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Tricherie sur les polluants - Informations et répercussions


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https://www.challenges.fr/auto [...] ate_515301

 

[h1]Berlin s'oppose au projet d'un gendarme européen anti-Dieselgate[/h1]

 

Bruxelles veut son gendarme anti-Dieselgate. Emmenés par Berlin, les États producteurs d'automobiles s'opposent cependant à un contrôle de leurs organismes nationaux d'homologation des véhicules.

 

Nouvel épisode dans les négociations tendues qui opposent les parlementaires européens et les gouvernements autour de la définition des règles de contrôle des travaux des organismes nationaux chargés d'homologuer les véhicules. Selon les informations du quotidien allemand Handelsblatt, Berlin continuerait son travail de sape des négociations en s'opposant fermement à l'idée de soumettre le travail de son autorité fédérale des transports (KBA) au contrôle d'un organisme indépendant et supranational.

Petit rappel des forces en présence : d'un côté, le Parlement européen à Strasbourg et la Commission européenne à Bruxelles ; de l'autre, le Conseil européen (à Bruxelles aussi) qui rassemble les vingt-huit chefs de gouvernement des États-membres. Ces derniers se soucient notoirement des intérêts de leur industrie automobile, afin de préserver sa compétitivité et l'emploi.

En face, une majorité d'eurodéputés s'est prononcée cet été pour la création d'un organisme supranational et indépendant, un super-gendarme européen chargé de prévenir toute répétition du scandale des moteurs truqués par le Groupe Volkswagen. Sa mission ? Contrôler la régularité du travail des laboratoires et attester de la conformité à la réglementation des véhicules homologués. Par exemple par la KBA en Allemagne, ou bien par l'UTAC-CERAM en France.[h3]Les eurodéputés veulent garantir le respect des règles d'homologation[/h3]

Rappelons que le titre d'homologation délivré sur le territoire de l'un quelconque des États-membres jouit de la même valeur juridique partout dans l'Union. Ce document vaut effectivement autorisation de mise sur le marché du véhicule.

L'indépendance des organismes d'homologation est sérieusement mise en doute par les eurodéputés du fait d'une règle qui autorise les constructeurs à s'adresser à l'un ou l'autre des nombreux organismes (privés ou publics) investis par les États-membres de l'autorité d'examiner les demandes de réception et à délivrer le titre d'homologation. Pire, ces laboratoires sont rémunérés par le donneur d'ordre, ce qui laisse soupçonner un chantage à la commande et aux prix bas.

Les membres du Conseil européen, de la Commission européenne et du Parlement européen se réunissent ce 23 novembre, dans l'espoir de trouver un terrain d'entente. Le quotidien économique allemand Handelsblatt et le quotidien en ligne EU Observer ont consulté des documents confidentiels qui mettent une fois de plus en lumière le travail de sape des gouvernements des États-membres, réunis en Conseil européen. Leur objectif : freiner les ardeurs de la Commission et limiter les pouvoirs comme les attributions du futur organisme de contrôle.[h3]Soupçon de conflit d'intérêts pour les organismes d'homologation[/h3]

A en croire nos confrères allemands, quelque douze États-membres s'opposeraient depuis le printemps aux propositions de la Commission, dont la France, l'Italie, l'Espagne, la République tchèque et l'Allemagne. Tous comptent sur leur territoire une solide industrie automobile. Mais c'est bien le gouvernement allemand qui mènerait l'opposition.

D'un côté, le Parlement européen voudrait imposer aux gouvernements des États-membres l'obligation de procéder à un contrôle a posteriori des émissions de gaz à effet de serre et de gaz polluants de 20 % de tous les véhicules homologués sous leur égide. De l'autre, Berlin voudrait cantonner ces contrôles des émissions à un véhicule par tranche de 200.000 homologués ; et à un véhicule sur 50.000 pour ce qui est des contrôles des autres organes mécaniques (conformité du vitrage, de l'éclairage, des émissions sonores, etc.).

L'enjeu est important. Il s'agit pour l'Union européenne de se doter d'un organisme de contrôle comparable dans ses attributions à l'Environmental Protection Agency (EPA) aux États-Unis. Non seulement ce super-gendarme européen serait chargé de contrôler que les nationaux d'homologation ne prennent pas de libertés avec le règlement, mais il serait autorisé à mettre à l'amende les États-membres coupables de laxisme. Ce qui implique, dans les faits, de financer sur les deniers publics des laboratoires qui, à ce jour, sont payés par les constructeurs.

Une révolution à laquelle Berlin, Paris ou Rome ne semblent pas prêts à concéder.

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Toujours aussi animé ce topic entre deux clans distinctifs si je puis dire :cyp:

 

Je ne sais plus si je l'ai déjà expliqué mais j'ai un beau-frère qui roule en Golf 6 2.0TDi (140?) DSG. Il s'est déjà rendu plusieurs fois en concession pour la MAJ mais sans succès. Il est en attente d'appel de la concession mais cela n'empêche nullement le bon fonctionnement du véhicule :bah:

 

 

EDIT:

 

sinon ce n'est pas pour relancer le topic ;)

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Toujours aussi animé ce topic entre deux clans distinctifs si je puis dire :cyp:

 

Je ne sais plus si je l'ai déjà expliqué mais j'ai un beau-frère qui roule en Golf 6 2.0TDi (140?) DSG. Il s'est déjà rendu plusieurs fois en concession pour la MAJ mais sans succès. Il est en attente d'appel de la concession mais cela n'empêche nullement le bon fonctionnement du véhicule :bah:

 

 

EDIT:

 

sinon ce n'est pas pour relancer le topic ;)

 

Il n'ont pas la bonne MAJ, où il n'arrive pas à l'installer? :??:

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http://www.liberation.fr/franc [...] ce_1612810

 

[h1]Dieselgate : qui a été pris la main dans le pot d'échappement en France ?[/h1]

[h2]Après la révélation par « le Monde » du contenu de l'enquête pour « tromperie aggravée » qui vise Fiat Chrysler, tour d'horizon des fautes commises et des sanctions encourues par les constructeurs automobiles épinglés dans ce scandale.[/h2]

Après l’explosion du scandale du « dieselgate » sous le capot de Volkswagen il y a deux ans, aux Etats-Unis, la justice française n’est pas restée les bras croisés : elle a épinglé les constructeurs français Renault et PSA, ainsi que l’allemand VW et l’italo-américain Fiat Chrysler Automobiles (FCA), tous soupçonnés d’avoir « trompé » le consommateur sur la réalité des émissions polluantes de leurs véhicules diesel. Dernier épisode en date, la révélation par le Monde du procès-verbal d’infraction rédigé par la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) à l’encontre de FCA : au vu de ce rapport d’enquête, le constructeur transalpin, qui commercialise notamment les marques Fiat, Alfa Romeo et Jeep en France, risque une amende record de 9,62 milliards d’euros. Le double de la punition financière qui menace Renault et PSA, mais bien moins que ce que risque VW… Retour sur un feuilleton qui a mis fin au règne du moteur diesel en France et ailleurs.

[h3]D’où est parti le scandale du « dieselgate » ?[/h3]

Septembre 2015, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) révèle que des voitures diesel du groupe Volkswagen commercialisées aux Etats-Unis explosent les normes anti-pollution dans des proportions inégalées et très suspectes : les tests ont montré que les émissions de NOx (oxyde d’azote), un polluant atmosphérique nocif pour la santé, sont 15 à 35 fois supérieures aux normes américaines pour un premier modèle de Volkswagen et 5 à 20 fois supérieures pour le second ! Sous la pression de la justice américaine, le géant allemand de l’automobile admet rapidement avoir trompé les autorités fédérales depuis 2009 en équipant ses véhicules de « logiciels truqueurs » capables de détecter automatiquement les phases de tests de mesure antipollution pour limiter les émissions de NOx du moteur quand le véhicule est sur banc d’essai… En conditions de circulation réelle, le dispositif anti-pollution ne fonctionne pas. Le scandale est énorme : VW risque une amende de 18 milliards de dollars (15 milliards d’euros), et beaucoup plus avec les « class actions » qui vont être lancées par les consommateurs américains. Le patron du groupe, Martin Winterkorn, est contraint de démissionner, mais son successeur, Matthias Müller, n’échappe pas aux poursuites aux Etats-Unis, comme en Allemagne et en France.[h3]Comment les autres constructeurs ont été rattrapés par la patrouille ?[/h3]

Il est vite apparu que si le champion mondial de l’automobile – titre qu’il dispute à Toyota – était capable d’une fraude à si grande échelle, ses concurrents avaient peu de chances d’être blancs comme neige à la sortie de l’échappement. Aiguillonnée par des ONG comme France nature environnement (FNE) ou le Réseau action climat (RAC), la « Commission Royal », mise en place par la ministre de l’Environnement d’alors, révèle à grand renfort de bancs d’essai, au printemps 2016, que la plupart des véhicules commercialisés en France par les grands constructeurs ne répondent pas non plus aux normes anti-pollution. De grands noms se sont plantés plein pot aux tests. Et surprise, VW n’est pas le plus mauvais élève : l’italien Fiat et le français Renault trustent le haut du podium des émissions polluantes de NOx, suivis de près par Peugeot.

http://md1.libe.com/photo/1016149-graphique_nox_maj.jpg?modified_at=1493047923&width=750

Dans la foulée, la DGCCRF est saisie par les deux ministères concernés (Economie et Environnement), jusque-là rétifs à chercher des noises aux grands constructeurs français au vu des enjeux industriels et sociaux. Libre de ses mouvements, le gendarme des fraudes a finalement épinglé tour à tour au printemps 2017 les constructeurs tricolores Renault et PSA Peugeot-Citroën, ainsi que l’italien FCA, comme l’ont révélé successivement Libération et le Monde.[h3]Que reproche-t-on à Renault, PSA et Fiat ?[/h3]

Comme dans l’affaire des « logiciels truqueurs » de VW, les trois fautifs ont sciemment minoré les émissions polluantes de leurs moteurs diesel pour que ces derniers passent avec succès les tests d’homologation de la norme Euro 6 au moyen de stratégies technologiques qualifiées de « frauduleuses » par la DGCCRF, dont les investigations ont été transmises au pôle Santé du parquet de Paris. Trois juges ont été saisis pour instruire ces affaires. Dans le cas de Renault et PSA, comme dans celui de VW et FCA, le parquet a ouvert une information judiciaire pour « tromperie sur les qualités substantielles et les contrôles effectués, avec cette circonstance aggravante que les faits ont eu pour conséquence de rendre la marchandise dangereuse pour la santé de l’homme et de l’animal ». Et pour cause, les gaz NOx sont classés « cancérogènes » par l’OMS et une étude parue dans la revue Nature a estimé qu’en 2015, 38 000 décès « prématurés » ont été provoqués dans le monde par les émissions d’oxyde d’azote (NOx) « générées en excès ». Une autre étude, de la revue Environmental Research Letters cette fois, a chiffré à 5 000 morts par an, en Europe, le nombre de décés liés à des maladies respiratoires occasionnées par les émissions de NOx…[h3]Que risquent les uns et les autres en France ?[/h3]

Volkswagen : Après l’enquête menée par la DGCCRF qui a conclu en mai à une « tromperie aggravée », l’allemand VW (qui a écoulé près d’un million de diesel plus polluants que déclaré en France) est menacé d’une amende pouvant aller jusqu’à 20 milliards d’euros, soit 10% de son chiffre d’affaires sur la base des années 2012, 2013 et 2014… La facture est d’autant plus salée que le géant aux douze marques (VW, Audi, Porsche, Seat, Skoda, etc...) a refusé de collaborer avec la justice française qui lui demandait de transmettre le code source de ses logiciels truqueurs, invoquant « des raisons de confidentialité ». Le patron du groupe VW, Mathias Müller, est désigné comme « responsable présumé »de la fraude en tant que « représentant légal ».

FCA Fiat Chrysler : Même motif, même punition ou presque pour l’italien. La DGGCRF pointe là aussi « une tromperie aggravée » après avoir constaté « une fraude au test anti-pollution » sur la Jeep Cherokee et la Fiat 500X. Les ventes de ces deux modèles ont permis au groupe de réaliser un chiffre d’affaires de plus de 150 millions d’euros entre 2014 et 2016. Le gendarme de la concurrence estime que l’implantation d’un logiciel truqueur a été « une stratégie mise en œuvre par FCA ». Amende maximale retenue : 9,62milliards d’euros. Et c’est sans compter avec l’autre information judiciaire ouverte pour « obstacle » à l’enquête… Le grand patron, Sergio Marchionne, est lui aussi désigné comme « responsable présumé » de la fraude et de sa dissimulation.

Renault et PSA : Les constructeurs français risquent de prendre un peu moins cher, la DGCCRF n’ayant retenu que le chef de « tromperie »,sans les circonstances aggravantes. Mais Renault et PSA s’exposent quand même à des amendes pouvant aller jusqu’à 10% de leur chiffre d’affaires annuel : soit 3,5 milliards d’euros pour le premier et 5,4 milliards pour le second. Là encore les grands patrons de Renault – Carlos Ghosn – et de PSA – Carlos Tavares – sont dans le collimateur. Mais l’enquête n’a pas encore prouvé explicitement l’existence de logiciels truqueurs chez ces deux constructeurs et avance plutôt la piste d’une « calibration délibérée » pour que système anti-pollution passe les tests mais ne fonctionne pas sur la route. Ce qui revient peu ou prou au même : « La société a utilisé une stratégie ayant pour objectif de fausser les résultats des tests antipollution », écrit ainsi la DGCCRF au sujet de Renault. Et en ce qui concerne PSA, il y a eu « stratégie globale visant à fabriquer des moteurs frauduleux, puis à les commercialiser ».

Dans tous les cas, l’instruction est toujours en cours et il n’y aura pas de procès avant plusieurs années… si procès il y a. Car les constructeurs fautifs pourraient suivre la voie empruntée par la banque HSBC et tenter une transaction avec la justice pénale française pour payer une amende moins lourde que prévue.

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Laurent, une petite condamnation en plus pour ton récap!

 

https://euobserver.com/tickers/140052

 

[h1]Dutch consumer authority fines VW over Dieselgate[/h1]

The Netherlands Authority for Consumers and Markets has fined German carmaker Volkswagen Group (VW) €450,000, the highest amount legally possible, because it "misled consumers in the sale of its diesel cars with type EA 189 engines", the authority announced on Tuesday. VW equipped millions of diesel cars in Europe with illegal cheating software to dodge emissions tests in a scandal that became known as Dieselgate.

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http://www.lepoint.fr/automobi [...] 02_683.php

 

[h1]Dieselgate: une plainte collective contre VW rejetée en Pologne[/h1]

 

Le tribunal régional de Varsovie a rejeté lundi une plainte collective contre Volkswagen AG déposée par une association des victimes du scandale du diesel, qui réclamait une indemnisation de 7.000 euros par véhicule.

"Le tribunal a rejeté la plainte et a ordonné au plaignant de payer les frais judiciaires", a déclaré à l'AFP le porte-parole du tribunal Piotr Bojarczuk, "La plainte a été jugée sans fondement".

 

"Le tribunal a estimé que l'affaire ne dépend pas de la juridiction polonaise et ne peut donc être jugée en Pologne", a déclaré à l'AFP Me Konrad Kasprzak, avocat de l'Association StopVW. "Nous ne sommes pas d'accord avec cette argumentation et allons faire appel après avoir obtenu par écrit les attendus du jugement".

Selon lui, 54 personnes ont engagé ce recours collectif, et 4.000 ont adhéré à l'association et pourraient se joindre à la plainte.

Selon l'association, le constructeur allemand a vendu en Pologne plus de 140.000 véhicules munis d'un logiciel fraudeur pour passer les tests anti-pollution des gaz d'échappement.

Les véhicules en question émettent des gaz polluants - des oxydes d'azote - en quantités parfois jusqu'à 40 fois supérieures à la norme autorisée.

En juin, le parquet de Munich, qui enquêtait jusqu'alors sur les 80.000 véhicules diesel truqués vendus aux Etats-Unis par Audi, avait étendu ses investigations aux quelque 20.000 véhicules concernés par un rappel en Allemagne et dans le reste de l'Europe.

Fin 2015, le groupe Volkswagen avait reconnu avoir équipé 11 millions de ses voitures diesel, dont environ 600.000 aux Etats-Unis, d'un logiciel faussant le résultat des tests anti-pollution et dissimulant des émissions dépassant jusqu'à 40 fois les normes autorisées.

Aux Etats-Unis, Volkswagen a déjà dû débourser plus de 20 milliards de dollars pour réparer ou racheter près de 600.000 voitures incriminées - équipées principalement de moteurs diesel 2 litres et de moteurs 3 litres pour moins de 100.000 d'entre elles - et indemniser leurs propriétaires.

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Invité §ber240dQ

Toujours aussi animé ce topic entre deux clans distinctifs si je puis dire :cyp:

 

Je ne sais plus si je l'ai déjà expliqué mais j'ai un beau-frère qui roule en Golf 6 2.0TDi (140?) DSG. Il s'est déjà rendu plusieurs fois en concession pour la MAJ mais sans succès. Il est en attente d'appel de la concession mais cela n'empêche nullement le bon fonctionnement du véhicule :bah:

 

 

EDIT:

 

sinon ce n'est pas pour relancer le topic ;)

 

 

Ici c'est plutôt l'actu de VW.

 

Regardez les topics VW et Seat, ils parlent plus des conséquences de la mise à jour. On m'a dit qu'il y en avait une deuxième... Pour corriger la première qui a eu des effets négatifs (sur le moteur).

Donc si cest pas obligatoire, qu'il ne se presse pas!

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Invité §cud873cx

http://www.liberation.fr/franc [...] ce_1612810

 

[h1]Dieselgate : qui a été pris la main dans le pot d'échappement en France ?[/h1]

[h2]Après la révélation par « le Monde » du contenu de l'enquête pour « tromperie aggravée » qui vise Fiat Chrysler, tour d'horizon des fautes commises et des sanctions encourues par les constructeurs automobiles épinglés dans ce scandale.[/h2]

Après l’explosion du scandale du « dieselgate » sous le capot de Volkswagen il y a deux ans, aux Etats-Unis, la justice française n’est pas restée les bras croisés : elle a épinglé les constructeurs français Renault et PSA, ainsi que l’allemand VW et l’italo-américain Fiat Chrysler Automobiles (FCA), tous soupçonnés d’avoir « trompé » le consommateur sur la réalité des émissions polluantes de leurs véhicules diesel. Dernier épisode en date, la révélation par le Monde du procès-verbal d’infraction rédigé par la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) à l’encontre de FCA : au vu de ce rapport d’enquête, le constructeur transalpin, qui commercialise notamment les marques Fiat, Alfa Romeo et Jeep en France, risque une amende record de 9,62 milliards d’euros. Le double de la punition financière qui menace Renault et PSA, mais bien moins que ce que risque VW… Retour sur un feuilleton qui a mis fin au règne du moteur diesel en France et ailleurs.

[h3]D’où est parti le scandale du « dieselgate » ?[/h3]

Septembre 2015, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) révèle que des voitures diesel du groupe Volkswagen commercialisées aux Etats-Unis explosent les normes anti-pollution dans des proportions inégalées et très suspectes : les tests ont montré que les émissions de NOx (oxyde d’azote), un polluant atmosphérique nocif pour la santé, sont 15 à 35 fois supérieures aux normes américaines pour un premier modèle de Volkswagen et 5 à 20 fois supérieures pour le second ! Sous la pression de la justice américaine, le géant allemand de l’automobile admet rapidement avoir trompé les autorités fédérales depuis 2009 en équipant ses véhicules de « logiciels truqueurs » capables de détecter automatiquement les phases de tests de mesure antipollution pour limiter les émissions de NOx du moteur quand le véhicule est sur banc d’essai… En conditions de circulation réelle, le dispositif anti-pollution ne fonctionne pas. Le scandale est énorme : VW risque une amende de 18 milliards de dollars (15 milliards d’euros), et beaucoup plus avec les « class actions » qui vont être lancées par les consommateurs américains. Le patron du groupe, Martin Winterkorn, est contraint de démissionner, mais son successeur, Matthias Müller, n’échappe pas aux poursuites aux Etats-Unis, comme en Allemagne et en France.[h3]Comment les autres constructeurs ont été rattrapés par la patrouille ?[/h3]

Il est vite apparu que si le champion mondial de l’automobile – titre qu’il dispute à Toyota – était capable d’une fraude à si grande échelle, ses concurrents avaient peu de chances d’être blancs comme neige à la sortie de l’échappement. Aiguillonnée par des ONG comme France nature environnement (FNE) ou le Réseau action climat (RAC), la « Commission Royal », mise en place par la ministre de l’Environnement d’alors, révèle à grand renfort de bancs d’essai, au printemps 2016, que la plupart des véhicules commercialisés en France par les grands constructeurs ne répondent pas non plus aux normes anti-pollution. De grands noms se sont plantés plein pot aux tests. Et surprise, VW n’est pas le plus mauvais élève : l’italien Fiat et le français Renault trustent le haut du podium des émissions polluantes de NOx, suivis de près par Peugeot.

http://md1.libe.com/photo/1016 [...] ;width=750

Dans la foulée, la DGCCRF est saisie par les deux ministères concernés (Economie et Environnement), jusque-là rétifs à chercher des noises aux grands constructeurs français au vu des enjeux industriels et sociaux. Libre de ses mouvements, le gendarme des fraudes a finalement épinglé tour à tour au printemps 2017 les constructeurs tricolores Renault et PSA Peugeot-Citroën, ainsi que l’italien FCA, comme l’ont révélé successivement Libération et le Monde.[h3]Que reproche-t-on à Renault, PSA et Fiat ?[/h3]

Comme dans l’affaire des « logiciels truqueurs » de VW, les trois fautifs ont sciemment minoré les émissions polluantes de leurs moteurs diesel pour que ces derniers passent avec succès les tests d’homologation de la norme Euro 6 au moyen de stratégies technologiques qualifiées de « frauduleuses » par la DGCCRF, dont les investigations ont été transmises au pôle Santé du parquet de Paris. Trois juges ont été saisis pour instruire ces affaires. Dans le cas de Renault et PSA, comme dans celui de VW et FCA, le parquet a ouvert une information judiciaire pour « tromperie sur les qualités substantielles et les contrôles effectués, avec cette circonstance aggravante que les faits ont eu pour conséquence de rendre la marchandise dangereuse pour la santé de l’homme et de l’animal ». Et pour cause, les gaz NOx sont classés « cancérogènes » par l’OMS et une étude parue dans la revue Nature a estimé qu’en 2015, 38 000 décès « prématurés » ont été provoqués dans le monde par les émissions d’oxyde d’azote (NOx) « générées en excès ». Une autre étude, de la revue Environmental Research Letters cette fois, a chiffré à 5 000 morts par an, en Europe, le nombre de décés liés à des maladies respiratoires occasionnées par les émissions de NOx…[h3]Que risquent les uns et les autres en France ?[/h3]

Volkswagen : Après l’enquête menée par la DGCCRF qui a conclu en mai à une « tromperie aggravée », l’allemand VW (qui a écoulé près d’un million de diesel plus polluants que déclaré en France) est menacé d’une amende pouvant aller jusqu’à 20 milliards d’euros, soit 10% de son chiffre d’affaires sur la base des années 2012, 2013 et 2014… La facture est d’autant plus salée que le géant aux douze marques (VW, Audi, Porsche, Seat, Skoda, etc...) a refusé de collaborer avec la justice française qui lui demandait de transmettre le code source de ses logiciels truqueurs, invoquant « des raisons de confidentialité ». Le patron du groupe VW, Mathias Müller, est désigné comme « responsable présumé »de la fraude en tant que « représentant légal ».

FCA Fiat Chrysler : Même motif, même punition ou presque pour l’italien. La DGGCRF pointe là aussi « une tromperie aggravée » après avoir constaté « une fraude au test anti-pollution » sur la Jeep Cherokee et la Fiat 500X. Les ventes de ces deux modèles ont permis au groupe de réaliser un chiffre d’affaires de plus de 150 millions d’euros entre 2014 et 2016. Le gendarme de la concurrence estime que l’implantation d’un logiciel truqueur a été « une stratégie mise en œuvre par FCA ». Amende maximale retenue : 9,62milliards d’euros. Et c’est sans compter avec l’autre information judiciaire ouverte pour « obstacle » à l’enquête… Le grand patron, Sergio Marchionne, est lui aussi désigné comme « responsable présumé » de la fraude et de sa dissimulation.

Renault et PSA : Les constructeurs français risquent de prendre un peu moins cher, la DGCCRF n’ayant retenu que le chef de « tromperie »,sans les circonstances aggravantes. Mais Renault et PSA s’exposent quand même à des amendes pouvant aller jusqu’à 10% de leur chiffre d’affaires annuel : soit 3,5 milliards d’euros pour le premier et 5,4 milliards pour le second. Là encore les grands patrons de Renault – Carlos Ghosn – et de PSA – Carlos Tavares – sont dans le collimateur. Mais l’enquête n’a pas encore prouvé explicitement l’existence de logiciels truqueurs chez ces deux constructeurs et avance plutôt la piste d’une « calibration délibérée » pour que système anti-pollution passe les tests mais ne fonctionne pas sur la route. Ce qui revient peu ou prou au même : « La société a utilisé une stratégie ayant pour objectif de fausser les résultats des tests antipollution », écrit ainsi la DGCCRF au sujet de Renault. Et en ce qui concerne PSA, il y a eu « stratégie globale visant à fabriquer des moteurs frauduleux, puis à les commercialiser ».

Dans tous les cas, l’instruction est toujourjs en cours et il n’y aura pas de procès avant plusieurs années… si procès il y a. Car les constructeurs fautifs pourraient suivre la voie empruntée par la banque HSBC et tenter une transaction avec la justice pénale française pour payer une amende moins lourde que prévue.

. Il y a un topic. Pour cela. Surtout qu encore u e fois tu parles des euros 6 et pas des euros 5 incriminé..... c est dur de comprendre deux ans après.

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Une société cliente de VW (Seafood) qui avait portait plainte contre le constructeur dans le cadre du dieselgate fait appel de la décision de non condamnation:

 

https://auto.economictimes.ind [...] w/61829644

 

 

[h1]Seafood company appeals German court's rejection of complaint against VW[/h1]The case marked the first time that a company had taken legal action against VW in Germany since the scandal broke in September 2015.REUTERS | November 28, 2017, 10:12 IST

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61829661.cmsThe world's biggest carmaker is faced with a barrage of lawsuits from customers, investors and regulators over its "Dieselgate" scandal.

BERLIN: Germany's leading seafood company Deutsche See has appealed against a German court's rejection of its complaint against Volkswagen over the carmaker's emissions test-cheating scandal.

Deutsche See said in February it was suing Volkswagen over malicious deception for leasing diesel vehicles VW had said were environmentally friendly. The case marked the first time that a company had taken legal action against VW in Germany since the scandal broke in September 2015.

But the regional court in Braunschweig near VW's Wolfsburg headquarters last month rejected the Deutsche See's lawsuit over lack of evidence of legally relevant deception.

Deutsche See said it had filed an appeal at the Braunschweig court and said that VW had shunned its multiple attempts to seek mediation.

The world's biggest carmaker is faced with a barrage of lawsuits from customers, investors and regulators over its "Dieselgate" scandal.

VW declined to comment.

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[h1]http://www.breezcar.com/actual [...] iques-1117

[/h1][h1]Batteries : le risque de pénurie guette les constructeurs allemands[/h1]

Publié le 29 novembre 2017 à 07h00 | Fabrice SPATH | 2 minutes

Tags: Voiture électrique, Batterie, BMW, Volkswagen, Mercedes, Allemagne, A l’étranger, Daimler, Cobalt

http://www.breezcar.com/img-c/pageimg/2908_W750.jpg

Outre-Rhin, les grandes ambitions en matière de mobilité électrique pourraient être freinées par un risque de pénurie de métaux indispensables à la confection des batteries

Indispensable à la production des batteries pour véhicules électriques et hybrides rechargeables, les métaux précieux tels que le cobalt, le graphite et le manganèse risquent de ne pas suffire pour alimenter tous les projets des constructeurs allemands. La Fédération de l’Industrie allemande tire la sonnette d’alarme et s’inquiète d’un risque de pénurie.

[h2]Des projets électriques tous azimuts[/h2]

En Allemagne, les conséquences du scandale des moteurs truqués Dieselgate et du durcissement des normes antipollution ont eu pour effet de dynamiser l’électrification des gammes chez les principaux constructeurs. 12 modèles « zéro émission » d’ici 2025 pour BMW ainsi qu’un investissement de 200 millions d’euros pour la construction d’un centre de compétences dédié aux cellules de batteries, 80 véhicules électriques pour le groupe Volkswagen (Audi, Porsche) et un investissement de 34 milliards de dollars dans les 5 ans, une version électrique pour chaque modèle de son catalogue à compter de 2022 pour le groupe Daimler (Mercedes-Benz, smart). Autant de projets qui consommeront une part croissante des métaux précieux lors de la prochaine décennie.

 

[h2 id=]Demande vs capacités de production[/h2]

Des ambitions qui font craindre à la Fédération de l’Industrie allemande (BDI) un risque de pénurie sur le marché de plus en plus convoité des matières premières. « Le risque de goulots d’étranglement dans la chaîne d‘approvisionnement (…) s‘accroît parce que la demande augmente plus vite que les capacités de production », a déclaré Matthias Watcher, de la BDI, cité par l’hebdomadaire allemand Welt am Sonntag dans son édition de dimanche. « Sans approvisionnement suffisant par exemple de cobalt, de graphite, de lithium ou de manganèse, il n‘existera pas de technologie d‘avenir “made in Germany” », ajoute-t-il.

[h2 id=]Sécuriser les approvisionnements[/h2]

Un constat né il y a quelques mois avec les propos d’un dirigeant de Volkswagen déclarant que l’industrie automobile mondiale aurait besoin à terme de 40 Gigafactories pour satisfaire sa demande en batteries (lire notre article). La firme de Wolfsburg avait alors tenté, sans succès, de sécuriser à long terme ses approvisionnements en cobalt. Une démarche similaire entreprises il y a peu par le compatriote BMW qui, en marge de l’annonce de la construction d’un centre de compétences dédié aux cellules de ses futurs accumulateurs, a confié avoir entamé des discussions avec les principaux fournisseurs de cobalt de la planète.

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Laurent, une petite condamnation en plus pour ton récap!

 

https://euobserver.com/tickers/140052

 

[h1]Dutch consumer authority fines VW over Dieselgate[/h1]

The Netherlands Authority for Consumers and Markets has fined German carmaker Volkswagen Group (VW) €450,000, the highest amount legally possible, because it "misled consumers in the sale of its diesel cars with type EA 189 engines", the authority announced on Tuesday. VW equipped millions of diesel cars in Europe with illegal cheating software to dodge emissions tests in a scandal that became known as Dieselgate.

 

Pour être plus complet:

 

https://www.autovistagroup.com [...] volkswagen

 

 

Meanwhile, the Dutch markets watchdog has fined the German vehicle maker €450,000 for misleading consumers how bought its diesel cars between 2009 and 2015.

The Authority for Consumer & Markets (ACM) said it had levied the maximum fine it could on VW for its use of ‘defeat devices,’ illegal software that made its cars emit less pollution during testing than they did on the road.

The ACM said on Tuesday that Volkswagen had misleadingly advertised the diesel cars as ‘environmentally friendly’ from 2009-2015. In a statement it concluded: ‘ACM has established that, in the period of 2009 to 2015, Volkswagen misled consumers about the most important features of its product. As a result, consumers may have made a different decision than if they had received the correct information. Diesel cars with type EA 189 engines of the brands Volkswagen, Audi, ŠKODA, and Seat were presented as sustainable and environment-friendly, while the test results were not reliable due to the installed software.’

Cateautje Hijmans van den Bergh, Member of the Board of ACM, explains: ‘We have established that Volkswagen has misled Dutch consumers about the emission of harmful pollutants. Therefore, ACM has imposed a fine on Volkswagen. This will send a clear signal. Consumers are entitled to receiving reliable information.’

The move could lead to advertising authorities in other countries taking similar action, with the president set, this could lead to further fines being imposed on VW.

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Invité §cud873cx

Tu bugs sérieusement là. Mais t'es pas obligé de nous le montrer.

 

 

 

Ben ton graphique parle de comparaison d euros 6....

 

Donc HS... par rapport aux condamnations de VW

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Lis tout l'article ça ira mieux. Si tu estimes qu'il y a lieu de le partager ailleurs, libre à toi. En attendant, il parle des condamnations que risque VW.

 

Merci de partager, donc, car en effet, le dieselgate est devenu bien plus que le scandale VW.

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Invité §Lau620QA

. Il y a un topic. Pour cela. Surtout qu encore u e fois tu parles des euros 6 et pas des euros 5 incriminé..... c est dur de comprendre deux ans après.

 

 

Gazton3 continue plus de 2 ans après le scandale de tout mélanger.

 

Je crois qu'il n'a toujours pas compris pourquoi il y avait un scandale VW et pourquoi ils se sont pris des amendes énormes et des condamnations partout, même en Europe boonize.gif.1fc5290a90d24491707a37a885865ad1.gif

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Invité §Lau620QA

Pour être plus complet:

 

https://www.autovistagroup.com [...] volkswagen

 

 

Meanwhile, the Dutch markets watchdog has fined the German vehicle maker €450,000 for misleading consumers how bought its diesel cars between 2009 and 2015.

The Authority for Consumer & Markets (ACM) said it had levied the maximum fine it could on VW for its use of ‘defeat devices,’ illegal software that made its cars emit less pollution during testing than they did on the road.

The ACM said on Tuesday that Volkswagen had misleadingly advertised the diesel cars as ‘environmentally friendly’ from 2009-2015. In a statement it concluded: ‘ACM has established that, in the period of 2009 to 2015, Volkswagen misled consumers about the most important features of its product. As a result, consumers may have made a different decision than if they had received the correct information. Diesel cars with type EA 189 engines of the brands Volkswagen, Audi, ŠKODA, and Seat were presented as sustainable and environment-friendly, while the test results were not reliable due to the installed software.’

Cateautje Hijmans van den Bergh, Member of the Board of ACM, explains: ‘We have established that Volkswagen has misled Dutch consumers about the emission of harmful pollutants. Therefore, ACM has imposed a fine on Volkswagen. This will send a clear signal. Consumers are entitled to receiving reliable information.’

The move could lead to advertising authorities in other countries taking similar action, with the president set, this could lead to further fines being imposed on VW.

 

 

 

une bien bonne nouvelle donc !

 

Gazton3 et Ric VW ne nous ont jamais crus quand on disait - en connaissance de cause - que les multiples triches de Volkswagen et Audi pouvaient être condamnés en Europe.

 

Le logiciel de triche Volkswagen est donc officiellement illégal en Europe, comme on le disait. Même leur revirements opportunistes de la protection moteur n'était qu'un mensonge de plus. Puis leur publicité mensongère les enfoncent. :jap:

 

 

http://www.reputatiolab.com/wp-content/uploads/2015/07/vw-dark-side-climate-lobby.jpg

 

http://econews.com.au/wp-content/uploads/2012/09/greenpeace-VW-protest-Golf.jpg

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Invité §Lau620QA

Lis tout l'article ça ira mieux. Si tu estimes qu'il y a lieu de le partager ailleurs, libre à toi. En attendant, il parle des condamnations que risque VW.

 

Merci de partager, donc, car en effet, le dieselgate est devenu bien plus que le scandale VW.

 

 

Au niveau des condamnations de dieselgate, ça concerne à 99% VW :lol:

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une bien bonne nouvelle donc !

 

Gazton3 et Ric VW ne nous ont jamais crus quand on disait - en connaissance de cause - que les multiples triches de Volkswagen et Audi pouvaient être condamnés en Europe.

 

Le logiciel de triche Volkswagen est donc officiellement illégal en Europe, comme on le disait. Même leur revirements opportunistes de la protection moteur n'était qu'un mensonge de plus. Puis leur publicité mensongère les enfoncent. :jap:

 

 

http://www.reputatiolab.com/wp [...] -lobby.jpg

 

http://econews.com.au/wp-conte [...] t-Golf.jpg

 

Naïf. :lol:

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https://www.challenges.fr/auto [...] eur_517605

 

Dieselgate: un cadre de Volkswagen inculpé affirme avoir "été manipulé" par son employeur

 

"Je dois dire que j'ai le sentiment d'avoir été manipulé par ma propre entreprise dans le scandale diesel ou 'dieselgate'", a écrit Oliver Schmidt, un cadre de Volkswagen ayant plaidé coupable aux Etats-Unis, au juge Sean Cox dans cette lettre enregistrée auprès d'un tribunal fédéral américain.

 

Oliver Schmidt, un cadre de Volkswagen ayant plaidé coupable en août aux Etats-Unis dans le cadre du scandale des moteurs diesel, a écrit au juge américain qui devrait annoncer sa peine mercredi éprouver le sentiment d'avoir été "manipulé" par le constructeur allemand.

 

"Je dois dire que j'ai le sentiment d'avoir été manipulé par ma propre entreprise dans le scandale diesel ou 'dieselgate'", écrit Oliver Schmidt au juge Sean Cox dans cette lettre enregistrée auprès d'un tribunal fédéral américain.

 

Cette lettre a été mentionnée dans un premier temps par le journal allemand Bild am Sonntag.

 

Un porte-parole de Volkswagen a refusé de s'exprimer sur le sujet en invoquant la procédure en cours. Ce scandale a déjà coûté 30 milliards de dollars (25,2 milliards d'euros) au constructeur allemand, qui a reconnu en septembre 2015 avoir installé des logiciels de manipulation des émissions polluantes sur ses moteurs diesel.

 

Jusqu'à 400.000 dollars d'amende

 

Dans le cadre de sa procédure de plaider coupable, Oliver Schmidt risque sept ans de prison et une amende de 40.000 à 400.000 dollars après avoir reconnu sa participation à un complot destiné à tromper les autorités américaines et à enfreindre la législation environnementale sur la qualité de l'air aux Etats-Unis.

 

Ce cadre était à la tête des services d'ingénierie environnementale de VW à Auburn Hills, dans le Michigan, jusqu'en février 2015. A ce titre, il supervisait les questions relatives à la pollution.

 

Dans la lettre qu'il a adressée au juge, Oliver Schmidt dit avoir accepté de réciter un discours, ou des éléments de langage, convenu avec la direction de Volkswagen et un avocat de haut rang lors de sa rencontre avec Alberto Ayala, un responsable des services de la protection de l'air en Californie.

 

Avec le recul, je n'aurais jamais dû accepter de rencontrer le docteur Ayala ce jour-là", écrit-il. "Ou mieux encore, j'aurais dû me rendre à cet entretien et ignorer les instructions qui m'avaient été données et dire au docteur Ayala qu'il y avait un appareil de manipulation dans les véhicules à moteur diesel de VW et que VW trichait depuis plus d'une décennie. Je ne l'ai pas fait et c'est pourquoi je me retrouve là aujourd'hui."

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https://www.challenges.fr/auto [...] eur_517605

 

Dieselgate: un cadre de Volkswagen inculpé affirme avoir "été manipulé" par son employeur

 

"Je dois dire que j'ai le sentiment d'avoir été manipulé par ma propre entreprise dans le scandale diesel ou 'dieselgate'", a écrit Oliver Schmidt, un cadre de Volkswagen ayant plaidé coupable aux Etats-Unis, au juge Sean Cox dans cette lettre enregistrée auprès d'un tribunal fédéral américain.

 

Oliver Schmidt, un cadre de Volkswagen ayant plaidé coupable en août aux Etats-Unis dans le cadre du scandale des moteurs diesel, a écrit au juge américain qui devrait annoncer sa peine mercredi éprouver le sentiment d'avoir été "manipulé" par le constructeur allemand.

 

"Je dois dire que j'ai le sentiment d'avoir été manipulé par ma propre entreprise dans le scandale diesel ou 'dieselgate'", écrit Oliver Schmidt au juge Sean Cox dans cette lettre enregistrée auprès d'un tribunal fédéral américain.

 

Cette lettre a été mentionnée dans un premier temps par le journal allemand Bild am Sonntag.

 

Un porte-parole de Volkswagen a refusé de s'exprimer sur le sujet en invoquant la procédure en cours. Ce scandale a déjà coûté 30 milliards de dollars (25,2 milliards d'euros) au constructeur allemand, qui a reconnu en septembre 2015 avoir installé des logiciels de manipulation des émissions polluantes sur ses moteurs diesel.

 

Jusqu'à 400.000 dollars d'amende

 

Dans le cadre de sa procédure de plaider coupable, Oliver Schmidt risque sept ans de prison et une amende de 40.000 à 400.000 dollars après avoir reconnu sa participation à un complot destiné à tromper les autorités américaines et à enfreindre la législation environnementale sur la qualité de l'air aux Etats-Unis.

 

Ce cadre était à la tête des services d'ingénierie environnementale de VW à Auburn Hills, dans le Michigan, jusqu'en février 2015. A ce titre, il supervisait les questions relatives à la pollution.

 

Dans la lettre qu'il a adressée au juge, Oliver Schmidt dit avoir accepté de réciter un discours, ou des éléments de langage, convenu avec la direction de Volkswagen et un avocat de haut rang lors de sa rencontre avec Alberto Ayala, un responsable des services de la protection de l'air en Californie.

 

Avec le recul, je n'aurais jamais dû accepter de rencontrer le docteur Ayala ce jour-là", écrit-il. "Ou mieux encore, j'aurais dû me rendre à cet entretien et ignorer les instructions qui m'avaient été données et dire au docteur Ayala qu'il y avait un appareil de manipulation dans les véhicules à moteur diesel de VW et que VW trichait depuis plus d'une décennie. Je ne l'ai pas fait et c'est pourquoi je me retrouve là aujourd'hui."

 

 

C'est clair que lui il doit l'avoir mauvaise...en + ses conditions de détention sont plutôt merdique apparemment...

Il aurait mieux fait de rester en Europe pour ses vacances...

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Invité §luc268By

 

C'est clair que lui il doit l'avoir mauvaise...en + ses conditions de détention sont plutôt merdique apparemment...

Il aurait mieux fait de rester en Europe pour ses vacances...

 

 

Ou de ne jamais travailler pour ce groupe...

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Invité §luc268By

Le groupe certainement

 

 

 

L'enfantement s'est fait dans la douleur...

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Invité §Lau620QA

En tout cas, l'image de Volkswagen est plus qu'écornée ! En France, c'est la seule marque du top 12 à descendre ...

 

NOVEMBRE 2017 :

 

FRANCE ( marché +10,4% )

Volkswagen -4,1% ( -3,4% sur 11 mois 2017 )

 

ALLEMAGNE ( marché +9,4% )

Volkswagen +8,2% ( -4,2% sur 11 mois 2017 )

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Invité §Lau620QA

Ca fait 2 ans que Volkswagen descend en pdm en Allemagne, y a sûrement une autre raison. Mais laquelle ? alfa131.gif.7029144fa5c58fd6d8be5f0ef36fb599.gif

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Invité §cud873cx

Ca fait 2 ans que Volkswagen descend en pdm en Allemagne, y a sûrement une autre raison. Mais laquelle ? alfa131.gif.7029144fa5c58fd6d8be5f0ef36fb599.gif

 

Beaucoup de modèles en fin de vie. Rien de nouveau c est connu

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En tout cas, l'image de Volkswagen est plus qu'écornée ! En France, c'est la seule marque du top 12 à descendre ...

 

NOVEMBRE 2017 :

 

FRANCE ( marché +10,4% )

Volkswagen -4,1% ( -3,4% sur 11 mois 2017 )

 

ALLEMAGNE ( marché +9,4% )

Volkswagen +8,2% ( -4,2% sur 11 mois 2017 )

 

Et les autres marques du groupe tricheur ? Et Quid du global sur l'année ?

 

Dans 10 ans tu ne diras encore que chaque fois que tu verra une baisse en pourcentage que c'est à cause du dieselgate. Parce que depuis 24 mois on a vu des plus et des moins, l'image est écornée en fonction des mois de l'année maintenant?

 

Souviens toi qu'en 2016, 1ere année pleine post dieselgate, AVG s'est retrouvé 1er constructeur mondial, à ta plus grande surprise puisque tu disais que ça n'arriverait jamais. On commence à annoncer que VAG pourrait battre son record de 2016... C'est vachement écorné comme image.

 

Ce qui semble clair c'est que le diesel a pris un coup dans l'aile et ça, ca se voit dans toutes les marques et sur tous les marchés.

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