[Topic Officiel] Groupe PSA

[Chicosaxo]

Je comprends que tu ne partage pas son point de vue sur l'avenir, en effet, rien n'est fait et on peut aussi voir les choses positivement.

 

Par contre en ce qui concerne l'analyse de l'histoire de DS jusqu'à maintenant, c'est quand même difficile de ne pas voir le fiasco, notamment en Chine, où ça devait exploser et apporter les fonds pour développer la marque. Pour le moment c'est une marque en perfusion, qui coûte certainement bien plus qu'elle ne rapporte.

Je suis tout à fait d'accord pour la situation actuelle.

 

Mais pour le futur, je suis assez confiant, car ils se sont vraiment sortis les doigts du cul pour le DS7.

 

Si t'as l'occasion de l'essayer, tu verras. Objectivement, c'est vraiment un véhicule d'une très bon niveau.

 

La 3 ne sera pas renouvelée

Question en suspend, même mon directeur n'a pas pu me répondre clairement " non ".

[Roger]

 

 

Il préfère tout simplement voir le verre à moitié vide plutôt qu'à moitié plein.

 

C'est typiquement le genre de journaliste qui aurait pu annoncer la disparition de Citroën l'année dernière. Alors que là, il salue les bonnes performances de C3 et C3 Aircross.

 

Le DS7 est bien accueilli, les commandes sont là et les autres modèles sont en route, notamment le DS3 Crossback qui n'a rien d'hypothétique contrairement à ce qu'il laisse penser.

 

Donc désolé mais je ne partage pas du tout son point de vue.

 

 

Mais personne ne nie les bonnes ventes de la C3 (la C3 Aircross, c'est à confirmer sur une année pleine)

 

Y'a juste quelques pb

- La C3 est loin derrière les leaders (BX ) Français (y compris la 208), Européens (y compris la Corsa), voire Japonais. PSA continuera à bien se porter à l'arrêt de la C3.

- Idem pour la C3 Aircross, qui, même si elle confirme son positionnement en ventes, restera largement en retrait des leaders

- Le reste de la gamme, c'est un champ de ruine et ce n'est pas prêt de changer

 

Concernant DS, la DS3 ne sera pas renouvelée, la DS3 Aircross sera en concurrence avec la 2008 et la C3 Aircross, les DS4 et DS5 sont arrêtés, la DS7 j'ai du mal à imaginer en quoi elle va révolutionner le marché face au 3008

 

[Roger]

Je suis tout à fait d'accord pour la situation actuelle.

 

Mais pour le futur, je suis assez confiant, car ils se sont vraiment sortis les doigts du cul pour le DS7.

 

Si t'as l'occasion de l'essayer, tu verras. Objectivement, c'est vraiment un véhicule d'une très bon niveau.

 

 

Question en suspend, même mon directeur n'a pas pu me répondre clairement " non ".

 

 

Je n'ai vu nulle part un renouvellement de la DS3. Tant pis pour le stock de clients constitué depuis 10 ans

[ric vw]

Je suis tout à fait d'accord pour la situation actuelle.

 

Mais pour le futur, je suis assez confiant, car ils se sont vraiment sortis les doigts du cul pour le DS7.

 

Si t'as l'occasion de l'essayer, tu verras. Objectivement, c'est vraiment un véhicule d'une très bon niveau.

 

 

Objectivement, dans cette gamme, il n'y pas de mauvaises voitures.

[Roger]

 

Objectivement, dans cette gamme, il n'y pas de mauvaises voitures.

 

 

Ça se joue plus sur l'image premium et/ou le rapport prix/équipement

 

L'image, la DS7 n'en a pas.

[polo_wtcc]

 

Mais personne ne nie les bonnes ventes de la C3 (la C3 Aircross, c'est à confirmer sur une année pleine)

 

Y'a juste quelques pb

- La C3 est loin derrière les leaders (BX ) Français (y compris la 208), Européens (y compris la Corsa), voire Japonais. PSA continuera à bien se porter à l'arrêt de la C3.

- Idem pour la C3 Aircross, qui, même si elle confirme son positionnement en ventes, restera largement en retrait des leaders

- Le reste de la gamme, c'est un champ de ruine et ce n'est pas prêt de changer

 

Concernant DS, la DS3 ne sera pas renouvelée, la DS3 Aircross sera en concurrence avec la 2008 et la C3 Aircross, les DS4 et DS5 sont arrêtés, la DS7 j'ai du mal à imaginer en quoi elle va révolutionner le marché face au 3008

 

 

 

Et alors C3/C3 Aircross sont construites sur la base des 208/2008 donc ne coute quasi "rien" à produire vu que la base a déjà bien été amortie.

La déduction "on arrête" Citroën pour vendre des Peugeot ça ne marchera pas, GM l'a faite avec l’arrêt de Chevrolet en Europe au profit de Opel et bien on voit le résultat puisque finalement GM à revendu Opel. Si PSA décide d’arrêter Citroën une chose est sûre à 100% les potentiels acheteurs ne se rabatront pas forcément tous sur d'autre autos du groupe donc pourquoi favoriser la "concurrence"

 

Pour PSA ce n'est pas problématique d'avoir des 208/C3/Corsa en "concurrence" au final l'important est que ça se vende, le logo sur la calandre étant plus ou moins anecdotique et c'est d'ailleurs pour ça que le rachat d'Opel n'est pas si "débile" que ça vu que la ou PSA et GM développaient une plateforme chacuns de leur côté maintenant une seule plateforme servira pour 5 marques donc t'imagine bien les économies potentielles.

[vinsouille le retour]

 

Je n'ai vu nulle part un renouvellement de la DS3. Tant pis pour le stock de clients constitué depuis 10 ans

 

On a eu une DS3 en 2010 quand on avait pas de gosses puis en 2015 on l’a revendue pour la C4 à cause des portes et des 2 petits

On va changer la C4 l’année prochaine et la DS3 sportback sera une parfaite remplaçante

[Roger]

 

Et alors C3/C3 Aircross sont construites sur la base des 208/2008 donc ne coute quasi "rien" à produire vu que la base a déjà bien été amortie.

La déduction "on arrête" Citroën pour vendre des Peugeot ça ne marchera pas, GM l'a faite avec l’arrêt de Chevrolet en Europe au profit de Opel et bien on voit le résultat puisque finalement GM à revendu Opel. Si PSA décide d’arrêter Citroën une chose est sûre à 100% les potentiels acheteurs ne se rabatront pas forcément tous sur d'autre autos du groupe donc pourquoi favoriser la "concurrence"

 

Opel perdait de l'argent depuis 15 ans. L'arrêt de Chevrolet en Europe a juste permis de limiter les frais tout en réduisant la concurrence.

 

Saab a aussi été arrêté alors que l'image était au dessus d'Opel à cause de mévente et d'une gamme de plus en plus illisible pour le Saabiste (l'originalité de la 900T16 était bien diluée ) et un réseau de plus en plus misérable.

 

Une gamme spécifique coûte forcément. Le volume des pièces partagées permet d'optimiser les coûts mais produire une C3 ne coûte pas quasiment rien.

 

Pour PSA ce n'est pas problématique d'avoir des 208/C3/Corsa en "concurrence" au final l'important est que ça se vende, le logo sur la calandre étant plus ou moins anecdotique et c'est d'ailleurs pour ça que le rachat d'Opel n'est pas si "débile" que ça vu que la ou PSA et GM développaient une plateforme chacuns de leur côté maintenant une seule plateforme servira pour 5 marques donc t'imagine bien les économies potentielles.

C'était déjà le cas pour plusieurs de leurs voitures.

 

Le partage de plateforme Opel GrandLand X / 3008 date d'avant le rachat

Celle qui aurait du remplacer la C5 était annoncée comme basée sur une plateforme d'Insigna par exemple

 

Ça n'a pas empêché que la C5 disparaisse définitivement (sortir une berline familiale pour 2 ans, ça rappelait bien Saab )

[Roger]

On a eu une DS3 en 2010 quand on avait pas de gosses puis en 2015 on l’a revendue pour la C4 à cause des portes et des 2 petits

On va changer la C4 l’année prochaine et la DS3 sportback sera une parfaite remplaçante

 

 

Et comment vas-tu faire rentrer les 2 petits dans une DS3 Aircross ???

 

Le dossier conducteur touche la banquette arrière en conduite normale !!!

[Invité §shu041Vl]

tu as une vision noire des choses , bon pour opel , pas trop de souçi pour le nord de l'Europe et la grande bretagne ( ou opel- Vauxhall) était bien present , çà continuera

 

une fois les plate-formes - moteur partagés

 

pour la c5 , ça n'a été qu'un demi - sucçes commercial , et encore , en France , trouves moi un autre pays européens ou elle se vendit bien , il me semble d'ailleurs que

 

les limousines de 4,70 - 4,80 m se vendent moins aujourd'hui

 

pour les plus petites donc les c1 , c3 , berlingo et gammes medium , se vendront toujours ici ( et sans doute en Italie , Espagne et consorts

[vinsouille le retour]

 

Et comment vas-tu faire rentrer les 2 petits dans une DS3 Aircross ???

 

Le dossier conducteur touche la banquette arrière en conduite normale !!!

 

Pas quand c’est ma femme qui conduit

C’est sa voiture moi je vais juste lui laver et mettre de l’essence

[Invité §dav512aL]

Le 5008 pourrait bientôt quitter la Bretagne

[Breton]

Le 5008 pourrait bientôt quitter la Bretagne

 

 

Pas étonnant, ils ont tellement viré d'ouvriers à Rennes (encore y'a pas deux ans) qu'ils n'arrivent pas à recruter pour augmenter la production, des annonces dans ouest france depuis plus d'un an

[Invité §dav512aL]

Ouest France, les agences d’intérim et le site de Pôle Emploi

[Breton]

Ils sont tellement désorganisés, je me demande comment ils font pour avoir autant de bénéfices ...

[ric vw]

Ils ne cassent plus les prixxx.

[Invité §Lau620QA]

http://www.auto-moto.com/essai [...] tml#item=1

 

 

[h1]Citroën C5 (essai) : Hommage à l’hydropneumatique[/h1]

 

PUBLIÉ LE 24 AVRIL 2018 À 22:24MIS À JOUR LE 25 AVRIL 2018 À 13:19PAR NICOLAS BRIOUZE

 

CITROËN C5 – La production de la C5 a cessé il y a bientôt un an, en juin 2017, marquant au passage la fin de la légendaire suspension hydropneumatique. Nous en avons pris le volant une dernière fois.

 

http://sf1.viepratique.fr/wp-content/uploads/sites/9/2018/04/autowp.ru_citroen_c5_9-750x410.jpg

1/7

Citroën C5

Citroën C5

 

Citroën C5 – Les premiers mètres au volant de la Citroën C5 font immédiatement réaliser à quel point cette familiale – apparue fin 2007 – a vieilli. Direction lourde et « collante », en raison d’un cruel manque de rappel (particulièrement déroutant pour ceux qui ont connu la fameuse Diravi des Cx, dotée d’un rappel, quant à lui, beaucoup trop virulent !), et ergonomie « folklorique », avec notamment le fameux volant à moyeu fixe,inauguré par la C4 première génération. Une invention typiquement Citroën qui, contrairement à des centaines d’autres, se révèle inutile. Pire, son principal avantage n’a jamais été exploité, à savoir permettre l’adoption d’un airbag de plus grande taille pouvant se déployer de façon optimale – le moyeu étant fixe – et ainsi favoriser la sécurité passive !

Passée cette première déception, on redécouvre avec plaisir le confort offert par la fameuse suspension hydropneumatique « Hydractive 3 », même si cette version pilotée de troisième génération n’offre pas le moelleux de l’ancienne hydropneumatique « classique », dont la XM fut, sur ses versions de base, la dernière à disposer. La faute en incombe aussi, en partie, aux pneumatiques taille basse de notre version d’essai (225/55 R 17).

[h2]Un comportement sidérant[/h2]

 

Là où cette illustre Citroën a encore de quoi tenir la dragée haute à nombre de modèles contemporains, c’est dynamiquement. Si « son toucher de route » n’est pas des plus modernes, son comportement demeure sidérant. Avec sa tendance sous-vireuse aussi marquée que rassurante, cette traction est toutefois loin de se montrer vive, mais, en revanche, sa légendaire suspension optimise en permanence l’adhérence des quatre roues, qui demeurent littéralement plaquées au sol, quelles que soient les conditions (profil de la route, météo, vitesse…). Mieux encore, plus le revêtement se dégrade, plus l’hydropneumatique creuse l’écart avec les suspensions classiques, autorisant l’adoption de vitesses totalement répréhensibles, y compris en courbe ; la caisse demeure imperturbable et ne « subit » jamais la route. De quoi rappeler aux plus anciens l’époque où les Citroën DS étaient les reines de la route, dominant la quasi-totalité du parc automobile de l’époque, de 1955 jusqu’à bien après la fin de sa commercialisation, en 1975 !

Sous le capot, la C5 ne disposait, en fin de carrière, que du 2.0 HDi de 150 ch (boîte mécanique 6) ou 180 ch (boîte automatique EAT6). Essayée lors de notre galop, cette dernière se révèle convaincante, d’autant qu’elle s’accorde parfaitement à l’efficace transmission automatique à six rapports. On se remémorera toutefois avec une certaine nostalgie l’époque où cette C5 était proposée avec les V6 3.0 litres essence (215 ch) et diesel HDi, 2.7 litres (208 ch) et 3.0 litres (240 ch). Avis aux futurs acquéreurs d’une C5… sur le marché de la seconde main, où ils auront le choix entre berline et break Tourer.

NOTRE VERDICT

Si certaines suspensions pilotées contemporaines, comme, par exemple, la pneumatique de BMW, rivalise presque avec l’hydropneumatique en terme de confort, force est de constater que les sphères hydrauliques Citroën sont inégalables sur les mauvais revêtements. Lesquels ont une fâcheuse tendance à se généraliser depuis quelques années…[h3]Citroën C5 Tourer BlueHDi 180 : fiche technique[/h3]

Moteur : 4-cylindres, 16 soupapes, turbodiesel rampe commune, start&stop, Fap, 1 997 cm3

Transmission : traction, automatique 6 vitesses

Puissance (ch à tr/min) : 180 ch à 3 750 tr/min

Couple (Nm à tr/min) : 400 Nm à 2 000 tr/min

Poids (kg) : 1 620

Conso moyenne mixte/durant l’essai (l/100 km) : 4,4/9,1

0 à 100 km/h : 8’’7

Vitesse maxi : 222 km/h

CO2(g)/malus : 114/ 0 € (en 2017)

Prix : plus commercialisée (finition Exclusive)

[h3]Citroën C5 : la gamme (en 2017)[/h3]

Diesel

De 150 à 180 ch, de 35 950 à 40 850 €

[l_gars]

 

Et comment vas-tu faire rentrer les 2 petits dans une DS3 Aircross ???

 

Le dossier conducteur touche la banquette arrière en conduite normale !!!

 

 

 

T'es vraiment plus fort que les autres ... t'as réussi à monter dedans ????

 

 

T'as demandé à Carlos ou à Yves ???

[Gilles B.]

http://www.auto-moto.com/essai [...] tml#item=1

 

 

[h1]Citroën C5 (essai) : Hommage à l’hydropneumatique[/h1]

 

PUBLIÉ LE 24 AVRIL 2018 À 22:24MIS À JOUR LE 25 AVRIL 2018 À 13:19PAR NICOLAS BRIOUZE

 

CITROËN C5 – La production de la C5 a cessé il y a bientôt un an, en juin 2017, marquant au passage la fin de la légendaire suspension hydropneumatique. Nous en avons pris le volant une dernière fois.

 

http://sf1.viepratique.fr/wp-c [...] 50x410.jpg

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Citroën C5

Citroën C5

 

Citroën C5 – Les premiers mètres au volant de la Citroën C5 font immédiatement réaliser à quel point cette familiale – apparue fin 2007 – a vieilli. Direction lourde et « collante », en raison d’un cruel manque de rappel (particulièrement déroutant pour ceux qui ont connu la fameuse Diravi des Cx, dotée d’un rappel, quant à lui, beaucoup trop virulent !), et ergonomie « folklorique », avec notamment le fameux volant à moyeu fixe,inauguré par la C4 première génération. Une invention typiquement Citroën qui, contrairement à des centaines d’autres, se révèle inutile. Pire, son principal avantage n’a jamais été exploité, à savoir permettre l’adoption d’un airbag de plus grande taille pouvant se déployer de façon optimale – le moyeu étant fixe – et ainsi favoriser la sécurité passive !

Passée cette première déception, on redécouvre avec plaisir le confort offert par la fameuse suspension hydropneumatique « Hydractive 3 », même si cette version pilotée de troisième génération n’offre pas le moelleux de l’ancienne hydropneumatique « classique », dont la XM fut, sur ses versions de base, la dernière à disposer. La faute en incombe aussi, en partie, aux pneumatiques taille basse de notre version d’essai (225/55 R 17).

[h2]Un comportement sidérant[/h2]

 

Là où cette illustre Citroën a encore de quoi tenir la dragée haute à nombre de modèles contemporains, c’est dynamiquement. Si « son toucher de route » n’est pas des plus modernes, son comportement demeure sidérant. Avec sa tendance sous-vireuse aussi marquée que rassurante, cette traction est toutefois loin de se montrer vive, mais, en revanche, sa légendaire suspension optimise en permanence l’adhérence des quatre roues, qui demeurent littéralement plaquées au sol, quelles que soient les conditions (profil de la route, météo, vitesse…). Mieux encore, plus le revêtement se dégrade, plus l’hydropneumatique creuse l’écart avec les suspensions classiques, autorisant l’adoption de vitesses totalement répréhensibles, y compris en courbe ; la caisse demeure imperturbable et ne « subit » jamais la route. De quoi rappeler aux plus anciens l’époque où les Citroën DS étaient les reines de la route, dominant la quasi-totalité du parc automobile de l’époque, de 1955 jusqu’à bien après la fin de sa commercialisation, en 1975 !

Sous le capot, la C5 ne disposait, en fin de carrière, que du 2.0 HDi de 150 ch (boîte mécanique 6) ou 180 ch (boîte automatique EAT6). Essayée lors de notre galop, cette dernière se révèle convaincante, d’autant qu’elle s’accorde parfaitement à l’efficace transmission automatique à six rapports. On se remémorera toutefois avec une certaine nostalgie l’époque où cette C5 était proposée avec les V6 3.0 litres essence (215 ch) et diesel HDi, 2.7 litres (208 ch) et 3.0 litres (240 ch). Avis aux futurs acquéreurs d’une C5… sur le marché de la seconde main, où ils auront le choix entre berline et break Tourer.

NOTRE VERDICT

Si certaines suspensions pilotées contemporaines, comme, par exemple, la pneumatique de BMW, rivalise presque avec l’hydropneumatique en terme de confort, force est de constater que les sphères hydrauliques Citroën sont inégalables sur les mauvais revêtements. Lesquels ont une fâcheuse tendance à se généraliser depuis quelques années…[h3]Citroën C5 Tourer BlueHDi 180 : fiche technique[/h3]

Moteur : 4-cylindres, 16 soupapes, turbodiesel rampe commune, start&stop, Fap, 1 997 cm3

Transmission : traction, automatique 6 vitesses

Puissance (ch à tr/min) : 180 ch à 3 750 tr/min

Couple (Nm à tr/min) : 400 Nm à 2 000 tr/min

Poids (kg) : 1 620

Conso moyenne mixte/durant l’essai (l/100 km) : 4,4/9,1

0 à 100 km/h : 8’’7

Vitesse maxi : 222 km/h

CO2(g)/malus : 114/ 0 € (en 2017)

Prix : plus commercialisée (finition Exclusive)

[h3]Citroën C5 : la gamme (en 2017)[/h3]

Diesel

De 150 à 180 ch, de 35 950 à 40 850 €

Je trouve que t'es vraiment pas cool de remuer le couteau dans la plaie...

En gros, sur une voiture sortie il y a plus de 10 ans, la suspension était toujours au top et bien supérieure à la moyenne...

Il a oublié une chose car il a dû se balader tout seul, c'est la quasi-insensibilité à la charge...

[Chicosaxo]

 

Mais personne ne nie les bonnes ventes de la C3 (la C3 Aircross, c'est à confirmer sur une année pleine)

 

Y'a juste quelques pb

- La C3 est loin derrière les leaders (BX ) Français (y compris la 208), Européens (y compris la Corsa), voire Japonais. PSA continuera à bien se porter à l'arrêt de la C3.

- Idem pour la C3 Aircross, qui, même si elle confirme son positionnement en ventes, restera largement en retrait des leaders

- Le reste de la gamme, c'est un champ de ruine et ce n'est pas prêt de changer

 

Concernant DS, la DS3 ne sera pas renouvelée, la DS3 Aircross sera en concurrence avec la 2008 et la C3 Aircross, les DS4 et DS5 sont arrêtés, la DS7 j'ai du mal à imaginer en quoi elle va révolutionner le marché face au 3008

 

 

 

Je n'ai vu nulle part un renouvellement de la DS3. Tant pis pour le stock de clients constitué depuis 10 ans

Justement, je n'ai pas eu de réponse clair à ce sujet.

 

Objectivement, dans cette gamme, il n'y pas de mauvaises voitures.

Certes, mais quand on le conduit, il se passe vraiment quelque chose.

 

 

http://www.auto-moto.com/essai [...] tml#item=1

 

 

[h1]Citroën C5 (essai) : Hommage à l’hydropneumatique[/h1]

 

PUBLIÉ LE 24 AVRIL 2018 À 22:24MIS À JOUR LE 25 AVRIL 2018 À 13:19PAR NICOLAS BRIOUZE

 

CITROËN C5 – La production de la C5 a cessé il y a bientôt un an, en juin 2017, marquant au passage la fin de la légendaire suspension hydropneumatique. Nous en avons pris le volant une dernière fois.

 

http://sf1.viepratique.fr/wp-c [...] 50x410.jpg

1/7

Citroën C5

Citroën C5

 

Citroën C5 – Les premiers mètres au volant de la Citroën C5 font immédiatement réaliser à quel point cette familiale – apparue fin 2007 – a vieilli. Direction lourde et « collante », en raison d’un cruel manque de rappel (particulièrement déroutant pour ceux qui ont connu la fameuse Diravi des Cx, dotée d’un rappel, quant à lui, beaucoup trop virulent !), et ergonomie « folklorique », avec notamment le fameux volant à moyeu fixe,inauguré par la C4 première génération. Une invention typiquement Citroën qui, contrairement à des centaines d’autres, se révèle inutile. Pire, son principal avantage n’a jamais été exploité, à savoir permettre l’adoption d’un airbag de plus grande taille pouvant se déployer de façon optimale – le moyeu étant fixe – et ainsi favoriser la sécurité passive !

Passée cette première déception, on redécouvre avec plaisir le confort offert par la fameuse suspension hydropneumatique « Hydractive 3 », même si cette version pilotée de troisième génération n’offre pas le moelleux de l’ancienne hydropneumatique « classique », dont la XM fut, sur ses versions de base, la dernière à disposer. La faute en incombe aussi, en partie, aux pneumatiques taille basse de notre version d’essai (225/55 R 17).

[h2]Un comportement sidérant[/h2]

 

Là où cette illustre Citroën a encore de quoi tenir la dragée haute à nombre de modèles contemporains, c’est dynamiquement. Si « son toucher de route » n’est pas des plus modernes, son comportement demeure sidérant. Avec sa tendance sous-vireuse aussi marquée que rassurante, cette traction est toutefois loin de se montrer vive, mais, en revanche, sa légendaire suspension optimise en permanence l’adhérence des quatre roues, qui demeurent littéralement plaquées au sol, quelles que soient les conditions (profil de la route, météo, vitesse…). Mieux encore, plus le revêtement se dégrade, plus l’hydropneumatique creuse l’écart avec les suspensions classiques, autorisant l’adoption de vitesses totalement répréhensibles, y compris en courbe ; la caisse demeure imperturbable et ne « subit » jamais la route. De quoi rappeler aux plus anciens l’époque où les Citroën DS étaient les reines de la route, dominant la quasi-totalité du parc automobile de l’époque, de 1955 jusqu’à bien après la fin de sa commercialisation, en 1975 !

Sous le capot, la C5 ne disposait, en fin de carrière, que du 2.0 HDi de 150 ch (boîte mécanique 6) ou 180 ch (boîte automatique EAT6). Essayée lors de notre galop, cette dernière se révèle convaincante, d’autant qu’elle s’accorde parfaitement à l’efficace transmission automatique à six rapports. On se remémorera toutefois avec une certaine nostalgie l’époque où cette C5 était proposée avec les V6 3.0 litres essence (215 ch) et diesel HDi, 2.7 litres (208 ch) et 3.0 litres (240 ch). Avis aux futurs acquéreurs d’une C5… sur le marché de la seconde main, où ils auront le choix entre berline et break Tourer.

NOTRE VERDICT

Si certaines suspensions pilotées contemporaines, comme, par exemple, la pneumatique de BMW, rivalise presque avec l’hydropneumatique en terme de confort, force est de constater que les sphères hydrauliques Citroën sont inégalables sur les mauvais revêtements. Lesquels ont une fâcheuse tendance à se généraliser depuis quelques années…[h3]Citroën C5 Tourer BlueHDi 180 : fiche technique[/h3]

Moteur : 4-cylindres, 16 soupapes, turbodiesel rampe commune, start&stop, Fap, 1 997 cm3

Transmission : traction, automatique 6 vitesses

Puissance (ch à tr/min) : 180 ch à 3 750 tr/min

Couple (Nm à tr/min) : 400 Nm à 2 000 tr/min

Poids (kg) : 1 620

Conso moyenne mixte/durant l’essai (l/100 km) : 4,4/9,1

0 à 100 km/h : 8’’7

Vitesse maxi : 222 km/h

CO2(g)/malus : 114/ 0 € (en 2017)

Prix : plus commercialisée (finition Exclusive)

[h3]Citroën C5 : la gamme (en 2017)[/h3]

Diesel

De 150 à 180 ch, de 35 950 à 40 850 €

Qu'ils aillent tous au diable.

 

Ce sont les premiers à avoir critiqué l'hydractive pendant sa production: " Trop lourde, trop pataude trop ci, trop ça " " Plus vraiment différenciatrice ".

 

Et maintenant ils pleurent.

[Breton]

Ils ne lui trouvaient que des défauts, maintenant ils lui trouvent des qualités

A quand un article sur le génie de la c3 Pluriel ?

[Roger]

tu as une vision noire des choses , bon pour opel , pas trop de souçi pour le nord de l'Europe et la grande bretagne ( ou opel- Vauxhall) était bien present , çà continuera

 

une fois les plate-formes - moteur partagés

 

pour la c5 , ça n'a été qu'un demi - sucçes commercial , et encore , en France , trouves moi un autre pays européens ou elle se vendit bien , il me semble d'ailleurs que

 

les limousines de 4,70 - 4,80 m se vendent moins aujourd'hui

 

pour les plus petites donc les c1 , c3 , berlingo et gammes medium , se vendront toujours ici ( et sans doute en Italie , Espagne et consorts

 

 

A priori, la C5 II (630 000 exemplaires à ce jour) s'est mieux vendue que la 508 (530 000 exemplaires)...

 

Le pb de Citroën, c'est qu'il n'y a plus de gamme medium

 

 

[Roger]

http://www.auto-moto.com/essai [...] tml#item=1

 

 

[h1]Citroën C5 (essai) : Hommage à l’hydropneumatique[/h1]

 

PUBLIÉ LE 24 AVRIL 2018 À 22:24MIS À JOUR LE 25 AVRIL 2018 À 13:19PAR NICOLAS BRIOUZE

 

CITROËN C5 – La production de la C5 a cessé il y a bientôt un an, en juin 2017, marquant au passage la fin de la légendaire suspension hydropneumatique. Nous en avons pris le volant une dernière fois.

 

http://sf1.viepratique.fr/wp-c [...] 50x410.jpg

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Citroën C5

Citroën C5

 

Citroën C5 – Les premiers mètres au volant de la Citroën C5 font immédiatement réaliser à quel point cette familiale – apparue fin 2007 – a vieilli. Direction lourde et « collante », en raison d’un cruel manque de rappel (particulièrement déroutant pour ceux qui ont connu la fameuse Diravi des Cx, dotée d’un rappel, quant à lui, beaucoup trop virulent !), et ergonomie « folklorique », avec notamment le fameux volant à moyeu fixe,inauguré par la C4 première génération. Une invention typiquement Citroën qui, contrairement à des centaines d’autres, se révèle inutile. Pire, son principal avantage n’a jamais été exploité, à savoir permettre l’adoption d’un airbag de plus grande taille pouvant se déployer de façon optimale – le moyeu étant fixe – et ainsi favoriser la sécurité passive !

Passée cette première déception, on redécouvre avec plaisir le confort offert par la fameuse suspension hydropneumatique « Hydractive 3 », même si cette version pilotée de troisième génération n’offre pas le moelleux de l’ancienne hydropneumatique « classique », dont la XM fut, sur ses versions de base, la dernière à disposer. La faute en incombe aussi, en partie, aux pneumatiques taille basse de notre version d’essai (225/55 R 17).

[h2]Un comportement sidérant[/h2]

 

Là où cette illustre Citroën a encore de quoi tenir la dragée haute à nombre de modèles contemporains, c’est dynamiquement. Si « son toucher de route » n’est pas des plus modernes, son comportement demeure sidérant. Avec sa tendance sous-vireuse aussi marquée que rassurante, cette traction est toutefois loin de se montrer vive, mais, en revanche, sa légendaire suspension optimise en permanence l’adhérence des quatre roues, qui demeurent littéralement plaquées au sol, quelles que soient les conditions (profil de la route, météo, vitesse…). Mieux encore, plus le revêtement se dégrade, plus l’hydropneumatique creuse l’écart avec les suspensions classiques, autorisant l’adoption de vitesses totalement répréhensibles, y compris en courbe ; la caisse demeure imperturbable et ne « subit » jamais la route. De quoi rappeler aux plus anciens l’époque où les Citroën DS étaient les reines de la route, dominant la quasi-totalité du parc automobile de l’époque, de 1955 jusqu’à bien après la fin de sa commercialisation, en 1975 !

Sous le capot, la C5 ne disposait, en fin de carrière, que du 2.0 HDi de 150 ch (boîte mécanique 6) ou 180 ch (boîte automatique EAT6). Essayée lors de notre galop, cette dernière se révèle convaincante, d’autant qu’elle s’accorde parfaitement à l’efficace transmission automatique à six rapports. On se remémorera toutefois avec une certaine nostalgie l’époque où cette C5 était proposée avec les V6 3.0 litres essence (215 ch) et diesel HDi, 2.7 litres (208 ch) et 3.0 litres (240 ch). Avis aux futurs acquéreurs d’une C5… sur le marché de la seconde main, où ils auront le choix entre berline et break Tourer.

NOTRE VERDICT

Si certaines suspensions pilotées contemporaines, comme, par exemple, la pneumatique de BMW, rivalise presque avec l’hydropneumatique en terme de confort, force est de constater que les sphères hydrauliques Citroën sont inégalables sur les mauvais revêtements. Lesquels ont une fâcheuse tendance à se généraliser depuis quelques années…[h3]Citroën C5 Tourer BlueHDi 180 : fiche technique[/h3]

Moteur : 4-cylindres, 16 soupapes, turbodiesel rampe commune, start&stop, Fap, 1 997 cm3

Transmission : traction, automatique 6 vitesses

Puissance (ch à tr/min) : 180 ch à 3 750 tr/min

Couple (Nm à tr/min) : 400 Nm à 2 000 tr/min

Poids (kg) : 1 620

Conso moyenne mixte/durant l’essai (l/100 km) : 4,4/9,1

0 à 100 km/h : 8’’7

Vitesse maxi : 222 km/h

CO2(g)/malus : 114/ 0 € (en 2017)

Prix : plus commercialisée (finition Exclusive)

[h3]Citroën C5 : la gamme (en 2017)[/h3]

Diesel

De 150 à 180 ch, de 35 950 à 40 850 €

 

 

:ouin: :ouin: :ouin: :ouin: :ouin: :ouin: :ouin:

 

[Roger]

 

 

T'es vraiment plus fort que les autres ... t'as réussi à monter dedans ????

 

 

T'as demandé à Carlos ou à Yves ???

 

Bin a priori, ce sera une C3 Aircross relookée donc pas de surprise à attendre en habitabilité

[Roger]

Ils ne lui trouvaient que des défauts, maintenant ils lui trouvent des qualités

A quand un article sur le génie de la c3 Pluriel ?

 

 

 

J'adore ma Pluriel

 

Tellement Citroën

[Invité §Lau620QA]

En gros, sur une voiture sortie il y a plus de 10 ans, la suspension était toujours au top et bien supérieure à la moyenne...

Il a oublié une chose car il a dû se balader tout seul, c'est la quasi-insensibilité à la charge...

 

 

Pourquoi "était" ? Elle l'est toujours

[Invité §Lau620QA]

Bin a priori, ce sera une C3 Aircross relookée donc pas de surprise à attendre en habitabilité

 

 

Relookée ?

[Gilles B.]

Qu'ils aillent tous au diable.

 

Ce sont les premiers à avoir critiqué l'hydractive pendant sa production: " Trop lourde, trop pataude trop ci, trop ça " " Plus vraiment différenciatrice ".

 

Et maintenant ils pleurent.

 

 

Oui, on est d'accord...

[dalpin]

Bin a priori, ce sera une C3 Aircross relookée donc pas de surprise à attendre en habitabilité

 

Si c'est de la DS3 Crossback que tu parles: elle est sensée inaugurer une nouvelle plateforme

[gontran d_hulst]

 

Oui, on est d'accord...

 

Idem

Ils ont été les premiers à gueuler sur l'hydropneumatique et sa complexité, disant qu'une suspension classique faisait tout aussi bien, que l'écart ne faisait que se combler, etc... (depuis 20 ans que je lis la presse auto)

Ben visiblement non, l'écart n'est pas comblé. C'est bien de reconnaître ses erreurs, mais il est trop tard.

[Roger]

Si c'est de la DS3 Crossback que tu parles: elle est sensée inaugurer une nouvelle plateforme

 

 

Très largement issue de la PF1 "améliorée" de la C3 Aircross non ?

[Roger]

Idem

Ils ont été les premiers à gueuler sur l'hydropneumatique et sa complexité, disant qu'une suspension classique faisait tout aussi bien, que l'écart ne faisait que se combler, etc... (depuis 20 ans que je lis la presse auto)

Ben visiblement non, l'écart n'est pas comblé. C'est bien de reconnaître ses erreurs, mais il est trop tard.

 

 

Même une hydro simple est supérieure à la plupart des suspensions pilotées

 

[gontran d_hulst]

Bien sûr

Il y a un article édifiant de Chevronnés, j'ai le numéro, où il s'amusent à comparer une C5 Hydractive, une C5 sans hydractive et une Merco à suspension pneumatique, en roulant sur des pavés avec un verre doseur plein d'eau à l'arrière.

Le résultat est sans appel.

[l_gars]

 

Très largement issue de la PF1 "améliorée" de la C3 Aircross non ?

 

 

 

Comme l'EMP2 qui sert de base au 3008 / 5008 / Picasso II / DS7 ...

 

Et suivant ton raisonnement, quand tu montes à l'arrière, tu as le même espace au jambes sur tous ces modèles ...

[Invité §dav512aL]

Donc voilà le fameux concept (un de plus) de DS :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est une silhouette pas banale que dévoile DS. Présenté comme une vision du luxe à la française en 2035, le concept DS X E-Tense est en effet loin de la production actuelle de la division premium de Citroën.

 

Après nous avoir "teasé" un casque futuriste qui accompagne le projet, DS révèle une voiture surprenante. Elle partage la calandre et quelques lignes avec les codes habituels de DS, mais tout semblant de normalité s'arrête là.[h3]Deux salles, deux ambiances[/h3]

Le DS X E-Tense est en effet asymétrique : un cockpit couvert d'un côté, et un baquet exposé à l'air libre de l'autre. D'où le casque.

 

Les places sont décalées dans le sens de la longueur, et ce choix se retrouve dans le reste du projet : même la calandre est décentrée.

 

Cette séparation des deux espaces, façon deux salles, deux ambiances, sert à mettre en valeur les deux objectifs du concept. A gauche, le poste de pilotage est exposé aux éléments, rappelant l'univers de la course. Alors qu'à droite, le cockpit fermé biplace est utilisé lorsque la voiture est en mode autonome : le pilote devient alors passager, dans une ambiance façon cocon faite de bois, d'acier, de cuir et d'un plancher en verre permettant de voir la route défiler.

 

L'idée, on l'a compris, est de montrer comment plaisir de conduire et conduite autonome pourraient cohabiter dans un futur pas si lointain.[h3]Plus de 1.000 chevaux ![/h3]

En mode autonome, la conduite est prise en charge par IRIS, un assistant personnel présenté sous la forme d'un hologramme. Quant aux performances, elles ne sont pas en reste : 100% électrique, le DS X E-Tense affiche 540 ch en mode normal, et jusqu'à 1.360 ch sur piste. Le tout passe par des liaisons au sol conçues par DS Performance, la division sport du constructeur engagée en Formule E.

 

Si ce concept-car étrange ne devrait bien sûr pas être produit en série (il n'existe que virtuellement), cela n'empêche pas de rêver d'un avenir où on n'aurait pas à choisir entre supersportive de plus de 1.000 ch et trajets confortables autonomes !

 

 

Source: Autoplus