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1/43ème

Mes Vitrines à Moi que j'ai


gennaro1
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C'est bien ce que je me disais aussi.

Malheureusement ils sont passés sous régime intégriste, ce qui fait que par principe je ne veux plus y retourner tant que ce sera le cas banditito.gif.6e0c5bc6c4a359149113b639a39fdfa4.gif .

 

 

C'est clair :non: mais ils ne refusent pas les dividendes étrangers et cela reste une destination phare pour la plongée sous marine :)

 

Magnifique voyage et superbes photos Hugues et est ce que l'on peut toujours aller sur les îles de pêcheurs et sur les îles désertes ?

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C'est clair :non: mais ils ne refusent pas les dividendes étrangers et cela reste une destination phare pour la plongée sous marine :)

 

Magnifique voyage et superbes photos Hugues et est ce que l'on peut toujours aller sur les îles de pêcheurs et sur les îles désertes ?

 

 

 

 

 

 

... Et ben moi comme je connaissais déjà les Maldives, la semaine dernière je suis allé à Saint Mammès , euh non, enfin... Un endroit qui ressemble fortement à la photo de Djembe, peut-être en encore plus cauchemardesque car c'est le royaume des Tesla et des vélos ;) :

 

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:jap:

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Ah, superbe ville que celle d'Amsterdam, j'adore :love:

 

Je me souviens encore des frissons en visitant la maison d'Anne Franck, les harengs que l'on achète sur les haringhandels, le bonheur de flâner en longeant les canaux et en traversant les ponts...

est ce que l'on peut toujours aller sur les îles de pêcheurs et sur les îles désertes ?

 

Oui, on peut toujours visiter à partir des hôtels les îles de pêcheurs, plus touristiques que typiques, et oui aussi, on peut toujours, moyennant quelques bonnes dizaines d'euros, se faire déposer sur un îlot avec un parasol et un pique-nique. Quitte à débourser des brouzoufs, j'ai préféré partir voir des raies mantas. Un vrai bonheur que de contempler ces immenses poissons. Il se dégage une sérénité, c'est vraiment magique à regarder

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Quitte à débourser des brouzoufs, j'ai préféré partir voir des raies mantas. Un vrai bonheur que de contempler ces immenses poissons. Il se dégage une sérénité, c'est vraiment magique à regarder

 

 

Ah tu

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Quitte à débourser des brouzoufs, j'ai préféré partir voir des raies mantas. Un vrai bonheur que de contempler ces immenses poissons. Il se dégage une sérénité, c'est vraiment magique à regarder

 

 

Ah tu as eu de la chance, elles ne sont pas toujours là, cool :-)

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En 2002, la seule Lola présente est engagée sous le nom de Vaillante pour des raisons cinématographiques. Pour les besoins du film tourné par Luc Besson autour d'un scénario de Jean Graton concernant le héros de BD Michel Vaillant, cette voiture est en fait l'ancienne Lola du team Dams, châssis type B98/10, et vendue en début de saison au britannique Bob Berridge qui se classera à la 3° place à Barcelone pour la première course du championnat FIA.

 

2002_111.jpg

 

Jean-Paul Driot avait engagé cette Lola au Mans en 1999 et c'est justement lui qui est chargé de préparer les 2 voitures nécessaires pour le film, la seconde étant une Leader-Panoz. L'occasion pour notre Lola-Vaillante de retrouver sa base de Ruaudin. Mécaniquement inchangée, elle garde son V10 Judd préparé chez Engine Development, et s'équipe de différentes caméras.

 

2002_110.jpg

 

Michel Vaillant et les 24 Heures du Mans, c'est une longue histoire. Il y gagne en 1963 puis en 1968. On l'oublie parfois mais le héros imaginaire a ses empreintes scellées dans le sol du centre-ville, place Saint-Nicolas, parmi celles des véritables vainqueurs de l'épreuve. En 1997, une Courage aux couleurs mythiques des Vaillante terminera 4°.

 

2002_112.jpg

 

Michel Vaillant et Steve Warson étant indisponibles pour la course, ce sont Emmanuel Clerico, Philippe Gache et Michel Neugarten que l'on retrouve derrière le volant de notre Vaillante. C'est du reste le pilote monégasque qui a encadré et entraîné Sagamore Stevenin, l'acteur qui incarne Michel Vaillant, sur le circuit de Dijon pendant de longues semaines, afin de mieux le crédibiliser.

 

2002_115.jpg

 

Vous l'avez compris, il ne sera pas question de performances pour notre Lola, le seul objectif est de terminer la course afin d'emmagasiner le maximum d'images. Avec un temps de 3'47"381 réalisé par Philippe Gache, la Vaillante va tranquillement partir de la 12° ligne, 19° temps des LMP1.

 

2002_114.jpg

 

Dès le départ, profitant de la météo, d'une foule nombreuse, d'un trafic maximum et de deux mécaniques saines, les deux voitures engagées pour le film vont accumuler les plans, se doublant sans cesse durant la première de course qu'elles terminent au milieu du plateau, entre la 25° et la 28° place.

 

2002_113.jpg

 

La Leader-Panoz va abandonner vers 3 H du matin suite à de gros soucis de transmission. Aussi, lorsque la Vaillante va stopper à son stand à 5 H 10, elle va bénéficier de tous les soins possibles. Les mécaniciens sont les seuls du paddock à pouvoir échapper au stress de la compétition et la Lola sera immobilisée 2 H 30 pour un simple changement de boîte. Car une fois de plus, l'objectif est de ramener la voiture à l'arrivée afin de bénéficier d'images spectaculaires.

 

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Bien que terminant à la 27° et dernière place (12° des LMP900), elle ne sera pas classée pour autant. Avec seulement 150 tours couverts, elle n'a pas couvert le minimum de 70 % de la distance parcourue par le vainqueur. Mais l'essentiel était ailleurs.

 

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Modèle Spark.

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Salut Hugues,

 

Je viens de vérifier : J'ai encore 16 albums de Michel Vaillant dans ma bibliothèque :) .

Une BD que j'ai adorée à l'époque, même si je ne les ai pas relues depuis longtemps.

 

Quand à la "Vaillante" du film de Besson, je dois dire qu'elle me déçoit : La déco est fade (ils auraient pu ajouter un peu de rouge !) et la Lola n'était pas le plus spectaculaire proto du plateau, loin s'en faut. Elle en souffrait d'autant plus par contraste avec la "Leader" qui elle avait une sacré gueule !

 

Une belle histoire malgré tout qui enrichit la légende du Mans :jap: .

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Suis assez d'accord avec toi John. Voiture banale et déco tristounette. Sans être un gand fan de Michel, à l'instar de l'ami Noël, sans le logo Vaillante, je passais ma route.

Bon, c'est vrai, le prix était super attractif aussi, environ 20 € rendu maison, ça aide dans le processus de décision ;)

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En 2002, la seule Lola présente est engagée sous le nom de Vaillante pour des raisons cinématographiques. Pour les besoins du film tourné par Luc Besson autour d'un scénario de Jean Graton concernant le héros de BD Michel Vaillant, cette voiture est en fait l'ancienne Lola du team Dams, châssis type B98/10, et vendue en début de saison au britannique Bob Berridge qui se classera à la 3° place à Barcelone pour la première course du championnat FIA.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_111.jpg

 

Jean-Paul Driot avait engagé cette Lola au Mans en 1999 et c'est justement lui qui est chargé de préparer les 2 voitures nécessaires pour le film, la seconde étant une Leader-Panoz. L'occasion pour notre Lola-Vaillante de retrouver sa base de Ruaudin. Mécaniquement inchangée, elle garde son V10 Judd préparé chez Engine Development, et s'équipe de différentes caméras.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_110.jpg

 

Michel Vaillant et les 24 Heures du Mans, c'est une longue histoire. Il y gagne en 1963 puis en 1968. On l'oublie parfois mais le héros imaginaire a ses empreintes scellées dans le sol du centre-ville, place Saint-Nicolas, parmi celles des véritables vainqueurs de l'épreuve. En 1997, une Courage aux couleurs mythiques des Vaillante terminera 4°.

 

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Michel Vaillant et Steve Warson étant indisponibles pour la course, ce sont Emmanuel Clerico, Philippe Gache et Michel Neugarten que l'on retrouve derrière le volant de notre Vaillante. C'est du reste le pilote monégasque qui a encadré et entraîné Sagamore Stevenin, l'acteur qui incarne Michel Vaillant, sur le circuit de Dijon pendant de longues semaines, afin de mieux le crédibiliser.

 

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Vous l'avez compris, il ne sera pas question de performances pour notre Lola, le seul objectif est de terminer la course afin d'emmagasiner le maximum d'images. Avec un temps de 3'47"381 réalisé par Philippe Gache, la Vaillante va tranquillement partir de la 12° ligne, 19° temps des LMP1.

 

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Dès le départ, profitant de la météo, d'une foule nombreuse, d'un trafic maximum et de deux mécaniques saines, les deux voitures engagées pour le film vont accumuler les plans, se doublant sans cesse durant la première de course qu'elles terminent au milieu du plateau, entre la 25° et la 28° place.

 

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La Leader-Panoz va abandonner vers 3 H du matin suite à de gros soucis de transmission. Aussi, lorsque la Vaillante va stopper à son stand à 5 H 10, elle va bénéficier de tous les soins possibles. Les mécaniciens sont les seuls du paddock à pouvoir échapper au stress de la compétition et la Lola sera immobilisée 2 H 30 pour un simple changement de boîte. Car une fois de plus, l'objectif est de ramener la voiture à l'arrivée afin de bénéficier d'images spectaculaires.

 

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Bien que terminant à la 27° et dernière place (12° des LMP900), elle ne sera pas classée pour autant. Avec seulement 150 tours couverts, elle n'a pas couvert le minimum de 70 % de la distance parcourue par le vainqueur. Mais l'essentiel était ailleurs.

 

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Modèle Spark.

Autant je suis fan de l'univers de la BD Michel Vaillant, autant je n'a pas vraiment goûté cette transposition cinématographique. Pourtant, j'ai joué dans le film ;) , faisant partie des milliers de spectateurs de la ligne droite des tribunes chargés par Bruno V. d'encourager la voiture lors de ses passages...

Je trouve cette Lola banale, moche à la déco simpliste, sans intéret si ce n'est le fait de s'appeler Vaillante. Je préfère 1000 fois la Courage Vaillante de 97.

Bref, une fois n'est pas coutume, une miniature que je préfère dans ta vitrine que dans la mienne... :non:

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En 2002, la seule Lola présente est engagée sous le nom de Vaillante pour des raisons cinématographiques. Pour les besoins du film tourné par Luc Besson autour d'un scénario de Jean Graton concernant le héros de BD Michel Vaillant, cette voiture est en fait l'ancienne Lola du team Dams, châssis type B98/10, et vendue en début de saison au britannique Bob Berridge qui se classera à la 3° place à Barcelone pour la première course du championnat FIA.

 

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Jean-Paul Driot avait engagé cette Lola au Mans en 1999 et c'est justement lui qui est chargé de préparer les 2 voitures nécessaires pour le film, la seconde étant une Leader-Panoz. L'occasion pour notre Lola-Vaillante de retrouver sa base de Ruaudin. Mécaniquement inchangée, elle garde son V10 Judd préparé chez Engine Development, et s'équipe de différentes caméras.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_110.jpg

 

Michel Vaillant et les 24 Heures du Mans, c'est une longue histoire. Il y gagne en 1963 puis en 1968. On l'oublie parfois mais le héros imaginaire a ses empreintes scellées dans le sol du centre-ville, place Saint-Nicolas, parmi celles des véritables vainqueurs de l'épreuve. En 1997, une Courage aux couleurs mythiques des Vaillante terminera 4°.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_112.jpg

 

Michel Vaillant et Steve Warson étant indisponibles pour la course, ce sont Emmanuel Clerico, Philippe Gache et Michel Neugarten que l'on retrouve derrière le volant de notre Vaillante. C'est du reste le pilote monégasque qui a encadré et entraîné Sagamore Stevenin, l'acteur qui incarne Michel Vaillant, sur le circuit de Dijon pendant de longues semaines, afin de mieux le crédibiliser.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_115.jpg

 

Vous l'avez compris, il ne sera pas question de performances pour notre Lola, le seul objectif est de terminer la course afin d'emmagasiner le maximum d'images. Avec un temps de 3'47"381 réalisé par Philippe Gache, la Vaillante va tranquillement partir de la 12° ligne, 19° temps des LMP1.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_114.jpg

 

Dès le départ, profitant de la météo, d'une foule nombreuse, d'un trafic maximum et de deux mécaniques saines, les deux voitures engagées pour le film vont accumuler les plans, se doublant sans cesse durant la première de course qu'elles terminent au milieu du plateau, entre la 25° et la 28° place.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_113.jpg

 

La Leader-Panoz va abandonner vers 3 H du matin suite à de gros soucis de transmission. Aussi, lorsque la Vaillante va stopper à son stand à 5 H 10, elle va bénéficier de tous les soins possibles. Les mécaniciens sont les seuls du paddock à pouvoir échapper au stress de la compétition et la Lola sera immobilisée 2 H 30 pour un simple changement de boîte. Car une fois de plus, l'objectif est de ramener la voiture à l'arrivée afin de bénéficier d'images spectaculaires.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_116.jpg

 

Bien que terminant à la 27° et dernière place (12° des LMP900), elle ne sera pas classée pour autant. Avec seulement 150 tours couverts, elle n'a pas couvert le minimum de 70 % de la distance parcourue par le vainqueur. Mais l'essentiel était ailleurs.

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 02_117.jpg

Modèle Spark.

 

 

Honnêtement elle ne me plait pas beaucoup cette Lola-vaillante quant au film je l'ai trouvé complètement nul. :pfff:

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Pareil, reste tout de même la bande son par Archive avec quelques morceaux intéressants :jap: .

 

"Bridge scene" par exemple :

 

 

J'avais complètement oublié la bande son oui ça c'était pas mal : la seule chose a sauver de triste naufrage.

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Autant je suis fan de l'univers de la BD Michel Vaillant, autant je n'a pas vraiment goûté cette transposition cinématographique. Pourtant, j'ai joué dans le film ;) , faisant partie des milliers de spectateurs de la ligne droite des tribunes chargés par Bruno V. d'encourager la voiture lors de ses passages...

Je trouve cette Lola banale, moche à la déco simpliste, sans intéret si ce n'est le fait de s'appeler Vaillante. Je préfère 1000 fois la Courage Vaillante de 97.

Bref, une fois n'est pas coutume, une miniature que je préfère dans ta vitrine que dans la mienne... :non:

 

 

Je suis tout à fait d'accord avec toi Philippe. La Courage Vaillante de 97 a une déco nettement plus intéressante.

J'espère que les prochaines "Rebellion Vaillante" ne vont pas nous décevoir au niveau déco ...

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Je suis tout à fait d'accord avec toi Philippe. La Courage Vaillante de 97 a une déco nettement plus intéressante.

J'espère que les prochaines "Rebellion Vaillante" ne vont pas nous décevoir au niveau déco ...

 

Personnellement je fait totalement confiance a Rebellion leurs déco ne m'ont jamais déçu. :)

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Je trouve cette Lola banale, moche à la déco simpliste, sans intéret si ce n'est le fait de s'appeler Vaillante. Je préfère 1000 fois la Courage Vaillante de 97

 

C'est un bon résumé et je partage ton opinion. Mais son histoire, son lien avec l'univers de Jean Graton (et son prix tout petit) ont fait qu'elle se retrouve dans ma vitrine à moi ;)

 

Honnêtement elle ne me plait pas beaucoup cette Lola-vaillante quant au film je l'ai trouvé complètement nul

 

Complètement nul, bien d'accord avec toi. Scénario à 2 balles, scènes grotesques. Cependant, la qualité des images est époustouflante.

La Courage Vaillante de 97 a une déco nettement plus intéressante.

 

Ah que oui

 

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Je trouve cette Lola banale, moche à la déco simpliste, sans intéret si ce n'est le fait de s'appeler Vaillante. Je préfère 1000 fois la Courage Vaillante de 97

 

C'est un bon résumé et je partage ton opinion. Mais son histoire, son lien avec l'univers de Jean Graton (et son prix tout petit) ont fait qu'elle se retrouve dans ma vitrine à moi ;)

 

Honnêtement elle ne me plait pas beaucoup cette Lola-vaillante quant au film je l'ai trouvé complètement nul

 

Complètement nul, bien d'accord avec toi. Scénario à 2 balles, scènes grotesques. Cependant, la qualité des images est époustouflante.

La Courage Vaillante de 97 a une déco nettement plus intéressante.

 

Ah que oui

 

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Oui là c'est autre chose avec Courage, d'ailleurs je l'ai aussi dans ma collection. alh.gif.157faeff366e481379135512329e846b.gif

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En 1996, c'est la 5° participation pour Lister, marque dont l'histoire est scindée en deux parties bien distinctes. D'abord rivales des Aston Martin ou des Jaguar à la fin des années 50, les Lister disparaissent durant la décennie suivante. Rachetée par Laurence Pearce 20 ans plus tard, la marque fait aujourd'hui parler d'elle avec son coupé Storm.

 

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L'engagement de 1996 est la poursuite d'un effort commencé en 95 et l'équipe et la voiture ont subi de profonds changements par rapport à l'an dernier, modifications signées Geoff Kingston, un ancien de l'équipe Gulf McLaren. Après une sortie désastreuse à Daytona durant laquelle la voiture fut détruite et Kenny Acheson accidenté, une seconde voiture a été développée pour le 28 avril grâce aux efforts de son sponsor, le propriétaire du club de football de Newcastle où joue entre autres, David Ginola.

 

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C'est la raison pour laquelle la belle anglaise arbore les couleurs rayées noir et blanc. La nouvelle Lister dispose aussi d'une boîte transversale séquentielle Hewland à 6 rapports, la même que celle utilisée par Lotus en BPR, logée sur l'essieu arrière alors que l'embrayage est accolé au moteur avant. De nouvelles suspensions et des freins carbone avec des étriers 4 pistons à l'avant et à l'arrière ont contribué à l'abaissement du poids de 1270 à 1110 kilos.

 

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Les pilotes sont britanniques. Geoff Lees déjà chez Lister en 95, fête ainsi sa 11° participation, dont 8 pour Toyota. Tiff Needell et Anthony Reid sont eux plus connus pour leurs prestations au volant de voitures de tourisme.

Les 200 kilos gagnés et les améliorations apportées au V12 Jaguar vont rapidement dispenser les britanniques de tout suspense lors de la journée de préqualifications. Pointée sous les 4 minutes dès 13 H, le coupé Storm va finalement descendre en 3'57"133, onzième temps des GT1. Acheson, pas totalement remis de son monumental tonneau de Daytona, annonce son forfait pour les 24 H, laissant sa place à Lees.

 

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Après ce prometteur chrono, notre Lister ne s'endort pas sur ses lauriers et Geoff Lees va descendre sous les 3'55 pendant les essais chronométrés. En douze mois, cela fait près de 15 secondes de gagnées. Un record propre à donner beaucoup d'espoirs, non seulement aux blancs et noirs de Newcastle mais aussi aux très nombreux supporters britanniques. Notre Lister se place en 9° ligne avec le 9° temps des GT1.

 

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Le début de course va être un modèle de régularité. Abattant 14 tours à l'heure, notre Lister arrive à la nuit en devançant toutes les Chrysler et naviguant à 2 petites tours du peloton des McLaren. Il faut dire aussi que depuis la disparition de la Marcos, notre Storm porte seule et haut le drapeau de l'artisanat britannique avec en point d'orgue une très belle 13° place.

 

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Mais le rêve va se noircir une fois la mi-course passée, et il faudra une obstination toute britannique pour que notre Lister voit le drapeau à damiers. Après le changement de la boîte de vitesses puis du maître cylindre en début de matinée, ce sont des ennuis moteurs qui feront craindre le pire. Dans la dernière heure de course, la Storm ne va tourner que 4 petits tours, perdant une place au général.

 

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C'est finalement au 19° rang que vont terminer Lees, Needell et Reid, 11° de la catégorie GT1, première et seule voiture 100% made in England. il faut remonter à 1958 pour retrouver une Lister-Jaguar au palmarès des 24 heures.

 

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Modèle Spark.

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Ha ben voilà ! J'aime beaucoup mieux celle-ci.

Une GT comme on les aimes.

 

Une déco sympa qui la renforce le caractère racé de cette GTL plus que celle de 95.

Un modèle que j'aimerais bien attraper un jour pour mettre à coté de ma version 97.

La présentation au top, détaillée et soignée, mais ça, on est habitué.

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Pas mieux, celle-là j'adore

Elle était d'ailleurs en bonne place dans ma collection 1/43 à l'époque (je ne sais plus quel poto en avait hérité par la suite).

Une belle déco, une ligne qui force le respect, et c'est une anglaise 1914988174_geforce7800gtx.gif.4d20d8eaadd55e7bc5359dcad32ecc3f.gif

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Pas de commentaire détaillé pour cette Ferrari de 71, vu qu'elle a déjà été présentée

 

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Elel remplace ma Marsh Model que j'ai revendu pas loin des 40 €

 

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Du coup je ne regrette pas les 85 € pour cette superbe Looksmart

 

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Pas de commentaire détaillé pour cette Ferrari de 71, vu qu'elle a déjà été présentée

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 71_110.jpg

 

Elel remplace ma Marsh Model que j'ai revendu pas loin des 40 €

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 71_111.jpg

 

Du coup je ne regrette pas les 85 € pour cette superbe Looksmart

 

https://i58.servimg.com/u/f58/ [...] 71_112.jpg

 

Elle est vraiment très belle.

Par contre le prix est pas très sympathique pour ce qui n'est au fond qu'une Spark avec une belle boite.

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Elle est vraiment très belle

 

Absolument, elle est magnifique :love:

 

le prix est pas très sympathique pour ce qui n'est au fond qu'une Spark avec une belle boite

 

Et encore, 85 €, c'est un super prix...C'est pour ça qu'il n'y en aura pas beaucoup dans mes vitrines à moi...Et tu as raison, 100 € c'est démentiel. :cry:

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En 1999, le règlement ACO se voulant plus restrictif pour les GTS que celui de 98 pour les GT2, une partie des investissements des frères Roock n'a plus de raison d'être.

 

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Exit donc la boîte séquentielle, mais Fabian et Michael Roock ont conservé un flat 6 à la cylindrée portée à 3,8 litres et géré par une injection signée Thielert qui n'a plus rien à voir avec celle d'origine.

 

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Outre la mécanique, la Porsche Roock 99 se caractérise par ses radiateurs avant placés différemment, son réservoir déplacé, ses voies élargies de sept centimètres, sa coque allégée, son châssis renforcé et sa circulation d'air revue. Un minimum pour espérer lutter avec les Viper.

 

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Mécaniquement, les deux Porsche 99 grise et bleu sont identiques. La #63 a été repêchée fin fin mai pour palier le double forfait d'une Ferrari 33 puis de la WR. Son équipage, très international, regroupe un allemand Hubert Haupt, et deux britanniques John Robinson et Hugh Price.

 

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Si les Porsche du Roock Racing en 4'03"846 avec la #62 se montre la plus rapide du clan Porsche durant les préqualifications, elles rentrent dans le rang pendant les qualifications. Devançant la voiture soeur, notre #63 se qualifie en 19° ligne avec un modeste 4'06"834, 12° temps de sa catégorie.

 

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Le début de course ne sera pas de tout repos pour le Roock Racing. Peu après le départ, notre Porsche doit changer le cardan arrière gauche avant que l'autre 911 ne procède au changement de la boîte de vitesse.

 

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Mais après ce fâcheux retard, et hormis les changements de pneumatiques, notre 911 va tourner comme une horloge, se retrouvant même en tête des Porsche catégorie GTS le dimanche matin.

 

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Elle ne profitera de la situation deux petites heures, avant que la défaillance d'un turbo ne l'empêche de rejoindre son stand. Il est 10 H 42 et il ne reste que 3 Porsche face au bloc toujours complet des huit Chrysler.

 

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Modèle Spark

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Ouais, je ne vais pas te dire qu'elle m'a laissé un souvenir impérissable celle-là.

Qu'est-ce qui t'a motivé pour la rentrer dans tes vitrines ?

 

Bon ça reste une Porsche au look bien bodybuldé malgré tout, alors pourquoi pas.

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Invité §ced071kB

Tout est toujours question de goûts ...

 

Pour moi, cette Porsche (malgré sa décoration peu emballante ) reste la plus belle 911 avec ce look bodybuldé :love: :love: :love: :love:

Je n'ai pas su me décider alors j'avais acheté les deux :p

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Tout est toujours question de goûts ...

 

Pour moi, cette Porsche (malgré sa décoration peu emballante ) reste la plus belle 911 avec ce look bodybuldé :love: :love: :love: :love:

Je n'ai pas su me décider alors j'avais acheté les deux :p

 

Moi, je n'ai pu me décider non plus. Alors j'en n'ai pris aucune. :lol:

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Qu'est-ce qui t'a motivé pour la rentrer dans tes vitrines ?

 

La même motivation que celle d'Armand ou de Cédric

 

Pour moi, cette Porsche (malgré sa décoration peu emballante ) reste la plus belle 911 avec ce look bodybuldé

les formes de cette auto sont très sensuelles.

 

Une décoration que l'on peut qualifier de très moyenne, c'est vrai. Mais le look de cette Porsche, sa gueule de fauve prêt à bondir, son train arrière bien large, tout dans cette 911 évoque la puissance et la bestialité. Et curieusement, il se dégage aussi, comme le souligne Armand, un parfum de sensualité. Moi j'adore. :love:

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