marraient comme des fous quand les jap ce sont mis a commercialiser les montres a quartz qu'eux les Suisses avaient pourtant inventé mais comme ils n'y croyaient pas du tout ils avaient cédé les brevets pour une bouché de pain aux japs assez cons pour leur acheter.... on connait la suite :D

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J'y crois aux bagnoles électriques mais pas pour tout de suite vu leurs prix !

Car payé 25000 euros pour une caisse CITADINE qui sort l'année prochaine roulant à l'électricité ça fait mal au c**.

 

 

Après je ne connais pas le prix d'un moteur électrique, ni des batteries, mais je trouve ça énorme que ça coute aussi cher à produire ...

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J'y crois aux bagnoles électriques mais pas pour tout de suite vu leurs prix !

Car payé 25000 euros pour une caisse CITADINE qui sort l'année prochaine roulant à l'électricité ça fait mal au c**.

Après je ne connais pas le prix d'un moteur électrique, ni des batteries, mais je trouve ça énorme que ça coute aussi cher à produire ...

 

Le prix de revient d'une batterie c'est 1000 euros par kWh embarqué (info R & D de Toyota). Pour une petite citadine avec 15 kWh de batteries ça fait 15000 euros ! Plus que l'autonomie, l'encombrement ou le poids c'est le prix actuel de la batterie qui est un obstacle. :cry:

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Moi ce qui me fait marrer c'est les types qui ce marrent quand quelqu'un arrive avec une innovation , dix ans plus tard souvent ils pleurent parce qu'ils ce sont fait bouffer.

Dans les années soixante les ricain ils rigolaient bien quand Toyota a racheter une vielle usine de General Motors...

 

Et les horlogers Suisse se marraient comme des fous quand les jap ce sont mis a commercialiser les montres a quartz qu'eux les Suisses avaient pourtant inventé mais comme ils n'y croyaient pas du tout ils avaient cédé les brevets pour une bouché de pain aux japs assez cons pour leur acheter.... on connait la suite :D

 

Des exemples comme ça il y en a foison. Sony a présenté le Mavica en 1981 à Paris, c'était le premier appareil photo numérique, des journalistes ont demandé leur opinion à Kodak, leader de la photo argentique à l'époque, leur réponse a été : "la photo numérique existera peut-être un jour, mais le Mavica de Sony est une supercherie..." :lol:

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Invité §geg572mh

Le prix de revient d'une batterie c'est 1000 euros par kWh embarqué (info R & D de Toyota). Pour une petite citadine avec 15 kWh de batteries ça fait 15000 euros ! Plus que l'autonomie, l'encombrement ou le poids c'est le prix actuel de la batterie qui est un obstacle. :cry:

 

 

 

:jap: D'ou les annonces de RENAULT/NISSAN , le prix de la LLD des batteries au environ de 100 euros / mois , on achète que l'auto au environ de 15.000 euros , il serait étonnant que l'on bénéficie du super bonus de 5000 euros dans ce cas la amel_the_white.gif.f3c7e24bd385b02c6706393c608f8e4c.gif ......... adrien_sans_voiture.gif.fd5ff3e8bd5e6aa9e76536854b71ec6f.gif

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:jap: D'ou les annonces de RENAULT/NISSAN , le prix de la LLD des batteries au environ de 100 euros / mois , on achète que l'auto au environ de 15.000 euros , il serait étonnant que l'on bénéficie du super bonus de 5000 euros dans ce cas la amel_the_white.gif.f3c7e24bd385b02c6706393c608f8e4c.gif ......... adrien_sans_voiture.gif.fd5ff3e8bd5e6aa9e76536854b71ec6f.gif

 

 

On a pas encore de précision sur les tarif, il disent a un prix égale aux véhicules diesel équivalent, et ce je pense bonus de 5000 €.

Zoe = clio donc entre 14 500 € et 20 250 € pour la version la plus luxueuse ça laisse de la marge.

Fluence=Fluence la pour l'instant il n'y a que deux version donc entre 19750 et 23800€.

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:jap: D'ou les annonces de RENAULT/NISSAN , le prix de la LLD des batteries au environ de 100 euros / mois , on achète que l'auto au environ de 15.000 euros , il serait étonnant que l'on bénéficie du super bonus de 5000 euros dans ce cas la amel_the_white.gif.f3c7e24bd385b02c6706393c608f8e4c.gif ......... adrien_sans_voiture.gif.fd5ff3e8bd5e6aa9e76536854b71ec6f.gif

 

4 Mitsu I-MiEv livrées à Monaco :

 

http://mesure antispam/2009/11/fresh-quatre-i-miev-pour-monaco.html

http://www.nicematin.com/ra/monaco/224308/monaco-deja-484-vehicules-propres-dans-les-rues-de-la-principaute

 

Mais pas d'info sur le prix de la location.

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:jap: D'ou les annonces de RENAULT/NISSAN , le prix de la LLD des batteries au environ de 100 euros / mois , on achète que l'auto au environ de 15.000 euros , il serait étonnant que l'on bénéficie du super bonus de 5000 euros dans ce cas la amel_the_white.gif.f3c7e24bd385b02c6706393c608f8e4c.gif ......... adrien_sans_voiture.gif.fd5ff3e8bd5e6aa9e76536854b71ec6f.gif

 

 

Bref, une vraie pompe à fric en perspective pour Renault. Jusqu'à présent l'automobiliste se faisait plumer à chaque plein de carburant classique. Dorénavant avec le système de location de batterie, l'automobiliste se fera plumer toute l'année même si il ne roule pas tout en devant composer avec une autonomie réduite quand il roule ! Génial, non ?

 

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Bref, une vraie pompe à fric en perspective pour Renault. Jusqu'à présent l'automobiliste se faisait plumer à chaque plein de carburant classique. Dorénavant avec le système de location de batterie, l'automobiliste se fera plumer toute l'année même si il ne roule pas tout en devant composer avec une autonomie réduite quand il roule ! Génial, non ?

 

Une vraie pompe à fric pour Renault, à priori oui, mais une batterie c'est pas donné, c'est pas sûr qu'ils soient vraiment gagnants (?). C'est surtout pour les pétroliers et l'Etat (plus de TIPP) que ça va poser problème.

:jap:

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Bref, une vraie pompe à fric en perspective pour Renault. Jusqu'à présent l'automobiliste se faisait plumer à chaque plein de carburant classique. Dorénavant avec le système de location de batterie, l'automobiliste se fera plumer toute l'année même si il ne roule pas tout en devant composer avec une autonomie réduite quand il roule ! Génial, non ?

 

Non au contraire avec ce systéme tu sais exactement ce que sera ton budget carburant et auto, donc pas de surprise et c'est facile de comparer et donc de choisir en fonction de tes besoins et en toute connaissance de cause.

Il est par exemple évident que si tu fais une fois par mois 800km et que le reste du temps tu prends les transport en commun ça ne sera pas rentable. Par contre si tu fais tout les jours moins de 200km ça le sera. Il faut arrêter de prendre les gens pour des gogol, y en a, mais aujourd'hui les gens savent compter et n'achètent plus n'importe comment.

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Invité §inv626zF

 

aldo_montu.gif.8b885a0511812b049b2c815d7c6ae432.gif250_000_voitures_electriques_vendues_dici_2015

 

http://www.autodeclics.com/article14859-bioart-250_000_voitures_electriques_vendues_dici_2015_.html[/quotemsg]

 

Bonjour,

Vendre 250.000 VE d'ici 2015, ça va pas être facile !

Il faudrait surtout que les constructeurs proposent des VE répondant aux besoins.

 

Signalons un nouveau site qui fait une enquête en ligne permanente sur l'énergie :

=> http://futurenergy.ifrance.com/

On voit les réponses en temps réel.

Le sujet du mois est "La voiture électrique".

En janvier, ce sera "Le pic du pétrole".

 

Vulpes2

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Invité §geg572mh

:jap:ALLEMAGNE

 

LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES ELECTRIQUES APPELLENT A L’AIDE

 

30 novembre 2009

 

Les constructeurs allemands de véhicules électriques demandent au gouvernement fédéral de mettre rapidement en place des subventions et un programme d’incitations afin de promouvoir l’électromobilité. « Il est clair qu’un programme d’incitations pour l’électromobilité et le développement d’autres motorisations alternatives est nécessaire pour que ce type de véhicules puisse être introduit sur le marché à grande échelle », a déclaré Matthias Wissmann, président de l’association allemande de l’industrie automobile (VDA).

 

Le HANDELSBLATT (27/11/09) rappelle que les gouvernements français, américain, chinois et japonais ont déjà annoncé la mise en place de tels programmes (cf. revues de presse du 2/10/09 et du 18/11/09).

 

Les Etats-Unis prévoient d’accorder une prime de 5 500 euros aux premiers acheteurs de véhicules électriques,

prime qui atteint jusqu’à 7 400 euros en France et 11 000 euros au Japon.

 

Toutefois, en Allemagne, la mise en place de mesures incitatives (avec un bonus d’au moins 2 500 euros) reste au stade de la discussion.

Les importateurs estiment que les démarches se déroulent trop lentement et souhaiteraient que les aides soient en vigueur au moment du lancement sur le marché des premiers véhicules électriques.

 

Actuellement, en raison du coût élevé des batteries, une voiture électrique revient environ deux fois plus cher qu’un modèle « traditionnel ».

 

Or, la démocratisation des véhicules électriques est nécessaire pour atteindre les objectifs climatiques que le gouvernement allemand s’est fixés et pour permettre la mise en circulation d’un million de voitures électriques en Allemagne d’ici à 2020 (cf. revue de presse du 26/11/08).

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Non au contraire avec ce systéme tu sais exactement ce que sera ton budget carburant et auto, donc pas de surprise et c'est facile de comparer et donc de choisir en fonction de tes besoins et en toute connaissance de cause.

Il est par exemple évident que si tu fais une fois par mois 800km et que le reste du temps tu prends les transport en commun ça ne sera pas rentable. Par contre si tu fais tout les jours moins de 200km ça le sera. Il faut arrêter de prendre les gens pour des gogol, y en a, mais aujourd'hui les gens savent compter et n'achètent plus n'importe comment.

 

 

Permets moi d'avoir quelques doutes sur une quelconque rentabilité pour l'utilisateur... Je crains fort que la tarification soit sur le même principe que les forfaits de téléphones mobiles : limitée à un nombre de changement maxi, au delà tu es hors forfait (et donc tu paie plein pot).

Et avec une autonomie de 120 à 150 kms, ça va en faire des files d'attente journalières aux stations qui feront l'échange des batteries !

Sans parler de la logistique nécessaire à l'approvisionnement en batteries car je ne suis pas sûr qu'un semi remorque journalier par point d'échange sera suffisant si ce genre de voiture se généralise. Et dans ce cas, le gain en émissions polluantes ne risque-t-il pas d'être englouti par les circulations supplémentaires de poids lourds générées pour le transports de ces chères batteries ?

 

Mais qui vivra verra !

 

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Et bien dans ce cas, si c'est pas rentable pour l'utilisateur personne n'achètera et la question de savoir si ça sera une pompe à fric pour Renault ne se pose pas.

 

Sinon autotomie c'est 160km pleine charge avec la clim Etc... ensuite il est bien évident (je l'ais dit dans mon post précédent) que ce genre de voitures s'adresse a des utilisateurs qui font régulièrement moins de 160 km journalier (ou 2x160km avec un temps de pose suffisant pour recharger) , c'est a dire la grande majorité des français.

 

Pour ce qui est du changement de batterie il ne se pratique bien évidement que quand on dépasse cette autonomie donc exceptionnellement, et bien sur il n'y aura pas besoin de noria de camion pour les transporter puisque quand on prend une batterie on en laisse une en remplacement dans la Station d'échange, il n'y a que de l'électricité a transporter et ca demande beaucoup moins de camion que pour transporter du carburant.

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Invité §geg572mh

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Voiture électrique : Renault face à la fronde écologique

Tags : Environnement, voiture electrique, Renault

 

 

 

L’association Agir pour l’environnement épingle Renault et sa campagne sur le voitures électriques qu’elle juge trompeuse.

 

Alors que Renault redouble d’énergie pour promouvoir ses prochains véhicules électriques, l’association Agir pour l’environnement vient rappeler, à raison, quelques évidences que le discours marketing du fabricant au losange pourrait faire oublier. Une volée de bois vert que l’association envoie par l’intermédiaire d’un site internet reprenant la charte graphique du constructeur français.

 

La fronde de l’association se concentre avant tout sur l’appellation Zero Emission retenue par Renault pour sa gamme électrique. Une appellation trompeuse selon l’association qui considère que « Renault externalise la pollution en tentant de faire croire que les centrales produisant l'électricité ne rejetteraient pas de gaz à effet de serre ». L’association rappelle que l’ADEME a récemment rappelé que le bilan écologique global de la voiture électrique n’est pas systématiquement favorable comparé à celui de la voiture thermique. Tout dépend de la manière dont est produite l’électricité.

 

Malheureusement, ses revendications deviennent moins pertinentes lorsque d’autres facteurs de pollution sont abordés, notamment la multiplication des véhicules par foyer que pourrait engendrer cette électrification. Selon elle, la faible autonomie des voitures électriques conduirait les ménages à acheter « une deuxième, voire une troisième voiture ».

Mais c’est sans oublier leur prix élevé qui conduira les acheteurs à substituer une petite voiture thermique à une électrique, et non à conserver les deux, ce qui augmenterait leur budget automobile (depuis 1990, le budget des ménages consacré à l’automobile est stable selon l’INSEE).

 

L’association évoque enfin un usage exclusivement urbain de ces voitures (et leur oppose les transports en commun).

Mais dans la pratique, leur usage devrait concerner une bonne proportion d’habitants ruraux qui n’ont aucune offre de transports en commun à disposition et n’utilisent que la voiture.

Car les 100 kilomètres d’autonomie de ces voitures électriques sont suffisants pour répondre aux besoins quotidiens de ruraux, polarisés sur la grande ville proche rarement éloignée de plus de 30 km. Certes Renault en parle peu mais Bolloré a souvent évoqué cet usage pour sa Bluecar.

 

Dommage que cette initiative se perde dans ces sujets, son idée de départ qui visait à dénoncer l'abus de langage marketing de Renault était pourtant pertinente.

 

Publié le 30 novembre 2009 Par Benoît Solivellas

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Invité §geg572mh

:jap:CHEVROLET VOLT

 

Chevrolet Volt, l'électrique qui pense aux piétons

 

Par Thomas Siniecki | Lundi 30 Novembre 2009

 

L’électrique arrive, le monde de l’automobile est au courant. Et avec lui une somme de détails particulièrement originaux, pour les conducteurs comme pour les piétons, habitués depuis plusieurs dizaines d’années au moteur essence, donc au bruit des voitures. Chevrolet prépare ainsi un avertisseur sonore adapté pour la commercialisation de la Volt puisque le silence, en dépit de ses nombreux avantages, pourrait s’avérer problématique notamment pour les non-voyants.

 

En mettant actuellement au point sur la Chevrolet Volt un système d’avertisseur sonore pour les piétons aveugles ou mal-voyants, General Motors prouve que la voiture électrique a les défauts de ses qualités.

Comme Toyota ou Lotus avant lui, le constructeur américain travaille donc déjà en amont pour répondre aux attentes des personnes vulnérables, pour livrer en 2011 une première génération de Volt directement opérationnelle sur ce point. Si la Volt sera bien une hybride, son moteur essence servira simplement de générateur d’énergie pour le bloc électrique, qui sera le seul à faire fonctionner le véhicule.

 

Par voie de conséquence, la Volt ne fera donc strictement aucun bruit en roulant. Pour avancer au mieux dans leurs recherches, les ingénieurs de Chevrolet ont d’ores et déjà rencontré plusieurs « cobayes » au centre d’essais de Milford, lors d’une journée organisée en association avec la NFB (National Federation for the Blind, littéralement fédération américaine pour les personnes aveugles), afin de se mettre à l’écoute des principaux concernés pour développer le procédé.

 

Pas agressif, mais pas trop doux non plus« Nous avons hâte de travailler avec GM afin d’identifier un son approprié qui alertera ces personnes d’une manière efficace et la moins perturbante possible », a déclaré dans ce sens John Paré, directeur exécutif des initiatives stratégiques à la NFB. Au-delà des aveugles et des mal-voyants, bien évidemment premiers concernés, la mesure se veut en faveur de la sécurité routière en général. Cyclistes, joggeurs, enfants, bref tous les piétons en général doivent bien sûr s’habituer à la voiture sans bruit pour permettre la révolution électrique. Loin d’être évident de prime abord.

 

A l’écoute des premiers sons, le signal paraît encore un peu faiblard, même si le constructeur au Nœud papillon doit faire dans le compromis pour produire une alerte à la fois audible et non agressive. Les premiers tests ont ainsi été effectués avec des gazouillis d’oiseaux, un peu doux et trop mêlés à l’environnement de la circulation pour pouvoir être distinctement différenciés. Finalement assez proches des sons émis aux feux rouges pour les non-voyants, les alertes sur la Chevrolet Volt doivent émettre à intensité progressive selon le danger et l’angle. Les membres de la NFB présents ont ainsi évalué le son à l’avant, sur le côté et à l’arrière.

 

Le président de la NFB veut avertir de « l’approche, la vitesse et la direction »Sur la première génération de Volt, Chevrolet a déjà annoncé que l’avertisseur sonore serait à activer manuellement par le conducteur, en espérant passer sur un mode automatique dans le futur. Forcément un point négatif pour le Pedestrian Friendly Alert System – puisque tel est le nom de l’instrument – étant donné que les réflexes doivent être différents entre un klaxon d’urgence sur une voiture à moteur thermique, donc bruyante par définition, et un véhicule électrique qu’il est quasiment impossible d’entendre. Le mode automatique devra lui différencier les piétons des véhicules à l’avenir, sous peine de conclure à un vacarme finalement assez étrange sur les routes.

 

« Dans certaines situations, les véhicules hybrides ou électriques ont deux fois plus de chances d’être impliqués dans une collision avec un ou deux piétons », précise Deborah Kent Stein, membre du comité sur la sécurité des automobilistes et des piétons à la NFB, en s’appuyant sur un récent rapport de la sécurité routière américaine.

Pour le Dr Marc Maurer, président de la NFB, qui « apprécie cette occasion de travailler avec GM », le problème doit être vu sous un angle global, en appelant à « des véhicules qui avertissent de leur approche, de leur vitesse et de leur direction par une alerte sonore adéquate ». Le programme s’annonce chargé, mais nécessaire.

 

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Invité §geg572mh

La voiture électrique, sur les pas du téléphone mobile ?

 

Consommer la voiture électrique comme un téléphone mobile, via un abonnement. Une étude du cabinet BearingPoint met en évidence l’intérêt de ce modèle économique, défendu par la société Better Place.

 

A ses débuts, la technologie de téléphonie mobile était prometteuse mais difficile à mettre en œuvre d’un point de vue économique. Son déploiement demandait des lourds investissements avec l’installation d’un énorme réseau d’antennes relais, les terminaux mobiles étaient chers et encombrants et peu autonomes.

Exposée de la sorte, la similitude entre téléphone mobile et voiture électrique est donc plus claire. Le véhicule électrique est plein de promesse mais réclame un réseau de recharge conséquent, souffre d’un manque d’autonomie et reste chère.

 

Aux mêmes problèmes, les mêmes solutions, pour le cabinet de consultants BearingPoint, la voiture électrique peut trouver son essor en suivant le modèle économique de la téléphonie mobile. Un schéma qui donne plus de valeur aux services qu’aux objets.

 

La voiture électrique à 1 euro ?

 

Dans la téléphonie mobile on paie avant tout pour téléphoner et non pour posséder un téléphone. Le coût du terminal est compris dans le forfait et se réduit souvent à un euro (même si Apple et son Iphone ont un peu bousculé ce modèle).

Afin de digérer plus facilement les coûts des infrastructures de recharge et de batteries automobiles, le principe des forfaits pourrait donc s’appliquer à l’automobile électrique…sans aller jusqu’à la voiture à un euro. L’automobiliste achèterait une voiture sans ses batteries et s’abonnerait pour rouler avec. Mais plus qu’une solution économique, ce principe des forfaits gérés par un « opérateur de mobilité » tel que Better Place pourrait être une réponse à de nouveaux usages de l’automobile.

 

BearingPoint souligne également que l’apparition de ces opérateurs peut garantir plus efficacement la mise en place d’un écosystème de recharge comprenant la production d’électricité, sa distribution, sa commercialisation, la gestion de bornes différentes suivant l’usage (charge rapide, lente, échange de batteries) et l’application des normes d’interopérabilité.

 

http://www.cartech.fr/i/edit/2009/11/elc-mobile-2.jpg

 

Quel gain financier pour l’utilisateur ?

 

A l’heure actuelle l’avantage financier d’un tel fonctionnement face à la voiture thermique n’est pas assuré, même si la tarification est encore floue. Dénuée de ses batteries (plus de 10.000 euros pour des Lithium-Ion), le prix de vente de la voiture électrique se rapproche de son équivalent diesel, grâce aux aides de l’Etat.

Pour les batteries, Renault prévoit par exemple une location à 100 euros par mois, hors électricité.

 

Les véritables gains pourraient être en fait du côté de ces nouveaux acteurs « fournisseurs de mobilité » qui verraient dans la voiture électrique une opportunité technique pour proposer le schéma économique très lucratifs de la téléphonie mobile où la rentabilité est exceptionnelle, proche de 30%.

 

De toute évidence, le business de la voiture électrique est en marche.

 

Publié le 1 décembre 2009 Par Benoît Solivellas

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La voiture électrique, sur les pas du téléphone mobile ?

 

Quel gain financier pour l’utilisateur ?

 

A l’heure actuelle l’avantage financier d’un tel fonctionnement face à la voiture thermique n’est pas assuré, même si la tarification est encore floue. Dénuée de ses batteries (plus de 10.000 euros pour des Lithium-Ion), le prix de vente de la voiture électrique se rapproche de son équivalent diesel, grâce aux aides de l’Etat.

Pour les batteries, Renault prévoit par exemple une location à 100 euros par mois, hors électricité.

 

Les véritables gains pourraient être en fait du côté de ces nouveaux acteurs « fournisseurs de mobilité » qui verraient dans la voiture électrique une opportunité technique pour proposer le schéma économique très lucratifs de la téléphonie mobile où la rentabilité est exceptionnelle, proche de 30%.

De toute évidence, le business de la voiture électrique est en marche.

 

Publié le 1 décembre 2009 Par Benoît Solivellas

 

 

Il me semble que ce que je disais plus haut n'était donc pas idiot, non ?

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Invité §inv664wp

Si vous aviez loupés ces émissions...

 

Mi-octobre, l'excellente émission d'investigation "Question à la une" de la 1er chaine publique Belge "rtbf" parlait notamment du marché actuel des véhicules électriques. L'Upload de la video du reportage de 27': http://www.mediafire.com/file/ojybrmnhzak/ (.avi divx5 90 Mo)

 

le 3 novembre à 19h20 sur France Inter, l'émission "le Téléphone sonne" était consacrée à la voiture électrique. Pour cette émission, l'upload http://www.mediafire.com/file/hyyujynizot/ (Mp3 mono 56k 15.64MB)

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Il me semble que ce que je disais plus haut n'était donc pas idiot, non ?

 

Sauf que contrairement au mobile, pour la voiture électrique il y a une offre concurrente procurant les mêmes services et plus qui est la voiture classique, et donc s'il n'y a aucun gain pour le consommateur je ne vois pas pourquoi il passerait a l'électrique. De plus ce systéme perdurera tant que les batteries seront chère et procureront peu d'autonomie ce qui ne durera pas. (Nissan prévoit de sortir une batterie moins chère offrant plus de 600km d'autonomie dés 2013.)

 

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Invité §geg572mh

La folle course à la batterie sera-t-elle propre ?

Arnaud Murati

© L'argus de l'automobile

Jeudi 3 décembre 2009

 

Comme pour les batteries au plomb, il va falloir trouver une filière de recyclage pour celles au lithium.

 

Pas un jour ne passe sans qu'un constructeur ne fasse une annonce au sujet des batteries. Ainsi la semaine dernière, Porsche a fait savoir que des batteries de démarrage au lithium-ion seraient bientôt disponibles pour trois modèles de la marque.

Quelques semaines plus tôt, Renault avait clamé que son futur modèle électrique serait fabriqué à Flins (78), en région parisienne, sur un site qui produira conjointement les voitures et les batteries.

Des batteries qui ne seront d'ailleurs pas exclusivement réservées aux véhicules du constructeur. Mais surtout, « la joint-venture développera des technologies afin de recycler les batteries sur site, ce qui participera au respect des principes du développement durable », d'après le communiqué de Renault.

 

 

 

Métaux lourds

 

Composées de métaux lourds ou rares, les batteries nickel-métal hydrure (comme sur la Toyota Prius) ou au lithium-ion (Mercedes Classe S) sont en effet des désastres écologiques si elles ne sont pas recyclées dans les règles de l'art. Et s'il s'avère que leur recyclage est complexe ou polluant, l'image de voiture propre qui colle au véhicule électrique risque d'en prendre un sacré coup.

Pour autant, fabricants et spécialistes du recyclage paraissent plutôt confiants quant à leur capacité à traiter les batteries : « Sur les modèles nickel-métal hydrure, il n'y a pas de problème. On récupère les ferrailles, le nickel... mais pour les batteries lithium-ion, le traitement n'est pas encore au niveau industriel, du moins sur les batteries automobiles», explique la SNAM, recycleur français de batteries.

Aujourd'hui, le volume de traitement des batteries au lithium est assuré par les ordinateurs et les téléphones portables : « Nous sommes en train d'adapter notre outil industriel, il y a toute une préparation qui est différente pour l'automobile. De toute façon, les quantités sont faibles, cela augmentera d'année en année », conclut la SNAM.

Pour sa part, Johnson Control Saft a choisi « d'externaliser » le traitement de ses vieilles batteries : « Le vrai volume à recycler arrivera dans cinq ou sept ans », indique Saft, pour qui il importera d'abord de mettre en place une filière de collecte des batteries usagées.

 

 

Arnaud Murati

© L'argus de l'automobile. Tous droits de reproduction réservés.

Jeudi 3 décembre 2009

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Invité §geg572mh

:jap:VW Aux USA présente une hybride pas comme les autres :

 

http://www.lefigaro.fr/automobile/2009/12/04/03001-20091204ARTFIG00400--los-angeles-volkswagen-fait-un-pied-de-nez-a-la-planete-.php

 

Ferdinand Piëch, grand stratège de la marque, avait déjà initié des études audacieuses de Lupo 3 litres jadis. Il concrétise ici avec une voiture qui combine un bicylindre turbo diesel 800 cm3 (l'exacte division du dernier 1,6 l TDI) de 38 ch et 120 Nm, un moteur électrique d'appoint (10 Kw et 70 Nm) et une boîte DSG robotisée à 7 rapports.

Voilà atteint son rêve d'une voiture débarrassée de l'enflure des équipements inutiles. Ainsi, son réservoir de 20 l lui permettrait de dépasser 800 km en autonomie !

 

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Nissan organise déjà le recyclage de ses futures batteries

 

Les batteries des futures vieilles voitures électriques ne seront jamais à l'abandon.

 

Batterie d ela Nissan Leaf

Le devenir des batteries des voitures électriques n'a jamais été un problème. Lourdes et volumineuses, mais souvent avec des métaux rares, il y a toujours quelqu'un pour vouloir les récupérer. On peut trouver des batteries de voiture essence abandonnées de manière peu délicate, mais on a jamais vu les 300 kg (ou plus) de batteries d'une voiture électrique, oubliés sur un trottoir. La question est pourtant régulièrement posée par les détracteurs des voitures électriques (et hybrides). Alors pour tuer le problème dans l'œuf, Nissan y répond aujourd'hui. On sait que ce constructeur ambitionne de devenir le leader mondial de la voiture électrique, avec la Leaf, puis d'autres modèles, il annonce cette semaine un accord avec Sumitomo pour organiser la récupération des batteries usagées. Le groupe Sumitomo est l'une des plus énormes entreprises du Japon. Incroyablement diversifié, le groupe exploite des centrales de production d'électricité au charbon, mais il est aussi le plus grand éleveur de porcs du monde. Avec Nissan, l'engagement s'appelle les 4R.

 

 

Ce qui signifie d'abord Réutiliser. Parce que Nissan estime qu'en fin de vie, ses packs de batterie auront encore une capacité de stockage égale à 70 % de la capacité initiale. Sumitomo pourra exploiter cette facilité pour son propre usage, ou Revendre les batteries qu'il aura récupéré auprès de Nissan en exclusivité. Et s'il trouve un client qui a un besoin particulier, il pourra Refabriquer des packs batteries, en démontant les packs Nissan pour prendre les cellules, et les réassembler dans un bloc à la capacité voulue. Bien sûr, Sumitomo pourra aussi Recycler, soit démonter tout pour récupérer les matières brutes. C'est d'ailleurs probablement ce qu'il fera le plus. Parce que si les 2 entreprises donnent l'exemple des maisons équipées de cellules photovoltaïques sur le toit, avec le besoin de stockage d'électricité, il n'est pas dit que beaucoup de gens auront envie d'acheter des batteries d'occasion. On notera enfin que si le partenariat est annoncé cette semaine, nous n'attendons pas sa première matérialisation avant 2016. Il faut le temps que les voitures électriques Nissan soient effectivement mises sur le marché, et qu'ensuite leurs batteries soient usagées...

 

Seul effet immédiat : les détracteurs de la voiture électrique ne pourront plus utliser l'argument du devenir incertain des vieille batteries, c'est déjà positif.

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