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1/43ème

les ptits'auto de "Grosnono" ( 24H du Mans)


grosnono
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Messages recommandés

La BD est sortie ?

Je croyais que c'etait prévu pour les 24H :??:

 

 

 

la BD n'est pas encore sortie, dans la "Fan Box" c'est une version de travail , un grand nombre de pages n'est pas colorisé ;)

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1966

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En apparence, tout est simple: la Mini Marcos est un coupé sur base Mini Cooper conçu par Jem Marsh en 1965. Mais de la DART de 1964 à la Marcos Heritage de 2007, en passant par la Jem, la Midas Bronze ou la Kingfisher (sans oublier les faillites),

l’histoire de cette bombinette est torturée.

Tout commence avec Desmond « Dizzy » Addicott. Pilote de la RAF lors de la 2ème guerre mondiale, c’était un fan de Mini Cooper. Il veut la rendre plus aérodynamique. Il part d’une épave de Mini van (pour son empattement plus long; pour la stabilité), un moteur de Cooper, une carrosserie « goutte d’eau » en fibre de verre et voilà! C’est la Dizzy Addicott Racing Team de 1964.

Addicott n’est pas un constructeur. Après 4 DART, il se tourne vers Falcon Shells, dont le patron est Jem Marsh. Après 8 autres véhicules, ils se brouillent, mais Gem Marsh (par ailleurs patron de Marcos) a l’idée d’une DART simplifiée. Ce sera la Mini Marcos, testé en 1965 et présentée en 1966. Elle évoluera tranquillement en MKII et MKIII.

Dés la présentation de 1965, Bill Dulles dit à Jem Marsh qu’un certain Jean-Louis Marnat voulait importer la Mini Marcos en France et l’engager au Mans en 1966. La FFSA faisant de la Miniphobie, la Marcos doit être assemblée en France.

Marnat courra avec Claude Ballot-Lena. Jean-Pierre Jabouille sera la doublure.

La voiture arrivera 15e, à la limite du non-classement.

IMG_0300.jpg

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IMG_0303.jpg

IMG_0304.jpg

Un grand

benjidu35.gif.ccabacd35ccc1fed7dc75c24cc5c8c86.gif à mon "Poto Pascal" qui m'a déniché cette "Bombinette"

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1966

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En apparence, tout est simple: la Mini Marcos est un coupé sur base Mini Cooper conçu par Jem Marsh en 1965. Mais de la DART de 1964 à la Marcos Heritage de 2007, en passant par la Jem, la Midas Bronze ou la Kingfisher (sans oublier les faillites),

l’histoire de cette bombinette est torturée.

Tout commence avec Desmond « Dizzy » Addicott. Pilote de la RAF lors de la 2ème guerre mondiale, c’était un fan de Mini Cooper. Il veut la rendre plus aérodynamique. Il part d’une épave de Mini van (pour son empattement plus long; pour la stabilité), un moteur de Cooper, une carrosserie « goutte d’eau » en fibre de verre et voilà! C’est la Dizzy Addicott Racing Team de 1964.

Addicott n’est pas un constructeur. Après 4 DART, il se tourne vers Falcon Shells, dont le patron est Jem Marsh. Après 8 autres véhicules, ils se brouillent, mais Gem Marsh (par ailleurs patron de Marcos) a l’idée d’une DART simplifiée. Ce sera la Mini Marcos, testé en 1965 et présentée en 1966. Elle évoluera tranquillement en MKII et MKIII.

Dés la présentation de 1965, Bill Dulles dit à Jem Marsh qu’un certain Jean-Louis Marnat voulait importer la Mini Marcos en France et l’engager au Mans en 1966. La FFSA faisant de la Miniphobie, la Marcos doit être assemblée en France.

Marnat courra avec Claude Ballot-Lena. Jean-Pierre Jabouille sera la doublure.

La voiture arrivera 15e, à la limite du non-classement.

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Un grand

benjidu35.gif.ccabacd35ccc1fed7dc75c24cc5c8c86.gif à mon "Poto Pascal" qui m'a déniché cette "Bombinette"

 

 

Maxi présentation :jap: pour cette mini :)

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Maxi présentation :jap: pour cette mini :)

 

 

encore benjidu35.gif.ccabacd35ccc1fed7dc75c24cc5c8c86.gifkevdoppler.gif.53b2b3985c6ff61aadf335e7ac08669a.gif

 

Mignonne cette Mini Marcos, j'ai la version LM67 mais la déco de cette année 66 est beaucoup plus attrayante :)

 

 

j'en voulais une des deux , avec une préférence pour celle de 1966, je suis donc comblé benitoo.gif.e4ef4f2bdebb861c810bb31df5c71d94.gif

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1982

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En 1982, Dome construit le RC82 pour courir dans la catégorie Groupe C.

Le châssis a été construit par March Engineering , et est motorisé par le Cosworth DFL V8 de 3,3 litres.

Dome fait ses débuts aux six heures de Silverstone , et confit le volant à : Chris Craft, Raul Boesel et Eliseo Salazar.

Ce ne sera pas un début réussi, car la voiture abandonne suite à des problèmes de pression du carburant après 116 tours.

"Dome Co. Ltd." engage la RC82 pour les 24h du Mans et l'équipage est composé de Chris Craft et Eliseo Salazar.

La voiture abandonne sur bris de suspension après avoir bouclée 85 tours.

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Invité §phi062VV

Elle est vraiment sympa cette Mini Marcos et tu as réussi à la trouver, je suis content pour toi. ;):)

La déco est plus attrayante que celle de 67, un peu triste. Sur la version 67 ils avaient été obligés de modifier le pare-brise, qui était tenu en place avec pas mal de scotch noir et ça n'améliorait pas l'ensemble ! :non:

 

La Dome est jolie également : l'équipage était de haut niveau, pas le résultat malheureusement.

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1982

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En 1982, Dome construit le RC82 pour courir dans la catégorie Groupe C.

Le châssis a été construit par March Engineering , et est motorisé par le Cosworth DFL V8 de 3,3 litres.

Dome fait ses débuts aux six heures de Silverstone , et confit le volant à : Chris Craft, Raul Boesel et Eliseo Salazar.

Ce ne sera pas un début réussi, car la voiture abandonne suite à des problèmes de pression du carburant après 116 tours.

"Dome Co. Ltd." engage la RC82 pour les 24h du Mans et l'équipage est composé de Chris Craft et Eliseo Salazar.

La voiture abandonne sur bris de suspension après avoir bouclée 85 tours.

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Il va être temps que tu organise ta pièce à miniature........... :sol:

Mais je sais je sais....... "tu ne rends pas compte de ce que c'est que la vie d'un retraité .... caloumthai.gif.be1a3ebe2c51c4d7e3dfa34ebc41bffc.gif "

 

Jolie miniature en attendant :)

 

Message cité 1 fois

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1984

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La société ADA Engineering a été fondée par Leon Smith, Gerard Sauer et Woody Harris en 1977 puis a été acquise par Chris Crawford,

et Ian Harrower.

L'entreprise est spécialisée dans la restauration des voitures de compétition des années 60 à nos jours, dans la fabrication d'éléments de suspension et de freins pour les voitures d'endurance.

Après deux échecs aux 24 heures du Mans en 1983 et 1984, l'équipe a réussi à terminer 16ème au classement général et 2eme de la catégorie C2 en 1985.

Pour l'édition 1984 l'ADA 01 est confiée à l'équipage suivant

Ian Harrower (GB) - Bill Wolff (USA) - Glen Smith (USA)

La voiture va se qualifier en 45ème position avec un temps de 4:02.630 (202,174 km/h) mais abandonne après avoir parcouru 42 tours

Chassis cassé (6eme heure)

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Je le trouve bien moche ce proto quand même :o ...

Mais bon, c'est une miniature originale.

 

 

Tu sais David................je suis d'accord avec toi :p , et j'en ai pas mal des voitures moches :ange:

 

J'aime bien les années 80 et le Gr C , et puis cette voiture a une petite histoire , en 1982 et 1983 c'était une De Cadenet , elle est devenue ADA en 1984, à la base c'est un châssis Lola T380, je crois même que le pare brise de la 1ère version provenait d'une Porsche 906 :??: :??:

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Je le trouve bien moche ce proto quand même :o ...

Mais bon, c'est une miniature originale.

ho oui !!!!! elle est moche cette auto nono !!!!! :o :o :o :o :o :o

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Avec sa petite bouille de crapaud, c'est vrai qu'elle n'est pas très séduisante l'ADA mais j'aime bien. Et comme le souligne Nono, son histoire est longue, elle est née Duckams et a porté 4 ou 5 noms différents.

Quant à la Dome, j'adore :love:

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Invité §lem155nl

La Duckam's était basée sur un chassis Brabham, alors que les De Cadenet (au moins à partir de 1975), sur un chassis Lola. Il y a eu au moins 3 De Cadenet différentes au cours des années, puisqu'une année, les 3 ont été au départ des 24 H. Bizarre les a presque toutes reproduites.

Il faudrait vérifier lequel de ces 3 chassis a fait l'objet de cette "transformation" particulièrement inesthétique en groupe C. Je pense que c'est l'exemplaire ayant appartenu à P. Lovett, mais je vais rechercher.

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Invité §lem155nl

Vu sous cette forme depuis 1982, et d'après les annuels des 24 H 1982 et 1983, il s'agirait à l'origine du chassis Lola T 380 n°4 datant de 1975, probablement celle qu'Alain De Cadenet avait engagée cette année là avant d'opérer les transformation qui ne on fait une "vrai" De Cadenet (3ème en 1976 et 5ème en 1977). En 1978, l'ancienne T380 passe effectivement à Cooper-Lovett (non-qualifiées) tandis que De Cadenet utilise un nouveau chassis. Je ne vais pas vous faire toute la filiation, mais cela semble donc confirmer que la future ADA est bien la Lola T 380 engagée en 1975 par A. De Cadenet.

 

 

Attention, l'annuel de 1984 raconte des bêtises...

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La Duckam's était basée sur un chassis Brabham, alors que les De Cadenet (au moins à partir de 1975), sur un chassis Lola. Il y a eu au moins 3 De Cadenet différentes au cours des années, puisqu'une année, les 3 ont été au départ des 24 H. Bizarre les a presque toutes reproduites.

Il faudrait vérifier lequel de ces 3 chassis a fait l'objet de cette "transformation" particulièrement inesthétique en groupe C. Je pense que c'est l'exemplaire ayant appartenu à P. Lovett, mais je vais rechercher.

 

Vu sous cette forme depuis 1982, et d'après les annuels des 24 H 1982 et 1983, il s'agirait à l'origine du chassis Lola T 380 n°4 datant de 1975, probablement celle qu'Alain De Cadenet avait engagée cette année là avant d'opérer les transformation qui ne on fait une "vrai" De Cadenet (3ème en 1976 et 5ème en 1977). En 1978, l'ancienne T380 passe effectivement à Cooper-Lovett (non-qualifiées) tandis que De Cadenet utilise un nouveau chassis. Je ne vais pas vous faire toute la filiation, mais cela semble donc confirmer que la future ADA est bien la Lola T 380 engagée en 1975 par A. De Cadenet.

 

 

Attention, l'annuel de 1984 raconte des bêtises...

 

 

 

benjidu35.gif.ccabacd35ccc1fed7dc75c24cc5c8c86.gif pour toutes ces informations ;)

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En 1982, les Gr.6 sont bannies et doivent laisser la place aux Gr. C. Alain De Cadenet , après sa déconvenue avec Ford, n’a pas les moyens de construire une nouvelle auto. Aussi trouve t’il refuge comme pilote chez son compatriote Ian Dawson qui a conçu la Grid. Partageant la voiture avec Emilio De Vilota et Desiré Wilson, ils abandonneront .

Cette même année, figurent sur les engagements une DRA De Cadenet-Lola, mais cette fois, Alain De Cadenet n’a rien à voir avec cet engagement, il le clame d’ailleurs haut et fort ! C’est François Duret qui a commandité à ADA Engineering la construction d’une Gr C. Selon Chris Crawford, son constructeur, le châssis de base est un châssis Lola T390 (conçu pour une motorisation 2 litres) non numéroté, provenant de l’usine qui s’en servait comme show car, sur lequel sont monté des suspensions, des portes moyeux et une entretoise moteur-boite de T380 acheté à Alain De Cadenet. Le moteur est un Cosworth DFV 3 litres. Equipée d’un nez avant de Lola T390 (assez semblable à celui de « LM2 ») et d’un arrière ressemblant à celui des Lola T292 , le cocktail est complété par un pare-brise de Porsche… 906. Ce prototype quelque peu disgracieux, sera surnommé « Morris Minor » par la presse anglaise. Lors de son apparition au Mans en 1982, la DRA De Cadenet Lola abandonnera à la 5ème heure. Il est probable que cette dénomination ait été choisie par le Dorset Racing, afin d’assurer son invitation pour juin, par l’ACO. Pour 1983, toujours sous la dénomination De Cadenet, la carrosserie est légèrement modifiée avec un pare-brise retaillé et moins haut. Elle terminera non-classée. Elle prendra la dénomination ADA01 lors de sa dernière participation en 1984 ou elle abandonnera sur bris de suspension. Vendue en 1985, au yougoslave Francy Jerancic, elle sera équipée d’un moteur Porsche 911 et sera engagée dans quelques épreuves d’Intersérie. Pour 1989, elle sera équipée d’un moteur rotatif provenant d’une Mazda RX7 et sera engagée en tant que Lola-Mazda C2. Ce chassis sera semble t’il irrémédiablement détruit en 1989 dans un accident. Toutes informations à ce sujet est la bienvenue…

Historique signé Mustang66 chez Autodiva

 

A la vue toutes ces évolutions, on comprend mieux la note d'humour toute britannique du bandeau du pare-brise Guess who ? (que l'on pourrait traduire par Devine qui je suis)

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A la vue toutes ces évolutions, on comprend mieux la note d'humour toute britannique du bandeau du pare-brise Guess who ? (que l'on pourrait traduire par Devine qui je suis)

Yes ma friand :lol: :lol: :lol:

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Invité §lem155nl

Petite précision par rapport à l'historique ci-dessus, en 1982, les Groupe 6 ne sont pas (encore) bannies, mais leur cylindrées limitées à 2 l., d'où la présence un peu incongrue au départ de 2 barquettes Lancia officielles, très rapide mais pas très fiables...

 

Si j'en crois la lecture de l'annuel, la future ADA semble plutôt découler de la T380 engagée par De Cadenet en 1975, mais il est aussi possible qu'elle découle du chassis T390 probablement utilisé pour créer la 2ème De Cadenet dès 1976. Y-a-t-il un spécialiste dans la salle qui pourrait reconstituer l'arbre généalogique des 3 (à ma connaissance) De Cadenet ???

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En 1974, Duckhams ne fait plus autant partie de l’aventure, et c’est sous le nom de De Cadenet LM qu’est engagée la voiture. Elle a perd donc sa couleur jaune à bande bleue au profit du fameux British Green Racing cher aux sujets de sa Très Gracieuse Majesté et à Alain De Cadenet. Pour des raisons « administratives », elle est même immatriculée VLA 451M, ce qui lui permet d’explorer la campagne anglaise, comme la campagne mancelle si besoin est ! La carrosserie a été une nouvelle fois modifiée dans le style des Ferrari 312 PB ; (on peut même se demander si certains éléments de carrosseries ne proviennent pas d’une Ferrari). Coté pilote, si Chris Craft est toujours la, Alain de Cadenet se présente au pesage avec un bras en écharpe. Quelques semaines plus tôt, il s’est cassé le bras en allant acheter une boite Hewland DG300. Du coté de Paddington, sa moto a été victime d’une rencontre fortuite avec un taxi. Pendant les essais, il se rendra compte qu’il vaut mieux ne pas insister et il fera confiance à John Nicholson, qui est également le préparateur du Cosworth, révisé après ses deux participations en 72 et 73. Mais cette fois le patriotisme de De Cadenet sera la cause de quelques soucis. Le passage en en Dunlop, en lieu et place des Firestone utilisés les deux saisons précédentes provoqueront des vibrations qui causeront la casse d’un tirant de suspension. Chris Craft devra même changer un tirant dans la pit-lane après être reparti de son stand. C’est finalement un accident à la 15ème heure qui provoquera l’abandon.

Ce châssis, le premier conçue par Gordon Murray, que nous dénommerons « LM1 », sera vendu à la fin de l’année à Colin Hawker qui va l’équiper d’une carrosserie de VW Type 3 afin de concourir dans la spectaculaire série anglaise Super Saloon. La voiture est baptisée DFVW , en référence à son moteur qui reste un Cosworth DFV (Cette fois c’est un ex-Tyrrell vainqueur de plusieurs Grand Prix aux mains de Jackie Stewart ). Sponsorisé par Toleman, Colin Hawker gagnera a Brands Hatch, en 1975, lors de sa première sortie. Chris Craft participera même à quelques courses à son volant. Ainsi, de 1975 à 1978, la DFVW , sous plusieurs couleurs, participera avec succès au Super Saloon anglais. Elle sera par la suite vendue puis recarrossée et restaurée par Ryan Hodges en 2002, dans sa configuration du Mans 1972.

 

 

En 1975, Alain De Cadenet fait l’acquisition de la nouvelle Lola T380. Il achète le châssis HU01 qui sera le premier d’une série de deux ! Peinte d’une superbe robe verte, quasiment vierge de sponsors et immatriculée, elle aussi, VLA 451M, elle va faire sensation au Mans ou elle est engagée sous la dénomination De Cadenet-Lola. Le moteur est toujours le Cosworth DFV N°913, vu sur la Duckhams, et préparé par John Nicholson. Il développe cette fois 400 ch. L’équipe ne reçoit aucun soutien officiel de la part de Lola et il se pourrait que Gordon Murray soit à nouveau intervenu « en perruque » pour en améliorer la suspension avant. Pas très bien conçu par Lola, la T380 n’est pas exempt de défauts. Elle rends même 20 mph dans la ligne droite à la De Cadenet de 1974. De même, pendant les essais, Alain De Cadenet sera contraint à pratiquer quelques aérations dans le capot arrière pour évacuer la chaleur du moteur. Le rapide Chris Craft effectuera un départ tonitruant et la Lola sera, lors de la première heure, classée en 3ème position. Mais Alain perdra son capot arrière pendant la nuit, et devra finalement se contenter d’une 14ème place à l’arrivée. En consolation, Chris Craft s’appropriera le meilleur tour en course.

 

Pour 1976, la Lola est considérablement modifiée au niveau carrosserie par Len Bailey. Ainsi grâce à certains amis et certains appuis, l’aérodynamique de la nouvelle carrosserie a été testée dans la soufflerie du MIRA (et peut entre également, comme le dit encore la rumeur, sur l‘autoroute M4). Exit la longue queue qui laisse la place à un capot court et un aileron en porte à faux, fixé sur la boite de vitesse. Le cockpit est lui aussi modifié avec un dessin plus enveloppant, ce qui provoquera quelques soucis de chaleur aux pilotes en ce chaud week end de juin. Mis à part ces changements, c’est toujours Keith Green qui officie comme team manager de l’équipe (depuis 1974) et le moteur est toujours le glorieux Cosworth DFV n° 913 avec lequel, rappelons le, Bruce Mclaren a remporté le GP de Belgique à Spa en 1968. Préparé soigneusement par John Nicholson, il en est sa fierté d’autant que les bielles sont d’origine ! Malgré des moyens limités comparés à Porsche ou à Mirage, De Cadenet et Craft batailleront et feront le spectacle, avec notamment une vitesse de ponte de 208mph. Lors de la fin de course, ils seront en lice pour la 2ème place qui reviendra finalement à une Mirage mais avec moins d’un tour d’avance. (dans notre nomenclature officieuse, cette Lola T380 est dénommée « LM2 » ).

Chris Craft, souffrant d'un pied brulé durant un arret au stand, était tellement décu d'avoir laissé échappé la 2ème place, qu'il quitta le circuit, avec sa voiture, pour Port Grimaud sans attendre la cérémonie de remise des prix!

 

Pour l’édition 1977, Alain De Cadenet se tourne à nouveau vers Len Bailey qui (avec peut-être quelques conseils de Gordon Murray) dessine une coque, construite chez John Thompson. Les suspensions restent celles, modifiées, de la Lola T380. La voiture sera montée par John Anderson, un néo-zélandais qui officie comme chef-mécanicien. La carrosserie est très semblable à celle de « LM2 ». Seul le nez est légèrement différent, en perdant ses ouies de refroidissements et en étant plus plongeant. Un nouveau passage dans la soufflerie du MIRA aura pour résultat une vitesse de pointe 228mph « Cela a été un véritable cauchemar de construire cette voiture » déclarait Alain De Cadenet à la presse anglaise, pestant contre son gré contre ses fournisseurs nationaux : mauvaises dimensions des pièces, mauvais matériaux, mauvaise finition, etc…Et malgré plus d’un an de préparation, les mécaniciens continueront à fabriquer des pièces de rechanges dans le paddock du Mans !

Alain De Cadenet a simplement inscrit sur la feuille d’engagement « De Cadenet T380 LM ». On verra par la suite que ce châssis changera plusieurs fois de dénomination au fil du temps, entretenant ainsi la confusion. C’est pourquoi, nous le nommerons « LM3 ». Toujours avec l’équipage De Cadenet-Craft, « LM3 » terminera 5ème dans le même tour que l’Inaltera et que la Porsche 935 classées respectivement 3ème et 4ème.

Cette année la, en 1977, « LM2 » est également présente. Bénéficiant d’un engagement officiel au nom d’Alain De Cadenet, elle est en fait maintenant la propriété de Simon Phillips qui l’engage avec l’appui technique et logistique du Dorset Racing. L’équipage de « LM2 », qui porte le N°6, est composé de Simon Phillips, Richard Bond, Brian Joscelyn et Tony Birchenough, le patron du Dorset Racing. Des problèmes avec le DFV ont nécessité son changement, et la moyenne des temps, qui à l’époque permet la qualification, est la plus mauvaise du Groupe 6. Elle ne sera donc pas qualifiée pour la course. A noter que cette équipe a été également éprouvée par le décès de l’ami français qui servait comme traducteur et qui fut intoxiqué par des gaz dans les douches du centre médical de l’ACO !

 

En 1978, ce sont cette fois trois De Cadenet qui se présentent aux Jacobins.

 

En effet, Alain De Cadenet a fait construire chez John Thompson, toujours avec l’aide de Len Bailey un nouveau châssis, peut différent du précédant, que nous dénommeront « LM4 » . Celui-ci est quasiment identique au « LM3 ». Quelques pouces ont été rajoutés à la longueur du châssis, les porte moyeux et l’entretoise moteur-boite proviennent cette fois d’une Lola T280. « LM4 » a été assemblée à Buxted dans le Sussex par Dick Crosthwaite et John Gardner qui habituellement construisent les Kougar-Jaguar (des sortes de répliques de Roadster années 50). Testée à Silverstone, elle dispose toujours du Cosworth DFV assemblé par Nicholson, mais dont cette fois la puissance a été portée à 460 ch. C’est quasiment sans sponsor que la voiture se présente au pesage. Seul un immense « Made in Britain » orne le capot avant. Toujours accompagné de Chris Craft , Alain De Cadenet aura pendant la course des soucis avec l’embrayage puis des problèmes électriques et sera, dans les derniers instants de la course, victime d’une surchauffe de la boite de vitesse, dont les pignons seront remplacés sur une boite brûlante. Cela explique la modeste 15ème place à l’arrivée.

« LM3 » a été vendue à Peter Lovett qui l’engage sous la bannière de son coéquipier John Cooper avec le sponsorship de Cooper Industries (Ce John Cooper la n’a rien avoir avec le constructeur et préparateur des Mini !).

Mais avec le 19ème temps, ils ne seront pas qualifiés.

« LM2 » (la Lola T380 HU01) , sous le nom de De Cadenet-Lola Ford est aussi présente aux mains de son propriétaire Simon Phillips. La seule modification visible semble être la décoration noire, rouge et blanche de Batco, un sponsor français ! La chauve-souris peinte sur le capot avant lui fera donner le surnom de « Batcar » . L’équipage composé de Nick Faure, Simon Phillips, John Beasley et Martin Raymond sera mis hors course à la 14ème heure pour distance parcourue insuffisante.

 

En 1979, les trois autos sont à nouveau présentes et cette fois elles participeront toutes les trois à la course.

Auréolé d’une 2ème place à Silverstone avec « LM4 », Alan De Cadenet se présente comme un challenger face aux Porsche et aux Ford. Il a comme coéquipier le manceau Francois Migault, qui amène des sponsors français. Cette fois, la préparation a été complétée par un test d’une quinzaine d’heure. Tout semble aller pour le mieux. Et pourtant, c’est le changement de l’ensemble moteur-boite après les essais en prévision de la course qui va causer le drame pour l’équipe. Un trou que l'on a oublié de percer lors du remontage endommagera la boite de vitesse et sera la cause de l’abandon lors de la première demi-heure de course. L’abandon officialisé à la 4ème heure sera le premier abandon officiel de cette édition.

 

Source Mustang66 sur Autodiva

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J'aime beaucoup la lignée des De Cadenet/ADA de 82/84 :love: J'ai les trois ! Juste une modif à faire sur ma 82 car la lame avant provient d'une 84 (Acheté tel quel ! Curieuse modif provenant d'une collection Anglaise... Certainement cassé et traficoté avec une autre).

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En 1974, Duckhams ne fait plus autant partie de l’aventure, et c’est sous le nom de De Cadenet LM qu’est engagée la voiture. Elle a perd donc sa couleur jaune à bande bleue au profit du fameux British Green Racing cher aux sujets de sa Très Gracieuse Majesté et à Alain De Cadenet. Pour des raisons « administratives », elle est même immatriculée VLA 451M, ce qui lui permet d’explorer la campagne anglaise, comme la campagne mancelle si besoin est ! La carrosserie a été une nouvelle fois modifiée dans le style des Ferrari 312 PB ; (on peut même se demander si certains éléments de carrosseries ne proviennent pas d’une Ferrari). Coté pilote, si Chris Craft est toujours la, Alain de Cadenet se présente au pesage avec un bras en écharpe. Quelques semaines plus tôt, il s’est cassé le bras en allant acheter une boite Hewland DG300. Du coté de Paddington, sa moto a été victime d’une rencontre fortuite avec un taxi. Pendant les essais, il se rendra compte qu’il vaut mieux ne pas insister et il fera confiance à John Nicholson, qui est également le préparateur du Cosworth, révisé après ses deux participations en 72 et 73. Mais cette fois le patriotisme de De Cadenet sera la cause de quelques soucis. Le passage en en Dunlop, en lieu et place des Firestone utilisés les deux saisons précédentes provoqueront des vibrations qui causeront la casse d’un tirant de suspension. Chris Craft devra même changer un tirant dans la pit-lane après être reparti de son stand. C’est finalement un accident à la 15ème heure qui provoquera l’abandon.

Ce châssis, le premier conçue par Gordon Murray, que nous dénommerons « LM1 », sera vendu à la fin de l’année à Colin Hawker qui va l’équiper d’une carrosserie de VW Type 3 afin de concourir dans la spectaculaire série anglaise Super Saloon. La voiture est baptisée DFVW , en référence à son moteur qui reste un Cosworth DFV (Cette fois c’est un ex-Tyrrell vainqueur de plusieurs Grand Prix aux mains de Jackie Stewart ). Sponsorisé par Toleman, Colin Hawker gagnera a Brands Hatch, en 1975, lors de sa première sortie. Chris Craft participera même à quelques courses à son volant. Ainsi, de 1975 à 1978, la DFVW , sous plusieurs couleurs, participera avec succès au Super Saloon anglais. Elle sera par la suite vendue puis recarrossée et restaurée par Ryan Hodges en 2002, dans sa configuration du Mans 1972.

 

 

En 1975, Alain De Cadenet fait l’acquisition de la nouvelle Lola T380. Il achète le châssis HU01 qui sera le premier d’une série de deux ! Peinte d’une superbe robe verte, quasiment vierge de sponsors et immatriculée, elle aussi, VLA 451M, elle va faire sensation au Mans ou elle est engagée sous la dénomination De Cadenet-Lola. Le moteur est toujours le Cosworth DFV N°913, vu sur la Duckhams, et préparé par John Nicholson. Il développe cette fois 400 ch. L’équipe ne reçoit aucun soutien officiel de la part de Lola et il se pourrait que Gordon Murray soit à nouveau intervenu « en perruque » pour en améliorer la suspension avant. Pas très bien conçu par Lola, la T380 n’est pas exempt de défauts. Elle rends même 20 mph dans la ligne droite à la De Cadenet de 1974. De même, pendant les essais, Alain De Cadenet sera contraint à pratiquer quelques aérations dans le capot arrière pour évacuer la chaleur du moteur. Le rapide Chris Craft effectuera un départ tonitruant et la Lola sera, lors de la première heure, classée en 3ème position. Mais Alain perdra son capot arrière pendant la nuit, et devra finalement se contenter d’une 14ème place à l’arrivée. En consolation, Chris Craft s’appropriera le meilleur tour en course.

 

Pour 1976, la Lola est considérablement modifiée au niveau carrosserie par Len Bailey. Ainsi grâce à certains amis et certains appuis, l’aérodynamique de la nouvelle carrosserie a été testée dans la soufflerie du MIRA (et peut entre également, comme le dit encore la rumeur, sur l‘autoroute M4). Exit la longue queue qui laisse la place à un capot court et un aileron en porte à faux, fixé sur la boite de vitesse. Le cockpit est lui aussi modifié avec un dessin plus enveloppant, ce qui provoquera quelques soucis de chaleur aux pilotes en ce chaud week end de juin. Mis à part ces changements, c’est toujours Keith Green qui officie comme team manager de l’équipe (depuis 1974) et le moteur est toujours le glorieux Cosworth DFV n° 913 avec lequel, rappelons le, Bruce Mclaren a remporté le GP de Belgique à Spa en 1968. Préparé soigneusement par John Nicholson, il en est sa fierté d’autant que les bielles sont d’origine ! Malgré des moyens limités comparés à Porsche ou à Mirage, De Cadenet et Craft batailleront et feront le spectacle, avec notamment une vitesse de ponte de 208mph. Lors de la fin de course, ils seront en lice pour la 2ème place qui reviendra finalement à une Mirage mais avec moins d’un tour d’avance. (dans notre nomenclature officieuse, cette Lola T380 est dénommée « LM2 » ).

Chris Craft, souffrant d'un pied brulé durant un arret au stand, était tellement décu d'avoir laissé échappé la 2ème place, qu'il quitta le circuit, avec sa voiture, pour Port Grimaud sans attendre la cérémonie de remise des prix!

 

Pour l’édition 1977, Alain De Cadenet se tourne à nouveau vers Len Bailey qui (avec peut-être quelques conseils de Gordon Murray) dessine une coque, construite chez John Thompson. Les suspensions restent celles, modifiées, de la Lola T380. La voiture sera montée par John Anderson, un néo-zélandais qui officie comme chef-mécanicien. La carrosserie est très semblable à celle de « LM2 ». Seul le nez est légèrement différent, en perdant ses ouies de refroidissements et en étant plus plongeant. Un nouveau passage dans la soufflerie du MIRA aura pour résultat une vitesse de pointe 228mph « Cela a été un véritable cauchemar de construire cette voiture » déclarait Alain De Cadenet à la presse anglaise, pestant contre son gré contre ses fournisseurs nationaux : mauvaises dimensions des pièces, mauvais matériaux, mauvaise finition, etc…Et malgré plus d’un an de préparation, les mécaniciens continueront à fabriquer des pièces de rechanges dans le paddock du Mans !

Alain De Cadenet a simplement inscrit sur la feuille d’engagement « De Cadenet T380 LM ». On verra par la suite que ce châssis changera plusieurs fois de dénomination au fil du temps, entretenant ainsi la confusion. C’est pourquoi, nous le nommerons « LM3 ». Toujours avec l’équipage De Cadenet-Craft, « LM3 » terminera 5ème dans le même tour que l’Inaltera et que la Porsche 935 classées respectivement 3ème et 4ème.

Cette année la, en 1977, « LM2 » est également présente. Bénéficiant d’un engagement officiel au nom d’Alain De Cadenet, elle est en fait maintenant la propriété de Simon Phillips qui l’engage avec l’appui technique et logistique du Dorset Racing. L’équipage de « LM2 », qui porte le N°6, est composé de Simon Phillips, Richard Bond, Brian Joscelyn et Tony Birchenough, le patron du Dorset Racing. Des problèmes avec le DFV ont nécessité son changement, et la moyenne des temps, qui à l’époque permet la qualification, est la plus mauvaise du Groupe 6. Elle ne sera donc pas qualifiée pour la course. A noter que cette équipe a été également éprouvée par le décès de l’ami français qui servait comme traducteur et qui fut intoxiqué par des gaz dans les douches du centre médical de l’ACO !

 

En 1978, ce sont cette fois trois De Cadenet qui se présentent aux Jacobins.

 

En effet, Alain De Cadenet a fait construire chez John Thompson, toujours avec l’aide de Len Bailey un nouveau châssis, peut différent du précédant, que nous dénommeront « LM4 » . Celui-ci est quasiment identique au « LM3 ». Quelques pouces ont été rajoutés à la longueur du châssis, les porte moyeux et l’entretoise moteur-boite proviennent cette fois d’une Lola T280. « LM4 » a été assemblée à Buxted dans le Sussex par Dick Crosthwaite et John Gardner qui habituellement construisent les Kougar-Jaguar (des sortes de répliques de Roadster années 50). Testée à Silverstone, elle dispose toujours du Cosworth DFV assemblé par Nicholson, mais dont cette fois la puissance a été portée à 460 ch. C’est quasiment sans sponsor que la voiture se présente au pesage. Seul un immense « Made in Britain » orne le capot avant. Toujours accompagné de Chris Craft , Alain De Cadenet aura pendant la course des soucis avec l’embrayage puis des problèmes électriques et sera, dans les derniers instants de la course, victime d’une surchauffe de la boite de vitesse, dont les pignons seront remplacés sur une boite brûlante. Cela explique la modeste 15ème place à l’arrivée.

« LM3 » a été vendue à Peter Lovett qui l’engage sous la bannière de son coéquipier John Cooper avec le sponsorship de Cooper Industries (Ce John Cooper la n’a rien avoir avec le constructeur et préparateur des Mini !).

Mais avec le 19ème temps, ils ne seront pas qualifiés.

« LM2 » (la Lola T380 HU01) , sous le nom de De Cadenet-Lola Ford est aussi présente aux mains de son propriétaire Simon Phillips. La seule modification visible semble être la décoration noire, rouge et blanche de Batco, un sponsor français ! La chauve-souris peinte sur le capot avant lui fera donner le surnom de « Batcar » . L’équipage composé de Nick Faure, Simon Phillips, John Beasley et Martin Raymond sera mis hors course à la 14ème heure pour distance parcourue insuffisante.

 

En 1979, les trois autos sont à nouveau présentes et cette fois elles participeront toutes les trois à la course.

Auréolé d’une 2ème place à Silverstone avec « LM4 », Alan De Cadenet se présente comme un challenger face aux Porsche et aux Ford. Il a comme coéquipier le manceau Francois Migault, qui amène des sponsors français. Cette fois, la préparation a été complétée par un test d’une quinzaine d’heure. Tout semble aller pour le mieux. Et pourtant, c’est le changement de l’ensemble moteur-boite après les essais en prévision de la course qui va causer le drame pour l’équipe. Un trou que l'on a oublié de percer lors du remontage endommagera la boite de vitesse et sera la cause de l’abandon lors de la première demi-heure de course. L’abandon officialisé à la 4ème heure sera le premier abandon officiel de cette édition.

 

Source Mustang66 sur Autodiva

 

Voilà, tout est dit.

Ca c'est de la recherche !

Bravo Hugues.

Et bravo à Mustang.

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Bonjour à tous,

 

je ne viens pas souvent depuis un an, sur ton topic, mon cher Noël !!!!

et j'en suis désolé, mais tu sais pourquoi !!!!

 

Il y a quelques jours, j'y suis revenu et vraiment, il est top !!!

Continu tes présentations, on y apprend pleins de trucs !!!

 

A++++++

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C'est un bon coin sympatoch ... par ici

 

 

la douceur Angevine ...

 

amdbs9.gif.c110e943a405fc74b27d3de37e54fdfc.gif

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la douceur Angevine ...

 

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la douceur Angevine ...

Sauf que la, le proprio est parti à la chasse aux bulots pour cause d'importation en Loire ................ :lol: :lol:

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la douceur Angevine ...

Sauf que la, le proprio est parti à la chasse aux bulots pour cause d'importation en Loire ................ :lol: :lol:

 

 

 

A la chasse ... aux bulots ... ou aux menhirs ... ou ... ou amaryllis69.gif.6472b44fca07ff0d694964fd416b1634.gifamaryllis69.gif.6472b44fca07ff0d694964fd416b1634.gifamaryllis69.gif.6472b44fca07ff0d694964fd416b1634.gif

 

A la Bretonne ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ts Ts Ts :nanana: :nanana: :nanana:

 

 

 

 

La galette Bretonne ... :orni:

 

 

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