Aller au contenu
Logo Caradisiac      

Téléchargez nos application

Disponible sur App Store Disponible sur Google play
Publi info
Actualité

Tricherie sur les polluants - Informations et répercussions


nightsurf
 Partager

Messages recommandés

http://tempsreel.nouvelobs.com [...] iesel.html

 

[h1]"Nicolas Hulot a oublié le diesel"[/h1]

[h2]Charlotte Lepitre, coordinatrice de l'association France nature environnement, revient sur un dossier qui semble embarrasser le gouvernement.[/h2]

 

Charlotte Lepitre est coordinatrice du réseau santé et environnement chez France nature environnement (FNE), partie civile dans le dossier du "Dieselgate" français. Elle est membre de la commission Royal, qui a examiné les émissions réelles des moteurs et qui a été mise en sommeil depuis que le gouvernement a changé. Elle s'inquiète de l'inertie de l'équipe Macron sur ce dossier du diesel, alors que vont s'ouvrir les Assises de la mobilité le 19 septembre, pour remettre à plat les transports en France.

Deux ans après le début du scandale du diesel, révélé par des tests sur des voitures Volkswagenéquipées de logiciels truqueurs aux Etats-Unis, les constructeurs français se retrouvent également éclaboussés. Où en est-on aujourd'hui dans le "Dieselgate" version française ?

Il y a différents niveaux, selon les pays. En France, nous pouvons lancer des études, des recours ou des perquisitions uniquement vers les constructeurs français ; associations écologiques ou de consommateurs peuvent se porter partie civile dans les actions intentées envers ces constructeurs.

La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) a rendu deux dossiers à la justice : le premier, concernant Renault, devant le parquet de Paris, et le nouveau, concernant PSA, devant le parquet de Versailles. Il y aura donc deux instructions parallèles sur les deux constructeurs, pour juger leurs pratiques.

Le seul moyen pour tous les acteurs de l'affaire d'être informés et de savoir ce qu'il y a dans les dossiers est de se porter partie civile. Peu d'associations ont fait cette première démarche. C'est ensuite au juge d'instruction d'accepter, ou pas, que l'association devienne réellement partie civile, en fonction de ses intérêts sur le dossier. Dans le cas de Renault, la justice a accepté que l'UFC-Que choisir figure dans les parties civiles, et elle est en train d'homologuer aussi la présence de mon association, France nature environnement.

Cela nous donnera accès aux rapports écrits par la DGCCRF, qui constituent la base des poursuites judiciaires. Ces informations sont sensibles et confidentielles et ne devraient pas fuiter. La procédure va ensuite prendre des années avant d'aboutir.

Que risquent les constructeurs ?

La DGCCRF demande une amende portant sur 10% du chiffre d'affaires réalisé par PSA et Renault avec les voitures litigieuses, si la justice reconnaît la tromperie du consommateur, parce que les moteurs polluaient plus qu'ils ne le devaient.

Cette saisie de la justice est donc le résultat des enquêtes faites dans la cadre de la commission d'enquête sur les moteurs diesel, dite "commission Royal" dont vous étiez membre, à côté d'autres associations de conducteurs, de consommateurs, d'écologistes, de fonctionnaires, d'experts et de députés. Où en sont aujourd'hui les travaux de cette commission ?

Notre dernière réunion a eu lieu le 25 avril dernier. Nous nous sommes quittés en nous disant "à la prochaine fois", mais il n'y a plus eu de réunion depuis. Le changement de gouvernement, avec le remplacement de Ségolène Royal par Nicolas Hulot, a changé la donne. Nous ne savons rien, nous n'avons été informés de rien.

Le nouveau ministre de l'Ecologie a, c'est vrai, de nombreux dossiers à traiter et ils sont lourds : les Etats généraux de l'alimentation, les Assises de la mobilité, les questions de climat, les insecticides, Europa City... Du coup, le diesel est oublié. Cette commission a pourtant été très utile : elle a permis de nous mettre en rapport avec les constructeurs ou l'Utac, l'organisme qui homologue les voitures en France. Elle a aussi permis de tester les émissions réelles de tous les véhicules diesel, et surtout de créer un dialogue direct, transparent et libre entre tous les acteurs concernés. C'était d'une richesse incroyable.

On a été le seul pays en Europe à agir ainsi. Il ne faudrait pas revenir en arrière, d'autant qu'il reste encore beaucoup de travail à faire. D'abord, nous n'avons pas encore testé les moteurs à essence, ni les poids lourds, qui pourraient avoir aussi des logiciels truqueurs sur leurs moteurs. Puis il faut assurer le suivi. Renault s'était engagé devant la commission à faire des rappels sur ses véhicules, afin de les mettre en conformité avec les règles avant la fin juin. Cela concerne des modèles Captur et Kadjar, ainsi que tous ses véhicules devant respecter les nouvelles normes Euro 6 : Renault devait revoir leur logiciel, afin de réduire leurs émissions de gaz polluants Nox de 50%. Ils s'y étaient engagés devant nous et le gouvernement. Mais à notre connaissance, rien ne s'est passé.

Parallèlement à ces réunions, la DGCCRF, alertée par les résultats des émissions, a lancé des enquêtes chez les constructeurs, perquisitionnant les bureaux de Renault et PSA. Les résultats ont été cruels : un dossier sur Renault transmis à la justice en début d'année, puis un autre sur PSA ce mois de septembre. Tous deux sont accusés d'avoir trompé les consommateurs. Vous vous réjouissez de ces résultats ?

Le travail de la DGCCRF est respectable : ils ont fait les bonnes analyses, en posant les bonnes questions. PSA a été accusé de tromperie aggravée, parce que ses véhicules ont un comportement différent en laboratoire et à l'extérieur. Deux de ses voitures, la Citroën C4 Picasso et la 5008, ont de très mauvais résultats, déroutants. Renault n'avait pas la même stratégie technique : tous ses véhicules ont eu de mauvais résultats, grands ou petits, bon marché ou pas, ce qui est incompréhensible. La DGCCRF a donc mis les deux constructeurs dans le même panier, et réclame la même amende pour les deux.

Que peut faire le gouvernement, muet sur le sujet, pour améliorer la situation ?

Nous demandons d'abord la transparence des résultats sur les nouveaux tests d'homologation européens, en place depuis le 1er juillet pour les nouveaux véhicules. Ils sont testés en conditions réelles et non plus en laboratoire. Les tests réels, c'est bien, mais ensuite, que se passe-t-il ? A cause du lobbying des constructeurs, et de l'appui des gouvernements, l'Europe a accepté que le plafond maximal d'émission des gaz Nox, nuisibles pour la santé, soit fixé à 1,5 fois, voire 2,1 fois, la norme maximale légale... Pourquoi cette tolérance ? Aucune date n'est fixée pour baisser ces seuils. Il faut donc être plus ambitieux et fixer une date butoir.

Au niveau français, il faut vérifier que Renault fait bien ses rappels de véhicules et rectifie leur logiciel. C'est le plus important maintenant, car on sait que la justice n'ira pas vite. Il faudra peut-être attendre cinq ans avant que Renault et PSA soient sanctionnés.

Le gouvernement, les préfets et les mairies peuvent aussi agir ensemble pour revoir nos conditions de circulation. Il faut sortir du dogme "une voiture, une personne", c'est ce qui encombre les routes. Les villes ont des compétences sur ces dossiers, elles peuvent agir, comme tente de le faire Paris. Lyon ou Grenoble sont aussi des villes qui peuvent avancer.

Nous sommes également très attentifs au plan climat de Nicolas Hulot, qui annonce la fin des moteurs diesel et essence pour 2040. Mais peut-être peut-on aller plus vite ? Un pays comme l'Allemagne a poussé l'utilisation du gaz naturel, disponible dans de nombreuses stations-service. Il y a des alternatives aux moteurs polluants.

Carlos Tavarès, le PDG de PSA, a pourtant soulevé cette semaine au Salon de Francfort des objections sur les moteurs électriques : il n'est pas certain que l'écosystème électrique – avec la provenance d'électricité parfois douteuse, la production de batteries et leur recyclage, les minerais rares qui seront nécessaires pour les fabriquer – sera réellement plus propre que le système actuel...

L'électrique ne peut pas actuellement satisfaire tous les citoyens, nous sommes d'accord, mais d'ici 2040, nous avons le temps de manœuvrer, de faire de la recherche, d'améliorer le recyclage des batteries... Il peut y avoir des questions qui se posent, mais pour la qualité de l'air que nous respirons tous, passer à l'électrique sera indéniablement un progrès immense. Déjà, interdire le diesel serait formidable : à Tokyo, où ce moteur a disparu, les émissions de particules fines ont baissé de 50% en cinq ans. Donc l'électrique n'est pas parfait, mais c'est la bonne démarche.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §cud873cx

parce que ses véhicules ont un comportement différent en laboratoire et à l'extérieur

 

 

Sérieux elle a un doctorat pour comprendre cela ?

 

Elle travaille pour une ong qui dénonce cela depuis des années.

 

 

On a l impression que les médecins et ong on gueulé dans le vide pendant des années alors que même sur FA ca se dit depuis tellement longtemps.

 

Après c est vrai que ces ongs and co doivent dorénavant avoir une meilleure écoute mais a ce point la .

 

 

 

Par contre a l heure actuelle Tavares a raison l électrique c est inconcevable sauf pour 4 a 5 pourcent e la population. L hybride plug -in c est pas mal si c est réellement utilisé comme cela doit l etre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.ecodafrik.com/diese [...] tricherie/

 

 

Diesel: Pourquoi Renault et PSA sont soupçonnés de tricherie

 

Diesel: Pourquoi Renault et PSA sont soupçonnés de tricherie

PSA est accusé de fraude par la DGCCRF sur les émissions des moteurs diesel. Gilles Le Borgne, directeur de la R&D de PSA, s’insurge contre toute accusation de tricherie. Renault est également sur la sellette. La législation européenne est en fait… assez floue!

Le “Dieselgate”, c’est reparti? Après Renault, PSA est désormais dans le viseur de la DGCCRF. Selon le procès-verbal d’infraction de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes auquel Le Monde a eu accès, les services de répression des fraudes soupçonnent la firme automobile dirigée par Carlos Tavares (depuis 2014) d’une “stratégie frauduleuse” .

Les enquêteurs évoquent en effet une “stratégie globale visant à fabriquer des moteurs frauduleux, puis à les commercialiser”, selon le journal qui cite un rapport de la DGCCRF. Quelque 1,9 million de véhicules diesel aux normes Euro 5 (norme en vigueur jusqu’en 2015) sont potentiellement concernés. Cinq milliards d’euros, c’est le montant de l’amende qui menace PSA, selon le quotidien.

PSA s’est immédiatement indigné, affirmant que “ses véhicules n’ont jamais été équipés de logiciel ou de dispositif permettant de détecter un test de conformité et d’activer un dispositif de traitement des polluants qui serait inactif en usage client”. Le groupe indique qu’il “n’a pas été contacté par la justice”. Il “s’indigne de la transmission d’informations à des tiers sans qu’il ait eu de son côté accès au dossier transmis par la DGCCRF au parquet”, ce qui “lui interdit jusqu’à présent de faire valoir ses arguments”, explique à Challenges Gilles Le Borgne, directeur de la recherche-développement de PSA. PSA a d’ailleurs décidé de déposer une plainte auprès du procureur de la République pour violation du secret de l’instruction.

Le Monde ajoute que PSA est cité comme personne morale en la personne de son représentant légal, Carlos Tavares, actuel président du directoire, tandis que le rapport met en cause trois anciens dirigeants, Jean-Martin Folz, Christian Streiff et Philippe Varin, comme responsables présumés en tant que personnes physiques.

Une instruction avait été ouverte en avril dernier pour “tromperie”. Après Volkswagen, Renault et Fiat Chrysler Automobiles, le groupe tricolore est soupçonné, comme ses concurrents, d’avoir manipulé ses moteurs diesel afin qu’ils émettent moins d’oxyde d’azote (NOx), un polluant très dangereux pour la santé, lors des tests d’homologation, mais davantage en conduite réelle.

Incompréhension des services administratifs

Tout en fait est parti du “Dieselgate” Volkswagen, qui a éclaté il y a presque deux ans jour pour jour. Depuis, gouvernements, organismes publics ou para-publics et ONG traquent la pollution des voitures et font d’étranges découvertes. Dans la foulée du scandale Volkswagen, qui avait reconnu avoir équipé onze millions de ses véhicules diesel d’un logiciel destiné à tromper les contrôles anti-pollution, le ministère français de l’Ecologie dirigé alors par Ségolène Royal avait mis en place une commission d’experts indépendants pour tester une centaine de véhicules. Or, les travaux de la Commission Royal, publiés en juillet 2016, ont révélé des dépassements des seuils de polluants chez certains constructeurs

“Nous avons des écarts très progressifs de réglages entre le moteur à froid et le moteur à chaud. Nous en avons expliqué les raisons aux instances techniques de la Commission Royal qui ont accepté complètement nos arguments”, souligne Gilles Le Borgne. Mais, “apparemment, les responsables administratifs, eux, ne les ont pas compris”, indique le dirigeant. “Nous sommes complètement cohérents par rapport à la législation en vigueur, nous restons donc totalement sereins”. PSA est d’autant plus furieux que le constructeur a toujours été en pointe dans l’anti-pollution, étant le premier à avoir installé des filtres à particules – devenus obligatoires depuis – et à avoir introduit des systèmes de dépollution ultra-sophistiqués sur ses diesels.

Renault aussi mis en cause

En mars dernier, Renault avait été également mis en cause. Des éléments de procès verbal de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), avaient été publiés par Libération. La DGCCRF estimait que Renault “a trompé les consommateurs sur les contrôles effectués et notamment le contrôle réglementaire de l’homologation sur les émissions de polluants”. Le constructeur au losange “a utilisé une stratégie ayant pour objectif de fausser les résultats de tests antipollution”, soulignait même la Direction dans son rapport, rédigé dès le mois de novembre 2016. Et le gendarme de Bercy n’hésitait pas à incriminer “l’ensemble de la chaîne de direction de la société, qui rend compte en dernier ressort à son PDG Carlos Ghosn”. La DGCCRF en concluait à “la responsabilité” du grand patron lui-même.

“Nous sommes choqués et furieux”, avait aussitôt fulminé dans Challenges Thierry Bolloré, directeur général délégué à la compétitivité de Renault. “Tout cela est faux, il n’y a ni tricherie ni tromperie”, insistait le bras droit de Carlos Ghosn, qui ajoutait: “on n’a rien à se reprocher et rien à voir avec un certain constructeur (NDLR: Volkswagen et son scandale des logiciels truqueurs)”. Dans le cas de Volkswagen, il y a bien eu fraude eu egard… à la législation américaine. Pour ce qui concerne l’Europe, c’est beaucoup plus compliqué. Car la législation du Vieux continent sur les homologations est plus ambigüe et les constructeurs, surtout Renault, ont joué sur ce flou juridique!

Le législateur a prévu en effet une clause d’exemption dans le règlement communautaire 715/2007. Ce texte interdit bel et bien “l’utilisation de dispositifs d’invalidation, qui réduisent l’efficacité des systèmes de contrôle des émissions”. Oui, mais voilà. Le même texte prévoit que “cette interdiction ne s’applique pas lorsque le besoin du dispositif se justifie en termes de protection du moteur”. En clair, un constructeur peut prendre des dispositions techniques pour éviter la casse du moteur. Il a donc le droit de “fausser” les contrôles s’il prouve que ceux-ci peuvent détériorer les mécaniques! C’est flagrant dans le cas de Renault. Le groupe au losange empêche quasiment la dépollution de fonctionner en-dessous de 17 degrés (sous le capot). Or, en Europe occidentale et en particulier en France, on est rarement à cette température, et ce, durant une partie de l’automne comme du printemps et bien sûr en hiver. Fâcheux. Mais Renault affirme qu’il n’a pas introduit de logiciel spécifiquement truqueur comme Volkswagen.

L’antipollution augmente les rejets de CO2!

Autre problème: l’optimisation du réglage du moteur diesel pour le démarrage à froid. Là aussi, la plupart des constructeurs dont Renault se contentent du minimum syndical et font observer que le moteur n’est jamais démarré à chaud durant… le cycle normalisé des tests d’homologation. Une aberration car le diesel pollue énormément à froid. Mais Renault se conforme là aussi aux définitions des cycles d’homologation, très lacunaires. Heureusement, des nouveaux cycles plus contraignants sont en train d’être mis en place à l’échelle européenne ce mois-ci! Mais les véhicules incriminés par la DGCCRF sont plus anciens.

La plupart des constructeurs soignent logiquement les émissions durant ce cycle, quitte à les sacrifier en-dehors. Les constructeurs ne le font pas par plaisir de tricher. Mais parce que la dépollution coûte très, très cher, et qu’elle dégrade fortement l’agrément de conduite ainsi que… les rejets de CO2, un gaz à effet de serre qui n’a rien à voir avec les polluants locaux comme le NOx. Or, il est impossible d’augmenter les rejets de CO2. Il faut au contraire les abaisser dans le cadre de la lutte mondiale contre le réchauffement climatique. En règle générale, plus on diminue les NOx, plus on risque d’accroître les émissions de CO2 et réciproquement. Eh oui! Au-delà des faciles polémiques politico-médiatiques, la dépollution pose des problèmes complexes et contradictoires aux motoristes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §cud873cx

Tout argument semble bon à prendre pour sauver le soldat diesel. Y compris de mettre en avant l’écologie pour tenter sauver ce carburant pourtant peu réputé pour ses influences positives sur la santé. La bataille entre NOx (oxydes d’azote) et CO2 ne fait que commencer, mêlant et opposant impacts sur la santé humaine et santé de la planète …. voire même santé financière des constructeurs automobiles ? ….

 

Des industriels du secteur automobile européen ont prévenu mercredi que la baisse des ventes de véhicules diesel allait compromettre les chances d’atteindre les objectifs d’émissions moyennes de CO2 à l’horizon 2021.

 

En marge du salon de Francfort, le président de l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA), Dieter Zetsche (par ailleurs patron de Daimler), a ainsi affirmé que « la dernière génération de véhicules diesel » était « cruciale » dans les « efforts continuels » menés en vue de « réduire les émissions de carbone du transport routier ».

 

Alors que le dieselgate pénalise le marché diesel, ce dernier devrait être à nouveau freiné par la mise en place de nouvelles normes d’homologation plus contraignantes récemment entrées en vigueur qui vont accroître les montants des sommes investies par les constructeurs pour lutter contre les émissions nocives des moteurs diesel, en particulier les oxydes d’azote (NOx).

 

Or, qui dit moins de diesel, dit plus d’essence, la part des véhicules électriques au sein du marché automobile ne représentant encore à l’heure actuelle qu’un faible pourcentage. Et qui dit plus d’essence dit plus de CO2, les voitures diesel émettant moins de CO2 que les modèles essence correspondants.

 

Au final, selon le raisonnement mis en avant par Dieter Zetsche, une baisse de part de marché du diesel fait donc augmenter les émissions de CO2 produites en moyenne. Oubliant au passage que via les émissions d’azote notamment, le diesel a des impacts sur la santé humaine plus importants que ceux engendrés par l’essence.

 

Le diesel plus apte à lutter contre le CO2

 

Si nombre de constructeurs mettent désormais sur le marché de nouveaux modèles électriques, ce type de véhicules ne représente toutefois qu’à peine 1% des ventes en Europe.

 

Une situation qui conduit Dieter Zetsche à affirmer que « tant que la part de marché des véhicules électriques n’augmentera pas rapidement, le diesel restera le moyen le plus efficace » d’atteindre les objectifs de CO2, soit 95 grammes par kilomètre au début de 2021.

 

Des objectifs de CO2 inatteignables ?

 

Selon Roberto Vavassori, président de l’association européenne des équipementiers automobiles, ces objectifs ne sont pas réalisables en l’état.

 

« Il est à peu près certain que « nous n’atteindrons pas les 95 grammes requis », a-t-il ainsi mis en garde lors d’une conférence de presse à Francfort.

 

Considérant que le marché ne va pas dans ce sens pour l’instant, il a par ailleurs appelé les régulateurs à la « neutralité technologique », leur reprochant à demi-mots de vouloir privilégier à tout prix l’électrique.

 

« Nous rejetons avec force toute idée d’imposer des quotas obligatoires d’un type particulier de véhicule parce que nous ne pouvons pas contrôler » le comportement des consommateurs, a-t-il ajouté.

 

Un raisonnement biaisé par l’omission des effets du NOx

 

Reste tout de même que le raisonnement de Dieter Zetsche omet une chose et non des moindres … rendant ses propos quelque peu subjectifs voire biaisés. Rappelons en effet que les moteurs diesel produisent 4 a 8 fois plus de NOx que les moteurs à essence, lesquels peuvent de surcroît en traiter une plus grande partie. Les émissions de NOx en sortie échappement sont donc supérieur sur les moteurs diesel.

 

Or, les oxydes d’azote peuvent provoquer différents problèmes comme le smog, les pluies acides, la formation d’ozone à basse altitude et donc des problèmes respiratoires, notamment chez les personnes fragiles (enfants, personnes âgées ou asthmatiques).

 

Certes, de nombreux gouvernements ayant promulgué des lois afin de réduire ces émissions, les constructeurs ont été forcés de développer des systèmes permettant de détecter et réduire les émissions de NOx tels que la recirculation des gaz d’échappement (EGR), les pièges à NOx (NOx trap) ou le SCR (Selective Catalytic Reduction : injection d’un agent réducteur).

 

NOx ou CO2, il faut choisir

 

Au coeur du scandale Volkswagen, les NOx peuvent donc être considérés au final comme des gaz d’échappement nocifs pour la santé, tandis que le dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre, contribue au réchauffement planétaire. L’atteinte des objectifs de CO2 va-t-il prévaloir sur l’état de santé des habitants de la planète ? L’avenir nous le dira.

 

Reste que l’émission de gaz polluants au delà de la limite fixée par les normes pourrait conduire aux versements de pénalités, éléments quantifiables sonnants et trébuchants. La priorité pourrait être alors pour les constructeurs de ne pas être redevable de telles amendes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §cud873cx

Des chercheurs ont mis en évidence les conséquences du non respect des normes encadrant les véhicules diesel par les constructeurs. Si les limitations avaient été respectées en 2013, 5 000 décès auraient pu être évités. En cause, les oxydes d'azote.

 

C’était en janvier 2016. Volkswagen, pris en flagrant délit de truquage pour tenter de dissimuler la pollution générée par ses moteurs diesel, engageait le rappel massif des véhicules incriminés. Le scandale a marqué les esprits, et pas seulement parce qu’il a révélé les pratiques peu scrupuleuses de plusieurs constructeurs automobiles. Cette affaire soulève plus largement des interrogations autour des conséquences du « Dieselgate » sur notre santé.

 

De nouveaux travaux de recherche mettent aujourd’hui en évidence les conséquences néfastes, et l’impact réel sur les vies humaines, de la pollution atmosphérique engendrée par les véhicules diesel. Dans un article publié dans la revue Environmental Research Letters par plusieurs chercheurs — notamment des météorologues, et des spécialistes travaillant sur la qualité de l’air –, on apprend en effet que les véhicules diesel ont émis quatre à sept fois plus d’oxydes d’azote (« NOx ») sur la route que ce qu’ils étaient censés émettre lors des procédures d’homologation.

 

LE « DIESELGATE » DIRECTEMENT MIS EN CAUSE

 

« Ces émissions excédentaires sont une conséquence du design, choisi délibérément, du système de post-traitement des véhicules, comme l’ont révélé les investigations lors du scandale du ‘Dieselgate’. Nous calculons ici les impacts sur la santé et sur l’environnement de ces émissions excédentaires de NOx dans tous les pays européens pour l’année 2013 », énonce l’équipe de chercheurs dans cette étude.

 

Ces travaux visent à établir une comparaison entre les émissions qu’auraient dû hypothétiquement émettre les véhicules diesel s’ils avaient respecté les limites imposées par les États, et celles véritablement émises.

 

 

 

« Nous estimons que près de 10 000 décès prématurés provenant des [particules fines] PM2,5 et de l’ozone dans la population adulte (âgée de plus de 30 ans) peuvent être attribués aux émissions de NOx des véhicules diesel et des véhicules utilitaires légers dans l’Union européenne des 28, ainsi que la Norvège et la Suisse, en 2013 », poursuit le document. D’après les chercheurs, 50 % de ces décès auraient pu être évités si les limites imposées avaient été respectées par les constructeurs sur leurs véhicules diesel — soit l’équivalent de 5000 personnes.

 

L’Europe s’avère être particulièrement championne en ce qui concerne la circulation des véhicules diesel sur son territoire : avec plus de 100 millions de véhicules diesel en circulation, le continent en compte deux fois plus que dans le reste du monde.

 

10 000 DÉCÈS PRÉMATURÉS PEUVENT ÊTRE ATTRIBUÉS AUX ÉMISSIONS DE NOX

 

Si la plupart des pays européens ont pu favoriser le diesel pour sa propension à émettre moins de dioxyde de carbone que l’essence, c’était sans compter sur les fameux NOx émis en grande quantité par les véhicules diesel. Lorsqu’elles sont rejetées dans l’air, ces minuscules particules de suie et d’ozone sont alors responsables de maladies cardiaques et pulmonaires, qui peuvent entraîner des décès prématurés.

 

Plusieurs pays du vieux continent cherchent désormais à agir pour en finir avec le diesel et l’essence d’ici plusieurs décennies. En France, le ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot a annoncé que cet objectif serait rempli en 2040 — une proposition dont la faisabilité n’a pas tardé à être remise en question.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://news.autoplus.fr/Volks [...] 20449.html

 

[h1]VW : Greenpeace à l'assaut d'un transport maritime[/h1]

 

1350%7C900%7Cececa4952f2a3f38f86ca071.jpg?r

Volkswagen : action de Greepneace sur un navire de transport de voitures[h2]Greenpeace s'attaque à un navire transportant des Volkswagen pour faire renvoyer les autos en Allemagne.[/h2]

Greenpeace

Des activistes de l'ONG Greenpeace se sont introduits ce jeudi en Angleterre, dans l'estuaire de la Tamise, à bord d'un navire transportant des véhicules Volkswagen à destination du Royaume-Uni. Ils confisquent les clés des autos et apposent sur leurs moteurs des autocollants anti-diesel portant des messages écrits par des clients de la marque mécontents suite au DieselGate.

 

 

 

Ils font de même sur un parking situé non loin de là à Sheerness sur lequel sont garées des Volkswagen en attente de livraison.Les autos renvoyées en Allemagne ?

Les membres de l'organisation brandissent des images d'enfants portant des masques à gaz. Cette initiative a pour cadre la campagne "Ditch Diesel" (abandonnez le diesel). Son objectif est que le transport fasse machine arrière vers l'Allemagne et que Volkswagen mette fin à la vente de diesel d'ici deux ans. L'opération est toujours en cours à l'heure où nous écrivons ces lignes.

 

 

Sources : Greenpeace, Reuters, The Sun

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://affaires.lapresse.ca/ec [...] swagen.php

 

http://www.rcinet.ca/fr/2017/0 [...] ronnement/

 

Publié le 20 septembre 2017 à 16h43 | Mis à jour le 20 septembre 2017 à 16h43

 

L'Ontario perquisitionne les bureaux de Volkswagen

Le ministère ontarien de l'Environnement a indiqué avoir... (PHOTO ARCHIVES REUTERS)

 

Agrandir

 

Le ministère ontarien de l'Environnement a indiqué avoir déposé la semaine dernière une accusation contre Volkswagen, faisant valoir que l'entreprise n'a pas respecté les normes ontariennes d'émission.

 

PHOTO ARCHIVES REUTERS

 

Dan Healing

La Presse Canadienne

 

Le gouvernement de l'Ontario a perquisitionné les bureaux canadiens du constructeur automobile allemand Volkswagen, dans le cadre de son enquête sur le scandale des émissions qui a ébranlé l'entreprise il y a deux ans.

 

Le ministère ontarien de l'Environnement et de l'Action en matière de changement climatique a indiqué mercredi avoir déposé, la semaine dernière, une accusation contre Volkswagen en vertu de la loi de la province sur la protection de l'environnement, faisant valoir que l'entreprise n'a pas respecté les normes ontariennes d'émission. Ces allégations n'ont pas encore été prouvées devant un tribunal.

 

« C'est une bonne nouvelle, finalement. Maintenant, si seulement nous pouvions convaincre Environnement Canada d'agir au nom du pays, ce serait une bonne chose », a estimé Tim Gray, directeur général du groupe Environmental Defense.

 

Selon M. Gray, le gouvernement fédéral a de plus larges pouvoirs que les provinces dans ce domaine et il peut imposer de plus lourdes amendes aux contrevenants. L'argent ainsi obtenu pourrait être utilisé pour des mesures de protection contre la pollution ou l'accélération de la transition vers les véhicules électriques.

 

Son organisation s'est alliée à l'Association canadienne des médecins pour l'environnement pour lancer une poursuite judiciaire contre la ministre de l'Environnement, Catherine McKenna, l'accusant de ne pas faire respecter les lois canadiennes sur la pollution qu'aurait enfreintes Volkswagen.

 

La ministre McKenna avait réagi à l'époque en affirmant que son ministère menait une enquête à ce sujet et agirait au besoin. Le ministère n'a pas immédiatement répondu mercredi à une demande visant à obtenir une mise à jour de cette situation.

 

Le gouvernement ontarien a indiqué que la perquisition s'inscrivait dans le cadre de son enquête en cours.

 

« Hier (mardi), le ministère ontarien de l'Environnement et de l'Action en matière de changement climatique a effectué une perquisition aux installations de l'entreprise à Ajax. En vertu de l'accusation, Volkswagen aurait causé ou permis l'exploitation de véhicules qui ne se conformaient pas aux normes d'émissions établies par la réglementation de l'Ontario », a affirmé le ministre Chris Ballard dans un communiqué.

 

« Si les allégations sont prouvées en cour, les pénalités pour cette infraction seront déterminées à la suite d'une audience de détermination de la peine. »

 

Le ministre Ballard a ajouté que les propriétaires, concessionnaires, gestionnaires de services et techniciens de Volkswagen n'étaient pas visés par l'enquête.

 

Action collective canadienne

 

De son côté, Volkswagen a assuré qu'elle collaborait avec le gouvernement ontarien, ajoutant qu'il ne serait pas approprié pour elle de faire plus de commentaires.

 

Plus tôt cette année, les tribunaux du Québec et de l'Ontario ont approuvé une entente intervenue avec certains membres d'une action collective canadienne qui avaient acheté ou loué des véhicules Volkswagen ou Audi dont les moteurs au diesel étaient concernés par ce scandale.

 

Il y a plus d'un an, Volkswagen a accepté de payer plus de 20 milliards $ pour régler des accusations criminelles et civiles liées à la vente de près de 600 000 automobiles avec des appareils conçus pour tromper les tests américains sur les émissions de gaz polluants.

 

Volkswagen a plaidé coupable aux États-Unis après la découverte d'un logiciel dans certains véhicules au moteur diesel qui faisait en paraître les émissions moins importantes qu'elles ne l'étaient vraiment.

 

En fait, dans des circonstances normales, ces automobiles émettaient 35 fois plus d'oxyde d'azote que la limite légale au Canada. Ces gaz ont des effets néfastes sur la santé humaine et contribuent aux changements climatiques.

 

Environ 105 000 des véhicules truqués ont été vendus au Canada et Volkswagen a mis en place un programme de règlement approuvé par la cour pour racheter les véhicules et dédommager les Canadiens qui les ont achetés ou loués.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Lau620QA

https://news.autoplus.fr/Volks [...] 20449.html

 

[h1]VW : Greenpeace à l'assaut d'un transport maritime[/h1]

 

https://img.autoplus.fr/news/2 [...] a071.jpg?r

Volkswagen : action de Greepneace sur un navire de transport de voitures[h2]Greenpeace s'attaque à un navire transportant des Volkswagen pour faire renvoyer les autos en Allemagne.[/h2]

Greenpeace

Des activistes de l'ONG Greenpeace se sont introduits ce jeudi en Angleterre, dans l'estuaire de la Tamise, à bord d'un navire transportant des véhicules Volkswagen à destination du Royaume-Uni. Ils confisquent les clés des autos et apposent sur leurs moteurs des autocollants anti-diesel portant des messages écrits par des clients de la marque mécontents suite au DieselGate.

 

 

 

Ils font de même sur un parking situé non loin de là à Sheerness sur lequel sont garées des Volkswagen en attente de livraison.Les autos renvoyées en Allemagne ?

Les membres de l'organisation brandissent des images d'enfants portant des masques à gaz. Cette initiative a pour cadre la campagne "Ditch Diesel" (abandonnez le diesel). Son objectif est que le transport fasse machine arrière vers l'Allemagne et que Volkswagen mette fin à la vente de diesel d'ici deux ans. L'opération est toujours en cours à l'heure où nous écrivons ces lignes.

 

 

Sources : Greenpeace, Reuters, The Sun

 

 

Ce n'est que justice ! :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §cud873cx

Il défends les écolos qui sont contre VAG. C'est différent. :bah:

Il s'en contre tamponne de l'écologie, sinon il relouerait en Golf, l'une des voiture les plus efficiente de sa catégorie. :o

Ouais une Golf TDI lol

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Lau620QA

C'est la 1ere fois que tu défends les écolos sur ce topic, tu progresses. ..

 

 

C'est un topic qui parle d'une immense TRICHE industrielle. Je te le mets en couleur, en gras, et souligné pour que tu comprennes bien de quoi on parle depuis 2015 sur ce sujet. :ange:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Lau620QA

Il défends les écolos qui sont contre VAG. C'est différent. :bah:

Il s'en contre tamponne de l'écologie, sinon il relouerait en Golf, l'une des voiture les plus efficiente de sa catégorie. :o

 

 

Rouler écolo en roulant pour des tricheurs contre l'environnement sur des millions de voitures.

 

Ben voyons :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Lau620QA

Généralisée

 

 

Bah oui, généralisée chez Volkswagen, Audi, Seat, Skoda, Porsche, Scania boonize.gif.1fc5290a90d24491707a37a885865ad1.gif

 

Plus le cartel avec Mercedes et BMW ? Plus la triche sur l'essence chez ces marques ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Bah oui, généralisée chez Volkswagen, Audi, Seat, Skoda, Porsche, Scania boonize.gif.1fc5290a90d24491707a37a885865ad1.gif

 

Plus le cartel avec Mercedes et BMW ? Plus la triche sur l'essence chez ces marques ?

Ce n'est qu'une bribe de la liste, malheureusement.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Lau620QA

Ce n'est qu'une bribe de la liste, malheureusement.

 

 

Bah non, on a 100% des tricheurs officiels.

 

Le reste ce n'est que la spéculation de quelques fans VW éconduits :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §cud873cx

Généralisée

 

 

 

C est quand meme fou que depuis 2015 et la créations de plusieurs topics tu n as toujours pas compris.

 

1 LE topic vag prit aux USA et en litige en europe.

 

2 Les tests a l homologations et les constructeurs borderline.....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §cud873cx

Citation :

 

 

Rappel modération.

Il existe 3 sujets autour de la thématique "Volkswagen / Scandale / Rapport Royal"

 

Nous vous remercions par avance de respecter les sujets et leurs thématiques :

Si vous voulez parler du scandale Volkswagen c'est ici : Tricherie de VW sur les polluants - Actualité et répercussions

Si vous voulez parler du cycle d'homologation en général, c'est ici : Cycle d'homologation - théorie, optimisations et réalité

Si vous voulez parler de la commission Royal, c'est ici : Émissions polluantes non conformes Rapport Royal

 

Si nous avons oublié un angle du débat, merci de m'en informer en message privé.

 

WildOne

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Citation :

 

 

Rappel modération.

Il existe 3 sujets autour de la thématique "Volkswagen / Scandale / Rapport Royal"

 

Nous vous remercions par avance de respecter les sujets et leurs thématiques :

Si vous voulez parler du scandale Volkswagen c'est ici : Tricherie de VW sur les polluants - Actualité et répercussions

Si vous voulez parler du cycle d'homologation en général, c'est ici : Cycle d'homologation - théorie, optimisations et réalité

Si vous voulez parler de la commission Royal, c'est ici : Émissions polluantes non conformes Rapport Royal

 

Si nous avons oublié un angle du débat, merci de m'en informer en message privé.

 

WildOne

 

Attention tu vas te faire tirer les oreilles par certains qui n'aiment pas qu'on leur rappelle les règles...ils vont t'accuser de vouloir jouer les modérateurs ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

[h1 id=]http://www.7sur7.be/7s7/fr/153 [...] hats.dhtml[/h1][h1]11.000 propriétaires d'une VW participent à l'action de Test-Achats[/h1]Par: rédaction

22/09/17 - 15h48 Source: Belga © afp.

Quelque 11.000 propriétaires d'un véhicule Volkswagen se sont joints aux procédures en justice initiées par Test-Achats dans le cadre du dieselgate, a-t-on appris auprès de l'organisation de consommateurs, deux ans après le déclenchement du scandale. Des plaidoiries sur la recevabilité devraient avoir lieu fin octobre.

Alors qu'aux Etats-Unis, les consommateurs américains ont pu compter sur une indemnisation pouvant atteindre 10.000 dollars, rien de tel n'a été accordé aux consommateurs européens. Inacceptable aux yeux de Test-Achats, qui a lancé, le 15 juin 2016, une action collective contre le groupe VW et D'Ieteren, l'importateur en Belgique des véhicules du groupe automobile allemand. "Cette procédure ne s'applique qu'aux véhicules achetés à partir du 1er septembre 2014. Comme l'intention de l'organisation était de défendre toutes les personnes dupées par VW, y compris celles disposant d'un véhicule acheté avant cette date, elle a décidé de les défendre de manière individuelle devant le tribunal", rappelle Test-Achats.

 

Sur les 11.000 personnes qui se sont manifestées auprès de Test-Achats, un tiers est concerné par l'action collective, le restant par une procédure individuelle.

 

Du retard dans la procédure

Test-Achats précise par ailleurs que du retard a été pris dans le procédure. La question de la recevabilité aurait normalement dû être plaidée le 31 janvier mais la date des plaidoiries sur la recevabilité est désormais fixée aux 30 et 31 octobre 2017. "Au mois d'octobre 2016, la procédure individuelle contre le groupe VW a également été introduite. La date de plaidoiries n'a été fixée qu'au 3 juin 2019. Le chemin judiciaire est long. Mais le jeu en vaut la chandelle: l'indemnisation de tous les consommateurs dupés par les pratiques du groupe VW", indique encore l'association de défense des droits des consommateurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Citation :

 

 

Rappel modération.

Il existe 3 sujets autour de la thématique "Volkswagen / Scandale / Rapport Royal"

 

Nous vous remercions par avance de respecter les sujets et leurs thématiques :

Si vous voulez parler du scandale Volkswagen c'est ici : Tricherie de VW sur les polluants - Actualité et répercussions

Si vous voulez parler du cycle d'homologation en général, c'est ici : Cycle d'homologation - théorie, optimisations et réalité

Si vous voulez parler de la commission Royal, c'est ici : Émissions polluantes non conformes Rapport Royal

 

Si nous avons oublié un angle du débat, merci de m'en informer en message privé.

 

WildOne

 

Il est note a qui tu dois t'adresser, tu n'es pas modo

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://paperjam.lu/news/diesel [...] la-justice

 

 

[h1]Dieselgate: l’ULC saisit à son tour la justice[/h1]

aujourd'hui 14:38

Par Frédéric Antzorn

 

 

 

 

 

 

http://paperjam.lu/sites/default/files/styles/640_427_echelle_recadrage/public/nodes/news/2017/09/dieselgate_1.jpg?itok=ooxBluX7&sc=55f29749f885bd5082a38b3fe804e48b&ctok=1506088668

L’ULC, par le biais de plusieurs assignations individuelles, va poursuivre VW devant la justice luxembourgeoise.

 

 

 

 

21.09.2017

<hr />

 

Après le gouvernement en début d’année, c’est au tour de l’Union luxembourgeoise des consommateurs de se tourner vers la justice pour réclamer des comptes à Volkswagen, via son importateur et ses concessionnaires au Luxembourg.

 

Après que le dépôt de plainte contre X du gouvernement en début d’année dans le cadre du scandale Volkswagen et des tests d’émissions truqués par le constructeur de Wolfsbourg – rejoint par d’autres depuis lors – l’Union luxembourgeoise des consommateurs (ULC) a indiqué ce vendredi s’apprêter elle aussi à saisir la justice.

Mais à la différence de l’exécutif, qui a choisi une procédure au pénal, l’ULC va pour sa part saisir la justice civile et déposer prochainement un recours devant le tribunal d’arrondissement de Luxembourg.[h2]Le groupe Losch et des concessionnaires VW visés[/h2]

« Une série d’assignations individuelles va être déposée devant ce tribunal contre l’importateur de la marque au Luxembourg, le groupe Losch, et quatre ou cinq concessionnaires VW du pays », précise Bob Schmitz, conseiller auprès de l’ULC, ajoutant que ces assignations viseront « des pratiques commerciales déloyales », sur base du Code de la consommation luxembourgeois, découlant d’une directive européenne.

« Ce code est clair », poursuit Bob Schmitz, citant un de ses articles qui indique que des pratiques commerciales sont trompeuses en toutes circonstances lorsque quelqu’un affirme qu’un produit a été approuvé sans respecter les conditions de l’approbation reçue ».[h2]Remédier aux failles du droit[/h2]

L’objectif pour l’ULC, qui évoque une action de principe, est de « faire avancer le dossier », alors qu’une dizaine d’associations ailleurs en Europe, notamment en Allemagne et en Italie, ont déjà mené des démarches similaires.

Mais sans trop de succès toutefois, les tribunaux n’ayant pour l’instant dans quelques cas reconnus que des préjudices à l’environnement mais pas aux consommateurs, difficiles à quantifier.

« Nous allons donc voir ce que ce droit à la consommation a dans le ventre », indique encore Bob Schmitz, qui compte sur un jugement favorable, qui pourrait faire jurisprudence.

« Et si nous devions faire chou blanc, cela démontrera les failles du droit auxquelles il conviendra alors de remédier », conclut-il.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §cud873cx

Le conseil de surveillance de Volkswagen n'exclut pas de rompre avec la tradition voulant que le président du directoire soit recruté en interne, a déclaré son président Hans Dieter Pötsch.

Matthias Müller, l'actuel président du directoire dont le mandat court jusqu'en 2020, travaille chez Volkswagen ou chez ses filiales depuis près de 40 ans.

 

Plusieurs investisseurs n'ont pas apprécié sa nomination, intervenue au coeur du scandale des tests d'émissions truqués aux Etats-Unis révélé en septembre 2015, estimant que VW devait chercher quelqu'un en externe.

 

Le conseil de surveillance se penchera sérieusement sur la succession de Müller "le moment venu", a dit Pötsch à Reuters.

 

"Bien sûr, pour ce qui est du choix nous sommes ouverts", a-t-il ajouté, faisant référence à la possibilité que le constructeur automobile allemand choisisse un candidat en externe ou encore désigne une femme pour succéder à Müller.

 

Bernd Althusmann, le politicien chrétien démocrate qui paraît le mieux placé pour diriger le Land de Basse-Saxe - où se trouve le siège social de VW - à l'issue des élections locales du 15 octobre, suggérait ce mois-ci une candidature qui soit même en dehors du secteur de l'automobile.

 

Pötsch a lui renouvelé son soutien à Müller, lequel a suscité quelques froncements de sourcils ce mois-ci en évoquant d'éventuelles cessions d'actifs.

 

"Matthias Müller est l'homme de la situation; c'est l'opinion du conseil de surveillance en son entier", a dit Pötsch.

 

 

Toujours autant de sérénité chez les investisseurs, l esprit automobile a disparu on ne voit plus que le cash

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité §Lau620QA

 

 

C est quand meme fou que depuis 2015 et la créations de plusieurs topics tu n as toujours pas compris.

 

1 LE topic vag prit aux USA et en litige en europe.

 

2 Les tests a l homologations et les constructeurs borderline.....

 

 

En effet, pour l'anniversaire du scandale Volkswagen, Gazton3 continue de tout mélanger... et au final de ne rien comprendre.

 

boonize.gif.1fc5290a90d24491707a37a885865ad1.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
 Partager



Newsletter Caradisiac

Abonnez-vous à la newsletter de Caradisiac

Recevez toute l’actualité automobile

L’adresse email, renseignée dans ce formulaire, est traitée par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.

Cette donnée est utilisée pour vous adresser des informations sur nos offres, actualités et évènements (newsletters, alertes, invitations et autres publications).

Si vous l’avez accepté, cette donnée sera transmise à nos partenaires, en tant que responsables de traitement, pour vous permettre de recevoir leur communication par voie électronique.

Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduire une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL). Vous pouvez également retirer à tout moment votre consentement au traitement de vos données. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : www.caradisiac.com/general/confidentialite/

×
  • Créer...