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1/43ème

les ptits'auto de "Grosnono" ( 24H du Mans)


grosnono
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Invité §mic463CE

la Renard Delmas était elle aussi une Lola ...

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Le plus grand pilote du Maroc, un spécialiste du super tourisme, des coupes sur circuits et de la course sur glace et un pro des Lola qui n'a jamais fait d’étincelle, tout ce beau monde sur une voiture qui fait un peu bricolo bricolette.

Bref, un modèle pas courant... qui n'a pas couru.

Je laisse ma place mais je suis sûr qu'elle se plaira chez toi, Nono. ;)

Au fait, c'est du Bizarre ?

 

 

oui c'est une "Bizarre"

 

 

En me disant que André Guelfi aurait pu postuler à ce titre, j'ai découvert sur Wiki (à ma courte honte !) que le fameux Dédé la Sardine, c'était lui a3quattros-line.gif.87c8f5412b680d8eb0c31f55adbd335e.gif , paf le mythe tombe de haut...

 

D'où je le concede, Max Cohen Olivar est bien le meilleur pilote du Maroc :D

 

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tu ne savais pas que "Dédé la Sardine" et André Guelfi ne faisait qu'un ???? content que grace à ma petite Lola te voilà maintenant au courant :lol: :lol:

Bien que cette Lola soit peu courante ce n'est pas le genre de modèles qui m'attire.

En outre elle parait un peu haute sur patte.

 

 

il en faut pour tous les goûts ;)

J'ai parce que Lola, Barquette et surtout Captain America ! Trouvé il y a deux/trois ans à la BAM pour une bouché de pain... Belle pioche !!!

 

 

comme toi j'aime beaucoup les "Lola" et la déco est sympa ;)

La déco vue du ciel vaut le coup quand même.

C'est pour ça que je l'ai aussi dans mes vitrines, en Bizarre, trouvée pas chère.

 

Pour la performance, c'est autre chose :ange:

 

 

 

j'en ai quelques une comme ça qui n'ont pas brillé :ange:

très jolie modèle il me semble que le capot arrière à plus ou moins servi pour la Renard Delmas :o

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il me semble bien avoir lu ça quelque par, mais où :??: :??:

la Renard Delmas était elle aussi une Lola ...

 

 

Construite sur une base de Lola par Michel Renard, JeanLuc Delmas et une équipe de jeunes étudiants en mécanique.

 

une base Lola pas un châssis ;-)

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Tout à fait Michel ;)

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Au départ de cette 21ème édition des 24H du Mans on trouve 4 Porsche :

deux 356 et deux 550 coupé.

L'une des deux 356 est engagée par le français Gonzague Olivier qui partage le volant avec Eugène Martin (Ab)

Les trois autres Porsche sont engagées par "PORSCHE KG":

Porsche 550 n° 44 - Helm Glöckler - Hans Herrmann - 16ème (247 tours)

Porsche 550 n° 45 - Richard von Frankenberg - Paul Frère - 15ème (247 tours)

Porsche 356 n° 49 - Auguste Veuillet - Peter Max Müller (Ab)

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Au départ de cette 21ème édition des 24H du Mans on trouve 4 Porsche :

deux 356 et deux 550 coupé.

L'une des deux 356 est engagée par le français Gonzague Olivier qui partage le volant avec Eugène Martin (Ab)

Les trois autres Porsche sont engagées par "PORSCHE KG":

Porsche 550 n° 44 - Helm Glöckler - Hans Herrmann - 16ème (247 tours)

Porsche 550 n° 45 - Richard von Frankenberg - Paul Frère - 15ème (247 tours)

Porsche 356 n° 49 - Auguste Veuillet - Peter Max Müller (Ab)

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j'aime bien cette Porsche qui a une drôle d'allure avec son toit par rapport au spyder, elle est aussi dans ma collection.

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j'aime bien cette Porsche qui a une drôle d'allure avec son toit par rapport au spyder, elle est aussi dans ma collection.

 

 

 

fordmondeo16v.gif.551c5fc5ce3a6f8bc35bb6064a1e5536.gif Thierry,

 

comme dirait l'Ami Edmond, un chaînon manquant en moins dans ma vitrine !!!!!

 

J'aime beaucoup toutes ces petites autos des années 50/60 et cette 550 fait partie de l'histoire de la marque de ‎Zuffenhausen ;)

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Au départ de cette 21ème édition des 24H du Mans on trouve 4 Porsche :

deux 356 et deux 550 coupé.

L'une des deux 356 est engagée par le français Gonzague Olivier qui partage le volant avec Eugène Martin (Ab)

Les trois autres Porsche sont engagées par "PORSCHE KG":

Porsche 550 n° 44 - Helm Glöckler - Hans Herrmann - 16ème (247 tours)

Porsche 550 n° 45 - Richard von Frankenberg - Paul Frère - 15ème (247 tours)

Porsche 356 n° 49 - Auguste Veuillet - Peter Max Müller (Ab)

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Très joli nono,

Quel est le fabricant de cette merveille ?

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Je confirme, la petite Porsche est superbe (j'ai la même a la maison ...)

 

Et je trouve trés sympa ta scènette Lotus avec Jim et Colin ainsi que le mignon petit van ... : j'adore

 

 

benjidu35.gif.ccabacd35ccc1fed7dc75c24cc5c8c86.gif

Superbe cette Porsche ! ! !

 

j'ai aussi dans ma petite vitrine la 44 et la 45 !

 

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une seule suffit à mon bonheur :clin:

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5aea218513915.jpg

A sa création en 1911, le rallye automobile Monte-Carlo n’est pas à proprement parler une épreuve sportive, c’est surtout le moyen d’attirer la "jet set" européenne à Monaco et concurrencer ainsi la ville de Nice.

A cette époque, il s’agissait d’un raid routier que les participants démarraient depuis leurs villes d’inscription situées aux quatre coins de l’Europe pour atteindre la Côte d’Azur via un parcours imposé avec une moyenne horaire à respecter.

André Citroën, toujours à la recherche d’évènements spectaculaires pour communiquer sur ses produits propose à François Lecot une idée insensée: l’engager pour participer au rallye Monte-Carlo 1934 au volant du tout nouvel autocar de la marque au double chevron, le T45.

Le modèle d’une charge de 4.500 Kg. mesure 9,25 m. de long, 2,35 m. de large et pèse 4.950 Kg. à vide pour 8.150 en charge.

Il est animé par un petit moteur essence P38 de 80 ch.

Homme de défi, François Lecot accepte sans l’ombre d’une hésitation. Pour ajouter une touche de glamour à l’évènement, il avait tout d’abord été envisagé d’installer à bord du véhicule plusieurs hôtesses au physique avantageux. Mais, après réflexion, un équipage composé d’une dizaine d’hommes expérimentés ayant participé à la traversée du Sahara et aux croisières noire et jaune fût préféré aux jeunes pin-up.

L’autocar, qui n’était alors qu’un modèle de pré-série, 6 cylindres 4580 cm3, fût préparé par les usines Citroën puis acheminé à Varsovie en Pologne,

ville de départ de ce raid de 2614 km.

Avant le départ, François Lecot et Maurice Penaud, chef-mécanicien de la marque, reconnurent le parcours au volant d’un véhicule léger. Bien leur en pris car à quelques jours du grand départ des trombes d’eau noyèrent sous la boue le sommaire réseau routier traversant à l’époque la Pologne, la Tchécoslovaquie, l’Allemagne et la France.

Parti le 21 janvier 1934, bravant le froid et les routes défoncées, l’équipage n°144 gagna Monaco en une soixantaine d’heures à une moyenne de 41,27 km/h sans connaître de grosses difficultés. Arrivé le 23, il fût classé à la 90e place, mais là n’était pas l’important.

Pour la petite histoire, avant de se présenter à l’arrivée, l’autocar fût astiqué comme s’il sortait de chaine et ses passagers échangèrent leurs combinaisons de mécaniciens contre d’élégants vêtements de ville. Imaginez la surprise des spectateurs en voyant débarquer cet insolite équipage censé avoir affronté, en plein hiver, les terribles routes verglacées d’Europe centrale ainsi affublé. Mais le car fut très pénalisé par l'épreuve d'accélérations/freinage.

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Miniature Ixo , collection Hachette

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A sa création en 1911, le rallye automobile Monte-Carlo n’est pas à proprement parler une épreuve sportive, c’est surtout le moyen d’attirer la "jet set" européenne à Monaco et concurrencer ainsi la ville de Nice.

A cette époque, il s’agissait d’un raid routier que les participants démarraient depuis leurs villes d’inscription situées aux quatre coins de l’Europe pour atteindre la Côte d’Azur via un parcours imposé avec une moyenne horaire à respecter.

André Citroën, toujours à la recherche d’évènements spectaculaires pour communiquer sur ses produits propose à François Lecot une idée insensée: l’engager pour participer au rallye Monte-Carlo 1934 au volant du tout nouvel autocar de la marque au double chevron, le T45.

Le modèle d’une charge de 4.500 Kg. mesure 9,25 m. de long, 2,35 m. de large et pèse 4.950 Kg. à vide pour 8.150 en charge.

Il est animé par un petit moteur essence P38 de 80 ch.

Homme de défi, François Lecot accepte sans l’ombre d’une hésitation. Pour ajouter une touche de glamour à l’évènement, il avait tout d’abord été envisagé d’installer à bord du véhicule plusieurs hôtesses au physique avantageux. Mais, après réflexion, un équipage composé d’une dizaine d’hommes expérimentés ayant participé à la traversée du Sahara et aux croisières noire et jaune fût préféré aux jeunes pin-up.

L’autocar, qui n’était alors qu’un modèle de pré-série, 6 cylindres 4580 cm3, fût préparé par les usines Citroën puis acheminé à Varsovie en Pologne,

ville de départ de ce raid de 2614 km.

Avant le départ, François Lecot et Maurice Penaud, chef-mécanicien de la marque, reconnurent le parcours au volant d’un véhicule léger. Bien leur en pris car à quelques jours du grand départ des trombes d’eau noyèrent sous la boue le sommaire réseau routier traversant à l’époque la Pologne, la Tchécoslovaquie, l’Allemagne et la France.

Parti le 21 janvier 1934, bravant le froid et les routes défoncées, l’équipage n°144 gagna Monaco en une soixantaine d’heures à une moyenne de 41,27 km/h sans connaître de grosses difficultés. Arrivé le 23, il fût classé à la 90e place, mais là n’était pas l’important.

Pour la petite histoire, avant de se présenter à l’arrivée, l’autocar fût astiqué comme s’il sortait de chaine et ses passagers échangèrent leurs combinaisons de mécaniciens contre d’élégants vêtements de ville. Imaginez la surprise des spectateurs en voyant débarquer cet insolite équipage censé avoir affronté, en plein hiver, les terribles routes verglacées d’Europe centrale ainsi affublé. Mais le car fut très pénalisé par l'épreuve d'accélérations/freinage.

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Miniature Ixo , collection Hachette

 

 

Il fallait être un peu cinglé pour engager un autobus sur les routes du Monté Carlo mais c'était surement un bon coup de pub.

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A sa création en 1911, le rallye automobile Monte-Carlo n’est pas à proprement parler une épreuve sportive, c’est surtout le moyen d’attirer la "jet set" européenne à Monaco et concurrencer ainsi la ville de Nice.

A cette époque, il s’agissait d’un raid routier que les participants démarraient depuis leurs villes d’inscription situées aux quatre coins de l’Europe pour atteindre la Côte d’Azur via un parcours imposé avec une moyenne horaire à respecter.

André Citroën, toujours à la recherche d’évènements spectaculaires pour communiquer sur ses produits propose à François Lecot une idée insensée: l’engager pour participer au rallye Monte-Carlo 1934 au volant du tout nouvel autocar de la marque au double chevron, le T45.

Le modèle d’une charge de 4.500 Kg. mesure 9,25 m. de long, 2,35 m. de large et pèse 4.950 Kg. à vide pour 8.150 en charge.

Il est animé par un petit moteur essence P38 de 80 ch.

Homme de défi, François Lecot accepte sans l’ombre d’une hésitation. Pour ajouter une touche de glamour à l’évènement, il avait tout d’abord été envisagé d’installer à bord du véhicule plusieurs hôtesses au physique avantageux. Mais, après réflexion, un équipage composé d’une dizaine d’hommes expérimentés ayant participé à la traversée du Sahara et aux croisières noire et jaune fût préféré aux jeunes pin-up.

L’autocar, qui n’était alors qu’un modèle de pré-série, 6 cylindres 4580 cm3, fût préparé par les usines Citroën puis acheminé à Varsovie en Pologne,

ville de départ de ce raid de 2614 km.

Avant le départ, François Lecot et Maurice Penaud, chef-mécanicien de la marque, reconnurent le parcours au volant d’un véhicule léger. Bien leur en pris car à quelques jours du grand départ des trombes d’eau noyèrent sous la boue le sommaire réseau routier traversant à l’époque la Pologne, la Tchécoslovaquie, l’Allemagne et la France.

Parti le 21 janvier 1934, bravant le froid et les routes défoncées, l’équipage n°144 gagna Monaco en une soixantaine d’heures à une moyenne de 41,27 km/h sans connaître de grosses difficultés. Arrivé le 23, il fût classé à la 90e place, mais là n’était pas l’important.

Pour la petite histoire, avant de se présenter à l’arrivée, l’autocar fût astiqué comme s’il sortait de chaine et ses passagers échangèrent leurs combinaisons de mécaniciens contre d’élégants vêtements de ville. Imaginez la surprise des spectateurs en voyant débarquer cet insolite équipage censé avoir affronté, en plein hiver, les terribles routes verglacées d’Europe centrale ainsi affublé. Mais le car fut très pénalisé par l'épreuve d'accélérations/freinage.

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Miniature Ixo , collection Hachette

 

Je l'avais réalisé pour un ami avec une base presse l'an dernier.

Quand est ce qu'il est sorti en version Monte Carlo ?

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Il fallait être un peu cinglé pour engager un autobus sur les routes du Monté Carlo mais c'était surement un bon coup de pub.

 

 

André Citroën a été un visionnaire à ce sujet

Je l'avais réalisé pour un ami avec une base presse l'an dernier.

Quand est ce qu'il est sorti en version Monte Carlo ?

 

 

j'avais vu ta transformation , j'ai même encore un n° 1 chez moi !!!!

 

celui-ci est sorti la semaine dernière

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Il fallait être un peu cinglé pour engager un autobus sur les routes du Monté Carlo mais c'était surement un bon coup de pub.

 

à cette période, Citoën n'a pas été le seul constructeur à engager un bus au Monté Carlo, il a eu un Ford en 1935, un Minerva-Kromhort en 1936, ceci effectivement un bon coup de pub pour Citroën. J'avais acheté le n°1 de la collection pour le modifier... mais je vais acheter celui-ci quand je le trouverai (certainement sur Hachette quand il sera disponible.

Belle présentation e Noël, perso j'ai beaucoup ce genre de modèle. Je suis en train de monter un kit JPS d'une Hotchkiss de 1938.

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Invité §mic463CE

il me semble qu'il y a aussi eu des "véhicules" demi chenillés au départ avant guerre !

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il me semble qu'il y a aussi eu des "véhicules" demi chenillés au départ avant guerre !

 

oui exact, c'était une Citroën aussi... je n'arrive pas à mettre une photo...

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