Mes Vitrines à Moi que j'ai

[gennaro1]

Une diversité qui n'est plus trop au goût du jour aux 24 H

 

On ne peut que le regretter

Et on va attendre Coulaines 2018 pour savourer l'anecdote

 

Des voitures comme on n'en fait plus avec leur look bestial.

 

Sacrés engins effectivement ! Et quel son

 

j'ai la bleue/gris

 

Les Marcos manquent de fiabilité, et les trois tentatives aux 24 Heures du Mans de 1995 à 1997 se solderont par autant d'abandon. J'ai les Marcos de 96 et de 97 et tu as un de 95. Si tu ne sais pas quoi en faire...

 

Merci de votre passage les amis

[gennaro1]

En 1987, après le forfait du montois Christian Bussi, il ne reste une seule Rondeau en lice, la M482 du Graff Racing, une équipe formée par Jean-Philippe Grand et François Faymann.

 

 

Cette voiture, on la connaît bien. Présente depuis 1983, d'abord sous les couleurs officielles, puis sous celles de Mack Cormack et Dodge en 84, elle est devenue la propriété de Jean-Philippe Grand.

 

 

 

Après des débuts malheureux en 85, elle fournit une excellente prestation en 86, occupant même la 10° place à 6 heures de l'arrivée avant de rétrograder au 13° rang. Voiture solide donc, bénéficiant d'une carrosserie retouchée en 1984 avec pontons déporteurs courts et capot arrière ne carénant plus la boîte de vitesses, elle souffre, au fil des ans, de la comparaison dans un parc où les plus récentes C2 sont bien plus en avance sur la plupart des C1 d'il y a 5 ans.

 

 

De plus, cette année, Grand a dû retoucher le châssis pour se mettre en conformité avec le règlement en reculant le pédalier de 2 cm. Mais le citoyen de Chinon reste confiant dans un matériel proplsé par un Cosworth 3,3 litres préparé chez Alan Smith et vérifié à 906 kilos.

 

 

Toujours soutenu par Bouvet Brut, Grand se nomme capitaine de route sur sa machine, soutenu par Gaston Rahier, triple champion du monde moto et vainqueur du Paris-Dakar en 85, et par le français Jacques Terrien, spécialiste de la course de côte.

 

 

Pas de surprise aux essais. Notre Rondeau sur un tour est dépassée et en 3'52"90, Grand qualifie sa belle sur la 16° ligne, 26° temps des C1. En course, sans réel soucis, la M482 concède environ 2,5 tours à l'heure. Sa régularité et le malheur des autres vont faire qu'elle va se retrouver en 12° position le dimanche matin. Rien n'est pour autant définitif. Elle va perdre une heure à réparer les échappements mais il y a plus grave.

 

 

L'embrayage semble si touché que d'un commun accord, Rahier et Terrien préfèrent laisser à Grand, le propriétaire de la voiture, la responsabilité des départs. Et on l'espère, celle de l'arrivée.

 

 

Ce sera effectivement le cas puisque notre Rondeau franchira la ligne en 12° position, 6° des C1.

 

 

Modèle Bizarre.

[Steed83]

Une déco sobre et de bon alois pour cette Rondeau aux lignes toujours aussi originales.

[pesca 33]

sans doute une des Rondeau qi m' intéresses le moins même si sa reproduction est soignée

[gennaro1]

Une déco sobre et de bon aloi pour cette Rondeau aux lignes toujours aussi originales.

une des Rondeau qui m' intéresse le moins même si sa reproduction est soignée

 

Voilà, tout est dit dans ce résumé de 2 phrases. Une M482 aux lignes originales et torturées, soutenue par une décoration plutôt sobre et sans réel intérêt, une équipe et un équipage sympathique mais sans plus, le tout réuni dans une miniature réussie.

D'un autre côté, à 20 balles la Bizarre, j'allais pas la laisser toute seule. Oui, c'est vrai je l'ai plus acheté pour son prix que pour son intérêt

[pesca 33]

Une déco sobre et de bon aloi pour cette Rondeau aux lignes toujours aussi originales.

une des Rondeau qui m' intéresse le moins même si sa reproduction est soignée

 

Voilà, tout est dit dans ce résumé de 2 phrases. Une M482 aux lignes originales et torturées, soutenue par une décoration plutôt sobre et sans réel intérêt, une équipe et un équipage sympathique mais sans plus, le tout réuni dans une miniature réussie.

D'un autre côté, à 20 balles la Bizarre, j'allais pas la laisser toute seule. Oui, c'est vrai je l'ai plus acheté pour son prix que pour son intérêt

pas de soucis Hugues j' en ai aussi des comme cela lol

[grosnono]

le seul intérêt de cette RONDEAU .........son sponsor

 

 

ma visite en 2008 reste l'un de mes plus beau souvenir

 

[pesca 33]

j' ai les photos d'une des deux carrioles au pesage 86 ou 87

[Invité §amo123JS]

Salut Hugues ,

 

Mon avis est, que même une déco sobre ,une ligne tortueuse ,en fait une représentation au 1:43é d'un prototype du Mans sans grand intérêt ,est ici chez Gennaro c'est bien ,c'est même top a lire et a voir ... Et en + du Bizarre a 20 !!!

 

et ED

[Invité §phi062VV]

j' ai les photos d'une des deux carrioles au pesage 86 ou 87

 

 

Moi aussi. Mais je ne suis vraiment pas fan des M482 en général... je préférais largement les M379 et M382.

[gennaro1]

c'est même top a lire et a voir

 

C'est très gentil Chris, merci à toi

 

je préférais largement les M379 et M382.

 

Ah bah carrément d'accord avec toi

[gennaro1]

En 1994, c'est le retour officieux de Toyota après le double échec de ses TS010. Une représentation assurée par deux teams concurrents, SARD et TRUST, qui engagent chacun une ex-groupe C 1990 remise au goût du jour.

Si SARD vise la victoire absolue, le team dirigé par Yasuo Toyota (aucun lien avec le constructeur) est parfaitement conscient du potentiel de la 94 CV et les japonais se sont donnés les moyens de leurs ambitions en s'attachant les services de Bob Wollek, pilier habituel de la maison Porsche.

 

 

Si le matériel est bien connu, de nombreux détails sont cependant spécifiques à chaque 94 C-V. Prise d'air centrale du capot avant, extracteurs placés au-dessus des roues, NACA latérales, aileron biplan aux dérives plus importantes ou support central de tunnel déporteur plus volumineux permettent de distinguer la TRUST de sa rivale.

 

 

Mais le dessin général reste commun, comme les freins, les pneumatiques, et le poids. Aux côtés du strasbourgeois, le rhodésien George Fouché et le suédois Steven Andskar, habituels titulaires chez TRUST depuis 1990.

 

 

Aux essais, il faut attendre kes toutes dernières minutes pour voir Andskar descendre enfin sous la barre des 4 minutes. Car à trop vouloir confier les réglages à l'ordinateur, on a perdu beaucoup de temps. Il faudra attendre le jeudi pour revenir à des données plus humaines sous l'impulsion de Wollek. Résultat, après le montage d'amortisseurs différents, l'alsacien descend en 3'58"21 avant que Fouché, le sprinteur attitré, n'assure définitivement la 8° place en 3'55"02.

 

 

En ce début de course, si les Dauer apparaissent en tête en fin d'heure, ce sont bien les deux Toyota qui donnent la cadence. Et deux heures plus tard, Irvine va passer en tête, tandis que notre #4 se maintient dans le sillage immédiat de la Dauer de Dalmas.

 

 

La nuit arrive et les deux 94 C-V sont en tête. Mais la rivalité est bien présente et la bataille fait rage. Il suffit d'un ravitaillement pour que les positions soient inversées. Surprise tout de même, les deux Toyota ne parviennent pas à creuser un écart substantiel sur la Dauer la mieux placée. A la mi-course, c'est notre #4 qui vire en tête, mais les heures sombres approchent.

 

 

A 5 H 27, la voiture est rentrée dans son box, ce qui est rarement signe de bonne santé. Elle va y rester pendant plus d'une heure, à l'abri des regards indiscrets. Un roulement de boîte a lâché et son remplacement nécessitera la dépose et le remplacement de tout le traibn arrière. Leader avec un tour d'avance, elle repart au 5° rang à plus de 11 tours de la SARD.

 

 

Elle finira finalement la course à la 4° place, tandis que l'autre Toyota allait inaugurer sans le vouloir une longue liste de malheurs pour le constructeur nippon. Pour Bob, la victoire s'envolait encore. Sans doute aucun autre pilote n'a parcouru autant de kilomètres en tête sans jamais les gagner...

 

 

Modèle Spark.

[Steed83]

Jolie bête, comme toutes les groupe C

Même si c'est un modèle porteur de mauvais souvenirs en symbolisant à la fois la malédiction Toyota et celle de Bob !

[Invité §ds3171CI]

Oh qu'elle est magnifique cette Toyota :love: !!!!!!!! Bravo pour la présentation

[Invité §amo123JS]

Salut Hugues ,

 

Comme Steed ,belle bête ,et avec du Bob a bord ,alors là c'est top ... ,une qui manque a ma collection pour l'ajout a mes quelques montures de Mr Wollek .Belle prise pas facile a dénicher

 

Chris

[gennaro1]

Jolie bête, comme toutes les groupe C

 

Aaaah, quelle époque, hein !

 

Même si c'est un modèle porteur de mauvais souvenirs en symbolisant à la fois la malédiction Toyota et celle de Bob !

Pour Bob je dis pas, mais pour Toyota y'a de la malchance c'est indéniable, mais pas que. 2017 est un parfait exemple.

 

elle est magnifique cette Toyota

 

Je savais qu'elle allait te plaire

 

une qui manque a ma collection

 

Tu l'auras un jour, tu l'auras

 

Merci de votre passage les amis

[triceratops]

1994 n'est pas un grand cru pour Le Mans, mais cette Toy est superbement agressive, ca oui ! [:sebi71] . Encore une bien belle miniature.

 

Pour ce qui est de la 'malchance' des nippons, y en a, mais pas que. Cette annee Porsche a aussi eu son lot de 'malchance' avec la winneuse (sans parler de l'autre), mais ils ont passe une heure de moins aux stands pour la meme panne si j'ai bien tout lu... Dur de quantifier la part de malchance et de faiblesses diverses (organisation tricephale, technique, process, pilotes, ...) ?

[gennaro1]

En 1995, Shin Kato, l'homme qui a fait débuter une voiture 100% japonaise au Mans, présente la SARD MC 8-R, première voiture à porter son nom, ou plutôt celui de la société Sigma, qui est à Toyota ce que Sauber fut longtemps à Mercedes-Benz.

 

 

Mais si son coupé reprend beaucoup au géant japonais, à commencer par sa coque acier fortement inspirée de celle de la MR, aux voies élargies et à l'empattement porté de 2260 mm à 2860 mm., SARD tient à bien distinguer sa MC 8R d'une Toyota.

 

 

Le bloc moteur est le V8 4 litres de la Lexus et non le 4 cylindres 2 litres de la MR, dont la puissance avoisine tout de même les 600 ch à 6100 t/mn, avec un couple impressionnant de 70 mkg à 5000 t/mn.

 

 

Comme sur toutes les GT japonaises, les freins associent des disques carbone avec des étriers à 4 pistons. La carrosserie en kevlar-carbone est signée SARD, la transmission est une boîte Hewland 6 rapports tandis que les pneumatiques sont signés Dunlop. Seul soucis, une préparation au Japon contrariée par la pluie et débutée en France à Nogaro puis au Ricard.

 

 

Pour mettre toutes les chances de son côté, monsieur Kato s'est entouré de pilotes d'expérience. Ainsi, il a été chercher Alain Ferté. Même si ce dernier totalise 7 abandons sur 9 participations, il a toujours piloté du matériel performant. A ses côtés, l'irlandais Kenny Acheson bien connu dans la Sarthe, et, annoncée au dernier moment, la jolie japonaise Tomiko Yoshikawa.

 

 

Aux essais, la mise en route est laborieuse. L'équipe paie au prix fort, comme tous les constructeurs japonais exepté Mazda, son absence aux essais du 30 avril. Après avoir perdu son fond plat, notre SARD se heurte ensuite à de graves ennuis moteur si bien que Yoshikawa ne pourra effectuer que quatre petits tours le jeudi, dont le plus rapide en 5'04"32, provocant ainsi son élimination.

 

 

En 4'11"03, c'est Alain Ferté qui va qualifier la MC 8-R en 16° ligne.

 

 

Les mécaniciens, déjà bien sollicités aux essais, seront une fois encore bien en peine en course. Il leur faudra changer un second embrayage sur le coupé qui, au quart de l'épreuve, n'a couvert que douze petits tours. A la mi-course, peu avant son abandon, la SARD n'a ajouté que deux tours à son actif. Dans ces conditions, Ferté et Acheson peuvent se contenter de n'être que deux au départ.

 

 

Modèle Spark.

[triceratops]

En 1995, Shin Kato, l'homme qui a fait débuter une voiture 100% japonaise au Mans, présente la SARD MC 8-R, première voiture à porter son nom, ou plutôt celui de la société Sigma, qui est à Toyota ce que Sauber fut longtemps à Mercedes-Benz.

 

...

 

Modèle Spark.

 

 

Aïe aïe aïe zarma, parole sur la tête de ma mère, j'en rêve la nuit ! :love:

[Arnage67]

Très belle presentation et moi aussi j'ai craqué pour cette petite japonaise ...

[pesca 33]

deux jolie modèle qui on intégrés ma vitrine ;-) très belle présentation détaillée la deuxième me servira peu être

[gennaro1]

j'en rêve la nuit !

 

C'est vrai qu'elle est mignonne comme tout cette MC 8-R

 

moi aussi j'ai craqué pour cette petite japonaise ...

 

Tu as très bien fait J'attend la Supra maintenant

 

deux jolis modèles qui ont intégré ma vitrine

 

Très bons choix !

[Invité §amo123JS]

 

Aïe aïe aïe zarma, parole sur la tête de ma mère, j'en rêve la nuit ! :love:

 

 

Salut Hugues

 

,Je plussois a cette prose ,qu'exprime si bien notre ami Tricé pour la beauté de cette SARD :love:

 

Chris

[benfire]

Super les dernières présentations.

 

Pour la Sard, j'ai une préférence pour la verte et rouge.

Ca reste une voiture originale.

 

Et effectivement, vivement la Supra

[gennaro1]

Je plussois a cette prose

 

Merci Chris. Je savais qu'elle te plairait

 

j'ai une préférence pour la verte et rouge

 

Patiente un peu Ben, elle va venir

[DJEMBE77]

En 1995, Shin Kato, l'homme qui a fait débuter une voiture 100% japonaise au Mans, présente la SARD MC 8-R, première voiture à porter son nom, ou plutôt celui de la société Sigma, qui est à Toyota ce que Sauber fut longtemps à Mercedes-Benz.

 

https://i11.servimg.com/u/f11/ [...] 95_210.jpg

 

Mais si son coupé reprend beaucoup au géant japonais, à commencer par sa coque acier fortement inspirée de celle de la MR, aux voies élargies et à l'empattement porté de 2260 mm à 2860 mm., SARD tient à bien distinguer sa MC 8R d'une Toyota.

 

https://i11.servimg.com/u/f11/ [...] 95_215.jpg

 

Le bloc moteur est le V8 4 litres de la Lexus et non le 4 cylindres 2 litres de la MR, dont la puissance avoisine tout de même les 600 ch à 6100 t/mn, avec un couple impressionnant de 70 mkg à 5000 t/mn.

 

https://i11.servimg.com/u/f11/ [...] 95_212.jpg

 

Comme sur toutes les GT japonaises, les freins associent des disques carbone avec des étriers à 4 pistons. La carrosserie en kevlar-carbone est signée SARD, la transmission est une boîte Hewland 6 rapports tandis que les pneumatiques sont signés Dunlop. Seul soucis, une préparation au Japon contrariée par la pluie et débutée en France à Nogaro puis au Ricard.

 

https://i11.servimg.com/u/f11/ [...] 95_211.jpg

 

Pour mettre toutes les chances de son côté, monsieur Kato s'est entouré de pilotes d'expérience. Ainsi, il a été chercher Alain Ferté. Même si ce dernier totalise 7 abandons sur 9 participations, il a toujours piloté du matériel performant. A ses côtés, l'irlandais Kenny Acheson bien connu dans la Sarthe, et, annoncée au dernier moment, la jolie japonaise Tomiko Yoshikawa.

 

https://i11.servimg.com/u/f11/ [...] 95_214.jpg

 

Aux essais, la mise en route est laborieuse. L'équipe paie au prix fort, comme tous les constructeurs japonais exepté Mazda, son absence aux essais du 30 avril. Après avoir perdu son fond plat, notre SARD se heurte ensuite à de graves ennuis moteur si bien que Yoshikawa ne pourra effectuer que quatre petits tours le jeudi, dont le plus rapide en 5'04"32, provocant ainsi son élimination.

 

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En 4'11"03, c'est Alain Ferté qui va qualifier la MC 8-R en 16° ligne.

 

https://i11.servimg.com/u/f11/ [...] 95_213.jpg

 

Les mécaniciens, déjà bien sollicités aux essais, seront une fois encore bien en peine en course. Il leur faudra changer un second embrayage sur le coupé qui, au quart de l'épreuve, n'a couvert que douze petits tours. A la mi-course, peu avant son abandon, la SARD n'a ajouté que deux tours à son actif. Dans ces conditions, Ferté et Acheson peuvent se contenter de n'être que deux au départ.

 

https://i11.servimg.com/u/f11/ [...] 95_216.jpg

 

Modèle Spark.

[gennaro1]

En 2015, le bilan de Corvette depuis son retour dans la Sarthe en 200 est pour le moins impressionnant. Neuf succès de catégorie, si on compte les deux victoires de Larbre en 2011 et 2012. Mais son dernier succès dans la catégorie reine du GT sur les terres mancelles remonte à 2011 et Generals Motors s'impatiente...

 

 

Pour ses débuts en 2014, la C7-R n'a pas réussi à enrichir le palmarès du géant américain mais cette année, en remportant le GTLM à Daytona et à Sebring, la dernière des Corvette se pose en favorite. Dans l'effectif, le seul changement notoire concerne le remplacement du britannique Richard Westbrook par l'australien Ryan Briscoe qui vient épauler le prolifique duo formé par Jan Magnussen et Antonio Garcia, tandis que l'américain Jordan Taylor rejoint Olivier Gavin et Tommy Milner sur la #64.

 

 

Aux essais, si les deux Corvette dominent les Porsche et les Ferrari, elles ne peuvent pas lutter sur un tour avec les Aston. Et à 20 H 30, en ce jeudi 11 Juin, la #63 tape dans le second virage Porsche. Après avoir traversé la piste, la voiture s'immobilise contre le mur. Mais une fois la voiture ramenée à son stand, les mécaniciens prennent la mesure de la gravité de la situation. Et après un long examen des pièces à changer et de celles disponibles, décision sera prise de déclarer forfait.

 

 

Face à la meute des Aston, Ferrari et autres Porsche, il n'y aura donc que notre C7-R #64 au départ, qui partira 9° et dernière de la catégorie GTE Pro avec un chrono de 3'57"081 réussi le mercredi.

La bataille sera superbe. .

 

 

En ce début de course, pendant la phase de safety car suite à l'accident de Loïc Duval, notre Corvette se retrouve leader du GTE Pro, simplement en ne s'étant pas arrêtée ravitailler avant le début de la quatrième heure de course. une position toute symbolique certes, mais qui démontre la férocité du débat dans cette catégorie

 

 

Installée en tête de sa catégorie, notre Corvette fait oublier qu'elle est seule à défendre l'honneur de la marque. L'écart avec ses poursuivants reste cependant bien mince et inférieur à la demi-minute. Chaque ravitaillement détermine donc une nouvelle hiérarchie et oser un pronostic est très risqué.

 

 

C'est à 7 H 38 en ce dimanche matin que notre C7-R va être soulagée de la pression Aston-Martin. Mais elle va devoir composer avec le retour de la Ferrari #51 de l'écurie AF Corse. Menée à la cravache tout au long de la nuit, la belle italienne va revenir dans le sillage immédiat de la Corvette et les deux voitures vont nous proposer un magnifique duel, échangeant leur position pendant de longues heures avec un écart de seulement quelques secondes. Un scénario haletant qui va pimenter les dernières heures de course et qui saluera la victoire de l'américaine.

 

 

Une seule voiture au départ après les circonstances que l'on connaît, une seule voiture à l'arrivée, un résultat qui est une fantastique récompense pour un groupe qui a su faire bloc après l'accident du jeudi. De plus, il s'agit de la première victoire de la C7-R au Mans, pour sa dernière participation car en 2016 va apparaître une nouvelle C7 correspondant au nouveau règlement.

Grâce à ce succès, GM enregistre sa 10° victoire de catégorie au Mans et réalise le triplé Daytona, Sebring, le Mans la même année.

Respect.

 

 

Modèle Spark.

[alm93]

Encore un beau modèle que cette Corvette qui a également rejoint ma collection parce que c'est une Corvette et que le son de son moteur est envoutant et parce qu'elle a remporté une belle victoire seule contre tous et que je n'avais pas non plus de C7 dans ma collection.

En résumé c'est encore un très bon choix de collection.

[Invité §ds3171CI]

Que de magnifique chose part ici !!!!

[Invité §amo123JS]

Salut Hugues ,

 

Et celle là alors ! j'adore ,un de mes thèmes les plus fourni dans ma vitrine a GT .Malheureusement IXO ayant lâchement :q abandonné le Mans et les Corvette qui vont avec en particulier ,je suis en rade de grosse vettes depuis 2012

 

 

Ed

[Steed83]

Un modèle qu'il faut avoir tant son histoire est belle .

[gennaro1]

En 1984, ce n'est pas une mais deux Dome qui sont annoncées aux Jacobins. Il est vrai que depuis 1979, on est habitué à voir régulièrement une seule Dome au départ. et cette fois les deux Dome n'ont aucun rapport, ou presque, entre elles.

 

 

Avec la #38, nous retrouvons le châssis officiel de 1983 maintenant propriété du Dorset Racing qui l'engage après un hiver pendant lequel elle a été profondément remaniée.

 

 

Il est vrai que cela ne se voit pas vraiment, l'aspect extérieur restant inchangé et caractérisé par sa largeur restreinte due à des voies avant et arrière bien inférieures à celles de la plupart des autres Groupe C.

 

 

Comme toutes les voitures du Dorset Racing, cette RC-82 se distingue avec sa robe couleur british racing green, et ses pilotes sont les anglais Nick Faure et Richard Jones associés à l'irlandais Mark Galvin.

 

 

Avant de venir dans la Sarthe, notre Dome a effectué une modeste sortie aux 1000 kms de Silverstone, rapidement stoppée par la casse de son Cosworth 3,3 litres.

 

 

La Dome #39 s'étant fracassée le jeudi soir dans les Esses du Tertre Rouge, son sponsor Autobacs décide alors de transférer sa mise sur la Dome du Dorset Racing qui s'était qualifiée tranquillement en 3'58"33, et 21° ligne et 29° temps des Groupe C.

 

 

Depuis 1979, la Dome disparait sans avoir eu le temps de se faire remarquer. L'édition 1984 ne va pas faillir à la tradition et bien peu de spectateurs auront noté qu'au petit matin, le trio Faure-Galvin-Jones n'est plus là. Pourtant, la machine anglo-japonaise va renoncer à 5 H du matin, moteur cassé. A la tombée de la nuit, elle était 28°, position qu'elle se plaisait à vouloir conserver depuis le départ.

 

 

Une miniature pas très belle, un peu ratée au niveau de la couleur trop claire, mais qui complète bien la collection des Dome.

 

 

Modèle Bizarre.

[alm93]

Personnellement je préfère la bleue de l'année précédente mais celle ci est jolie quand même.

[grosnono]

l'Ami,

 

Encore deux belles "bêtes" ...... comme l'Ami "amon" j'adore les Corvette, mais cette année là j'ai pris la n°50, je trouve la déco plus belle et puis c'est une écurie française

 

 

 

ta famille s'agrandit .....je ne possède qu'une seule RC82 celle de 1982 et je pense que je vais en rester là car c'est un peu la crise du logement du coté de mes japonaises

 

 

[panos]

J'aime bien les Zero et RC82 des années 80.

Pas les plus jolies, loin s'en faut (surtout les Zero), mais elles sont originales.

Bien plus que les S101 des années 2000.

Même si elle n'a pas fait de miracle, il était bon de nous rappeler son histoire, ce qui a fort bien été fait.

Dommage aussi pour la RC83. Sa sortie de piste aux essais nous prive d'un modèle de plus dans la famille Dome