Mes voitures

[Invité §sca014FW]

voilou la photo ...

 

 

 

[Fmid]

Quand on pense qu'ils allaient jusqu'au Kenya avec une gravure de mode pareille...

 

Elle n'a jamais gagné en Afrique, mais enfin quand même !

 

En tout cas, merci pour tous vos commentaires

[Fmid]

Ouah FMID,superbe ta stratos, ça tombe bien que tu présentes la tienne car en parralèle de la celica,

je fait aussi une stratos, j'osé pas faire un topic car elle est à un stade bien avancée.

c'est un kit de chez Hasegawa n°25033 Lancia Stratos HF 1975 SANREMO RALLY WINNER.

C'est la première fois que je fait un kit Hasegawa et ce se sont des bons kits.

Je fait des tofs et je fait un topic pour te montrer et avoir ton avis.

Tes voitures me rapelle une époque où il y avait de la vraie bagarre sur les circuits, la belle époque.

 

 

Ça m'intéresse de voir ça. Tu nous montes vite ?

 

C'est vrai qu'aujourd'hui, plus ça va et plus on a la caravane du Tour de France

En moins marrant parce qu'ils ne sont pas dopés... Encore que

[Invité §sal828sT]

Salut à toi et chapeau bas pour30ans en arriere!tu devrais faire une chronique hebdomadaire....je rigole,les capots striés en peinture à la main!!admiratif...à l'epoque,j'etais en plein "dedans" quelle bagarre Sandro et les autres....il y a qd mm eu de vrais "forts" vois-tu ,tu me retrempes dedans et c'est bon!!merci à toi pour tout ça!devant mon clavier ,les images defilent....et le reve avec ,sois satisfait A+

PS:bravo à Loeb!!!un artiste avec une domination de la puissance et des trajectoires au couteau....

[Fmid]

Merci Robert

Tu sais les capots striés, ce n'est pas si dur : comme au premier essai tu loupes, tu corriges une fois que c'est sec... Et comme tu as encore loupé en corrigeant, tu recorriges, mais un peu moins à chaque fois

 

Au bout d'une dizaine de passages c'est bon

 

Et oui, bravo à Loeb. C'est l'un des rares qui fasse encore rêver. Ses essais sur la Red Bull à Barcelone ont montré à quel point ce type est un extra-terrestre !

 

 

[Fmid]

J'avais oublié un truc sympa sur la Stratos

 

Revell avait pensé à fournir le cache de la rampe de phares avant avec les décals assortis. Il est vrai que les Stratos apparaissaient souvent ainsi gréées.

 

 

 

 

Cela tient un peu par l'opération du Saint-Esprit, mais enfin bon, ça le fait quand même si personne n'éternue

 

 

 

[Invité §pha556ix]

C'est un détail super sympa!Mais c'est vrai que l'on peut se demander comment ça tient! Je te savais magicien dans la création et la réalisation de toutes ces belles autos ,mais je pense que tu as franchi encore une étape (en rally c'est normal! )

[Fmid]

Des fois, sur les maquettes, il y a des choses comme ça. Tu les poses en retenant ton souffle et en priant pour que ça tienne... C'était le cas pour le nez de ma Ligier que j'ai fini par me résoudre à coller.

 

C'est à peu près pareil pour ce cache qui repose sur le petit bout-de-rien-de-rebord-du-capot. En fait, il y a deux petits ergots sensés le retenir...

 

Il est tellement toujours par terre – comme on dit, ça tombe d'une peur ce genre de truc – que ça faisait longtemps que je ne l'avais pas remis. Et quand j'ai fait les photos, je l'avais carrément zappé.

 

D'ailleurs, je viens d'aller voir l'étagère... Il est par terre

[Invité §sal828sT]

je fais comme toi!à force de reprendre....mais ta stratos est tres belle,tes photos et le texteavec comme tjrs..cordialement A+

[FOCAS]

Des fois, sur les maquettes, il y a des choses comme ça. Tu les poses en retenant ton souffle et en priant pour que ça tienne... C'était le cas pour le nez de ma Ligier que j'ai fini par me résoudre à coller.

 

C'est à peu près pareil pour ce cache qui repose sur le petit bout-de-rien-de-rebord-du-capot. En fait, il y a deux petits ergots sensés le retenir...

 

Il est tellement toujours par terre – comme on dit, ça tombe d'une peur ce genre de truc – que ça faisait longtemps que je ne l'avais pas remis. Et quand j'ai fait les photos, je l'avais carrément zappé.

 

D'ailleurs, je viens d'aller voir l'étagère... Il est par terre

 

 

sais tu qu'il existe une colle spéciale pour mes pieces amovibles ? je l'ai achetée mais pas encore essayée, si ça t'intéresse je te donnerai le nom je l'ai achetée sur Ebay mais on doit pouvoir la trouver ailleurs...je la mettrai pour mon Alpina B6 Revell qui a exactement le meme probleme (le capot n'a pas de charnieres il est juste posé sur la voiture et est déjà tombé x fois!)

 

[Fmid]

Je ne connais pas cette colle... Bien sûr que ça m'intéresse. À l'occasion, si tu retrouves ça...

[Invité §loc254Xt]

excelent ce petit détail!

 

et avec un petit morceau de patafix-le-truc-sur-le-petit-bout-de-rien-de-rebord-du-capot.....

[Fmid]

C'est vrai. Mais je n'ai pas du tout le réflexe Patafix. Il faudrait déjà que j'en achète

[Invité §loc254Xt]

produit indispensable!!!!

[Fmid]

Je ne m'en suis jamais servi donc l'indispensabilité reste à démontrer

 

Mais je veux bien te croire !

[FOCAS]

Je ne connais pas cette colle... Bien sûr que ça m'intéresse. À l'occasion, si tu retrouves ça...

 

 

micro liquitape (meme marque que microsol / microset)

 

[Fmid]

C'est noté. Merci

[Fmid]

Puisque l’on est chez les monstres sacrés du rallye, je vous propose d’y rester et de faire un peu mieux connaissance avec une vraie bête du bitume : l’Alpine A110.

 

 

L’histoire d’Alpine mérite bien évidemment un petit chapitre. Le fondateur est un jeune Dieppois amateur de compétition : Jean Rédélé. Pilote de talent, il est aussi doué pour les affaires : diplômé d’HEC, il est à l’aube des années 50 le plus jeune concessionnaire Renault de France !

 

Ses exploits sportifs au volant d’une 4 CV l’incitent à doter l’auto d’une carrosserie plus en rapport avec ses ambitions sportives. En souvenir de ses exploits sur les routes des Alpes, son petit coach est baptisé Alpine sous le matricule A106.

 

 

Le parallèle s’impose bien sûr avec Porsche. À l’époque, la firme allemande est encore toute jeune et bâtit son catalogue sur une évolution sportive d’un autre best-seller à moteur arrière, la Coccinelle. Il est intéressant de constater que les deux entreprises connaîtront des évolutions très comparables jusqu’à la fin des années 60, tant sur le plan du produit que des prétentions sportives. L’Allemande prendra alors nettement le pas sur la Française, même si leur dernier affrontement sur piste aux 24 heures 1978 tournera à l’avantage d’une Alpine. Il est d’ailleurs amusant de se dire avec le recul du temps qu’Alpine fut absorbée – dans tous les sens du terme, digérée conviendrait presque mieux – par Renault et disparut du paysage en 1995, tandis que Porsche, plus profitable que jamais, s’est payé le luxe il y a quelques mois de prendre le contrôle de Volkswagen…

 

Mais revenons à Rédélé et à ses autos. En 1959, il présente l’A108, désormais basée sur la Dauphine. La carrosserie a évolué et présente une face avant très proche de celle que l’on connaît. Par contre, l’arrière est encore très différent… Il ne prend sa forme définitive qu’en 1961, lorsqu’Alpine rallonge l’auto pour intégrer la mécanique de la R8. Elle prend alors le nom d’Alpine A110.

 

 

La motorisation de celle que l’on surnomme désormais Berlinette va évoluer tout au long de la décennie : on rencontre ainsi successivement le 1100 de la R8, celui de la R8 Gordini, le 1300 de la Gordini et enfin le 1600 de la R16 TS. Cette dernière version, baptisée 1600 S, est logiquement considérée comme le top.

 

La grande agilité de la Berlinette en a très vite fait un instrument efficace pour les rallyes. Pour autant, faute de moyens et d’une motorisation suffisante, les succès internationaux vont un peu tarder. Larrousse manque pourtant de peu – à cause d’une plaque de neige posée par des spectateurs dans une spéciale sèche ! – la victoire au Monte Carlo 1968. Il faut en fait attendre 1971 et l’arrivée d’Ove Andersson – le futur patron du Toyota Team Europe, décédé récemment – pour que l’Alpine s’impose enfin en principauté et récidive au Sanremo.

 

 

Alpine dispose alors de l’une des armes absolues en rallyes avec la 1600S qui devient bientôt 1800 grâce à un réalésage : ce modèle, homologué en groupe 4 ne sera jamais commercialisé et restera toujours badgé 1600S. La firme peut également compter sur une dream team de pilotes : Andersson, on l’a vu, mais aussi Andruet, Darniche, Nicolas, Thérier et Piot…

 

La saison 1972 est pourtant difficile : l’A110 1800 est fragile et casse plus souvent qu’à son tour. Alpine offre ainsi le Monte à Lancia après avoir largement dominé.

 

 

On se prépare donc au match retour en 1973. Cette édition du Monte Carlo restera dans les annales. Les Alpine s’emparent vite du commandement, mais les conditions se dégradent lors de la spéciale de Burzet en Ardèche. La fameuse burle glacée crée des congères de neige qui bloquent les concurrents. Seule une soixantaine d’équipages passe… Les 140 autres sont carrément mis hors course… Furieux, ces amateurs bloquent la liaison suivante. Pour les calmer, les organisateurs promettent de les inviter gracieusement à l’édition 1974. Personne ne sait alors que le 1er choc pétrolier entraînera son annulation…

 

 

Le rallye se poursuit et Andruet prend l’ascendant sur ses camarades d’écurie, mais Nicolas et Andersson restent en embuscade. On en est là lorsque commence la dernière nuit. Dans la première spéciale de ce parcours complémentaire, le col de la Madone, Andersson frappe fort et pulvérise le record du tronçon. Il grappille ensuite des secondes sur un Andruet de plus en plus nerveux.

 

Jean-Claude est un pilote particulièrement doué, mais au mental pour le moins friable. Aussi, lorsqu’il crève à l’arrière au milieu du Turini, est-il à deux doigts de garer son Alpine sur le bas-côté. Il faudra toute la conviction de sa coéquipière, Biche, pour le persuader de poursuivre sur la jante. Bien sûr, il perd gros dans l’aventure : le voilà 3e derrière Nicolas et à plus d’une minute d’Andersson. C’est alors que le Suédois fait une faute et perd une quarantaine de secondes… Andruet est sur un nuage : seconde après seconde il refait son retard et reprend le commandement après le deuxième passage dans le Turini. Au départ de la dernière spéciale, il mène de 14 secondes devant Andersson et 21 devant Nicolas !

 

 

Mais voilà : cette dernière épreuve, c’est justement le col de la Madone où Andersson a brillé quelques heures plus tôt. C’est donc en favori que le Suédois se présente au départ. Et il ne déçoit pas, réalisant à la seconde près le même temps canon que dans la soirée. Mais Andruet l’écorché vif a sans aucun doute un sentiment d’injustice. Transcendé, il bat Andersson de 12 secondes et remporte SON Monte Carlo ! Michèle Espinosi, dite Biche, sa coéquipière, sera d’ailleurs à cette occasion la première femme à inscrire son nom au palmarès, la seule autre étant Fabrizia Pons, équipière de Piero Liatti en 1998.

 

Dans la foulée, l’Alpine s’impose encore au Maroc, en Corse, au Portugal, à l’Acropole et au Sanremo, et remporte le premier championnat du monde des rallyes.

 

Mais Andruet a quitté l’aventure pour s’occuper du développement de la Lancia Stratos.

 

 

Pour la Berlinette, l’heure de la retraite approche : son architecture dépassée, sa puissance limitée et surtout le coup d’arrêt donné à la compétition routière par le gouvernement français en 1974 sonnent le glas d’une riche carrière.

 

J’aurais pu me contenter de la belle version Tamiya qui reproduit l’auto d’Andersson en 1971. Mais vous conviendrez que le Monte Carlo 1973 méritait que l’on s’y arrête. C’est donc une Heller que j’ai montée : sans grand mérite, car c’était la seule que l’on trouvait dans les années 70, même si on pouvait hésiter avec une version Tour de Corse.

 

 

Dans le genre, c’est loin d’être la pire. La carrosserie est bien reproduite et le moulage d’une belle finesse. On trouve un tableau de bord d’une grande fidélité, un intérieur avec deux baquets accueillants où l’on aurait bien aimé s’asseoir, un capot arrière ouvrant sur le fameux 4-cylindres Renault et une planche de décals assez complète.

 

Bien sûr en 1978, pas d’aérographe et pas de peinture en bombe : la première difficulté fut de reproduire le bleu Alpine. Heureusement Humbrol venait de sortir son bleu métal, assez approchant mais très fatigant à poser au pinceau. C’est en effet une peinture peu couvrante et qui marque beaucoup. Pour corser l’affaire, Heller avait eu l’idée saugrenue de prévoir le capot arrière sur une grappe noire alors que la carro était bleue… Sans apprêt à l’époque, j’ai dû passer quinze couches sur le capot… Pour un résultat très moyen.

 

 

Grosse différence avec la version Tam : cette prise d’air. Les Alpine 1800 possédaient en effet un radiateur à l’avant.

 

 

J’avais tenté un truc au niveau des phares : les ampoules sont symbolisées par un point de peinture jaune… Bof. Notez les vitres de phares très rustiques

 

 

Les fameux clignotants des Alpine de l’époque : depuis 1971, elles se fournissaient chez… Citroën. Ce sont ceux des Dyane. On les retrouvera sur la Maxi Turbo.

 

 

Globalement, le montage se fait sans gros souci. Les pièces s’emboîtent à peu près convenablement. Seul l’assemblage châssis-carro est délicat. D’autant que le tableau arrière est collé et ne demande qu’à conserver son indépendance.

 

La dotation est assez complète : peu de scratch en perspective… Sauf derrière. Il faut ajouter l’éclairage de plaque et le phare antibrouillard.

 

 

Lors d’un petit reconditionnement, j’avais aussi posé ces protections sur les pare-chocs. Elles sont en bristol, avec des fils en grappe étirée

 

 

La voiture est chaussée de pneus racing (ils furent effectivement montés dans certaines spéciales)…

 

 

Assez vilains, il faut bien le dire

 

Et des jantes correspondantes, plutôt spectaculaires d’ailleurs

 

 

Très raccord, la planche propose donc le 90 clouté en version… barrée. Logique !

 

 

L’ouverture du capot se fait grâce à deux charnières en caoutchouc fournies dans le kit et particulièrement chi… à poser. D’autant qu’elles tiennent fort mal.

 

 

 

La même grappe comprenait les sièges, les pneus et… les bavettes arrière. Qui ont pris congé il y a déjà quelque temps. On aperçoit ici un des trous où elles se posaient

 

 

Pour revenir au moteur, RAS. On y retrouve les couleurs habituelles à l’époque – le bouchon vert !

 

 

J’aurais aimé vous montrer le tableau de bord, qui est assez réussi. Mais même en retirant la vitre arrière, impossible de le shooter. Il reste dans le noir.

 

 

Il faut donc me croire sur parole. Les ceintures ont-elles été ajoutées lors de la petite séance de rafraîchissement. Elles se prolongent jusqu’à l’arrière

 

 

On pouvait heureusement se faire plaisir avec la déco. Notamment avec les détails du capot : le coupe-circuit, la sangle…

 

 

Et surtout avec le joint de pare-brise. À l’époque, un jonc métallisé achevait de mettre le caoutchouc de pare-brise en place. Il est réalisé… au pinceau !

 

 

Et il faut prévoir le même derrière

 

 

Notez que l’on a la vignette et les autocollants de contrôle

 

Une coquetterie : le petit logo AGV sur l’autocollant avec les noms de l’équipage. Il a été ajouté en peinture. Par contre, il faut déplorer la position du “A” Alpine, qui devrait être sous cet autocollant… Mais y a pas la place ! Le monogramme 1600S est lui aussi trop haut

 

 

Une chose aussi : Heller s’était curieusement emmêlé les crayons avec les plaques d’immatriculation en prévoyant des décals avec des marquages noirs à poser sur un fond jaune. Comme la plupart des plaques de l’époque, celles d’Andruet étaient en argent sur fond noir. J'ai donc ressorti les pinceaux. Le fait de les peindre va d’ailleurs dans le bon sens : en général tout cela était fait au pochoir…

 

 

Bon, je sais, ce n’est pas une Tamiya, mais elle en jette quand même mon Alpine, non ?

 

 

Elle a le côté un peu rustique des bêtes de course

 

 

Enfin je l’aime bien quoi !

 

Des questions ?

[ryan cooper]

super une alpine!

Toujours aussi intéressant ton topic!

oui une question : la version tour de corse était de quelle couleur? blanche et rouge? ou rien à voir et toujours bleu.

[FOCAS]

moi pas de question mais une remarque : arriver au pinceau à faire le jonc de metal et le joint de pare brise bien distincs sans masquage de surcroit, c'est époustouflant, j'en suis totalement incapable

[Fmid]

super une alpine!

Toujours aussi intéressant ton topic!

oui une question : la version tour de corse était de quelle couleur? blanche et rouge? ou rien à voir et toujours bleu.

 

 

La version Tour de Corse arborait les nouvelles couleurs Alpine : bleu clair, rouge et blanc. L'année 1973 est en effet celle durant laquelle Renault a repris Alpine et commencé à imprimer sa marque dans tous les sens du terme. La voiture Corse était beaucoup plus spectaculaire, mais celle-là est absolument mythique... J'aurais peut-être dû faire les deux

[Fmid]

moi pas de question mais une remarque : arriver au pinceau à faire le jonc de metal et le joint de pare brise bien distincs sans masquage de surcroit, c'est époustouflant, j'en suis totalement incapable

 

 

Je ne m'étais jamais posé la question parce qu'avant de fréquenter ce forum je n'en ai jamais parlé avec d'autres maquettistes, mais c'est vrai que ça ne semble pas facile pour beaucoup. En fait, ce n'est pas si dur : une fois le noir mat posé, il suffit de tracer son jonc... Et de reprendre tout ce qui dépasse (il y en a forcément) en noir. Et ainsi de suite, de proche en proche on arrive à quelque chose qui tient la route, mais c'est vrai qu'il doit y avoir cinq ou six passage de chaque couleur.

 

Maintenant, c'est peut-être aussi parce que je ne suis pas très bon en masquage et que j'ai la flemme de passer du temps à mettre des scotchs

 

De mon côté, je suis absolument admiratif de la technique de Bepvit avec son bare metal

[Invité §lol365sq]

Superbe tes réalisations!

De plus avec le temps qui passe,elles font de plus en plus"rallye"!

Il ira loin ce petit!

[Invité §pha556ix]

J'aurai pas voulu la passer au pinceau cette teinte !Ca a du être une grosse galère!

Mais le résultat est là...comme d'habitude avec Fmid!BRAVO j'adore

[Invité §sal828sT]

Cette voiture m'a à l'epoque projetté dans un etat second!!ça a été mon epoque voiture et je voulais me battre en rallies....bref,elle inspire et me donne "un coup de sang"Où est ma jeunesse ?je voulais surtout "battre les Porsches...elle est belle ta voiture,elle m'a replacé dans le contexte,j'ai lu et relu en oubliant mm les photos ??j'ai constaté l'oubli de "Biche" avec l'age et toutes ces revues liquidées à un vide grenier!!!j'ai qd mm remarqué les projecteurs virage qui sont bien là ce coup ci(ref stratos)les pneus font un peu "barbares" et ce moteur! magnifique pour l'epoque!moi j'avais un 1000 s de simca avec un double corps et pot Abarth,ça ronflait crois moi et c'etait si petit en puissance!mm pas 100 cv!!bref! mon cher fmid sois heureux tu viens de me faire revivre!!!merci et A+

[Invité §Joe882BR]

Magnifique comme d'hab!

Bel hommage rendu à une voiture qui a marqué son époque (et qui aujourd'hui encore fait tourner bien des têtes), j'en oublierai presque de regarder les photos! Quand on pense qu'à l'echelle 1 en état collection les berlinettes se négocient sans problème autour de 50000€ :q ...

[Fmid]

Superbe tes réalisations!

De plus avec le temps qui passe,elles font de plus en plus"rallye"!

Il ira loin ce petit!

 

 

Merci Loliv. C'est vrai qu'elle est bien dans le jus cette Alpine !

[Fmid]

J'aurai pas voulu la passer au pinceau cette teinte !Ca a du être une grosse galère!

Mais le résultat est là...comme d'habitude avec Fmid!BRAVO j'adore

 

 

Je confirme ! Chaque coup de pinceau se voit

 

Mais de toute façon, il n'y avait pas le choix... C'était ça ou faire une Alpine... rouge ou verte

[Fmid]

En tout cas, merci à tous pour vos commentaires… Il va peut-être falloir que je me calme parce que la préparation d'un post me prend de plus en plus de temps

 

Et en plus, vous ne regardez plus les images

 

Mais c'est quand même bien sympa de raconter de belles histoires, hein Salanon !

[ryan cooper]

tu n'as qu'à faire une pause pendant les vacances, on sera tous à table!

et comme ça tu peux t'en préparer d'avance...

et sinon merci pour la rèp!

[FOCAS]

Cette voiture m'a à l'epoque projetté dans un etat second!!ça a été mon epoque voiture et je voulais me battre en rallies....bref,elle inspire et me donne "un coup de sang"Où est ma jeunesse ?je voulais surtout "battre les Porsches...elle est belle ta voiture,elle m'a replacé dans le contexte,j'ai lu et relu en oubliant mm les photos ??j'ai constaté l'oubli de "Biche" avec l'age et toutes ces revues liquidées à un vide grenier!!!j'ai qd mm remarqué les projecteurs virage qui sont bien là ce coup ci(ref stratos)les pneus font un peu "barbares" et ce moteur! magnifique pour l'epoque!moi j'avais un 1000 s de simca avec un double corps et pot Abarth,ça ronflait crois moi et c'etait si petit en puissance!mm pas 100 cv!!bref! mon cher fmid sois heureux tu viens de me faire revivre!!!merci et A+

 

 

nostalgie, quand tu nous tiens

 

[Fmid]

tu n'as qu'à faire une pause pendant les vacances, on sera tous à table!

et comme ça tu peux t'en préparer d'avance...

et sinon merci pour la rèp!

 

 

C'est peut-être ce que je vais faire, parce que, mine de rien, il n'en reste plus beaucoup à force d'à force

[Fmid]

Tiens, une petite question à la cantonade, pour voir si tout le monde suit : il manque une pièce sur l'Alpine... Qui va réussir à me dire laquelle ?

[Invité §pha556ix]

Une antenne peut être??

[Fmid]

Non. À l'époque pas de radio, donc pas d'antenne.

 

Cherche encore, essaie encore