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1/43ème

Mes Vitrines à Moi que j'ai


gennaro1
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En 1993, Lotus doit vendre des voitures comme n'importe quel autre constructeur et ses dirigeants ont pensé qu'un retour au Mans serait une belle promotion. Pourtant, Colin Chapman avait juré en 1962 que jamais il ne reviendrait au Mans. Mais le temps a passé et le génial britannique a disparu.

 

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Lotus Sport, une division de Lotus Car, va donc engager deux Esprit Sport 300, modèle dérivé de l'Esprit X 180R.La structure tourne autour d'une poutre centrale et d'un faux châssis tubulaire en aluminium. Le moteur à carter sec est un 4 cylindres en ligne de 2174 cm3 suralimenté par un turbo Garett. Il est donné pour 400 chevaux à 7000 t/mn malgré sa bride de 45 mm. La boîte est une Hewland spécialement conçue par ADA, préparateur londonien qui avait engagé une 962 en 1992. La carrosserie en fibre de verre a subi de nombreuses modifications par rapport au modèle de série, comme l'ouverture dans le capot qui permet l'évacuation de l'air chaud des radiateurs installés à l'avant.

 

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Prêtes la semaine précédent le pesage, les deux Lotus n'ont fait qu'un court galop d'essais à Hethel sur le circuit privé du constructeur, aux mains de John Miles, l'ancien pilote F1 de la marque dans les 70's. Et pour assurer la maintenance technique des Esprit, Lotus fait confiance au Chamberlain Engineering dont c'est la 6° participation depuis 1987.

 

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Sur notre #45, la surpris evient d'une connotation japonaise et plus précisemment signée Mazdaspeed. Peut-être faut-il chercher dans l'engagement de David Kennedy chez Lotus la raison de la présence de son ancien équipier Yojiro Terada qui n'avait jamais connu d'autre mécanique que Mazda. A ce duo, est associé le revenant danois Thorklid Thyrring.

 

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Groupées aux 44° et 45° places le mercredi, les deux Lotus sont visiblement trop neuves. Le lendemain, une bel effort de Piper fait remonter la #44 mais notre Esprit ne gagne que 86/100° et elle reste sur l'avant-dernière ligne de la grille de départ. Avec un chrono de 4'40"06, il était inutile d'espérer mieux...

 

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La course va confirmer les sinistres impressions. Les Lotus manquent de puissance et aussi de préparation. Tandis que la #44 perd son capot avant après 20 minutes de course, Terada voit rapidement sa Lotus jouer les Mercedes 300 SLR. Il faudra 20 minutes et des plaquettes d'aluminium pour annuler les effets de ce frein aérodynamique. Avec 8 tours couverts dans la première heure, le classement de notre Lotus est en phase avec son numéro.

 

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La suite sera du même tonneau. Notre Lotus n'a guère l'honneur des communiqués sinon à l'occasion des escapades de ses pilotes. A 1 H 45, c'est un incident, définitif celui-là (joint de culasse claqué) qui lui vaudra de disparaître d'un classement où elle figurait à un anonyme 37° rang.

 

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La contre-performance est trop évidente pour la prestigieuse marque britannique et si l'échec est lié avant tout à un manque de temps, on espère que l'an prochain les Esprits retrouvent un meilleur élan.

 

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Modèle Spark

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L'Esprit reste une des plus belles Lotus à mes yeux, et j'étais bien content de les voir en piste.

Pour la déco je préfère les vertes et jaunes de 94, mais celle-ci n'est pas mal non plus :jap:

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les Esprits retrouveront leur Elan

J'avais peur que personne ne la remarque celle-là ;)

 

à l’époque il y avait de la diversité

Tu as bien raison, c'est un peu répétitif aujourd'hui même si le plateau GT est assez relevé

je préfère les vertes et jaunes de 94

Moi aussi à vrai dire, du coup j'en ai une de chaque année ;)

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J'ai la même à la maison. :)

C'est vrai que je préfère aussi les vertes et jaunes qui n'ont pas fait mieux l'année suivante, mais j'ai trouvé celle-ci à un petit prix et je n'ai pas fait la fine bouche.

Et puis c'est une Lotus. Même si elle n'a pas brillé, elle tient une bonne place dans ma vitrines à GT à côté de sa frangine Evora de 2011.

Quand à la présentation, rien à dire... ferraridu68.gif.61e05072f91dcf459f587ec9deea7352.gif

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Belle auto mais je trouve la déco un peu fade.

Je préfère les vertes a bandes jaune de l'année suivante.

Hélas je n'ai ni les unes ni les autres.

Peut être un jour...

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Belle auto mais je trouve la déco un peu fade.

Je préfère les vertes a bandes jaune de l'année suivante.

Hélas je n'ai ni les unes ni les autres.

Peut être un jour...

 

 

 

peut être dimanche à Coulaines ..... ;)

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En 1968, après des victoires dans plusieurs catégories aux 24 heures du mans 1966 et 1967, Alpine rêve désormais de remporter l’épreuve mancelle et développe en collaboration avec Gordini un moteur V8 de 2.986cm3, ouvert à 90 degrés et développé spécialement pour l’endurance, avec notamment un volume réduit puisque ce moteur tient, sans équipement périphérique, dans un cube de 60 cm de côté.

 

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Dans un premier temps, Alpine monte ce V8 dans une Alpine A210 qui prendra la nom d’ A211. Mais le V8 n’est pas facile à intégrer dans une voiture développée avec un quatre cylindres en ligne, la voiture est trop lourde, mal équilibrée, et le moteur ne peut pas être exploité au maximum de ses compétences. Par conséquent, l’Alpine A211 restera un exemplaire unique et l’on développe à partir de la fin 1967/début 1968 une nouvelle voiture construite autours du V8, ce sera l’A220.

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Avec comme base un châssis multitubulaire, l’A220 adopte, pour la première fois dans l’histoire d’Alpine, une direction à droite, ayant pour double avantage d’être mieux adaptée au sens de rotation des circuits européens et de faciliter les changements de pilotes lors des ravitaillements. Afin de gagner en motricité, les radiateurs d’eau sont rejetés devant les roues arrière, ce qui permet d’affiner l’avant de la voiture. Le moteur est lui aussi revu avec un alésage diminué à 85 mm et une course augmentée à 66 mm. Le V8 Gordini, dont les carburateurs Weber sont également grossis, offre désormais une puissance de 310 ch à 7500 tr/min. Mises bout à bout, ces modifications permettent à l’A220 d’atteindre un poids de 680 kg, soit 100 kg de moins que l’A211, pour des dimensions de 4,64 m de long, 1,69 m de large et 1,03 m de haut.

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Le projet débute hélas trop tard pour s’engager aux 24 heures du Mans 1968 puisque l’A220 n’aurait jamais pu être prête pour la fin Juin. Mais la France va être marqué par des soulèvements sociaux au mois de Mai, lesquels vont forcer à repousser l’édition des 24 heures du Mans à fin Septembre. Pour Alpine, ce report est une véritable bénédiction et permet de finir le développement de l’A220.

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Quatre voitures sont construite courant Août et la carrière de l’Alpine A220 en compétition débute en avril 1968 aux 1000 km de Monza, où Bianchi et Grandsire, 8° sur la grille de départ, ne terminèrent pas la course. Un mois plus tard, la belle bleue s’attaque à l’enfer vert du Nürburgring mais, faute d’un accident aux essais, ne peut prendre le départ. Aux 500 km de Zeltweg, en août, c’est une fuite d’huile qui entraîne l’abandon de l’A220 au 27° tour. C’est donc avec ces résultats décevants que l’Alpine A220 se présente aux 24 Heures du Mans

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Les quatre prototypes sont engagés mais avec des équipages vierges d’expérience sur l’A220. La meilleure Alpine se qualifie sur la 8° place de la grille de départ, à 8 secondes de la pole position. En course, les Alpine n’arrivent pas à suivre le rythme imposé par les Porsche, qui dépassent les 300 km/h dans la ligne droite des Hunaudières.

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La #28 de Grandsire-Larrousse va abandonner au 59° tour sur un problème de frein, avant que la #29 de Guichet-Jabouille ne se retire au bout de 185 tours sur une défaillance d’alternateur et que la #27 de Bianchi-Depailler ne sorte fatalement de piste deux heures avant l’arrivée.

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Les quelques Alpine A210 que la marque avait également alignées au départ firent presque meilleure figure, se classant juste derrière l’A220 rescapée et remportant le prix de la performance et de l’efficacité énergétique. Manque de fiabilité et faible puissance donneront un goût amer à la marque française. La dernière création n’a manifestement pas les moyens de ses ambitions…

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Modèle Spark

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Invité §amo123JS

Salut Hugues , 717397919_petittacot.gif.76b6e50d14f57062e8231092c133af7c.gif

 

Toujours un plaisir de voir et lire chez toi legendcars.gif.b74e58f39b2e2179be5c2dfa13a7b42f.gif . La A220 ... fake07.gif.3e43f6ceddf0961406f1488ddd668448.gif , bien sur j' devonfromfrance.gif.56615d7bf5ecb03e79ea2ca0ba0f386c.gif Et la Lotus aussi et j'ai aussi fake07.gif.3e43f6ceddf0961406f1488ddd668448.gif

 

206mystere.gif.4974348fa6e95cd154e62a93dff0e68a.gif Ed

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Bel achat.

Perso, j'attends la sortie de l'A210 n° 53 de Wollek/Ethuin de la même année, qui ne devrait pas trop tarder. :)

 

 

Une belle auto 1914988174_geforce7800gtx.gif.4d20d8eaadd55e7bc5359dcad32ecc3f.gif

Perso j'attend avec curiosité la sortie de la Signatech-Alpine 2018, puisqu'a priori ils n'auront plus le droit de s'aligner en LMP2.

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Une belle auto 1914988174_geforce7800gtx.gif.4d20d8eaadd55e7bc5359dcad32ecc3f.gif

Perso j'attend avec curiosité la sortie de la Signatech-Alpine 2018, puisqu'a priori ils n'auront plus le droit de s'aligner en LMP2.

 

A mon avis tu risque d'attendre longtemps vu qu'ils ne pourrons plus être en LMP2 et qu'ils n'irons pas en LMP1.

Il y aura peut être toujours Signatech mais ils ne pourrons plus être badgé Alpine.

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Bel achat.

Je suis assez content de l'avoir trouvé. Les A220, de 68 ou de 69, partent à des prix pas possible :non:

 

Toujours un plaisir de voir et lire chez toi

Merci Chris. Tu te fais rare en ce moment, j'espère que tout va bien chez toi

Une belle auto

Ah oui, je la trouve superbe :love:

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En 1979, encouragée par les excellents résultats obtenus aux Etats-Unis, 5° place absolue aux 24 H de Daytona 1979, un important concessionnaire Mazda Auto Tokyo Co. Ltd. engage avec la bénédiction de l'usine, un coupé RX-7, seule voiture en piste à faire confiance au moteur rotatif.

 

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Ce principe n'est pas nouveau au Mans puisque déjà en 1970, un bi-rotor Mazda équipait la Chevron des Belgiens Vernaève-Deprez. Il était repris sur les Sigma en 73 et 74 puis en 1975 sur la berline Mazda de Buchet-Rondeau.

 

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Equipé de l'injection Kuglefisher, ce moteur par le jeu des équivalences ne dépasse pas les 2 616 cc et est censé fournir 300 chevaux, puissance sans doute un peu juste d'autant que la voiture, après adapdation aérodynamique et mécanique dépasse de 104 kilos son poids idéal d'homologation.

 

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Autre handicap, la faible capacité du réservoir limité à 110 litres, soit 50 de moins que ne l'autorise le règlement.

 

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Joliment présenté, ce coupé est confié aux revenants Tetsu Ikuzawa, Yoijiru Terada et au local Claude Buchet, un habitué des mécaniques extrême-orientales.

 

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Hélas notre jolie Mazda va dès le mercredi connaître des ennuis avec le circuit électrique, l'empêchant de tourner normalement. Terada se contente du 54° temps en 4'25"53.

 

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Chronométrée à 248 km/h en pointe la Mazda manque de punch et Claude Buchet se montre assez pessimiste : On nous annonce 300 ch mais habitué aux 200 ch de ma RX 3, je n'arrive pas à croire que je dispose ici de 100 ch de plus !

 

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Le jeudi Ikuzawa parvient à grapiller 5 secondes mais la RX 7 va glisser tout de même en 56° position. Dans l'absolu les 4'18"88 méritaient pourtant bien mieux que cette place de second suppléant...

 

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Modèle Bizarre

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Jolie minia

joli choix

Aaah, le charme discret des japonaises... :love:

 

Pas simple à trouver qui plus est...

Non, pas facile ou alors à des prix pas possible....Faut être patient ;)

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J'adore ces RX7.

Celle-ci n'a peut être pas la plus belle déco, mais bon les RX7 sont suffisamment pas facile à trouver pour ne pas être trop difficile.

Et puis, elle fut aux mains du sympathique Terrada et de Claude Buchet qui fut celui qui fit débuter Mazda au Mans.

J'ai mis du temps à en dénicher une et c'est grâce à toi que j'ai pu délester Gérard d'un de ces modèles, à un prix très doux. :jap:

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Jolie présentation de cette RX7 malheureuse aux essais, mais avec une déco sympa et des pilotes ayant marqué l'histoire des 24 heures (Terada, Buchet)

La ligne de la bête est bien rendue, avec une carrosserie surdimensionnée.

 

Ma préférée dans la série reste la noir et or de 1981, mais je ne l'ai pas, tout comme celle présentée ci-dessus.

A+

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Ma préférée dans la série reste la noir et or de 1981

Elle n'est pas ma préférée mais je la cherche moi aussi

elle fut aux mains du sympathique Terrada et de Claude Buchet qui fut celui qui fit débuter Mazda au Mans

Eh oui, bien vu Philippe :jap:

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Qu'est-ce qui t'a motivé pour la rentrer dans tes vitrines ?

 

La même motivation que celle d'Armand ou de Cédric

 

Pour moi, cette Porsche (malgré sa décoration peu emballante ) reste la plus belle 911 avec ce look bodybuldé

les formes de cette auto sont très sensuelles.

 

Une décoration que l'on peut qualifier de très moyenne, c'est vrai. Mais le look de cette Porsche, sa gueule de fauve prêt à bondir, son train arrière bien large, tout dans cette 911 évoque la puissance et la bestialité. Et curieusement, il se dégage aussi, comme le souligne Armand, un parfum de sensualité. Moi j'adore. :love:

 

 

 

Tout à fait d'accord..........................j'adore aussi les 911 GT2 :love:

Je sais........... je suis en retard mais bon..................quand à la Mazda :love: :love: :love: :love: je la cherche toujours elle est foggia.gif.b0abb10ce0f1623590050fd6544efb32.gif

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la Mazda :love:

Jolie cette petite Mazda

 

Je ne suis pas le seul à aimer les japonaises on dirait ;)

 

Mon cœur bat pour la bleue de Dieppe......

 

Je suis surpris ;)

 

Un gros faible aussi pour la Sunoco....

 

Ah la la, les voitures des années 70 et 71 restent pour beaucoup parmi les plus fantastiques. La 512 et la 917 sont bien sûr en tête de liste.

Mais je garderais toujours le regret de ne pas les avoir vu sur le circuit

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En 2008, l’objectif est très clair pour Jonathan France, fondateur de l’équipe Embassy Racing. Construire son propre châssis en réunissant une véritable Dream Team de concepteurs et d’ingénieurs et les confier à des pilotes rapides et expérimentés pour affronter les meilleures équipes de la catégorie LM P2 aux 24 Heures du Mans.

 

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Ainsi, Peter Elleray se charge de la conception de la voiture dans la lignée de ses dernières créations, la Bentley EXP Speed 8 et la Radical SR9.

 

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Pour propulser la sculpturale WF01, Embassy Racing fait confiance à une valeur sûre : le V8 Zytek ZG348 qui reste sur un doublé dans la Sarthe. Enfin, les pilotes annoncés pour la saison Le Mans Series sont à la hauteur des ambitions du projet puisque Jonathan France confie ses deux châssis à Warren Hughes, Mario Haberfeld, Jonny Kane et Joey Foster. De quoi se battre avec les redoutables Porsche RS Spyder, Lola B08/80 et MG EX265.

 

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Préparées de justesse pour la manche d’ouverture de la saison à Barcelone, les WF01 connaissent des débuts compliqués en Le Mans Series. Outre une 8° place de catégorie pour Warren Hughes et Mario Haberfeld lors des 1 000 kilomètres de Monza, d’importants problèmes de jeunesse perturbent la préparation de la grande classique sarthoise.

 

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Aux 24 Heures du Mans, une seule auto est présentée aux vérifications techniques et administratives pour l’équipage Warren Hughes/Jonny Kane/Joey Foster et les hommes de Jonathan France font partie des attractions de cette 76° édition. Pour marquer le coup, la LM P2 change de robe et arbore une décoration spéciale mettant en exergue l’Union Jack.

 

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Au cœur d’une catégorie dont le niveau de performance est en pleine explosion, la précocité du projet Embassy ne permet pas de créer la sensation. Toutefois, la cinquième place de la catégorie en qualifications (en 3'39''9260) place l’équipage devant certaines références telles RML ou Quifel ASM Team, et positionne l'Embassy parmi les prétendantes à la victoire. Confirmant une progression générale des performances, la belle P2 britannique faitpresque aussi bien que la Pescarolo P1 de Tinseau en juin dernier et pulvérise de plus de 4 secondes le pôle de 2007. Cela ne suffira malheureusement pas !

 

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En début de course, à défaut d'inquiéter les RS Spyder, l'Embassy pointe à une belle 3° place de sa catégorie, précédant la Lola de Pompidou et les deux Zytek. Notre Embassy WF01 va connaître quelques légers problèmes mécaniques mais c'est la pluie qui va lui être fatale. Joey Foster va sortir à la chicane Michelin à 6 H 50. Une fois revenue à son stands, les dégâts sur la partie avant sont jugés trop importants, c'est l'abandon.

 

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Mais rongée par de profondes difficultés financières, l'équipe Embassy Racing, structure fondée en 2003, ne peut maintenir ses activités au soir de sa première saison en tant que constructeur. C’est la stupeur dans le monde de l’endurance tant l’initiative et la détermination de Jonathan France étaient démonstratives.

 

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Modèle Spark

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Une Barquette LMP2 sans plus, une déco bariolée, un résultat terne mais une miniature qui me plait beaucoup :love:

 

Comme toi j'ai craqué sur ce petit proto et en plus je l'avais trouvé en promo ... :)

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